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I.

Caractéristiques des sons, fréquences à transmettre :


La sensation de son est perçue par l’ouïe et est appelé son tout ce qui est susceptible d’impressionner
l’oreille humaine.
Un son est produit par une vibration mécanique. Un corps ne peut donc émettre un son que s’il vibre. Ces
vibrations sont transmises au tympan de l’oreille par l’intermédiaire de l’air.
1. Principales caractéristiques du son :
Un son est défini par son intensité, sa hauteur et son timbre.

a. Intensité :
C’est la caractéristique qui nous permet de dire qu’un son est fort ou faible. Cette intensité est définie
par l’amplitude du mouvement vibratoire de la source sonore.

b. Hauteur :
C’est la caractéristique qui permet de dire que le son est aigu ou grave. Cette hauteur est caractérisée
par la fréquence des vibrations reçues. Elle s’élève avec cette fréquence. L’oreille humaine perçoit les sons
compris entre 20 à 20000 Hz (sons audibles). Cette sensibilité n’est pas identique chez tous les individus et
se réduit avec l’âge, notamment pour les fréquences les plus élevées. En deçà de 20Hz (infra-sons) et au-
delà de 20000 Hz (ultra-sons) les vibrations sont inaudibles à l’oreille humaine.

c. Timbre :
C’est ce qui permet de distinguer deux sons de même hauteur et de même intensité, émis par deux
sources différentes.
Un son est rarement constitué par des vibrations d’une seule fréquence.(on l’appelle alors un son pur). Au
contraire, on démontre que tout son peut être considéré comme résultant de la superposition d’un certain
nombre de sons purs de différentes fréquences. Les vibrations de la plus basse fréquence constituent le son
fondamental. ; Celles des autres fréquences constituent les harmoniques. Ces harmoniques sont des
fréquences multiples de la fréquence du son fondamentale.
Le nombre et l’intensité des harmoniques qui accompagnent le son fondamental déterminent le
timbre du son.

2. Fréquences à transmettre :
Pour une bonne reproduction de la parole, ce qui le but recherché en téléphonie, il n’est pas
nécessaire de reproduire toutes les fréquences émises par la voix humaine. En effet, on constate que la
réduction de la bande des fréquences vocales transmise altère d’abords le timbre de la voix avant d’affecter
l’intelligibilité de la parole.
Comme le prix de revient des équipements mis en œuvre augmentent avec la largeur de la bande transmise
et reproduite, c'est-à-dire avec la qualité de la transmission et de la reproduction, on a intérêt, téléphonie, à
réduire cette bande.
Notons que s’il s’agissait de transmettre de la musique ou chant, le problème de la fidélité deviendrait
prépondérant et il serait indispensable de transmettre et reproduire une largeur de bande plus étendue.
Actuellement, les fréquences transmises sont comprises dans bande 300-3400 Hz.

II. Principe du téléphone de Graham Bell :


1. Historique : Une invention est née :
Qui a inventé le téléphone ? À quelle fin ?
Dans la seconde moitié du 19e siècle, l'idée du téléphone germe dans la tête de plusieurs inventeurs.
L’invention était attribuée à Alexander Graham Bell (Édimbourg, Écosse, 1847 - Baddeck, Canada, 1922).
Quoi qu'il en soit, le défi était le même pour tous ces inventeurs : comment transmettre la voix
humaine à distance par l'électricité ? Pour sa part, Alexander Graham Bell fait des recherches pour
communiquer avec les sourds.
Cet intérêt pour la communication avec les malentendants découle de son histoire familiale, sa mère
ayant perdu l'ouïe. Installé à Boston en 1873, Bell est professeur de physiologie vocale à l'université. Il y
étudie les moyens de reproduire les sons et de les transmettre électriquement.
L'invention qu'il met au point se distingue du télégraphe car le message transmis ne doit pas être
décodé par un opérateur. En juillet 1874, A. G. Bell expose alors le principe du téléphone à son père, le

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phonéticien Alexander Melville Bell.

Poursuivant ses recherches, Bell développe un nouvel appareil avec son assistant Thomas Watson. Le 10
mars 1876, le téléphone transmet une phrase devenue désormais célèbre : " Monsieur Watson, venez vite !
". Le 14 février Bell dépose à son tour une demande de brevet à l'Office des brevets aux États-Unis. Le 24
août 1877, le Bureau canadien des brevets octroie un brevet d'invention pour le téléphone à Alexander
Graham Bell. L'inventeur, aujourd'hui contesté, cède alors 75 p. 100 de ses droits canadiens à son père
Melville qui, avec l'aide de Thomas Henderson, met sur pied une entreprise en louant des appareils utilisés
sur des lignes privées, c'est-à-dire construites par le client, et en octroyant des droits d'utilisation du
téléphone à des entreprises de télégraphe.
Le principe derrière l'invention date de 1874 et l'invention est brevetée en 1876. Le téléphone est
officiellement lancé en juin 1876 à l'occasion de l'Exposition du centenaire de la fondation des États-Unis à
Philadelphie.
Alexander Melville Bell est né à Édimbourg, en Écosse, en 1819 et décédé en 1905. Son fils Alexander
Graham Bell est né en 1847 à Édimbourg, en Écosse, et décédé en 1922 dans sa maison d'été de Baddeck en
Nouvelle-Écosse.
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Principe de Bell.
III. Eléments constitutifs d’un poste téléphonique.
1. Fonctions à remplir par le poste téléphonique.
La fonction principale est de permettre l’échange d’une conversation entre les deux personnes
qui disposent des appareils en liaison : nous aurons donc en premier lieu des organes de conversation.
Cette conversation est établie à la demande de l’un des correspondants ; il faut donc lui
permettre d’alerter le second et ce dernier doit être averti de cet appel. Ces opérations sont assurées au
moyen d’organes de signalisation.
Nous verrons également qu’un certain nombre d’organes complémentaires entrant dans la
constitution du poste téléphonique est nécessaire : (bobine induction, crochet commutateur, résistances
de compensation, condensateurs).

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