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La PNL

Programmation
NeuroLinguisqtique
Réalisé par : Amal SOUKTANI
Ayoub MINEN
Encadré par : Z.ELABIDINE IDRISSI K.
Plan
1
• Histoire

2
• Définition

3
• Objectifs

4
• Postulats et Présuppositions de la PNL

5
• Techniques de base
Histoire
• Début des années 1970, en Californie.

• Deux chercheurs :
- John Grinder (psychologue, linguiste).
- Richard Bandler (psychologue, mathématicien).
Définition
• Programmation : Reprogrammer les comportements
dysfonctionnels

• Neuro : Les Programmes sont inscrits dans les neurones

• Linguistique : Les programme se manifestent dans le langage


(verbal et non verbal)
Définition
• Grinder : La PNL est l'analyse et la reproduction de l'excellence
humaine, de savoir-faire. La différence qui change tout.

• Bandler : la PNL est une attitude méthodologique dont


découle un ensemble de techniques. C'est une certaine façon
de comprendre les gens. Une vision du monde.
Objectifs
• Améliorer la connaissance de soi et de l ’autre.

• Améliorer sa façon de communiquer.

• S’accomplir et de se dépasser.

• Gagner de l’authenticité et de l’efficacité dans les relations.

• De se donner les moyens pour atteindre ses objectif.


Postulats et Présuppositions de la
PNL
• Postulat : principe premier, indémontrable ou non-démontré.

• Présupposition :Supposition préalable; admettre par


hypothèse.
Postulats de la PNL
• La carte n’est pas le territoire

• Chaque personne fait toujours le meilleur choix parmi ceux


qui lui paraissent possibles

• Plus on a des choix, mieux ça vaut

• On ne peut pas NE PAS communiquer

• Toutes les ressources sont dans la personne

• Rencontrer l’autre dans son modèle du monde

• Tout comportement a une intention positive


Postulats de la PNL
• Le niveau inconscient de la communication est le plus important

• La signification de la communication est la réaction que vous


obtenez

• Le corps et l’esprit font partie du même système cybernétique

• Les êtres humains sont toujours plus complexes que les théories qui
les décrivent

• Le cadre utilisé pour percevoir une situation détermine le sens qu’on


lui accorde

• Il n’y a pas d’échec, il n’y a que du «feedback»


Présuppositions de la PNL
• Respecter le modèle du monde de l’autre;
• Les sens de la communication se trouvent dans la réponse que vous
obtenez;
• Le corps et l’esprit s’influencent mutuellement;
• Les mots que nous utilisons ne sont pas les évènements ou les
objets qu’ils représentent;
• Le comportement d’une personne est l’information la plus
importante que l’on puisse avoir sur elle;
• Tout comportement vise l’adaptation et le comportement présent
représente le meilleur choix possible dans les circonstances;
Présuppositions de la PNL
• Le comportement d’une personne n’est pas la personne (Acceptez l’être, changez son
comportement);
• Les gens possèdent tous les ressources nécessaires pour réussir (Ils sont dans des états de
non-ressource, ils n’en manquent pas);
• «Je suis responsable de mon esprit donc de mes résultats»;
• Le système (la personne) avec la plus grande souplesse de comportement contrôlera le
système;
• Il n’y a pas d’échec, seulement de l’information supplémentaire (feedback);
• La résistance chez un client indique un manque de rapport. Il n’y a pas de client résistant,
seulement des communications sans souplesse;
• Toute intervention devrait augmenter le nombre de choix possibles;
• Les comportements et les changements doivent être évalués en fonction du contexte et de
l’écologie.
Techniques de base

• Le calibrage

• L’ancrage

• Le recadrage
Le calibrage
• Le calibrage consiste à identifier, chez son interlocuteur, les
indicateurs du comportement (attitude, langage, éléments
verbaux et non verbaux) susceptibles de nous révéler quel
canal sensoriel le sujet utilise de manière préférentielle

• Plusieurs outils peuvent nous aider dans cette tâche : Les


prédicats, signes non-verbaux , les mouvements des yeux.
Les Prédicats
• Lorsque nous nous exprimons, nous
sélectionnons inconsciemment un vocabulaire
correspondant à notre canal dominant. Ainsi
pour dire qu’il est d’accord avec une proposition,
un visuel va dire : « je vois ce que tu veux dire »,
un auditif « J’entends bien », un kinesthésique :
« Je sens bien cette solution ». L’examen des
prédicats utilisés est donc un bon outil pour
déterminer le canal dominant d’un sujet.
Les Prédicats
Voici quelques exemples de prédicats visuels, auditifs et kinesthésiques :

Visuel Auditif Kinesthésique

Je vois J’entends Je sens


C’est clair D’accord Bien dans ma peau
J’imagine que… Ca me parle Choc
Visiblement Dire Le bon sens
Objectif Bien entendu Ca prend corps
Montrer Je m’entends très bien avec… Les pieds sur terre
C’est net N’écoutant que… Contact
C’est flou Ca ne me dit rien Ca me touche
Blanc de peur C’est inouï Ca me dégoûte
Vert de rage
Signes non-verbaux
• les indices non-verbaux sont nombreux : bien que ces
éléments soient schématiques, ils participent à identifier la
dominante sensorielle.

Visuel Auditif Kinesthésique

Posture raide Posture confortable Posture décontractée


Voix rapide et haut perchée Voix posée et agréable Voix lente et grave
Respiration haute, thoracique Respiration moyenne et Respiration abdominale et
et rapide équilibrée lente
Distance conversationnelle Distance conversationnelle Distance conversationnelle
longue intermédiaire courte
Les mouvements des yeux
• lorsque nous allons « chercher » l’information, l’activité
cérébrale provoque des mouvements oculaires involontaires.
Selon que cette information sera visuelle, auditive ou
kinesthésique, les mouvements des yeux seront différents.
L’ancrage
• Une image, une odeur, un geste, un mot peut
réveiller des souvenirs, provoquer des émotions,
des sentiments, des réactions, des
comportements. Le stimulus initial (la photo,
l’odeur etc.) fonctionne comme une ancre pour
celui qui se souvient, en s’accrochant à un
endroit précis de sa mémoire. Nous avons tous
des ancrages qui provoquent des états internes
(joie, tristesse, motivation, conviction…). Ce sont
des réactions quasi pavloviennes à une
stimulation.
L’ancrage
Un ancrage peut être :
• auditif : une expression, un mot, un ton, un rythme ou une
intensité de la voix inhabituelles,
• visuel : une image, un geste, un lieu,
• kinesthésique : un contact, une odeur.

Pour être efficace, l’ancrage doit utiliser le prédicat de


l’interlocuteur (Si la personne est visuelle, l’ancre doit
être visuelle etc.), Il existe deux types d’ancres :
• Les ancres positives provoquent des états internes positifs
(concentration, efficacité, dynamisme, confiance, calme,
confiance…),
• Les ancres négatives provoquent des états internes négatifs
(peur, doute, incompréhension…).
Le recadrage
Changer le cadre de la perception pour adopter un
comportement différent.
Cette démarche doit permettre de dépasser ses
limitations fonctionnelles personnelles et d’élargir son
répertoire de comportements afin d'avoir un éventail de choix
plus important.
La démarche consiste d’abord à faire prendre à la
personne conscience de l’intention positive sous-jacente.
Ensuite on l’amène à imaginer ou à créer une solution qui la
satisfasse pleinement tout en respectant cette intention
positive du « problème ». Une dernière étape consiste à
vérifier avec la personne que la solution envisagée est
compatible avec ses choix personnels et ses valeurs.

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