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MECANISME DE RUPTURE DE SOL POUR UN PIEU PAR LA

THEORIE DE L’ANALYSE LIMITE

Ghania Boukhatem1, Mohamed Meksaouine2

1 Maître assistant chargé de cours, Département de Génie civil, Université 20 Aout 1955, Skikda,
gboukhatem3@yahoo.fr
2 Maîtres de conférences, Département d'Hydraulique, Université Badji Mokhtar, Annaba

Résumé:
Cet article traite d'un problème d'interaction sol-structure concernant la détermination de la capacité
portante (ou charge limite) des pieux par la méthode du calcul à la rupture; et plus précisément de
développer l'approche cinématique dans le cas du critère de COULOMB.
L'étude théorique ici présente, permet d'apporter une contribution dans la détermination de la charge
limite sollicitant des pieux chargés verticalement en se limitant seulement à l'effet de pointe qui
semble prédominant.
L'outil théorique utilisé est le théorème cinématique de la théorie de l'analyse limite, en développant
un modèle en trois dimensions.

Mots clés : pieux- groupe- charge limite- cinématique- charge limite.


"SICZS_2010" Symposium International sur la Construction en Zone Sismique
Université Hassiba Benbouali de Chlef (Algérie), 26 – 27 octobre 2010

Introduction
La capacité portante des fondations à été étudier par plusieurs investigateurs Terzaghi 1943, Caquot et
Kérisel 1953, Meyerhof 1963, Vésic 1973 et chen 1975.
Nous nous proposons d’apporter une contribution à la compréhension et la quantification des effets de
groupe ou le comportement de ces derniers est fonction du comportement élémentaire de chaque pieu
du groupe et de l’interaction simple entre eux.
L’approche adoptée est la théorie de l'analyse limite utilisant le théorème cinématique qui peut traiter
de problèmes très complexes dans l'espace d'un massif de sol.
Ce travail est consacré à une présentation succincte de la méthode du calcul à la rupture (ou analyse
limite), et au calcul de la charge limite d'un groupe de pieu où nous nous limiterons à l'effet de pointe
utilisant un mécanisme de rupture symétrique; certains auteurs, en effet, considèrent qu'il convient de
ne pas prendre en compte le frottement latéral sur la hauteur de retournement des lignes de
glissements, car il estime que le sol est déjà mobilisé par la pointe et en état d'équilibre limite
(G.PHILLOPONAT, 1979). Les pieux sont généralement calculés selon l’une des deux hypothèses
suivantes : l’une ne tenant compte que de l’effet d’interaction mécanique simple entre les pieux ; la
deuxième hypothèse tient compte d’une manière très simplifiées de l’effet d’enserrement du sol entre
les pieux enchevêtrés, le sol et pieux étant considérés comme un bloc monolithique. Les méthodes de
calcul basées sur cette dernière hypothèse, issue des observations expérimentales, sont empiriques.
Nous proposons un modèle en plan avec l'utilisation du théorème cinématique de l'analyse limite en
considérant que la pointe du pieu met le sol en butée (Léonard, 1967). L'analyse des équations et des
résultats est traitée par le logiciel Mathcad.

Calcul à la rupture
Le calcul a la rupture a pour objet de cerner un domaine de charges potentiellement supportables pour
une structure dont le chargement dépend d'un nombre fini de paramètre : il n'entre pas dans ses
applications de recherche à connaître l'état des contraintes et déformations du sol à un niveau de
sollicitations donné .Puisqu'il ne vise qu'à encadrer un domaine, il utilise un critère de rupture et non
une loi de comportement Ceci est d'une grande commodité vu la difficulté d'élaborer une telle loi
suffisamment réaliste.
La stabilité d'une configuration ne peut être établie par le calcul à la rupture que moyennant des
hypothèses sévères sur le matériau (le principe de normalité de HILL) que nous ne ferons pas.
Dans l'espace des chargements le domaine de ces charges est convexe et contient le chargement nul.
Tout chargement situé en dehors du domaine entraînera la ruine du système. Mais un chargement dans
le domaine ne pourra être qualifié que de potentiellement supportable. Pour l'encadrement des bords
du domaine, les deux démarches "approche par l'intérieur " et "approche par l'extérieur" sont
complémentaires.
La première, dite approche statique, se fait dans le sens de la sécurité. Elle consiste à exhiber un
champ de contraintes statiquement admissible et à exprimer qu'il satisfait au critère de rupture. Un
certain nombre d'études ont été faites sur ce sujet tant pour les milieux purement cohérents (DAVIS et
al, 1980) que pour les milieux frottants (MULHAUSS H.B., 1985). La finesse de l'approche est liée à
l'intuition du chercheur et à sa capacité à réaliser le meilleur compromis entre un champ réaliste et des
calculs analytiques réalisables. Les travaux précédemment cités ont fait l'objet de validation
expérimentale et ont montré qu'il approchait convenablement de la réalité.
La seconde approche est dite cinématique .Parmi d’autres, les auteurs précédents l'ont appliquée aux
cavités des sols purement cohérents. En effet, le critère de rupture dans se cas simplifié (Critère de
COULOMB), puisque seul intervient la cohésion et l’angle de frottement et que la majoration de la
puissance dissipée est explicite quelque soit le champ de vitesse envisagé .En ce qui concerne les
milieux frottants, nous avons pu constater l'absence de travaux.
Nous nous proposons donc de développer une telle approche et de voir dans quelle mesure elle est
exploitable.

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Exposé de la méthode et choix de la configuration


Approche cinématique pour un milieu frottant cohérent
L'approche cinématique (borne supérieure) du calcul à la rupture est basée sur la conception de
mécanismes virtuels de rupture. Inspirées des formes de ruptures observées sur modèles réduits. Elle
permet de construire une approche par l'extérieur (c.à.d. par excès) du domaine de stabilité. La
condition nécessaire de stabilité est obtenue pour chaque mécanisme en écrivant que la puissance Pext
des efforts extérieurs dans les mécanismes considérés ne peut excéder la puissance résistante
maximale Pmax res correspondante.
Pext ≤ Pmaxres
(1)
La quantité Pmax res est une fonctionnelle du mécanisme virtuel envisagé et elle ne dépend que du
matériau. Elle représente physiquement la puissance maximale que le massif est en mesure de
développer dans le mécanisme envisagé, du fait de ses capacités de résistances.

Modèles de calcul du groupe de Pieux Selon Coulomb


En Plan, (frottement lisse δ pϕ )
Soit un groupe de quatre pieux identiques de diamètre b’ ; pour que les prismes de rupture de sol se
touchent
emax = l a d ′ ⋅ cos β + lb′d ′ ⋅ cos β (2)

Triangle semblable :
b'⋅ tan θ
l ac = b' (3) l cd = l ad ' = ( 4)
2 ⋅ sin β
b' 2 ⋅ tan θ
l b 'd ' = (5)
2 ⋅ sin β
tan θ
emax = b'⋅ (6)
tan β

Fig 1- Espacement maximal pour que les prismes de rupture de sol se touchent (coupe transversale)

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Le groupe de pieu se comporte comme une pile monolithique d’après Terzaghi et Peck ; La vitesse
relative entre pieu-sol (V01,V20 ) est tangente, (V1,V2,V12 ) incliner de ϕ ; est la dissipation d’énergie due
à la cohésion et au frottement.
δ : Angle d’inclinaison de la charge P par rapport au mur.

Fig2- Mécanisme de rupture du groupe de pieux pour un frottement lisse et diagramme de vélocité
associé en plan selon Coulomb

Triangle semblable :
Vélocités :
π 
sin  − θ 
V1 = V0 ⋅  
2
(7)
sin (θ − ϕ )

V01 =V0 ⋅
( )
sin π +ϕ
2
sin(θ −ϕ )
(8)

V20 =V0 (9)

V2 =V0 ⋅ 2
( )
sin π −θ sin(β + 2ϕ )

sin(θ −ϕ ) sin(Ω−2ϕ )
(10)

V12 =V0 ⋅
( )
sin π −θ sin[π −(Ω+ β )]
2 ⋅
sin(θ −ϕ ) sin(Ω−2ϕ )
(11)

Longueurs :
lbc = b (12)
2.cosθ
b.tgθ
lac =b (13) lcd = (14)
2.sin β
b.sin(θ + β )
lbd = (15)
2.cosθ.sin β
b.tgθ.sin Ω
lce =
2.sin β.cos(β +Ω )
(16)

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b.tgθ
lde =
2.tgβ.cos(β + Ω)
(17)

Poids :
sin(θ + β )
W1 =γ ⋅ b² ⋅ ⋅tgθ (18)
8 sin β ⋅cosθ
b² tg ²θ ⋅ sin Ω
W2 = γ ⋅ ⋅ (19)
8 tgβ ⋅ cos(β + Ω ) ⋅ sin β

Équation du travail δ pϕ :
Forces extérieures : P, W1 (V1), W2 (V2)
Travail des forces extérieures :
P ⋅V0⋅cos0 (20)
2

( )
W1⋅V1⋅cos π +ϕ
2
(21)

W ⋅V ⋅cos[π + π −(β +Ω )+ϕ ]


2 2 (22)
2

Dissipation d’énergie interne dûe à la cohésion le long de lbd ;lcd ;lde :


C⋅lbd ⋅V1⋅cosϕ (23)

C⋅lde ⋅V2⋅cos(2π −ϕ ) (24)

C.lcd ⋅V12 ⋅cos(2π −ϕ ) (25)

Dissipation d’énergie interne dûe au frottement interne le long de lce.lbc :


lce: P V20 ⋅cos0 (26)
2

lbc :− P ⋅V01⋅cosπ (27)


2

V01

PT
θ

P
L’équation du travail :
P
⋅ V0 − W1 ⋅ V1 ⋅ sin ϕ − W2 ⋅ V2 ⋅ sin (β + Ω − ϕ )
2
= C . cos ϕ ⋅ (lbd ⋅ V1 + l de ⋅ V2 + lcd ⋅ V12 ) (28)
P P
+ ⋅ V20 − ⋅ sin θ ⋅ V01
2 2

En substituant les longueurs et les vélocités on aura :

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π 
sin  − θ  W1 ⋅ sin ϕ + 
 2   ⋅ sin (θ − ϕ )
P = 2⋅ ⋅ b. sin (θ + β ) +
sin (θ − ϕ ) C ⋅ ⋅ cos ϕ  π 
 2. cos θ . sin β  sin θ ⋅ sin  + ϕ 
2  (29)
 π 
sin  − θ  W2 ⋅ sin (β + Ω − ϕ ) + 
2⋅  2  sin (β + 2ϕ )  ⋅ sin (θ − ϕ )
⋅ ⋅ C ⋅ b. tgθ +
sin (θ − ϕ ) sin (Ω − 2ϕ )  ⋅ cos ϕ  π 
 2.tgβ . cos(β + Ω )  sin θ ⋅ sin  + ϕ 
2 
π 
sin  − θ 
2⋅C ⋅
b.tgθ
⋅ 
2  sin [π − (β + Ω )] cos ϕ sin (θ − ϕ )
⋅ ⋅ ⋅
2. sin β sin (θ − ϕ ) sin (Ω − 2ϕ ) π 
sin θ ⋅ sin  + ϕ 
2 

Application :

Nous avons introduit ce modèle dans le logiciel Mathcad 2001, nous permettant ainsi de visualiser les
formes de P (en 3D). En effet leurs forme dans l'espace étant concave (forme en cuvette) indiquant
nécessairement un minimum, et donc d'une butée.

Modèle n=°1 Groupes de Pieu en 2D selon Coulomb


Données :
b := 1m kg π kg π
γ := 1800 φ := c := 0.5 θ := V0 := 1
m
2 6 m 3
Longueurs :
tan ( θ ) sin ( θ + β )
lac := b lcd ( β ) := b ⋅ lbd ( β ) := b ⋅
b
lbc :=
2 cos ( θ ) 2 sin ( β ) 2 cos ( θ ) sin ( β )
tan ( θ ) ⋅ sin ( Ω ) tan ( θ )
lce( β , Ω ) := b ⋅ lde( β , Ω ) := b ⋅
2⋅ sin ( β ) ⋅ cos ( β + Ω ) 2⋅ tan ( β ) ⋅ cos ( β + Ω )

Poids :
sin ( θ + β ) ⋅ tan ( θ ) tan ( θ ) sin ( Ω )
2
W1 ( β ) := γ ⋅ b ⋅ W2 ( β , Ω ) := γ⋅ b ⋅
2 2
8 sin ( β ) ⋅ cos ( θ ) 8⋅ tan ( β ) ⋅ cos ( β + Ω ) ⋅ sin ( β )

Vélocités :
 π − θ
sin 
 π + φ π 
sin  − θ  ⋅ sin ( β + 2φ)
 sin  
V1 := V0⋅
2  V01 := V0⋅
 2  V2( β , Ω ) := V0⋅  2 
sin ( θ − φ) sin ( θ − φ) sin ( θ − φ) ⋅ sin ( Ω − 2φ)
V20 := V0
 π − θ  ⋅ sin π − ( β + Ω )
sin    
V12( β , Ω ) := V0⋅
2 
sin ( θ − φ) ⋅ sin ( Ω − 2φ)
Effort de pointe
V1 ⋅ W1(β ) ⋅ sin (φ ) + Clbd (β ) ⋅ cos (φ )
W 2(β , Ω ) ⋅ sin (β + Ω − φ ) + 
+ V 2(β , Ω ) ⋅  
 C ⋅ lde(β , Ω ) ⋅ cos (φ ) 
+ V12(β , Ω) ⋅ C ⋅ lcd (β ⋅ cos (φ ))
p(β , Ω ) :=
V 01 ⋅ sin (θ )
2

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Fig3- Effort de pointe du groupe de pieux par le logiciel Mathcad 2001.

Minimisation
Ω := 0.2
β := 1.2
Given
0.1 < Ω < 0.3
1.15 < β < 1.25
 0.256
Minimize( P , Ω , β ) =  
 1.17 
5
P( 0.256, 1.17) = 5.375× 10 kg

Calcul selon le DTU.13-2

On suppose sol monocouche


Dc = 6B = 6m
qpl = a Nqmax +λ C Ncmax.
Qpl=section du pieu * qpl
a=0.05 MPa. C=5 10-6 MPa. λ = 1.3
φ=30° : Nqmax=57 , Ncmax = 97
qpl= 0.05*57+1.3*5 10-6 *97 =2.85 MPa
b = 1m
Qpl=π.1²/4 *2.85 =0.56 MN
Qpl =0.56 105 Kg
Pour deux pieux (en plan); Qpl =1.12 105 Kg (DTU.13-2)

Donc :
P =5.37 105 kg (Mathcad) .
5
Qpl =1.12 10 kg (DTU.13-2).

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Conclusion :
En comparant nos modèles avec le DTU 13.2 existant on s'est aperçue que l'on obtenait le même ordre
de grandeurs des valeurs soit de l'ordre 105.

Ici aussi on ne peut parler que de comparaison car nos modèles qui sont en fait des bornes supérieures,
le sont par rapport et par rapport seulement à des valeurs réelles (comme le dit le théorème
cinématique), soit des valeurs expérimentales.

Le DTU.13-2 n'est pas en soit une valeur expérimentale, ce n'est seulement qu'une méthode de calcul,
d’où la comparaison faite.

Nous avons proposé ci-dessus des mécanismes qui normalement nous donnent en plan, des bornes
supérieures de valeurs réelles.

Nous nous sommes limités à des modèles avec lignes de ruptures horizontales alors que normalement
elles devraient être orientées vers le bas.

Ce travail propose tout de même une ébauche de solution à ce problème, dans le cas de sol cohérent et
frottant, jamais réalisé avec cette méthode qui pourra être repris par d'autres chercheurs.

On remarque que la charge limite P fonction de deux variables, développée dans un graphique dans le
logiciel Mathcad, est concave, sous forme de cuvette, dans les fichiers donnés ci-dessus (Mathcad). Ce
qui montre bien l'existence d'un minimum, donc alors d'une butée.

Ici aussi une compagne expérimentale serait la bienvenue, et validera sûrement nos modèles.

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