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Mémoire
Présenté en vue de l’obtention du diplôme de Magister
En Génie Civil
Présenté par :
GOUDJIL FAYÇAL
Soutenue le : / / 2004
Devant le jury :
Examinateurs:
Mr. H. HOUARI PROF. Université Mentouri Constantine
Mr. N. GUETTECHE C.C. Université Mentouri Constantine
Rapporteur : Mr. M. NAIMI M.C. Université Mentouri Constantine
Je dédie ce travail à l’âme de mon père, que dieu l’accueille dans son vaste paradis.
Que Monsieur NAIMI Mohamed, qui a accepté d’assurer la direction de ce mémoire, trouve
ici tous mes remerciements. Son dévouement et ces encouragements furent pour moi un
soutien très précieux.
Enfin, je tiens à exprimer toute ma gratitude à ma très chère maman, ma sœur et mes frères,
et qu’ils trouvent ici l’expression de mon affection.
Table des matières
CHAPITRE I : INTRODUCTION
1.1 : Problématique………………..…………………………………………………..…1
1.2 : Recherches précédentes…………………………………..…………………………2
1.3 : But de la recherche …………………………………………………………………3
III
Table des matières
5.1 : Introduction…………………………………………….…………………….……..43
5.2 : Mise en œuvre du programme M.E.F…………………………………………..…..43
5.2.1 : Programme principal...……………………………….…………..…………43
5.2.2. Structure du fichier de donnée ...…………………...……………………....45
a) Données géométriques .……………………………………….………...45
b) Données matérielles .……….…………………………………………...45
c) Données Charge (Déplacements) .…………………………………..........46
d) Données (différents Paramètres) : ………………………………………..46
IV
Table des matières
V
Liste des Figures
CHAPITRE II
Figure 2.4 : Efforts de flexion : Mx, My, Mxy et de cisaillement :Qx, Qy….….………..11
Figure 2.5 Discrétisation spatiale. ...………………………….………………………….13
Figure 2.6 : élément isoparamétrique de plaque avec cisaillement transversal ....…..…...17
Figure 2.7 : Intégration de Gauss (2×2) pour le quadrilatère...…..……………………….21
CHAPITRE III
CHAPITRE IV
CHAPITRE V
V
Liste des Figures
CHAPITRE VI
VI
Liste des Figures
Figure 6.17 : Réponse dynamique d’une plaque orthotrope mince sous charge impulsive
triangulaire. ..…………..…………………………………………….……..66
Figure 6.18 : Réponse dynamique d’une plaque orthotrope épaisse sous charge impulsive
triangulaire. ..………..………………………………………………..…....66
Figure 6.19 : Réponse dynamique d’une plaque isotrope mince sous charge impulsive
triangulaire avec pic…… ..…………..……………………..……………..67
Figure 6.20 : Réponse dynamique d’une plaque isotrope épaisse sous charge impulsive
triangulaire avec pic. ..…………..……………………..……..……….…..67
Figure 6.21 : Réponse dynamique d’une plaque orthotrope mince sous charge impulsive
triangulaire avec pic. ..…………..………………………………..…….….68
Figure 6.22 : Réponse dynamique d’une plaque orthotrope épaisse sous charge impulsive
triangulaire avec pic..………….…………………………………………...68
VII
Liste des Tableaux
CHAPITRE III
CHAPITRE IV
CHAPITRE VI
VIII
Notations et Symboles
NOTATIONS
ABREVIATIONS :
SYMBOLES :
[x], x : matrice.
{x} : vecteur.
x : Matrice ligne.
NOTATIONS :
IX
Notations et Symboles
X
CHAPITRE I : Introduction.
INTRODUCTION
I. PROBLEMATIQUE :
Pour estimer le comportement d’une plaque sous l’effet d’une charge impulsive il est
souvent nécessaire de connaître l’état final de la structure .Cet état permet le
dimensionnement de la plaque par l’ingénieur concepteur .Cependant, la connaissance
détaillée de l’histoire du déplacement-temps ne représente pas la condition principale pour
un concepteur .pour établir les principes d’analyse analytique la plaque est représentée par
un modèle simplifiée équivalent à un système à un degré de liberté .
Cette modélisation est suivie par le lien entre la durée totale de la charge impulsive et la
période naturelle de vibration de la plaque .par conséquent, la structure complexe est
approchée par une représentation à un degré de liberté avec masse concentrée .L’équation
du mouvement ainsi obtenue peut être résolue analytiquement ou numériquement.
Le but principal de l’utilisation de cette approche est de proposer un modèle de
déplacement simplifié qui permet d’évaluer les moments de flexion et les contraintes de la
plaque sous l’effet de charges impulsives.
Dans le but d’investiguer le comportement de la plaque sous l’effet des charges transitoires
la méthode des éléments finis est appliquée .Cette approche numérique permet d’analyser
la plaque en domaine temporel .L’intégration des équations dynamiques globales du
mouvement est obtenue par la méthode d’intégration directe de Newmark-β .Les résultats
des analyses par cette méthode permettent d’évaluer la réponse dynamique de la plaque .En
plus,ces résultats peuvent servir pour la comparaison et la validation des résultats du
modèle analytique proposé.
Le principal objectif dans la conception des plaques sous l’effet des charges impulsives
(charges explosives) est de fournir une ductilité suffisante pour permettre à l’élément de
fléchir d’une quantité permise .La structure de la plaque doit être initialement conçue pour
satisfaire au critère de déformation plastique en flexion .Le mode de déformation évite la
ruine prématurée de la plaque sous l’effet d’autres types de charges par exemple :
cisaillement…etc.
1
CHAPITRE I : Introduction.
2
CHAPITRE I : Introduction.
Dans un travail de recherche récent, Chen et Dawe [4] ont considéré la réponse linéaire
transitoire de laminas rectangulaires au chargement normal à l'aide de la méthode semi
analytique des bandes finis en conjonction avec une procédure de superposition modale.
L'approche de la référence [4] est limitée au comportement de petites déformations sous
l’effet de chargements de faibles amplitudes.
Le cas de vibration des plaques pour les grandes amplitudes a été un sujet de recherche
pendant plusieurs années. Plusieurs ont publié des travaux concernant l’évaluation de la
réponse en vibration libres des plaques pour les grands déplacements. Chu et Hermann [6]
ont conduit une investigation analytique dans le but d’analyser les plaques isotropes pour
la vibration libre non linéaire. Des études similaires sur les plaques orthotropes sont
données par les références [19], [8].Ganapathi et al [10], ont conduit une étude en vibration
libre pour les grands déplacements des plaques orthotropes en utilisant des éléments finis
quadrilatères basés sur la continuité C0 de cisaillement. Les équations différentielles non
linéaires sont résolues en utilisant une technique d’itération directe. Les résultats
d’analyses conduites sur des plaques isotropes et orthotropes à conditions aux limites
simplement appuyés indiquent l’effet de rigidification (Hardening) du comportement est
augmenté pour le cas de plaques épaisses et des plaques orthotropes.
3
CHAPITRE I : Introduction.
différentielle du second ordre .Ce chapitre est terminé par la présentation de la méthode
pour la résolution des équations différentielles du second ordre (méthode d’intégration
directe de Newmark-β).
Le chapitre quatre introduit les méthodes de résolution des problèmes dynamiques
L’une des contributions de ce travail est présentée au chapitre quatre et concerne la
modification d’un code de calcul numérique existant basé sur la méthode des éléments
finis, Aussi, la mise en œuvre d’un code de calcul ANALYTIC, basé sur la méthode
analytique sus-indiquée en utilisant le langage de programmation FORTRAN .Cette
contribution se situe à l’introduction de plusieurs paramètres (E1, E2, G12 etc.…),
définissant l’orthotropie du probable matériau traité par le code DYNAMICPLATE, et
également par le code mis en œuvre ANALYTIC, à l’incorporation de la charge
d’explosion et en faisant varier l’épaisseur de la plaque.
Les structures des deux codes, DYNAMICPLATE, et ANALYTIC sont schématisés
par deux algorithmes, avec les significations des variables qui prennent leurs valeurs dans
les fichiers de données des codes, ceci est fait l’objet du cinquième chapitre.
Au chapitre six, les résultats des analyses de plusieurs cas de plaques isotropes et
orthotropes sous l’effet de différents chargements dynamiques sont présentés. Ces analyses
ont été obtenues après un test de validation, et la modification d’un code de calcul existant
en formulant le problème par une méthode analytique et en introduisant la possibilité de
matériaux orthotropes.
Afin de vérifier l’application du programme proposé, plusieurs exemples ont été illustrés
en prenant en considération l’effet de l’épaisseur , l’effet du type de charge, l’effet de la
variation du pas de temps et l’effet des conditions aux limites. La comparaison avec des
résultats figurant dans la littérature de rapport par le code de calcul modifié, pour le cas
d’un élément quadrilatère à quatre nœuds indique la performance du code de calcul
modifié, ainsi, que celui élaboré.
4
Chapitre II : Cinématique des plaques orthotropes etformulation par la M.E.F.
Ce chapitre est consacré à la présentation des théories des plaques, dans le cas des petits
déplacements, et plus spécialement aux éléments de plaques orthotropes en flexion.
Surface moyenne
2.1.2. Hypothèses :
La théorie des plaques repose sur les hypothèses suivantes :
H.1 : Les contraintes normales σ zz sont négligeables par rapport aux autres composantes
de contraintes : σ zz = 0 .
5
Chapitre II : Cinématique des plaques orthotropes etformulation par la M.E.F.
H.2 : Les pentes de la surface moyenne après déformation, sont supposées petites par
rapport à l’unité (Petite déflexion du plan moyen).
H.3 : Les points situés sur une normale à la surface moyenne avant déformation, restent
sur cette normale au cours de la déformation ; ceci revient à négliger l’effet de
cisaillement transversal. On a dans ce cas : ε xz = ε yz = 0 .
Les hypothèses H.1 et H.3 correspondent dans le cas bidimensionnel aux hypothèses
classiques de la résistance des matériaux avec conservation des sections droites, elles
correspondent aussi à la définition d’un état plan de contrainte.
La théorie des plaques correspondante dans laquelle on néglige les effets de cisaillement
transversal est due à Kirchoff (cas des plaques minces).
La théorie des plaques qui permettent la prise en compte du cisaillement transversal est
connue sous le nom de Reissner-Mindlin, dans ce cas, il faut prendre en compte les
déformations de cisaillement transversal et alors les fibres normales à la surface moyenne
avant déformation ne le restent pas au cours de la déformation.
Pour les plaques homogènes isotropes, la validité de la théorie des plaques retenue
dépend des caractéristiques géométriques.
On admet généralement les hypothèses de Mindlin si : 4 ≤ L/h ≤ 20
et celles de Kirchoff si : L/h > 20
Où :
L : est une longueur caractéristique dans le plan (x-y).
h : est l’épaisseur de la plaque.
L/h : est le facteur d’élancement de la plaque.
Pour les plaques orthotropes et composites, le rôle des déformations de cisaillement
transversal dépend non seulement des caractéristiques géométriques (l’élancement L/h),
mais également des caractéristiques mécaniques représentées par le rapport E/KG.
Où :
E : module caractéristique intervenant dans la flexion.
G : module de cisaillement transversal (CT).
K : facteur de correction de cisaillement transversal.
La théorie de Kirchoff (théorie classique des plaques minces), peut être interprétée
comme un cas particulier de la théorie de Reissner-Mindlin, ainsi un bon modèle élément
fini basé sur la théorie de Reissner-Mindlin devra donner des résultats en accord avec la
théorie de Kirchoff si l’influence du cisaillement transversal est faible.
6
Chapitre II : Cinématique des plaques orthotropes etformulation par la M.E.F.
y, v
M yx
My
θy M xy
Qy Mx
x, u
βy βx θx Qx
z, w
βx = θ y β y = −θ x (2.1)
β x et β y : les rotations de la normale à la surface moyenne dans les plans (x-z) et (y-z)
respectivement.
Le champ des déplacements s’exprime alors en fonction de ces trois variables par la
relation suivante :
u (x,y,z) = z β x(x, y)
w(x,y,z) = w(x,y)
7
Chapitre II : Cinématique des plaques orthotropes etformulation par la M.E.F.
ε x = ∂u
∂x
ε y = ∂v
∂y
2ε xy = γ xy = ∂u + ∂v (2.3)
∂y ∂x
2ε xz = γ xz = ∂u + ∂w
∂z ∂x
2ε yz = γ yz = ∂v + ∂w
∂z ∂y
Après substitution des déplacements dans (2.3), nous obtenons les composantes du
tenseur de déformations en fonction des trois degrés de libertés w, β x , β y :
∂β x
εx = z
∂x
∂β y
εy = z
∂y
∂β x ∂β y
γ xy = z ( + ) (2.4)
∂y ∂x
γ xz = β x + ∂w
∂x
γ yz = β y + ∂w
∂y
Le tenseur de déformation peut être décomposé en deux parties, l’une indépendante de z
traduisant les déformations de cisaillement notée {ε c} ou {γ }, et l’autre partie ε f { }
dépendante de z représente les déformations de flexion :
{ε } = {{ε f }T , {ε c }T } {
= z{χ } , {γ } }
T T T T
(2.5)
ε xx
γ xz β x + ∂w
∂x
{ε } = ε yy = z{χ } {ε c } = {γ } = = (2.6)
γ yz β y + ∂w
f
γ xy ∂y
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Chapitre II : Cinématique des plaques orthotropes etformulation par la M.E.F.
Avec :
∂β x
∂x
∂β
{χ } = ∂yy (2.7)
∂β x + ∂β y
∂y ∂x
{ε }= {{χ }T , {γ }T }
T
(2.8)
{ }
flexion σ f :
{ } [ ]
σ f Cf [0] ε f
=
[C ] γ
(2.10)
{σ c} [0] c
{σ }= {σ
f xx
, σ yy , σ xy }
T
{σ c }= {σ xz , σ yz }T (2.11)
Avec :
Q11 Q12 0
Q44 0
[ ]
C f = Q12 Q22 0
[C ]=
c (2.12)
0 0 Q55
0 Q66
E1 ν 12 E2
Q11 = Q12 =
1 − ν 21 ν12 1 − ν 21 ν12
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Chapitre II : Cinématique des plaques orthotropes etformulation par la M.E.F.
E2
Q22 = Q66 = G12 (2.13)
1 − ν 21 ν 12
Tels que :
E1 : Module de Young dans la direction (x).
ν 12 , ν 21 : Coefficients de poisson.
M xx
+h 2
{ } [ ]
{M } = M yy = ∫ z σ xx , σ yy , σ xy T dz = D f {χ } (2.14)
−h 2
M xy
Avec :
h : L’épaisseur de la plaque.
E1 E2ν 12
1−ν ν 0
1−ν 21ν12
3 Eν
21 12
[D ]
f
= h 2 12
12 1−ν 21ν 12
E2
1−ν 21ν12
0 ;
[D ] = h k
c
G13 0
(2.16)
0 G23
0 0 G12
k : Coefficient de correction de cisaillement transversal.
[ D f ] : Matrice de rigidité à la flexion.
10
Chapitre II : Cinématique des plaques orthotropes etformulation par la M.E.F.
∫σ δε ij dV = ∫ fiV δ ui dV + ∫f δ ui dS + Qi δ ui
S
ij i (2.18)
V V S
Qi : Forces concentrées ;
∫< δε > {σ }dV = ∫< δ u > { fV } dV + ∫ <δ u> {f }dS S + ∑ <δ u > {Q }
i i (2.19)
V V S i
11
Chapitre II : Cinématique des plaques orthotropes etformulation par la M.E.F.
Où :
δ V = δ (U − W) = 0 (2.20)
Avec :
V : Énergie potentielle totale.
U : Énergie de déformation.
W : Travail des forces appliquées.
12
Chapitre II : Cinématique des plaques orthotropes etformulation par la M.E.F.
Avec :
[K ]e = ∫ [β ]T [C ][β ]dV (2.23)
e
V
{σ } = [C ]{ε } (2.25)
et que : { fV }et { f S } sont respectivement les vecteurs des forces de volume et de surface.
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Chapitre II : Cinématique des plaques orthotropes etformulation par la M.E.F.
V= ∑
éléments
Ve = ∑
éléments
{12 {q} [K ] {q} − 12 {q} {F} }
eT e e eT e
(2.27)
Soit {q} le vecteur ligne des déplacements aux nœuds de la structure, soit pour une
T
structure à m nœuds :
{
{q}T = qT KqiT KqmT } (2.28)
Avec :
{qi} : Sous-vecteur des déplacements au nœud i.
On peut définir pour chaque élément une relation matricielle permettant d’établir une
correspondance entre les déplacements aux nœuds de l’élément {q} et les déplacements
e
V = ∑
éléments
{12 {q} [Β] [K ] [Β] {q} − 12 {q} [Β] {F } }
T eT e e T e e
(2.30)
D’où :
Avec :
[K ] = ∑ [Β]e [K ]e [Β]e
T
(2.32)
éléments
{F } = ∑ [Β]e {F }e
T
(2.33)
éléments
14
Chapitre II : Cinématique des plaques orthotropes etformulation par la M.E.F.
Ces expressions permettent d’obtenir par application directe du principe des travaux
virtuels, le système des équations d’équilibre des nœuds. En effet, on a :
δU = δ W
D’où :
[K ]{q} = {F} (2.36)
η y
3
4(-1,1) 3(1,1) 4
w
ξ β x
2 β
y
1
1(-1,-1) 2(1,-1) x
Pour tout élément isoparamétrique quadrilatéral à quatre nœuds nous avons les
approximations suivantes :
x = N T (ξ , η ) X
y = N (ξ , η )Y
T
15
Chapitre II : Cinématique des plaques orthotropes etformulation par la M.E.F.
w = N T (ξ , η ) W (2.37)
)
β x = N T (ξ ,η ) β x
)
β y = N (ξ ,η ) β y
T
Ou :
ne
w = ∑ Ni wi
i =1
ne
β x = ∑ N i β xi (2.38)
i =1
ne
β y = ∑ N i β yi
i =1
w1 β x1 β y1
w2 ) β x2 ) β y2
W = βx = βy =
w3 β x3 β y3
w β β
4 x4 y4
(2.41)
x1 y1
x2 y2
X= Y=
x3 y3
x y
4 4
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Chapitre II : Cinématique des plaques orthotropes etformulation par la M.E.F.
∂β x
0
∂N T 0 W
∂x ∂x
∂β T )
{ }
{χ }= ε f = ∂yy = 0 0 ∂N β
∂y x
(2.42)
∂ β ∂β
x + y 0 ∂N T ∂N T β)
∂y ∂x ∂y ∂x y
W
β + ∂w ∂N T N T
0
∂x ∂x
{ε c } = {γ } =
x
= T βˆx (2.43)
βy + ∂w ∂N 0 NT
∂y ∂y βˆ
y
Soit :
{χ }= {ε f }= [β f ]{q} {γ } = [βγ ] {q} (2.44)
Où :
0 ∂N
T
0
∂x ∂N T
T ∂x NT 0
[ ]
β f = 0
0 ∂N
∂Y
[ ]
βγ = T (2.45)
∂N 0 NT
∂N
T
∂N
T
∂y
0 ∂y ∂x
U= 1 ∫ {ε } {σ }dV + 1 ∫ {γ } {σ c }dV
T T
f f (2.46)
2 2 e
Ve V
U = U F + U C = 1 {q} ∫ β f
2
T
[ ] [D ][β ]dxdy {q} + 12 {q} ∫ [β ] [D ][β ]dx dy {q}
T
f f
T
γ
T
c γ
(2.48)
e e
S S
D’où :
17
Chapitre II : Cinématique des plaques orthotropes etformulation par la M.E.F.
∂x ∂y ∂N T ∂N T Y J
X J12
∂ξ ∂ξ ∂ξ 11
[J ] = ∂ξ = = (2.51)
∂x ∂y ∂N T ∂N Y J
T
∂η 21
X J 22
∂η ∂η ∂η
Les déformations {χ} et {γ} sont définies en fonction des variables nodales :
∂ξ ∂η
T T
(2.55)
∂N
21 22
N
T
0
∂y
La matrice de rigidité [K ] est obtenue par intégration numérique de (2.50) de type Gauss.
L’intégrale peut être évaluée en utilisant la formule :
18
Chapitre II : Cinématique des plaques orthotropes etformulation par la M.E.F.
+1 +1 r1 r2
∫∫ f (ξ ,η) dξ dη = ∑∑ Wi W j f (ξ i ,η j ) (2.56)
−1 −1 i =1 j =1
Où :
ξi , η j : sont les coordonnées des points d’intégration.
η
+1
3
1 4 3 4
-1 3 +1 ξ
1 ξ
3 1 2 1
1 3 1 3 2
-1
∫
eT
δW = (2.57)
V S
D’où :
{F }e = ∫ [N ] {fV }dV ∫ [N ] {f } dS
eT eT
+ S
(2.60)
V S
Pour une charge uniforme répartie f z suivant z, le vecteur des charges équivalentes
associées aux variables W, a la forme habituelle :
[F ]e = ∫ 〈N〉
e
f z dS (2.61)
S
19
Chapitre III : Elément finis de plaque en dynamique
3.1. Introduction :
Lorsqu’une structure est soumise à un chargement qui varie avec le temps, il est
raisonnable d'admettre que sa réponse varie aussi avec le temps. Dans ce cas, une analyse
dynamique doit être menée. Si cependant, la fréquence du chargement est basse comparée
avec la fréquence naturelle de la structure, alors la réponse donnée par l'analyse statique
sous la charge instantanée peut suffire. Cette hypothèse est normalement appliquée quand
la fréquence est moins qu'un tiers de la fréquence naturelle la plus basse.
Si la charge appliquée varie rapidement, donc une variété de techniques de solution peut
être employée en tenant en compte l’effet de l’inertie du aux effets de la masse et de
l’amortissement.
20
Chapitre III : Elément finis de plaque en dynamique
21
Chapitre III : Elément finis de plaque en dynamique
22
Chapitre III : Elément finis de plaque en dynamique
pour obtenir une solution stable. Donc, toutes les méthodes explicites sont
conditionnellement stables vis-à-vis de la taille du pas de temps.
• Les méthodes implicites essayent de satisfaire l'équation différentielle au temps "t"
après que la solution au temps " Δt" ait été trouvée. Ces méthodes exigent la solution d'une
série d'équations linéaires en chaque pas de temps ; cependant, de plus grands pas de temps
peuvent être employés. Les méthodes implicites peuvent être conditionnellement ou
inconditionnellement stables.
Plusieurs méthodes à pas multiples précises et d'ordre plus élevé, ont été développées
pour la solution numérique d'équations différentielles, mais en se basant sur un grand
nombre d'expériences, seulement les méthodes implicites à un pas et inconditionnellement
stables doivent être utilisées pour l'analyse dynamique des Structures à un seul pas.
Avec :
qi : Paramètre à déterminer.
ψ i : Fonction d’approximation
23
Chapitre III : Elément finis de plaque en dynamique
[K ] {q }
(e) (e)
= {F }
(e )
Où :
[K ] (e)
: Est la matrice de rigidité de l’élément
{F } (e)
: Le vecteur force élémentaire
hypothèses suivantes :
24
Chapitre III : Elément finis de plaque en dynamique
En utilisant l’équation (3.14) et (3.15), on peut tirer des équations pour q&&t + ∆t et q&t + ∆t , { } { }
{ }
en fonction des déplacements inconnus qt + ∆t ; après substitution de ces deux relations
[K ]{q } = {F }
t + ∆t t + ∆t
(3.17)
Où :
[K ] = [K ] + a [M ] + a [C ]
0 1
a0 = 1 a1 = α a2 = 1
β ∆t 2 β ∆t β ∆t
a3 = 1 −1 a4 = α −1 a5 = ( α − 1) ∆t
2β β 2β
L’équation (3.17) est en fait dans une forme statique. On vient de transformer la
résolution d’un problème dynamique on une résolution d’un problème statique.
25
Chapitre III : Elément finis de plaque en dynamique
A. Calcul initial :
1. Former les matrices de: rigidité [K], de masse [M].
2. Initialiser : {q0 }, {q&0 } et {q&&0 }.
a0 = 1 a1 = α a2 = 1 a3 = 1 −1
β ∆t
2
β ∆t β ∆t 2β
LDL qt + ∆t = Ft + ∆t
T
2. Résoudre en terme de déplacement au temps t+∆t :
26
Chapitre IV : Réponse dynamique d’une plaque par la méthode analytique
y
a
F (t )
E2 ,ν 21
θx E1 ,ν 12
b
θy
h x
z, w
Où F (t ) est une force impulsive verticale appliquée sur la surface de la plaque à + h 2 (par
rapport au plan moyen de la plaque).
27
Chapitre IV : Réponse dynamique d’une plaque par la méthode analytique
Wni m
par F (t ) = F0 sin Ω t , il faut tracer la variation de en fonction de la fréquence
F0 N
d’excitation Ω (rad / s) par chaque mode de vibration définit par i , et n est le nœud où l’on
calcul la déflection.
Afin de déterminer l’effet des charges impulsives sur les structures, il est nécessaire
d’obtenir le spectre de réponse de la plaque correspondant à chaque cas de charge.
Les charges considérées dans cette études sont comme suit :
28
Chapitre IV : Réponse dynamique d’une plaque par la méthode analytique
F (t ) F (t )
F0 F0
0 td 0 tr td t
F (t ) F (t )
F0 F0
0 1 td td t
0 td t 2
29
Chapitre IV : Réponse dynamique d’une plaque par la méthode analytique
Pour le cas d’une surpression due à une explosion la variation de la pression est exprimée
par la fonction suivante [20]:
t
0 ta τ
3.667 τ
simples. Cette plaque est soumise à une charge dynamique uniformément distribuée q (t )
Figure (4.4.).
30
Chapitre IV : Réponse dynamique d’une plaque par la méthode analytique
y
a
F (t )
b
h x
z, w
∞ ∞
mπ x nπ y
W (x, y, t ) = ∑∑ Amn
(t )
sin ∗ sin (4.2)
m=1 n =1 a b
Où Amn (t ) Sont des ordonnées modales du centre de la plaque.
∂ 2W ∂ 2W
L’équation (4.2) doit satisfaire les conditions aux limites x = 0 , = 0 et =0
∂ x2 ∂ y2
pour tous les côtés.
Il est à noter que chaque mode propre est défini par une combinaison possible des valeurs
des entiers m et n .
Pour simplifier le problème prenons m = n = 1 , alors la forme sera :
πx πy
W (x, y ) = A1(t ) sin ∗ sin (4.3)
a b
En utilisant le principe de Hamilton :
t2 t2
∫ δ (T − V ) dt− ∫ δ W = 0
t1 t1
(4.4)
31
Chapitre IV : Réponse dynamique d’une plaque par la méthode analytique
d ∂T ∂V ∂Wext
dt ∂ A• + ∂A = ∂A (4.5)
1 1
1
πx π y
2
1 b a • 1 • 2
T = ρ ∫ ∫ A1 sin . sin dx ⋅ dy = ρ A1 ⋅ a ⋅ b (4.6)
2 0 0 a b 8
En dérivant (4.6) par rapport à A1 , puis par rapport au temps t nous obtenons :
d ∂T 1 ••
dt ∂ A• = 4 ρ ⋅ a ⋅ b A1 (4.7)
1
L’énergie de déformation totale de la plaque est [21]:
b a ∂ w ∂2w
2 2 2
Eh3 2
∂2w ∂2w ∂2w
+ 2ν 2 ⋅ 2 + 2(1 − ν )
24(1 − ν 2 ) ∫0 ∫0 ∂x 2 ∂y 2
V = + dxdy (4.8)
∂x ∂y ∂x∂y
Où E : module d’élasticité.
h : Épaisseur.
ν : Coefficient de poisson du matériau homogène.
∂ 2W π2 πx πy
= − A . . sin . sin
∂x 2 1 2
a a b
∂ 2W π2 πx πy
= − A . . sin . sin (4.9)
∂y 2 1 2
b a b
∂ 2W π2 πx πy
= − A1 . . cos . cos
∂ x∂ y ab a b
32
Chapitre IV : Réponse dynamique d’une plaque par la méthode analytique
Eh 3π 4 ab
2
1 1
V= . A1 . +
96(1 −ν )
(4.10)
a b
2
πx πy
b a
∂V Eh 3π 4 ab
2
1 1
= . A1. 2 + 2
∂A1 48(1 −ν )
(4.12)
a b
2
Substituons les équations (4.7), (4.11) et (4.12) dans l’équation (4.5) et obtenons :
Eh 3π 4 16
2
••
1 1
A1 + . 2 + 2 A1 = q (t )
12(1 −ν 2 )ρ 2
(4.13)
a b ρπ
1 1 Eh 3
w1 = π 2 . 2 + 2 .
b 12(1 − ν 2 )ρ
(4.14)
a
q (t ) 16
A1st = . (4.15)
w12 ρπ 2
33
Chapitre IV : Réponse dynamique d’une plaque par la méthode analytique
πx πy
W (x, y, t ) = A1st ⋅ (FDF )1 ⋅ sin ⋅ sin (4.17)
a b
Pour déterminer les expressions de (FDF )1 , le cas de la charge constante illustré dans la
Figure (4.2.a) est considéré comme exemple.
1 − cos ω1t , 0 ≤ t ≤ td
( FDF )1 =
cos ω1 (t − t d ) − cos ω1t , t > t d
Pour l’ensemble des cas de charges impulsives étudiées, le Tableau 4.1. Et le Tableau 4.2.
En résument les expressions de (FDF )1 :
34
Chapitre IV : Réponse dynamique d’une plaque par la méthode analytique
F (t )
F0 F0 ; 0 ≤ t ≤ td 1 − cos ω1t ; 0 ≤ t ≤ td
a)
F (t )
t 1 sin w1t
F0 . ; 0 ≤ t ≤ tr t − ; 0 ≤ t ≤ tr
F0 tr tr w1
Tableau 4.1 : Expressions de la charge impulsive F (t ) et du facteur dynamique de la force FDF1 pour : a) Charge impulsive
constante et b) Charge impulsive constante avec accroissement fini.
35
Chapitre IV : Réponse dynamique d’une plaque par la méthode analytique
F (t ) sin ω1t t
1 − cos ω1t + − ; 0 ≤ t ≤ td
t ω1t d td
F0 F0 .1 − ; 0 ≤ t ≤ t d
td
; t ≥ td
1
[sin ω1t d − sin ω1 (t − t d )]− cos ω1t ; t ≥ t d
0 ω1t d
0 td t
c)
F (t )
t 1
2 F0 . ; 0≤ t ≤ td 2 sin ω1t 1
td 2 t − ; 0≤ t ≤ td
td ω1 2
F0
2 1 t 1
t 1 t d − t + 2 sin ω1 t − d − sin ω1t ; td ≤ t ≤ td
2 F0 1 − ; td ≤ t ≤ td td ω1 2 2
td 2
1 t td t
[2 sin ω1 (t − t d ) − sin ω1t − sin ω1 (t − t d )]
0 2
2 d ; t ≥ td
ω1t d
0 ; t ≥ td
d)
Tableau 4.2 : Expressions de la charge impulsive F (t ) et du facteur dynamique de la force FDF1 pour : c) Charge impulsive
triangulaire et d) Charge impulsive triangulaire avec pic.
36
Chapitre IV : Réponse dynamique d’une plaque par la méthode analytique
Pour le cas de la charge d’explosion Figure (4.3.), donnée par l’équation (4.1),
l’équation du mouvement de la plaque (4.13) est écrite tout d’abord sous la forme
suivante :
&& + ω 2 A = m q (t )
A (4.18)
1 1 1 1 1
16
Où ω1 est définie par l’équation (4.14) et m1 = .
ρπ 2
La fonction P(t ) est maintenant substituée dans l’équation (4.18) pour obtenir :
A
. 1 − . 1 − (4.19)
τ τ τ
1 1 1 1
m1 P 0.2728
Posons k1 = m1 P , k 2 = , k3 =
τ τ
&& + ω 2 A = [ k − k (t − t ) ]⋅ [ 1 − k (t − t ) ].[ 1 − k 2 (t − t )2
A ] (4.20)
1 1 1 1 2 a 3 a 3 a
A1 (t ) = F (τ )sin ω1 (t − τ ) dτ
1 t
mω12 ∫0
ρπ 2
Où m est la masse de la plaque =
16
37
Chapitre IV : Réponse dynamique d’une plaque par la méthode analytique
La forme flèche de la plaque orthotrope est choisie de façon à satisfaire les conditions
aux limites.
Le model de fonction pouvant satisfaire les conditions géométriques d’une plaque
orthotrope rectangulaire simplement appuyée (Figure 4.1.) est donné par l’équation (4.2)
De ce fait, cette fonction est prêt à être substituée dans les équations de Lagrange (4.5), et
cela une fois les expressions des énergies cinétique et potentielle sont obtenues en fonction
des ordonnées modales Amn (t ) .
1 b a ∂2w ∂ 2w
2 2 2
∂ 2w ∂2w ∂2 w
V = ∫ ∫ Dx 2 + Dy 2 + 2 D1 2 ⋅ 2 + 4 Dxy dxdy (4.21)
2 0 0 ∂x ∂y ∂x ∂y ∂x∂y
Où :
E x h3
• Dx = est la rigidité de flexion par rapport à y.
12
E y h3
• Dy = est la rigidité de flexion par rapport a x.
12
Gxy h 3
• Dxy = est la rigidité de torsion.
12
• D1 = ν 21 Dx = ν 12 Dy le coefficient de poisson réduit.
38
Chapitre IV : Réponse dynamique d’une plaque par la méthode analytique
1
2 2
b a
π2 πx π4 π2 πx π4
V = ∫ ∫ D x ⋅ A1 2 ⋅ sin ⋅ sin + Dy ⋅ A1 ⋅ 2 ⋅ sin ⋅ sin
20 0 a a 4 b a b
π4 π π
2
π2 πx π y
2
+ 2 D1 ⋅ A 2 2 ⋅ sin x ⋅ sin y + 4 D xy
2
⋅ A1 ⋅ cos ⋅ cos dxdy
b
1
a b a b ab a
1 b a D x D y 2 D1 2 4 π π
2 ∫0 ∫0 a 4 b 4 a 2 b 2
= + + . A1 π ⋅ sin 2 x ⋅ sin 2 y
a b
π4 πx π y
+ 4 Dxy ⋅ A12 2 2
cos 2 cos 2 dxdy
a b a b
1 D x D y 2 D1 2 4 b a 2π π
= + + A1 π ⋅ ∫ ∫ sin x ⋅ sin 2 y dxdy
2 a 4 b 4 a 2 b 2
0 0 a b
(4.22)
π 4
πx πy
∫∫
b a
+ 2 Dxy ⋅ A12 cos 2 cos 2 dxdy
a2b2 0 0 a b
A12 Dx Dy 2 D1 4 Dxy
V = ⋅ 4 + 4 + 2 2 ⋅ ab + (4.23)
8 a b ab ab
Le travail des forces extérieures est donné par l’équations (4.11) calculons la dérivée de
l’énergie de déformation V de la plaque par rapport à A1 :
∂V π 4 Dx Dy 2 D1 4 Dxy
= A1 ⋅ 4 + 4 + 2 2 ⋅ ab + (4.24)
∂A1 4 a b ab ab
Substituons les équations (4.7), (4.11) et (4.24) dans l’équation (4.5) et obtenons :
39
Chapitre IV : Réponse dynamique d’une plaque par la méthode analytique
1 Dx Dy 2 D1 4 Dxy
ω1 = π 2 ⋅ ⋅ 4 + 4 + 2 2 a b + (4.26)
ρ a b a b ab ab
q (t ) 16
A1 st = ⋅ (4.27)
ω12 ρπ 2
w
Ke
me Fe (t )
40
Chapitre IV : Réponse dynamique d’une plaque par la méthode analytique
Où :
π6 1
2
1 Eh 3
Ke = 2+ 2
b (1 −ν 2 )
Pour la plaque isotrope.
192 a
π 6 Dx D y 2 D1 Dxy
Ke = 4 + 4 + 2 2 ab + 4 Pour la plaque orthotrope.
16 a b a b ab ab
41
Chapitre V : Codes de calculs.
5.1. Introduction :
43
Chapitre V : Codes de calculs.
Préprocesseur :
Lecture et génération de données.
Initialisation de la matrice de
rigidité globale et du vecteur de
force global
Processeur :
Génération des matrices élémentaires
[K ]e , [M ]e , [C ]e Subroutine : STIFF
Appel
Génération des vecteurs élémentaires
[K ]e , [M ]e , [C ]e
{F }e
Assemblage des équations élémentaires
{F }e
Éléments :-Linéaires.
-Quadratiques.
Les matrices tiennent compte la
Assemblage des équations élémentaires formulation de Newmark.
Calcul des charges impulsives
Pour sous différentes formes.
Appel
chaque Application des conditions aux limites
pas de
temps
∆T Appel Subroutine : BNDY
Résolution du système d’équations
Subroutine : SOLVE
Incrémentation du temps Méthode d’élimination de
T = T + ∆T Gauss pour les matrices à
Calcul des nouvelles vitesses et bandes symétriques.
accélérations
Postprocesseur :
Calcul des contraintes de flexion aux Appel
points de gauss
Subroutine STRESS
Impression des contraintes
maximales.
OUI Le nombre de pas de temps = temps NON
STOP
total
44
Chapitre V : Codes de calculs.
a) Données géométriques :
b) Données matérielles :
45
Chapitre V : Codes de calculs.
Le code de calcul est basé sur la méthode analytique dont les équations du mouvement de la
plaque sont obtenues par les équations de Lagrange .Le programme comprend les parties
suivantes :
§ Un préprocesseur.
§ Un processeur.
46
Chapitre V : Codes de calculs.
Préprocesseur :
Lecture de données.
Initialisation, calcul de la
fréquence fondamentale et
calcul de la flèche
statique F0 K
Pour
chaque Pour le cas de charge impulsive
pas de considéré, calcul de FDF
temps Et la flèche w pour les cas de plaques
∆T isotropes et orthotropes
47
Chapitre V : Codes de calculs.
a) Données géométriques :
Les données de la structure :
AA: Dimension de la plaque suivant x.
BB: Dimension de la plaque suivant y.
NTIME : Nombre de pas de temps total.
NSTEP : Temps correspondant à l’arrêt de la charge.
b) Données matérielles :
48
Chapitre V : Codes de calculs.
49
Chapitre VI : Tests et validations
Plaque 1 :
Données :
a = 0.45 m ; b = 0.3 m ; h = 2.114 mm ; ρ =1630 Kg/m3 .
E1 = 131 GN/m2,
E2 = 131 GN/m2,
G12 = 47.46 GN/m2,
ν 12 = 0.38. Matériau : graphite/époxy laminé.
w = βy = 0 le long de : AD et BC.
49
Chapitre VI : Tests et validations
D C
F0
h
x x
A b B
a) b)
plaque correspondent aux appuis simples sur toute sa périphérie. Les caractéristiques
physiques utilisées sont résumées dans le Tableau 6.1.
0.45 0.30 2.114 10-3 131.109 131.10 9 47.46 109 0.38 1630 104
50
Chapitre VI : Tests et validations
La réponse dynamique de cette plaque a été évaluée par deux formulations différentes.
La première formulation basée sur la M.E.F., dont l’intégration des équations dynamiques
du mouvement a été obtenue par la méthode de Newmark-β. Le pas de temps a été choisi
minutieusement après avoir calculé la fréquence fondamentale de la plaque. La valeur du
pas de temps choisie est ∆t = 0,0025 sec . avec une durée maximale de
chargement td = 0,025 sec .
La deuxième formulation est basée sur une méthode énergétique ou méthode de
Lagrange (voir section 4.2.1.). Cette méthode a permis l’estimation de la fréquence
fondamentale de la plaque directement de l’équation différentielle du mouvement. La
solution de cette équation a été obtenue par l’intégrale de Duhamel pour une charge
impulsive donnée F (t ) . Le facteur dynamique de la charge FDF ainsi obtenu a permis
l’évaluation de la solution pour un temps total t. Le code de calcul « ANALYTIC »,
programmé pour prendre en compte plusieurs cas de charges impulsives (Chap. 5), a été
appliqué pour calculer le FDF.
0
W/h
-2
-4
-6
Temps, sec.
Figure 6.2 : Réponse dynamique d’une plaque isotrope sous charge constante par
la M.E.F.
51
Chapitre VI : Tests et validations
P la q u e is o tro p e h = 2 .1 1 4 m m .
6
C h a r g e im p u ls iv e c o n s ta n te .
∆ t = 0 .0 0 2 5 s e c . t d = 0 .0 2 5 s e c .
4 M é th o d e a n a ly tiq u e .
0
W/h
-2
-4
-6
0 ,0 0 0 ,0 1 0 ,0 2 0 ,0 3 0 ,0 4 0 ,0 5 0 ,0 6 00 ,0
,0 77
T em ps, sec.
Figure 6.3 : Réponse dynamique d’une plaque isotrope sous charge constante par la
méthode analytique.
Pour la plaque considérée, la réponse est obtenue par les deux méthodes citées ci-dessus.
Les résultats des rapports wmax /h, où wmax est l’amplitude de la réponse (flèche) maximale
Tableau 6.2 : Résultats et estimation de la différence, obtenues par les deux formulations.
W/h
W/h
Au moment Différence Différence
Formulation Après
du % %
chargement
chargement
2.52 3.7
Méthode
21.595 3.24
analytique
52
Chapitre VI : Tests et validations
Cette méthode a permis de comparer les résultats obtenus par les deux formulations afin
de valider les deux modèles.
D’après le Tableau 6.2. La différence des résultats pour les deux modèles est de l’ordre
de 2.52 % pour le cas correspondant au moment de l’application de la charge, et de 3.7 %
après arrêt de la charge. Cette différence est appréciable et signifie la bonne concordance
entre les deux méthodes malgré l’approximation faite pour le choix du nombre d’éléments
finis pris égal à un maillage de 8x8 d’où un total de 64 éléments .
Il est ainsi à souligner que pour la deuxième formulation (énergétique), le choix de la
fonction déplacement dépend des conditions aux limites et que le nombre de termes de la
série (un seul terme est considéré) est aussi d’une grande importance. Le fait de choisir un
seul terme de la série trigonométrique influe énormément sur les résultats numériques.
E2 = 13.03 GN/m2,
G12 = 6.41 GN/m2,
ν 12 = 0.38.
Matériau : graphite/époxy laminé.
w = βy = 0 le long de : AD et BC.
La même plaque [23], Figure 6.1., est maintenant analysée par les deux méthodes citées
ci-dessus avec les caractéristiques d’une plaque orthotrope (voir Tableau 6.3.)
53
Chapitre VI : Tests et validations
Dimensions
Caractéristiques physiques
m
Charge
E1 E2 G12 Densité
a b h ν12 N/m2
2 2 2 2
N/m N/m N/m Kg/m
0.45 0.30 2.114 10-3 131.109 13.03109 6.41109 0.38 1630 104
Puisque les performances des deux formulations ont été démontrées ci-dessus pour le cas
isotrope, une attention particulière est concentrée à la détermination des caractéristiques
vibratoires de la plaque orthotrope du matériau graphite/époxy laminé. Pour cet exemple,
la plaque est subdivisée en un maillage particulier de 64 (8x8) éléments finis.
L’étude en vibration libre a été conduite pour le cas d’une plaque orthotrope mince en
utilisant la solution analytique proposée et par un modèle d’éléments finis prenant en
compte l’effet du cisaillement transversal dont la formulation est basée sur l’hypothèse de
Reissner-Mindlin .
Le code de calcul basé sur la M.E.F. [26] a été modifié pour inclure plusieurs formes de
charges impulsives (d’explosion).
La formulation analytique a permis d’obtenir la fréquence fondamentale (m= n =1) de la
plaque orthotrope estimée à ω1 = 510.82 rad/s. et une période fondamentale T1= 0.0123 s.
En revanche, la M.E.F. a été conduite pour la même plaque en supposant que la vibration
est transitoire sous l’effet d’une impulsion constante F0 =104 N/m2. Pendant ce chargement
la plaque a été soumise à une pression constante distribuée sur la surface z = + h 2 . La
réponse temporelle au centre de la plaque à partir des deux formulations, M.E.F. et
Méthode analytique est indiquée sur la Figure 6.4. Le Tableau 6.4., présente les
amplitudes maximales de la réponse de la plaque orthotrope obtenues par les deux
formulations.
54
Chapitre VI : Tests et validations
36.9 40 29.7
Méthode
510.82 16.381 11.67 0.0123
Analytique
Le pas de temps choisis pour les deux analyses Δt = 0.00156 s., avec une durée totale de
chargement td = 0.0312 s. Les périodes propres correspondants aux résultats sont aussi
représentés dans le Tableau 6.4. Indiquant une différence de 29.7 %. Il en est de même
pour le cas du rapport Wmax / h comme indiqué dans le Tableau 6.4. La différence de ces résultats
montre l’erreur que peut induire l’utilisation du modèle analytique proposé pour les plaques
orthotropes. Cette divergence des résultats est due au choix de la fonction déplacement du modèle
analytique. Ce choix dont la fonction contient un seul terme de la série trigonométrique fait que
la déformée de la plaque orthotrope soit forcée à obéir à cette variation, ce qui a conduit à une
solution « rigide » avec un degré de liberté donné par l’amplitude de la flèche verticale A1(t).
Dans cette approximation les degrés de liberté de rotation ne sont pas pris en compte. En
revanche, la M.E.F. prend en compte trois degrés de liberté pour chaque nœud du maillage,
ce qui conduit à une solution plus « flexible » par rapport à celle de la méthode analytique.
« La rigidité » de la solution analytique s’explique par les résultats des fréquences calculées par les
deux méthodes, Tableau 6.4. La fréquence obtenue par la méthode analytique dépasse de 29,7 %
celle obtenue par la M.E.F., indiquant une plaque plus rigide du point de vue caractéristiques
géométriques (modèle déplacement) et non pas des caractéristiques physiques de la plaque. Cette
rigidité est le résultat d’un blocage des degrés de liberté de rotation.
Afin d’obtenir une solution analytique adéquate pour les plaques orthotropes, il est nécessaire
d’imposer un modèle raffiné de déplacement sous forme de séries entières ou trigonométriques
pouvant satisfaire les conditions aux limites avec possibilité de modélisation des trois degrés de
liberté notamment la flèche verticale w suivant la direction de l’axe Z et les deux rotations θ x
et θ y .
55
Chapitre VI : Tests et validations
30
25
20
15
10
0
W/h
-5
-10
Temps, sec.
Figure 6.4 : Comparaison et validation. Cas d’une plaque isotrope sous charge constante.
6.4 : Validation des résultats par la M.E.F. pour une plaque orthotrope :
La plaque mince considérée dans cette section analysée par Chen et al [4] dont les
propriétés du matériau sont tirées à partir des travaux de recherche de Reddy [26] [4] est
soumise à une charge d’explosion constante d’intensité F0 = 0,1N/mm2.
56
Chapitre VI : Tests et validations
Les résultats sont fournis par la formulation par la M.E.F. proposée par un maillage de
8x8 sur toute la plaque. Les calculs faits correspondent à un pas de temps de 10 μs, une
durée totale de chargement td = 8 μs. et un nombre total de pas de temps égal à 200. La
prédiction de la réponse dynamique de la plaque sous la charge impulsive constante est
représentée par la Figure 6.5. Ces résultats sont comparés à ceux de la référence [5] afin de
valider la formulation par la M.E.F. Cette figure montre la bonne concordance des
résultats. Par cet exemple de calcul la validation de la formulation proposée par la MEF,
pour les plaques orthotropes sous charges impulsives, est validée.
0.4 MEF
Référence
0.3
0.2
w/h
0.1
0.0
-0.1
0.0 0.4 0.8 1.2 1.6 2.0
t (millisec)
Figure 6.5 : Comparaison et validation. Cas d’une plaque orthotrope sous charge
constante.
57
Chapitre VI : Tests et validations
58
Chapitre VI : Tests et validations
Caractéristiques de la plaque :
F0 = 0,1 N / mm2 ,
w = βx = 0 Le long de : AB et DC.
w = βy = 0 le long de : AD et BC.
D C z
F0
h
x x
A a B
a) b)
59
Chapitre VI : Tests et validations
0.5
0.0
w/ h
-0.5
-1.0
-1.5
-2.0
0.000 0.025 0.050 0.075 0.100 0.125 0.150 0.175 0.200
Temps ,sec.
Figure 6.7: Réponse dynamique d’une plaque isotrope mince sous charge impulsive
constante.
réponse transitoire après arrêt du chargement dont le rapport Wmax / h atteint la valeur de
1.0653. Ce résultat montre que la différence entre les deux phases de la réponse est
insignifiante, indiquant ainsi l’effet de la flexibilité de la plaque isotrope mince sur
l’amplitude de vibration.
60
Chapitre VI : Tests et validations
-5
6,0x10 Plaque épaisse isotrope,h=0.05 m.
Durée de chargement =0.01 sec.
-5
5,0x10 Durée totale de la réponse =0.4 sec.
-5
4,0x10
-5
3,0x10
w/ h 2,0x10-5
-5
1,0x10
0,0
-5
-1,0x10
-5
-2,0x10
0,000 0,005 0,010 0,015 0,020 0,025 0,030 0,035 0,040
Temps ,sec.
Figure 6.8: Réponse dynamique d’une plaque isotrope épaisse sous charge impulsive
constante.
0,2
0,1
0,0
w/ h
-0,1
-0,2
-0,3
-0,4
-0,5
-0,6
0,000 0,025 0,050 0,075 0,100 0,125 0,150
Temps ,sec.
Figure 6.9: Réponse dynamique d’une plaque orthotrope mince sous charge impulsive
constante.
61
Chapitre VI : Tests et validations
-4
2.0x10
Plaque épaisse orthotrope,h=0.05 m.
1.5x10
-4 Durée de chargement =0.01 sec.
Durée totale de la réponse =0.035 sec.
-4
1.0x10
-5
5.0x10
0.0
w/ h
-5
-5.0x10
-4
-1.0x10
-4
-1.5x10
-4
-2.0x10
0.000 0.005 0.010 0.015 0.020 0.025 0.030 0.035
Temps ,sec.
Figure 6.10: Réponse dynamique d’une plaque orthotrope épaisse sous charge impulsive
constante.
62
Chapitre VI : Tests et validations
0,10
0,05
w/ h 0,00
-0,05
-0,10
-0,15
-5
2,0x10
-5
1,0x10
w/ h
0,0
-5
-1,0x10
-5
-2,0x10
-5
-3,0x10
0,00 0,01 0,02 0,03 0,04 0,05
Temps ,sec.
Figure 6.12: Réponse dynamique d’une plaque isotrope épaisse sous charge impulsive
constante avec accroissement fini.
63
Chapitre VI : Tests et validations
0,2
0,1
w/ h
0,0
-0,1
-0,2
-0,3
0,000 0,025 0,050 0,075 0,100 0,125
Temps ,sec.
Figure 6.13: Réponse dynamique d’une plaque orthotrope mince sous charge impulsive
constante avec accroissement fini.
-5
8,0x10
Plaque épaisse orthotrope,h=0.05 m.
-5
Durée de chargement =0.01 sec.
6,0x10
Durée totale de la réponse =0.05 sec.
-5
4,0x10
-5
2,0x10
w/ h
0,0
-5
-2,0x10
-5
-4,0x10
64
Chapitre VI : Tests et validations
1,5
Plaque mince isotrope,h=0.005 m.
Durée de chargement =0.1 sec.
Durée totale de la réponse =0.15 sec.
1,0
0,5
w/ h 0,0
-0,5
-1,0
-1,5
0,000 0,025 0,050 0,075 0,100 0,125
Temps ,sec.
Figure 6.15: Réponse dynamique d’une plaque isotrope mince sous charge impulsive
triangulaire.
-5
Plaque épaisse isotrope,h=0.05 m.
5,0x10 Durée de chargement =0.1 sec.
-5 Durée totale de la réponse =0.04 sec.
4,0x10
-5
3,0x10
-5
2,0x10
w/ h 1,0x10-5
0,0
-5
-1,0x10
-5
-2,0x10
-5
-3,0x10
65
Chapitre VI : Tests et validations
0,1
w/ h
0,0
-0,1
-0,2
Figure 6.17: Réponse dynamique d’une plaque orthotrope mince sous charge impulsive
triangulaire.
-5
3,0x10
-5
w/ h 2,0x10
-5
1,0x10
0,0
-5
-1,0x10
Figure 6.18: Réponse dynamique d’une plaque orthotrope épaisse sous charge impulsive
triangulaire.
66
Chapitre VI : Tests et validations
0,15
Plaque mince isotrope,h=0.005 m.
Durée de chargement =0.1 sec.
Durée totale de la réponse =0.08 sec.
0,10
0,05
w/ h
0,00
-0,05
-0,10
3,0x10
-5 Plaque épaisse isotrope,h=0.05 m.
Durée de chargement =0.01 sec.
2,5x10
-5 Durée totale de la réponse =0.04 sec.
-5
2,0x10
-5
1,5x10
w/ h 1,0x10-5
-6
5,0x10
0,0
-6
-5,0x10
-5
-1,0x10
0,000 0,005 0,010 0,015 0,020 0,025 0,030 0,035 0,040
Temps ,sec.
Figure 6.20: Réponse dynamique d’une plaque isotrope épaisse sous charge impulsive
triangulaire avec pic.
67
Chapitre VI : Tests et validations
0,35
Plaque mince orthotrope,h=0.005 m.
0,30
Durée de chargement =0.01 sec.
0,25 Durée totale de la réponse =0.08 sec.
0,20
0,15
0,10
0,05
w/ h
0,00
-0,05
-0,10
-0,15
-0,20
-0,25
0,00 0,01 0,02 0,03 0,04 0,05 0,06 0,07 0,08
Temps ,sec.
Figure 6.21: Réponse dynamique d’une plaque orthotrope mince sous charge impulsive
triangulaire avec pic.
-5
1,0x10
0,0
-5
-1,0x10
-5
-2,0x10
-5
-3,0x10
0,00 0,01 0,02 0,03 0,04
Temps ,sec.
Figure 6.22: Réponse dynamique d’une plaque orthotrope épaisse sous charge impulsive
triangulaire avec pic.
68
Conclusion
CONCLUSION
L'étude est conduite en élasto- plasticité avec prise en compte de la non linéarité.
Les résultats des études numériques présentés, ont permis de tirer les conclusions
importantes suivantes :
- La fiabilité du programme de calcul numérique modifié [26] pour une bonne estimation
du comportement d'une plaque.
- Le déplacement vertical diminue avec l’augmentation de l’épaisseur.
- L'utilisation de charges impulsives différentes a permis de conclure que les résultats
obtenus pour une plaque orthotrope sont similaires du point de vue aspect générale qui
est caractérisé par le fait que la réponse de la plaque épouse l’allure de la charge durant
le temps de chargement avant la chute et l’oscillation avec l’amplitude de vibration
libre après arrêt de chargement.
- Les propriétés de la plaque ont un effet important sur sa réponse dynamique. La prise
en compte des propriétés de la plaque a pour effet de diminuer sa rigidité avec
l'augmentation de son épaisseur lorsqu’elle est considérée comme orthotrope.
73
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