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• l'épouse de Bartholo
Deux citoyens maltais, les époux Bartholo se marient à Malte sans a conclure une convention
matrimoniale (une convention déterminant le régime de la propriété pendant le mariage). Après
un certain temps depuis leur mariage et seulement accidentellement les époux installés en
Algérie française où le mari acquiert des biens propriété. À la mort de son mari, sa femme
réclame la richesse laissée par son mari fondant sa revendication sur deux arguments:
En tant que successeur du mari mais conformément à la loi française de 1889, son mari le
survivant n'avait pas le droit de succession. L'immobilier était sur Territoire français. La
dévolution héréditaire des bâtiments situés sur le territoire français dépendait de la loi du
lieu où se trouvait l’immobilier.
Ainsi, en droit français, les créances étaient qualifiées de droits de succession et déterminer la
compétence de la loi française (en tant que loi du lieu de la situation immeubles) après quoi rien
n’est attribué à la femme visiteuse;
L’épouse peut toujours revendiquer un droit sur la fortune laissée par son mari vertu du
régime juridique des biens des époux pendant le mariage. À partir de cela point de vue, la loi
maltaise accorde à la femme, sauf la moitié des les biens acquis pendant le mariage, une
partie des biens conjointement en tant que mari en visite. Régime des biens des époux
pendant le mariage était soumis à la loi maltaise, car après le mariage, les époux ont reste un
bon moment à Malte et s'installe plus tard à Malte territoire français. Du point de vue du droit
français, les époux avaient le régime matrimonial de droit maltai. Le problème était de
déterminer la nature des réclamations et savoir quelle loi s'applique: la loi maltaise ou loi
française?
Le juge qualifié après le droit français après la loi du forum. En tant que tels, les avantages
de la loi maltaise étaient qualifiées en droit français de droit de succession et selon le code
civil alors sa femme n'a pas pu obtenir la succession. Bartin, il a approuvé qualification selon
la loi du forum, qualification répandue aujourd'hui la pratique du droit international privé
contemporain.
Cette affaire est valable non seulement du point de vue historique parce qu'il existe encore des
États comme le Portugal, où un citoyen portugais ne peut pas tester sous une forme faite à la
main meme dans un pays qui accepte l'écriture manuscrite comme étant valide.
Contrat d'achat-achat entre une société roumaine et une société en société en commandite simple
basée en Allemagne
Deux conjoints chinois qui résident habituellement en Roumanie et qui ont acquis ici les biens
meubles et immeubles meurent sans héritiers. Il se lève la question de qui sera attribué ces biens
et quel titre? Ils reviendront à l'état le le territoire de qui avait sa résidence habituelle au moment
du décès? Ils vont revenir l'Etat dont les citoyens ont disparu - l'Etat chinois - ou entrera le
patrimoine de l’état sur le territoire duquel se trouvent les biens - l’état Roumain? Nous devrons
définir le droit de l'État sur les biens vacants. Si nous reconnaissons que le droit de l’État sur les
biens vacants est un droit de héritage, les biens respectifs seront restitués à l’État dont les
citoyens étaient disparus, respectivement à l’État chinois. Si ces biens passent dans le patrimoine
propriété sans état, res nullius, elles doivent être attribuées à ce titre l’État sur le territoire duquel
ils sont donc l’État roumain. En outre, le droit de l’État de percevoir la succession vacante
existant sur son territoire peut être qualifié de droit d'hériter, soumis à le droit successoral (lex
successionis), ou en tant que droit originel de l'État, découlant de sa souveraineté, auquel cas il
s'appliquera appliquer la loi de la localisation de la propriété (lex rei sitae).