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INTRODUCTION
-La rémunération
SECTION 2 : LA REMUNERATION
L’acte de société est défini par l’article 4du code de l’OHADA relatif
aux sociétés commerciales et au G.I.E comme le contrat par lequel
deux ou plusieurs personnes conviennent d’affecter à une activité des
biens, en numéraires ou en nature, dans le but de partager le
bénéfice ou de profiter de l’économie qui pourra en résulter. Les
associés s’engagent à contribuer aux pertes.
Il est important de noter que l’alinéa 2 de cet article impose qu’il soit
fait sous forme solennelle, c’est-à-dire sous forme écrite.
2-Rupture du contrat
A-LEUR FORME
Si ces deux contrats ne sont pas constatés par des écrits, ils sont
réputés être des contrats de travail à durée indéterminée.
B-LEUR DUREE
Le contrat à l’essai dont l’issue est incertaine parce que l’essai peut
être concluant ou non est bel et bien un rapport juridique conditionnel.
A- La durée du contrat
a. Définition
Le contrat de travail est le contrat par lequel une personne se place
dans un lien de subordination juridique permanente à l'égard d'une
autre personne. Code du travail dispose que « le contrat de travail est
conclu sans détermination de durée ». Cette règle est d’ordre public,
le contrat à durée indéterminée (CDI) est le contrat de droit commun,
il doit garantir la pérennité de l’emploi du salarié et le protéger
contre tout éventuel abus.
Il convient de préciser que le contrat peut être rédige sur papier libre
ou à en-tête.
La force majeure ;
La faute lourde du salarié ;
La résolution judiciaire pour inexécution ;
L’accord amiable des parties ;
Le décès de l’une des parties, éventuellement qui seront
examinés successivement.
Mais quel que soit sa gravité, la faute lourde doit avoir été
commise à l’occasion de l’exécution du contrat de travail. Si elle a lieu
à l’occasion de faits extérieurs au contrat, la faute lourde, privative de
préavis, ne peut enlever au travailleur son droit aux indemnités de
rupture, même si le licenciement est légitimé par la perte de confiance
(appel d’Abidjan, 24 février 1984, inédit).
A -L’IMPUTABILITE DE LA RUPTURE
Cet intérêt est mis en relief par l’article 18-16, alinéa 1 CT qui
dispose que «
B- LA LEGITIMITE DE LA RUPTURE
La notification du licenciement et
L’observation du délai de préavis
1- LE DELAI DE PREAVIS
1-a- La faute
En principe, toute faute du salarié quel que soit son
degré de gravité, constitue un motif légitime de
licenciement. Mais en pratique, si la faute lourde, privative
de préavis légitime toujours le licenciement, la faute
reconnue légère est un motif illégitime parce que peut
sérieux.
La faute du travailleur peut être civile, pénale ou
disciplinaire.
En cas de condamnation pour faute pénale justifie la
légitimité du licenciement. Les simples poursuites
répressives ne légitiment pas un licenciement.
La faute professionnelle par contre donne droit à
l’employeur de congédier légitiment le salarié.
La jurisprudence considère légitime le congédiement
fondé sur la perte de confiance consécutive à la poursuite
pénale contre l’employé relaxé pour non-lieu faute de
Réponse :
De la 1ere à la 5e année
De la 6e à la 10e année
Le motif économique
La procédure particulière à suivre
La convocation et
La réunion de consultation.
A-LA CONVOCATION
1-Déroulement de la réunion
1- La notification de la démission
2-Préavis