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in 2010 with funding from
University of Ottawa
http://www.archive.org/details/traitdharmonie01gils
Çô*
Paul Gilson
Traité d'Harmonie
en trois Volumes.
—^—
1Volum
er
e.
jière
Accords consonants.
p artie: Accords parfaits.
2 ième * Renversements, ornements mélodiques.
3 ième „ Modulations.
4Ume „ Suspensions (Prolongations).
5 ième „ Altérations (Altérations et suspensions combinées).
ième
2 Volume. Accords dissonants.
6 ième Partie: Accord de Septième Dominante.
7 ième „ Accord de Neuvième Dominante.
gième ^ Accords de Septièmes Secondaires et Pro-
gressions.
9 ième „ Septièmes et Neuvièmes Altérées.
IQième ^ Prolongations dans les Septièmes et Neuvièmes.
ième
ll „ Pédale.
gième
volume. Pratique.
12 ième Partie: Plastique de la mélodie. Polyphonie.
13 ième „ Esthétique de la modulation. Esthétique de
e*
sUe d '°% l'harmonisation.
|
,
* Supplément.
Wiothèques
„ Modes anciens. Modes pentaphones.
„ Modes orientaux.
Accords de 11 et de 13 sons. Atonalité et
polytonie.
Index analytique.
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Propriété des Editeurs.
Tous droits de reproduction, d'exécution, d'arrangements et de représentation réservés.
AU rights of reproduction, arrangements, représentation and public performance reserved.
fille Vervielfaltigungs-, Arrangements- und fluffûhrungsrechte vorbehalten.
Bruxelles, A. Cranz.
Leipzig, Aug. Cranz, London, Cranz & Co.
Cm b.H.
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Paul Gilson
Traité d'Harmonie
en trois Volumes.
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1 Volum e. Accords
jière
consonants.
p arti e: Accords parfaits.
2 ième „ Renversements, ornements mélodiques.
3ième „ Modulations.
4ième „ Suspensions (Prolongations).
5 ,ème „ Altérations (Altérations et suspensions combinées).
ième
2 Volume. Accords dissonants.
gième
p ar ti e: Accord de Septième Dominante.
7 ième „ Accord de Neuvième Dominante.
gième
h Accords de Septièmes Secondaires et Pro-
gressions.
9 ième „ Septièmes et Neuvièmes Altérées.
IQième ^ Prolongations dans les Septièmes et Neuvièmes.
ième
ll „ Pédale.
Bruxelles, A. Cranz.
Leipzig, Aug. Cranz, London, Cranz & Co.
Q.m.b.H.
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Avant-propos.
diatonique, comme c'est la tradition. La raison qui m'a fait présenter les
choses de cette façon, c'est qu'un travail trop confiné dans le diatonisme
ne développe pas suffisamment le sens harmonique: il importe donc d'étendre
le plus tôt possible au chromatisme le champ des expériences. Le manie-
ment des renversements présente des difficultés d'ordre plutôt contrapontique;
(marche de voix, relations d'intervalles). Il n'y a pas d'inconvénient à
différer quelque peu cette étude, forcément minutieuse, au profit de l'examen
des jeux de tonalité.
Un traité d'harmonie tiendrait en peu de pages si on se bornait à
énoncer quelques règles générales d'enchainement, qui indiquent des marches
de voix et non la valeur tonale des accords, — ce que l'élève, s'il a de
la sagacité, devra trouver par lui-même ... Ce n'est pas là le vrai traité
d'harmonie.
La valeur tonale des accords consiste en ceci: un accord quelconque
n'a de valeur que par ce qui l'entoure. L'agrégation ut ml—sol est —
facilement comprise en UT, en SOL, en FA Majeurs; elle l'est moins en
SOL mineur. En JlZMajeur, elle paraît surprenante (relativement bien
entendu, car on ne s'étonne plus guère, actuellement, des rencontres tonales
les plus inattendues; seulement, on se borne à les subir, sans chercher à
les En résumé, la valeur tonale n'est autre chose que les
analyser).
relations qui existent entre la tonique et les accords des autres
degrés, diatoniques et chromatiques; la partie contrapontique de l'Harmonie
consiste à indiquer les meilleures marches dont on peut user pour établir
ces relations.
C. 43939
6
Depuis Zarlino (1517 — 1590) qui fut le précurseur, les travaux de quelques
spécialistes (assez clairsemés si l'on fait abstraction des compilateurs), ont projeté
maintes lueurs dans le dédale obscur des théories harmoniques, qui ne sont finale-
ment que de nos jours. Zarlino était élève d'A. Willaert (1480 1562) un
éclairées —
Néerlandais fixé a Venise où il fonda une «Ecole» dont le renom fut immense.
Dans les théories de Zarlino, se trouve un germe d'explication du phénomène de
la dualité des modes (le mode Majeur est montant, le mode mineur descendant;
l'accord Majeur se forme de bas en haut, le mineur de haut en bas). A cette con-
ception se rattachèrent Fr. Salinas (1513 —
1590), Le P. Mersenne (1588—1648; c'était un
compilateur non sans mérite), Jos. Sauveur (1513 — 1590 mathématicien), enfin, J. Ph.
Rameau (1683—1764) à qui revient l'honneur d'être le fondateur de l'Harmonie
proprement dite, (le premier, il découvrit le centre harmonique, c'est-à-dire la
parenté harmonies et leur enchaînement naturel: Rameau avait adopté tout
des
d'abord, pour la formation des accords tant majeurs que mineurs, les tierces super-
posées. Plus tard —
1737 — il se rallia au dualisme de Zarlino).
Les théoriciens qui suivirent se basèrent les uns sur l'échelonnement par tierces
et les rapports mathématiques (pour la formation des gammes), les autres sur le
dualisme Zarlinien: Mattheson (1681 — 1764; il contribua à simplifier, à «clarifier» les
idées encore un peu troubles à son époque, sur le système musical, par l'élimination
de maintes théories inutiles ou périmées;) Tartini (1692 1770, dualiste), Vogler —
(1696—1765; élève de J.S.Bach et professeur de Weber, (l'auteur du Freischutz)
et de Meyerbeer); Vallotti (1697 —
1780, maître du précédent; il admit également
le dualisme selon Tartini et Zarlino et cherche à expliquer la gamme par la série
des harmoniques suraiguës 24, 27, 30, 32, 36, 40, 45, 48, ce qu'avait déjà tenté
d'établir le théoricien Fogliano, en 1539); Marpurg (1718—1795; il se rattache vers
1746 à la théorie de Rameau); Kirnberger (1721—1783; un élève de J. S. Bach;
pédagogue qui eut une grande notoriété;) Albrechtsberger (1736 1809; qui fut le —
maître de Beethoven); Koch (1749—1816; il peut être opposé, selon Riemann, à
son contemporain Kirnberger; il aurait même été plus éclairé que ce dernier);
Salieri (1750—1825; fut plutôt pédagogue que théoricien); Knecht (1752—1817;
rival de Vogler; il poussait la superposition des tierces jusqu'aux accords de ll m e
et de 13 me théorie qui a été reprise par Durutte et F. A. Gevaert;) l'enseignement
,
C. 43939
fut très grande à Paris, — de là elle rayonna dans le reste de la France et en
Belgique, où les procédés de R. sont encore en honneur, encore que le nom de
leur protagoniste soit presque entièrement oublié .); Choron (1772 1834; auteur . . —
d'un grand de composition); G. AVeber (1779 1839; écrivit une méthode
traité —
compilative d'après les écrits de Kirnberger, Marpurg, Vogler et Knecht); Fétis
(1789—1871). A Fétis revient le mérite très grand d'avoir le premier démontré que
les progressions harmoniques ne sont pas régies par la tonalité mais bien par la
symétrie mélodique); Hauptmann (1792—1869; élève de Spohr). Il reprit la théorie
du dualisme des modes, qui était tombée plus ou moins dans l'oubli. A. B. Marx
(1795—1866; dont le traité de composition garde encore aujourd'hui de la valeur);
Lobe (1797 1881 — son traité de composition autodidacte est encore très estimé,
;
malgré quelques erreurs dont celle, très grave, de l'élaboration des phrases par le
—
motif-mesure); Barbereau (1799 1879; élève de Reicha; il base sa théorie sur
l'échelle des quintes et son traité d'harmonie est de réelle valeur); C. Durutte
(1809—1881 sa «Technie harmonique» est conçue sinon d'après Knecht, du moins
;
C. 43939
amplifia aux dernières limites, trouva encore un formulaire [T. D. S. etc.] qui est
décisif; R. perfectionna aussi ladu phrasé de Momigny). Le chapitre
théorie
consacré à l'harmonie dans le tome I, du traité de composition de V. d'Indy, donne
un résumé très concis de la théorie riemanienne. L' «Harmonie ultra-moderne» de
M. Villermin semble apporter quelques procédés nouveaux, demandant, certes, une
partie théorique moins succinte. La méthode de E. Jaques Dalcroze, très spéciale
doit être mentionnée avec déférence.
On pourrait ajouter à cette liste de noms et d'ouvrages (très longue quant
au nombre, très courte si on la résume aux novateurs), les études de Beethoven et
celles de Mozart, qui sont des documents non sans intérêt; et les recueils d'exercices
pratiques de A. Samuel, J h Dupont, Van Avermaete, Ed. Samuel, Chérubini (pu-
-
Paul Gilson
(1919)
—
Introduction.
Tout d'abord, l'élève doit bien se persuader qu'il est pour lui de
nécessité primordiale de lire couramment les clés de Sol et de Fa
usuelles.
Il devra également être familiarisé avec les tonalités (armures,
gammes) et les intervalles. Je rappellerai que ceux-ci, classés en
diatoniques et chromatiques se résument, au fond, à la seconde, à
la tierce et à la quarte, majeures ou mineures, montantes ou descen-
dantes.
Tous les autres intervalles sont, de ceux-là, des renversements
ou des amplifications (transports au-delà de l'octave:) la 6 te est
le renversement de la tierce, la 10
me en est l'amplification; la 5 te
est le renversement de la 4 te la ll me en est l'amplification, en-
,
Chromatique.
En Ut.
33:
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^ montante
3H -e 9-&
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descendante
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la mineur
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b) -e-
-j^o cord
Majeur
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etc.
9^ •Accord
C. 43939»
vz
Méthode de travail.
L'élève travaillera régulièrement, pas trop à la fois. Une heure
de travail journalier profitera bien plus que sept heures d'étude
consécutives fournies en un seul jour par semaine. L'on procédera
à de fréquentes récapitulations. L'on prendra l'habitude de tenir
ses cahiers de travail propres et en ordre, afin que, plus tard,
l'on puisse s'y retrouver. .. Enfin, l'harmonie étant avant tout
une culture du sens auditif personne ne devrait se dispenser de
jouer au clavier les exercices réalisés; de la sorte, l'on arri-
vera assez rapidement à entendre en soi les harmonies que
l'on lit.
C.43939a
13
PREMIERE PARTIE.
Notions préliminaires.
Les voix humaines se classent en deux catégories: aiguës et gra-
ves.*' Le soprano, ou voix aiguë de femme a son correspondant chez
1
Ex. 19.
_o_
-e- 33:
Sopraw XE -e-
o 33_ * ^ S S:
Ténor. » . « ' °-
g
Basse. s/•
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nu
I 35:
"O"
-&-
33.
m -&- 33:
3X -&- 3H
*) Nous ne tiendrons pas compte, pour le moment, des voix moyennes, suraig-uës et
sous-graves.
**) Je simplifie à l'extrême ces notions. La réalité est infiniment plus compliquée,
mais sans intérêt pour le commençant qui, plus tard, pourra consulter les ouvrages
spéciaux qui traitent de ces technies perdues.
C. 43939*
14
Les
nies du
Ex. 22. en UT
^
juste;) nous ne tiendrons momentanément pas compte de ce dernier, situé
sur la note sensible. ^
mineurs,
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C. 43939»
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15
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b)
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(accord
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Accord de Dominante
Accord de SOL.
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serrées serrées
3 me
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c) » k) l „
ere
f) l position dispositions n)q) l ère position dispositions
g) 2 me » larges o) 2 me » larges
h) 3 me » (espacées) p) 3 me » (espacées)
C. 43939»
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16
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Basse. o o o o
Accord de Sous-Dominante (IV)
Accord de FA.
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0.43939»
17
N.B. 1 2 et
,
3
Accords peu lisibles, vu la multiplicité de lignes
.
L'on voit que la l ere position est celle qui a la prime redoublée
au soprano; la 2 me position a la tierce au soprano; la 3 me position
a la quinte au soprano.
Les dispositions a), b), c), d), e), i), j), k), 1), m), r), s), t), sont serrées;
les dispositions f), g), h), n), o), p), q), u), v),w), x),y), z), aa), sont espacées,
(larges). Dans ces dernières, on évite de dépasser la sixte entre les
voix supérieures (soprano, alto et le ténor). L'intervalle entre le
ténor et la basse n'a pas de limite arrêtée.
Les intervalles entre les 3 voix supérieures se répartissent
par conséquent de cette façon:
Ex. 29a),>/ l û 3*°l
m nT** 6-
Dispositions serrées.
^v ^-ke-
^=& 3ÎÎ
% 3ce
m IDC 3Œ1
jce
«t* £1 s+^
Dispositions larges
&W ou
1ÊÎ
ou
un jOl
Ma Ay
desc< "y ° « .
(ces douze marches sont les seules utilisées dans le maniement des
accords de 3 sons.) (L'intervalle de 7 me et ceux dépassant l'8 ve sont provi-
soirement écartés) C. 43939a
18
I &
XE
XT ^ g
:§:
b) c)
S d)
^= xfc
XE XE 3E 3T XE XE
XT
a) Marche de quinte [directe] (montante).
b) » » contrequinte (descendante).
c) >> » tierce [directe] (montante).
d) » » contretierce (descendante).
Ex. 32a) b)
E!n ^tyF- XE
* XE En £W o-
# XE
J3L
-©-
ajeur 33E
Maj
^ Majeur XIT
XT
XKJ TE
I V I I V I
L'on remarquera que si la basse, (la partie grave) saute aux fon-
damentales en franchissant forcément des intervalles assez grands
a) quarte descendante - quarte montante
b) quinte montante - quinte descendante
par contre, les autres voix (Soprano - Alto - Ténor) procèdent par
mouvements conjoints: (même direction)
ere
l voix (Soprano): do - si - do.*^
2 me voix (Alto) : sol - sol - sol.
0.43939*
19
Ex. 33a) , N
3X ^ 33:
* =§F * *
ce qui était prohibé dans la pratique musicale classique. (Dans
l'exemple b) la basse redouble, en octaves, la partie supérieure,
ce qui en fait réduit la suite en accords de 3 voix). Voici quelques
éclaircissements à sujet.
La polyphonie vocale est basée non seulement sur les harmonies qui forment
le fond de toute composition musicale, *)mais encore sur le mouvement des voix, c'est-
à-dire: la façon dont la voix part, d'une note (harmonique) pour aboutir à la note
qui lui échoit dans l'accord suivant, et les relations qui s'établissent ainsi entre ces
mouvements.
On distingue trois mouvements: le direct (ou semblable), l'oblique et le contraire
(inverse).
Le direct est celui que prennent deux (ou plusieurs) voix montant simultanément
ou descendant simultanément,
Ex. 34a)
(direct)
L'oblique désigne le mouvement s'effectuant dans une seule voix, l'autre restant
sur une note soutenue,
b)
(oblique)
L' inverse, ou contraire, a lieu lorsque de deux voix l'une descend pendant que
l'autre monte,
c)
_i
(inverse)
$ F
1
r u '
p r =1
Les anciennes règles du contrepoint**) admettent tout intervalle de consonance
parfaite pris par mouvement contraire. (Les intervalles consonants parfaits sont:
*) L'inverse peut-être parfois vrai aussi, mais par exception. C'est ce qui ressort clai-
rement de l'analyse sérieuse des meilleures oeuvres musicales écrites depuis Palestrina
jusqu'à nos j ours en passant par J. S. Bach, Mozart, Beethoven, etc.
;
**) Le contrepoint est l'ensemble des règles, (les procédés) les plus propres à réaliser
la polyphonie vocale ou instrumentale.
C. 43939»
20
-çie-
ÎF
m 3*«-
L'octave ne peut s'attaquer que par mouvement direct que lorsque l'une des deux
voix ne franchit qu'un intervalle de seconde mineure:
EX 6a
2 ae
'?d L
e min.
b) C)2de mil , d)
3E XE XE XE
I XE -©-
2 de min.
XE
2 de min.
et, depuis le XVIII me siècle, les sauts internes vers l'octave sont d'un usage courant:
rM-i j a a- 1 =«=*
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^ EH £=* ^ r r~ f=f-f
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C)
A
3=ï
g^ g? f-
? 'il" if r
j
t-
La quinte non plus ne peut s'attaquer par mouvement semblable, excepté lors-
qu'elle est préparée, (entendue— ou sous-entendue— dans l'accord précédent)
,Ex.38a)
iv r.^ P
o
fy l-i
tt
' il—;.
zz tr
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gs^P xr
p ^l'i^ Xf ZIjJ** ^Xf
I V T V I V IV I IV I IV I
C. 43939a
i ^
:i
Ex. 39a)
i
^^^
-
XE
=
^?o-JE^gg
O^
Ces 9 successions sont correctes, la
quinte du 2 me accord étant préparée (en-
(te -&-^- tendue dans le 1 er accord).
/:;
v v n v n
(IVr) (IVr)
Actuellement, on est plus large, ainsi qu'en témoignent les spécimens suivants,
déjà en usage au XVHI me siècle, (le plus souvent par mouvement inverse, il est vrai).
Ex.40./\a) ,J b) J 4 rtc) À d)
«F :^£ êZZ
£22
snr — :~ *•©
UT rr IV I UT V UT TV I
S0Z IV I FA SOL IV I FA
J. S. Bach. Chorals.
e)J
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J,
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ll tt J
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g> 4 h),
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J.
Lir'r
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tir' r n.b.; P
p
"CP r
N.B. Voir accord de V
5
s
Tempo di minuetto.
* * 1 iJ
II (Op.U) Ballade.
* M *
*)Compositeur finlandais
né en 1865.
i i, i
m — , ^w _ — m — .
Quant aux quintes (et quartes) dites de Cors, ou trompettes, elles ont été pratiquées
de tout temps, étant une des caractérisques des duos exécutés par ces instruments.
Ex. 41a)
qui se résume en un accord parfait dont la partie supérieure est trillée, en combinai-
<-
son avec une„batterie des fonctions de prime et de tierce.
Il n'est peut-être pas inutile de signaler en passant que les répétitions suivantes
ne constituent pas des quintes parallèles, pas plus que dans les ex. 41.
Ex. 42. a a) (!) C)
zs
-2: s^
77
En a), il n'y a pas deux quintes qui se suivent mais répétition de la même quinte.
En b) et c), ily a seulement répétition à l'octave.
Au reste, je renvoie ceux qui voudraient approfondir la question, à mon étude
Quintes et Octaves publiée dans le Diapason (Bruxelles 1912).
S s XE XE XE XE
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& & & Ê •e-
-©-
xr » XT
m 3Z XE XE
XE
m: m XE
m XE
XE
XE
I V I I V I I V I I V I
C. 43939*
23
Dispositions serrées.
Schémas: a) 1 7 1 b) 3 2 3 c) 5. 5. „5
Ex. 44.
3^"a
*I V
5 5 Jh
3
I
1
5,
I
7
5
V
— 1
5
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I
3
1
1
2
7
V
3
1
1
*) fondamentale des accords
S s
I ^ ^
XE XE
xr ^
a) **) b) *) c)
^ -O-
tF
*>
^
2n SE
m TTT-
xi
.>» XE =SC
^rTf
TxTT JE
I I V I I V~
**) au choix
Dispositions larges.
d) 1 7 1 e) 3 2 3 f) 5. 5^ 5
'7
3 2 3 5 1 1
5 5 5 1 7 1 3 2 3
*I V^"l I V I I V I
•^fondamentale des accords
XE XE XE XE
XE XE XE
XT
d)
o
e) «0
^S rt ^
4 y TVTT XE XE
XE XE XE XE XE XE
»-
I V I I V I I V I
**)au choix
XE
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g) mouv-t au choix
S s
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h; N.B.
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i) N.B.
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m ^ TxTT
XE XE JrVI XE Si :âXE XE XE
I V I V I I V I I V I
c. 43939a
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ere partie: k)i 7 3 1) 5 2 5 m) 5 5 Sva g n)5 3 5
2 me » 5 5 5 3 5 3 5 7 5 2 1 2
3 me v 3 2 1 1 7 1 3 2 3 7 5 7
4me „
*)
n V I I
fondamentale des accords
V I I V I V I V
I— k)
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N.B. 1)
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8° „^8°
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n)
«3^ ^
N.B.
mouvt obligé
S n: IEE
jq: Lxy ^^^"^
^O
:ce TrTT ^Œ ^O-
I V I I V I I V I V I V
Toutes ces marches peuvent se combiner entre elles. En h), en i),
la note sensible la dominante (5) au lieu d'aller à la
descend sur
tonique (l). Ed. Grieg*) a banalisé la forme mélodique i) qui est une
particularité du chant populaire Scandinave:
Ex.45.
^=
EUS» J'IffTg jp m
On emploiera très parcimonieusement cette marche mélodique. La
chute 7->5 dans une voix interne, (Alto ou Ténor) est d'un usage
courant depuis l'époque de J. S. Bach.
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ÉÉ 3=£
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b)A
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J. S. Bach. Choral Chute 7">^3 au ténor
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3m
I IV I I IV IV
Mouvement de la basse au choix.
Dispositions large s:
1ère partie: d) 1 1 1 e) 3 4 3 f) 5 6 5
2 me » 3 4 3 5 6 5 1 1 1
3 me » 5 6 5 1 1 1 3 4 3
4me „ *)J IV I I IV I I IV I
*) fondamentale des accords
t_non 33.
33: 331
331 331
33:
3X 3X 3X
33: 3X
d) e) f)
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Mouvement de
I IV I
la basse au choix.
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C. 43939*
26
Ex. 49.
l ère partie: a) 4 4 4 4
2 me
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5
61116 4 654
6 5 b) 1 3 3, 1 c) 6
1111 3 3
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5 4 5 6 5
«me *>N
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I IV
fondamentale des accords
I IV W I IV I IV IV I IV I IV
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*) fondamentale des accords
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Dispositions serrées:
l è re partie: f ) 1 6 1 g) 3 6 3
2 me
3 me
4me
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IV I
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*) fondamentale des accords
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UT_ I IV I UT I IV I
FA V I V FA V I V
C. 43939*
27
Ex. 50.
Dispositions larges:
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2me
partie:
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3
1 3
1
6
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1
3 me » 5 4 5 5 4 5
4me » *>I IV II IV I
*) fondamentale des accords
5É 3
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J i, J
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I f IV
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IV I i rv
Exercices:
1) Récapituler les paragraphes précédents.
2) Recopier les exemples.
3) Les transposer dans tous les tons, depuis 7 bémols jusque 7 dièses.
4) Les jouer au clavier, piano ou harmonium, jusqu'à ce que toute
hésitation de jeu ait disparu.
5) Réaliser les successions d'accords suivantes dans les tons d' UT,
SOL, RE, LA, MI, SI, FA dièse, FA, SI bémol, MI bémol, LA bémolj
RE bémol, SOL bémol Majeurs.
On alternativement: 1) la basse en clé de fa, les 3 parties
les écrira
harmoniques en clé de sol (disposition pour le clavier); 2) le soprano
et l'alto superposés en clé de sol, la basse et le ténor superposés en
clé de fa, (disposition chorale,-) comme dans les deux spécimens
a), b) ci -après:
Ex. 52.
a) Dispositions pour clavier.
^=g ^ ? — g= Z2I m
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large
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serre
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XE XE m XE
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C 43939a
29
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Mesure de 2 temps ^ ou - (
1.
2 I V I V I V I IV I V I IV i
* p r r r
r r r r r 1 r r r r
2.
I V I V i IV I IV I IV I V i
o o o
r r r.r r r r r
Mesure de 3 temps (j ou
|
Le 1 er temps est fort, les deux autres sont faibles. Le 1 er temps peut être
prol
)longé, c'est-à-dire qu'on peut lui ajouter le 2 me temps, comme dans l'exercice
N° 3 bis ou les mesures
, i, 3, 5 et 6 du N° 5
3.
3
I V I V I IV I IV I V I
m
* r r r r r r r r r
bis )
3.
IV I IV I V V i
3 I V I I
r r r r r r r 4 r r r r
IV I V I IV i
r r ? r r r r r n-k
4.
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5.
3
I V IV V I V , I V I IV
o o o ,,
2 r r r r r r
C. 43939a
30
jA A
Mesure de 4 temps (t ou x
C'est en somme la réunion de deux mesures en 2 temps (- +- - -
+ 2 . £\ Par conséquent, le 1 er et le 3 me sont forts. 4 ~
ou 2 \4 4
2 2 2/
«' I V I V IV IVIV I , IV
t r r r r r r r r r r r r
I V I IV I V I IVIV I
o
r r r r r r r r r r r
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I V I IV V I V I IV I
r r r r r r r r r r r
V , I V I IV I V I V IV
r r r r r r r r i r r
8. 2 me position
4 I V I V I IV I I V I V I
° ° o
t r r r r r r r r r r
3 m« pos. 2me pos. 1ère pos
I IV I IV I V I i i
° o o i
1 r r r r r 1
4 V I IV I V V I IV I V V V
o o O [, o o o
2 r r p f, p
1
amacrouse |
I IV I IV I I V I I\
r
I IV I 1
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r r r r r r r r r r
*^ Cet exercice commence par le temps levé. On n'indique pas alors, le silence qui
complète cette mesure. Par contre, la note terminale au lieu d'être de toute une
mesure, sera diminuée de la valeur du temps levé du début. Si à la fin de l'exercice
on reprenait le début, (Da Capo) la dernière note de la dernière mesure s'enchaînera
alors parfaitement avec la première note du début. Le temps levé de la phrase
s'appelle anacrouse.
C. 43939a
i
31
6 me Série d'Exercices.
Revêtir d'harmonies liées les rythmes suivants.
On emploiera tantôt la position serrée, tantôt l'écartée,
à volonté. L'exercice
sera disposé— comme
a été dit plus haut,— pour quatuor vocal ou pour clavie
il
10.
o o
I r r r r r r
11.
2
rr ir r ir i r irnr rir ir *
12.
3
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I o p I o p| o-lpppjo O I o si o p
13.
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14.
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15.
3
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16.
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anacrouse
i r r'irr r irr r û r nr nr nrTr
17.
4
2. o o o o.
2 r r p r r r !
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c. 43939^
32
18.
4
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*
19. Rythme syncopé. }
4 -
o 0io o IaO p O O - 00
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I
anacrousej
*' La syncope est ici une anticipation du S^e temps qui est le îfcnie temps fort. La
dite féminine, elle est moins accentuée que celle qui se fait sur le l er temps, laquelle
s'appelle [terminaison] masculine. (Ces termes sont empruntés à la poésie. Les mots
à terminaison féminine sont ceux qui ont pour finales un e, un es, un ent muets,
comme mère, frères, espérées, rient. Les mots à terminaison masculine ont pour
finales une syllabe appuyée.- Pain, Vin, Couteau, Mât, Foi, Canard.)
Ces indications auront dans la suite une grande importance.
7 me Série d'Exercices.
Refaire les exercices 1 à 19 en pratiquant ci et là des successions
non liées. Ci et là, c'est-à-dire pas continuellement, ce qui rendrait
la réalisation correcte très difficile.
Accords: I V I V I V I V I
ou : IV I IV I IV I IV I IV
Plus rares sont: gme 2 me gme 2 me
Positions: 3 me 2 me 2 me gme serrée large (dispositions obligées)
Accords : I V V I V I I V
ou: IV I I IV I IV IV I
On vérifiera encore:
6) Si l'on n'a pas négligé d'indiquer les doubles notes (unissons).
7) Si l'on n'a pas écrit une ligne additionnelle de trop dans les
passages où la basse et le ténor chantent au-dessus de la portée.
8) S'il n'y a pas de croisement entre le ténor et la basse,
C. 43939a
34
ou
ïfc A=± ± m J.
Exemple:
rr 1KB. ,
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7
^ b) etc.
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IV I I IV I IV I IV I IV
*)Mouvement de la Basse à volonté (montant ou descendant) sauf aux
mouvements précisés par des flèches.
C. 43939*
35
Dispositions larges:
l
ère partie: c) 1 1 c bis)l 1 d) 1 1 1 d bis)i 1 1
2 me » 4 3 3 4 3 4 3 4 3 4
3 me » 6 5 5 6 5 6 5 6 5 6
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*) fondamentale des accords
Adegrés: 1 1
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IV I I IV I IV I IV I IV
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Ex. 57. *) fondamenta [e des accords
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fondamentale des accords
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C. 43939a
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*) fondamentale des accords
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*) fondamentales
IV I V ,1 I, I V
Médiocre (répétition du Méc iocre
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1 1| temps fort)
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37
Dispositions larges:
a) 1 1 7 b)'i 7 c) 1 1 3 2
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6 5 5 5 5 5 6 1 7
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*) fondameuta les Médiocre (répétition du
Ex. 60. rr-
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6 6 1 7 5 1 7
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*) fondamentales Médiocre (répétition du Médiocre (répétition du
temps faible temps faible
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Les exemples a et c sont meilleurs que les autres parce que le temps
fort sera plus accentué si l'harmonie change.
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C. 43939*
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[Dispositions larges) |
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III IV IV I V I
I IV
C. 43939a
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—^_1 .
IV_ v_
Exercices complémentaires.
Comme pour la première série d'exercices, (là 19) il faudra:
1) Récapituler les paragraphes précédents.
2) Recopier les exemples.
3) Les transposer dans tous les tons, depuis 7 bémols jusque 7 dièses.
4) Les jouer au clavier (piano ou harmonium) jusqu'à ce que toute
hésitation ait disparu.
5) Réaliser les successions d'accords suivantes dans les tons d' UT,
SOL, RE, LA, MI, Sl\>, FA, Mf\>, LA\>, SOL\> Majeurs.
20.
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2 I V I V I V 'I I TV IV I I
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21.
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22.
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23.
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C. 43939a
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24.
4 I IVI V 'I I' V I V I •v
o.
V I IV I V
t r r r r r r r r r r r r r r
25.
I IVI V I
o o
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o (-.)
4 I ^ IV
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I 'V V V
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26.
IV I V V I
4 r r r r r r r r r r ^ r
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I V V I v V
r r r r i r r , r r r * (*)
27. N.B.
2 'V V I 7T IV IV I i v v
* r r r r r r r r r r r r r
v V I IV IV i i V
r r r r r r r r r
1
i i r V v i i r V V V
r r r r r r r r r r r
I IV IV i IV i i i V I
r r r r r r r r r r
C. 43939*
41
29.
I V I V V I V I IV I IV I IV I
* r r r r r r r r r r r r r
30. Rythme anacrousique.
V V V I Q 'V V I V i
r r r r ï r
.anacrouse
r r r r r
III V V V I IV I IV I I V I
r r r r r r r r r r r r r r
31.
TTv i v VI V TTiv I IV i v i
r r
32.
4 i v i v i ivTT v i v i v v V V
4 r r r r r r r r r r r r
I V I V I IV I I V V V V I
o
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I V VI—Iri
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VI V , I V I
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IV IV I I V V"I I IV IV' I
IV
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I V I V V V V
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C.43939a
g
4 r r r r r r
anacrouse,
V
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I
— 71
I
r
IV IV IV IV I I I IV I V I
r r r r r r
00. Exercice en syncopes. Début anacrousique.
a IV ï\r i ï T Tv v 1
1 ï ï r
4 r r r r r r r r r r r r
i
anacrouse
V I IV I V V I I I V V V V I
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un demi-ton plus haut.
42. Soprano.
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IV I
44.sop rano.
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46. Soprano.
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48. Soprano.
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A refaire un demi-ton plus bas.
49. Soprano
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50. Alto.
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IV. V.
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51. Tel
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V
1»
I
—
V V I
*)Terminaison sur le temps faible, dénommée féminine; nous examinerons plus loin,
en détail, ce genre de fin de phrase.
C. 43939a
45
52.
? , - O w
2 !
r )r r f r
53.
4
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54.
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nn n M Û.
2
O
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r r r r ! r r r i r r
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I V I
Conclusion féminine.
55.
3 ,5» o ° ° o
2 P P
I
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56.
O
! r r r i r- r i r r r r
r r r i r- r i r r r r
57.
4
* rrir r ir rrr ir r ir rr ir r
58.
4
r r r r ir r I
! r I f r i r r r
rrr h * r ir Mr ?nr r
I
irr*
V I
l
Conclusion féminine.
( Les exercices 89 à 100 pourront servir aux mêmes fins.)
C. 43939*
46
° u:
I LLI LU , ce qui équivaut à deux fois trois temps.
La division 2+2 + 2:
fi
—
—
O
W
o
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V_>
o
I
ou: S.
fi
— \j — _ \^s
m m m » « m
w est en
dans les oeuvres anciennes, l'allure étant précisée par la mesure. Aujourd'hui,
règne une grande confusion à ce sujet. Des compositions de mouvement lent sont
notées en mesures très petites et inversement.
C. 43939f
Schémas rythmiques en 6 temps.
2. Phrase anacrousique.
irir rr r ir r'rlr rr nr * * li
3. Phrase anacrousique.
I p r M r- l>
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p r M rTf '
p r p l
5.
r'rirprpir il
s "rtcri r.cïri rai
rtii i fin i fXis i r~ci/ 1 fi i
C. 43939»
I
48
10. Risse
rythme: a J a J J J" "J JJ'
*/• *> • 9
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I IV
'J J T7
§ -~zr
ri m rJ M
ZT- 27
11. Basse. n j
j
p
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rythme: o J o J à m *
&-
'W r
IV
Jir
I
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5
s £ -6^
2C
3
12. Soprano.
* 6 » P m P • JE
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I V IV
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S
Corrections.
Se reporter aux paragraphes précédemment exposés page 30 et se
rappeler en outre, les notions sur les changements de position.
Modulation.
Toute tonalité a deux accords communs avec ses tons voisins: de
quinte (V) et contre quinte (IV).
UT
Ex.66.
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51
Mode mineur.
Pour simplifier l'étude initiale de l'harmonie (étude chargée de beau-
coup de détails,) nous adopterons provisoirement pour le mode mineur
la classification de relatif du Majeur. Les accords appartenant au mode
mineur seront donc toujours désignés par R final:
a)
_A
Ex. 68. Ir = Tonique relative, (en la, relatif d' UT
Vt
L'accident, dièse, bécarre, bémol, etc. pourra remplacer le signe +, ainsi
3+ 3i
/ i \ l
Vr signifie que la tierce de Vr est dièsée (en la: mi, solh si) et Vr que
S XE
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on majorise celui de la
dominante relative (Vr).
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N.B. Montée ït-^Z intervalle inverses; prohi-
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55
Exercices.
58.
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l'exercice 27. N.B.
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66.
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69.
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88. Ténor.
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Refaire les exercices 79 à 88 inclus, un demi- ton plus bas.
ipfpfcg
7) Ecrire les harmonies sur les rythmes suivants. Le dernier accord sera
en tout cas un accord de Tonique (i) avec prime à la basse.
(Les exercices 52 à 58 inclus pourront servir aux mêmes fins.)
89.
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4 °- o. o.
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92.
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9. Exercices modulants.
A. Ex. 71.
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w Les Dominantes a 3+
etc se changent en Toni-
que à 3"
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la
c.
baissement de la tierce
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D.
L'inverse, IV changé en VB ,
est
également faisable.
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64
102.
L'intervalle 7 + -3 C$ol$ - do ) est assez difficile d'intonation; on l'évitait autrefois.
a Harmonisation de la gamme.
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dispositions serrées.
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1 7 7 1 4 2 2 4 6 5 5 6
6 5 5 6 1 7 7 1 4 2 2 4
Ex.73.IV V V IV IV V V IV IV V V IV
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IV V V IV IV V V IV IV V V IV
On prendra bien garde à ce que l'accord de Sous-dominante (IV) soit
en disposition serrée et celle de Dominante (v) en disposition large,
sinon le mouvement obligé n'est pas possible. (D'une disposition lar-
ge on irait à une disposition extra large, et les voix se distendraient
au-delà de la sixte réglementaire).
La même succession allant d'une position large à une serrée n'était
pas admise anciennement: primo, a cause de la marche directe vers
l'octave de la basse à la 2 me voix; secondo, à cause du saut de sixte
majeure (considéré comme peu vocal) aboutissant à la quinte directe
de la basse. aEx.76.
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1. Basse. 2. Basse.
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C. 43939a
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67
13. Cette phrase est plutôt un ^commen:
çant anacrousiquement par deux noires
IV i I IV i I IV I IV V I V I
4 r r r r r r
terminaison féminine
14 -
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I V IVIVIV i V 'IVIVW IV V V
r r rrr r r rrr r r r _fU
r
En mode mineur ancien (sans note sensible) les successions IVb — Vr
et Vr— IVb se pratiquent identiquement.
(degrés) 6 7 7 6
Ex. 77._fî et: ^—^o .
^
:*33I
m TE XE
IVR VR IVr
disp. disp.
XE
m
large serrée
S XE
XE XE
15-
Ir Vr . TVr Ir IVr Vr
M
la mineur) s'emploie similairement:
Ex. 79. 7+
«U£A
*m b
)^4lL 8=5+
» AÀ tà=4 6+
g:
fi
XE s
O-
XE
-o- o-
XE CE 1 fr
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disp. disp.
-©-
disp. disp. disp.
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disp.
»
^ -O-
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XE
XE XE
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XE XE
large serrée
XE XE
Ir IVr V£ Ir Vr IVr h vi Vr
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^XE m XE^
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disp.
xr
XE XE
^r fe
xr
XE
xr
o-
xr
serrée large serrée large
large serrée
*W XE XE XE XE
XE XE XE
V* Ir Vt IVr Ir Ir V* IVr VÊ
Les classiques rejetaient les successions a. b.c., à cause de la suc-
cession 6 — 7"*", en seconde augmentée, à laquelle ils préféraient la
septième diminuée (ex. d. e. f.),_ un intervalle considéré comme ex-
trêmement pathétique.
Le type hypothétique mineur 5 > 6"^—* 7 > 1 donne quelques séries
d'accords bannies de la technique harmonique ancienne.
Ex. 81 degrés: 6+ 6+
A a) 5 6+ 7" 7" N.B. 5 b)5 5 N.B. 1 °) 1 N.B. 5
S :^xr
XE
-e- xr w^ ^r xr W XE XE
m xr
«E= o on ti m ô:
-e —xEr« &-
-o- XE
XE XE XE XE XE
Ir IVrVr Ir Vr M Ir Ir Vr IV? Ir Ir MVr
Le chant qui ouvre le 1 er acte de Cavalleria Rusticana... (Mas-
cagni) se termine par la succession IVr Ir (ex. b ci dessus; la succes-
sion b N.B. est en réalité une variante de a N. B.,_ variante quant à
la marche des parties harmoniques) Rappelons que a N.B. était autre-
fois considéré comme faux, à cause des deux tierces majeures succes-
sives qui y sont contenues.
C.43939 a
69
ouVr ouVr
peu usité «avec les harmonies indiquées
xc tznczE
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fi+"« -o-
. 1 7+7
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6+ 6
à l'Alto.
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#3 l|3 03 M #3 l|3 |f3 l|3 H3"
V£ V5 IVj IVr Ir Vr Ir V* Vr IVi IV5 Ir V£
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Ir Vf V5 IVÎ IVr Ir Ir IVr IV£ V5 Vit If
il N.B.i° N.B.?
au Ténor. 6+ , u7+ _ 7+«it
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IVr" Vr
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V* Ir I IV IVrTr- V£ Ir VrVUr
voir addenda p. 208. Ex. E, chromatisme à la basse. #
*m XE s XE xs i#M£é*
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IrVrW^IVrJr IrVr-VrIVr{r IrMIV^V^Ir IrIVrIVrVr-Ir
ouVr ouVr
C. 43939»
. — ,
70
Exercices.
a) Transposer dans tous les tons les modèles donnés, en ayant soin
de ne pas dépasser la tessiture normale des voix.
b) Rythmer ces suites d'accords en valeurs inégales.
r 1° r r l r
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" IE IZZ
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S
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, chrom. desc.
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IVr-IVr
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4.So prano.
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•chrom. montant.
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b
f rr
Ir Ir Ii Ir V£ Ir
Ex. 85a)
b)
mm divisé en 2
divisé en 4
c)
£
Les barres de mesures divisionnaires n'ont ici d'autre utilité que
de faciliter la lecture.
Les repos séparant les deux parties de la phrase (ou membre
de phrases) consisteront en un silence ou une note prolongée (2
ou 3 notes additionnées, ou une note prolongée suivie d'un silence.
Ex.85d)
Repos Repos
subdivision intermédiaire final.
possible note prolongée
(deux noires= une blanche)
et silence.
C. 43939?
.
72
levé: 4 _«.
I
J |
J etc.; 4 ^ J J |
J etc.; 4 £ J J J |
J etc.
ê
IV IV V
zz:
m
Repos Repos
intermédiaire final.
Le premier
repos a lieu sur l'accord de la Sous -dominante (IV), et
le second sur celui de Tonique (i)
Remarquons dès à présent le caractère décisif de la terminaison
—
IV >V—>-I dans l'exemple. C'est ce qu'on appelle une Cadence
parfaite.
La cadence parfaite peut avoir pour soprano:
a) 7-—-*1 b) 2 — xl c) 2 — ^3 d) 5^- e)5- +5
Ex.8*
V I V I V I V V I
* Basse fondamentale
XE
.
XE ^
I
/CN
XE 1 o.
b) c) d) e)
n\ /T\ r\ r\ r\
*E=F xe XE XE XE
-«>
V I V I V I V I v
la note finale (l'accord final) étant située sur un temps fort.
C. 43939*
. .
Té
88
Basse fondamentale
r\ <T\
xe S 3T
r\
b)
r\
c)
/T\
d)
^
XE XE 331 XE
r
iv i\ IV IV
I IV I
(quintes externes
devenues d'un usa-
ge courant)
La conclusion sur la tierce ou sur la quinte sont moins décisives et ont
quelque chose de vague, comme suspendu: Cadence parfaite (V->-l) exem-
ples c),d),e)j Cadence plagale (rV->l) exemples a),b),c),d), e), f), g).
Seules les deux premières conclusions —a), b),— de la succession V—>-I
(Cadence parfaite) ont un caractère positif, décisif.
Modulation
du Majeur a son relatif et inversement.
Cette modulation s'obtient très simplement par une marche de tierce
(enchaînement)
De la Tonique du Majeur à la Tonique du relatif:
^ S XE
XE
^ XE ^ S
XE
m
g) 3 voix
ë
a) b) c)
«F HE
XE XE XE XE XE 1
I Ir I Ir I Ir I Ir I Ir
* quintes aujourd'hui admises
C 43939*
74
3 5 b) 3 5 c) S
a)
1
5
2
7+ 5
12
7 N.B. 5
2
7 7+
12
I Vr I Vr I Vr Vr
Ex. 90. N.B. antique ^ _^
EU XE
S:
S *
-o-
» S
Ht
,
su *
et
Combinaison des modes antique
moderne. La marche de demi -
S 3E
15"
Vr
b)
3E
I
331
antique
Vr
c)
33:
I
«i
Vr Vr
<*
P~
ton chrom (sol - soli). doit setrou -
aux voix.
.
Inversement.
I
ê
quintes aujourd'hui admises
^
Ex.92a) J. S. Bach. Choral 106.
ir
ia j£À
$ >8 Ij"
^ '*
¥ 3£
Vr
3r
I S';/
UJ
i
Ir Vj«tl
IV
3
I
a
^S
J.S.Bach.Chor
§B E
47.
lrf
feg
b 3X 3X
3S
|)8
o
^gg
<v
»
V£rozJ Vr I ^r "vl
antique * Combinaison des deux
modes, moderne et an-
cien.
C. 43939*
.
75
a) 4 6 b) 4 1 c) 1 6 d) 6 4 e) '
3 voix
1 4 1 4 6 4 4 6 6 6
6 6 4 1^-1 r^-i
ex.93.iv m IV IVr IV IVr
1
N.B.JVMV
n.b.
s
1
3. voix
a) b) c) d)
^F ^ =g=
4
r
IV IVr IV IVr IV I\ R IV IVr IV IVr
N.B. quintes aujourdhui admises
H^ S xe
f $ 3 voix
ÛU n;
M
a) b) d)
m -o- -«o-
IV Ir IV Ir IV Ir IV Ir
N.B. quintes aujourd'hui admises
Inversement
De la Sous-dominante du relatif (IVr) à la Sous- dominante du Majeur.
=§=
«* * I XE XE
&
XE S 27 a
3 voix
S
,
xr 70 tr
Ex.95a) b) c) N.B. N.B,
J
m ^ ^ 9*
£
IVr IV IVr W IVr IV IVr IV IVr
N.B .quintes aujourd hui admises
IV
De la Tonique du relatif
g^
Ex. 96a)
XE
b)
(Ir) à la
S
Sous-dominante du Majeur.
&y^j
J 3 voix
p
S
-&- oo
m -&- «-
Ir IV IV Ir IV Ir IV
N.B. quintes aujourd'hui admises
C. 43939a
76
3+
De la Dominante du Majeur à la Dominante du mineur (Vb ou Vr).
% J
) :
\ V 11 f ^ 11 férence
3+ 3-
tfr ;«Vr Vr
De la Dominante du mineur à la Dominante du Majeur
Vr V
zz:
b)
SEÉ
V4 V
c)
VîT V
—> tfo/lj
rence dans la
, ^t^) de
même
préfé
voix.
-
quintes internes
Ss Nota?
S s^
-&-
,^, r>
jCE
S
^
O tm Xm
/»\ i
en D et C il a fallu recourir au
I Ex. 99a) b)
M C) ce.
redoublement de
second accord.
la tierce du
m ÏE 2T 3r ;
:
Les marches bb et
tent d'esquiver ce redoubt
CC permet-
I IVr I IVr I Wr
L'inverse (IVr— i) n'est vraiment satisfaisant que suivi d'une ca
dence qui affirme le ton.
s
& K
Ex. 100 a
j2
S m
b)
jOl
s
*9r
jŒ
£ 3CC
IVr I W, V I IVr I I
Cadence parfaite Cadence parfaite
I n. 32
1
WÉWr S.
S
I IV I
Cadence plagale
Nota: A partir d'ici, les schémas, (marches de voix en chiffres),ne seront plus
indiqués que ci et là; nous croyons l'élève à même de les réaliser personnelle -
ment.
C. 43939»
77
Ex.l01a) b) c) d) e) h)
e)
° o ^T-O- O o o » o o -n-o-
^4|: <> <» «1 il
V Ir VIi
a) La note sensible placée à la première voix va à la tonique. La
chute sur le 6 me degré n'est pas dans la musique moderne. usitée
c) La note sensible placée a la 2 me voix peut descendre au 6 me
degré, (degré Ir).
e) Le saut descendant 5--^3 est souvent remplacé par le saut
montant 5 —
1, comme en f, ce qui amène forcément à Ir un accord
à tierce triplée. Le saut descendant 5 1 est réalisé de façon iden- —
tique a f; le mouvement vocal h (saut 7 3, descendant à la 2
me par- —
tie) permettrait d'ajouter la quinte à l'accord Ir.
Position de la succession V -
Ir dans la phrase.
Ex.102.
3X
^r
^ .
Z2Z
Cadence rompue
Z2I
XE
Cadence
définitive
Ex. 103.
s S ac 3T
I ^
S zz:
!
Cadence
rompue
331
V I
331
|
Cadence
définitive
C. 43939*
—
78
S ^ m
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XE
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XE XE
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P
I
*
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*
Ir .wkV
&.
I utVt
-ZL
Ir Vt
etc.
3+
La succession Vr —>-IV (ou Vr >-IV) constitue la cadence rompue
.
—
du mineur vers le Majeur. Les mouvements sont identiques a la ca-
dence rompue V >Ïr — .
Ex.lOôa) b) c) d) e)
XE
f)
XE
^ g)
XE
™& m XKE
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N.B.
ÏE
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N.B.
XE
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C. 43939»
—
79
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XE TKT
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m 3X 3X O o n d *i o XE
Vr IV Vr Vr IV Vt VR IV Vr IV Vr IV
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^
XE
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Vr" Vr IV Vr IV
Ex. 108 a) b) °) d) e) ta te
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33
M 33: XE Sqg 31 s
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XE =^ XE
IV Vî IV Vî IV V£ IV V{ IV Vt IV VJ
C. 43939*
—
80
H«jr-8-frîT
-O-
**=m
-©-
S XE
_o_
XE
XE
w vt w vt w vt
Le saut de Seconde augmentée n'a pas été beaucoup pratiqué, au
moins vocalement.
Ex. 110. Ex. 111.
->7+ A 6 >7 >7+
XE ss= o-~»8"*f8
ni la succession
^ m^
XE XX.
xe XE XE
IV vt IV" v R VJ
Quant à la marche IV —>Vr,
elle a été longtemps désapprouvée.
L'harmonie Vb (qu'on croyait, à tort, être un accord de 3 me degré
du mode Majeur) était considérée comme trop vague. On recomman-
dait même de ne pas la placer au temps fort, ni de la prolonger par
une valeur de note trop longue!
L'enchaînement de la Dominante du Majeur à la Sous-dominante du
mineur a quelque chose d'insolite qui provient de la succession de
deux tierces majeures, que nous avions déjà rencontrée dans la suc-
cession IVr —>V et V—>-IVr.
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R. Strauss (En Italie)
etc.
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IVrV SOlVVl
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Ex. 113 a) \
b e)
o-
Le mouvement inverse atténue l'im- Sa
XT xf #
pression inquiétante suscitée par cette
suite d'accords.
P XE XE
-O-
C. 43939f
i
81
Ex. 115 a) b) c) d) •) f)
-y— — ° ° o
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^ xr 3JH xr
etc.
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S 3E
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tO- ^ 331
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IVr V I\ r
t
V IVr V quintes inverses
entre alto et basse
quintes inverses
entre voix externes gx ^|g
IVr V- V
C.43939 a
g
82
Exercices
I
s
i r
.mV
fi
i f
IV^IVr v*
^ Vr
g
IVr f
I «-
I
Z2I
£1 22 ^±
IV
9
Ir TMlsolW I I I
° f f
Tonique du Majeur à la Sous- dominante du relatif (IVr) et inversement.
4. Soprano. .
J2 zc
4 g p zz: 19- 22: r;
I â:
j?£ IV ,/IVr If
i
Vt î V£
—
" £7^
zz
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zz:
I IVR flff
N.B.*
IVV I IVV I
5. Soprano
3t ? S -&
~
XE
Ir /:ïI V
Tonique du Majeur à la Dominante du relatif (Vr) et inversement.
a»
7. Basse.
bp r
#/f!>
a r
de gré 7"^
4=¥
i
W{ Ir
zz:
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XE
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22 g . g >
MI IV *#V4
7+ N.B.
S* XE O I»
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VJ Ir w I IV I
10 Basse. (i-vIVr—>i) 3+
7+
Pfe
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zz
^& XE
£ 22
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Ir Vt IR si IV- I
0.43939»
H — i
84
—
11. Basse. (IVr
7+N.B — rF
u r
zm ft 2 * 22
ish m ,o
s
<>
tf-
"cr
-o*-
%m m ÏF5
etc.
Ce qui est faisable
sitions.il n'y a donc qu' à faire
mouvoir l'harmonie rigoureuse-
en trois po -
221
2=5 -S ment en sens inverse de la basse.
-&
Ir VÏ IVr re\ IV V
Quand l'accord Majeur de la Sous- dominante du relatif IVr suit ou
précède les trois accords du Majeur (V, I et IVjles marches de voix peuvent être
les suivantes:
A: I—>lVt
A Ex. 118. b) c)
ir XE XE
PFf^ ~° '
"rr =S=
PE»Tf
3 parties
XE
m XEXE 2E XE -&- XE XE -O- XE
a) •) f)
H
& tuJ TT -e- <Œ
^ wî Vt
XKE
CT
XE XE
UT\
a
laWt
g XE
vi
ou Vr ou Vr ouVr
La marche 6 + —
7+ (ou 7") est préférée à la marche rétrograde
6+ — >5. Mais le saut 6+ >2 est admis.
C. 43939a
85
B: m-
N.B:
N.B.1 Fausse relation (tierces majeures
XE
i £r~s. -s'^ ^F
consécutives- entre Soprano et Basse).
N.B.2 Cet accord de IV rétablit le ton
—
tfUT, que la succession I >V n'ac-
S XE
OO-iT
N37
*» «»
*
y ~ ,c
*
XE
XE cuse point (la tonalité incline plutôt
vers SOI, Dominante d J UT).
*>Ir IVrttI V IV
7
I
b)
XE
*
TT m^m
XE
TT =§F
^ -**- ^>-XF
XE XE xe iKl il
XE XE
rrl V a, M ou
Vt
Vr
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ou
Vt
Vr
Ir
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XE XE
S=#=«a* Sr fëm 8 tl»(ffi°
TT
•^ o 3 voix
XE XE •?* Q.
^ XE XE XE <*> " XE
V WtVt urliaJVtVÎ UT I V taVît Vt
D3+
: Combinaison de IVr
ouVr
3+
et IVr
3"
ouVr ou Vr
1*1
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XL
i| » /: pj
XE
b)
XE
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XE
m XE XE
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i)
§ II» I
I» 18
XE
S:
=§=
xr mm XE
^ etc.
XE XE XE
i XE
url V JVÎ IVr Vt ut\ V iaîfo Wr Ir
C. 43939»
86
3+
L'accord IVr donne l'impression d'une Dominante IVr —>Y.
Ex. 119. ÎW
§
tf
S 1
-©-
XE
Ir IV? V
impression SOL \= V Jj
^
#g
8 #8
Tt O
«s? -o o-
xe
Ir IVr Wt V
L inver
L'inverse est aussi bon.
Ex. 121a)
5 6+7+1 b) 5 5 6+ 6lj 5 5
TE
& S 1 *S â 5 «ai
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1 -e- &rp&
«F nr an ii
xe
XE XE XE
#r I V /«IVJ Vt Ir ut\ V /«1VÎ IVr\Vr7 Ii
N.B.
C. 43939a
.
87
b)N.B.
t tu 5 ^r N.B. Quintes admi-
ses que l'on peut
lib
\\r)i 6+ 4 3 c) i 7+ 7" 6+ 4
3X 3X
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33: 33:
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331 33:
Ir IVr JSft IVr If Ir VS Vr IVJ
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5 6 5 3 4 a 6+^l+ 3 4 u6+ 2 1 1
33: 33: * n
m&
"^V XT
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xr
33: & ii
331 $m
Ex. 125a) b) c) 3 voix d)
*F 3X 33=8: 33:
33:
3X 33:
C. 43939*
88
IVh ->ry
degrés:
6 /5\ 5 5 4 1
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J
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Ex. 126a)
X.12ba) «(/
lib.
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IV&tIV I
Inversement,
chrom.
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6+
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7+ f)
3X133
7+ 6+
Pofro " |
I— la
o- o go 3E Ko [jo
ftp t^t 1
A 7- 7- 6+ h) 6+ 7+ 7-
Exercices.
a) Recopier les modèles donnés, de Iî8àl27.
b) les refaire plusieurs fois en d'autres tons;
c) les jouer souvent au clavier.
Exercices complémentaires
auxquels on ajoutera quelques phrases de même construction que les
pre'ce'dentes.
1^ Soprano.
— i
89
ê
-i i 1
£ i
É -g—zjpL
Vr/WJ
3+ . a7
IVr Ir
ZZZIZZZ
V5
f^
Ir IVr Nt kN
I
\' à
•
fi
I
l
V • I
-©-
rv
7
i
f
v
'
réVfe
fr
ttf
vê
;
l
£
\i
zz:
.
zz:
.
^^ Ir
2.) Basse.
—
m
i
ai
=gg E TZZZH -o-
zz:
-o-
T2ZCL
rJ a
v- miVti m n Wr vs i . Wr ivs«Jr- v+
m in .<>
zz=£
Récapitulation
m
exercice en d'autres tons.
3.
7 ia
u
*MÉ
Soprano
m. r
x
9
( B ( g
35
Alto ^^ Ténor
p (9 fe g-
Soprano.
*à
T» 3
Jf/Ï V V" rtjjfvï IVr Vr" Ir Ir l\kIVjjr/V-
te
HB zz:
i
Ténor
s zz
»
#p
asi tf
f f
V I V V- „t m Vî h IVr WJ ,v/V I
C. 43939 a
90
Accord de Dominante de la Dominante.
C'est celui du 2 me degré en Majeur avec tierce majeure (4 me degré
haussé - 4+ .)
a) degrés: 4+ 5 5
Ex. 128.
UT Majeur.
ou plutôt WV I
1
J+
Ex. 129.
la mineur
PPfi
XE
un
ni
ou plutôt Wr Vr Ir
N.B. L'accord de Dominante de la Dominante (W) en mineur est toujours
un accord parfait majeur. On pourrait en mineur antique, employer la
Dominante de la Dominante avec tierce mineure;
/i Ex. 130 a)
» ,8 8 11
restée quasi
mais cette agrégation est
N.B. inemployée.
m HE XE
Ir ^Vk I
Wr
J. S. Bach. Choral 29.
Ex. 131. Lully*Alcidiane, Ouv.
b)
i
S mWr c)
i i ..
1> B -
te
f
:zz
rr
J5
rr
«s à ê j JN.13*
'
^3ps
S 2=z2
N.B.»
^ Ces accords seront analysés plus
1 et
!VR Wr 1R IR
N. B. loin.
* Lully, compositeur franco- italien (1632-1687)
C. 43939?
91
degre
Exemple a.) L'accord de ré ( jj+) est Dominante
(V) du ton de
SOL, qui lui-même est Dominante (V) du ton d' UT C'est pourquoi on
l'appelle: Accord de Dominante de la Dominante ou accord de deuxième
dominante.
'degrés: jj* \
Exemple b.) L'accord de si lit I
es * Dominante du ton de
vvj
vî) 1 U * lu i- m ême est Dominante du ton de la mineur.
degres:
mi (
Le rôle de l'accord de 2 me Dominante (W) est d'amener celui de
Dominante (V).
Mais on peut tromper l'attente de l'auditeur non d'un accord de V
mais d'un accord de IV, ce qui ferait:
degrés: 5
en UT
4+4
Majeur
2 3
en la
5 4+4423
mineur.
11
o
o m ^E-&- ^m o •
[i m s
-t>-
Ex.l32a) N.B. b) N.B. N.B
-o- -&
jœ 3E -O-
I W
IV I
(N.B. Accord intermédiaire
V Ir
331
WrIVt IVê Vr-
N.B. Accords intermédiaires
Ir
(V) facultatif.)
(iVi et Vî) facultatifs.
degrés: 3 2 11 7+ 5 4+ 4l|
i
HE
c)
jOl
P **i
d)
^
N.B. N.B. N.B.:
m ffi -O- «*
rrk VVt Ivl IVr Vr" Ir /^I WIV V I
N.B. Accords intermédiaires N.B Accord intermédiaire
de m et Vt facultatifs. de V facultatif.
^^
1
C) <T>
—&-
;
£pi* ^P * W
XE
m -o-
-O-
-o-
VWVI
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rrW V I
— » — o
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N.B.
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laNt IVrVS Ir I
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Bach. Choral 29.
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mieux que le retour du ô"1* degré naturel au 5me (ex. b.) qui est d'un
"mélodisme" assez gauche, -au moins pour un Soprano, (voix externe,
en dehors, donc remarquée).
En tous cas, le 6mc degré baissé aime à descendre au 5me , même dans
une voix intérieure: c'est un intervalle attractif.
^Ex.UOa) b) C)
N.B. N.B
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3
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N.B. accord de
IV V
facultatif entre IV
I
Tâ
IV
et I.
V I
Ex. 141
Quoique cette défense soit à présent levée, (au moins dans la musique
instrumentale,) l'intervalle reste d'un usage peu commun, sans doute à
cause de sa difficulté d'intonation.
Exercices.
1. Soprano.
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2. Soprano.
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3. Soprano.
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10. Basse.
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(Ex. 133 m)
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12. Soprano.
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N.B. Doubler la tierce, sinon la succession est gauche (vocalement, elle
serait même impossible).
13. Soprano
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16. Basse.
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Exercices sur l'accord mineur de Sous - dominante. (IV avec tierce
8-
baissée, IV7 le degré de la gamme abaisse est le GP *, ce qui
1
s'indi-
quera par 6").
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2 me voix et rapport à la
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S page 208, exemple d'emploi)
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Ces spécimens ne sont pas les seuls possibles; l'élève pourra en trou-
ver lui - même maint 8-autre en combinant entre elles les harmonies
3- 3-
de I, V, IV, IV," W~ et IVIV- et les relatifs; c'est une bonne gymnastique.
Exercices
(Accord de IVr)
a) Recopier les exemples donnés.
b) Les refaire en d'autres tons.
1. Basse. x x
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iv- IV IV
N.B. Le signe x indique qu'un accord de IV est demandé.
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4. Soprano.
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Emploi des accords
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5. Basse. ,
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C. 43939a
105
Ex. 145.
en membres A B C D;
- et - elle dont le 3 me
contient donc quatre repos,
(C) n'est pas apparent, (le mouvement n'étant pas interrompu le 3me repos
est sous entendu).
En Majeur.
Ex. 146a) b) c)
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En mineur.
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Exercices
(Sur l'extension de la Cadence parfaite.)
1. Basse.
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N.B.* L'accord sur s? (U me degré du ton de LA, VII me degré du ton àiCT) peut être remplacé
Soprano (do^-rr/jf).— L'accord IIr n'a d'emploi que conformément aux modèles d-e-f.Voir tB de
la pag 132. C 43939*
107
4. sop rano.
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I É*=£ ê 5
TZL izz:
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5. Sop rano.
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b i.4 J J J r * î
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IV Ir IVr
*
V
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I
En complément aux exercices pp. 103 à 104 etp.106 (ces derniers contenant
des cadences parfaites étendues) l'on composera soi-même des phrases
de 2+2 grandes mesures divisibles, ou 4 + 4 mesures moyennes (4 noires,
6 noires, 9 noires par mesure ou mélange de noires et de blanches) avec
cadence terminale dans l'avant - dernière mesure.
c)
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c r r r r r t
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e) c r r r ir *- c r r r r r *-
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* Accord répété. Il y aura donc avantage à changer de position. Parfois, dans les accords"
répétés, la basse fait un saut d'octave:
Ex. 148.
C. 43939»
108
3- 3-
Les accords de I, V, IV, IV-, W, IVIV, IVIV" leurs relatifs (du
mode mineur) et leurs combinaisons constituent les éléments fonda-
mentaux de l'harmonie. Il est indispensable, avant de passer à la
même de les manier dans tous les tons (depuis 6 bémols jusque
C.43939a
.
109
DEUXIEME PARTIE.
Renversements des accords de trois sons.
a Ex. 149.
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22
etc.
& 22
«.«fcjvy iv y iv y etc.
enFAN Y V ï V I etc.
* Exceptionnellement, il peut être dérogé à cette règle, nous indiquerons plus loin ces
exceptions (voir sixtes parallèles etc.).
C. 43939t>
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1) m) n) o) P) q).
S
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as: :s TE 35 3:
"27 3fer
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É ë _2
ZT
iv y
Inversement:
.Ex. 152. ,
etc.
-nvr <1 XE 3T
-&- -O- -G9-
fr ^=r
m 22 a 22
zz:
I
A'« £T 3 I 3 I etc. (les exemples précédents
rv IV lus de droite à gauche)
£« .WL 3 IV 3 IV etc.
V V
En FA 3 V 3 V etc.
De même en mineur:
Ex. 154 a) - —— 1
b) e)
3É5É
-o- * S
-o- m
3E
F^Wp zz;
22
33:
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[R !f V£ IR 3
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^t k R
3 vt
C. 439.39b
— — —
111
degrés: 3 5
3 -5 3E
A la basse, le saut i
V Ej est plus satis-
=J-
I I V
(saut de tierce)
I l V
Voici comment on enchaîne l'accord de I à "g
et celui de Y à I:
» o*>" i].o^ » s »
Ia
-©- -©-
-o o o -e—OO—o- -oo o
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^5 2^.5
5->5~ ->3 5-^3
5->5 ^5 5^"1
(3^7-t^l Basse,
7-t^l
Basse.< T _ y+ T
<3 3+ 1R II-^Ir
«3
^
J. S. Bach.
J. S. Bach.
Choral: Seul à toi,
Choral: Seul à toi^
J.C. mesure 9.
d») i
.L^L i
I J.C. (autre version) d4 ) i^J
mesure 8.
Ir '.vit
»!l 3 H3 7Y)(3
C. 43939^
^
112
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(')(^#) (•) TTs:
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(Pour les N3 voir p. 114)
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C. 43939 b
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degrés 6^k5- r
6 6^5-^-6 1^ 5-^1
^4 4^5-^4 6^^1^w6
1—Vl- 1 1—^1 >\ 1—>1—^1 4-^5^4
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qu'on
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remplacera par
7^1
^^ la seconde correspondante:
b)
*H=
o_
7^1
3
1^7
N.B.155e) Le saut direct sur la quinte de la basse (au Soprano) est actuel-
lement admis sur un temps faible, g) Le saut inverse (sur l'octave) est
d'effet creux, surtout sur un temps marqué, i) Il n'y a pas là de saut
vers la quinte puisque le Soprano redit la même note, d4) La mesure «
8 du Choral de Bach exhibe non seulement une marche par mouvement contraire du
Soprano vers la Basse, mais encore une marche directe du Ténor versl'octavedelaBasse
(la- rr) (page 111)
C. 43939b
115
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De même en mineur.
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N.B. (c,d,) Le saut descendant est moins sonore à cause de l'aboutissement sur l'octave
(sol) du Soprano et de la basse.
Exercices.
a) Recopier les exemples en (I \ I); UT
b) d"après cette copie, établir la suite IV 3 W;
op
c) réaliser le mineur opposé (lop Yf p Iop et IVôp l IVôp) puis le mineur
relatif.
d) refaire le tout en divers tons, dispositions larges et serrées (sauf
pour les suites qui ont un Soprano faisant un grand saut: là, si le saut
est montant, le premier accord sera en disposition serrée; si le saut est
descendant, le premier accord sera en disposition large.)
e) Exercices complémentaires.
que l'on pourra transposer et faire suivre d'improvisations.
1. Basse. , .
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Les exercices ci - dessus peuvent aussi être retravaillés dans le mode opposé: les Majeurs
en mineur et vice -versa. (Ne pas oublier la note sensible du mineur = 7+.)
aux x se placera un accord de Sixte. Aux N3, labasse effectue les sauts
6. Soprano.
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117
9. Soprano.
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qui est bien la fausse relation signalée à Tex. a) Sans doute la ris-
quait-on parce que le 2 me accord est considéré comme un ry- d'un nou-
veau ton. D'ailleurs de nos jours, la fausse relation n'indispose plus
personne...
Il sera utile de chercher à faire suivre et précéder l'accord de ^ (en
Majeur) les accords du ton Majeur et du relatif, à l'état fondamental
C. 43939V
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Ex.l61a) b) c)
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* Nous verrons plus loin comment
on interprète cet accord (Ex.236 g")
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i iv ,
33:
en UT 3 3 8 3 3 3 etc.
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en FA 9 3 3 3 3 3 etc.
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C. 43939^
120
>Ex.l63a) b) c)
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L'enchaînement 3 3
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(ci -dessus, en FA).
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S 33:
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SX. SX.
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-©-<> TT— "O «
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était autrefois d'un
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certains théoriciens
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le pro-.
hibaient sous prétexte que la note sensible ne va pas à la tonique.
J. S. Bach, déjà, ne tient plus compte de cette défense. Néanmoins les
spécimens sont rares.
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Chorals.
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en UT 3= 3 2 3 etc.
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C 43939b
121
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Dans les dispositions c, l'on prendra garde à ce que la position 5 se
répète symétriquement dans trois voix.
d) Seuls, le soprano et la basse marchent parallèlement en sixtes; les
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(les petites notes ne comptent pas dans l'harmonie, ce sont des
notes de passage, qui relient entre elles des fonctions harmoniques.)
Le procède f) est renversable, c'est-à-dire que la partie figurée
peut se placer à la basse ou dans une voix interne:
Ex. 167a) b)
c)
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d)
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Dans la succession c) l'écart des voix produit un vide sensible dans
le centre de l'agglomération harmonique; la même suite disposée
comme en pas cet inconvénient.
d) n'a
Souvent, la basse soutient la Tonique (i) ou la Dominante (v),
(parfois la Tonique et la Dominante reunies) pendant toute la durée
d'une série de g parallèles:
Ex.l68a)_— : -^, ,x
etc. £L
m & à -©-
%
-o-
Ce son soutenu prend le nom de Pédale parce quil rappelle les basses de l'orgue
dont le clavier est actionné par les pieds de l'organiste (pédalier).
La pédale, a très bien dit F. A.Gevaert, maintient le sentiment du ton à travers les
accords plus ou moins hétérogènes qui l'accompagnent.
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S.Rousseau. La cloche du Rhin (Choudens, Editeur).
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ractère pathétique.
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128
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3 ; se rappeler que le saut de 7me diminuée est plus expres-
sif que celui de seconde augmentée.
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Exercices.
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130
Exercices complémentaires
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C. 43939P
132
Remarque. Le chant de l'exercice 5 procède trop souvent par sauts; ce défaut pro-
vient de ce qu'il a fallu entasser dans le plus petit espace possible le plus grand nombre
de cas. C'est d'ailleurs la tare de tous les exercices d'harmonie. Dans la pratique, on
nusera que modérément de ces marches de voix forcées
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N.B. L'accord de quinte mineure sur si (et son renversement) peut remplacer
la deuxième Dominante
yw il fes l» dans la progression sus dite, employé par
;
C.43939 b
133
Nous le considérons donc provisoirement comme un „accord analogique^'
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Les dispositions a) - b); le soprano et la basse
sont les meilleures,
étant en relation de tierces etLes dispositions c) - e) - g), sont
sixtes.
moins sonores à cause de l'octave revenant régulièrement: il est bon
de placer cette relation d'octave au temps faible. d)-f)-h) donnent des
relations régulières de quinte à placer au temps faible. A g) N.B. la
seconde augmentée est inévitable; elle est inchantable et ne doit donc
être employée qu'instrumentalement.
C. 43939b
134
Accord de quarte et sixte.
Ou second renversement de l'accord parfait. Ce renversement s'obtient
en plaçant la quinte de l'accord parfait à la basse; il sera indiqué par:
T T\7" V 6 6
s 5 5 et quelquefois par § ou j .
Ex.177.
S
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I
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5
4
quelquefois V ou V ou I
Schéma:
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V
5
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3
V
5
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1
I
3 5 15V
T I
3
(N.B. l ère
ou 3me voix ad lib.)
3 2 1 2 3 [5 5 5 5 5
1 7+1 7+1 1 7+ 3 7+ 1
5 5 5 5 5 [5 5 5 5 5
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3
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C. 43939b
135
à trois voix
degrés: 1 7+3 7+3 7+3 7+1
Vr
Ir
3 5 15Vr
If Ir
3
Ir
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15
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16 4e voix
S g) 3 voix
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Ex. 179a) b) c) d)
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C. 43939b
136
me degré de la gamme à la basse). Se place entre
b) Accord de 5 (5
un accord de IV et un accord de 3 et vice versa:
Schéma: 6 5 4 5 6 (degrés)
(enUT) 4 4
1 1
*(4 4
Basse
IV I
IV 5 3 5 IV
Ex. 180
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N.B. voix supprimée,
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f)
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3 voix ^ ^_^
G&--G&-
a^^
N.B.
SXN.B. h)
*~yv~* ,KKKKJ i
3 VOIX
^ I
'
.TvoiJT
N.B.
f r
De même dans
autres positions
les
et
* t ? t t dispositions.
S Ê g
id id.
N.B. Voix supprimée
C. 43939 b
137
Ppl
k Ex.l82a) b)
à
,
F
J c)
dp fc
.
^.^rrJ
u mw
d)
De même
en mineur.
{ m 722 *
r r r
Quartes directes maintenant admises:
Ex. 183a)
i
b) J c) J d) , . 1
e)
za z:
3 s=^
I• 3 5C
G- De même
S g «-
H en mineur.
c) 2 me après un accord de I ou 3
Schéma:
(en UT)
temps fort
/
Schémas 5
(en (JT) 3
1
1
î d)B^
^
m 22 ï ï i
en CtW f
I IV? | I
en FA I § V II | V
C'est là encore une suspensive, une prolongation (ou appogiature
préparée).
e) L'accord de Quarte et Sixte (4) se prend encore après un accord
de IV ou de ^:
A
Schémas 4 4 2
(en ut) r 1" 7
6 4 5
*j4 * 6 5
Basse
Ex. 184 ( :>>iv
IV
3 V
»,* Degrés de la gamme.
S
-*»
B=
S
enrrW
l
e)A
22"
V I
e)B
^ £
Ê
V I
Ex. 185.
I n 33
m :^z J
V 4
v
I
C. 43939b
139
* On ne fait plus de différence aujourd' nui entre l'appogiature brève et l'appogiature lon-
gue. L'appogiature longue, s'écrivait anciennement à sa valeur réelle qui se défalquait de
la valeur totale
a) b) c) d)
Ecriture m. m
£
^^^r^t
Exécution.
-& ife '-** J. = * é 'J.
m
a) b) c)
s w gb
9 ÈtÉ
^ IV ! V
3££
IV
77-77
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V
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IV
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v
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S> ibis)
N.B. h)
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I
V I iv
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331
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V I
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V
V
C. 439.39 b
140
1
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Z22Z
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S
N.B.
33Z 331
6 17
IV t
v
V IV 4
v
V 4
v
V
m) mbis)
N^ P z:
J
331
f=T
J
3H
£ 331
IV V I IV I
en FA I V I v
n)
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i^u 33:
p) q)
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«M î</ IV
331
T IV
1 5
-
i iv
XE
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3-
3E
6
4
V
_T
V*
IV
3-
33:
6
4
V
tr
V
fa\ VJ
De même en mineur, sauf pour l'exemple o), qui serait peu naturel, à
basse et la 2
me partie.
pas là une réelle harmonie de 4, mais bien plutôt une forme mélodi-
que, qui prend encore les aspects suivants:
C. 43939b
1 i
141
Ex. 188a)
m
c)
b)
—
m n
?
t.
i etc.
^^
w. -m
•^
3Œ
<» i Ê &L
IV I V I I 4
V
V I I IV
f
v
IV
Cadence parfaite.
La terminaison a) {y, 4 , V, I,- ou b) IVr, 4, V, I:
ou3- V V
Ex. 189a)
b)
y
rL. e 9
?
9 O
g o 5
f/
J
o
fffk
vlj
3 B
i?
(Valeurs de notes
non déterminées)
4V r 5; v
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J
1 o p
1 J « — o
en UT
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3 l V IVr l v
ou 3"
£ B9- £ 5E
N.B.
XE« IE HE 3CC
m 3E« XE HE 3E
6 6
V I
orn.
V
* I
"•
4
orn.
I
-"• V orn.
4 V 4
orn.
V am.
4 I 4
orn.
I 4
orn.
I
¥—m—.^-i
^=^
III.)
i^k
3=1 *
§^3
£=¥ Be£ £ t±£z
i
IV
I V I I 4
6
otn.
X
P
oo o
/
Ê
I
IVorc FA
Les notes marquées d'un o ne comptent pas dans l'harmonie (ce sont des appogiatures
ou bien des notes passagères )
na)
1
. a*) b) ,
c*;
i k
efefi S fe SE
1 -Q
m
Ex. 191.
m:
T
G-
6
S m:
T 6+
-»-
T 6
ZOE
s^ '«ivr^,,
zoz:
Ir
^« x pass. V$ FAI
r-:"* ?
pas:
d 1
d»)
a^
)
¥
33:
Sse o-
T 6+
XE
O-
T 6+
s
v+
IVr s VJ IR
* 4
pass.
a ,
4 passagère 4 passagère
$ ^^ ^ xr ^•'
3 e voix
^
N.B.
^ad lib.
xï:
C. 43939b
. ;
143
fi
L'exemple e) contient deux 4 consécutives, d'un effet assez revêche
» fi fi
anciennement ou remplaçait la deuxième 4 par un accord de 3
6
Ex. 195. î au lieu
4 pass. de 4 4 pass.
$ -&
-€>-
in -o-
XE
S • 3 e voix
'
-Ô-ad lib.
=*
m m$ ma ma
, Ex. 193a)
*
i %
«fflFJ^ mà
Les accords sont arpégés sous la forme
ySESflatta
>
*
? f ? tf Pm
S*fc^=M=Jii±M
(w.)
C. 43939b
144
¥¥H;
'W'
fflE
f Ir
P JB p
ï
f
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/
^^ 5
Vr
^p M
ÏÉEEÈÏ
k=M
m N#f
n"i, > J r-r
Vr Ir.
s
C. 43939b
145
(Majeur)
m
4
N^ **
3H
(mineur)
m
m
Sans basse ou avec pédale de V.
^Ê&-
très artificiel, le
/atfet.M
mélange de
m
On pourrait étendre ces quarte et sixtes harmoniques aux mélanges
occasionnés par les VV£ et Wî etc. Toutes sont restées à peu près
inemployées jusqu'à ce jour, ce qui provient de l'action encore res-
sentie des vieilles restrictions classiques: prohibition des fausses
relations, des 4 successives, etc.
pjsprrr
Accords mineurs (chromatisme).
Sauts de tierces Majeures.
b)A
•$
*
r n
\,.
p
Sauts de tierces Majeures et mineures alternatives.
o
W . m \ \t m 1 T
"
ite
% ws ï
3i#î
etc.
C. 43939b
146
i1i is
Accords Majeurs (chromatisme).
m j\ i iiïi &0
Sauts de tierces Majeures.
e)fl
1
m^$
Les 4 sautantes (par tierces ou quartes) sont absolument inusitées.
Mais elles sont praticables, surtout en chromatique et sans basse grave
(en clé de FÀ), ou bien encore situées sur pédale de Tonique (i) ou
Dominante (V). Au fond, ce sont alors, (| sautant) des accords dénués
de fondamentales; ces suites conviennent aux effets fantastiques.
a) b) Cj (même œuvre):
*
{Ré min.)
-0-
Ë n
I IVr Ir
C. 43939b
— 1
m
d) e) f)
e)
^^
(bon)
331
I
6
4
I
pass.
V
^^
En b), le 2 me sol est évidemment une sorte d'appogiature mélodique;
en fait MUT est le son principal et la succession est licite, (Cadenre
V-l). Le spécimen c) peut s'expliquer à peu près de la même façon,
mais reste au fond incorrect: l'accord de Dominante (V) manque pour
établir la cadence IV* - V« - Ir. (Dans la partition, il n'ya pas d'accord de IV mais
Les spécimens a) f) à
g) sont tout- -fait médiocres, à moins que f) ne
soit le commencement d'une série de | parallèles, donc une suite voulue.
La suite d) n'est admissible que présentée comme e), (4 passagère).
Ex. 198a)
Dans la musique
légère, eh trouve des
accompagnements de
ce genre: *fc-9 ,
1
a
1 1
4 —
b) c) etc.
B=B
3 t=t
3=
±L M î £j î t«
rv
§sT=a n
I
& & s m
Seul l'accord fondamental de I ou de V compte, le SOL (de la basse) de
l'accord 5 ou le Ré de l'accord de Y, n'est là que pour accuser le rythme
(donner du mouvement).
Rappelons que sauf de très rares exceptions, la \ de prolongation
est médiocre sur un temps faible, à cause du caractère d'appogiature
de cette agrégation.
C. 43939 b
148
Exercices.
en les transposant.
c) Improviser quelques phrases contenant des applications des |.
fi
( Les 4 parallèles étant trop simples à réaliser, il ne faudra pas s'y attarder: deux ou
trois improvisations suffiront: une en style diatonique, une deuxième en style chroma-
tique par degrés conjoints, enfin une troisième, chromatique, par sauts de tierce, quarte
ou quinte. Ces dernières étant du domaine instrumental exclusivement, pourront dé-
passer la tessiture vocale vers le haut ou, (ce qui est moins avantageux ) vers le bas.
soufflets, fp, etc.) ne seront pas inutiles. Tous ces signes concourent
à donner de la vie et de la couleur aux petites phrases improvisées.
Comme l'élève mal doué ou lisant peu de musique (de piano surtout)
Moderato^
a)
/ (Repos 1.)
(Repos. 2.)j^
1
r c/r c/i r vzizi \,r pr p i r t - il
(Repo
AH===—-—
jy-=^- *
V
..vi Jjf
allegr o vivo. £L
b)
UirpirpiGÉTirpiGcrirpirjcrirpï
f ~ p — y
Conclusion. *
jyp I * *
Andante.
c)
jlt 1
r r p 1
r ? lt i
r p r p i
r » £7^
C. 43939b
149
r\
Allegretto.
d)
wrrirr urrri° urrrif? urrn°--ii
(riY. la 2 me fois)
Exercices Complémentaires.
6
La x qu'un accord de 4 est exige. Les
indique r 'désignent un changement de po-
sition ou de renversement.
1. Basse.
l^e phrase (l)" 2 me phr.(l)
(2)
zz:
:zz zz -o- ^=22
É
$Vi I
(2)
S •
f c » r* =5 zz ±z±
6
zz:
TU
rv
3 IV 4 y 4
v
Vv
TT
3me
p hr. (1)
(2)
H^i?
5 ZZZ
,J
° "
r i i
m il
2. Basse.
lère
p hr.(l)
i —^n (2)
SE Z2_
PiS r; g I P r;
r> -
V**
4^f
vR
^H2
mM m XE
Ir
I
2 me phr.(l.)
éit zz:
s -o-
£Vr
(2)
zz
a
-o- zz
Wr |VJ
HZ
Ir* Ir
331
IrVJ
zz:
Ir
v ou I
TV(sol)
C. 43939b
150
3. Basse.
WoJf
lèrephr. (1)
ir
X
V T*
v v vV
4
X
v
(2)
X
£ ^
a.
MM
T 6
T 4
x
T 6
T 4
x 2 me phr.(l)
Ê
(2) 3 me phr.(l)
X x x
m + m o p 3ï
-G-
Ê
%
v v t V 4 ¥
V
V v| y iv i ffw-
v f
S <9
I 1
&
I
£B
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x
m
phr. (1)
i
(2)
zz:
77
P^
4.Basse. lère phr d) (2) x x
vvw x x_
r JjJiJJrrr' r |
IV+
|
'mr
v
J
v+
V v+îv»-î v+
3 8 '
v v v
2™ e phr. Cl)
(2) x x
Si wi^w wvw
t -o^ SI
rr iv|v+ 1| i| i
5. Basse.
m É *n*
6 -tr
4 V
^ju^r
y ivy i T
22
22
v 3
agit 22
IV
3
m^ 22 -& 22
22 22
22
H
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I
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^ ^
3 f* 1
6. Basse
C. 43939b
y
151
>-MrrlpiJJlJJ r ii ppH
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^gÈ^ a=M
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tiHirr i r J SI
F Vr i ? VÉ Ir
7. Soprano.
ivi iv
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i V
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6
To v+ Ir TV, IVr Ir
IR 5 3 IV R 3 5 IVr s* Y* IR
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IVr
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6 T 6
^g|
Ir IVr- 5* V* |, Vît Ir|. Ir £Ir£
C. 43939b
—
152
9. Soprano.
att=F -JOL
3C 321
*
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*4
ËËS êÉÉ? ^P ê
Ëg i JEZjE
P^ ^ £
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Z2I &=F <v a
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i £: w r-' p
g!
4
V V IV IV
10. Soprano.
mma à g g 6
4
J_
IVr
5
m rj
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ï* Ir
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6
*,
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s
T7+
Vr
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J2ZZ22
1 m n Wr Ir 4
^R y«
«si &
p_ zz:
J2±
saut 2'
rJ
IVr
é tol
IVr
Cadence.*
G-
Vr
*w
Vr iVR Vr Ir
Exercices complémentaires.
Compositions de préludes plus développés.
v 1 \
v
I
ere
Phrase U me Phrase
C. 4.1939b
153
Les arrêts aux séparations des membres s'effectueroni sur des accords
a ,
6 6
différents (l'accord de 3 peut également intervenir ainsi que ceux * *
suivis de leur accord parfait), ceci pour éviter la monotonie.
On évitera que le Soprano répète les mêmes sons ou des dessins
trop rapprochés, ce qui appauvrit
la mélodie*. De plus, le chant ne
doit pas une étendue exagérée; mieux vaudra se tenir dans
parcourir
les limites naturelles de la voix. Par contre, on évitera aussi le sau-
tillement continu. Tout saut montant ou descendant sera suivi de
préférence par quelques successions en degrés conjoints**
——-^
m
Ex. 199a)
m
MJ
___
mm m M
1 ..- - 2 «1 1»
SOL
» 3 _
"
MI
-P- 4 ^1.
-6-
m
S
i
5
* Il y a toutefois des chants slaves qui se composent d'une très courte phrase répétée
presque indéfiniment, ce qui leur donne un caractère obstiné, fruste, presque brutal. Parfois,
une répétition peut donner de la force,- tout cela est questionde goût et il n'est guère
possible de préciser ce qui constitue le goût, car il varie d'unpeuple à l'autre, d'indivi-
du à individu.
** Dans presque toute la musique pour instruments à cordes et surtout celle de piano, se
trouvent des passages extrêmement arpèges, (je nie parle pas seulement des études)
C 43939 b
154
:zz
SOL
z£z=z2
m m
yé ir r« i F Ir vr m iv-
v V I V
~
|p \j*^^E& 00- % *=$*
m z
(21
l iv i y vi iv f i
Cadence. i
*
Vr
Vr Ir
C 43939\>
155
a + b + c + a
a + a + b + c
a + b + c + b
a + b + b + c
a + b + c + c
a + b + c + d.
Spécimens:
a)
r rr\rr irr r rr ir «
b)
rr rr }rr\fr } r \rrr\rr rrriH
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rr rr }rr\fr } r \rrr\rr rr ir I
CL
d)
rr rr }r \rrr } fWn\rrr fr Ifi
.)
rr rr rr \rrr rrrrir r\rr rrrifi
N.B.
C 43939b
156
Résumé
L'harmonisation de gamme peut à présent s'effectuer non seulement
la
Ex. 200 a)
Ê m^fTfr
m £
à la Basse jy I rv
m ÈM S i
V j l
V IV
3 IV l
y
3 15 t
3
C3) A)
V
v
* ÎB c:
i IlfilVÏI
ï1 y ivï
incorrect; c2 :
6
meilleur.
i vT I V IV I y % V ï
ds ) a*)
t à
T? T on ténor
au feTinr NlB.*
JN.iJ.
1
A=UÀ
m Aà W £
£ r^r-rrf
T soil V iv v
I
IV
§
ï
Cadence.
f
,
C 43939^
^
157
A Ex. 201.
/># Majeur ^— terminaisons (| temps fort)
i
PÉ m P-0-P-
i m m
a)
v*=1*
5
b)
m^ ê
pf^j j r r r fm £
"¥=+
î
m
c)
f=* ^mm
d) (rare)
y i J j J r J^ ÈS r J . J j J
V IVIIVIIVIIVIVI VI
Fondamentales
b)
»» J
m M'-m
**
*u &
f-' '
r
É£
jj.
1
T'y r '
m
r
m
S ^
c)
d)
& * ri
r r
'
^J^
-
ii '
Chromatismes
unj'omaxismes
*e ^^
rrWr'f
3mi|-^.iLg.:
|
y ff r^jfj g^^! r
V£ Ir Vr-Ir^IrIVrIrIVrIr V*Ir V* Ir
Fondamentales.
C. 43939b
158
n'en serait pas une, l'accord parfait seul donnant une conclusion
stable. La terminaison d3 ) n'est pas impossible, quoique inusitée, le
saut 7—>3 au soprano étant anciennement prohibé. Enfin, la termi-
4
naison d ) est certes la meilleure, mais l'alto remonte à mi au lieu
de descendre sur ut, ce qui interrompt la gamme.
En f) se rencontre aussi, à N. B. un accord sans quinte. En terminant
comme f 3 ) ou f3), on pourrait éviter ce vide, d'ailleurs très admissible,
car un accord fondamental privé de sa quinte sonne encore avec plé -
nitude, à l'encontre de l'accord privé de tierce, dont la résonance
est à la fois creuse et rude, un peu barbare, sonorité dont on peut
parfois tirer profit.**
* On trouve parfois dans les oeuvres chorales anciennes des parties de ténor descendant
sous la basse. Cette incorrection se Justifie par ceci, que la partie de basse (chorale)
était toujours redoublée à l'octave grave par des basses instrumentales (orgue, con-
trebasse a cordes, etc.) Ce redoublement grave sauvait donc la défectuosité.
Debussy. ,PeIléas
;
et Mélisande',' scène III. Ils découvrent, dans une grotte près de la mer,
deux pauvres affamés, endormis.
b) Modéré.
nante de ré mineur.
Les harmonies privées de 5 te ne sont pas rares-, la plus fréquente est celle de I.
te ii
I &
m
b) c)
<
Ex.SCtëaffi
m
Beethoven,Op.31. N93.Sona- Beethoven,Op.31.N? 3.Sona- Beethoven, Op.49. N° 2.
te pour piano. Accord final te pour piano.Dernier Accord. Sonatine pour piano
du 1er mouvement. Accord final.
m
^^
m f)
;y à ë
^
Rimsky Korsakow.Vera Scheloga.Ouverture. Rappelons les 5tes et 4tes de cors ou trompettes:
Allegro. ^ '
- ^
Timbale.
fjj J' i
p J^lij ^
(Les fanfares de trompes de chasse sont le plus souvent à 2 parties et, par con-
séquent, constituées d'accords incomplets. Les agrégations se résument à des
tierces, des sixtes, des quintes et parfois des quartes. (Voir encore la sonnerie à
4 Cors de chasse, de Gessler dans Guillaume Tell, de Rossini.)
On rencontre aussi des accords à fondamentale supprimée, ce qui leur don-
ne un effet vague, comme „suspendu"
Compositeur russe né en 1865.
C 43939*>
160
A ce résumé des mouvements conjoints, on pourrait ajouter celui des mouvements dis-
joints, en partant de tous les degrés: tierce, quarte, quinte, sixte et octave, en montant et
en descendant. L'élève effectuera lui-même cette récapitulation. C'est un travail minutieux,
qui exige quelque patience, mais qui est d'un incontestable profit.
§9 P ^r
ih mw-
tfjTrîr
N.B
•médiocre
>
k
J r J
en l'A Y I I ï I I ? I I I I I
ï
ï I
Ex. 204bis)
a)
f) g)
Les cas c), d) exigent le redoublement de la quarte (SOL). Les cas e), f)
ré, entre soprano et basse. Une telle octave ne doit s'écrire qu'en pas-
sant, comme ceux des exemples 178a-e, 181a-e. Dans une partie interne, comme
b), g), h) le défaut n'est pas apparent.
En tout cas, l'ensemble harmonique des exemples 204 est disgracieux
et ne peut se tolérer vraiment qu'à la faveur d'une grande efflores -
cence contrapontique, comme cela a lieu dans le poëme symphonique
„Une vie de Héros" de R. Strauss, (mesure 4. 5 du N? 34 de la partition)
6 6
ft
La 4 de prolongation de la Cadence I * V I ou IV
J V I ne doit
-C. .fi
s:
E a 1
v-
£ 5t 2:
sêé
&
£ O-
#
e). f)
5C
%
#a 5^
X21
b Q_
û &~ zzzg
IV
3 Wf IV
3 JSfN
mv-
C'est la une variété de cadence rompue.
(L'exemple c) sonne assez creux au quatrième accord 3 : disposition
trop dispersée.)
C. 43939 b
162 Accord de 6 te sur le II
e
degré
La 4 isolée ^ (sans quarte préparée) n'est pas admise parce que trop
âpre:
Ex. 206 a) b) c) d)
^0 35
12
:s
:zz
etc.
W
w X IV
f s IV x
Ê
Les classiques remplaçaient, dans ce cas, nous l'avons dit plus haut,
fi fi
la quarte par une tierce, transformant ainsi l'accord de 4 en 3 :
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3
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•.sur elle même)
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* C'est pourquoi cet accord devrait s'indiquer en abrégé Vr, accord de septième de Domi-
6,
nante, avec prime (fondamentale) supprimée et quinte à la basse. Mais, provisoirement
8 3
nous nous en tiendrons a l'indication Yen majeur Vî en mineur
5
C. 43939b
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163
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Les cas g), h) contiennent des quintes parallèles entre soprano et alto;
elles ont été pratiquées de tout temps, les oeuvres de J. S. Bach en
fourmillent. En 1), l'accord de £ sur la Tonique Yi V &T h 8 ou N
(aussi Y)- La relation d'octave à N.B. (m* ou soprano, mi à la Basse)
est faible de sonorité, surtout sur un temps fort, mais elle se pratique
C. 43939V
164
sur UT doit tomber sur un temps fort et se résoudre comme les habituelles f.
L'écriture de tous ces modèles ne change pas en mineur. L'exemple j f)
«
etc.
m £
c'est une succession trop fade à laquelle seuls des artifices contra -
pontiques (figuration, notes de passage, appogiatures) peuvent donner
quelque saveur.
Ex. 209a) b)
L'inverse
I 21
est au contraire,
passable.
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accord
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J. S. Bach. (Choral.) sans5 te quinte
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Voir encore Addenda p. 208.
C. 43939b
165
Exercices
sur la I du 2™e degré Y.
1. Basse. . , „ . ,
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C. 43939b
166
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168
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Le triton la t> - ré peut être évité par une chute sur sol
C. 43939b
170
6+ 3
Accord de 3 sur le sixième degré en Majeur VV et en mode mineur
3 \
mélodique, VVÉ (provenant de VVj
Ex. 213.
A ,3 voix. 4 voix.
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Ex. 214.
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C. 43939b
171
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*) croisement 3
des parties.
N.Bjto S Y" VS II
sixte correspondante VV£. Les modèles c à k auront, alors, [en mineur] une
dièse en la mineur). Comme cet accord (la, do, fa% en la mineur) est iden-
3
tique d'aspect à celui de vv en UT, la modulation du Majeur au mineur
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C. 43939b
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5 "V& (Cadence vers la dominante; La marche 6 +->-2
5 fin de phrase intermédiaire)
est justifiée- par
la marche de basse
l->7+
C. 43939b
—
174
Exercices.
a.) Recopier les exemples en les disposant sur 2 portées et dans la tessi-
ture vocale.
Les refaire en transposant en diverses tonalités.
b.)
Après avoir réalisé les exercices ci- après, construire quelques phrases
c.)
sur les modèles déjà donnés, en y introduisant des accords de sixte du deu-
xième degré. Ne pas négliger d'indiquer le mouvement ni d'user de nu-
ances. 3
Récapituler! Exercices Y> sur la sixte du 2 me degré Yj sa résolution
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1. Basse.
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*) L'intervalle de trois tons reçoit, selon les écoles, des noms asses différents: quinte mineure,
quinte diminuée, fausse quinte; la quarte qui en est le renversement: Quarte majeure, quarte
augmentée (?), fausse quarte, triton (trois-tons).La première appellation semble plus logique.
C. 43939b
176
Ex. 217
a) b)
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Ex. 218.
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Accords à l'état fondamental, * Renversements.
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C. 43939b
177
L'abaissement du 6 me degré ne doit forcément pas se faire immédia-
tement:
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178
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Exercices
sur l'accord de quinte mineure du 2 me degré en Majeur, a) Recopier les
exemples donnés; b) les refaire en d'autres tons; c) réaliser les exercices
ci- après,- d) Improviser quelques phrases contenant l'accord étudié; e) ne pas
oublier de récapituler au moins une partie des matières précédemment.
étudiées!
Remarque: La liaison encercle les cadences amplifiées, (progressions).
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1
G. 43939V
180
6
La 4 après l'accord du 2^ degré (état fondamental II ou 1« renversement ")
dans la cadence parfaite: ^
Dispositions serrées:
b) I '
cL <*)- ^gauche
(de même en
43939b mineur)
C.
181
Les dispositions e, 1 et m
sont à rejeter, comme amenant des quintes
de mauvais effet. Nous verrons plus loin, au paragraphe traitant de re-
tards (prolongations) comment J. S. Bach esquivait ces quintes. En h et i,
WV I II
ouVV
V I
vv
II
3
ou 3+
wv
XE
Même, entre
praticable
W et V, l'accord
par symétrie.
de dominante avec tierce baissée (V~) est
,d)
wv- V+I
C. 43939b
182
Exercices
sur la cadence amplifiée.
(Dominantes successives.)
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Alto.
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M 3
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VfT IV
Cadence rompue I
3 IVr Vr"
RE i/ùtt
m * au de
cadence; (conclusion .)
b) ^ fr^TTTT tr lieu
C. 43939b
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élargissement
^
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o . a
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Combiné avec un allargando mesuré:
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Beethoven. 5 me symphonie.
Allegro molto.
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J'J J J I îBi * * * mmES
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C. 43939b
18H
Ornementation mélodique des accords.
L'appogiature (voir Ex. 185) de la quinte ou de la prime de l'accord parfait rend
celui-ci méconnaissable.
Ex. 227.
Appogiature supérieure de la quinte.
a) b) c)|
C) iflj e), f) J)
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prend l'aspect d'un accord de ré W*; l'accord de Dominante (V), ex. c, prend
et ainsi de suite.
Appogiature inférieure de la prime: l'accord de Tonique J,
ex. a, prend l'as-
C. 43939b
187
Appogiatu're inférieure e et IJ g et UJ J et K.
de la prime, ex. Q}
L'emploi de cette sorte d'appogiature,* que l'on se bornera pour le mo-
ment, à placer au soprano, donne à l'agrégation harmonique une expression
douce et vague.
Il n'est pas indispensable que l'appogiature soit suivie de la note réel-
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*) Ily a, bien entendu, une autre cate'gorie d'appogiatures, qui engendre des dissonances. Nous
lesétudierons plus loin.
**) Riemann les appelle «consonances feintes" ou „accord de change." On pourrait encore les
C. 43939b
188
LÀ mineur.
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Sixte Napolitaine.
L' accord mineur du IV (en Majeur comme en mineur) amène par l'ap-
pogiature un accord de sixte contenant au besoin un deuxième degrébaissé.
(219- 220 en mineur ou en Majeur.)
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*) Le qualificatif de „napolitaine" est d'origine obscure. La grande e'cole napolitaine (dont Alex.
Searlatti fut l'un des protagonistes (1659-1725) témoigna peut-être d'une certaine prédilection
pour l'accord de sixte napolitaine, mais celui-ci était antérieurement connu.
C. 43939b
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C. 43939b
192
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Exercices.
Recopier les exemples donnés,- b) les refaire dans tous les tons Ma-
a)
jeurs et mineurs, depuis 7 bémols jusque 7 dièses; c) après avoir réalisé
les exercices ci- après, écrire quelques phrases improvisées (ne pas né-
gliger les nuances).
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N.B.1 Cette progression est évidemment d'une longueur exagérée, elle eût dû
s'arrêter à la & ne phrase 2me membre.
N.B.2 La mesure finale suspensive peut valoir quatre mesures: ainsi le 7™ mem-
bre (2.) aurait ses proportions justes. Mais en réalité, la cadence est élargie; el-
le n'est au fond qu'un rallentando mesuré de la réelle version.
N.B 3 Mais là, il n'y a de la 7 me phrase que la première mesure, (conclu-
sive de ce qui précède}) ce ré final vaut donc logiquement huit mesures!
Les liaisons indiquent les progressions selon les modèles 236 a, d,g? (dé-
placement de la VV).
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4mephr.
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(élargi)
ou non élargi
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2 me Cadence
N.B.2
On remarque que le membre additionnel est traité allargan-
tout d'abord
do (voir 237). Puis les deux cadences sont ici, trop rapprochées, étant,
identiques: la première (N.B.l) détruit l'effet de la deuxième (N.B. 2).
Il vaut donc mieux pour obvier à la monotonie qui en résulte, de ca-
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(lJ\>).
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Cette cadence rompue a été ainsi jugée par Ch. Gounod dans son „Choix
de Chorals de J. S. Bach": (Paris. Choudens. Ed.) , Cette mesure est absurde,
C. 43939b
204
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son de phrase.
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Ex. 244.
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Orchestre.
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pour Piano
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et Orchestre
„ a
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2 me partie. Romance.
C. 43939b
208
Addenda
aux l ère et 2 me parties.
Accord de 3 sur le II me degré produisant un accord de Wr (au lieu de
l'habituelle VVr ) (p.i62 et suiv.)
PE3 itt 3=
"*T
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i
4 i
6 me degré
Accord de 3 sur le II II
3 J.S.Bach Choral N919.
J.S.Bach Choral N? 30.
t 3
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£=2 S f- ^%
b) 'N.B.
«*
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j3 _o_
g
r W f¥
Accord de IVIV ou IVIV."
*
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V
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Accord de 3 du
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au lieu de
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En UT . en la
Q
J.S.Bach Choral.
IV IVIV
t_Û ^ IVIVr
Page 102r
IrVr «I VJVIVrIVr
- la 3 5
* 3 de IViVïï. rrlV I
Résolution évitée (Cadence rompue J
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Chromatisme du mode mineur. Page 69
J. S. Bach Choral 101. Inversement.
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n rr m f) \ Majeur:
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IVSVVS
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3+ 3- 3+ 3-
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3 3-3 3-
C. 43039b
—
209
TROISIEME PARTIE.
Modulation.
Moduler c'est changer de ton.
Passer au mode opposé (d'f/77 Majeur à ut mineur, ou inversement)
ne constitue pas une réelle modulation. Aller au relatif (à'UT Majeur
en la mineur, ou inversement) est déjà une modulation, mais elle est
peu accusée, à cause de la parenté étroite des deux tonalités. (11
est rare que dans le courant d'une phrase, même unitonique,on ne fasse
pas quelque emprunt, ne fût-il que passager, au ton relatif.)
Une modulation s'établit dès qu'apparaît un accord caractérisant
un ton nouveau. Par exemple si dans une phrase en UT Majeur (située
par conséquent sur une harmonie V, I, IV) on introduit un accord de
SI Majeur (si, ré dièse, fa dièse,) cette agrégation, étrangère au ton
à' UT, indique un nouveau ton. Lequel? Le reste de la phrase nous l'ap-
prendra. _f\
1) W de LA
2) V de MI (Majeur ou mineur)
3) IV de FA dièse (Majeur ou mineur mélodique,)
4) I de SI Majeur.
Le premier cas nous est familier (voir p. 90)
Le deuxième et le troisième cas amènent une cadence plagale ou
parfaite qui affirme le ton.
Ex. 245.
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N.B. (g) Le 2me accord ne donne pas
le sentiment d'une tonique, mais plutôt d'une dominante,
à cause du bécarre de l'accord qui le précède, il y a donc absence de note sensible.
sol
Une altération de la quinte du premier accord (sol dièse) obvierait à cette incertitude.
C.43939Ç
212
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Tierces descendantes
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N.B.(r) Rejeté de la pratique ancienne, à cause de la quarte directe du 2 me accord
(mi-la) Renversé en 5*** l'effet serait encore plus abrupt.
Ex. 249.
Chorals de J. S. Bach
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a) Choral 42. b) Choral 106.
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C. 43939?
214
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Le Quintette pour cordes
et piano de C.Franck contient mainte suc-
cession chromatique en tierce d'un effet neuf pour l'époque où cette oeuvre
fut conque.
C.Franck. Quintette.
Ex. 251. a)
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Les exemples m), n), o),p), q) N.B. sont incorrects selon les lois classiques;
les modernes les utilisent sans peur.
En tout cas, dans les ex. p) et q) (secondes) les quintes parallèles sont
atténuées par la relation de tierce entre soprano et basse.
C. 43939?
—
216
+
La marche I I" (par exemple UT, ré mineur) est plus satisfaisante, par-
ce que la note sensible n'est pas obligatoire en mode mineur.
Ex.ft252 t 5r _
33: -o-
É -©- Le manque de note sensible donne
neur antique.
le mi-
+
La marche (par exemple ut mineur -RE Majeur) n'est pas non plus
I" I
Quinte mineure (=4te Majeure) (se reporter à l'étude sur la 6te Napolitaine).
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C. 43939Ç
219
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SOL MI
FA RE
Il en résulte que le ton à'UT est commun à SOL par deux accords,
à RE par un accord, à FA par deux accords, à SI bémol par un accord.
Si l'on ajoute au ton d'UT les accords de W, IV" IVIV, IVIV et les
relatifs I*, IV*, IVî, V*, Vî, IVIV*, IVIV;;, W*, W; Ion trouvera encore
maint point de contact avec les tonalités susdites et d'autres.
Pour les tonalités voisines, l'on devra également tenir compte des
parallèles; tout cela mène assez loin:
Ex 259
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et pourrait s'étendre davantage, par exemple par les accords de W et
C. 43939Ç
220
Ex. 260.
V I
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I WV I I Vaolao IV IV I
Modulation indirecte.
Au lieu de passer directement d'un ton à un autre, il y a souvent
avantage à moduler vers quelque degré secondaire du nouveau ton,
puis à cadencer dans celui-ci.
Ex. 262.
Par exemple: au lieu d'aller
directement d'UT à RÉ (par V, ou
IV,V) on se dirigera d'abord vers
mi, qui est le 2 me degré de RÉ,
m^^ a)
-&-
XE
^ m w -©-
(=IVr)
l'habituelle
d'où l'on ira
cadence V,
vers
I:
RE par
m m: ÏE
UT-
J
Cad. plag. ;
Ml IVr Ir I
Cad. parf.
RE V I
C. 439399
221
ou bien, au moyen
fcjj-»- s-nte te Z33I
ou par d'autres
de la cadence pla- b)
cadences, élargies.
o
gale W, I:
m ÏE
-G^
XE imr
-o-
rr; |
Cad plag
IVr Ir
I JK7
j
ré M (IVr) I j
Exercices.
Modulations.
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l ere phrase 2 me phr.
1. a)
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N.Bî La 5 me phrase est écourtée, elle n'a pas de 2me membre, c'est donc plutôt une phrase
additionnelle à la i 1116 .
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N.B. La 5 me phrase est d'un caractère transitif; elle ramène le ton de SOL et le re-
N.BÎ Ces deux exercices contiennent un thème, ou motif qui revient plusieurs fois de
façon identique quoiqu'en des tons différents.
Dans l'harmonisation de la Basse, on aura soin, au „thème" de bien régler la marche
mélodique du soprano, afin de donner à celui-ci une physionomie qui le fasse faciltre-
connaître à ses apparitions.
*)
U. Basse. Thème, jusque
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4. Soprano. 1 er membre ( 3 mesures)
Thème, jusque *)
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V I IV V I z.4 IVr Vr 3 IVr Vr r
Thème, jusque *)
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(2) N.B.
ÉÉ [° 6 U à <>
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ainsi:
pli (élarg'issement écrit au long")
DCE -O-*-
C. 43939Ç
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-©- 1 mk h: Sh €>& %& &&
5CÎC5
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Les modulations des exemples 263-64 sont serrées: mais assez nettes,
l'accord parfaitlaissant rarement du doute quant à la tonalité.*)
*) On trouve dans les oeuvres modernes des périodes complètement atonales. L'emploi
de certains accords dissonants aide à produire cet effet imprécis. Avec des accords
parfaits hétérogènes (en secondes) ou chromatiques, on peut obtenir quelque chose
d'analogue.
A). T ^i ^-T > * B—
)_r^~g ,vt
C. 43939?
226
1.
HV V
UT y
é 71IV
y I
3 0I1
JV
3 IVR
N.B? Succession en seconde.Attention aux quintes!
N.B 2 Le demi-ton chromatique dans la même voix.
N.B? Si on adopte la succession V"-L, il y a succession de seconde.Attention
aux quintes, alors.
N.B* Finir avec 7-1 ou 2-1 au soprano. De même pour les exercices suivants.
V SOL 3
3.
§*1 : 4
22l
o
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V+ Ir 5 Ir «h Vr
N.B?
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SOL V I : I
€.439399
g
227
Cadence
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"O"
sol Wr Vr ^ V FA IV
3"
N.B?
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*
Ê
IV Z,l '.IV *?" VémtV
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s/t 3 1V
" "
N.B.1 2 3 Succession en seconde.
*) D'ici à la fin, période additionnelle de 2 + 2 mesures.
soi)>z~
N.B? N.B>
SiWV 3
" " "
N.B.1 2 3 4 Succession en seconde.
De *) à la fin: Seconde période de 4 mesures continuant les premières.
Cette mesure en f peut être considérée comme une double mesure de f ;
VR 3 3
^b7
n i'u f^B?N.B*
IV
3
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3 siJVR V?
£-
3
R
N.B?
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NB 1-2-Ï-4-5-6 Succession en seconde.
C.43939Ç
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1 7 3 -Z3HI- Y ^Ft s etc.
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Beethoven, Schème d'après la Sonate Op. 302 pour violon et piano.
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C.43939Ç
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Schéma harmonique.
Ir Vk rr I V V I
N.B. La tierce (7 e d.) manque
^?TÊà
f) Schéma harm onique^
nm fn s^ fàr ttjj
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IV I a;j
i=^_*
IV
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I V
I
etc.
Progressions consonantes.
Quoique les progressions soient actuellement tombées en complet dis-
crédit, il est utile cependant, pour compléter nos données sur l'harmonie,
d'en faire une étude aussi complète que possible.
La progression harmonique appelée aussi marche ou séquence har-
monique, consiste à répéter à des intervalles réguliers, un groupe de deux
C. 43939?
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N.B. Harmonies sous-entendues; dans
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la partition originale, des
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gammes
etdes arpèges en tiennent lieu.
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Application de h: Finale de l'opéra Guillaume Tell, de Rossini.
C. 43939?
233
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Cet accord remplace celui du VII degré TS" etc.
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Quartes descendantes (= quintes montantes)
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Thème
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N.B. La polyphonie est réduite aux accords fondamentaux. A remar-
quer que le thème des mesures (1.) et (2.) a un caractère nette
ment accusé de progression; mais l'harmonie n'a pas cette tendance.
A la 3 me mesure commence une progression bien définie. Les deux
parties de la main droite répondent en imitant le thème. Les
oeuvres anciennes jusque Beethoven foisonnent de progressions :
C.43939Ç
23-6
Ex. 270.
Dom. Scarlatti. ) Sonate pour Clavier,
a) b)
Thème.
Et &m+
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A
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Progression amplificative.
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Ces procédés sans avoir complètement disparu, ont bien vieilli. Une
mélodie bien dessinée, des entrelacs polyphones intéressants en peu-
vent dissimuler la pauvreté.
On rencontre encore de nombreuses formules progressives dans la
musique de la première et la deuxième manière de Wagner, (voir
Ouverture de Tannhasuser, progressions chromatiques un peu avant
la rentrée (en Mi) du 2
me thème principal, (Chant de Tannhaeu-
ser exaltant Vénus). Certains passages de Parsifal, notamment dans
le prélude, sont encore basés sur des progressions, dont plusieurs
sont a peu près diatoniques.
Les progressions modulantes et chromatiques offrent parfois des
ressources encore * peu exploitées.
Ex. 271.
Rimsky- Korsakow**). La Fiancée du Tsar.
*m
IB.(ex.a) <* * S
(Le modèle est une succession en n , Ir -
e , A i T „ »
TTr
(-5) R. Wagner, Siegfried. Acte 1, scène 111,
tierce qu'on pourrait formuler: IV" W). et Acte III, scène I.
*')
Dom. Scarlatti, fils d'Alexander S. (1685-1757).
**) Rimsky -Korsakow, Compositeur Russe (1844-1908).
C. 439399
^
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Quelques formules
de progressions scolastiques.
etc.
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239
Alternances d'accords Majeurs et mineurs.
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^ (similaire à. m.)
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etc.
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Beethoven, Symphonie Péroraison de la
l ère partie.
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la; I •PW
^1 É 3 •>=frrr
^
Weber. Ouverture de l'Opéra „Oberon". Il y a dans Euryanthe et dans
Jubel- Ouverture du même auteur, des passages analogues.
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C. 43939?
241
mineur:
ÉÉÉÉÉÉ
**f etc<
¥g^
a 3 ^r r!rr i
Les formules b, c, d ne se
faisaient qu' avec des fondamentales con-
tinues à la basse. Les alternances de sixtes et accords parfaits se-
raient pourtant d'effet plutôt doux:
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N.Rimsky-Korsakow. „Mlada" Opéra-Ballet. Belaieff, Editeur St.Petersbourg.
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en sens inverse i j
et en sens inverse |
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C. 43939Ç
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4 mes. 4 mes. 9mes.
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4mesures 4 mes 4 mes.
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Beethoven. 3 me Symphonie
g)
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etc.
C. 43939?
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245
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Ex. 276. Vfnrrî
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Puccini. La Bohême, Opéra. ( Ricordi, Editeur, Paris. Milan.)
b^) Modéré.
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fe etc. Même œuvre.
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C.Cui.*) Prélude de l'Opéra „Angelo"
Successions en secondes combinées avec une pédale I tenue au supérius.
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C. 43939?
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Nous avons déjà fait remarquer que le chromatisme tempère abso-
lument l'effet âpre des quintes ou quartes parallèles. (Voir ci-dessus,
ex: b, c, d, e, f, g.)
C. 43939?
249
QUATRIÈME PARTIE.
Accords parfaits.
Suspensions (ou prolongations).
Quand une note descend d'un degré, cette descente peut être
retardée, (suspendue) par une prolongation de la première
,
note
aux dépens de la seconde:
Ex. 278,
a) b) c)
jCE XE 30E
Ê Ê
d)
zz:
A
^£? f S
f)
PP
En a, la note ut descend à si. En b, le si est suspendu, (retar-
dé) du fait de la prolongation de Vut. Quand, dans l'exemple b, le
Ex. 279.
mesure l'
m a)
ut on suspend
&
donc
le si et l'on obtiendra ps b)
t t
note note
prolongée suspendue
C. 439394
250
Inversement, la septième se résout sur la sixte supérieure:
Ex. 280.
supérieure
des dérogations à ce
dis-
Ex. ,281.
')
a)
» I
.
è^
ï
b)
XE
5-6 C)
XE Jtt
n d)
XE
5-6
SE
r
Ex. 282.
XE
La quinte suspendue donne la sixte:
È
Ex. 282.
TE
Sauf l'octave, que nous verrons plus loin, toutes les prolon-
gations des accords parfaits se résument à celles-là,— tierce
XE
m
supérieure, tierce inférieure, quinte. Voyons les applications
dans les triades.
é xe é=à SE ibé
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^
retard retard retard de la
de la 3 ce
b) de la 5te •) 3ce et de la 5te
IC
XE XE
-*-B"
UT V. V
I
d)
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retard
de la 5te f)
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3ce et de la 5*e
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3+ 3+
la II Vr. I Vr"
C.439394
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S'analyse comme les exemples 283
Exercices
sur les Suspensions.
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y. O
Transposer en d'autres tons
et varier les dispositions.
II. Amener les accords suivants dans une tonalité une position et
Exercices.
Suspension de la Tierce.
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1. Basse.
XE
— *.o
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331 zz:
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W - f
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32
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2. XE -3+
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3+ 3+
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.3+
37~ 32 -©-=-
6
4
.3+
-O-1-
XE
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( = IrÏ
C. 439394
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253
Suspensions tierce
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et quinte.
~V3 "~~-V3 3 ~^3
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Ex. 285.
CT IV
*LA eée3
El
a)
6
IV I la IVr 4 r(+)
3(- 5 VR
^_ 5
46
Le chiffrage v indique au contraire l'agrégation 6 placée sur V
avec sixte retardée. Ces deux formules peuvent s'employer indiffé-
remment, quoique la quarte et 6 te suspensive sur V soit plus logi-
6
quement indiquée * .
C.43939d
256
fe
TTT^Z ?*=®
')
(à)}
e) f)
*E=
•3'+) '3(+>
IVr VR IVr 4
3 IVr
(F)
(?)
Ex. 286
IsSU âfeE £3
a) b)
*zr I
~gg~ 22
3E ±fc
«) d)
^F
>3(+) •3(+)
/a I« V (J)
5
Ex. 287.
*U *U
a) b)
«ÏP
I
IV I IV IV IV
rr 5 3
(D de passage
c)
r
257
La suspension se pratique également à la basse: (voir para gra -
phes précédents.) La note retardée ne peut être doublée dans les
accords i_ 3 et Y_ 8 .
Ex. 288.
a) b) c) d)
m
IV IV IV IV
•e) f) h)
*F
IV IV rr
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H" ie nat. H» ie ret, H" ie nat.
I m)
^
n)
^
i)
EP" e ret.
^ I
H» ie nat.
I
H nie ret.
C. 439394
258
Les suspensions de tierce, de quinte, et de tierce et quinte,
(retard double,) sont faisables dans toute succession d'accords
en quinte montante ou quarte descendante:
Ex. 289.
a) etc
I b)
f=$f
etc
m -3+
UT W I V la IVr Ik.
«U
h) position large
a) position large etc.
^ j
-
-A J
etc,
m m
UT IV la IVk
UT IV i
C. 439394
4
259
Suspension de tierce et quinte
Ex. 290.
UT W
Du Majeur au relatif.
g)
J .,
^
*=**
1
) *
T^
passager
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h)
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m 3 \>3 ^3
UT V la W* UT V V" la IVr UT V la IVr.
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^
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S
^r v la IVr . IVr. IVk.
la IVTVr IVIVr
C. 439 39
d
260
Toutefois cette altération de la tierce est facultative. L'accord
de quinte suspendue (h) fait meilleur effet avec la suspension pla-
Ex. 291.
& *J n =r 1 n °C ,7" *J-
Ex. 294.
o
^e J
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O
j
J
o
J o
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Ex. 296.
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S ^ ^
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^ ^= s ÉEÉÉ
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a) b)
m 3T JOL XE jŒ
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4 —
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v V v V.
Ex. 297.
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retardée H"^ e retardée Hn ' e non retardée H me retardée
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m XE -O-
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ou IVo V ou rvR V
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_n_ JL 3 4
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v OU IVr ou IVr
ou IVr ou IVr 3 3
C. 439394
. . .
263
prime, lorsque celle - ci se trouve déjà attaquée a la basse ou dans
une partie interne.
Ex 298.
.
:à- XE ^
^ -©-
xr ^
4 2
a) a b) b )
S 33:
xe XE
V I V V
3 3
II ie nat. H ie ret H ie nat. Ilie ret.
UT I IV I IV I
3 IV 1 iv
H ie nat H le ret Ilie nat. HJ e ret.
2E s
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2
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Hi e nat. Hie ret. H ie nat Hie ret.
A± <*^~\v t»~7J^g
S H o. o XE XE
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B
la Ir IVr Ir IVr 3
Ir
IVf 3 IVr IVH
Hie nat. H ie ret. H ie nat. H ie ret.
C. 439394
. . — 3
264
A retardement se produit surtout sans redoublement,
la basse, le
de la note retardée sur la note prolongée, sinon, très brièvement:
Ex.299*
4
®mm
a)
3^
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b)
1
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v-, IV ,
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I-
—
de même en mineur
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c) d)
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7 me 8 d)
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Ex. 300.
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XE ^=^
2 n'est pas
a) a8 ) b) b ) général admis
1,
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C. 43939*
. .
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-&• -©-
n'est pas
2
c) d ) général'' admis
^ -©-
I IV i IV I IV I TV
3 3 3 3
H ie nat. Hie ret H ie nat H^ ret
m
parce que les chocs de seconde en a-d et de septième en b-C ne sontpas
conformes à la vieille règle de résolution des dissonances déjà énoncée. L'a-
grégation de retard manque de clarté, elle forme „ paquet"
s ^ ^ S *-»O s 3F C Xt *t a à
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a) b)
S— î
o- q q o p XE o "
w IV V IV I
5
IV
3
IV
3
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C. 439394
266
passagère
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2:
•£>- 3F HE ±\ ^m^ g s 2KE
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Ce retard
6 susp,
S susp.
Ex. 303. suspensive
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a)
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b)
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'susp. susp. tt
susp
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d)N.B. e) f)
—V6
V>8 n /«IVr 4*6 Vt IV rt
5 Vh
ouWr
267
Rappelons que la | passagère se chiffrerait
^£ 83 8
y ou y 3
^ c'est a.d. par
5 3
Ex. 304.
m
d) f)
S BE
a a
h)
m e)
Et
aL-j-
BE
même temps qu'il était chanté par le choeur était aussi exécuté
sur l'orgue, dont les basses se redoublaient en octaves.*
C. 439394
268
Le passage suivant de la „ Messe du Pape Marcel'/ de G. P. da
Palestrina s'explique plus difficilement, car cette oeuvre s'exé-
cutait a capella (sans accompagnement).
Ex. 305.
h (o>
-Mte-
^
Ténor
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1
Basse -O-
m XE
Ex. 306.
A N.B.
^ 3 •^rt
a)
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22
b)
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*F 3T XE
1 ïï(=IVr) I II(=IVr) I II(=IVr)
N.B. La note sensible descendante, au Soprano, est assez usitée.
a)
Exercices.
On commencera par récapituler les diverses sortes de suspen-
sions, en recopiant les modèles donnés que l'on transposera en-
suite en diverses tonalités: dans cette transposition on enchâssera
l'exemple d'une ou de plusieurs mesures de préparation et d'une
ou de plusieurs mesures de terminaison, de façon à former une
C. 439394
, .
26 !>
Ex. 307.
préparation" (306 a)
m conclusion
•'
± 3E XE
«
Tf S-
-G- ~&r
mm IHE 22
22
22
Ê
331
35:
la\ V IV(=Ir) IV
préparation'*, • 'préparation-.
a 306° '|306 D a306 d ' 13,06-i conclusion
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22
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3 Mb 1 22 3TX 331
-Vga)
22
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v w(=Ir) nov^v
3
ï
3
ï Wrw vi VrIr
résoudre, le tout dans les tons de SOL, RE, LA, MI, SI, FA,SÀ>,
en 24 tons différents.
3
IV. Retarder la tierce dans les suites I-IV-I -V-I, cette 3 ce
placée dans les 3 voix successivement en 24 tons
V. Retarder de même la 5 te .
C. 439394
4
270
Exercices.
1.
Basse. (Retard à la basse)
zm FA
221
g 22
rv
s
3
iv
£
vi(=Ir)
-G-
n(fivR)v
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22
Vt(c.RMR(=IV)lV-
N.B. FA
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^m
2. 8
Retard d'octave (I )
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z£=& 22
IVr V£ !-
mm
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IVr
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22
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271
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5.
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(idem.)
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272
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vi ^vî c .R.viR(=iy)v 1 V I
I
Ajouter à ces exercices quelques improvisations de (2+ 2) + (2 + 2)
C. 439394
.
273
8 3"
Donc * oif 1
signifie accord du 1 er degré, re-
De même pour le chiffrage des Ù. suspensives (voir page 265, Ex. 302.)
— —
4 ,
Ex. 309.
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Xf
XE g XT
a) b) e) a)
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XE
XE XE XfCE zzz:
^; XE
TT TKT xr (Familier au
h) style.de Bach)
^
e) f) e)
zz: s:
IV
3 v^ y y^ y v^
De même dans les autres positions. Seuls cas usités; les dispositions e et g*
ne sont généralement pas admises, a cause de l'attaque de la note retardée,
à mois que le retard ne soit bref comme en h.
Ex. 310. Cadence rompue.
ê XE ^
a) b)
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XE
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-»»3
ut y v (C.R.)VI
=±â vV (cr.)YL
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ou Ir
C. 439394
—
274
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Ex. 311.
Œ
-&- m H
^- m
e) d)
-o- -©-
-&~ -e-
XE 3E
Vif
h yi
I
(se rencontre dans l'Ouverture comp.par IV
Edg\ Tinel pour le Drame Sacré Godelive .)
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N.B.à éviter
C. 439394
275
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I?
Ce que nous étudierons plus loin.
§ XE
=*-*-
Ir n VL
IV
Le passage de l'accord I à l'accord II (=IV« ) se pratique de la même fa-
—
çon que V >VI et IV > V. —
Ex. 314,
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XE XE
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XE XE
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XE XE
ii ' . ii
ou IVr ou TV
ou IVr
3
C.43939d
276
Suspension dans l'accord de sixte du deuxième degré. (De même en mineur
sauf en e, f assez rudes.)
Ex.315. Préparation.
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b)
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m: 2 3DKE <> 22 p
c) d) e) f)
5E3 -©-
**- £ ^ — >»8- -M*-
JL V
3 II IV
3
ouIVr 5 ouIVr 5
Exercices.
Récapitulation des suspensions que l'on travaillera tout d'abord de la façon
déjà indiquée (p. 269.)
Ex. 316 1
l3O9transp.en£0Zi 312?
3 1
TT
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315 f
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II
fi
™ P^f
J ^
J:
XE
etc.
Après quoi, l'on procédera à la réalisation des exercices I-XI page 277.
G. 439394
'
277
Exercices.
1. Brasse.
m 3f=P
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-*-8 -*3
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V 3 IV V
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C.43939<*
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278
2.
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C. 439394
279
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5. Soprano.
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u. Soprano.
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P^m C. 439394
IV'
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1
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—
280
Successions de seconde descendante VI-v>V. Aucune nouvelle explication
>ûct à
n'est nninipr»
o donner
Ex. 317
é S
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W3
~*
-T
De même en mineur, sauf pour l'exemple f, trop dur s'il est prolongé.
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XE xt xt
C. 439394
281
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XE XE XE
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SOlW IV I IV I IV
tierce et Le mouvement direct vers l'octave
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XE
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quinte
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I H ir j)
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g xr S xr
i)
m -O- XE XE XE
UT IV V^ IV V IV
C. 439394
282
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*»*
ou et prime octave
I
(IV* ) octave et sixte
xe XE à=à i
oo XE XE XE
^r «*
m) n) o)
XE XE
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gW^ — ^8
IV 6 IV
« 3 4
IV(IVr) II(IVr) V
3
S
sixte et prime prime
N.B. octave deV deV
gw XKE i
I TT XE
r)
XJCT
etc. ainsi
P) q)
qu'en mineur,
^° JQL
61: ir XE
.IV" W(-)
(V)i
^__^
HU XE *i O *i
_Q_
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XE XE XE S <1
a) a a) a*)
a»)
-o-
«^ XE XE
XE
8 "#» T V** 3
I VVsup. 1 Wsup.
(N.B. #3 est calculé par rapport à
3 +
VV fondamental.) Revoir les applications
,
C. 439394
283
or (ave
et sixte
à=*â i
-O-
XT
b)
—cr
b 2)
\^L
c)
^ sa
N.B.
XE ^fe.o
sas
••
3E
^3
VVsûp. V VVsup
5
VVsup.
5
octave
^ ^
et sixte
XV ¥r—fi-
jŒ
c*):
"5CT
d)
rr
d 2)
5
T
1 3
VV
5
échange
Ex. 321.
jCE
an XT
tierce
^
appog-.
quinte
et tierce
S
appog-.
A_A
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a) b)
•r r o)
g xr xn xn
W
3
W3
VV
3
V
5 5 V 5
S
d)
S
LA.
double
appog.
O
e)
x£
La
"3TO-
_Q_
e 2)
s
-©-
La
-&-+
XL.
m 3
3 3
VV VV VV
5 5 5
C.439394
284
Le mineur amène quelques suites parfois
d'aspect assez audacieux.
i_l XE
m
f£* XE
xr
ËÊE S
s: ÉÉ
xr ::: «>
2!
^
d g (a) êT(b) fY
-©- O O
^ xe XE
a ÊeÉ XE
W 3
aM o-
IE
«JJ.
XE
y_i
PP
n o
j~l±
3evoix
jmj
TZr:
c> e e /àrejeter,trop
a£ M
h( i(d)
Vr
& -*»- fâ -=*^t-
5
L'attaque du VI"(/al»)suivant immédiatement le VI + (/a'l) est considérée à tort
Y?
«E=
12:
*5^
£ £=ê
(UT)V IV IV V
~-* 8
la min.
3 Vr
e) f) e) h)
o
XE
xr 1 TUT
xr
g 1
IE
C. 439394
—
285
i) k) l) (prime)
j)
42.
3 22
XE
O-
-G9- xe
TT
12, l
XE 3 XE ÎT ^
«F ?7
vv
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ii£:
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£ Z2: £r^
iviv- 3
Ê
m
m) n) 0) p)
Ol
AXKE
g ^
xe XE g=Z g fc»g
XKE
xr ^ xf
etc.
5$=£ ^Ê
XE XE
F f J
de
i
même
': \w w
en mineur.
L'exemple e est aussi praticable sur lai V+. Les exemple h, i, j et k sont
faisables en mineur.
A remarquer qu'en m, et p,la note d'appogiature permet d'esquiver des
5 tes parallèles.
-G ^S. S w «
z?
5^9
^ te XI
S fcl
Pp
et de la tierce lorsque celle-ci engendre une 7 e mineure. Le redoublement
est donc à rejeter.
Ex.322Ç r)
) p) q) etc.
t fi :
XE
SE
S Vf
ISr
IV*
rejeté
Ï
C. 439394
286
Celles-ci, d'un effet souvent me'diocre, deviennent moins raides par l'ad-
Ex. 323^
-©-
xe
M
^=B
XE
-«-
xr
a
XE aU
xe
_o_
-o- <>
a) w 0) a) e)
3T xe
o
S ; <>
—5 —1
v r* ~—i
rrV IV IV- V 3 IV
3
V IV
3
3
*=g=*
ÏE 8-g ^«_<J
xxr
s —ï
O # Ê
f) g) h) i)
j)
XE XE -o- XE XE
5E=**=
W IV IV
^ m Es
»N.B.
A la
m)
|3£
basse (peu pratiqué)
^ff
n)
S
k) 1)
fi
I
<* - zz: xc
mmeur
mu
etc. inusité
S3Ë 00
xr XE
XE -©-
xr
XE
H
il r-
XKE
0) p) <Ù r) s)
«V^ ?
S XE l <l_/?
i XE -©-
V3 IV V3 iv- iv- W
3 — 3
R
C. 439394
:
287
J. S. Bach. Choral. (rejeté par quelques
Itofei
théoriciens.)
i =°= =1- '
H TKT
H&É J p. H
s "M
IVr
r r
Ir
L C
Vr IV
3
u)
HE
P?
ri
ZEE
PÊ
—3
V- IV et Vr - IV» (marches de voix assez semblables à celles de 323 A
)
À — (liaison)
etc
.„
C^
^-^1 |
Jeté,
.
u
noo ^.
Q
^^ „
"o- 1
—
1
TKT
„ «
o
TT"
*>
^
_
TKT xezzz:
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a) b) c) d)
H
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PT 7a
* §=ett
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8
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a) b) c) d)
o PQ 3E » Vb
IV IV-
3 3-
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u etc.
ur
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h)
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de même en mineur, rr Majeur.
*
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-o- 3SE
3E
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i) a 3 parties
j)
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Dans les exemples d et 1,pour amener le ré\>.
le mi\> est nécessaire
La suspension sauve dans les exemples f, g", h, i, m, n.
les quintes,
L'exemple g" contient un spécimen de double retard avec, dans d^autres
voix, l'harmonie non retardée,- de tels chevauchements de sons ne se prati-
quent qu' à l'orchestre ou à l'orgue.
Formes appogiaturées.
Ex. 324?
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Aucune de ces formules n'est plus en usage, sinon par menus fragments.
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(N.B. Noires: notes complémentaires.)
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J.S. Bach. „Crucifixus"de Messe en si mineur.
Préludes:
di_ etc.
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(en 8Ves)
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Accords fondamend?
plus loin:
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ment) les harmonies du chœur; on remarquera que les voix (du chœur) émet-
tent par ci par là des notes d'ornement étrangères à l'harmonie fondamen-
2
tale, (d mesure 3, soprano; mesure 5 alto, etc.) On constatera encore que
le dialogue des flûtes et cordes s'effectue sans marches d'octaves(resp .unis-
sons); l'auteur les évite soigneusement, il en résulte des sauts parfois un
3
peu naïvement contournés. A la 4 mesure de d (N.B.) la
e basse du chœur
est redoublée, dans les éditions récentes de l'œuvre, par les basses de l'or-
C. 439394
292
Suspensions montantes.
Diatoniquement: Elles ne se font que par résolution à un demi- ton:
Ex. 327A îgton .
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Ex. 328. P* ss -
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N.B. Les accords incomplets des ex. e-f évoquent l'époque lointaine de
l'organum. Toutes ces suspensions sont rarissimes dans les formes simples
citées plus haut.
C. 439394
294
Suspensions Combinées.
La prolongation montante complète le plus souvent la descendante^
on les rencontre accolées de la sorte depuis le seizième siècle.
Ex. 329.
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b. idem; autre disposition.
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VII. Suspensions montanteschromatiques: retard (chromatique)
a) de la 3 ee de ce de IV précédé
I précédé de V ou b) de^; c) idem de la 3
299
IX. Suspensions combinées-. Réaliser dans tous les tons les doubles
retards suivants-, a) l me
^ précédé de I-, lme de *" précédé de V;
dans
b) (direct ou par e) les deux suspensions en mineur d) ^R et
échange)
e) I R jd-f avec et e-g sans chromatisme de la note prolongée ascendante;
h) 6 te dans l'accord du II degré précédé de h) IV, i) * ou j) VI (Ir) en ,
hk) ik) jk) hl) il) jm) hn) in) jn) Majeur, mineur et Majeur mixte.
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27. Suspensions chromatiques montantes.
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Ex. 336. Suspensions montantes.
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l'époque bachienne.
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Exercices préliminaires.
1A. Récapitulation.)
I. Amener et résoudre dans tous les tons les résolutions différées descen-
dantes: a) prime dans l'accord I suivi de l'accord VI ou IV. b) tierce de l'ac-
C. 439394
316
de Ir et suivi de VV
prime dans l'accord I suivi de Ir i) prime dans
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prime dans l'accord V précédé de p) VV ou q) VT et suivi de Vu.
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1. Résolution différée des suspensions.
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326
CINQUIEME PARTIE.
Altérations des accords parfaits.
Dans tout intervalle de seconde majeure montante, il est possible
un demi -ton passager:
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) Quintes parallèles peu marquées, étant internes, de plus, la première
2
étant augmentée. On peut esquiver ces quintes par la disposition g ) ou
bien en doublant la basse comme en g 3 ).
N.B. h3) quintes peu accusées qu'on peut éviter par la disposition i).
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N.B. d- f) quintes peu apparentes esquivables comme en d ) et f2 ). La
3
basse doublée de i'ex. f ) est conforme à l'e'criture bachienne.
La succession iv
" V amène forcement des quintes parallèles, esquiva
blés comme suit:
Ex. 3471"
M -o-
-©-
m : rJ o
-o-
^ É^
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& f* ?£:z £
a)
TT
b) c) d)3 VOIX e) f)
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Ex. 34S A A
S
3 voix
£4 S ^4^ _Ol
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a)
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m IQ-
Ml
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348B
s ou doubler
2 me
la
partie,
m
Ex. 348°
s
rait doubler le etc.
également à
soprano à l'oc-
« HE
tave grave: m4 |! gjta l'octave grave: t^Sl
ou, encore
basse (au dessus
la mw
Ex. 348D
H
ou a
l'unisson:
Ex. 348E
wft &-§:
de celle-ci):
p M m
4V il» M e»
toutes ces dispositions réduisent l'harmonie à 3 voix.
r=p EÈ; fm
s
etc.
jt|°
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C. 43939Ç
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N.B. Les deux quintes parallèles de b), c),1) et m), étant dissemblables
augmentée) ces successions sont admises
(l'une quinte juste, l'autre
par les conservateurs. Des suites comme 1) et m) sont dénommées quin-
tes mozartiennes, parce qu'elles sont familières au style du grand
compositeur.
C. 43939?
1
336
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Quinte mineure.
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C. 43939?
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337
Exercices.
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N.B.1 Prendre garde à la position qui, mal choisie, peut amener des quintes parallèles.
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L'intervalle | est dissonant et forme une sixte augmentée qui ne sonne
vraiment bien que sous forme de note passagère chromatique. Le saut
direct sur l'accord avec tierce + n'est donc pas recommandable.-
Ex. 353.
*
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C. 43939?
342
^
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I i «
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La hausse de la tierce des accords parfaits mineurs ne fait que
transformer ceux-ci en accords Majeurs et ne constitue donc pas une
réelle altération. Il en est de même de l'abaissement de la tierce des
accords parfaits majeurs.
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1
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8+ 8+
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*) Voir Beethoven, Variations pour Piano sur un th.de Diabelli.
5. 6.
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etc.
B Octave dans la f
7. 8. 10.
3 3
3: 5 32
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C. 43939?
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343
12. 13. 14.
11.
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16.
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17
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Ex. 356.
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C. 43939?
345
C. Franck „Hulda'.' Opéra (p. 5 )
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5> Harmonies à 3 voix dont une
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Ex. 357*
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C. 43939?
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Les accords mineurs avec quinte augmentée ont moins de saveur} ils
Ex. 359
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Transformations d'accords mineurs
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Transformations d'accords Majeurs
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Orthographe adoptée.
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Ex. 360.
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C. Franck. ^ulda'/ Opéra (page 5)
passage déj à cité. C. Franck„HuIda."(page 20.)
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C. 43939?
349
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Dans la pratique, on simplifie l'orthographe, en prenant d'emblée
l'accord décisif (comme ci -dessous.)
Ex. 361*
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Exercices.
1. tierce augmentée.
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N.B.
N.B. Soprano doublé à la basse. c. 43939?
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C. 43939?
351
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5. Réaliser quelques suites modulantes inspirées des ex. 361 a ~k
Toute fonction altérée peut être prolongée dans l'accord suivant, (pourvu
que la note de résolution fasse partie de cet accord.)
Prolongations montantes:
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b) c)
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ou 5+- ou 6+ -
ou 5+
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d) e) etc.
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vv 5+
V w3
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Intervalle de
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7 me oblig-é.
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la on peut supprimer la 3ë
voix (ténor) ce qui élimine
la dissonance.
C. 43939 e
352
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Résolutions différées.
Ex. 363.
P ^ s^^ Ê ^ ^3 ^P=if
^
•©«-
gl» etc.
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5
Ex. 364.
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^
a) c)
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* *
C 43939e
353
Suspensions combinées, ascendantes et descendantes, d'accords altérés.
Prime (8Y?) et tierce. Se pratique dans ces positions exclusivement:
Ex. 365.
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en mineur)
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3
-*-3
V
Tierce. Renversable, cependant les sopranos suivants sont préférés
en raison de leur caractère expressif.
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b) par échange
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C.R.
s
en ce qui concerne
Ex. 367. (comparer avec 336*)
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C. 43939Ç
354
Triple suspension; seule disposition usitée.
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comparer
avec 3674
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avec 311e son avec 3 1!!? son avec 311 e son complémentaire
complémentaire complémentaire basse)
«
(à la
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C. 43939Ç
g
355
Exercices.
Une fois de plus, nous mettons l'étudiant en garde contre l'emploi exagéré
des accords d'une même catégorie que l'on constate dans ces exercices et
qui en diminue la musicalité. La musicalité consiste à ne pas s'attacher
exclusivement à un accord, mais à employer à bon escient toutes les
agrégations. Ici, il a fallu employer dans le plus petit espace possible le plus
grand nombre de cas, d'où l'entassement.
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356
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C. 43939?
357
E.Notes altérées prolongées.
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1 3 iRJfllI
quintes
mozartiennes
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T. Résolutions différées.
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V.
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(conclusion) [ajoutée à la
(2) phr. IV]
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? I V . I
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IV I
N.B. Exercices 10, mesure 11: Veiller à ce que la position de l'accord, mesure
12, soit bien amenée.
C. 439399
^ ^ 8
360
Glossaire des abréviations.
degrés.
rr- tit- Accords de Vet IV relatifs (mineurs) à tierce mineure (La tierce
abaissée (mineure) s'indique de même façon sur les autres degrés.
Accords de 1er, 4e et 5e degrés avec tierce placée à la basse
338V
I IV
(accord de |, premier renversement de l'accord parfait.)
Vs
5
v„s
5
Accords de V ou V relatif à prime supprimée. (V* à tierce mi-
neure.)
3 5
f^ f^ î* H Accor<* dont 1* tierce, la quinte ou l'octave sont appogiaturées
* * * en montant.
(Ces appogiatures sont indiquées de façon similaire sur les autres accords,
s
tant fondamentaux que renversés (par ex. I , accord du I degré, tierce à la
—
III >! C^. 3 =C^g Accords de 1er degré à double appogiature montante et
-*»1 -~-5
descendante. (Indication similaire pour les autres degrés.)
—3 ~-8
^-3 ^-3 —-5 --3
1111
t t t t
etc.
Accords à double appogiature. (Indication similaire pour
leg autres degrés.)
III ^i ~~"~>-3
Accords du 1er degré dans lequel la prime est appogiaturée
*6 en descendant et placée à la basse. (Ind. simil.)
C R. Cadence Rompue.
C. 43939?
361
Table du Volume I.
N.B. Voir à la fin du Volume III l'Index analytique complet, suivi de l'Index des
Exemples ainsi que de la Table chronologique des Auteurs cités.
Page
Avant-propos 5
Introduction 9
Première Partie.
Notions préliminaires 13
Correction des devoirs 33
Modulation (voir encore 3 e partie, p. 309) 48
Mode mineur 51
Extension de la phrase 71
Accord de «Dominante de la Dominantes 90
Accord de Sous-dominante de la Sous-dominante 101
Extension de la Cadence parfaite 105
Conclusion 108
Deuxième Partie.
Renversements des accords de trois sons:
Accord de sixte 109
Accord de quarte et sixte 134
Cadence parfaite 141
Sixtes et quartes défectueuses 146
Résumé 156
Accord de sixte sur le II e degré 162
Ornementation mélodique des accords 186
Sixte Napolitaine 190
Déplacement de la quinte mineure dans la progression en quintes diatoniques . 193
Accord de quinte mineure du Ile degré (tableau) 194 — 195
Accord de VV (tableau) , 196—198
il
Conclusion additionnelle. Cadence rompue 202
Addenda 208
Troisième Partie.
Modulation 209
Modulation indirecte 220
Place de la modulation dans la phrase 225
Progressions consonantes 230
Successions d'accords parfaits parallèles 243
Quatrième Partie.
Accords parfaits.Suspensions (ou prolongations) descendantes 249
Suspensions montantes 292
Suspensions combinées 294
Résolution différée des suspensions 311
Cinquième Partie.
Altérations des accords parfaits 326
Suspensions et altérations combinées 351
Glossaire des abréviations 360
Table du Vol. I : .... 361
Table des Exercices Vol. I . . . 362
Avant-propos du Vol. III 363
362
7t
XXIII Tl
174 V VVÈ et IVS.
n s 5
7t
XXIV Jl
178 Accord de quinte mineure du 2e degré en majeur.
71
XXV Tl
182 Cadence amplifiée (Dominantes successives).
7)
XXVI Tl
188 Appogiatures.
7Ï
XXVII Tl
192 Accord de sixte Napolitaine.
71
XXVIII Tl
198 Progressions; déplacement de la VV.
71
XXIX 221 Modulation.
7»
XXX Tl
226 Exercices sur les phrases modulantes.
71
XXXI Tl
251 Exercices sur les suspensions descendantes.
11
XXXII Tl
268 Exercices sur les suspensions descendantes.
71
XXXIII Tl
276 Récapitulation des suspensions.
% XXXIV 297 Récapitulation des suspensions (doubles,combinées etc.).
7»
XXXV Tl
316 Résolution différée des suspensions.
71
XXXVI Tl
324 Sixtes parallèles combinées avec suspensions etc.
7)
XXXVII 329 Quinte altérée montante.
XXXVIII 337 Suites d'accords de 5* etc.
7)
XXXIX „ 349 Tierce augmentée; octave augmentée; accords mineurs
à prime descendante.
XL 355 Altérations; équisonances de la 5 1-
résolutions dif-;
férées, etc.
N.B. Pages 30—31: Les mots «6e et 7 e Séries d'Exercices» sont une erreur
d'impression.
363
Paul Gilson.
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Bibliothèques Libraries |
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