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Diathèses
Une diathèse est l'ensemble de symptômes et de troubles supposés avoir une origine commune, de nature et de localisation diverses, atteignant un individu simultanément ou successivement.
Les 4 diathèses correspondent à 4 fléaux dont le genre humain est l'héritier : les maladies bactériennes et parasites, vénériennes et infectieuses, efficacement combattues avec l'avènement de la pénicilline et des antibiotiques, mais dont les traces restent
mémorisées dans nos espaces interstitiels aussi appelés terrains biothérapiques sous forme d'informations antagoniques. (voir travaux des Pr Luc Montagnier et Marc Henry)
On reconnaît deux types de thérapeutes homéopathes : ceux communément appelés les bobologues et les autres les homéopathes diathésiques.
Cette publication a pour ambition d'apporter des éléments pour en juger.
La médecine traditionnelle chinoise enseigne que "le vrai médecin est celui qui équilibre les individus avant qu'ils ne chutent dans la maladie" .
RÈGLE 4
RÈGLE 2
Les vaccinations ont RÈGLE 5
RÈGLE 3 complexifié les
Le terrain est
terrains. Avant de rééquilibrer
RÈGLE 1
l'espace interstitiel
autour des La santé correspond à La présence les diathèses, il faut
l'équilibre des 4 permanente effacer les traces
Chaque individu cellules,
du genre humain vers lesquelles diathèses. d'antigènes énergétiques laissées
est porteur des 4 retournent les mémorise une par les vaccinations ou
diathèses qui Rétablir la santé consiste à situation de défense autres chocs
tour à tour
toxines si elles ne - nettoyer avec des draineurs
du système événementiels. (Dr
peuvent être sont pas les terrains souillés, avant de
sensibilisée ou éliminées. - rééquilibrer les 4 diathèses immunitaire SI. Elminger)
réveillée. par l'administration
annuellement planifiée des Comme le système Cette neutralisation
Les réactions du
Elles deviennent 4 nosodes. immunitaire n'atténue pas leur effet
alors propices
terrain constituent
joue alternativement de protection, au
au le tableau Il n'est pas conseillé de à la défense un rôle contraire, elle
développement symptomatique
traiter isolément avec dans la régénération l'améliore.
d'une pathologie morbide aussi
ponctuelle un seul nosode (Dr cellulaire, certains
bien lors d'une Elminger).
aigue. tissus peuvent se Elle évite une
manifestation (voir sensibilités des voir affectés par les évolution morbide des
aigüe qu'au cours terrains). vaccins et présenter tissus organiques vers la
d'une évolution
une évolution dégénérescence précoce.
chronique.
chronique
pathologique.
NOTA : Les ganglions sont des organes de drainage et de filtration de la lymphe provenant d'un territoire anatomique. Ils mettent précocement en contact les antigènes (marqueurs sur les éléments à éliminer) et les
lymphocytes (agents éliminatoires) assurant ainsi une veille immunitaire permanente. Un gonflement d'un ganglion supérieur à 1 cm est signe d'une adénopathie. Il est important de les palper (ou en tester le déphasage d'onde vitale
en géobiophysique) dans tout type de diagnostic, car très souvent peu douloureux.
Que faut-il soigner ? Quand ?
Dans tous les cas, ne pas commettre l'erreur thérapeutique de bloquer une élimination salutaire !
La santé correspond à
Survient un dérèglement dû aux variables énergétiques auxquelles l'univers nous soumet, alors
s'en suit un déséquilibre diathésique selon nos mémoires cellulaires héréditaires. La maladie s'installe !
s'en suit une souffrance énergétique des organes correspondant à l'influence saisonnière selon le cercle relationnel ci-dessous. Exemple : un hiver trop doux c'est un automne qui se prolonge, il va perturbe le flux énergétique du rein (hiver) vers
le foie (printemps) :
en hiver la zone ORL sera menacée, le système immunitaire sollicité par les épidémies de grippe etc...; l'émonctoire rein étant en souffrance, le système immunitaire mobilisé est vite dépassé par un encombrement de toxines. Souvent la peau doit
éliminer ce que le rein n'élimine pas.
au printemps le médecin pourra constater une augmentation des inflammations des voies biliaires, des signes aigus d'arthrose avec raideurs articulaires, des insuffisances hépatiques, des lombalgies, des toux, c'est à dire des symptômes correspondant à
la sensibilisation de la diathèse sycosique, avec l'accumulation de toxines correspondantes dans les terrains biothérapiques.
Si ce dérèglement diathésique se répète d'année en année, on obtient une chronicité des symptômes. Plus il y a de diathèses sensibilisées et déséquilibrées, plus l'état de santé sera perturbé, plus la thérapie sera complexe. Les tests de géobiophysique permettent
de quantifier le niveau en % de la sensibilité des 4 diathèses.
Lorsque le niveau de sensibilité d'une diathèse est important, il s'en suit généralement une sensibilisation partielle d'une ou plusieurs autres diathèses voisines.
Soins homéopathiques
Pour guérir de la chronicité diathésique par l'homéopathie, l'homéopathe devra proposer au patient un planning saisonnier de soins pluri-annuel.
Le thérapeute devra
Soins géobiophysiques
Pour guérir de la chronicité diathésique par la géobiophysique, le radiesthésiste devra proposer au patient une séquence groupée de désensibilisation des 4 terrains simultanément.
la première année,
o ajuster l'axe vertébral et le bassin par un contrôle chez le podologue, avec d'éventuelles corrections par des appareils orthopédiques
o ajuster l'occlusion dentaire (prothèse, bridge...) pour réduire les tensions cervicales
o réduire les lésions des structures fascias et squelette, ajuster les articulations (scoliose, lombose, etc...), par des soins ostéopathiques (ou par radio-résonance osthéopathique)
o ajuster le MRP mouvement respiratoire primaire crânien par des soins d'ostéopathie crânienne (ou par radio-résonance osthéopathique)
o ouvrir les fonctions d'élimination des toxines par les émonctoires par l'administration de stimulateurs organiques en basses dilutions homéopathiques, de la phytothérapie, de l'organothérapie, voir de
la sérothérapie, selon la gravité de l'état fonctionnel des organes. Un examen iridologie peut donner des informations intéressantes
o réduire le stress immunitaire : les phénomènes inflammatoires, le taux d'acidité de l'organisme, la présence de métaux lourds, les caries et abcès dentaires, les agents perturbateurs d'énergie (ondes
telluriques de l'habitat, champs électro-magnétiques Wifi, fréquentations humaines et croyances destructrices, alcoolisme, tabagisme, drogue....)
o soutenir la dégénérescence tissulaire avec des oligo-éléments, des complémentaires alimentaires, une nutrition adaptée.
o effacer par la méthode rétro-séquentielle les traces d'anciennes intoxications médicamenteuses, ioniques, empoisonnements, vaccinales. (biorésonance, isothérapie vaccine, etc...) selon la méthode du
Dr Elminger.
la deuxième année,
o nettoyer l'organisme en administrant les draineurs diathésiques correspondant à chaque saison (voir ligne draineurs dans le tableau ci-dessous). L'effet engendré incitera l'organisme à se dégager des
toxines stockés dans ses tissus profonds, séreuses, fascias, névralgiques
o Si les émonctoires ne sont pas assez performants ou préparés à les éliminer, s'en suivra une accentuation de symptômes aigus faisant penser au patient que la thérapie est mauvaise. (diarrhée, éruptions
cutanées, asthme, ORL, troubles nerveux et psychiques, blocages vertébraux). Si ça se produit, réduire momentanément les draineurs et soutenir les émonctoires.
o La connaissance de la matière médicale est essentielle à ce stade de la thérapie.
la troisième année,
o équilibrer les 4 diathèses en administrant les 4 nosodes diathésiques correspondant à chaque saison, en commençant avec la diathèse psorique en automne. (voir tableau ci-dessous). Chaque nosode
s'administre en 3 doses en dilution progressive espacées de 3 semaines
o avec les draineurs et stimulateurs d'assistance si nécessaire, selon les symptômes constatés après leur administration.
la quatrième année,
o stabiliser la constitution en administrant le médicament constitutionnel correspondant au patient.
o si une des diathèses se manifeste encore pendant cette année, un rappel du nosode correspondant peut être réadministré, en augmentant éventuellement la dilution.
Une amélioration de l'état de santé chronique devrait alors être constatée. Cet état dépendra de
o l'âge du patient, donc de la capacité de son système immunitaire à gérer la nutrition tissulaire et la défense immunitaire
o l'état des tissus organiques ; en cas de scléroses, cicatrices ou lésions irréversibles, le patient devra s'administrer à vie
des stimulateurs organiques (compléments alimentaires anti-arthritiques, stimulateurs cardiaques (PRIMULA) , soutien du système nerveux, etc...)
des soins palliatifs jusqu'à la fin de ses jours : ostéopathie, phytothérapie, magnétisme, biorésonance, médicaments allopathiques HT, chirurgie.
Si une amélioration est difficile à obtenir,
o c'est qu'une trace énergétique n'a pas été effacée. Il faut reprendre l'anamnèse du patient au stade d'arrêt de l'évolution positive
o c'est que les lésions sont irréversibles (scléroses).
Une aggravation de l'état chronique peut survenir si les étapes rétro-séquentielles et les étapes saisonnières ne sont pas respectées. Ces erreurs thérapeutiques ont pour effet de plonger l'état du patient dans une
situation de perturbations énergétiques graves et inextricables pouvant entrainer la mort. Cette éventualité doit aussi être partagée au patient avant son engagement dans le processus de thérapie.
Si le patient décide d'interrompre le cycle engagé, il ne doit pas le faire sans en informer le thérapeute qui devra prendre les dispositions adaptées vers une autre orientation thérapeutique.
Tableau de comparaison des symptômes par sensibilité - périodicité - améliorations - aggravations - organes ou appareils.
paupière supérieure œil paupières avec induration des paupières enflées adhérentes
troubles oculaires
droit orgelets à répétition bords remplis d'eau avec sensation de purulentes
taches noires devant les yeux avant la migraine conjonctivite écoulement chaleur et de sable douleurs d'un œil à l'autre < 16h à 23h
Yeux
< par le courant d'air > enveloppement chaud et verdâtre diminue après minuit
en mangeant paupières enflées le matin sensation d'yeux projetés vers l'avant
photophobie avec douleurs dans les globes paupières
herpès - conjonctivite fermées
carie au bord des gencives
(STAPHYSAGRIA - THUYA)
gencives gonflement - saignement
Dents
avec matière collante malpositions déformations dentaires
fragiles - jaunâtres - bords friables -
mobilité se casse facilement ( (KREOSOTUM)
cariées
douleurs la nuit
lèvre supérieure enflure herpès
haleine fétide
sècheresse lèvres haleine fétide mauvais goût comme de aphtes
la graisse rance - goût métallique salivation excessive la nuit
Bouche langue langue sèche (SULFUR) jaunâtre petites
ulcérations aphteuses langue chargée enduit blanchâtre
lèvres langue chargée framboisée
langue chargée - blanchâtre à la base - garde l'empreinte des dents
douloureuse à la pointe comme si elle
aphtes (MERCURIUS)
Gingivite était échaudée (SANGUINARIA)
Incidence bucco-dentaire PSORIQUE
sensible au froid
furoncle dans le nez et la lèvre
pâle - sale - huileuse - grasse supérieure
forte odeur corporelle froide humide jaunâtre - taches jaunes
eczéma généralisé avec démangeaisons sur les mains
en hiver : élimine par la peau : éruptions - intenses quand le malade se déshabille, éruptions - ulcères - psoriasis
papules - vésicules - acné - furoncles - herpès - après le bain
Peau urticaire- eczéma - dartres sèches - suintement - érythème avec nodules sous-cutanés eczéma suintant crouteux -
démangeaison besoin de se laver les mains
psoriasis
petites verrues pointues
en été: alternance de céphalée - asthme - toux
sueurs nocturnes abondantes
eczéma crouteux derrière l'oreille transpiration au moindre effort si face luisante graisseuse (THUYA)
sueur des mains (cœur)
Cellulite (THUYA)
par le froid et l’humidité le matin par le chaud et l’humidité (asthme)
par le froid la chaleur et l’air sec (PA /+) par le mouvement
par le froid humide par l’immobilité -
par le changement de temps par le toucher
Aggravation par l'orage par l’exercice quand il y pense
par l’enfermement la nuit - épuisement nocturne
contact - pression en penchant la tête en avant (céphalée)
en hiver par l’altitude - le sucre au niveau de la mer (PA\-
pendant l'orage (avant par le sel
l'orage RHODODENDRON)
par la chaleur
l'été
par temps humide par le bain froid
Amélioration au grand air frais au bord de mer - PA\ en altitude
en mangeant
en se promenant
en étant couché
en hiver élimine par la peau - éruption en névralgie apparaissent - disparaissent
Alternance symptômes pulmonaires et démences
été céphalée nausée brusquement
enfant tranquille la journée - agité la nuit
migraines revenant tous les 15 jours 3 semaines bourru triste en journée, moins le soir - douleur nocturne
Périodicité > épitaxie gai la nuit amélioration le jour
pleine lune
ARGENTUM NITRICUM -
ALUMINIA - CANNABIS IND.
Remèdes froids : SAMBUCUS NIGRA - spasmes - (temps) AURUM - ASAFOETIDA - KALI BI. -
Relations - états BARYTA CARB. BRYONIA CALCAREA asthme CALCAREA PHOSPHORICA - KALI IOD. - MERCURIEUS
aigus CARB. CARBO VEGETABILIS CISTIUS ARUM TRIPHYLIUM - HELONIAS - OXALIC ACIDUM (< PHYTOLACCA (douleurs osseuses <
KALI CARB. NATRUM MUR. SILICEA inflammations en y pensant) nuit)
BROMIUM (asthme > mer)
CACTUS (douleurs congestives)
SEPIA SULFUR TUBERCULINES
Tout le Corps
25 doses de Natrum
muriaticum 6D
en trituration dans 1 litre d'eau
Volvic, à boire chaque jour
pendant 2 mois.
Cuir chevelu
PSORINUM
PSORINUM serait un remède de nourrisson et d'enfant assez fréquent. Il apparaît très utile en prévention des affections psoriques graves de la deuxième enfance et de l'âge adulte, ainsi que dans les cas défectifs et résistant à
d'autres remèdes, en apparence bien indiqués. PSORINUM est précieux dans certains cas résistants d'échecs thérapeutiques.
Comme celui de tous les nosodes, son tableau pathogénétique demeure assez restreint et flou, surtout dans la sphère mentale, sauf en phase ultime de décompensation, mais c'est bien avant qu'il faut le prescrire, bien avant que la
psore soit ancrée dans l'unité psychosomatique de l'individu.
La médecine traditionnelle chinoise enseigne que « le vrai médecin est celui qui équilibre les individus avant qu'ils ne chutent dans la maladie ; le médicastre est celui qui se contente de lutter contre les maladies successives » (Nei
Tching Sou Wen, - 2700 av. J .C.). Samuel Hahnemann avait abouti, après une vie de pratique, aux mêmes conclusions, en l'occurrence que les malades doivent être traités précocement au stade où la psore se
manifeste initialement par des troubles fonctionnels légers et des perturbations d'ordre psychique et nerveux.
C'est dire, donc, l'importance en pédiatrie d'un remède comme PSORINUM, car c'est bien chez le petit nourrisson que nous pourrons saisir la chance d'équilibrer un organisme légèrement déréglé avant le stade de la maladie
chronique (au sens hahnemannien du terme) et d'aider, de ce fait, nos petits clients à se réaliser pleinement et s'épanouir, libérés des boulets des maladies récidivantes et successives qui gênent tant d'autres.
Angoisse
Au fond de PSORINUM, réside l'angoisse existentielle que nous avons tous vécue une fois nés, représentée au stade oral par la peur d'être abandonné du nouveau-né qui ne peut survivre seul (à la différence des bébés
animaux), sa peur de manquer de nourriture, de chaleur et d'affection, au point d'en mourir, et, symboliquement, par le mythe d'Adam chassé du paradis terrestre, découvrant alors sa nudité, sa peur de ne
pouvoir lutter contre le monde, le froid et la faim. Cette angoisse orale du nourrisson est portée à l'extrême chez le petit PSORINUM, qui devient vite allergique à ce monde cruel, s'entourant d'abord d'une carapace dermique,
suintant sa peur, puis présentant ensuite des difficultés pour respirer et étant alors obligé d'éliminer, de façon anormale, par tous les pores et orifices de son corps, le passif de ses ancêtres...
En pratique, dans les « beaux cas », on voit bien que PSORINUM redonne envie de lutter, de se battre, de survivre... de vivre tout simplement, libéré, de surcroît, de ses parasites !
TUBERCULINUM
Le symptôme central de TUBERCULINUM réside dans « désir de voyages », car c'est lui qui traduit le mieux l'instabilité existentielle de ce sujet, qui subit des compulsions à constamment chercher son bonheur ailleurs,
comme s'il ne pouvait jamais se contenter de ce qu'il a. Ainsi, se trouvent expliquées autant l'agitation physique de l'enfant que le désir de voyages, de drogue ou de « gourou » de l'adolescent. TUBERCULINUM est victime d'un
perpétuel besoin d'évasion du réel, qu'il ne supporte pas, et auquel il est beaucoup trop sensible. Le dur labeur routinier, la lutte pour la vie le font fuir... dans un monde de rêve, où il sait parfaitement se réfugier.
Sa quête permanente du bonheur mythique « ailleurs » pourrait ainsi correspondre à un problème de perte d'objet idéal, ou encore une blessure narcissique originelle (comme le suggèrent les symptômes : intolérance à
toute contrainte corporelle, phobie d'être touché, raptus agressifs d'auto-défense).
Devant l'impossibilité d'atteindre un tel idéal, TUBERCULINUM se déprime profondément, et c'est la phase de dépression anaclitique (avec son « vague à l'âme »), pouvant se manifester de façon critique ou en toile de fond
(symptômes : absence de confiance en soi, découragement, asthénie, peur que quelque chose n'arrive, aggravé en l'absence de soleil).
Ainsi, le changement va dominer la vie et colorer tous les symptômes.
Aussi, la fragilité aux agressions physiques et psychologiques va caractériser ces individus TUBERCULINUM, symptôme de l'intolérance au monde réel, à la dure loi de la vie (physique et psychique), d'où leur « mal à vivre », et
leur « mal de vivre »...
Enfin, il est amusant de remarquer que, si TUBERCULINUM aime les voyages, les déplacements en altitude extrême lui sont nuisibles ! Ce qui semble suggérer que le juste milieu lui est bénéfique, et
préférable tant aux hauteurs de l'illumination qu'aux abîmes de la dépression (en outre, il semble capable de passer vite d'un extrême à l'autre)...
MEDORRHINUM
Génie du remède :
Nosode de la sycose, qui représente l'excès en tous domaines, l'hypertrophie jusqu'à la démesure et la folie, mentale ou cellulaire.
MEDORRHINUM nous apparaît présenter 3 caractéristiques principales, permettant elles-mêmes d'expliquer à peu près tous les autres symptômes mentaux ; ce sont :
l'excès, la démesure, au niveau de la forme : sorte de manque de contrôle de l'énergie, des pulsions ;
l'anxiété par rapport au temps futur, en ce qui concerne le fond ;
leurs conséquences sur les variations de l'énergie, avec :
les excès d'énergie, d'où agitation, précipitation ;
les insuffisances d'énergie, d'où lenteur, insuffisance de mémoire, autodépréciation, dépression.
1) La démesure :
À l'image d'un balancier oscillant d'un extrême à l'autre, toutes les manifestations psychiques et physiques de MEDORRHINUM sont soumises à une absence de contrôle, de régulation, de demi-mesure, d'équilibre, donnant l'impression
d'une certaine incohérence ou anarchie :
MEDORRHINUM
Il investit donc plus le futur au détriment du présent. Le présent, il lui tarde qu'il soit fini car ce qu'il a à faire après est toujours plus attrayant. Ainsi, il vit le présent si vite, en y pensant si peu et en y
trouvant si peu de plaisir que ce temps présent lui paraît interminable, car vécu comme une corvée ; d'où le fameux symptôme : sensation que le temps passe trop lentement.
Cette fuite en avant dans le futur et cette anxiété de MEDORRHINUM pour le futur sont à l'origine de l'agitation et de la précipitation caractéristiques du remède.
Leurs conséquences sur les variations d'énergie :
Dans MEDORRHINUM,
SYPHILINUM (LUESINUM)
LUESINUM
au niveau anatomique, il se produit une destruction progressive des tissus : dégénérescence, pertes de substance (surtout), inflammation, suppuration et douleurs chroniques, sclérose ; en outre, il est aggravé la
nuit, phase où le corps se régénère, et enfin son vieillissement est accéléré.
au niveau psychique : autodestruction aboutissant à la psychose ou à la débilité, destruction du monde environnant physique et humain de manière compulsive et destruction de soi jusqu'à la psychose ou la
débilité.
o c'est un nosode agissant sur l'expression de l'hérédité ; en outre la luèse est le miasme le plus grave
o il agit sur tous les tissus et fonctions
o ses localisations les plus caractéristiques sont très centrales et profondes : vaisseaux-cœur, système nerveux, os.
1. La Psore = la carence.
2. Le Tuberculinisme = insuffisance respiratoire.
3. La Sycose = l'excès.
4. Le Luétisme= la perversion.
La PSORE
Lent, timide, réservé, frileux ; irritable, excitable, délicat ; lâche, peu résistant
Tendance aux refroidissements ; retard pour marcher
Constipé
Anxieux
Atteinte de la peau : eczéma, urticaire, réactions allergiques - asthme, rhume des foins.
Tendance à l'immobilité ;
Affections rhumatismales.
ODF
maxillaires larges
bi-protusion
béance antérieure
dents bien implantées
retards d'évolution des dents
perturbations de l'articulé
caries tardives
périodes éliminatoires
gingivites, stomatites
suppuration type "abcès chaud"
dents cariées blanchâtres
visage rond
squelette court, trapu
rétentions dentaires
couleur : bleu marine.
Remèdes :
Calcarea carbonicum.
Baryta carbonica.
Calcarea silicata.
Lycopodium.
Natrum carbonicum.
Psorinum.
Le TUBERCULINISME
O.D.F.
squelette long,
voûte palatine ogivale,
visage dégageant beaucoup de charme
insuffisance respiratoire endognathies les plus prononcées
caries précoces = à la déminéralisation
abcès froids
lèvres sèches, craquelées s'enrhume facilement
couleur : bleu
Remèdes :
Calcarea phosphorera
Natrum muriaticum.
Tuberculinum.
Opium.
Pulsatilla.
Phosphorus.
Sulfur iodatum.
La SYCOSE
C'est l'imprégnation héréditaire ou acquise par les toxines qui agissent électivement en déprimant le système réticulo-endothélial de défense SRE.
O.D.F.
Remèdes
Silicea.
Thuya.
Natrum sulfuricum.
Medorrhinum.
Le LUÉTISME
Avant de devenir manifeste ce miasme regroupe à l'intérieur de l'organisme toute la destruction que nous rencontrons tant dans les organes que dans le mental de l'individu qui sera sujet aux
ulcères.
O.D.F.
prognathie mandibulaire
articulations hyperlaxes
croissance défectueuse
visage asymétrique, tout "en biais"
réactions imprévisibles, versatiles
dents petites, grises, implantées d'une manière fantaisiste
anarchaïque, vite cariées
mauvais émail
abcès dentaires, fistules
couleur : rouge.
Remèdes
Calcarea fluorica.
Mercurius.
Argentum nitricum.
Fluoric acidum.
Aurum.
Sepia.
Hepar sulfur.
Platina.
Le choix de substances et de leurs dilutions, incitatives à l'auto-guérison, correspond à l'art de la pratique de l'homéopathie au regard de l'anamnèse du patient.
Le thérapeute met en œuvre la description des substances appelée matière médicale et une méthode de prescription complexe.
Cette page ne vise pas à définir l'homéopathie,
mais tente de mettre des mots et des schémas
simples sur les principes réactifs complexes
La vie est l'énergie Le principe actif homéopathique de l'homéopathie, souvent ignorés par le
vitale qui anime le est de nature physique.
corps. public parce que difficile à expliquer.
Le médicament contient une information
La matière est quantique. Elle ne constitue en aucun cas une information
énergie. suffisante pour la pratique de l'auto-
médication.
Vocabulaire
La dilution est un procédé consistant à obtenir une solution finale de concentration inférieure à celle de départ.
La succussion est la manœuvre qui consiste à secouer l'excipient et la substance Une onde de diffusion peut être altérée par
La combinaison des 2 principes a été appelée la dynamisation (principe définit par Dr Hahnemann) plusieurs chocs successifs
A chaque réduction de déformation correspondra une évolution
Explication scientifique des symptômes.
Le plus connu des postulats E=mc² donne une équivalence entre masse et énergie. A savoir que lorsque la masse d’un système diminue,
ce système fournie une énergie équivalente à la perte de masse et inversement.
le principe de l'homéostasie de l'organisme consiste en sa capacité
de
La dilution dynamique a pour effet d'exciter la molécule d'eau dans laquelle est faite la dilution, avec l'énergie du vide, avec son propre vide, puisque entre ses
o mettre en suspens le SI
éléments de nature quantique neutron-électron il n'y a que du vide. Ce vide se trouve configuré en domaines de cohérence signifiés au sein de champs
électromagnétiques. o faire réagir le SNS pour contrer les causes de
l'altération.
Or qu'est ce qu'un signal électrique ? Ce n'est ni plus ni moins pour un scientifique qu'une somme de sinusoïdes de transformées de FOURIER ; simplement o rétablir la diffusion énergétique normale par le SPS
pour l'obtenir, on doit sommer plusieurs fréquences monochromatiques. c'est l'auto-guérison.
Dès lors qu'on comprend qu'à chaque état excité d'une molécule correspond une fréquence, alors on comprend qu'avec un spectre émis par une molécule d'eau
on a des milliards de niveaux d'énergie pour coder une fréquence, et qu'avec ce qu'on peut coder on puisse coder un signal aussi complexe que celui d'une un choc violant peut occasionner une déformation laissant une trace
molécule d'ADN.
(voir travaux du Pr L. Montagnier) immuable (*) mémorisée dans l'onde de propagation énergétique
: c'est l'état de chronicité. Un dispositif physiologique est alors
Par les dilutions successives, on multiplie le nombre de domaines de cohérences, en apportant de plus en plus d'eau et de moins en moins de matière, sans installé inhibant le système immunitaire, fragilisé par une ou
perdre l'information spectrale de la matière. Le médicament homéopathique émet donc un spectre complexe de signaux à même de modifier des champs plusieurs diathèses appelées sensibilité de terrain.
électromagnétiques organisant le vide entre nos molécules, essentiellement des molécules d'eau puisque nous sommes fait à 99,1% d'eau.
(*) L'information inscrite dans un médicament
Ainsi toutes les organisations moléculaires de tous nos tissus organiques sont concernées. Un seul médicament homéopathique est donc à même de traiter un
organisme tout entier. Les signaux correcteurs correspondent aux nombreux symptômes multi-systèmes correspondants à la matière médicale d'une seule homéopathique vise à provoquer une réaction
substance initiatrice du spectre signal. réparatrice de la part de l'organisme selon les règles
de similitude, de terrain et de constitution.
Le principe de biorésonnance consiste à appliquer une
onde réparatrice de forme inverse à la trace perturbatrice.
Posologie d'urgence
L'urgence concerne un état symptomatique aigü.
En général le thérapeute n'a guère le temps d'établir l'anamnèse du patient
pour le situer précisément dans son contexte évolutif de terrain et de
constitution.
Posologie chronique
Durée
1 à 3x - 3 granules / jour
1x - 10 gouttes / jour
1 dose / 15 jours
Amélioration
Aggravation
- majoritairement extraites de livres anciens et plus récents traitant de méthodes, de pratiques, d'études de cas en thérapie homéopathique. Si les sources ne sont pas cités ici c'est parce que les livres ont été prêtés mais jamais rendus, ou donnés définitivement
pour qu'ils servent aux thérapeutes en exercice.
- expérimentées dans la pratique, tant dans des situations d'extrême urgence que dans des cas d'évolutions morbides au pronostic vital engagé.
Allergies - Bien-être
Travail apaisant et calmant sur le méridien du Grand Réchauffeur. GR, avec ou sans allergie.
Genoux et coude
Par exemple, vous commencez par tenir les deux points sur le genou droit et le coude droit. Après
environ 3 minutes, changez simplement de côté.
Vous tiendrez alors les même deux points sur le genou gauche et le coude gauche pendant trois
minutes.
Pied et main
Maintenant, faites la même chose avec la paire 2. Les points sont situés entre l’annulaire et
l’auriculaire et sur le petit orteil.
Tenez au moins trois minutes en tenant les deux points sur un côté du corps, ensuite sur l’autre côté.
Technique
Côté gauche
Si une personne peut vous aider, c’est elle qui tient les points. Vous n’avez alors qu’à vous relaxer.
La technique prend donc environ 12 minutes.
Apaisement
On peut très bien la faire en regardant la télévision.
Cette méthode est basée sur les points de sédation. (sédatif)
Une fois terminée, évaluez.
Si vous êtes sceptique, c’est une excellente chose car, la seule façon de savoir si une technique fonctionne pour vous... c’est de
Déterminez si c’est une technique qui vous donne des résultats intéressants ou non.
la tester.
En passant, puisque cette technique calme le triple réchauffeur, elle est aussi excellente pour
C’est une technique parfaite pour ceux et celles qui sont allergiques au pollen ou qui souffrent du rhume des foins.
apporter calme et bien-être.
L’idéal est d’avoir quelqu’un avec vous pour faire la technique, mais avec un peu de créativité et de flexibilité, vous pouvez la
faire sur vous-même.
Bonne pratique.
Évaluation
Avant de commencer, évaluez l’état de vos désagréments (nez qui coule, yeux qui piquent etc.) Comme cela, après avoir
effectué la technique, vous allez pouvoir évaluer si la technique vous a aidé ou non.
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L’homéopathie
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Méthodes diverses de prescription
Introduction :
L’homéopathie est une médecine du cas individuel où le médecin par sa recherche des symptômes les plus
spécifiques de son malade va devoir
et de ceux du Malade.
En effet la doctrine homéopathique et la Matière Médicale homéopathique sont interprétées de façon différente
selon les diverses écoles homéopathiques
C’est ainsi que l’on peut dégager trois principales méthodes inégalement suivies :
I – La méthode uniciste :
Cette méthode consiste à ne prescrire qu’un seul remède à la fois, c’est à dire celui qui correspond le plus au
“simillimum ” du malade.
Elle fut longtemps la seule acceptée par Hahnemann, et c’est elle qui nécessite le plus de rigueur et le plus de
réflexions de la part du médecin homéopathe.
Les médecins “unicistes” sont les médecins qui appliquent le plus strictement la loi des semblables.
Cette méthode respecte le principe d’individualité, car elle recherche le remède le mieux adapté aux symptômes
exprimés par le malade.
Il en résulte que l’ordonnance homéopathique ne comporte qu’un seul et unique remède, souvent en dose-
globules, en dilutions croissantes
Son administration sera donc poursuivie jusqu’à l’obtention de l’effet thérapeutique recherché.
– la plus connue est celle de James Tyler Kent (1849-1916) médecin américain
adepte de l’unicisme,
qui a donné le nom ” kentisme “, variante influencée selon le Dr.Denis Demarque par ” l’illuminisme ”
d’ E. Swedenborg (1688-1772),
Kent prône l’espacement de la prise du remède par exemple chaque mois ou plus, et il hiérarchise les
symptômes psychiques marquants
avant les symptômes généraux et locaux, mais avec une orientation théosophique.
Dans son ouvrage “ L’homéopathie, médecine de l’expérience ” p. 240/241 (1968) , le Dr. Denis Demarque
qualifie ” la Matière Médicale de Kent
d’une “exceptionnelle valeur clinique” et il juge d’une “remarquable objectivité” son monumental Répertoire
de 1423 pages de symptômes
soigneusement valorisés.
Il continue : “Ce qui ne va pas, c’est la transposition effectuée par Kent des idées d’Hahnemann en langage
swedenborgien.
L’illuminisme de Kent devait donner à l’homoeopathie dans le monde anglo-saxon une allure de secte
religieuse.”
Par rapport aux autres médecins homéopathes, l’unicisme en France est observé par une minorité de médecins.
Ces médecins unicistes sont souvent des élèves directs et indirects du Dr Pierre Schmidt de Genève, formé aux
Etats-unis par le Dr Austin,
pour identifier le remède du malade. Ce médecin est lié déjà par son père au mouvement kentiste argentin de
Thomas Paschero avant de s’en affranchir
Il développe une relecture des textes d’Hahnemann en les éclairant de la philosophie scolastique de Saint
Thomas d’Aquin.
Pour recueillir d’autres informations sur cette méthode, se reporter entre autres aux sites :
www.ihjtkent.org.br
Grupo de Estudos “Masi Elizalde”
www.afadh.free.fr
dans les années 1960 puis s’est développée ensuite surtout en Inde.
Ce courant homéopathique prescrit essentiellement sur les symptômes mentaux du malade pour définir son
remède.
D’autres courants existent aussi en Inde, comme la méthode du Dr. Rajan Sankaran, liée à une approche
homéopathique
de la “sensation vitale “.
La prescription uniciste est liée entièrement à la Matière Médicale pure et à la façon d’utiliser le Répertoire.
C’est une méthode difficile dans le choix des symptômes surtout psychiques qui peuvent être arbitraires et dans
celui des signes recueillis chez le malade.
Certains décrivent le courant uniciste comme “aristocratique” au sens étymologique c’est à dire ” autorité de
l’excellence ”
Un autre exemple : Nux vomica 9 CH, 15 CH et 30 CH, soit trois doses chaque 12 heures et arrêt de tout
traitement ensuite, en attendant
Au fil des consultations, le remède prescrit au départ peut être modifié selon le médecin et les symptômes du
patient.
Cette méthode consiste à associer dans la même préparation plusieurs remèdes homéopathiques réunis dans le
même flacon.
Selon les divers symptômes du malade plusieurs formules peuvent ainsi être prescrites.
Les complexistes estiment qu’un seul remède ne peut pas résoudre la symptomatologie complexe de la
pathologie du patient.
S’ils admettent la loi d’analogie et l’expérimentation sur l’homme sain d’Hahnemann, ils rejettent les hautes
dilutions et
En Allemagne, le “complexisme ” s’est enrichi au 19 ème siècle avec J.G. Rademacher (1772-1849), un
contemporain de Hahnemann
influencé par Paracelse et qui a développé le “drainage” , puis avec W. Lux vers 1835 et son principe “ aequalia
aequalibus ”
avec sa pratique de l’isothérapie , et encore avec le biochimiste W.H. Schüssler (1821-1898) et ses douze sels
biochimiques.
Ce courant complexiste s’est propagé en Allemagne au 20 ème siècle avec le Dr.H.H. Reckeweg qui a développé
l’homotoxicologie vers 1955 .
Dans ce pays, le complexisme est dominant et les dilutions prescrites sont basses.
A la fin du 19 ème siècle et au début du 20 ème siècle, tout un mouvement complexiste s’est propagé à partir de
l’Italie
dans les principaux pays européens sous le nom d’ “électro-homéopathie” avec les ouvrages du Comte Mattéi,
des Drs. Ponzio, Finella…
Des formules spécifiques sont définies selon les indications thérapeutiques afin de simplifier la recherche du
remède.
En France, les complexistes sont souvent des médecins formés à l’enseignement du Dr Antoine Nebel (1870-
1954) de Lausanne,
adepte des remèdes de ” drainage des toxines” comme le Dr André Rouy (1893-1978).
Dans la méthode complexiste, l’individualisation du malade ne joue aucun rôle car c’est une simple association
de remèdes
Avec le développement moderne des spécialités homéopathiques, il s’agit d’ une méthode qui facilite l’accès du
patient
à l’automédication.
Tous ces courants homéopathiques liés au complexisme : Drainage, Sels de Schüssler et Homotoxicologie seront
traités
dans la rubrique ” Thérapeutiques voisines “.
Par exemple dans le cas d’un malade souffrant d’une insuffisance hépatique, l’ordonnance pourra
comporter la prescription
Cynara scolymus
Carduus marianus
Elle a été initiée par le Dr Léon Vannier et continue d’influencer la plupart des médecins homéopathes
d’aujourd’hui dans leurs prescriptions.
Comme dans l’unicisme, la méthode pluraliste, qui est un ” pluralisme raisonné ” recherche le remède central,
ou le remède de fond le mieux adapté aux symptômes du malade, c’est à dire le “simillimum”, en rapport avec
la Matière Médicale Homéopathique.
La méthode pluralisme doit aussi au ” complexisme ” d’ajouter :
Un biothérapique est prescrit souvent pour traiter un syndrome infectieux (exemples Anthracinum, Psorinum,
Pyrogenium…) .
Ainsi, pour le Carbonique, les remèdes constitutionnels sont : Calcarea carb., Baryta carb., Kali carb.,
Magnesia carb….
Pour le Phosphorique, ce sont : Calcarea phos., Kali phos., Magnesia phos. et Phosphoricum acidum.
Exemples de draineurs :
– draineur hépatique :
Carduus marianus
Cynara scolymus aa 6
DH q.s.p.1 flacon de 30 ml
Lappa major
– draineur circulatoire :
Aesculus hipp.
Hamamelis virg. aa 3
DH q.s.p.1 flacon de 30 ml
Paeonia off.
– draineur cutané :
Bellis perennis
Lappa major aa 3
DH q.s.p.1 flacon de 30 ml
Viola tricolor
– draineur rénal :
Buchu
Solidago aa 3
DH q.s.p.1 flacon de 30 ml
Uva ursi
ou porte sur des symptômes locaux ou organiques,dans les maladies aiguës et le drainage.
dans les maladies chroniques et quand les signes mentaux et comportementaux sont importants.
Conclusion :
Chaque malade est un cas spécifique à qui le médecin doit définir et adapter un traitement personnalisé.
de son patient.
La médecine est un Art qui ne doit pas être dominé par un Dogme.
Le but final du médecin homéopathe est de suivre le souhait d’Hahnemann : la guérison prompte, douce et
durable de son patient