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Les textes longs

DÉJEUNER SUR L'HERBE

Partie de campagne chic, casse-croûte urbain entre amis, pique-nique ludique pour les
enfants ou encore barbecue au jardin pour toute la tribu : les thèmes ne manquent pas pour
profiter du plaisir de la cuisine au grand air. Les recettes fraîches et festives non plus !
L'ouvrage Cuisine de plein air publié par les éditions Solar vous propose de célébrer l'été
sous toutes ses facettes : pour chaque occasion, des idées inventives qui actualisent les
traditionnels du pique-nique (cakes salés, terrines, salades, quiches, sandwichs, grillades
et brochettes) ou qui s'accordent à la tendance du « snacking » (dips, bouchées, crostinis,
tapas et tartines).
En plus des recettes et menus, découvrez des conseils pratiques qui vous aideront à
élaborer un pique-nique thématique (buffet tex-mex, grillades de fruits de mer...), à préparer
vos plats à l'avance ou encore à vous équiper judicieusement... Bref, tous les ingrédients
pour réussir vos repas et déjeuners sur l'herbe.
D'après Marseille Plus

QUESTION 14 : cet article a pour objectif


A) d'opposer la cuisine des villes à celle des campagnes
B) de faire la promotion d'un livre de recettes
C) de proposer une découverte des déjeuners en plein air
D) de comparer les modes culinaires du monde

QUESTION 15 : les plats évoqués

A) sont conçus pour éviter le grignotage.


B) ont pour origine des traditions anciennes.
C) présentent l'avantage d'être vite préparés.
D) marquent la modernisation du pique-nique.

QUESTION 16 : l'article donne

A) des listes d'ingrédients à utiliser.


B) des idées pour organiser un cocktail.
C) des propositions de repas à thèmes.
D) des conseils pour une bonne nutrition
*Le grignotage désigne une prise alimentaire plus ou moins régulière d'aliments en
dehors des repas. Ces petites prises fragmentées apportent moins de 25 % des apports
nutritionnels de la journée, ce qui les distingue du repas, et ne sont liées à une sensation
de faim, ce qui les différencie de la collation. Le grignotage peut être corrélé à l'inactivité
physique, la sédentarité et, par extension, à certains loisirs comme les jeux informatiques
et la télévision1
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À consommer avec modération « bière Verte »

Après la bière blanche, la bière verte ! À base de malt et d’arôme naturel de citron vert, cette boisson
à déguster bien fraiche est brassée comme une bière classique sans toutefois en avoir le goût, bien
présentée dans une bouteille incolore à l’étiquette discrète et disponible dans un emballage
cartonné multicolore, elle est vendue à un prix raisonnable.
À qui va telle plaire avec sa faible teneur en alcool et son petit gout acidulé ? Certainement pas aux
vrais amoureux de la bière ; la cible marketing semble privilégier les amateurs de sorties nocturnes
dans les endroits branchés, les boites ou clubs privés. D’ailleurs, un jeune créateur de mode très en
vue a été choisi comme ambassadeur de cette nouveauté et il va lancer, pour promouvoir le produit
une collection de T-shirt en série limitée.
Cela suffira-t-il à créer l’envie ?

QUESTION 14 : cette nouvelle boisson est :


A) un produit sans alcool.
B) une bière de gout de citron.
C) une nouvelle bière classique.
D) un produit gastronomique de luxe.
QUESTION 15 : dans cette boisson, le vert la couleur
A) du contenu.
B) de l’étiquette.
C) de la bouteille.
D) de l’emballage.
QUESTION 16 : cette bière est en priorité destinée
A) aux créateurs de mode.
B) au personnel des ambassades.
C) à un public jeune et à la mode.
D) aux amateurs de bonnes bières.
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Trois nouveaux projets de quotidien gratuit sont en chantier. Arrivés en Belgique il y a dix
ans, le gratuits ont fragilisés leurs confrères payants. Les éditeurs et les investisseurs
s’inclinent devant leur succès, en tentant de répliquer. Dernier en date, le président du
groupe de communication Habas a décidé de lancer son quotidien gratuit avant l’été. Son
originalité ?
Il sera distribué le soir pour éviter la concurrence frontale avec les autres quotidiens, en
général disponibles au petit matin.
Cette multiplication de projets a une explication très simple : alors que certains quotidiens
perdent de l’argent, les gratuits en gagnent, grâce à leur large distribution et à leur marché
publicitaire croissant, qui assurent leur rentabilité.
Prochaine étape, le développement d’hebdos et de mensuels gratuit ; la sixième chaine de
télévision va investir dans les mensuels « Homme en ville » et « Femme en ville ». De quoi
fragiliser encore un peu plus la presse traditionnelle, et surtout ses circuits de distribution.
D’après le Nouvel observateur

QUESTION 14 : quel titre convient le mieux à ce texte ?


A) Ils sont fous, ces gratuits.
B) Les gratuits se font concurrence.
C) Les quotidiens gagnent des lecteurs.
D) Nouvelle alerte pour la presse payante.
QUESTION 15 : la presse payante réagit en
A) diversifiant leurs ressources financières.
B) investissant dans la distribution.
C) s’alliant avec d’autres quotidiens.
D) publiant son propre gratuit.
QUESTION 16 : dans un avenir proche, il y aura
A) un gratuit sur les médias.
B) des gratuits au format magasine.
C) une émission sur la sixième chaine.
D) de nouvelles formes de distribution.

JEUNE FUMER DEVEINDRA GRAND


Les textes longs

Les 15-25 ans restent la cible privilégiée des cigarettes « lorsqu’on gagne un très jeune
fumeur adulte, sa consommation augmente avec l’âge, expliquant récemment une
responsable d’une grande entreprise de cigarettes. Les méthodes actuelles vont du travail
sur la présentation des paquets aux images glissées dans les salles obscures.
L’institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES) note que « le nombre
de films français laissant apparaitre une marque de tabac semble indiquer au mieux une
méconnaissance de la loi, et au pire une action voulue de placement du produit ».
La dernière stratégie en date, selon le magasine Heath Attairs, de l’université de Harvard,
est d’attirer les plus jeunes en leur offrant des saveurs plaisantes.
Ainsi, les cigarettes à la cerise, popularisées au Japon par le manga Nana, ou celles au
chocolat ou à la vanille, font un malheur en France.
D’après l’Express
QUESTION 14 : cet article a pour sujet
A) la présence de la cigarette au cinéma.
B) le drame de la consommation de tabac chez les jeunes.
C) les artifices utilisés par les cigarettes pour conquérir un public jeune.
D) une étude sur les cigarettes parfumées réalisée par l’Université de Harvard.
QUESTION 15 : l’INEPS constate
A) qu’il devrait y avoir plus de films sur les méfaits du tabac.
B) qu’il y a trop de films ou l’on peut apercevoir des marques de cigarettes.
C) qu’il y a trop d’acteurs connus qui font de la publicité pour les cigarettes.
D) qu’il devrait y avoir davantage d’information au sujet de la loi anti-tabac.
QUESTION 16 : aujourd’hui, pour attirer les jeunes, on
A) vend des cigarettes avec des parfums agréables.
B) donne des paquets de cigarettes avec des magazines.
C) distribue gratuitement des parfums avec chaque paquet acheté.
D) commercialise des cigarettes avec de nouvelles formes et couleurs
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La recherche a du ressort

L’intervention mise au point par un laboratoire de chimie européen devrait ouvrir la voie à la
fabrication de produits « auto-cicatrisant ». Un caoutchouc de synthèse recyclable peut
paraitre un matériau banal. Mais si, après avoir été cassé, ce même matériau peut se
ressouder tout seul à plusieurs reprises, sans la moindre colle et à températures ambiante,
c’est une tout autre affaire. Les photos, montrant les propriétaires du nouveau matériau ont,
en effet, de quoi étonner. On croirait un tour de magie. Dans un premier temps, la lanière
élastique est coupée volontairement. Aussitôt après, les deux morceaux sont remis en
contact et la lanière retrouve peu à peu son état initial. On peut l’étirer sans qu’elle se
recasse à l’endroit où elle avait été coupée. Le tour est joué. Il a fallu tester de très nombreux
mélanges avant de parvenir à fabriquer ce matériau, composé en grande partie d’huiles
végétales. L’avancée majeure tient d’ailleurs à la composition chimique du matériau. A la
différence de caoutchouc qui est constitué de longues chaines de grosses molécules reliées
entre elles par des liaisons fortes, le nouvel élastique contient une myriade de petites
molécules d’acides gras. Ce sont elles qui sont actives dans l’auto cicatrisation.
D’après le Figaro

Question 20 : selon l’article, le laboratoire de chimie européen a


A) publié un article qui explique un procédé industriel.
B) conçu un gadget qui peut être réutilisé indéfiniment.
C) élaboré une matière ayant des qualités incroyables.
D) fait une découverte permettant des applications médicales.
Question 21 : la caractéristique principale de cette invention réside dans
A) une solidité à toute épreuve.
B) la rapidité de sa fabrication.
C) sa résistance à toutes les températures.
D) sa capacité à se reformer intégralement.
Question 22 : les photos mentionnées illustrent
A) un phénomène naturel pris sur le vif.
B) une manipulation étonnamment simple.
C) un long processus de dosage et de mixage.
D) une expérience de laboratoire très sophistiquée.
Question 23: les qualités décrites s’expliquent par le fait que
A) le phénomène a besoin d’un milieu visqueux.
B) les constituants ont une organisation originale.
C) le procédé fonctionne seulement à petite échelle.
D) la base qui constitue l’invention est le caoutchouc.
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Paroles de techno prophète

Considérés par certains comme un diseur de bonne aventure technologique. Ray Kurzweil
est une vedette de la prospective scientifique. Ses prédictions ont le don de diviser : cela
va du désaccord le plus véhément à une admiration éperdue frisant le culte du héros en
passant par le scepticisme le plus froid. Il imagine sans ciller un monde futur où,
notamment, de minuscules robots annuleront les effets de la pollution et où l’humanité
“pourra vivre éternellement sans vieillir”.
Selon ses estimations, nous serions capables, d’ici à la fin des années 2030, de télécharger
le cerveau humain sur un ordinateur, stockant ainsi « toute la personnalité, la mémoire, les
talents et le passé d’une personne ».D’ici là, êtres humains et machines non biologiques
pourraient avoir si parfaitement fusionné que les différences entre eux seraient devenues
négligeables. Dès 2045, l’intelligence humaine, améliorée, pourrait commencer à s’étendre
dans l’univers.
Si le rythme du progrès technologique continue de s’accélérer, comme le prédit Kurzweil, il
est probable que le débat sur la singularité connaîtra lui aussi une croissance exponentielle.
Tant cela fait le lien entre des thèmes extrêmement controversés (Dieu, la crise
énergétique, le génie génétique) et des concepts de science-fiction (l’intelligence artificielle,
la réalité virtuelle, l’ingénierie moléculaire).
D’après Courrier international

Question 24 : cet article a pour but


A) de dénoncer les thèses avant gardistes publiés par un chercheur.
B) de convaincre des avantages de la future révolution technologique.
C) d’informer des évolutions technologiques avancées par un scientifique.
D) de présenter des réalisations révolutionnaires d’une vedette de la science.
Question 25 : la principale théorie de Ray Kurzweil affirme que
A) les hommes et les outils technologiques ne feront plus qu’un.
B) La technologie dépossédera l’homme de certaines de ses qualités.
C) Les outils technologiques seront supérieurs en intelligence aux hommes.
D) L’humanité utilisera la technologie pour améliorer son patrimoine génétique.
Question 26 : les changements majeurs prédits par Ray Kurzweil sont
A) la vie éternelle et le bonheur de tous.
B) l’intelligence artificielle et la dépollution.
C) la technologie humanisée et l’anticipation de l’avenir.
D) La robotisation du quotidien et la dictature des machines.
Question 27 : la polémique suscitée par l’ensemble de ces prédictions
A) mettra un terme aux controverses traditionnelles.
B) ravive l’éternel conflit entre idéalistes et réalistes.
C) renvoie à des questions scientifiques et métaphysiques.
D) s’éteindra avec le développement inéluctable de la technologie.
Une vedette : une personne très connue et souvent idolâtrée par les adeptes
 Ses prédictions : Action d'annoncer par avance, de prédire l'avenir ; discours
annonçant des événements futurs : Les prédictions des prophètes.
Le plus véhément : Qui s'exprime avec emportement, fougue ; passionné,
enflammé : Un orateur véhément. De véhéments reproches
Culte : hommage, honneur rendu à dieu
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Une admiration éperdue :


Cille :
L’association Ormano

L’association Ormano a vu le jour en 1999, au nord-est de Madagascar, dans une région riche en
forêts et en mangroves (zone marécageuse en bord de mer) mais menacée de défrichement.
Conçues non seulement pour préserver ces espaces remarquables, mais aussi pour faire découvrir
aux enfants leur environnement, cet organisme porte un superbe projet d’éducation à la nature.
Les actions sont directement menées par les professeurs qui accompagnent leurs élèves au coeur
de la forêt et leur apprennent à voir et à comprendre l’étroite indépendance entre toutes les
formes de vie qui la peuplent. Les observations sont reprises dans des fiches, servent à faire des
posters ou à confectionner des dictionnaires de nature. Cette démarche conduit aussi les parents
à participer et être sensibilisés.
Ces actions, localisées au départ, sont reprises progressivement par d’autres provinces de
Madagascar et, par un effet de répétition et de multiplication, deviennent d’autant plus efficace.
Question 17 : l’association Ormano a pour but principal
A) de créer des vocations écologiques.
B) d’éduquer les écoliers à leur milieu naturels.
C) d’encourage la fabrication de produits naturels.
D) d’inciter les autorités à la conservation des forêts.
Question 18 : les professeurs engagés dans cet organisme
A) luttent contre la déforestation régionale.
B) organisent des séminaires pour les parents.
C) publient des ouvrages sur l’environnement.
D) se concentre sur l’apprentissage des enfants.
Question 19 : l’initiative de l’association Ormano
A) a suscité un intérêt mitigé.
B) a été suivi par d’autres régions.
C) a été reconnu par d’utilité publique.
D) a été subventionnée par le conseil région.
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Des hommes tout en beauté


Le temps ou seules les femmes s’occupaient de leur peau est révolu. À raison de dix
minutes par jour, ces messieurs peuvent prendre soin de leur épiderme et prévenir les
marques du temps. Rasage, pollution, tabac… la peau subit quotidiennement des
agressions. Si à 20 ans les signes de fatigue sont moindres, il en va autrement à 40
ans. Les hommes ont une nature de peau bien particulière. Elle est plus épaisse et
comporte plus de glandes sébacées que celle des femmes. Plutôt que d’emprunter les
produits de sa compagne. Il vaut mieux investir dans des produits spécialement formulés
pour l’homme.
Le premier geste à adopter matin et soir est de nettoyer son visage. À bannir ; les savons
trop acides qui décapent l’épiderme. Il convient également d’hydrater sa peau tous les
matins. Enfin, pour obtenir des conseils personnalisés, il n’est pas utile de consulter une
esthéticienne. Désormais, de l’étudiant au cadre, toutes catégories d’hommes poussent
les portes des instituts.
D’après Métro
QUESTION 17 : ce document
A) informe des maladies de peau les plus fréquentes.
B) encourage les hommes à prendre soin de leur peau.
C) analyse le rapport entre l’âge de l’homme et sa beauté.
D) fait la promotion des produits de beauté pour hommes.
QUESTION 18 : les hommes s’occupent de leur peau
A) parce que leur statut social l’exige.
B) sous l’influence de l’effet de mode.
C) suivant l’exemple de leurs compagnes.
D) puisqu’elle souffre de multiples nuisances.
QUESTION 19 : l’auteur de cet article suggère aux hommes
A) de bien sécher leur peau riche en sébum.
B) d’utiliser les mêmes produits que leurs femmes.
C) de se servir des savons acides pour nettoyer la peau.
D) de demander conseil aux professionnels de la beauté.
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Un patrimoine à défendre
Paillasse, fougasse, couronne lyonnaise ou bordelaise… leurs noms fleurent bon la
boulangerie d’antan. « A chaque région son pain », vantent les organisateurs de la fête du
pain en France. Oubliées depuis l’après-guerre, ces spécialités régionales renaissent à
nouveau, soutenues parla nécessité d’enrayer la chute chronique des ventes de pain. Au
début du XXe siècle, on en mangeait jusqu’à 650 grammes par jour, soit quatre fois plus
qu’aujourd’hui. Un phénomène lié à la diversité alimentaire du monde moderne mais aussi
à l’abaissement de la qualité de cet aliment sous l’effet de sa standardisation. Le retour des
formes régionales tenterait ainsi davantage de réconcilier les Français avec leur artisan
boulanger que de renouer avec une tradition centenaire. Rétrospectivement, on tend à
exagérer, idéaliser, sentimentaliser l’assise régionale du pain, note l’historien américain
Steven Kaplan, qui juge l’apparition des pains spéciaux comme un levier marketing
répondant avant tout à des paris commerciaux.
Néanmoins, l’historien poursuit sa croisade pour le bon goût. Dans le journal le Monde, il
s’est livré récemment à un vibrant plaidoyer pour la croûte française cuite à point, dont la
disparition marquerait un pas « vers l’américanisation, l’innombrable pain mou, tranché,
sous cellophane ».
D’après Directmatin
QUESTION 17 : d’après l’historien, il faudrait
A) entreprendre une modernisation des procédés de panification.
B) s’aligner sur l’expertise américaine en matière de conditionnement.
C) répondre de manière plus adéquate aux impératifs de la mondialisation.
D) préserver les caractéristiques, qui garantissent la qualité du pain français.
QUESTION 18 : cet article rapporte
A) le lancement d’un nouveau concept marchand.
B) une journée de formation au métier de vendeur.
C) l’organisation des soldes dans un grand magasin.
D) l’ouverture de nouvelles boutiques dans un centre commercial.
QUESTION 19 : l’expérience consiste à
A) accumuler les coupons de réduction.
B) s’unir en vue d’acheter à meilleur prix.
C) acheter uniquement en périodes de soldes.
D) marchander avec l’intention d’obtenir un rabais.
La fougasse, ou fougace, est un pain provençal à croûte molle, à mie épaisse et
moelleuse, réalisé à partir de farine blanche ou bise, de levure de boulanger et d'huile
d'olive, pouvant être légèrement sucré ou agrémenté d'oignons, d'olives noires, d'anchois
et de lardons
Antan : D'autrefois, du temps passé.
Panification
 Ensemble des opérations par lesquelles on fait le pain.
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Innovation

Ils vous organisent une soirée de star !


Vous rêvez de vous faire passer, l’espace de quelques heures, pour une star ? De
débarquer en limousine dans les boites de nuits les plus sélectes de la ville ? Frappez à la
porte de la société « Soirée de star ». Présente dans plusieurs villes européennes, elle se
propose d’organiser des soirées pour le compte de particuliers et d’entreprises.
Le programme ? Du sur-mesure. Une formule de base à 300 euros propose un
accompagnement d’une heure en berline de luxe et des entrées dans les restaurants ou les
boites de nuits les plus huppés. À vous ensuite d’agrémenter votre soirée à votre guise :
accompagnement durant 1 à 8 heures, séance de relooking, commande de fans en furie ou
de paparazzi à l’entrée des lieux ou vous vous déplacez… Une large palette de possibilités
permet de pimenter votre soirée.
Après seulement dix mois d’existence, « Soirée de star » réalise 80 % de ses ventes auprès
de particuliers. « L’essentiel des demandes porte sur l’organisation d’anniversaires
surprises ou de soirées de célibataires », note Frank Marie, l’un des deux fondateurs. Le
prix moyen dépensé pour une soirée est d’environ 800 euros.
D’après le Parisien
QUESTION 17 : ce document est
A) un article de journal sur une entreprise.
B) Une publicité pour une soirée de prestige.
C) Une offre promotionnelle pour une discothèque.
D) Un programme pour des vacances organisées.

QUESTION 18 : l’objectif de la société « Soirée de star » est


A) de réunir au cours d’une soirée ses clients dans une ville européenne.
B) de conquérir une clientèle d’entreprise ou particuliers, en Europe.
C) que les particuliers dépensent pour une soirée autant que les professionnels.
D) que leur clientèle soit essentiellement composée de jeunes citadins européens.

QUESTION 19 : « Soirée de stars »


A) fonctionne avant tout grâce aux demandes de particuliers.
B) a peu de succès auprès des particuliers à cause du prix trop élevé.
C) va se tourner vers les entreprises au vu du peu de clients particuliers.
D) a obligé ses fondateurs à beaucoup dépenser en dix mois faute de clients
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Douze ans de marche pour la paix


Trente-six mille kilomètres, vingt-neuf paires de chaussures, deux chariots…
La distance parcourue à pieds la plus longue, à ce jour, sans rentrer chez soi
Le Belge Jean-Droissard a tout du recordman du monde. Si ce n’est que son voyage - qui
a démarré le jour de ses 45 ans, le 18 aout 2003-a un but très particulier : promouvoir la
paix et la non-violence au profit des enfants du monde. « Au départ, je ne voyais que le
défi sportif. Et puis ma femme m’a dit que je pourrais marcher pour la paix. » Par ailleurs,
son départ correspondait au lancement par l’Unesco de la Décennie internationale de la
promotion d’une culture de la non-violence et de la paix au profit des enfants du monde.
Selon ses estimations, le Belge ne sera de retour chez lui qu’en 2015. Plus de 1100
familles à travers le monde l’ont déjà logé. D’aucuns lui donnent de l’argent, d’autres lui
offrent un bout de son voyage.
D’après le Parisien
QUESTION 17 : ce document fait portrait
A) d’un scientifique belge en mission.
B) d’un haut fonctionnaire de l’Unesco.
C) d’un athlète de haut niveau à la retraite.
D) d’un passionné parcourant le monde.
QUESTION 18 : il a initialement envisagé ce projet parce qu’il
A) avait le désir de fonder une association humanitaire.
B) voulait se prouver qu’il était capable d’un tel exploit.
C) avait fait un pari fou avec un ami pendant ses études.
D) a eu une révélation le jour de ses quarante-cinq ans.
QUESTION 19 : d’après le document,
A) le projet de Jean a été entièrement financé par l’Unesco.
B) Jean se fait héberger dans les différents pays où il passe.
C) plusieurs familles ont choisi de faire le voyage avec Jean.
D) Jean n’a pas l’intention de retourner s’installer en Belgique.
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Lutter contre l’obésité de l’enfant (D/B/C)


De plus en plus d’enfants sont touchés par l’obésité. Pour prévenir les risques, les parents
ne doivent pas interdire certains aliments, mais réapprendre aux enfants les bons gestes.
Il faut les habituer aux goûts neutres. Les aliments solides sont, eux, à privilégier. Enfin,
l’ambiance du repas est primordiale. Une étude américaine a démontré que les enfants qui
mangent devant la télé ont besoin de plus de simulation pour recevoir les saveurs.
Résultats : ils s’orientent vers des aliments gras et sucrés. De plus, ils sont moins à
l’écoute du sentiment de satiété et ingurgitent donc de plus grandes quantités.
Autre piège, au-delà de quatre heures passées devant le poste, la corpulence augmente
indépendamment de ce qui est mangé. Les nutritionnistes conseillent de ne pas dépasser
deux heures de télé par jour et pratiquer un sport d’endurance. Si l’effort est trop violent,
ce sont les glucides qui sont brulés au lieu des lipides. L’idéal serait de la natation, de la
marche ou du vélo.

QUESTION 17 : pour écarter les risques d’obésités chez les enfants, les parents
doivent
A) exclure tous les aliments gras.
B) leur interdire tous les aliments sucrés.
C) privilégier des plats légers et liquides.
D) leur faire apprécier les saveurs simples.
QUESTION 18 : la télé favorise l’obésité des enfants parce qu’ils
A) mangent trop vite, assis devant le poste.
B) distinguent mieux les saveurs des aliments.
C) ne se rendent pas compte qu’ils n’ont plus faim.
D) ne respectent pas les horaires de repas habituels.
QUESTION 19 : les risques d’obésité baissent sensiblement si les enfants
A) pratiquent une activité sportive très intense.
B) font des efforts physiques réguliers et prolongés.
C) font des activités qui brulent d’abord les glucides.
D) mangent léger quand ils regardent longtemps la télé
B" pour Q 19 : preuve :
- pour combattre l'obesité, il faut bruler les lipides, alors que les sports qui demande de
l'effort violent ne brulera que les glucides.
- l'ideal serai de la natation, de la marche ou du velo : on le trouve dans la réponse B
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B/C/D
Ce jour-là le téléphone a sonné vers midi : une infection urinaire à 2 km de son cabinet,
dans le 5 éme arrondissement de Paris. Le temps de prendre son matériel et le docteur
Roland Pineda a sauté sur son vélo. « J’y étais en moins de dix minutes », assure-t-il : «
quelle que soit l’urgence, je pars à bicyclette ». Comme cette autre fois où trois habitants du
13 éme arrondissement avaient été intoxiqués à l’oxyde de Carbonne. SAMU, pompiers,
police et le docteur Pineda avaient été prévenus : « je suis arrivé cinq minutes avant tout le
monde ».
Pour Roland Pineda, médecin généraliste et urgentiste à l’hôpital des Gardiens de la paix,
le vélo, « c’est un choix idéologique ». Il « hait » la voiture : elle « pollue », « rend irritable
», parce qu’elle coupe le conducteur des autres usagers de la rue. Bref, « c’est tout sauf
convivial et fraternel ». À la différence du vélo, synonyme de gain de temps et de « sensation
de liberté »
QUESTION 17 : le docteur Pineda se sert de son vélo
A) à l’occasion.
B) en toute occasion.
C) seulement en cas d’urgence
D) si la situation n’est pas trop urgente.
QUESTION 18 : selon le texte, l’un des avantages du vélo sur la voiture est que
A) c’est plus écologique.
B) c’est plus économique.
C) c’est plus facile à garer.
D) c’est meilleur pour la forme.
QUESTION 19 : selon le docteur Pineda
A) le seul avantage de la voiture, c’est sa rapidité.
B) la voiture isole les êtres humains les uns des autres.
C) la voiture apporte une grande liberté à ses utilisateurs.
D) il est urgent de réduire le nombre de voitures dans les villes
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La carte verte à 6000 dollars… (d/b/a) même réponse au groupe


Depuis toujours, Stanley rêvait d’aller travailler aux USA. Après quelques voyages sur le
continent de ses rêves, le jeune homme avait décidé de s’expatrier. Malheureusement, il lui
manquait la Carte Verte, plus communément appelée Green Card.
Un jour comme Stanley voit une petite annonce qui concerne la recherche d’un manager de
restaurant, il envoie son CV. Une certaine Sophie le contacte rapidement pour lui dire que
son profil est parfait et qu’elle a des facilités pour obtenir une Green Card. Il faut passer par
un avocat sur place qui aurait la possibilité d’obtenir la carte en peu de temps. Toutefois,
pour bénéficier de cette aide, Stanley doit verser 3000 dollars. Après avoir pris les
précautions d’usage, Stanley accepte de payer l’argent demandé par Sophie. Mais cette
dernière prétend qu’il doit régler 6000 dollars au total pour résoudre certains problèmes
administratifs. Stanley doit emprunter de l’argent à ses parents pour régler la facture.
Quand il se rend à l’Ambassade des USA, pour vérifier la validité de son document, il
apprend qu’il s’agit d’un faux. Aussitôt, il contacte le restaurant. La place était prise depuis
longtemps et la véritable propriétaire du restaurant explique à Stanley qu’elle avait elle-
même été victime d’un détournement de son annonce.
D’après Stop arnaques
QUESTION 17 : cet article donne des informations sur
A) la manière d’obtenir facilement une Carte Verte.
B) le temps à prévoir pour recevoir une carte Verte.
C) les tarifs pratiqués lorsqu’on a besoin d’une carte Verte.
D) les risques possibles quand on demande une Carte Verte.
QUESTION 18 : en faisant appel aux services de Sophie, Stanley :
A) a pu s’expatrier aux USA.
B) a perdu son temps et son argent.
C) a dépensé deux fois plus d’argent.
D) a obtenu rapidement sa carte Verte.
QUESTION 19 : aux USA, la propriétaire du restaurant :
A) a appris à Stanley qu’on avait utilisé frauduleusement son annonce.
B) a annoncé à Stanley qu’elle avait été victime d’un grave cambriolage.
C) a pensé que Stanley téléphonait pour confirmer son arrivée aux USA.
D) a confirmé que Sophie avait bien transmis le dossier de candidature de Stanley
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Tourisme : « on visitera avant de payer »(c/c/b/a) correcte d’apres le groupe


Dans l’industrie touristique, le bouleversement ne viendra pas de nouvelles destinations
mais du consumérisme des voyageurs. Car le temps disponible augmentera bien plus vite
que les revenus du tourisme moyen. En 2020 ou 2030, celui-ci visitera donc toujours, en
priorité, son propre pays, avec un gout encore plus prononcé qu’aujourd’hui pour le tourisme
rural en réaction à l’urbanisation et à la mondialisation. Même quand il ne partira pas à
l’étranger, le vacancier de demain n’aura plus les mêmes priorités. L’hébergement lui
importera moins que la souplesse dans l’organisation du voyage. Il voudra aussi voir avant
de se décider. « visiter » des hôtels par internet, ou comparer TAJ MAHAL et chutes du
Niagara, en chaussant un casque virtuel dans son agence de voyage. Autre exigence :
combiner la prise en charge des séjours « tout compris » avec la liberté du touriste individuel,
qui choisit sa date de départ et ne paie que pour les activités qu’il consomme effectivement.

Question 20 : selon l’auteur, les futurs touristes auront


A) beaucoup plus d’argent et beaucoup plus de temps libre
B) beaucoup plus d’argent mais peu de temps libre supplémentaire.
C) beaucoup plus de temps libre mais pas plus d’argent.
D) beaucoup moins d’argent et beaucoup moins de temps libre.
Question 21 : dans dix ans, les touristes
A) visiteront principalement les pays étrangers.
B) iront surtout dans les grandes capitales culturelles.
C) préféreront les compagnes aux villes.
D) Privilégieront les sites connus.
Question 22 : À l’ avenir, le plus important sera
A) La façon dont les touristes seront logés.
B) La flexibilité des formules proposées.
C) Le service tout au long du séjour.
D) Le rapport qualité/prix.
Question 23 : selon cet article,
A) les touristes voyageront virtuellement avant de choisir leur destination.
B) les lieux touristiques se seront plus du tout les mêmes qu’aujourd’hui.
C) chacun réservera par Internet et les agences de voyages disparaitront.
D) Le tourisme individuel primera sur les séjours organisé.
Les textes longs

Une réussite sans bavure (A-A-C-D)


Comment un baron futé rentabilisa un objet qu’il n’avait pas inventé en proposant son stylo
bille au prix d’une cartouche d’encre.
En 1973, lorsque le baron Marcel Bich introduit la société Bic en bourse, peu de gens savent
que le baron n’a pas inventé le style à bille. Mais les actionnaires comprennent que le brave
Marcel a eu un coup de génie. L’inventeur s’appelle John Loud, comme le prouve une
licence déposée aux USA en 1988. À l’origine, il cherchait à fabriquer un objet capable de
laisser des traces sur des matériaux rugueux comme le cuir. Son stylo n’intéressa personne
car il faisait trop de taches.
Cinquante ans après, le journaliste hongrois Laszlo Biro aidé de son frère chimiste,
perfectionne l’invention en Argentine. Une copie de son Birolen fut, aux USA, le premier
stylo à bille jamais vendu. Mais là ou Marcel Bich frappe fort, c’est sous l’introduction du
concept « jetable ».
En ces heures dorées de la reconstruction d’après-guerre, le baron propose son stylo-bille
au prix d’une cartouche d’encre. Jusqu’alors il s’occupait avec ce dénommé Edouard
Buffard d’une usine parisienne produisant des pièces détachées de stylo-plumes et de
portes mines.
La licence permet à l’objet de supplanter le vieux stylo-plume Sergent Major Fortune est
faite lorsque l’Education nationale accepte l’utilisation du Bic en classe, en 1965.
Depuis, l’art d’écrire s’est révélé très lucratif pour l’entreprise. Aujourd’hui, elle vend,
chaque jour, plus de 21 millions d’articles de papeterie à travers le monde, auxquels
s’ajoutent quatre millions de briquets et neuf millions de rasoirs.
D’après Rebondir
Question 20 : l’idée de génie de baron Bitch a été
A) d’inventer le style à bille.
B) de spéculer sur le stylo Bic.
C) de vendre le stylo-bille bon marché
D) d’introduire une cartouche d’encre dans un stylo.
Question 21 : le premier modèle de stylo-bille n’a intéressé personne car
A) Il était trop salissant.
B) Il était trop encombrant.
C) son cout était trop élevé.
D) Il n’était pas assez solide.
Question 22 : À la fin des années 40, le baron Bitch
A) dirigeait une fabrique à l’Education nationale.
B) était inspecteur à l’éducation nationale.
C) possédait une boutique spécialisée à Paris.
D) travaillait pour Sergent Major aux USA.
Question 23 : le premier événement décisif pour la société Bic a été
A) sa cotation en bourse.
B) la vente du stylo aux USA.
C) le rachat de la Sté Sergent Major.
D) l’introduction du stylo dans les écoles.
Les textes longs

B-D-B-A
Ce sont des voyageurs sans bagages. Chaque matin à l’aube, ils envahissent les quais de
la gare de Vendôme pour aller travailler dans la capitale. Paris, à deux cents kilomètres de
là. Provinciaux la nuit, Parisiens le jour, ils sont de plus en plus nombreux à tenter de
concilier épanouissement professionnel et qualité de vie. Ils ont fui Paris, ses loyers
inabordables et son quotidien trop stressant. À la SNCF, on les appelle les « navetteurs»
avec une pointe d’irritation dans la vois, car ses néo ruraux ont pris la fâcheuse habitude de
dénoncer les hausses de tarifs.
À force de se fréquenter matin et soir dans le train, certains ont développé un sens particulier
de la convivialité, et il n’est pas rare de voir des petits groupes se former au gré des
conversations ou des parties de tarot improvisés, ni d’observer les écrans de portables des
bosseurs acharnés s’allumer, tandis que des dormeurs en manque de sommeil terminent
leur nuit écroulés dans leur siège.
Malgré ces comportement différent, tous s’accordent à préférer leur vie de navetteur
confortable à celle des banlieusards stressés, même si certains reconnaissent ne profiter
de la nature que la nuit en hiver. Et lorsqu’ils débarquent à la gare, on les voit se mettre
sans tarder au rythme de la capitale : marche rapide, mine fermé, ils attrapent un journal
gratuit avant de devenir de « vrai » parisiens.
D’après Libération
QUESTION 24 : quel titre conviendrait le mieux à cet article ?
A) quand les Parisiens rêvent de vie au vert
B) Train, boulot, dodo : un nouvel art de vivre ?
C) du confort des transports ferroviaires matinaux.
D) Paris-Province : une concurrence qui s’affirme.
QUESTION 25 : les voyageurs dont il est question dans ce texte
A) poussent à la délocalisation de leurs entreprises.
B) recherchent des appartements bon marché à Paris.
C) vivent à la compagne pour des raisons professionnelles.
D) s’accommodent de la distance les séparent de leur travail.
QUESTION 26 : Le personnel ferroviaire mentionné dans cet article
A) regrette le nombre mentionné décroissent de voyageurs.
B) déplore les revendications tarifaires des voyageurs
C) encourage l’usage du train par des tarifs attrayants.
D) dénonce la recrudescence de la fraude dans les trains.
QUESTION 27 : selon cet article,
A) arrivées à Paris, les provinciaux se muent en Parisiens.
B) les provinciaux, rêvent secrètement de devenir Parisiens.
C) les banlieusards revendiquent leur appartenance à Paris.
D) les Parisiens contestent la venue massive des provinciaux.
Les textes longs

Le français a colonisé l’anglais (D-B-D-D)


Henriette Walter, linguiste vient de publier un essai sur les relations tumultueuses entre
l’anglais et le français.
Journaliste. À vous lire. Sans jeanne d’Arc. Le français occuperait aujourd’hui la place de
l’anglais dans le monde.
H.Walter presque ! En boutant les Anglais hors de France, Jeanne d’Arc fait perdre à la
langue française ses chances d’expansion mondiale. Si son intervention n’avait pas eu
lieu, le roi d’Angleterre, Henri V aurait été couronné à Reims et serait devenu roi de
France à la place du dauphin. Le français aurait pu devenir la langue des deux pays réunis
en un seul royaume.
J. Car, pendant très longtemps les anglais ont parlé le français ?
H.W- Henri IV, en 1395 est le premier roi en trois siècles et demi à parler l’anglais,
jusqu’au XIV e siècle (ou 14 e siècle), le français domine, c’est la langue élégante ; la
parler prouve qu’on a le bras long. Les tribunaux anglais n’ont cessé de siéger en français
qu’en 1731.
J- Donc, le français a colonisé l’anglais ?
H.W- Exactement. Les anglais, eux, auraient vraiment des raisons de se plaindre ! Ouvrez
un dictionnaire anglais : plus d’un terme sur deux est d’origine française, alors que les 55
000 mots du Robert, 2500 à peine sont anglais. Il faut rétablir la vérité!
J- Quand les Français commencent ils à être attitrés par l’anglais ?
H.W- au XVIII e siècle (ou 18 éme siècle), parce que l’élite était en admiration devant le
régime parlementaire britannique. La première apparition du franglais, nous la devons aux
sans culottes. Ensuite, il y a eu le sport, au début du XIX e siècle (ou 19 e siècle), et puis
la mode. Avec la mondialisation, le langage qui s’élabore est constitué en grande partie
des français par le biais du latin.
Dans l’informatique, par exemple, 80 % du vocabulaire est d’origine latine. Mais qui le sait
?
QUESTION 24 : Selon H.Walter, Jeanne d’Arc pourrait être tenue responsable de
A) l’abandon de la royauté en France.
B) la faible place de l’anglais en France.
C) l’importance de la royauté en Angleterre.
D) la large expansion de l’Anglais dans le monde.
QUESTION 25 : Avant Le XIV e siècle (ou 14 e siècle), quand un Anglais parlais
français, cela signifiait qu’il
A) était étranger.
B) était royaliste.
C) avait du pouvoir.
D) venait d’un milieu populaire.
QUESTION 26 : d’après Henriette Walter,
A) le français est menacé par l’anglais.
B) peu de mots anglais viennent de la langue française.
C) une majorité de mots français sont d’origine anglaise.
D) la moitié du vocabulaire anglais est d’origine française.
QUESTION 27 : Les Français ont commencé à s’intéresser à la langue anglaise en
raison
A) de l’intérêt des Anglais pour le sport.
B) du développement de l’informatique.
C) de l’invasion de la mode américaine en France
D) de leur intérêt pour le système politique en Grande-Bretagne.
Les textes longs

Les chauffeurs marquent un point (D-D-C-D)


« Je roulais seulement à 132 km/h… ». On connait tous les conducteurs sanctionnés par
des retraits de points qui crient à l’injustice. Sensibles aux protestations de leurs électeurs,
120 députés ont signé une proposition de la loi visant à une « semi tolérance » pour les
infractions minimes au Code de la route. Selon le député Jacques Revelli, les Français
approuvent la sévérité des mesures qui ont permis de faire baisser le nombre de
mots, mais les petites sanctions seraient vécues comme un harcèlement. Voilà de quoi
ravir le puissant lobby de l’automobile.
Dans le viseur de la proposition de la loi, on trouve les excès de vitesse de moins de
5km/h.
Il est ainsi proposé de ne les sanctionner par un retrait de points qu’à la troisième
infraction.
Entendue hier à l’assemblé nationale, l’association « 40 millions d’automobilistes » milite
dans ce sens, pied au plancher, avançant que la France est le seul pays à sanctionner de
la sorte les petits dépassements de 10 km/h, responsables de 91 % des retraits de points.

QUESTION 24 : l’objectif poursuivi par cette proposition de loi serait


A) de modifier le Code de la route actuel.
B) de durcir le système de point du permis.
C) de diminuer le nombre de contrôles routiers.
D) d’assouplir la réglementation sur les contraventions.
QUESTION 25 : selon l’article, les Français
A) s’opposent à tout changement de code actuel.
B) trouvent les sanctions existantes peu efficaces.
C) souhaitent plus de fermeté de la part des policiers.
D) réclament plus d’indulgence pour certains cas.
QUESTION 26 : il a été proposé
A) de supprimer les contraventions pour les excès de vitesse.
B) d’augmenter les amendes pour les infractions les plus courantes.
C) de pardonner les premiers délits considérés comme anodins.
D) de retirer systématiquement des points à tout conducteur fautif.
QUESTION 27 : l’association « 40 millions d’automobilistes »

A) aimerait un regain de vigilance de la part des automobilistes.


B) approuve sans réserve cette initiative du gouvernement.
C) plaide pour une révision des limites de vitesses actuelles.
D) souhaite le réexamen de cette proposition de loi.
Les textes longs

Que valent les compléments alimentaires ? (D-B-C-A


Améliorer la concentration, déstocker les graisses, redonner du tonus, ralentir le
vieillissement.
Qui résisterait à ces promesses s’il suffisait d’avaler quelques gélules pour affiner sa taille,
ne plus perdre ses cheveux ou réussir ses examens ? Apparus il y a une trentaine d’années
dans les magasins de diététique, les compléments alimentaires envahissent aujourd’hui les
rayons des pharmacies, parapharmacies et grandes surfaces. Une pilule le soir, une le
matin et le tour est joué : le tonus retrouvé, le ventre plat et la peau éclatante. Les français
sont conquis. Une personne sur cinq consommerait un complément alimentaire, à
consommer par les femmes : 39 % d’entre elles en achètent.
Les fabricants visent en priorité un public adulte ; féminin, urbain et de niveau d’études
assez élevé. Depuis deux ans, les seniors viennent grossir la clientèle, attirés par des
produits promettant de traiter les douleurs articulaires, le diabète ou les maladies cardio-
vasculaires. Résultat, avec toutes ces gélules, comprimés ou ampoules, le marché des
compléments a connu une croissance de 15 % par rapport à l’an dernier. Mais, au fait, de
quoi parle-t-on ? Ni aliments, ni médicaments, les gélules du bien-être sont un peu des
ovnis.
Selon la définition officielle, depuis mars 2006, ce sont des « denrées alimentaires ayant un
effet
nutritionnel ou physiologique ». Concrètement, elles peuvent contenir des aliments
classiques, des
nutriments (vitamines minéraux), des plantes et d’autres substances actives comme des
protéines, des acides gras, des antioxydants…
Bref, toute une armée d’ingrédients censés améliorer le fonctionnement de notre organisme.
Comme son nom l’indique, le rôle d’un « complément alimentaire » est de compléter
l’alimentation. Il ne s’agit pas de remplacer l’alimentation naturelle, mais d’apporter une
béquille. C’est aussi l’argument phare des fabricants qui surfent sur le « déséquilibre
alimentaire » pour nous faire avaler la pilule.
D’après ça m’intéresse
Question 24 : les compléments alimentaires permettraient :
A) une lutte efficace contre le vieillissement prématuré.
B) de perdre rapidement du poids et de rester mince.
C) de soigner les maladies graves des seniors.
D) une amélioration globale de la santé.
Question 25 : les fabricants ciblent particulièrement :
A) les personnes âgées souffrant de carences alimentaires.
B) les jeunes citadines du niveau social plutôt aisé.
C) les jeunes femmes résidant à la compagne.
D) les adolescentes attentives à leur ligne.
Question 26 : selon cet article, les compléments alimentaires
A) peuvent se substituer à un repas quotidien.
B) peuvent remplacer efficacement l’alimentation naturelle.
C) apportent un supplément en cas d’alimentation insuffisante.
D) permettent de ne pas prendre de poids en cas d’alimentation riche.
Question 27 : les fabricants nous feraient « avaler la pilule »
A) en prodiguant des conseils diététiques innovants.
B) en prétextant des carences dans notre alimentation.
C) en faisant passer les compléments pour des médicaments.
D) en nous incitant à consommer plus de compléments alimentaires.
Les textes longs

Brésil – Une Plateforme pétrolière sombre


Le mardi 20 mars au matin, dans une mer démontée, à 150 km des côtes brésiliennes, la
plus grande plateforme pétrolière du monde, la P 36 (120 mètre de haut et 100 de large),
exploitée par la compagnie Petropal, a coulé en 10 minutes au fond de l’océan Atlantique.
Elle repose désormais par 1360 mètres de fond et renferme les corps de huit ouvriers
disparus lors de l’explosion de gaz qui a causé la catastrophe dans la nuit du 15 mars. Les
causes de l’explosion demeurent inconnues. Un député brésilien aurait évoqué un
sabotage : cette plateforme aurait permis au brésil de produire le pétrole dont il avait
besoin et, ainsi, d’éviter les importations.
Les experts penchent pour un accident. Ils sont unanimes pour écarter tout risque de
marée noire. Les puits du forage sont complétement fermés, et les 1,5 millions de litres de
brut retenus dans les oléoducs, s’ils s’échappaient, seraient pompés par huit bateaux
dépêchés sur place.

Question 24 : cet article rapporte :


A) que la compagnie brésilienne Pétropal a coulé.
B) qu’une plateforme pétrolière a disparu en mer.
C) qu’une explosion de gaz a détruit le siège de Pétropal.
D) qu’une plateforme pétrolière a essuyé une grosse tempête.
Question 25 : huit ouvriers brésiliens
A) ont échappé de justesse à l’accident.
B) ont perdu la vie dans la catastrophe.
C) sont suspectés de sabotage par un député.
D) ont attaqué la compagnie Petropal en justice.
Question 26 : la plus grande plate-forme pétrolière du monde :
A) devrait être inaugurée le 20 mars.
B) était une source de richesse pour le Brésil.
C) s’éloignait de plus en plus des côtes brésiliennes.
D) avait été démontée puis remontée à 150 km des côtes
Question 27 : selon les experts,
A) le risque d’une marée noire est à prévoir.
B) la probabilité d’une marée noire est très faible.
C) la marée noire a été vite maitrisée par pompage.
D) une marée noire serait catastrophique dans cette région
Les textes longs

Aussi en péril la sécurité internationale. Tel est le leitmotiv d’un document établi
conjointement par les services du haut représentant de l’Union européenne et de la
Commission, qui sera présenté
prochainement aux chefs d'État, au cours de la réunion du Conseil européen.
Selon ce rapport, les changements climatiques représentent un « multiplicateur de menaces
»
qui exacerbe les tendances, les tensions et l’instabilité existantes. Aussi l’Union doit - elle
se donner les moyens de répondre à ces risques en renforçant ses capacités de recherche,
d’analyse, de suivi et d’alerte rapide et en améliorant ses outils de protection civile et de
gestion de crises face aux catastrophes à venir.
Le texte distingue plusieurs formes de menaces liées aux changements climatiques.
Certains ont pour cause la recrudescence prévisible des conflits sur l’accès aux ressources.
« La pénurie d'eau en particulier, est susceptible de provoquer des troubles civils et des
pertes économiques substantielles, même dans les économies solides », écrivent les
auteurs, qui mentionnent aussi « les tensions liées à l'approvisionnement énergétique »,
dont la multiplication accroîtra l’instabilité. Les conflits pourraient également s’intensifier
autour des ressources situées dans les régions polaires, rendues exploitables par le
réchauffement.
Les régions côtières, où vit près d’un cinquième de la population mondiale, sont
particulièrement
menacées pour les pertes de territoires. « Les mégalopoles, et leurs infrastructures de
soutien,
telles que les installations portuaires et les raffineries de pétrole, sont souvent implantées
en bord
de mer ou dans les deltas des rivières », note le rapport, qui s'inquiète des conséquences
de l'élévation du niveau de la mer. De plus, le recul des côtes et la submersion de vastes
zones pourraient entraîner des pertes de territoires, et même la disparition de pays entiers.
Autre conséquence possible, l'accroissement des migrations risque de créer des situations
difficiles.
Selon les Nations Unies, on dénombrera d’ici à 2020 des millions de migrants
environnementaux.
D'après Le Monde
QUESTION 24 : Cet article présente
A) les effets actuels du réchauffement climatique.
B) les efforts écologiques consentis par les pays européens.
C) les dangers majeurs engendrés par le réchauffement climatique.
D) les solutions envisagées pour lutter contre le réchauffement de la planète.
QUESTION 25 : Selon le rapport présenté dans l'article, cette transformation peut
A) inciter les pays développés à vivre en autarcie.
B) menacer l'équilibre mondial, déjà quelque peu instable.
C) resserrer les liens de coopération entre les pays.
D) aggraver la situation économique des pays du Sud. (C-D-C-D)
Les textes longs

QUESTION 26 : D'après cet article, la situation dégénérera


A) avec la diversification des ressources énergétiques.
B) à cause de l'exploitation actuelle des ressources polaires.
C) à cause des mouvements migratoires vers les régions côtières.
D) avec un accès aux ressources en général de plus en plus restreint.
QUESTION 27 : cet article met en garde contre l'éventualité
A) de mouvements massifs d'exode.
B) d'un accroissement des clivages Nord-Sud.
C) d'une baisse du niveau de la mer.
D) d'une surpopulation des zones insulaire.

Péril = danger (situation où l’on court des grands risques)


Exacerber (verbe transif)= rendre quelque chose plus intense, plus vif, intensifier une
ambiance
Recrudescence= reprise accompagnée d’une aggravation de l’intensité
Pénurie= manque de ce qui nécessaire

Faire la brocante :
Déambuler parmi les étals des brocanteurs à la recherche d'objets usagés, chiner.
Barbecues : utile de cuisson
Les bric-à-brac : bazar

Entre le fumet de barbecues et les bric-à-brac déambulent les anonymes des


brocantes

Elles se préparent pendant toute la semaine avant d’envahir les trottoirs de villages et de
quartiers entiers, attirent les cadres supérieurs et les chômeurs et offrent un supplément
d’âme à la promenade dominicale. Les brocantes sont devenues bien plus que le rendez-
vous des chineurs et des collectionneurs : les affaires qui s’y traitent sont souvent de nature
plus affective que pécuniaire. Retrouver un exemplaire de son livre de lecture de cours
préparatoire n’a pas de prix. Le fait de l’avoir payé 5 euros ne fait que rajouter un peu de
folklore.
Le succès des brocantes et autres vide-greniers qu’il faut compter par milliers chaque
semaine a donné naissance à un loisir à part entière mais en marge de l’économie officielle.
Les antiquaires dénoncent une concurrence déloyale mais y voient aussi une source
d’approvisionnement dans laquelle ils sont les premiers à puiser, aux toutes premières
heures de matinée. Aucun autre spectacle ne garantit une telle ambiance complice, ne
permet de se replonger avec autant de spontanéité dans des imaginaires collectifs oubliés
et de se laisser délicieusement rattraper par son histoire personnelle. Derrière la banalité
des objets sans valeur dont se séparent sans état d’âme les vendeurs, surgissent des
traces, des souvenirs, des petits morceaux de mémoire affective.
Les textes longs

« La brocante remplit l’espace laissé vacant depuis le déclin des kermesses, des fêtes de
patronage et des jeux inter-villages. Elle mobilise les différentes associations sur un même
projet et renforce les liens de voisinage », insiste Chantal Angevin, maire de Monteresson
(Loiret). Dans cette commune de 1300 habitants dont la population décuple lors de la grande
brocante de fin juillet, les droits perçus par une association auprès des exposants
permettent d’améliorer l’ordinaire de la cantine scolaire et aussi de compenser une partie
des impayés.
D’après le Monde
Question 28 : dans ce texte, il est principalement question
A) de kermesses de village.
B) de sorties de marchés aux puces.
C) de braderies de grands magasins.
D) de musées de tradition populaires.
Question 29 : ce phénomène est très populaire car on peut
A) y trouver des objets qui nous renvoient à l’enfance.
B) y voir un grand nombre d’objets de collection.
C) y pratiquer le troc comme on le faisait autres.
D) s’y rendre tous les jours de la semaine.
Question 30 : confrontés à ce phénomène, les spécialistes des objets anciens
A) estiment que cela dévalorise leur profession.
B) croient qu’il s’agit d’un effet de mode passager.
C) y voient un élargissement possible de leur clientèle.
D) profitent de la situation tout en la désapprouvant.
Question31 : ce phénomène permet par ailleurs
A) de rapprocher les habitants d’une même commune.
‫ ة‬B) d’offrir de nouveaux débouchés professionnels.
C) de sensibiliser à une éthique de la consommation
D) d’apporter un nouvel essor au tourisme rural.
Les textes longs

Le rapport qui vient d'être rendu aux Nations unies sur le (piteux) état de la planète n'est
pas le produit de l'alarmisme, parfois provocateur, souvent reproché aux organisations
écologistes.
Plus d'un millier d'experts, et des plus qualifiés, ont compilé et analysé toutes les données
disponibles sur l'impact des activités humaines sur les écosystèmes qui rendent possible
la vie sur Terre.
Conclusion : ça ne peut plus durer, et ça ne durera pas, au rythme où nous dépensons les
bijoux de la famille terrestre.
L'exploitation de plus en plus frénétique des ressources naturelles a permis de rendre
meilleur le sort d'une population en croissance rapide, quoi qu'en disent les critiques du
progrès. Mais ce développement s'est fait au prix d'une dégradation accélérée de la
plupart des écosystèmes vitaux. Pour la première fois dans l'histoire de la vie sur Terre, la
pérennité de celle-ci ne paraît plus assurée.
À force de sonner l'alarme et d'empiler les rapports, on risque que plus personne n'y
prenne garde, tant la capacité humaine à se projeter dans l'avenir est limitée. Nous
n'avons pourtant plus le luxe de l'ignorance. Sauf à léguer à nos descendants un monde
invivable (littéralement), il faut relever le défi du développement durable : c'est-à-dire
enrayer la destruction des écosystèmes fragiles dont nous dépendons pour notre
existence comme un plongeur dépend de ses bouteilles d'oxygène, tout en continuant à
les exploiter pour nos besoins croissants.
Le premier pas semble le plus dur. Il nous faut changer radicalement de méthode de
calcul de la richesse. Accepter l'idée que celle-ci et le développement ne se mesurent pas
qu'en dollars par habitant. Et qu'il faut y intégrer le prix des services rendus par la nature.
Celle-ci, ou plutôt sa destruction, a un prix. Tôt ou tard, nous en paierons la facture. À
l'heure actuelle, l'humanité est menacée de faillite.
D'après Libération

QUESTION 28 : Le rapport rendu aux Nations unies est


A) le résultat de la panique habituelle des écologistes.
B) une analyse rassurante sur l’avenir de la planète.
C) un document provocateur, exagéré et plein de reproches.
D) le fruit des analyses de nombreux spécialistes compétents.
QUESTION 29 : L'exploitation extrême des ressources planétaires
A) a dégradé les écosystèmes en même temps que les conditions de vie.
B) est positive car elle a rendu meilleures les conditions de vie de tous.
C) a amélioré les conditions de vie tout en détruisant les écosystèmes.
D) a permis aux populations de croître beaucoup plus rapidement.
QUESTION 30 : Le journaliste explique que
A) l'humanité est condamnée à laisser à ses enfants une planète en danger.
B) les sonnettes d'alarme fonctionnent pour faire changer les comportements.
C) les rapports ne servent strictement à rien puisque personne n'y fait attention.
D) l'humanité ne peut vraiment plus fermer les yeux sur la fragilité des écosystèmes.
QUESTION 31 : La solution du développement durable implique que nous
A) nous comportions tous comme de bons plongeurs.
B) calculions le prix de ce que nous prenons à la nature.
C) calculions la richesse dans toutes les monnaies du monde.
D) considérions que la planète est une entreprise à rentabiliser

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