Raison de la justice: D'un côté, d'un point de vue religieux, même s'il est vrai que dans l'Ancien

Testament, des idées telles que la loi du Talion sont professées, comme le souligne Albert Camus:
"C'est un sentiment, particulièrement violent, qui ne date pas du début Le Talión appartient à
l'ordre de la nature et de l'instinct (...) Si le crime appartient à la nature humaine, la loi n'a pas
pour but d'imiter ou de reproduire une telle nature, elle est faite pour la corriger. "; D'autre part, il
est possible de confronter d'autres considérations dogmatiques religieuses, telles que l'amour du
prochain, le pardon, entre autres. Il viole le droit à la vie proclamé dans la Déclaration
universelle des droits de l'homme.

) Utilité sociale: Il n’est pas prouvé que la punition remplisse une fonction générale de prévention
négative, c’est-à-dire d’intimidation envers des délinquants potentiels. La preuve en est que s'il en
était ainsi, il n'y aurait plus de crimes. Et deuxièmement, il est supposé que le crime est un acte
rationnel, dans lequel le délinquant évalue les coûts et les avantages. Il convient également de
mentionner l’argument selon lequel, contrairement à une prévention, une spirale de violence est
générée. Le fait d'assassiner une personne, par l'État, peut signifier que cet acte est copié et
provoque la violence qu'il souhaitait diminuer. Enfin, il convient de noter que, en tant que
partisans de la demande de peine de mort, il est possible que dans certains pays où la peine de
mort a été abolie, le nombre de crimes enregistrés ait augmenté. Mais cette déclaration doit être
nuancée, en ce sens qu’il est possible qu’une partie de ce crime ait été cachée (non enregistrée)
ou que cette augmentation soit due à la commission de crimes moins graves. On peut donc
affirmer que la fonction d'intimidation de la peine capitale n'a pas encore été prouvée.

En ce qui concerne la défense légitime ou la vengeance de la victime, elles sont supposées avoir
des intentions qui ne peuvent être démontrées. Il est possible que, si la victime pouvait
s'exprimer, elle ne demanderait pas sa revanche, mais le pardon: "Les victimes vont-elles-elles se
venger?" sa vie. " Bien que chaque jour plus, les erreurs judiciaires soient moins fréquentes, il
existe un risque de condamner un innocent. Mais aussi avec la circonstance aggravante que dans
le cas de la peine de mort, le sujet ne peut pas être compensé pour l'erreur.

Coûts économiques: dans le coût de la peine de mort, non seulement le coût de l'exécution lui-
même doit être calculé, mais également le coût de l'ensemble du processus judiciaire, à savoir les
appels, les juges et coûts sociaux de cette phrase. Ces coûts sociaux doivent être estimés pour
déterminer si, en réalité, la peine de mort est rentable ou non. De plus, différentes études menées
révèlent que la peine de mort est moins rentable que le maintien en détention du sujet.