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précipitations 3 3 5 5 5 4 4 6 11 14 12 8
la pluviométrie est de l’ordre de 65.66 mm (Station Radier Erfoud). Cette faible
pluviométrie au Sud est due d’une part au fait que la chaîne atlasique empêche toute
influence océanique et d’autre part, à la présence des masses d’air chaud provenant du
Sahara.
Les pluies mensuelles sont caractérisées par un régime pluviométrique très variable d’une année
à l’autre et traduisent l’irrégularité des précipitations.

I.5 Ressources en eau

La plaine de Tafilalet est considérée comme l’unité hydrogéologique la plus importante de la région.

Elle constitue le lieu de convergence privilégié d’une part des eaux de surface des bassins de Ziz et de

Ghéris- Todgha et d’autre part des eaux souterraines de l’amont (Margat, 1958 ; Kabiri, 2004).

I.5.1 Eaux de surfaces

La rareté des précipitations dans la plaine de Tafilalet fait qu’elles participent faiblement à la

reconstitution des eaux de surface. Le réseau hydrographique se limite à deux oueds principaux qui

sont le Ziz et le Rheris qui prennent naissance dans le Haut Atlas et traversent la région du Nord au

Sud. La majeure partie de ces oueds ont tari avec la sécheresse et leurs débits ont considérablement

diminué. Le Barrage Hassan Addakhil, mis en service au cours de l’année 1970/1971 sert à régulariser

le débit des eaux dans la plaine par des lâchers dans le lit de l’oued Ziz qui joue le rôle d’adducteur.

I.5.2 Eaux souterraines

Dans la plaine de Tafilalet, la nappe est régularisée par les lâchers du barrage Hassan Addakhil qui

contribuent à sa recharge. L’alimentation de la nappe est également assurée par l’infiltration des

eaux de pluies (qui demeurent négligeables) et les eaux de crues provenant du bassin versant

intermédiaire du Ziz (entre le barrage et la plaine de Tafilalet) et du bassin versant du bas Rhèris.

conclusion

Les formations géologiques quaternaires qui abritent la nappe sont très hétérogènes et présentent

des degrés de perméabilité très variables. On distingue, à la base, des conglomérats, des calcaires
lacustres et des sables qui contiennent la réserve essentielle de la nappe, surmontés par des

alluvions graveleuses, des galets et des limons. Le substratum de la nappe est constitué des schistes

cristallins et quartzites imperméables du Paléozoïque (Kabiri, 2004).

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