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Homéopathie diathèsique

Diathèses
Une diathèse est l'ensemble de symptômes et de troubles supposés avoir une origine commune, de nature et de localisation diverses, atteignant un individu simultanément ou successivement.
Les 4 diathèses correspondent à 4 fléaux dont le genre humain est l'héritier : les maladies bactériennes et parasites, vénériennes et infectieuses, efficacement combattues avec l'avènement de la pénicilline et des antibiotiques, mais dont les traces restent
mémorisées dans nos espaces interstitiels aussi appelés terrains biothérapiques sous forme d'informations antagoniques. (voir travaux des Pr Luc Montagnier et Marc Henry)

On reconnaît deux types de thérapeutes homéopathes : ceux communément appelés les bobologues et les autres les homéopathes diathésiques.
Cette publication a pour ambition d'apporter des éléments pour en juger.
La médecine traditionnelle chinoise enseigne que "le vrai médecin est celui qui équilibre les individus avant qu'ils ne chutent dans la maladie" .
RÈGLE 4
RÈGLE 2
Les vaccinations ont RÈGLE 5
RÈGLE 3 complexifié les
Le terrain est
terrains. Avant de rééquilibrer
RÈGLE 1
l'espace interstitiel
autour des La santé correspond à La présence les diathèses, il faut
l'équilibre des 4 permanente effacer les traces
Chaque individu cellules,
du genre humain vers lesquelles diathèses. d'antigènes énergétiques laissées
est porteur des 4 retournent les mémorise une par les vaccinations ou
diathèses qui Rétablir la santé consiste à situation de défense autres chocs
tour à tour
toxines si elles ne - nettoyer avec des draineurs
du système événementiels. (Dr
peuvent être sont pas les terrains souillés, avant de
sensibilisée ou éliminées. - rééquilibrer les 4 diathèses immunitaire SI. Elminger)
réveillée. par l'administration
annuellement planifiée des Comme le système Cette neutralisation
Les réactions du
Elles deviennent 4 nosodes. immunitaire n'atténue pas leur effet
alors propices
terrain constituent
joue alternativement de protection, au
au le tableau Il n'est pas conseillé de à la défense un rôle contraire, elle
développement symptomatique
traiter isolément avec dans la régénération l'améliore.
d'une pathologie morbide aussi
ponctuelle un seul nosode (Dr cellulaire, certains
bien lors d'une Elminger).
aigue. tissus peuvent se Elle évite une
manifestation (voir sensibilités des voir affectés par les évolution morbide des
aigüe qu'au cours terrains). vaccins et présenter tissus organiques vers la
d'une évolution
une évolution dégénérescence précoce.
chronique.
chronique
pathologique.
NOTA : Les ganglions sont des organes de drainage et de filtration de la lymphe provenant d'un territoire anatomique. Ils mettent précocement en contact les antigènes (marqueurs sur les éléments à éliminer) et les
lymphocytes (agents éliminatoires) assurant ainsi une veille immunitaire permanente. Un gonflement d'un ganglion supérieur à 1 cm est signe d'une adénopathie. Il est important de les palper (ou en tester le déphasage d'onde vitale
en géobiophysique) dans tout type de diagnostic, car très souvent peu douloureux.
Que faut-il soigner ? Quand ?

Dans tous les cas, ne pas commettre l'erreur thérapeutique de bloquer une élimination salutaire !

La santé correspond à

 l'état de mobilité de la structure fascias et squelette


o ligaments
o séreuses
o tendons + muscles
o membres
o rachis
o crâne
 tabouret. Cet équilibre correspond à une irrigation énergétique harmonieuse des 4 régions du corps (poumon - rein - foie - coeur ) tout au long
l'état d'équilibre des 4 diathèses, comme les 4 pieds de même longueur d'un
des 4 saisons, avec en plus l'intersaison de l'été indien 2e quinzaine d'août (rate). Plus il y a de pieds raccourcis, plus l'équilibre du tabouret est compromis.

Survient un dérèglement dû aux variables énergétiques auxquelles l'univers nous soumet, alors

 s'en suit un déséquilibre diathésique selon nos mémoires cellulaires héréditaires. La maladie s'installe !
 s'en suit une souffrance énergétique des organes correspondant à l'influence saisonnière selon le cercle relationnel ci-dessous. Exemple : un hiver trop doux c'est un automne qui se prolonge, il va perturbe le flux énergétique du rein (hiver) vers
le foie (printemps) :
 en hiver la zone ORL sera menacée, le système immunitaire sollicité par les épidémies de grippe etc...; l'émonctoire rein étant en souffrance, le système immunitaire mobilisé est vite dépassé par un encombrement de toxines. Souvent la peau doit
éliminer ce que le rein n'élimine pas.
 au printemps le médecin pourra constater une augmentation des inflammations des voies biliaires, des signes aigus d'arthrose avec raideurs articulaires, des insuffisances hépatiques, des lombalgies, des toux, c'est à dire des symptômes correspondant à
la sensibilisation de la diathèse sycosique, avec l'accumulation de toxines correspondantes dans les terrains biothérapiques.

Si ce dérèglement diathésique se répète d'année en année, on obtient une chronicité des symptômes. Plus il y a de diathèses sensibilisées et déséquilibrées, plus l'état de santé sera perturbé, plus la thérapie sera complexe. Les tests de géobiophysique permettent
de quantifier le niveau en % de la sensibilité des 4 diathèses.
Lorsque le niveau de sensibilité d'une diathèse est important, il s'en suit généralement une sensibilisation partielle d'une ou plusieurs autres diathèses voisines.
Soins homéopathiques
Pour guérir de la chronicité diathésique par l'homéopathie, l'homéopathe devra proposer au patient un planning saisonnier de soins pluri-annuel.
Le thérapeute devra

 s'assurer de l'adhésion du patient à la méthode : celle-ci devra être expliquée et documentée


 faire prendre conscience au patient que le processus de chronicité s'est instauré en plusieurs années, et que le temps de guérison prendra aussi plusieurs années
 prévenir des phases éliminatoires parfois douloureuses par lesquelles il faudra passer
 tenir un historique des événements thérapeutiques et réactionnels
 inviter le patient à revenir en consultation dès que de nouveaux symptômes apparaitront ; ces symptômes étant des signes encourageants, preuves des réactions de l'organisme vers une autoguérison, par des symptômes d'élimination
visant à se débarrasser de toxines qui l'encombrent.

Soins géobiophysiques
Pour guérir de la chronicité diathésique par la géobiophysique, le radiesthésiste devra proposer au patient une séquence groupée de désensibilisation des 4 terrains simultanément.

 tester le niveau de sensibilité de chaque terrain


 tester la dilution du draineur correspondant à chaque diathèse, présentant la meilleure résonance
 tester la dilution du nosode correspondant à chaque diathèse, présentant la meilleure résonance
 demander, pour chaque terrain, l'application du spectre d'ondes du draineur à la dilution testée
 demander, pour chaque terrain, l'application du spectre d'ondes du nosode à la dilution testée
 commencer par le terrain le plus sensible, puis respecter l'ordre saisonnier progressif.
 si après les traitements il reste une sensibilité, il faut demander l'application du spectre d'ondes du nosode à la dilution supérieure.
 rarement, des symptômes neurologiques peuvent se déclencher, comme des crampes ou des maux de tête : le radiesthésiste demandera alors la localisation d'une lésion sur le rachis ou le crâne, et ajustera les tensions.

Planning de traitement en 4 phases

1. structure et traces énergétiques


2. émonctoires
3. diathèses
4. constitution

 la première année,
o ajuster l'axe vertébral et le bassin par un contrôle chez le podologue, avec d'éventuelles corrections par des appareils orthopédiques
o ajuster l'occlusion dentaire (prothèse, bridge...) pour réduire les tensions cervicales
o réduire les lésions des structures fascias et squelette, ajuster les articulations (scoliose, lombose, etc...), par des soins ostéopathiques (ou par radio-résonance osthéopathique)
o ajuster le MRP mouvement respiratoire primaire crânien par des soins d'ostéopathie crânienne (ou par radio-résonance osthéopathique)
o ouvrir les fonctions d'élimination des toxines par les émonctoires par l'administration de stimulateurs organiques en basses dilutions homéopathiques, de la phytothérapie, de l'organothérapie, voir de
la sérothérapie, selon la gravité de l'état fonctionnel des organes. Un examen iridologie peut donner des informations intéressantes
o réduire le stress immunitaire : les phénomènes inflammatoires, le taux d'acidité de l'organisme, la présence de métaux lourds, les caries et abcès dentaires, les agents perturbateurs d'énergie (ondes
telluriques de l'habitat, champs électro-magnétiques Wifi, fréquentations humaines et croyances destructrices, alcoolisme, tabagisme, drogue....)
o soutenir la dégénérescence tissulaire avec des oligo-éléments, des complémentaires alimentaires, une nutrition adaptée.
o effacer par la méthode rétro-séquentielle les traces d'anciennes intoxications médicamenteuses, ioniques, empoisonnements, vaccinales. (biorésonance, isothérapie vaccine, etc...) selon la méthode du
Dr Elminger.
 la deuxième année,
o nettoyer l'organisme en administrant les draineurs diathésiques correspondant à chaque saison (voir ligne draineurs dans le tableau ci-dessous). L'effet engendré incitera l'organisme à se dégager des
toxines stockés dans ses tissus profonds, séreuses, fascias, névralgiques
o Si les émonctoires ne sont pas assez performants ou préparés à les éliminer, s'en suivra une accentuation de symptômes aigus faisant penser au patient que la thérapie est mauvaise. (diarrhée, éruptions
cutanées, asthme, ORL, troubles nerveux et psychiques, blocages vertébraux). Si ça se produit, réduire momentanément les draineurs et soutenir les émonctoires.
o La connaissance de la matière médicale est essentielle à ce stade de la thérapie.
 la troisième année,
o équilibrer les 4 diathèses en administrant les 4 nosodes diathésiques correspondant à chaque saison, en commençant avec la diathèse psorique en automne. (voir tableau ci-dessous). Chaque nosode
s'administre en 3 doses en dilution progressive espacées de 3 semaines
o avec les draineurs et stimulateurs d'assistance si nécessaire, selon les symptômes constatés après leur administration.
 la quatrième année,
o stabiliser la constitution en administrant le médicament constitutionnel correspondant au patient.
o si une des diathèses se manifeste encore pendant cette année, un rappel du nosode correspondant peut être réadministré, en augmentant éventuellement la dilution.

 Une amélioration de l'état de santé chronique devrait alors être constatée. Cet état dépendra de
o l'âge du patient, donc de la capacité de son système immunitaire à gérer la nutrition tissulaire et la défense immunitaire
o l'état des tissus organiques ; en cas de scléroses, cicatrices ou lésions irréversibles, le patient devra s'administrer à vie
 des stimulateurs organiques (compléments alimentaires anti-arthritiques, stimulateurs cardiaques (PRIMULA) , soutien du système nerveux, etc...)
 des soins palliatifs jusqu'à la fin de ses jours : ostéopathie, phytothérapie, magnétisme, biorésonance, médicaments allopathiques HT, chirurgie.
 Si une amélioration est difficile à obtenir,
o c'est qu'une trace énergétique n'a pas été effacée. Il faut reprendre l'anamnèse du patient au stade d'arrêt de l'évolution positive
o c'est que les lésions sont irréversibles (scléroses).
 Une aggravation de l'état chronique peut survenir si les étapes rétro-séquentielles et les étapes saisonnières ne sont pas respectées. Ces erreurs thérapeutiques ont pour effet de plonger l'état du patient dans une
situation de perturbations énergétiques graves et inextricables pouvant entrainer la mort. Cette éventualité doit aussi être partagée au patient avant son engagement dans le processus de thérapie.
 Si le patient décide d'interrompre le cycle engagé, il ne doit pas le faire sans en informer le thérapeute qui devra prendre les dispositions adaptées vers une autre orientation thérapeutique.

Tableau de comparaison des symptômes par sensibilité - périodicité - améliorations - aggravations - organes ou appareils.

SYCOSE : sycosique LUÈSE : luétique


PSORE - psorique TUBERCULOSE - tuberculinique :
Diathèse
(évolution cancérinique) (évolution cancérinique)
Nosode PSORINUM TUBERCULINUM MEDORRHINUM SYPHILINUM
hiver 8/10 au 3/02 printemps 4/02 au 05/05 été : 6/05 au 7/08
automne 8/08 au 7/10 21 décembre : 1 dose 9CH 10 février : 1 dose 9CH 10 mai : 1 dose 9CH
Périodes de soin
11 janvier : 1 dose 15CH 2 mars : 1 dose 15CH 1 juin : 1 dose 15CH
2 février : 1 dose 30CH 23 mars : 1 dose 30CH 21 juin : 1 dose 30CH
le coeur - intestin grêle
le feu - le rouge - la joie

L’été appartient à la loge Feu,


elle comprend les organes Cœur (YIN),
Maître du Cœur (péricarde, YIN), Intestin
poumon - gros intestin
Grêle (YANG) et Triple Réchauffeur
le métal - le blanc - la tristesse
reins - vessie (YANG).
l'eau - le noir - la peur La loge Feu réchauffe et soutient le Yang
L’Automne correspond à l’élément Métal, qui foie - Vésicule Biliaire
de l’organisme. Cette fonction de
comprend les organes Poumon (YIN) et Gros le bois - le vert - la colère
L’hiver est la saison de la loge de réchauffement permettra la production et
Intestin (YANG).
l’Eau, elle correspond aux organes la distribution du Sang dans le corps.
Eléments Cette période récolte, aussi bien sur le plan Le printemps appartient à la loge Bois.
Rein et Vessie qui gouvernent la
associés à la physique que psychique. C’est un moment de Il correspond aux organes Foie (YIN)
circulation et l’élimination des liquides L'été indien : la rate - la terre - le jaune - la
saison bilan et de tri sur notre vie. et Vésicule Biliaire (YANG) qui ont un
organiques. réflexion
Le Poumon a un rôle dans l’extraction de rôle important dans le stockage et la
Pendant l’été indien et à chaque
l’énergie issue de la respiration pour la circulation de l’énergie et du sang.
Pendant cette période, la nature est au changement de saison, l’énergie retourne à
production de l’énergie qui circulera dans le
repos et emmagasine l’énergie dont elle la Terre. Cette loge, à laquelle
corps.
aura besoin au printemps. appartiennent les organes de l’Estomac
Le Gros Intestin, quant à lui, excrète l’impur
(YANG) et de la Rate (Yin), est au centre
énergétique, physique et psychique.
de toute manifestation des autres éléments.
Ses organes ont une fonction importante
dans la digestion et notamment dans
l’extraction de l’énergie pure contenue
dans les aliments pour la production de
l’énergie qui circulera dans le corps.

Autrefois, toute maladie vésiculeuse ou


Hérédités Tuberculose héréditaire ou vaccinale Blennorragie héréditaire Syphilis héréditaire
pustuleuse de la peau
Maladie de la peau, due au parasite le sarcopte
démangeaison prurit
Infection vénérienne des organes
Chez le bréviligne, l'état psorique devient vite
Maladie infectieuse contagieuse, due au génito-urinaires, due au gonocoque de
insuffisant pour éliminer ses toxines Maladie vénérienne, contagieuse et
bacille de Koch. Neisser.
inoculable, due au tréponème pâle bactérie
urétrite, vulvite, pelvipéritonite.
La médecine distingue onze formes de psoriasis
Signes : tubercules inflammatoires Signes :
selon la gravité, les zones touchées et l’état du Signes : chancre initial (ulcération
affectant le plus souvent les poumons, H) brûlures mictionnelles en urinant -
Descriptions des patient. C'est le "cancer" du psorique (cellules purulante) - adénopathie
parfois d'autres organes écoulement de pus à l'extrémité de la
maladies qui se développent trop vite et s'empilent) - atteintes viscérales et nerveuses tardives,
perte de poids verge - douleurs épididymaires testicule
survenant plusieurs années après la
adénopathie F) Prurit urétral - Écoulement vaginal -
Elle distingue aussi cinq formes d’arthrose contamination.
Toux insuffisance respiratoire - nécrose dysurie - saignements vaginaux -
psoriasique, qui peut être asymétrique (touche L'évolution de la maladie se fait entre
mort des globules blancs - sang dans douleurs abdominales basses -
une à trois articulations des deux côtés du stade précoce et tardif.
les poumons Dyspareunie profonde pendant les
corps), symétrique (touche de nombreuses
rapports
articulations et ressemble à la polyarthrite
rhumatoïde), distale, destructrice ou avec
inflammation des tendons (enthésite).
poumons - articulations - méninges - os urètre - vulve - ovaire - testicules - peau - muqueuse - viscères - nerfs -
Organes peau - muqueuses
- peau - reins - ganglions prostate - rectum - pharynx moelle épinière
Image

chaude-pisse - urétrite - salpingite -


prostatite - ovarite - orchite - métrite -
Synonymes Gale - scabiose caverne gonorrhée - gonococcie - cystite - grande vérole
chatouille - castapiane - blennorrhée -
vaginité
Constitution Fluorique (résistants aux remèdes bien
Phosphorique Cancérinique
favorable déterminés)
arthritisme ayant tendance à faire du
tissu fibreux : ulcères - rhumatismes - névralgies
cherche à éliminer des toxines qui rhumatisme chronique urticaire - rhumatismes - insuffisances grossesse - ichnose - incontinence - iritis -
Chronicité
l’encombrent depuis sa naissance (NATRUM SULF.), goutte,
hépatiques - cancer kératite - ozone (fosses nasales) - psoriasis
- tabès (moelle épinière)
eczéma, migraine, diabète.
Faiblesse profonde
manque de réaction aux thérapies Troubles nerveux psychiques ou
diminution rapide des forces
après maladie aigue - surmenage - disparition sensoriels douleurs nerveuses osseuses
Généralités amaigrissement
d'irruption altérations profondes organiques - linéaires
fatigue persistante
Éruptions cutanées avec démangeaison médullaires - génitales - cutanées

Excès, démesure, manque de


contrôle de l'énergie, pulsions Paranoïaque
anxiété par rapport au Existe et vit au-delà des
Désir de voyages temps futur, limites et des règles
instabilité existentielle leurs conséquences sont Anatomie et psychisme
Remède du nourrisson et
fragilité aux agressions des variations de l'énergie en + anormal - destructeur de
enfant ou -
physiques et relation
angoisse existentielle
psychologiques
a peur que quelque chose de précipité - affairé - en perd la
anxieux - pessimiste - désespéré - triste mélancolie
grave peut arriver respiration prostration - bourru triste en
perte de mémoire - des noms des
idées bizarres journée, moins le soir, gai la nuit
Signes sensoriels suicide - agité la nuit - phobie personnes - des livres - des titres - des rues
=> brusquement irrité - agacé
- des villes
angoisse déprimé physiquement et moralement faible mémoire pour noms propres
a peur de son salut - de mourir difficulté à retrouver les mots, leur 1ère difficultés à se concentrer
irritable au réveil difficultés en mathématiques
mélancolie religieuse maussade lettre
rêves effrayants perd le fil de la conversation humeur alternante
anxieux épuisement nocturne - craint la nuit
enfant tranquille la journée - agité la nuit mélancolique hallucinations - voit des gens derrière
lui (MERCURIUS PHYTOLACCA)
bégaiement épuisement au réveil (LACHESIS)
croit devenir fou
pressentiments désir d'alcool (SULFURIQUE ACIDUM)
désirs érotiques après les règles avec aversion pour la viande
bouffées de chaleur
désir d'être éventé - besoin d'air
phobie du froid frais
Sensations sensibilité au froid - besoin d’air frais épuisement profond aspect endormi
n'a jamais trop chaud
tressaille au moindre bruit
désirs érotiques
Latéralité gauche
osseuses et nerveuses
commencent le soir disparaissent au matin
douleurs articulaires avec
(MERCURIUS - PHYTOLACCA)
raideurs doit changer de position fréquemment
douleurs erratiques variables
Douleurs démangeaisons changeantes
linéaires en points alignés (IGNATIA -
douleurs de pression par le bas comme KALI BI.)
lors de l'accouchement persistantes - profondes
occipitales - dans les yeux
dentaires la nuit

faim vorace après avoir mangé


désir insatiable de liqueurs (Azarum)
se lève la nuit pour manger aversion pour la viande
Faim bière (KALI BI.)
a faim pendant la migraine envie d'alcool
de sel (CALC. NATRUM)
de sucre (SULFUR)
céphalée frontale - nausées -
sensation de bande serrée autour
du front < en penchant la tête en
céphalée gauche après suppression d’éruptions avant
avec nausées - vertiges céphalée des étudiants céphalée occipitale profonde <
Tête migraines > altitude 0
épuisement intellectuel nuit
migraines -
vertiges < en se baissant - par le mvmt

paupière supérieure œil paupières avec induration des paupières enflées adhérentes
troubles oculaires
droit orgelets à répétition bords remplis d'eau avec sensation de purulentes
taches noires devant les yeux avant la migraine conjonctivite écoulement chaleur et de sable douleurs d'un œil à l'autre < 16h à 23h
Yeux
< par le courant d'air > enveloppement chaud et verdâtre diminue après minuit
en mangeant paupières enflées le matin sensation d'yeux projetés vers l'avant
photophobie avec douleurs dans les globes paupières
herpès - conjonctivite fermées
carie au bord des gencives
(STAPHYSAGRIA - THUYA)
gencives gonflement - saignement
Dents
avec matière collante malpositions déformations dentaires
fragiles - jaunâtres - bords friables -
mobilité se casse facilement ( (KREOSOTUM)
cariées
douleurs la nuit
lèvre supérieure enflure herpès
haleine fétide
sècheresse lèvres haleine fétide mauvais goût comme de aphtes
la graisse rance - goût métallique salivation excessive la nuit
Bouche langue langue sèche (SULFUR) jaunâtre petites
ulcérations aphteuses langue chargée enduit blanchâtre
lèvres langue chargée framboisée
langue chargée - blanchâtre à la base - garde l'empreinte des dents
douloureuse à la pointe comme si elle
aphtes (MERCURIUS)
Gingivite était échaudée (SANGUINARIA)
Incidence bucco-dentaire PSORIQUE
sensible au froid
furoncle dans le nez et la lèvre
pâle - sale - huileuse - grasse supérieure
forte odeur corporelle froide humide jaunâtre - taches jaunes
eczéma généralisé avec démangeaisons sur les mains
en hiver : élimine par la peau : éruptions - intenses quand le malade se déshabille, éruptions - ulcères - psoriasis
papules - vésicules - acné - furoncles - herpès - après le bain
Peau urticaire- eczéma - dartres sèches - suintement - érythème avec nodules sous-cutanés eczéma suintant crouteux -
démangeaison besoin de se laver les mains
psoriasis
petites verrues pointues
en été: alternance de céphalée - asthme - toux
sueurs nocturnes abondantes
eczéma crouteux derrière l'oreille transpiration au moindre effort si face luisante graisseuse (THUYA)
sueur des mains (cœur)

acné tubéreux (SULFUR IODATUM)


otorrhée chronique, écoulement otite
surdité partielle avec battements écoulement purulent oreille droite
otite purulente à répétition jaunâtre indolore
démangeaisons dans le conduit auditif surdité sans rémission
bourdonnement perte de l'odorat
coryza chronique avec obstruction nasale par coryza jaunâtre-verdâtre-irritant en
croûtes et écoulement rétro-nasal obligeant à coryza à répétition avec se frotte constamment le nez crises fréquentes
racler éternuement +douleurs dans les (CINNANOMUM)
rhume des foins annuel ozone
dents et les oreilles carie des os du nez avec ulcération
ORL perte d'odorat pharynx douloureux avec aphtes et
aphonie - enrouement douloureux mucosités épaisses et grisâtres rétro- aphonie complète la veille des règles
toux chronique revenant tous les hivers - nasales (HYDRASTIS CANADENSIS) douleurs laryngées
faiblesse dans la poitrine amygdales gonflement
expectoration épaisse verdâtre adénopathie cervicale toux sèche, douloureuse, petites toux nocturne sèche - cassante < étant
expectorations grisâtres visqueuses couché sur le côté droit (CARBONICA -
douleur au niveau de la 10e côte à droite
végétations adénoï des et asthme obligeant à se coucher MERCURIUS - STAPHYSAGRIA)
ganglions tuberculeux du cou. sur le ventre asthme chronique < temps humide
la nuit - pendant l'orage
nausées - éructations - hoquet
nausée - vomissement avec sueur froide

nausées - vomissements diarrhée vers 5h diarrhée blanche fétides


éructations sûres odeurs d'œufs pourris alcoolisme (AZARUM ) alcoolisme - aversion viande
(ANTIMONIUM TARTARICUM) aversion pour la viande et les aliments
Appareil digestif
désir de lait froid crampes d'estomac
diarrhée la nuit de 1-4h aqueuses douleurs cramponnes dans l'estomac douleurs au foie - épaule droite - ulcérations et fissures de l'anus
gonflement de l'abdomen vomissements
douleur vive dans la rate et le foie
atrophie du foie douleur à la rate - dans le rectum
suintement fétides de l'anus -
démangeaison
difficiles à expulser argileuses
aqueuses brunes noires
brunâtres adhérentes constipation chronique depuis des années
Selles odeurs de vieux fromages
fétides en se penchant en arrière teint terreux (PLUMBUM)
douloureuses
érotisme - stérilité
aversion pour le coït pertes séminales nocturnes suivies
impuissance avec absence d'érection testicules gonflés douloureux à droite d'impuissance

leucorrhée alumineuse irritante odeur


leucorrhée abondante avec odeur de charogne de saumure H) testicules induration
seins enflés douloureux - rougeur du mamelon prurit vulvaire
avec brûlures seins froids comme de la glace - F) induration vaginale ou utérine
Appareil génital
mamelons douloureux au toucher
Règles irrégulières peu abondantes peu colorées Règles abondantes noires - caillots leucorrhée acide jaunâtre abondante
(MAGN. CARB. (ALUMINIA)
Règles abondantes et longues avec désirs érotiques après les règles avec < la nuit
douleurs - ts les 20 jours bouffées de chaleur
douleur dans l'ovaire gauche

miction difficile et lente, jamais


difficulté d'uriner avec effort
goutte urétrale chronique avec végétations douloureuse
incontinence nocturne
Urinaire papillomateuses sur le prépuce nécessitant un effort
urine odeur haricots cuits douleurs rénales après longue miction
brûlures et démangeaisons (THUYA) méat bouché et collé
CV tabès : lésions dégénératives de
la moelle épinière, avec troubles de
la sensibilité profonde avec
agitation des jambes et pieds avec
douleur (sans douleur ZINCUM) abolition des réflexes, hypotonie,
Système nerveux incoordination, crises douloureuses
très mésentérique
CV
Coeur
palpitations nervosité avec épuisement profond < paroxystiques, atteinte de certains
pouls rapide réveil nerfs crâniens et des troubles
névralgie apparaissent - disparaissent
trophiques (nutrition tissus)
brusquement

cœur douleur lancinante de la base


à la pointe (SPIGELIA)
douleurs lombaires
colonne vertébrale sensible
rhumatismes lombaires scoliose - déformation du squelette.
meurtrie douleurs vertébrales < la nuit <
raideurs mouvement > applications chaudes
raideurs jambes relevées sur ventre douleurs articulaires < la nuit > chaleur
Structure douleurs dans les épaules en élevant les
douleurs articulaires avec raideurs bras (RHUS TOX)
brûlures de la nuque au coccyx Percussion des os douloureuse sternum
douleurs articulaires tiraillantes le matin CV tibias
déformations des jointures des doigts

Cellulite (THUYA)
par le froid et l’humidité le matin par le chaud et l’humidité (asthme)
par le froid la chaleur et l’air sec (PA /+) par le mouvement
par le froid humide par l’immobilité -
par le changement de temps par le toucher
Aggravation par l'orage par l’exercice quand il y pense
par l’enfermement la nuit - épuisement nocturne
contact - pression en penchant la tête en avant (céphalée)
en hiver par l’altitude - le sucre au niveau de la mer (PA\-
pendant l'orage (avant par le sel
l'orage RHODODENDRON)
par la chaleur
l'été
par temps humide par le bain froid
Amélioration au grand air frais au bord de mer - PA\ en altitude
en mangeant
en se promenant
en étant couché
en hiver élimine par la peau - éruption en névralgie apparaissent - disparaissent
Alternance symptômes pulmonaires et démences
été céphalée nausée brusquement
enfant tranquille la journée - agité la nuit
migraines revenant tous les 15 jours 3 semaines bourru triste en journée, moins le soir - douleur nocturne
Périodicité > épitaxie gai la nuit amélioration le jour
pleine lune
ARGENTUM NITRICUM -
ALUMINIA - CANNABIS IND.
Remèdes froids : SAMBUCUS NIGRA - spasmes - (temps) AURUM - ASAFOETIDA - KALI BI. -
Relations - états BARYTA CARB. BRYONIA CALCAREA asthme CALCAREA PHOSPHORICA - KALI IOD. - MERCURIEUS
aigus CARB. CARBO VEGETABILIS CISTIUS ARUM TRIPHYLIUM - HELONIAS - OXALIC ACIDUM (< PHYTOLACCA (douleurs osseuses <
KALI CARB. NATRUM MUR. SILICEA inflammations en y pensant) nuit)
BROMIUM (asthme > mer)
CACTUS (douleurs congestives)
SEPIA SULFUR TUBERCULINES

Tout le Corps

Un remède qui peut être efficace pour


un psoriasis sur l’ensemble du corps est
de mettre

 25 doses de Natrum
muriaticum 6D
en trituration dans 1 litre d'eau
Volvic, à boire chaque jour
pendant 2 mois.

Cuir chevelu

Pour le psoriasis du cuir chevelu, traiter


avec Natrum Muriaticum 4 à 5H,
2 prises par jour. Si on préfère 1 prise
hebdomadaire, choisir Natrum
Muriaticum 9 à 15H.

Visage - pubis - plis - ongles


PSORINUM RHUS TOX. BARYTA
Complémentaires Pour traiter le psoriasis localisé sur le CARB. (sclérose) NATRUM SULF. PSORINUM MEDORRHINUM (< altitude - >mer)
visage, le pubis, les plis et les ongles, (rhumatisme < temps humide)
accompagné de lésions brunâtres, traiter
avec

 Sepia 4H à 5H avec 2 prises par


jour, ou Sepia 9H à 15H, 1 prise
par semaine.
 Si le psoriasis s’accompagne de
saignement et de fissuration,
prendre du Phosphorus 4 à 5H
avec 2 prises par jour
ou Phosphorus 9H à 5H, 1 prise
hebdomadaire. Le Petroleum est
aussi efficace pour atténuer ces
symptômes.

Pour les autres troubles, on peut


conseiller

 Berberis Aquifolium pour traiter le


psoriasis avec peau sèche et
rugueuse,
 Calcarea Carbonica (peau molle,
fissure après lavage) et
 Hydrocotyle Asiatica (peau indurée,
démangeaisons)

SULFUR IODATUM (acné - auto- RHUS TOXICODENDRON


intoxication - érythème noueux - zona) THUYA (vaccinations)
SULFUR (auto-intoxication éruptions PULSATILLA HYDRATIS CANADENSIS
prurigineuses - améliore. temps sec et chaud) SOLIDAGO VIRGA (reins) (mucosités rétro-nasales - cancer) PHYTOLACCA (glandes - ganglions
Draineurs (ANACARDIUM ORIENTALE - CHINA -
muscles - périoste - os - tumeur)
CHELIDONIUM - CHINA 6D aa) AUBIER DU TILLEUL AUBIER DU TILLEUL SAUVAGE
LYCOPODIUM
SAUVAGE DU ROUSSILLON DU ROUSSILLON (draineur foie
(calcul rénaux) vésicule biliaire reins)
Calcarea fluorica.
Calcarea phosphorera
Calcarea carbonicum. Mercurius.
Natrum muriaticum.
Baryta carbonica. Silicea. Argentum nitricum.
Opium.
Calcarea silicata. Thuya. Fluoric acidum.
Médicaments Pulsatilla.
Lycopodium. Natrum sulfuricum. Aurum.
Phosphorus.
Natrum carbonicum. Medorrhinum. Sepia.
Sulfur iodatum.
Psorinum. Hepar sulfur.
Tuberculinum.
Platina.
Syphilinum

Liens Incidence bucco-dentaire PSORIQUE


Les sujets susceptibles de réagir sur le
mode psorique sont :
- les brévilignes, ils le font précocement
du fait de leur ralentissement
métabolique " constitutionnel " et sont
plus sensibles aux conséquences des
facteurs d'auto-intoxication, surtout
d'origine digestive.
- les normolignes plus tardivement par
suite de la sédentarité, des erreurs
hygiéno-diététiques et autres facteurs
associés.
- Mais la logique reste en faveur des
normolignes parce que chez eux le
Constitution et
Évolution mode psorique est très souvent le seul
mis en oeuvre, simplement parce que
longtemps il suffit au maintien de
l'équilibre.
- Alors que chez le bréviligne le mode
psorique devient vite insuffisant et
l'organisme doit mettre en oeuvre un
autre mode réactionnel, en l'occurrence
et le plus souvent le mode sycosique.
SULFUR laisse alors souvent la place à d'autres
remèdes comme GRAPHITES, ANTIMONIUM
CRUDUM, plus tard AMMONIUM
CARBONICUM ou à des remèdes plus
sycotiques comme NATRUM SULFURICUM
ou THUYA.
Cicatrisation du psoriasis avec l’argent colloïdal
à appliquer par compresse deux fois par jour.
Bain de soleil et de mer
Soins palliatifs
La mer Morte concentre le bicarbonate, le
magnésium, le brome et le potassium à des
teneurs dix fois supérieure à la Méditerranée
Supprimer les produits laitiers, les gâteaux secs,
sucreries, chocolat, charcuteries, poissons et
Alimentation
crustacés, l’alcool et la cigarette.
Adopter le régime hypotoxique du Dr Seignalet.

Description des nosodes de fond

PSORINUM

Mots clefs : dépressif, victime, méticuleux.


Génie du remède :
Nosode de la psore, première maladie chronique hahnemanienne. Il représente le moins, la perte, l'inhibition, l'insuffisance de réaction, la frilosité physique et mentale par rapport à la vie.
Si l'on devait résumer ses symptômes en quelques mots, nous pourrions citer :
 froid, faim, odeur, note dermatologique, maladie aiguë déclenchante, besoin d'élimination cutanée/muqueuse, alternances et périodicité,
 agitation anxieuse, pessimisme, intolérance aux séparations, manque de réaction.

Remède du nourrisson et de l'enfant

 PSORINUM serait un remède de nourrisson et d'enfant assez fréquent. Il apparaît très utile en prévention des affections psoriques graves de la deuxième enfance et de l'âge adulte, ainsi que dans les cas défectifs et résistant à
d'autres remèdes, en apparence bien indiqués. PSORINUM est précieux dans certains cas résistants d'échecs thérapeutiques.
 Comme celui de tous les nosodes, son tableau pathogénétique demeure assez restreint et flou, surtout dans la sphère mentale, sauf en phase ultime de décompensation, mais c'est bien avant qu'il faut le prescrire, bien avant que la
psore soit ancrée dans l'unité psychosomatique de l'individu.
 La médecine traditionnelle chinoise enseigne que « le vrai médecin est celui qui équilibre les individus avant qu'ils ne chutent dans la maladie ; le médicastre est celui qui se contente de lutter contre les maladies successives » (Nei
Tching Sou Wen, - 2700 av. J .C.). Samuel Hahnemann avait abouti, après une vie de pratique, aux mêmes conclusions, en l'occurrence que les malades doivent être traités précocement au stade où la psore se
manifeste initialement par des troubles fonctionnels légers et des perturbations d'ordre psychique et nerveux.
 C'est dire, donc, l'importance en pédiatrie d'un remède comme PSORINUM, car c'est bien chez le petit nourrisson que nous pourrons saisir la chance d'équilibrer un organisme légèrement déréglé avant le stade de la maladie
chronique (au sens hahnemannien du terme) et d'aider, de ce fait, nos petits clients à se réaliser pleinement et s'épanouir, libérés des boulets des maladies récidivantes et successives qui gênent tant d'autres.

Peu de symptômes psychiques précis


PSORINUM est différent des autres remèdes, en ce qu'il comporte peu de symptômes psychiques précis, mis à part la peur de ne pas s'en sortir. Dans la pratique, le comportement et la mentalité de PSORINUM n'apparaissent
qu'en filigrane, en toile de fond, ne sont utilisés que comme « signes d'ambiance » pour nous conforter dans notre intuition du remède.

Après les insuccès d'autres remèdes


On constate que PSORINUM est le plus souvent prescrit après les insuccès de remèdes, et rarement en première prescription.

Angoisse

 Au fond de PSORINUM, réside l'angoisse existentielle que nous avons tous vécue une fois nés, représentée au stade oral par la peur d'être abandonné du nouveau-né qui ne peut survivre seul (à la différence des bébés
animaux), sa peur de manquer de nourriture, de chaleur et d'affection, au point d'en mourir, et, symboliquement, par le mythe d'Adam chassé du paradis terrestre, découvrant alors sa nudité, sa peur de ne
pouvoir lutter contre le monde, le froid et la faim. Cette angoisse orale du nourrisson est portée à l'extrême chez le petit PSORINUM, qui devient vite allergique à ce monde cruel, s'entourant d'abord d'une carapace dermique,
suintant sa peur, puis présentant ensuite des difficultés pour respirer et étant alors obligé d'éliminer, de façon anormale, par tous les pores et orifices de son corps, le passif de ses ancêtres...
 En pratique, dans les « beaux cas », on voit bien que PSORINUM redonne envie de lutter, de se battre, de survivre... de vivre tout simplement, libéré, de surcroît, de ses parasites !

TUBERCULINUM

Mots clefs : insatisfait, individualiste, créatif.

Cultures de Mycobactérium Tuberculosis d'origine humaine ou bovine.


Le nosode TUBERCULINUM est un remède très vaste, nuancé et possédant une action très profonde et durable. Il correspond à des déséquilibres psychiques et somatiques particuliers ayant comme
dénominateur commun :

 la fragilité physique et mentale ;


 l'irritabilité, l'hypersensibilité aux agressions physiques et psychologiques ;
 la variabilité des symptômes ; et comme aboutissants ultimes en phase de décompensation :
 des affections somatiques diverses, dominées autrefois par la tuberculose, et actuellement par les maladies psychosomatiques, de type allergique préférentiellement (correspondant à son hypersensibilité psychique) ;
 le retrait dans un monde de rêve, jusqu'à l'autisme ou le délire psychotique ;
 la dépression, de type anaclitique, avec dégoût de la vie et découragement extrême.

Désir de voyages - fuir dans un monde de rêves

 Le symptôme central de TUBERCULINUM réside dans « désir de voyages », car c'est lui qui traduit le mieux l'instabilité existentielle de ce sujet, qui subit des compulsions à constamment chercher son bonheur ailleurs,
comme s'il ne pouvait jamais se contenter de ce qu'il a. Ainsi, se trouvent expliquées autant l'agitation physique de l'enfant que le désir de voyages, de drogue ou de « gourou » de l'adolescent. TUBERCULINUM est victime d'un
perpétuel besoin d'évasion du réel, qu'il ne supporte pas, et auquel il est beaucoup trop sensible. Le dur labeur routinier, la lutte pour la vie le font fuir... dans un monde de rêve, où il sait parfaitement se réfugier.
 Sa quête permanente du bonheur mythique « ailleurs » pourrait ainsi correspondre à un problème de perte d'objet idéal, ou encore une blessure narcissique originelle (comme le suggèrent les symptômes : intolérance à
toute contrainte corporelle, phobie d'être touché, raptus agressifs d'auto-défense).
 Devant l'impossibilité d'atteindre un tel idéal, TUBERCULINUM se déprime profondément, et c'est la phase de dépression anaclitique (avec son « vague à l'âme »), pouvant se manifester de façon critique ou en toile de fond
(symptômes : absence de confiance en soi, découragement, asthénie, peur que quelque chose n'arrive, aggravé en l'absence de soleil).
 Ainsi, le changement va dominer la vie et colorer tous les symptômes.
 Aussi, la fragilité aux agressions physiques et psychologiques va caractériser ces individus TUBERCULINUM, symptôme de l'intolérance au monde réel, à la dure loi de la vie (physique et psychique), d'où leur « mal à vivre », et
leur « mal de vivre »...

Enfin, il est amusant de remarquer que, si TUBERCULINUM aime les voyages, les déplacements en altitude extrême lui sont nuisibles ! Ce qui semble suggérer que le juste milieu lui est bénéfique, et
préférable tant aux hauteurs de l'illumination qu'aux abîmes de la dépression (en outre, il semble capable de passer vite d'un extrême à l'autre)...

MEDORRHINUM

Mots clefs : instable, intuitif, excessif. Sens de la démesure.

Génie du remède :
Nosode de la sycose, qui représente l'excès en tous domaines, l'hypertrophie jusqu'à la démesure et la folie, mentale ou cellulaire.

MEDORRHINUM nous apparaît présenter 3 caractéristiques principales, permettant elles-mêmes d'expliquer à peu près tous les autres symptômes mentaux ; ce sont :

 l'excès, la démesure, au niveau de la forme : sorte de manque de contrôle de l'énergie, des pulsions ;
 l'anxiété par rapport au temps futur, en ce qui concerne le fond ;
 leurs conséquences sur les variations de l'énergie, avec :
 les excès d'énergie, d'où agitation, précipitation ;
 les insuffisances d'énergie, d'où lenteur, insuffisance de mémoire, autodépréciation, dépression.

1) La démesure :
À l'image d'un balancier oscillant d'un extrême à l'autre, toutes les manifestations psychiques et physiques de MEDORRHINUM sont soumises à une absence de contrôle, de régulation, de demi-mesure, d'équilibre, donnant l'impression
d'une certaine incohérence ou anarchie :

o l'humeur est changeante :


 des phases de gaieté, d'excitation, d'hilarité
 alternent avec pessimisme et tristesse ;
 la bonne humeur
 alterne avec l'irritabilité, le caractère grognon,
 l'activité subit des variations tout aussi paradoxales.
o le désir est changeant :
 des phases de boulimie, avec grand appétit de la vie, de réalisations importantes,
 alternent avec des phases d'inaction, d'insuffisance et de dépression.
o Les relations humaines, l'individu passe
 de phases d'égoïsme extrême
 à l'altruisme le plus grand,
 d'état de grande gentillesse
 à des états de méchanceté.
o la vitesse des actions de MEDORRHINUM varie périodiquement de la même manière,
 passant de la rapidité, avec la fameuse précipitation,
 à la lenteur paradoxale chez un sujet impulsif et nerveux.
o de nombreux symptômes physiques subissent ces mêmes variations,
 passant par périodes d'un extrême à l'autre, d'un excès à une insuffisance ;
 ceci concerne surtout les sécrétions muqueuses et la multiplication cellulaire, responsable
 tantôt d'hypotrophie chez l'enfant,
 tantôt d'hypertrophie (cavum, obésité) ou de néoformations (verrues, tumeurs).
2) L'anxiété par rapport au temps futur :
Pratiquement tous les symptômes d'anxiété de MEDORRHINUM peuvent se réduire à cela. Ils témoignent d'une préoccupation et d'une tension permanentes par rapport au futur, au détriment du temps présent, que ce soit

 dans une attente gaie, impatiente ou dans de l'inquiétude,


 dans le doute angoissant.

MEDORRHINUM

 il vit mal dans le moment présent,


 il vit plutôt dans le moment futur, dans l'instant à venir.

Il investit donc plus le futur au détriment du présent. Le présent, il lui tarde qu'il soit fini car ce qu'il a à faire après est toujours plus attrayant. Ainsi, il vit le présent si vite, en y pensant si peu et en y
trouvant si peu de plaisir que ce temps présent lui paraît interminable, car vécu comme une corvée ; d'où le fameux symptôme : sensation que le temps passe trop lentement.

Cette fuite en avant dans le futur et cette anxiété de MEDORRHINUM pour le futur sont à l'origine de l'agitation et de la précipitation caractéristiques du remède.
Leurs conséquences sur les variations d'énergie :

MEDORRHINUM est généralement un hyperactif,

o avec beaucoup, sinon trop d'énergie,


o mais il a des phases de baisse d'énergie importantes, avec inactivité.

Dans MEDORRHINUM,

 ce qui se voit de l'extérieur, le plus souvent, ce sont :


o la démesure ;
o l'anxiété pour le futur ;
 ce qui se voit moins souvent et qui reste caché, latent ou ne s'exprimant qu'à certains moments de décompensation, ce sont :
o la dépression ;
o la culpabilité.

SYPHILINUM (LUESINUM)

Mots clefs : anormal, inquiet, compulsif, paranoïaque.


compulsion : Force intérieure par laquelle le sujet est amené à accomplir certains actes et à laquelle il ne peut résister sans angoisse (cette résistance faisant la différence avec l'impulsion).

LUESINUM

 existe et vit au-delà des limites et des règles


 a une incapacité à respecter les limites. Quelles limites ? Celle de la normalité anatomique et sociale :
o au niveau physique : par ses anomalies congénitales (malformations) et acquises (dystrophies), il est différent anatomiquement des autres, il vieillit même plus vite qu'eux.
o au niveau intellectuel :
 soit il est plus intelligent (surdoué) que les autres,
 soit il est moins intelligent (débile), il a des grandes difficultés d'apprentissage des disciplines logiques : il ne peut donc intégrer les règles intellectuelles de sa culture.
o au niveau affectif : il est indifférent aux autres, à l'amour, il désire la solitude, il cache des choses, il ment, il a la sensation d'être loin de tout, il s'isole dans des stéréotypes : il est bel et bien coupé du monde humain
o au niveau relationnel :
 il vit les autres comme dangereux (il se lave les mains par peur de la contagion, etc.)
 il devient parfois dangereux pour les autres par ses explosions de violence totalement incontrôlables (ne tolérant pas la contradiction)
 il leur ment ou leur cache la vérité
 il est hors limites du monde social.
o au niveau de l'activité : c'est un instable tantôt trop agité, tantôt trop inactif : il ne peut intégrer la stabilité, l'équilibre, la norme
 anatomie et psychisme anormal - destructeur de relation
o si on devait utiliser qu'un seul mot pour caractériser LUESINUM, ce serait « anormal »
o si on avait droit à un second mot, ce serait celui de destruction pour caractériser son mode relationnel pathologique luétique :

 au niveau anatomique, il se produit une destruction progressive des tissus : dégénérescence, pertes de substance (surtout), inflammation, suppuration et douleurs chroniques, sclérose ; en outre, il est aggravé la
nuit, phase où le corps se régénère, et enfin son vieillissement est accéléré.
 au niveau psychique : autodestruction aboutissant à la psychose ou à la débilité, destruction du monde environnant physique et humain de manière compulsive et destruction de soi jusqu'à la psychose ou la
débilité.

LUESINUM est en outre un remède d'action très profond car :

o c'est un nosode agissant sur l'expression de l'hérédité ; en outre la luèse est le miasme le plus grave
o il agit sur tous les tissus et fonctions
o ses localisations les plus caractéristiques sont très centrales et profondes : vaisseaux-cœur, système nerveux, os.

Orthopédie dento-faciale fonctionnelle ODF et diathèses


Voici les diathèses qu'on rencontre quotidiennement :

1. La Psore = la carence.
2. Le Tuberculinisme = insuffisance respiratoire.
3. La Sycose = l'excès.
4. Le Luétisme= la perversion.

Pourtant chaque individu est "unique".


Le cerveau est la partie la plus complexe de l'être : c'est l'ordinateur qui fait fonctionner toute la machine, c'est-à-dire :

 Le mouvement par les nerfs moteurs ;


 La sensibilité par les nerfs sensitifs ;
 Les organes par le jeu des systèmes sympathiques et parasympathiques.

La PSORE

= déséquilibre par défaut.


Altération du rythme vital : rachitisme, convulsions ;

 Lent, timide, réservé, frileux ; irritable, excitable, délicat ; lâche, peu résistant
 Tendance aux refroidissements ; retard pour marcher
 Constipé
 Anxieux
 Atteinte de la peau : eczéma, urticaire, réactions allergiques - asthme, rhume des foins.

Surmenage = blocage des émonctoires = sclérose organique

Tendance à l'immobilité ;
Affections rhumatismales.

Auto-intoxication, réactions organiques.


Têtu, obtus,
Aphtoses.

ODF

maxillaires larges
bi-protusion
béance antérieure
dents bien implantées
retards d'évolution des dents
perturbations de l'articulé
caries tardives
périodes éliminatoires
gingivites, stomatites
suppuration type "abcès chaud"
dents cariées blanchâtres
visage rond
squelette court, trapu
rétentions dentaires
couleur : bleu marine.
Remèdes :

Calcarea carbonicum.
Baryta carbonica.
Calcarea silicata.
Lycopodium.
Natrum carbonicum.
Psorinum.

Le TUBERCULINISME

= déséquilibre minéral comme la sous-alimentation


Maladies anergisantes
Infection subaiguës et chroniques récidivantes.

o hyperexcitabilité = phase sthénique,


o fatigabilité et asthénie = phase dépressive instabilité nerveuse
o fébrile, migraineux, constipé, enrhumé rhino-pharyngites
o asthme
o appendicite
o rougeole, coqueluche

O.D.F.

squelette long,
voûte palatine ogivale,
visage dégageant beaucoup de charme
insuffisance respiratoire endognathies les plus prononcées
caries précoces = à la déminéralisation
abcès froids
lèvres sèches, craquelées s'enrhume facilement
couleur : bleu

Remèdes :

Calcarea phosphorera
Natrum muriaticum.
Tuberculinum.
Opium.
Pulsatilla.
Phosphorus.
Sulfur iodatum.

La SYCOSE

C'est l'imprégnation héréditaire ou acquise par les toxines qui agissent électivement en déprimant le système réticulo-endothélial de défense SRE.

néoformations avec excroissances


formations de tumeurs
nerveux, impatient : se précipite pour tout
désespéré
fuit, égoïste
manque de considération pour autrui
méfiant, susceptible
crie, proteste
confus dans ses propos
fantaisiste, pétulant
inconstant, volubile
capricieux, ambitieux
audacieux mais inquiet
instable sous tous les aspects
rhinopharyngites répétées, aggravées par l'humidité et pollution en générales.

O.D.F.

rapports squelettiques anormaux


proalvéolie, rétromandibulie
arcades étroites
caries précoces du collet
couleur : jaune.

Remèdes

Silicea.
Thuya.
Natrum sulfuricum.
Medorrhinum.
Le LUÉTISME

Avant de devenir manifeste ce miasme regroupe à l'intérieur de l'organisme toute la destruction que nous rencontrons tant dans les organes que dans le mental de l'individu qui sera sujet aux
ulcères.

o destruction des tissus de soutien ;


o déséquilibre nerveux ;
o aggravations nocturnes des signes ;
o instable ;
o tendances aux exostoses et déformations osseuses ;
o supporte mal le froid humide.

O.D.F.

prognathie mandibulaire
articulations hyperlaxes
croissance défectueuse
visage asymétrique, tout "en biais"
réactions imprévisibles, versatiles
dents petites, grises, implantées d'une manière fantaisiste
anarchaïque, vite cariées
mauvais émail
abcès dentaires, fistules
couleur : rouge.

Remèdes

Calcarea fluorica.
Mercurius.
Argentum nitricum.
Fluoric acidum.
Aurum.
Sepia.
Hepar sulfur.
Platina.

Homéopathie pour comprendre


Les homéopathes sont reconnus par l'ordre des médecins depuis 1997.
Les médicaments sont remboursés depuis 1967, sans qu'ils aient été obligés de prouver leur efficacité par l'agence du médicament. Ils ne représentent que 1,6% des dépenses remboursées par la SECU.
Pourtant leur prescription "ne contiennent plus rien" des molécules d'origine à partir desquelles les médicaments ont été élaborés.
Une bonne analyse critique est visible dans cette vidéo.
Pour bien se soigner, il vaut mieux comprendre comment ça marche !

 Le choix de substances et de leurs dilutions, incitatives à l'auto-guérison, correspond à l'art de la pratique de l'homéopathie au regard de l'anamnèse du patient.
 Le thérapeute met en œuvre la description des substances appelée matière médicale et une méthode de prescription complexe.
Cette page ne vise pas à définir l'homéopathie,
mais tente de mettre des mots et des schémas
simples sur les principes réactifs complexes
La vie est l'énergie Le principe actif homéopathique de l'homéopathie, souvent ignorés par le
vitale qui anime le est de nature physique.
corps. public parce que difficile à expliquer.
Le médicament contient une information
La matière est quantique. Elle ne constitue en aucun cas une information
énergie. suffisante pour la pratique de l'auto-
médication.

La contrainte est le meilleur moteur de la créativité.


C'est en manquant de quinine, pour soigner la fièvre jaune et le principe actif renaissant après une forte dilution, que le principe homéopathique a été découvert.

Principe dynamique de préparation du médicament homéopathique Principe énergétique


Les médicaments homéopathiques sont conditionnés avec différents excipients :
La diffusion de l'énergie dans le corps peut se définir selon les
lois de la physique vibratoire comme un mouvement
 en tube de granules ø 2 mm
 en tube dose de granules ø 1 mm
oscillatoire représenté par une courbe sinusoïdale caractérisée
 en flacon avec compte-gouttes par :
 en poudre de lactose appelée trituration
 en ampoule  une fréquence
 une amplitude

Homéostasie - traces de chronicité


Une maladie, une intoxication ou une
vaccination peuvent occasionner
Un complexe ou composé est une préparation de plusieurs substances diluées séparément puis mélangées. Ils sont présentés en une altération de l'onde de diffusion de l'énergie
 tube de granules
vitale.
 flacons référencés dans un catalogue de fabricant
 préparation magistrale définie par le thérapeute La courbe se déforme comme une carrosserie après un choc.

Vocabulaire

 La dilution est un procédé consistant à obtenir une solution finale de concentration inférieure à celle de départ.
 La succussion est la manœuvre qui consiste à secouer l'excipient et la substance Une onde de diffusion peut être altérée par
 La combinaison des 2 principes a été appelée la dynamisation (principe définit par Dr Hahnemann) plusieurs chocs successifs
A chaque réduction de déformation correspondra une évolution
Explication scientifique des symptômes.
Le plus connu des postulats E=mc² donne une équivalence entre masse et énergie. A savoir que lorsque la masse d’un système diminue,
ce système fournie une énergie équivalente à la perte de masse et inversement.
 le principe de l'homéostasie de l'organisme consiste en sa capacité
de
La dilution dynamique a pour effet d'exciter la molécule d'eau dans laquelle est faite la dilution, avec l'énergie du vide, avec son propre vide, puisque entre ses
o mettre en suspens le SI
éléments de nature quantique neutron-électron il n'y a que du vide. Ce vide se trouve configuré en domaines de cohérence signifiés au sein de champs
électromagnétiques. o faire réagir le SNS pour contrer les causes de
l'altération.
Or qu'est ce qu'un signal électrique ? Ce n'est ni plus ni moins pour un scientifique qu'une somme de sinusoïdes de transformées de FOURIER ; simplement o rétablir la diffusion énergétique normale par le SPS
pour l'obtenir, on doit sommer plusieurs fréquences monochromatiques.  c'est l'auto-guérison.
Dès lors qu'on comprend qu'à chaque état excité d'une molécule correspond une fréquence, alors on comprend qu'avec un spectre émis par une molécule d'eau
on a des milliards de niveaux d'énergie pour coder une fréquence, et qu'avec ce qu'on peut coder on puisse coder un signal aussi complexe que celui d'une  un choc violant peut occasionner une déformation laissant une trace
molécule d'ADN.
(voir travaux du Pr L. Montagnier) immuable (*) mémorisée dans l'onde de propagation énergétique
: c'est l'état de chronicité. Un dispositif physiologique est alors
Par les dilutions successives, on multiplie le nombre de domaines de cohérences, en apportant de plus en plus d'eau et de moins en moins de matière, sans installé inhibant le système immunitaire, fragilisé par une ou
perdre l'information spectrale de la matière. Le médicament homéopathique émet donc un spectre complexe de signaux à même de modifier des champs plusieurs diathèses appelées sensibilité de terrain.
électromagnétiques organisant le vide entre nos molécules, essentiellement des molécules d'eau puisque nous sommes fait à 99,1% d'eau.
 (*) L'information inscrite dans un médicament
Ainsi toutes les organisations moléculaires de tous nos tissus organiques sont concernées. Un seul médicament homéopathique est donc à même de traiter un
organisme tout entier. Les signaux correcteurs correspondent aux nombreux symptômes multi-systèmes correspondants à la matière médicale d'une seule homéopathique vise à provoquer une réaction
substance initiatrice du spectre signal. réparatrice de la part de l'organisme selon les règles
de similitude, de terrain et de constitution.
 Le principe de biorésonnance consiste à appliquer une
onde réparatrice de forme inverse à la trace perturbatrice.

État aigû - état chronique

Les remèdes homéopathiques ont 4 compétences :

 drainer les organes émonctoires pour favoriser


l'élimination des toxines, au fil des étapes de
rétablissement de l'énergie vitale.

 stimuler le principe d'auto-guérison (homéostasie) de


l'organisme, l'inciter à réagir plus rapidement et plus
efficacement surtout en cas d'état aigu
Élaboration du médicament homéopathique par succussion  effacer des traces mémorisées résiduelles anciennes,
événementielles ou héréditaires, altérant la diffusion de
Chaque substance est disponible en pharmacie en différents niveaux de dilution, obtenue par un principe dynamique de préparation l'énergie vitale en cas d'état chronique à l'origine de
du médicament homéopathique, opéré avec des bols vibrants pour l'imprégnation des granules et un agitateur pour les flacons. diathèses.

 équilibrer la constitution pour stabiliser l'état de


santé.

Posologie d'urgence
L'urgence concerne un état symptomatique aigü.
En général le thérapeute n'a guère le temps d'établir l'anamnèse du patient
pour le situer précisément dans son contexte évolutif de terrain et de
constitution.

 La prescription d'une basse dilution DH offre les meilleurs


avantages d'efficacité,
o l'information inscrite est faible et imprécise => son spectre
de similitude est large et son action superficielle, elle vise en
priorité les réactions éliminatoires de défense du moment
o son délai de réactivité est court (dans l'heure).
Une étape de dilution est opérée :
 La prescription devra prévoir une réduction et un
 soit à 1/10 appelée décimale D. Les dilutions successives produisent des basses dilutions (2DH à 10DH) espacement progressif sur une période de quelques heures
:
 soit à 1/100 appelée centésimale C. Les dilutions successives produisent
o des moyennes dilutions (4CH à 7CH)
o des hautes dilutions (9CH à 30CH).

Principe actif : > matière ... < information


Au fil des étapes de succussion jusqu'à ne plus trouver trace de la substance d'origine (9CH), la dilution est transformée en une "forme active plus élevée",
probablement une structure enregistrée sous forme électromagnétique :

 au fur et à mesure que la quantité de matière diminue,


 la précision d'une information mémorisée augmente graduellement dans le
médicament ainsi élaboré.

Planning de pososlogie en soin d'urgence


Cliquer sur l'image pour l'agrandir

 Son administration devra cesser dès que l'équilibre sera rétabli,


sous 2 à 4 jours.

Exemple de traitement d'urgence :


Maux de gorge
Complexe en gouttes 1 flacon
EUPATORIUM 4D
BELLADONNA 10D

 la stabilité thermique peut être rétablie en 12


heures, patient au lit, bouillotte dans les reins.
 éviter les éternuements ; si écoulement nasal, couvrir les
muqueuses nasales avec HOMÉOPLASMINE.
 l'étape suivante de l'état fébrile devrait être évitée.

Exemple de traitement d'urgence :


Maux de gorge
Complexe en gouttes 1 flacon
KALIUM BICH. 12DH
MERCURIUS CYANATUS 6DH
MERCURIUS SOLUBILIS 10DH
BELLADONNA 6DH
APIS MELIFICA 4DH
LACHESIS MUT 12DH

un drainage préliminaire pendant 2 heures des reins par SOLIDAGO


VIRGA 4D favorise une miction d'urine importante pour assurer un
meilleure élimination des toxines.

Posologie chronique
Durée

 Un traitement de fond d'un cas chronique, dont


l'énergie vitale est plus ou moins endommagée, peut
durer jusqu'à 2 ans.
 C'est une course d'étapes passant par plusieurs stades
cliniques.
 Chaque prise quotidienne consiste à provoquer un petit
contre-choc auto-réparateur de la part de l'organisme.

Posologie courante sur une durée de 2 mois:

 1 à 3x - 3 granules / jour
 1x - 10 gouttes / jour
 1 dose / 15 jours

Amélioration

 Des améliorations peuvent être obtenues rapidement mais


nécessitent généralement une préparation préliminaire.

 Exemple de traitement de fond :


o on peut obtenir la rédition de
symptômes articulaires de goutte ayant duré 6
mois après seulement 3 prises de 3 granules de
BERBERIS 7CH ; encore aura-t-il fallut passer
préalablement par une étape de préparation
(drainage) des reins pour faire face à une
élimination intensive d'urée. Un traitement du
terrain sycosique sera probablement nécessaire à la
stabilisation.

Aggravation

 L'apparition de nouveaux symptômes en cours de


traitement est la preuve que le processus d'élimination
est en cours ; elle est donc salutaire. Ils se résorbent
rapidement si le drainage a été bien préparé. C'est le
Les théories résumées sur cette page sont un condensé d'informations recueillies au fil de 40 années de recherche et de documentation. Les informations ont été

- majoritairement extraites de livres anciens et plus récents traitant de méthodes, de pratiques, d'études de cas en thérapie homéopathique. Si les sources ne sont pas cités ici c'est parce que les livres ont été prêtés mais jamais rendus, ou donnés définitivement
pour qu'ils servent aux thérapeutes en exercice.

- expérimentées dans la pratique, tant dans des situations d'extrême urgence que dans des cas d'évolutions morbides au pronostic vital engagé.

Allergies - Bien-être

Travail apaisant et calmant sur le méridien du Grand Réchauffeur. GR, avec ou sans allergie.

Allergies et médecine énergétique


Regardez bien le dessin:
Voilà une technique très puissante qui peut être utilisée pour réduire ses allergies.
En médecine énergétique, la croyance est que les allergies sont causées par le triple réchauffeur (méridien de fonctions
Les points
énergétiques d'acupuncture). Voilà donc une méthode pour calmer ce triple réchauffeur.
Vous remarquerez qu’il y a deux paires de points ( 1 et 2 ).
Ne tenez pas compte du nom des points (ex. E- 36).
Sur ce dessin, les points sont situés sur le bras droit et la jambe droite.

Côté droit - côté gauche


Ils sont aussi situés au même endroit sur le côté gauche.
Débutez en tenant les points de la paire 1. Ils sont situés à l’arrière du coude et en bas du genou.
Vous pouvez commencer par la paire du côté gauche ou du côté droit. Tenez ces points pendant au
moins 3 minutes.
Ensuite, tenez ceux de l’autre côté pendant un minimum de trois minutes.

Genoux et coude
Par exemple, vous commencez par tenir les deux points sur le genou droit et le coude droit. Après
environ 3 minutes, changez simplement de côté.
Vous tiendrez alors les même deux points sur le genou gauche et le coude gauche pendant trois
minutes.

Pied et main
Maintenant, faites la même chose avec la paire 2. Les points sont situés entre l’annulaire et
l’auriculaire et sur le petit orteil.
Tenez au moins trois minutes en tenant les deux points sur un côté du corps, ensuite sur l’autre côté.

Technique
Côté gauche
Si une personne peut vous aider, c’est elle qui tient les points. Vous n’avez alors qu’à vous relaxer.
La technique prend donc environ 12 minutes.
Apaisement
On peut très bien la faire en regardant la télévision.
Cette méthode est basée sur les points de sédation. (sédatif)
Une fois terminée, évaluez.
Si vous êtes sceptique, c’est une excellente chose car, la seule façon de savoir si une technique fonctionne pour vous... c’est de
Déterminez si c’est une technique qui vous donne des résultats intéressants ou non.
la tester.
En passant, puisque cette technique calme le triple réchauffeur, elle est aussi excellente pour
C’est une technique parfaite pour ceux et celles qui sont allergiques au pollen ou qui souffrent du rhume des foins.
apporter calme et bien-être.
L’idéal est d’avoir quelqu’un avec vous pour faire la technique, mais avec un peu de créativité et de flexibilité, vous pouvez la
faire sur vous-même.
Bonne pratique.

Évaluation
Avant de commencer, évaluez l’état de vos désagréments (nez qui coule, yeux qui piquent etc.) Comme cela, après avoir
effectué la technique, vous allez pouvoir évaluer si la technique vous a aidé ou non.

Méthodes diverses de prescription

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Méthodes diverses de prescription

Introduction :

Les principes fondamentaux de l’homéopathie : similitude, infinitésimalité et totalité ne


préjugent pas de leur application thérapeutique.

L’homéopathie est une médecine du cas individuel où le médecin par sa recherche des symptômes les plus
spécifiques de son malade va devoir

élaborer et justifier le ou les remèdes de sa prescription en se rapprochant au maximum de la similitude des


signes reconnus entre ceux du Remède

et de ceux du Malade.

La conception de l’ordonnance homéopathique va aussi reposer sur le médecin prescripteur lui-même et la


nature de sa formation.

En effet la doctrine homéopathique et la Matière Médicale homéopathique sont interprétées de façon différente
selon les diverses écoles homéopathiques

qui assurent la formation des médecins prescripteurs.

C’est ainsi que l’on peut dégager trois principales méthodes inégalement suivies :

I – La méthode uniciste :

Cette méthode consiste à ne prescrire qu’un seul remède à la fois, c’est à dire celui qui correspond le plus au
“simillimum ” du malade.

Elle fut longtemps la seule acceptée par Hahnemann, et c’est elle qui nécessite le plus de rigueur et le plus de
réflexions de la part du médecin homéopathe.

Les médecins “unicistes” sont les médecins qui appliquent le plus strictement la loi des semblables.

Cette méthode respecte le principe d’individualité, car elle recherche le remède le mieux adapté aux symptômes
exprimés par le malade.

Il en résulte que l’ordonnance homéopathique ne comporte qu’un seul et unique remède, souvent en dose-
globules, en dilutions croissantes

et en général à haute dynamisation.

Son administration sera donc poursuivie jusqu’à l’obtention de l’effet thérapeutique recherché.

Plusieurs écoles unicistes :

– la plus connue est celle de James Tyler Kent (1849-1916) médecin américain
adepte de l’unicisme,

qui a donné le nom ” kentisme “, variante influencée selon le Dr.Denis Demarque par ” l’illuminisme ”
d’ E. Swedenborg (1688-1772),

un scientifique, théologien philosophe, puis devenu mystique à la fin de sa vie.

On l’a appelé le ” Léonard de Vinci du nord ” .

Kent prône l’espacement de la prise du remède par exemple chaque mois ou plus, et il hiérarchise les
symptômes psychiques marquants

avant les symptômes généraux et locaux, mais avec une orientation théosophique.

Dans son ouvrage “ L’homéopathie, médecine de l’expérience ” p. 240/241 (1968) , le Dr. Denis Demarque
qualifie ” la Matière Médicale de Kent

d’une “exceptionnelle valeur clinique” et il juge d’une “remarquable objectivité” son monumental Répertoire
de 1423 pages de symptômes

soigneusement valorisés.

Il continue : “Ce qui ne va pas, c’est la transposition effectuée par Kent des idées d’Hahnemann en langage
swedenborgien.

L’illuminisme de Kent devait donner à l’homoeopathie dans le monde anglo-saxon une allure de secte
religieuse.”
Par rapport aux autres médecins homéopathes, l’unicisme en France est observé par une minorité de médecins.

Ces médecins unicistes sont souvent des élèves directs et indirects du Dr Pierre Schmidt de Genève, formé aux
Etats-unis par le Dr Austin,

un des élèves préférés de Kent.

En Grande Bretagne l’unicisme prédomine avec la prescription de hautes dynamisations.

Au sein de ce courant kentiste, on découvre d’autres tendances dont :

– la méthode uniciste appelée ” masiste ” de l’argentin Alfonso Masi Elizalde


(1932-2003) qui intègre une démarche quasi-religieuse

pour identifier le remède du malade. Ce médecin est lié déjà par son père au mouvement kentiste argentin de
Thomas Paschero avant de s’en affranchir

quelques années plus tard.

Il développe une relecture des textes d’Hahnemann en les éclairant de la philosophie scolastique de Saint
Thomas d’Aquin.

Pour recueillir d’autres informations sur cette méthode, se reporter entre autres aux sites :

www.ihjtkent.org.br
Grupo de Estudos “Masi Elizalde”

www.afadh.free.fr

– la méthode uniciste “Promisalone” signifiant ” PRescribing On MInd


Symptoms ALONE ” a été initiée par l’argentin Paschero

dans les années 1960 puis s’est développée ensuite surtout en Inde.

Ce courant homéopathique prescrit essentiellement sur les symptômes mentaux du malade pour définir son
remède.

D’autres courants existent aussi en Inde, comme la méthode du Dr. Rajan Sankaran, liée à une approche
homéopathique

de la “sensation vitale “.

La prescription uniciste est liée entièrement à la Matière Médicale pure et à la façon d’utiliser le Répertoire.

C’est une méthode difficile dans le choix des symptômes surtout psychiques qui peuvent être arbitraires et dans
celui des signes recueillis chez le malade.

Certains décrivent le courant uniciste comme “aristocratique” au sens étymologique c’est à dire ” autorité de
l’excellence ”

en raison de sa difficulté et de la rigueur nécessaire pour la pratiquer.

Exemple d’Ordonnance uniciste :

Un exemple d’ordonnance uniciste : Pulsatilla 15 CH une seule dose et le


médecin surveille l’effet produit pendant plusieurs

semaines avant de refaire une autre prescription.

Un autre exemple : Nux vomica 9 CH, 15 CH et 30 CH, soit trois doses chaque 12 heures et arrêt de tout
traitement ensuite, en attendant

d’observer l’effet thérapeutique recherché.

Au fil des consultations, le remède prescrit au départ peut être modifié selon le médecin et les symptômes du
patient.

L’ordonnance uniciste peut aussi contenir aussi la prescription de placebos.

II- La méthode complexiste

Cette méthode consiste à associer dans la même préparation plusieurs remèdes homéopathiques réunis dans le
même flacon.

Selon les divers symptômes du malade plusieurs formules peuvent ainsi être prescrites.

Les complexistes estiment qu’un seul remède ne peut pas résoudre la symptomatologie complexe de la
pathologie du patient.

Historiquement, ce courant ” complexiste ” vient du mouvement des ” Spécificiens ” groupe dissident de


médecins allemands

avec comme chef de file le Dr. Griesselich.

S’ils admettent la loi d’analogie et l’expérimentation sur l’homme sain d’Hahnemann, ils rejettent les hautes
dilutions et

minimisent l’individualisation du malade.

En Allemagne, le “complexisme ” s’est enrichi au 19 ème siècle avec J.G. Rademacher (1772-1849), un
contemporain de Hahnemann

influencé par Paracelse et qui a développé le “drainage” , puis avec W. Lux vers 1835 et son principe “ aequalia
aequalibus ”

avec sa pratique de l’isothérapie , et encore avec le biochimiste W.H. Schüssler (1821-1898) et ses douze sels
biochimiques.

Ce courant complexiste s’est propagé en Allemagne au 20 ème siècle avec le Dr.H.H. Reckeweg qui a développé
l’homotoxicologie vers 1955 .

Dans ce pays, le complexisme est dominant et les dilutions prescrites sont basses.

Elles s’échelonnent de la T.M. à la 3 CH et plutôt des 1 DH , 3 DH et 6 DH .

A la fin du 19 ème siècle et au début du 20 ème siècle, tout un mouvement complexiste s’est propagé à partir de
l’Italie

dans les principaux pays européens sous le nom d’ “électro-homéopathie” avec les ouvrages du Comte Mattéi,
des Drs. Ponzio, Finella…

Des formules spécifiques sont définies selon les indications thérapeutiques afin de simplifier la recherche du
remède.

En France, les complexistes sont souvent des médecins formés à l’enseignement du Dr Antoine Nebel (1870-
1954) de Lausanne,

adepte des remèdes de ” drainage des toxines” comme le Dr André Rouy (1893-1978).

Dans la méthode complexiste, l’individualisation du malade ne joue aucun rôle car c’est une simple association
de remèdes

d’action voisine formulées en fonction de leurs indications cliniques.

La prescription n’est pas faite en fonction de la pathogénésie.

Avec le développement moderne des spécialités homéopathiques, il s’agit d’ une méthode qui facilite l’accès du
patient

à l’automédication.

Tous ces courants homéopathiques liés au complexisme : Drainage, Sels de Schüssler et Homotoxicologie seront
traités
dans la rubrique ” Thérapeutiques voisines “.

L’ Electro-homéopathie sera traité dans la rubrique ” Thèmes originaux ” du site.

Exemple d’Ordonnance complexiste :

Les médecins homéopathes ” complexistes ” prescrivent des


formules polyvalentes composées.

Par exemple dans le cas d’un malade souffrant d’une insuffisance hépatique, l’ordonnance pourra
comporter la prescription

d’une formule de ce type :

Taraxacum dens leonis

Cynara scolymus

Fumaria officinalis aa 6 D.H q.s.p.1


flacon de 30 ml

Carduus marianus

Solidago virga aurea

III – La méthode pluraliste

C’est la méthode enseignée dans la plupart des écoles françaises d’homéopathie.

Elle a été initiée par le Dr Léon Vannier et continue d’influencer la plupart des médecins homéopathes
d’aujourd’hui dans leurs prescriptions.

Comme dans l’unicisme, la méthode pluraliste, qui est un ” pluralisme raisonné ” recherche le remède central,

ou le remède de fond le mieux adapté aux symptômes du malade, c’est à dire le “simillimum”, en rapport avec
la Matière Médicale Homéopathique.
La méthode pluralisme doit aussi au ” complexisme ” d’ajouter :

– des complémentaires pour couvrir les plus


importants symptômes du malade

– des draineurs pour favoriser les


éliminations donc faciliter l’action des remèdes principaux.

Exemple d’Ordonnance pluraliste :

Le médecin pourra être amené à prescrire :

– un ” biothérapique ” : c’est un médicament


de terrain obtenu à partir de produits d’origine microbienne.

Un biothérapique est prescrit souvent pour traiter un syndrome infectieux (exemples Anthracinum, Psorinum,
Pyrogenium…) .

Les ” biothérapiques ” seront développés dans la rubrique ” Le médicament homéopathique ” sous-rubrique ”


Les matières premières “.

– un remède constitutionnel : il correspond aux


descriptions établies par le Dr. Nebel puis reprises

par le Dr. Vannier pour le type de constitution Carbonique, Phosphorique et Fluorique.

Ainsi, pour le Carbonique, les remèdes constitutionnels sont : Calcarea carb., Baryta carb., Kali carb.,
Magnesia carb….

Pour le Fluorique, c’est Calcarea fluor.

Pour le Phosphorique, ce sont : Calcarea phos., Kali phos., Magnesia phos. et Phosphoricum acidum.

– un remède diathésique : il est défini selon le


patient par la Luèse, la Psore, ou la Sycose,

les trois diathèses décrites par Hahnemann.


Pour la Luèse, le remède diathésique est Mercurius, pour la Psore, c’est Sulfur et pour la Sycose, c’est Thuya.

– un draineur constitué de remèdes en basses


dilutions (3 DH ou 6 DH par exemple) destinés

à stimuler les fonctions d’élimination de l’organisme (hépatorénale, circulatoire, cutanée…).

Exemples de draineurs :

– draineur hépatique :

Carduus marianus

Cynara scolymus aa 6
DH q.s.p.1 flacon de 30 ml

Lappa major

– draineur circulatoire :

Aesculus hipp.

Hamamelis virg. aa 3
DH q.s.p.1 flacon de 30 ml

Paeonia off.

– draineur cutané :

Bellis perennis

Lappa major aa 3
DH q.s.p.1 flacon de 30 ml

Viola tricolor
– draineur rénal :

Buchu

Solidago aa 3
DH q.s.p.1 flacon de 30 ml

Uva ursi

Choix des dilutions :

La similitude l’emporte sur l’infinitésimal, mais la dilution donne plus de force et de


puissance au remède ” simillimum “.

Les règles suivantes sont habituellement observées:

– les basses dilutions (4 et 5 CH)


sont préconisées quand la similitude est faible

ou porte sur des symptômes locaux ou organiques,dans les maladies aiguës et le drainage.

– les dilutions moyennes (7 ou 9


CH) sont utilisées dans les cas fonctionnels.

– les dilutions hautes (15 et 30


CH) quand la similitude est forte,

dans les maladies chroniques et quand les signes mentaux et comportementaux sont importants.

Conclusion :

Le médecin homéopathe ne doit pas utiliser de “recettes thérapeutiques”.

Chaque malade est un cas spécifique à qui le médecin doit définir et adapter un traitement personnalisé.

Le médecin homéopathe doit façonner sa prescription en fonction de sa propre expérience médicale et de la


connaissance de toutes les facettes

de son patient.
La médecine est un Art qui ne doit pas être dominé par un Dogme.

Le but final du médecin homéopathe est de suivre le souhait d’Hahnemann : la guérison prompte, douce et
durable de son patient

mais avec toujours le respect de la loi d’analogie.

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