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Définition

Un enrobé bitumineux est constitué de différents matériaux :

 des granulats : graviers de diamètre supérieur à 80 micromètres.


 des « fines » ou fillers : sables et poussières de section inférieure à 80 micromètres. Ces éléments, présents naturellement en faible
quantité dans les granulats, sont essentiels pour réaliser l'enrobage du liant (le bitume) avec les granulats, car ce sont les fines qui
agrègent le bitume.
 du liant hydrocarboné, composé essentiellement de bitume de nos jours.

(Source : Wikipedia)

 Enrobés à chaud : Il s'agit d'enrobés fabriqués aux alentours de 180°C, dans une centrale d'enrobage. L'objectif est de produire un
enrobé durable qui sera transporté à chaud vers le chantier d'épandage, pour former la couche supérieure du revêtement des
infrastructures routières.
 Enrobé à froid : La fabrication à chaud consiste à sécher et à chauffer des granulats à une température supérieure à 100°C, et à les
malaxer avec un liant hydrocarboné (bitume). Un enrobe à froid est défini comme un mélange de granulat pour lequel est utilisé au
moins une émulsion de bitume, modifiée ou non, dont la préparation finale s'effectue sans chauffage, ni séchage et qui peut être
mis en oeuvre à température ambiante, c'est à dire à froid.

Eventuellement, les granulats peuvent faire l'objet d'un pré-enrobage, avant l'enrobage par le liant hydrocarboné en émulsion. On parle
dans ce cas d'enrobés à froid à double enrobage.

Les émulsions rentrent notamment dans la composition des enduits superficiels, des enrobés à froid et des enrobés coulés à froid.

Fabrication

Les enrobés sont fabriqués par une centrale d'enrobage ou un poste d'enrobage, à froid ou à chaud.

Il existe plusieurs types de centrales :

 fixes, situées généralement à proximité d'une carrière;


 mobiles, principalement utilisées lors des grands travaux tels que la construction d'une autoroute.

La fabrication de l'enrobé à chaud est réalisé dans des usines appelées :

 centrales d'enrobage continues

Issu des USA, la production en continu est la méthode la plus récente et la plus économique. Les dosages, le malaxage et la production
des enrobés se font en continu ; les granulats sont chauffés et introduits de façon continue dans le malaxeur avec le bitume. Ce procédé
permet de produire un matériau de même formulation à grand rendement.

 discontinues

La production en discontinu consistant à produire des gâchées successives est la méthode la plus ancienne et la plus universelle. Elle est
pratiquée dans tous les pays du monde et cela d'autant plus que les classements granulométriques des agrégats sont médiocres. Par
ailleurs, cette méthode est préconisée pour la production du type "épicerie", lorsque les clients demandent des productions très variées
tant au niveau des formules, de la durée de malaxage variable que des quantités (enrobés colorés et spéciaux, petites quantités ?).

Transport

Après avoir été chargés dans le camion, les enrobés sont déposés par les camions d’approvisionnement, conservant l'enrobé à la
température d'application idéale de 150°C dans la trémie de stockage puis nivelés, et pré-compactés par la table.

Application

Les tonnages d’enrobés répandus journellement déterminent les moyens de répandage :

 sur autoroute pour une double voie de circulation, on choisit une seule machine (finisseur), généralement avec unalimentateur en
continu de grand débit ;
 en renforcement sous circulation, on opère par demi-chaussée avec une machine moins puissante ;
 en construction/entretien de voirie où les largeurs de travail ne sont pas constantes, on utilise un finisseur équipé d’une table
télescopique.

La mise en œuvre consiste à répandre les enrobés en épaisseur constante préalablement déterminée, puis à les compacter.
Les enrobés
Pour commencer, sachez qu'un enrobé se compose d'un mélange de graviers, de sables, de fines et de liant,
appliqués en une seule couche. Le choix du liant déterminera le type d’enrobé. Différentes formulations sont
disponibles afin de s’adapter aux lieux et aux usages (voirie, trottoirs, pistes cyclables, terrasse...) et le rendu sera plus
ou moins rugueux en fonction de la taille du granulat utilisé.

> Le liant bitumineux, utilisé pour les "couches de roulement" est un dérivé du pétrole, il est donc généralement noir.
Toutefois, l'ajout de pigments minéraux (le plus souvent des oxydes métalliques) permet d’obtenir d’autres teintes
(rouge, brun, bleu...). Lors de sa mise en œuvre, l'enrobé est toujours compacté (contrairement à l'asphalte) et doit se
faire dans des conditions climatiques clémentes (pas par grand froid ou sous une pluie battante). Après son application
à chaud, la mise en circulation est quasi-immédiate (compter environ 3 à 4 h de temps de repos et de
refroidissement). L’enrobé bitumineux est donc un revêtement économique et carrossable, c'est pourquoi ce
matériau est très souvent utilisé pour les chaussées, trottoirs et cours de particuliers.

> Sachez qu'il existe également des liants naturels, végétaux, qui ne contiennent donc pas de pétrole, ils sont le
plus souvent de couleur ocre. Ceux-ci sont encore très peu utilisés car très onéreux. En outre, ces liants ne possèdent
pas les mêmes propriétés et en particulier la même résistance, d'où une utilisation réservée aux espaces à faible
circulation (chemin, voies piétonnes, pistes cyclables...).

A noter : On parle parfois d'enrobé à chaud ou à froid, il faut savoir que dans la majorité des cas, l'enrobé se pose à
chaud, cependant, celui-ci peut dans de rares cas être mis en œuvre à froid notamment pour réparer les chaussées qui
présentent des malformations (nids de poule). Toutefois, cette utilisation doit se limiter à son rôle de "rustine" et non
pour recouvrir de larges surfaces. L'enrobé à froid est souvent réservé au petites structures, aux services techniques qui
ne possèdent pas les engins et la matériel adapté pour appliquer l'enrobé à chaud, d'autant qu'il ne nécessite pas une
application immédiate et rapide

L’enrobé est constitué de gravats et de sable qui sont mélangés à du liant hydrocarboné, composé essentiellement de bitume
de nos jours. Celui-ci doit être chauffé aux alentours de 180°C afin de pouvoir être transporté à chaud vers le chantier
d’épandage, pour former la couche supérieure du revêtement des infrastructures routières. Durant ce procédé, une centrale
d’enrobage à chaud rejette des fumées dans l’atmosphère. Ces fumées toxiques, accompagnées de poussières, sont chargées
d’hydrocarbures polycycliques aromatiques (HAP) et hydrocarbures hétérocycliques (HHP) de bitum

2.1.3 Composition 2.1.3.1 Le bitume Le bitume est un matériau très complexe. C’est un agglomérant
à haut pouvoir adhésif, en particulier sur les matériaux minéraux. [9] Le bitume possède un
comportement viscoélastique. C’est-à-dire que la température, la vitesse d’application d’une charge,
et d’autres facteurs encore influent sur la réaction du matériau. On note que plus le bitume est porté
à haute température, plus il est maniable. Le fait de porter le bitume a haute température diminue sa
viscosité permet de bien enrober 14 les granulats. Puis en laissant refroidir l’enrobé, le bitume
acquiert ses qualités stabilisantes pour la chaussée et résiste aux sollicitations mécaniques,
thermiques et climatiques subies par le squelette granulaire. [9] Au Canada, les bitumes ont
longtemps été classés selon leur indice de pénétration. Cette base est encore reconnue en Europe.
[10] Cependant en Amérique du Nord, la classification des bitumes est faite selon des classes de
performance PG H-L. H et L correspondent à deux valeurs de température. La valeur H correspond à
une température positive tandis que la valeur L est une valeur absolue de température. Ces chiffres
équivalent à un intervalle de susceptibilité thermique. Plus la température haute de caractérisation H
est élevée, plus l’enrobé résultant résistera à l’orniérage. Plus la température basse L est élevée en
valeur absolue, plus l’enrobé résistera à la fissuration thermique. [7] 2.1.3.2 Les granulats Deux
sortes de granulats existent : - Ceux provenant de carrière, sablières ou gravières. Ils sont, qualifiés
de naturel ; - Le groupe qui peut être appelé artificiel, regroupant les granulats recyclés, les
sousproduits d’origine industrielle et autres granulats fabriqués. Les granulats recyclés sont issus de
matériaux inorganiques déjà utilisés dans la construction. [8] Différents paramètres influent sur la
résistance des granulats. On dégage cependant plusieurs types de résistance : la résistance aux
chocs, la résistance à l’usure et la résistance aux intempéries. Celles sont influencées par la
composition minéralogique des granulats, par leur forme, leur dimension et leur texture mais
l’adhérence pneu-chaussée entre aussi en compte autant que le taux d’absorption d’eau et de
bitume du granulat. [7] 2.1.3.3 Les adjuvants Afin de modifier les caractéristiques du bitume et donc
de l’enrobé il est possible d’ajouter des polymères, des fillers ou d’autres agents. [11] Des fibres
peuvent aussi être incorporées au mélange.

De ce fait, l'essai d'équivalent de sable à 10 % de fines permet de mesurer la propreté des sables sur
la fraction d'un granulat passant au tamis à mailles carrées de 2 mm; et dont la proportion des
éléments fins, passant au tamis à mailles carrées de 0,080 mm, a été ramenée à 10 % à l'aide d'un
sable correcteur.
La valeur d'équivalent de sable à 10 % de fines (PS) est, comme pour un sol, le rapport multiplié par
100 de la hauteur de la partie sableuse sédimentée à la hauteur totale du floculat et de la partie
sédimentée.

L : plus grande dimension

E : plus petite épaisseur

G : plus grande épaisseur

Par fraction de matériau , le coefficient d’aplatissement A est égal à :

A = Mei / Mai x 100


Mei : masse de la fraction de matériau.
Mai : masse du passant à travers le tamis à fente.

Le bitume est une substance très complexe. C'est un conglomérat avec une force d'adhérence
élevée, en particulier sur les matériaux métalliques. Le bitume contient un comportement visqueux.
C'est-à-dire que la température, le taux de charge et d'autres facteurs affectent toujours la réaction
de la substance.

Le bitume est un matériau très complexe. C’est un agglomérant à haut pouvoir adhésif, en particulier
sur les matériaux minéraux. [9] Le bitume possède un comportement viscoélastique. C’est-à-dire que
la température, la vitesse d’application d’une charge, et d’autres facteurs encore influent sur la
réaction du matériau

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