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ATELIER 1 INTERNET APPLICATIONS ET PROTOCOLES

ACHRAF MOUDDEN

I. BACKBONES :
 Backbones au Maroc :

On va s’intéresser aux Backbones présents sur le territoire Marocain pour les localiser
géographiquement, connaitre leurs architectures, les opérateurs qui les gèrent.

Le backbone est utilisé caractériser les réseaux de transmission haut débit reliant les principaux
nœuds d'un réseau, qu’il soit métropolitain, national ou international.

L’objectif d’un réseau backbone est de concentrer en un seul lien le trafic échangé, notamment
pour réduire les coûts d'investissement et de fonctionnement. Au Maroc, il existe actuellement
trois opérateurs de backbone :

 Maroc Telecom (l’opérateur historique) possède et gère lui-même un réseau de


2500 à 3000 km, installé essentiellement le long des routes.
 Orange, le plus grand opérateur mobile, ne possède lui-même qu’un réseau très
court, à peine 100 km. Mais il loue des fibres à l’Office National des Chemins de
Fer (ONCF) qui possède un réseau long de 1100 km.
 Wana, un fournisseur d’accès Internet qui vient récemment d’obtenir une
licence globale, loue des fibres à l’Office National d’Electricité (ONE) qui possède
un réseau de près de 4000 km.

Enfin l’entreprise Marais est entrée récemment sur le marché des backbone au Maroc. Celle-ci
est un carrier spécialisé dans la construction et l’exploitation de backbones fibre. Elle déploie
aujourd’hui près de 1000 km de fibre à l’intérieur et entre les grandes villes que sont Rabat-
Tanger, Casablanca-Marrakech, et Casablanca-Agadir. Wana et Meditel utilisent notamment la
liaison entre Rabat et Tanger.

o Backbones au France :
 CELESTE s'est doté d'un backbone, c'est à dire d'une épine dorsale télécom,
d'une capacité de 40 Gb/s notamment pour répondre aux besoins de
consommations des clients fibre optique 1G.
 CELESTE est un opérateur membre du réseau LIR (Local Internet Registry).
Cela implique pour nos clients une très grande disponibilité de plages IPV4 et
IPV6.
 CELESTE est membre du RIPE (N°AS34177).
o Recherche des outils de gestion ou d’observation de trafic sur les Backbones.

L'outil de monitoring MRTG (Multi Router TrafficGrapher) a été développé par Tobias Oetiker
et Dave Rand, d’ETH Zürich (SwissFederal Institute of Technology Zurich). Il permet
d'interroger régulièrement un ensemble de routeurs au moyen du protocole SNMP, et d'afficher
les résultats sous forme de graphes temporels. Cet outil est principalement utilisé par des
fournisseurs d'accès Internet et 2 des opérateurs de backbone, afin de visualiser en temps réel le
trafic de leur réseau. Il permet également d'afficher d'autres paramètres de fonctionnement
(charge des processeurs...).
Voici des graphiques issus de l'outil MRTG appliqué aux routeurs de l'INT.

o Positionner le curseur sur le lien vers l'extérieur pour observer le trafic entrant et sortant
de l'INT (le débit entrant est en vert et le débit sortant en bleu).
o Positionner le curseur sur le lien vers la Maisel pour observer le trafic de la Maison des
Élèves.
o Positionner le curseur sur les routeurs pour observer l'utilisation de leur CPU.

Voici quelques autres exemples de graphes MRTG :

o Trafic du RAP (Réseau Académique Parisien)


o Trafic de l'IN2P3 (Institut National de Physique Nucléaire et de Physique des Particules,
CNRS)
o Trafic du réseau académique suisse SWITCH vers les backbones internationaux et les
points d'échange
o Trafic total sur le point d'échange Paris

 Les points d’échange de trafic IP (IPX ou IGX) :

Cette carte est interactive, et vous donne accès aux informations détaillées concernant plus de 300
GIX implantés au sein de plus de 500 data center.

Ainsi par exemple vous pouvez zoomer sur cette carte pour découvrir les nombreuses implantations
parisiennes de France-Ix, le principal GIX français.
LE RESEAU RENATER OFFRE LES SPECIFICITES SUIVANTES :

 Une architecture basée sur des fibres noires et des équipements DWDM, afin de permettre des évolutions
rapides des débits.
 Une généralisation du 10 Gbit Ethernet dans le réseau et des fibres à nx100 Gbit/s .
 Une architecture avec un maillage complet sur l’ensemble des points de présence du réseau.
 Une possibilité de répondre aux besoins de très hauts débits des grands projets de recherche en
établissant des chemins optiques de bout en bout entre les points de présence.
 Les nouveaux équipements de backbone, Juniper MX-480, ont été intégrés dans chacun des 5 PoPs de
RAP.
 L'accès à RENATER est ainsi passé à 2 liens de 10GBit/s. Avec le déploiement des pecan, PE Auteuil et
PE Malesherbes début Mai, c'est l'ensemble backbone qui dispose désormais d'une capacité de
10Gbit/s.

II-LES RFC (REQUESTS FOR COMMENTS) :


Ils sont des documents officiels spécifiant les différentes implémentations, standardisations,
normalisations représentant alors la définition de TCP/IP.
Les RFC sont classées, selon cinq classifications qui sont obligatoire, recommandé, facultatif,
limitée, non recommandé ainsi que trois niveaux de maturité qui sont standard proposé, standard
brouillon, standard internet.

Depuis 1969, plus de 3500 documents ont été rédigés et Lorsqu’un document est publié, un
numéro de RFC lui est attribué et en cas d’évolution, un nouveau document sera publié sous une
autre référence.

 Protocoles utilisés dans la voix IP :


Le protocole IP fait partie de la couche Internet de la suite de protocoles TCP/IP. C'est un des
protocoles les plus importants d'Internet car il permet l'élaboration et le transport des
datagrammes IP (les paquets de données), sans toutefois en assurer la « livraison ». En
réalité, le protocole IP traite les datagrammes IP indépendamment les uns des autres en
définissant leur représentation, leur routage et leur expédition.
 RFC791 :

Est un protocole internet standard publié en septembre 1980 par Jon Postel et mis à jour par RFC
1349. Il sert à établir le routage IP qui fait partie intégrante de la couche IP(IPv4) de la suite
TCP/IP.
Ce routage consiste à assurer l'acheminement d'un datagramme IP à travers un réseau en
empruntant le chemin le plus court. Ce rôle est assuré par des machines appelées routeurs, c'est-
à-dire des machines reliées (reliant) au moins deux réseaux.
 RFC 1918

Établi initialement dans le RFC 1631 .Le NAT définit des Réseaux IP Privés Adresses non
connectés à l'Internet, Donc c’est un service offert par les routeurs afin de traduire les adresses
(et aussi les numéros de ports) des datagrammes IP qui entrent/quittent un réseau privé et Il offre
la possibilité aux hôtes dans un réseau privé de communiquer avec des hôtes sur l'Internet.

 Protocoles utilisés dans la messagerie instantanée :


 RFC 2821 :

Le protocole SMTP a été défini en 1982 par la RFC 821. SMTP permet l’envoi d’emails sur
Internet, il est utilisé pour communiquer sur le port TCP/25 entre services MTA (Mail Transfert
Agent) .Il s’agit d’un des plus anciens protocoles d’Internet dont la compatibilité ascendante a
toujours été respectée. Ce protocole a subi quelques légères mutations, avec la RFC 2821 et la
possibilité de gérer des pièces jointes via le protocole MIME (RFC 2045 à 2049), mais la base et
son fondement premier sont restés inchangés. SMTP est un protocole assez simple qui pourrait
presque se limiter à l'utilisation de 4 commandes : HELO, MAIL FROM, RPCP TO, DATA.

 RFC3861 :

Publié en août 2004 par J. Peterson le RFC3861 permet la Résolution d'adresse pour la
messagerie instantanée et les services de présence",

 RFC3862 :

Est un protocole de messagerie instantanée publié en août 2004 par "Profil commun pour la
messagerie instantanée (CPIM) : format de message ",

 Protocole ARP et RARP :


 ARP :

Address resolution protocol est un protocole réseau utilisé pour effectuer la correspondance
adresse MAC - adresse Ethernet dans les réseaux Ethernet (quel que soit le protocole : IP, IPX,).

Il est implanté sur la couche Internet du modèle TCP/IP, au même niveau que l'ICMP, IGMP, ...
C'est également le nom de la commande réseau sous DOS qui affiche et modifie les tables de
correspondance d'adresses IP/physique utilisé par le protocole nécessaire au fonctionnement
d’IPv4 utilisé au-dessus d’un réseau de type Ethernet. En IPv6, les fonctions d’ARP sont reprises
par le NeighborDiscovery Protocol(NDP).
Comment fonctionne ARP ?
Le fonctionnement d'ARP se base sur la possibilité de diffusion d'Ethernet. En effet, une carte
réseau prélève toute trame dont l'adresse de destination correspond à sa propre adresse, l'adresse
d'un groupe dont elle est membre (multicast) ou l'adresse de diffusion (broadcast).
Quand un équipement a besoin de connaître l'adresse Ethernet d'un autre équipement, elle envoie
une requête ARP qui est encapsulée dans une trame Ethernet de diffusion, en précisant l'adresse
IP de la machine destinataire. Toute les machines sur le réseau prélèvent la trame, reconnaissent
un paquet ARP et seule la machine ayant l'adresse IP demandée répondra à la requête.
Les adresses Ethernet et IP de la source étant incluse dans la requête, toutes les stations
enregistrent cette correspondance.
Si la réponse ne parvient pas dans un délai imparti alors Time-Out et réexpédition de la requête.

 RARP :

RARP (Reverse Address Resolution Protocol) est un protocole permettant à un équipement


d'obtenir son adresse IP en communiquant son adresse Ethernet à un serveur RARP [RFC 903].
RARP s'effectuera au Boot de la machine qui gardera ensuite en mémoire son adresse IP. Après
avoir obtenue son adresse IP, la machine peur récupérer les fichiers de configuration.
D'autres mécanismes existent pour qu'un équipement (avec ou sans disque) obtienne son adresse
IP dynamiquement.

Comment fonctionne RARP ?


Comme pour ARP, une trame de diffusion Ethernet, contenant une requête RARP est émise. La
requête est la suivante : "Quelle est l'adresse IP correspondant à mon adresse Ethernet ?". Un
équipement configuré en serveur RARP envoie une réponse en unicast.
Une requête RARP ne peut traverser un routeur. C'est pourquoi dans le cas où aucun serveur
RARP n'existe sur le réseau physique Ethernet, la requête n'est pas satisfaite et elle est répétée
après Timeout.

ACHRAF MOUDDEN

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