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3. Ailettes de refroidissement
Pour éviter l’échauffement d’un appareil dû à l’effet Joule, on munit son boı̂tier d’ailettes de refroidissement
métalliques. Chaque ailette est parallélépipédique, de dimensions a = 2, 0 mm (épaisseur), b = 10 cm (largeur)
et c = 20 cm (longueur). On pourra admettre que a est négligeable devant b. En fonctionnement, le boı̂tier
de l’appareil M sera maintenu à la température TM = 60 ◦ C. L’air extérieur, qui circule, est de température
constante et uniforme TA = 20 ◦ C, sauf au voisinage immédiat de l’ailette, entourée d’une couche limite d’air
thermiquement peu conductrice dont la température reste localement voisine de celle de la surface de l’ailette.
Dans l’ailette, on admettra que le transfert thermique, de type conductif, est monodimensionnel dans la direction
de l’axe Ox. Il obéit à la loi de Fourier, la conductivité thermique étant λ = 16 W · m−1 · K−1 . On note T (x)
la température de l’ailette à l’abscisse x. Il existe aussi un transfert thermique de l’ailette vers l’air ambiant, à
travers la couche limite. Le flux thermique au niveau d’une surface dS de l’élément de l’ailette de longueur dx
est de la forme :
dP = h(T (x) − TA )dS
où h = 150SI est un coefficient uniforme et constant.
1. Expliquer la loi de Fourier et donner l’unité du coefficient h dans le système international.
2. Écrire le bilan des transferts d’énergie pour
r la tranche d’ailette comprise entre les abscisses x et x + dx,
λa
en régime permanent. On posera : L = et on donnera la valeur numérique de L ainsi que son unité.
2h
En déduire l’équation différentielle dont T (x) est la solution.
3. Résoudre cette équation différentielle pour déterminer l’expression de T (x). On vérifiera que L ≪ c et
on pourra considérer c comme infini pour simplifier.
4. Géothermie
La croûte continentale terrestre a une épaisseur l d’environ 35 km ; elle est équivalente à une couche homogène
de conductivité λ = 23 W · m−1 · K−1 . Au niveau du sol, la température est T2 = 273 K, et à la profondeur l,
elle vaut T1 = 873 K.
1. Calculer la puissance géothermique par unité de surface Jth issue de la croûte continentale.
2. Les éléments radioactifs de la croûte dissipent une puissance volumique σu = 3×10−3 W·m−3 . Déterminer
l’équation différentielle satisfaite par la température de la croûte.
′
3. En déduire la puissance géothermique par unité de surface, Jth , au niveau du sol, quand on tient compte
des éléments radioactifs. Conclure.
2 2
Réponses : Jth = λ T1 −T
l
2
= 0, 39 W·m−2 , ddxT2 = − σλu , T (x) = − σ2λ
ux
+[ T2 −T
l
1
+ σ2λ
ul ′
]x+T1 , Jth = λ T1 −T
l
2
+ σ2u l =
−2
52, 5 W · m , radioactivité prépondérante.
5. Dalle chauffante
Une dalle en béton, matériau de masse volumique ρ, de conductivité thermique λ, de capacité thermique massique
c et d’épaisseur H = 10 cm forme le sol d’une maison d’habitation. Sous cette dalle, sont placés des fils électriques
qui la rendent chauffante. La puissance caractérisant le chauffage électrique est supposée uniforme sur l’ensemble
de la dalle, elle est caractérisée par une puissance surfacique ϕ0 uniforme. La dalle ne perd pas d’énergie dans
le sol car elle a été réalisée au-dessus d’une couche de matériau isolant qui limite très fortement les transferts
thermiques dans le sol. Le chauffage de la maison passe par le phénomène de convection avec l’air situé au-dessus
du sol. On suppose que ce transfert thermique obéit à la loi de la convection de Newton qui indique que la
puissance transférée par la dalle à l’air par unité de surface est donnée par :
ϕd→a = h(T − Ta )
où T est la température de la face supérieure de la dalle, Ta la température de l’air de la pièce et h le coefficient
de convection. On prendra h = 10 W · m−2 · K−1 et λ = 1 W · m−1 · K−1 .
4. En déduire l’expression du taux de production d’entropie σS dans la barre, par unité de temps et par
unité de volume. Quelle serait la production d’entropie pour un tel système à l’équilibre ? Sachant que le
gradient de température le long de la barre est uniforme, calculer la production d’entropie aux extrémités.
Application numérique.
2
1 L
en K · W−1 avec A = πD d 1 dT
Réponses : Ru = λA 4 , δScr = −δStr , δScr = σS Adxdt, σS = −λ dx T dx ,
2
dT Ta −Tf d2 T λ Tf −Ta −1 −3 −1 −3
dx = L , dx2 = 0, σS = T 2 L , σS (x = 0) = 1, 46 W · K · m et σS (x = L) = 3, 96 W · K · m
7. Mammifère marin
Un mammifère marin est modélisé par une boule de rayon R et de centre O. À l’intérieur de son corps, il produit
une puissance thermique volumique ϕ0 . On suppose que la température de l’animal est uniforme, elle est notée
Tc . La sphère est placée dans un fluide (eau de mer) de conductivité thermique λ. Pour simplifier, on considérera
que le fluide est au repos et on négligera la convection. La température loin de la boule est T0 = 293 K. Le
vecteur densité de courant de transfert thermique est radial et s’écrit ~jth = jth (r)~er . On suppose que le régime
permanent est établi.
1. Rappeler la loi de Fourier de la conduction thermique et la commenter.
2. Quelle est l’unité de la conductivité thermique ?
3. Connaissez-vous des lois analogues à la loi de Fourier ?
4. Calculer le flux thermique φ dans le fluide en fonction de ϕ0 et R en régime permanent.
5. Calculer jth (R)
A
6. Montrer que pour r > R, jth (r) = avec A constante. Expliciter A.
r2
7. Déterminer l’équation vérifiée par T (r) dans le fluide.
8. Établir que pour r > R, la température est donnée par :
a
T (r) = T0 +
r
où on exprimera a.
9. Exprimer la température cutanée Tc de l’animal en fonction de ϕ0 , R, λ et T0 ;
10. On donne la conductivité thermique de l’eau de mer λ = 0, 6 SI, le rayon R = 25 cm. Calculer ϕ0 pour
Tc = 303 K. Pourquoi n’existe-t-il pas de petits mammifères marins ? Quelle est la principale critique que
vous feriez à ce modèle ?
Réponses : La loi de Fourier traduit les transferts thermiques des corps chauds avers les corps froids ~jth =
−−→ ~ = −γ −−→
−λgrad T = −λ dT er , λ est en W · m−1 · K−1 , la loi d’Ohm ~j = γ E
dr ~ grad V en électricité, φ = 34 πR3 ϕ0 ,
en régime permanent jth (r)4πr2 − jth (r + dr)4π(r + dr)2 = 0 d’où jth = rA2 , par continuité en r = R, on a
φ R3 dT R3 ϕ 0
jth (R) = 4πR2 et donc jth (r) = 3r 2 ϕ0 = −λ dr d’où T (r) = T0 + 3λr en utilisant T (r → ∞) = T0 , on a
2
Tc = T0 + R3λϕ0 , on en tire ϕ0 = (Tc −TR2
0 )3λ
= 288 W · m−3 , plus l’animal serait petit plus la puissance volumique
à fournir ϕ0 serait élevée, il manque la convection qui en réalité la principale cause de pertes thermiques.
2. On considère le régime permanent T (x). Montrer que l’équation différentielle vérifiée par T (x) est :
d2 T
= −KI 2 . Calculer K pour la barre de cuivre avec λ = 400 W · m−1 · K−1 , γ = 6 × 107 S · m−1 et
dx2
S = 2 mm2 . Déterminer T (x). À quelle condition la fonction T (x) passe-t-elle par un maximum entre
x = 0 et x = L ? On suppose que T2 − T1 = 100 K. Déterminer la valeur minimale I1 que doit posséder
l’intensité I pour qu’un maximum de température existe entre les extrémités du fil. La longueur est
L = 1 m.
3. On prend en compte maintenant l’effet Thomson et on se place en régime permanent dans la situation
où le courant I et les températures T1 et T2 satisfont les conditions I < I1 et T2 > T1 . Le courant
I circule dans le sens des températures croissantes. Trouver l’équation différentielle à laquelle obéit
la distribution de température T (x). Pour quelle valeur I2 de l’intensité I obtient-on un gradient de
dT T2 − T1
température uniforme = = Cte ? Pour le cuivre h = 2, 2 × 10−6 V · K−1 . Calculer I2 en
dx L
utilisant les données précédentes.
2 2 2 2 2
I ∂T ∂ T I d T I 1 −2
Réponses : dpJ = γS 2 Sdx, µc ∂t = λ ∂x2 + γS 2 , dx2 = − λγS 2 , K = λγS 2 = 10, 4 K · m · A−2 , T (x) =
q
2 2 2
I2
− KI 2
2 x +
T2 −T1
L + KI2 L + T1 , I1 = 2(TKL
2 −T1 )
2 = 4, 4 A, λ ddxT2 − hI dT γSh
S dx + γS 2 = 0, I2 = L (T2 − T1 ) = 26 mA.
t
T (x, t) = T0 + T1 cos(kx − ϕ) exp −
τ
Déterminer τ en fonction de k, A, µ, λ et c.
3. Exprimer les conditions aux limites du réacteur. En déduire ϕ et les valeurs possibles de k en faisant
apparaı̂tre un entier n.
4. En déduire la valeur minimale Lc de la longueur L du réacteur permettant une explosion.
∂2T µc
Réponses : µc ∂T ∂T
= 0 et ∂T
∂t = A(T − T0 ) + λ ∂x2 ; τ = λk−A ; ∂x = 0 imposent ϕ = 0 ou π et kL = nπ ;
qx=0 ∂x x=L
q
λ λ
il y aura explosion si τ < 0 et donc pour L > nπ A d’où Lc = π A avec A > 0 puisque la réaction est
exothermique.
|T (x, t) − T0 |
< 10−2
T0
Données numériques : L = 1 m ; R = 2 cm ; µ = 9000 kg · m−3 ; c = 400 J · kg−1 · K−1 ; λ = 400 W · m−1 · K−1 ;
T1 = 370 K et T0 = 300 K.
∂2T 1 ∂T −
Réponses : ∂x2 = a ∂t , T (x, t = 0 ) = T1 , θ(x = 0, t > 0) = θ(x = L, t > 0) = 0, θ(0 < x < L, t = 0) = T1 − T0 ,
df 1 d2 g 1 nπx nπ L2
dt f (t) = a dx2 g(x) = Cte = α, conditions aux limites imposent α < 0, gn (x) = Bn sin L , kn = L , τn = n2 π 2 a ,
nπ 2(T1 −T0 ) R L 2(T1 −T0 )
θ(x, t = 0) = ∞ sin nπx
P
n=1 Bn sin L x = T1 − T0 , Bn = L 0 L dx, Bn = nπ (1 − cos nπ), θ(x, t) =
2 2 2 2
1 (2n+1)πx (2n+1) π at
, rn = 2n+1 exp L2 (1 − (2n + 1) ), r1 = 31 exp − 8aπ
1 taπ 2
P∞
4(T1 − T0 ) n=0 (2n+1)π sin L exp − L2 L2 t,
L2 4 T1 −T0 2
t1 ≃ 2 8aπ 2 = 230 s, π T0 exp − πL2a t2 d’où t2 = 2, 3 h.
C. Diffusion de matière
12. Diffusion de neutrons dans une tige
On étudie la diffusion des neutrons dans un matériau homogène qui vérifie la loi de Fick :
~j = −D−−→
grad n
où ~j est le vecteur densité de flux de neutrons en s−1 · m−2 , n le nombre de neutrons par unité de volume et
D une constante positive. La diffusion se fait parallèlement à l’axe Ox. Les grandeurs n et ~j ne dépendent que
de x et du temps t.
1. Indiquer les unités de n et de D. Interpréter le signe − dans la loi de Fick.
2. On suppose dans un premier temps que le matériau est une tige de section constante S, de longueur L,
dans laquelle il ne se produit aucune absorption ou création de neutrons. Faire un bilan des particules
entre x et x + dx et établir l’équation différentielle vérifiée par n.
3. En régime permanent, en notant n0 et nL les valeurs de n en x = 0 et x = L, exprimer n et j en fonction
de x.
On considère maintenant que le matériau qui constitue la tige peut absorber des neutrons et en produire
par des réactions de fissions. Le nombre δ 2 Na de neutrons absorbés dans un volume dV pendant un
n
intervalle de temps dt est donnée par : δ 2 Na = dV dt où τ est une constante positive. Le nombre δ 2 Np
τ
de neutrons produits dans le même volume élémentaire dV pendant dt est donné par δ 2 Np = kδ 2 Na où
k est une constante positive.
4. En faisant un bilan de particules dans un volume de section S compris entre x et x + dx, montrer que n
vérifie l’équation différentielle suivante :
∂n ∂2n n
= D 2 + (k − 1)
∂t ∂x τ
5. Quelle équation différentielle vérifie la densité de neutrons n en régime permanent ? On suppose cette
condition réalisée dans toute la suite.
6. On suppose dans un premier temps qu’il ne se produit pas de réactions de fission dans le matériau. De
plus, on suppose que la tige a une longueur suffisamment importante pour la considérer comme infinie.
Un flux de neutrons est imposé en x = 0, de densité ~j = j0~ex avec j0 > 0. À l’extrémité de la tige,
on supposera que la densité de neutrons est nulle. Établir l’expression de n. Déterminer la distance δ à
partir de laquelle
√ la densité de neutrons est égale
√ à 1% de sa valeur en x = 0. Évaluer cette distance pour
de l’eau ( Dτ = 3 × 10−2 SI et du carbone ( Dτ = 0, 8 SI). Quel est le matériau le plus efficace pour
absorber les neutrons ?
7. On suppose maintenant que le matériau produit des neutrons par fissions et que la quantité de neutrons
produits est supérieure à celle des neutrons absorbés. La tige a une longueur finie L. La densité de
neutrons est supposée nulle aux deux extrémités de la tige et uniquement en ces deux positions. On note
n0 la valeur maximale de la densité de neutrons à l’intérieur de la tige. Exprimer n en fonction de n0 , k,
D, τ et x et montrer que cette solution n’est envisageable que si la longueur de la tige prend une valeur
LC qu’on exprimera en fonction de k, D et τ .
Réponses : n en m−3 et D en m2 · s−1 , − car diffusion des zones les plus concentrées vers les moins concentrées,
∂2n nL −n0
j(x, t)S − j(x + dx, t)S = ∂n 1 ∂n
∂t Sdx, ∂x2 = D ∂t , n(x) = n0 + L x, j = D n0 −n
L
L
, j(x, t)S − j(x + dx, t)S +
2 2
kn n ∂n ∂n ∂ n n d n k−1
pτ
√x
τ Sdx − τ Sdx = ∂t Sdx d’où ∂t = D ∂x2 + (k − 1) τ , dx2 + Dτ n = 0, k = 0, n(x) = j0 D exp − Dτ ,
√ q
δ = 2 Dτ ln 10, δeau = 0, 80 m et δcarbone = 4, 12 m l’eau est plus efficace, k > 1 d’où n(x) = n0 sin k−1 Dτ x,
q q
Dτ Dτ
L = pπ k−1 avec n ∈ N, Lc = π k−1 .
D. Soleil - Terre
13. Dilution du rayonnement solaire
La Terre et le Soleil sont considérés comme des corps noirs aux températures respectives de 300 K et 5800 K.
Leurs rayons sont de 6 400 km et 700 000 km et ils sont distants de 150 millions de kilomètres.
1. Calculer les puissances rayonnées par la Terre et le Soleil.
2. Calculer l’angle solide Ω sous lequel la Terre est vue depuis le Soleil. Le rayonnement du Soleil étant
supposé isotrope, en déduire la puissance reçue par la Terre due au rayonnement solaire. Conclure.
πR2T
Réponses : 7, 5 × 1016 W et 4 × 1026 W ; Ω = d2 , 2 × 1017 W, situation de quasi équilibre (imprécision des
calculs).
2. Le maximum de l’émission solaire en fonction de la longueur d’onde est obtenu pour λmax = 0, 474 µm.
Cette valeur est-elle cohérente avec la valeur de TS que l’on vient de calculer pour pouvoir assimiler
l’émission à celle du corps noir ?
3. L’albédo d’une surface est le rapport du flux qu’elle diffuse sans l’absorber au flux qu’elle reçoit. L’albédo
A de l’ensemble Terre-Atmosphère pour le rayonnement solaire est évalué à 0, 34. On considérera que
l’atmosphère terrestre est pratiquement transparente au rayonnement solaire. Calculer le flux surfacique
moyen ϕe du rayonnement émis par le sol en supposant l’équilibre radiatif au sol. On négligera dans
cette question toute absorption par l’atmosphère du rayonnement émis par le sol de même que tout
rayonnement propre de l’atmosphère. On exprimera ϕe en fonction de u. On assimile le rayonnement du
sol à celui d’un corps noir de température TP . Calculer TP . Comparer à T0 . Commenter.
4. On tient compte maintenant du rayonnement de l’atmosphère. On admet que seulement une fraction α
du rayonnement IR émis par le sol (de température T0 ) peut traverser la totalité de l’atmosphère. En
outre, l’atmosphère rayonne un flux surfacique moyen ϕ1 au niveau du sol et dirigé vers le sol. Enfin, les
couches atmosphériques les plus élevées ont un rayonnement propre vers l’extérieur du système Terre-
Atmosphère correspondant à un flux surfacique moyen ϕr 6= ϕ1 . On donne α = 0, 25. Représenter sur un
schéma, les flux évoqués. Calculer ϕe , ϕr et ϕ1 en fonction de u.
5. En fait le bilan purement radiatif précédent ne tient pas compte de divers phénomènes qui participent au
bilan thermique de l’atmosphère. Ainsi, l’eau s’évapore à la surface du sol et se recondense dans l’atmo-
sphère. La hauteur moyenne des précipitations annuelles est de l’ordre de 2 mètres d’eau. Évaluer l’ordre
de grandeur de la puissance surfacique moyenne PS transférée de cette façon de la Terre à l’Atmosphère.
Conclure. On donne l’enthalpie massique de vaporisation de l’eau : ∆Hvap = 2250 kJ · kg−1 .
RS 2 πR2 E0
Réponses : E0 = σTS4
D , TS = 5730 K, u = E0 4πRT2 = 4 = 338 W · m−2 , λm T = 2895 µm · K d’où
T
T = 6110 K écart de 7%, sans effet de serre (1 − A)u = σTP4 et TP = 250 K, effet de serre avec équilibre sommet
4
atmosphère u = Au+ϕr +αϕe et équilibre au sol (1−A)u+ϕ1 = ϕe , ϕe = u(1−A) TTP0 = 1, 15u, ϕr = 0, 37u,
Eeau
ϕ1 = 0, 49u, Eeau = m∆Hvap , PS = ∆t = 137 W · m−2 , PS = 0, 42u.
2
Réponses : Image de rayon r = RS ′
d f ≃ 0, 023 cm ; E0 ρr2 = 1, 9 × 106 W · m−2 ; T ≃ 2400 K, oui.