Sunteți pe pagina 1din 2

INTRODUCTION GENERAL

Dans les années 1970, à la site des choses pétroliers, nombre d’états arabes et
musulmans vont, de plus, se retrouver à devoir investir les « pétrodollars »,
inconvertibles en or. Devant l’urgence de la situation, de nouvelles institutions
bancaires sont créées, lesquelles exigeaient des assises théoriques qui se
fondent sur le droit musulman. Dans cette perspective, dès 1997, en Arabie
Saoudite, au KOWEÏT, aux Emirats Arabes Unis, en Egypte, dans les pays du
Maghreb se multiplient des colloques internationaux, où participent, dans une
même réflexion, universitaires, chercheurs, juristes, banquiers, etc.., afin de
dégagez les fondements de la « théorie de l’économie islamique » et, en
particulier la spécificité de nouvelles procédures bancaires, conforme à l’esprit
de l’Islam. 1

L’absence de taux-caractéristiques essentielle de- la finance islamique- ne suffit


cependant pas pour la résumer, même si c’est auteur de ce principe qu’elle
s’est organisée. La notion de partage de profits et de pertes, qui est à la base
de la rémunération du prêteur, en l’absence de taux d’intérêt, est tout aussi
importante.1

A coté des banques nous trouvons que les banques islamiques furent d’abord
crées dans certains pays d’Islam essentiellement ceux de Moyen-Orient, de
l’Egypte et d’Asie- où elles répondaient aux besoins de la clientèle locale. Elles
sont depuis été crées dans d’autres pays pour répondre aux besoins des
musulmans vivant en dehors de leurs pays. A l’autre coté et pendant le même
temps les banques conventionnelles tentent de sortir d’une crise due aux
dérives du système financier dont elles sont les acteurs essentiels.

Les banques islamiques se sont donc adaptées et continuent à développer de


nouveaux produits. En revanche, l’environnement de ces banques n’as pas suivi
le même rythme d’évolution, d’où les difficultés qu’elles peuvent rencontrer.
Pour que le système puisse se développer, les autorités de régulation, les
marchés financiers, les gouvernements, doivent désormais prendre en compte
ces nouveaux acteurs de la vie économique et financière internationale qui,
phénomène nouveau, fonctionnent sous une double contrainte : celle de la vie
des affaires et celle de la vie spirituelle.
On trouve que le système financier conventionnel peut être comparé à un
modèle d’actionnariat, car il vise à maximiser le profit des investisseurs, peu
importe à le désastre écologique, moral ou humain, auquel il peut conduire.
Au contraire, le système financier islamique est plus un modèle d’affaires axé
sur les parties prenantes car il est basé sur le respect des principes interdisant
les affaires immorales et les actions à l’encontre du bien-être d’une difficulté
financière d’autrui, la prise de risque et le spéculation sont interdits. Ce modèle
est de plus en plus recherché par les gens à travers le monde en raison de la
prise en charge de l’intérêt de la société.

Pour cela, et pour constituer une recherche complète on propose la


problématique suivante :

Alors est-ce-que la finance islamique peut-elle étendue au monde entier


comme un nouveau système financier ?

S-ar putea să vă placă și