Documente Academic
Documente Profesional
Documente Cultură
([Reprod.]) [Olympe de
Gouges]
Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France
Gouges, Olympe de. Les droits de la femme ([Reprod.]) [Olympe de Gouges]. 1791.
1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la
BnF.Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 :
*La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source.
*La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits
élaborés ou de fourniture de service.
2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques.
*des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans
l'autorisation préalable du titulaire des droits.
*des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque
municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation.
4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle.
5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur
de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays.
6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non
respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978.
DOCUMENT REPRODUIT
Couvertures supérieure et inférieure
en couleur
;.•' >
point
et
me,
pu. p«^UR4er
lorsque j'ai vu le glaïvè
-j'ai observations
entre inais aujourd'hui
je vois qu'on observe do près la foule do.
que
inutins soudoyée, & <|u'eUe est retenue par la
les projets
chute V si l'on pouvait • 'xom
semblables desseinsi • i.jj
cepabjç de
emploi t Madame, Vous
et
Vos^éga'rds. Il
• hasard a éjevée à une de
place
et d'en «ucoèi. Si
fous
(3)
pourrais craindre que vos intérêts particule
ne sur ceux de'Votre sexel
l'emportassent
Vous aimez la glpte • songez Madame
Onne triaVàilfër
arment
S'il est -vrai 'que de"s Français contre
• s:j- •
Votre très-humbW et t4l'<«
(i>
r..
du -Japon
A3
( il)
lucres et dans l'ignorance là
crasse, il veut commander en despote
plus
sur un sexe a reçu'toutes les facultés
qui
intellectuelles y il prétend jouir de la: révo-
la!prochaine législature.
P R i; A M B u Il F.
toyenne.
A R T 1 C t B P R E M 1 JB R»
II.
A4
( 8)
essentiellement dans la ration, qui n'est que
la réunion de la Femme et de l'Homme
nul corps nul individu, ne peut exercer
d'autorité qui n'en émane expressément.
il
Toute femme étant déclarée coupable $
toute est exercée par la Loi.
rigueur
de monter à la tribune
également celui
ses manifestations ne troublea
pourvu que
-pas Vordre public établi par la loi.
XIII.
la nécessité de la contribution
représentans
xvii. n
Les propriétés sont a tous lès sexes réuni
ou elles ont pour chacun un droi
séparés
invio)able et sacré nul ne peut en être privé
comme vrai patrimoine dela nature, si ce n'est;
P OS TA M BU LE.
présidencèjjjo.ntificat, (i ) cardinalat
enfin tout ce qui caractérise la sottise dea
coniniercèdesfçir.mcsétoitunccspèciçd'indu î-
tiie dans la classe de-
reçue première qui,
àovt.
<i5-)
n'aura de crédit. S'il en avoit
ftormaîs plus
la révolution seroit perdue et sons
encore
de nouveaux rapports nous serions toujours
la raison peut-elle
corrompus cependant
te dissimuler tout autre chemin à la 'for-
que
tune est fermé à la femme que l'homme achet*
la Femme..
tives ou qu'Us
aillent se perdre dans la source
de leurs citations. (1)
Je voùdroSjvjencore une loi qui avantageât
les veuves et les demoiselles trompées par les
faussés d'vh homme à qui elles se
promesses
sang/CcsColonsinfettinajnsdisen^nQtte^ing
u»rf]
circule kl ans leurs veines, maïs nous le répan-
même France, et se
agit ïde'
attentive nouveaux abus,
qui
Mon- &$>}-
mon sêBoit encore pouvoir
il me
riéftj naîtra,
ce$ d^ûx
:&*».)
quidpive^t être unis,
& le vot-
''sorinèbt
neuf-Ifciyi?s
ires m
sabiri. yple chei mon Impfimeyr tue
iK le
"[*].
bien serrées & ''remplies. Je
de marche de cônYpV
*?tiôn -6c ditapression y je d'àllet
un
prendre bain" dans le quartier1 ou Temple, où
à onie lieu fVs moins un
lâ'éojm^ ,il. me
ceieber
ce qu'il dentandoit. Connoissant inîèux la' loi qûe
refuse &
je
"M. pofè«
venant
titi- oé<lcnn€r-.8ohouvf»«
i^r les
•l'Wucâtion cette étç»U
ijat'onalci produtftcii' JOJps
<S|ia he
îtreôe. suis rehcôMrtè
iVec lesViiftâ
jenepuisty'eitijtëçfcèY
l Cepéidâftt
«torateur la
d*tftl(«r
joieJtjUe
h'pure, |r.on «
:titafkin,<t.-çùç
ntra|«.ProvWençé.divihe
fais
'que
et
toushommage
à ta pvîwsUKe,
R A P P 0 R T
BIBLIOTHÈQUE
NATIONALE
CHÂTEAU