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Droit objectif

A - la notion de sanction

En principe, la règle de droit est assortie d’une sanction, au cas où elle serait transgressée. La
sanction prévue permet d’en garantir le respect.
B - Les différents types de sanctions

Les sanctions rendues par le juge, peuvent être soit civiles soit pénales.

a) les sanctions civiles

Les sanctions civiles sont réparties en deux catégories : celles qui sont destinées à assurer la réparation
et celles engendrant une contrainte.

1- la réparation

Les sanctions donnant lieu à réparation sont de deux types :

 la nullité des actes juridiques viciés; c’est une grave sanction qui vis e sans doute à effacer tous les
effets produits par cet acte.

 les dommages et intérêts; la réparation du préjudice subi par la victime consiste précisément à lui
attribuer une somme d’argent.

2- la contrainte

Il existe deux types de contrainte :

 la contrainte directe:

exp.: la personne qui occupe un local sans pouvoir justifier d’un contrat, écrit ou verbal, de location risque
de faire l’objet d’une mesure d’expulsion ‫اإلفراغ‬

 la contrainte indirecte:

La sanction s’exerce, non contre la personne lui-même, mais sur des biens.

Si un débiteur refuse de payer ses dettes, il sera possible, à la suite d’un jugement de condamnation, de
procéder à la saisie de ses biens: ‫حجز األموال‬

b- les sanctions pénales

Conformément au principe de la légalité, la législation pénale détermine tous les comportements qui
troublent la société. Les auteures de ces agissements anti-sociaux s’exposent à des peines dont
l’importance varie en fonction de la gravité des faits commis.

A cet égard, le code pénal distingue, selon la gravité des sanctions, trois grandes catégories d’infractions
‫ الجرائم‬: les crimes ‫ الجنايات‬, les délits ‫ الجنح‬et les contraventions.

1 – les crimes

Ce sont les infractions les plus graves, Les peines criminelles principales sont selon l’article 16 du code
pénal : la peine de mort (capitale) ; la réclusion perpétuelle ; la réclusion à temps pour une durée de 5 à
30 ans ; la résidence forcée ; la dégradation civique.

2- les délits

Ce sont des infractions de gravité moyenne. Leur sanction est précisée par l’article 17, en ces termes : « les
peines délictuelles principales sont :

 l’emprisonnement ;

 l’amende de plus de 1200 dirhams. »

A cet égard, le Code pénal distingue entre deux types de peines délictuelles :

 les délits correctionnels, et

 les délits de police.

* Les délits correctionnels

Comme le précise l’article 111 al. 2 du CP, est considérée délit correctionnel : « toute infraction que la loi
punit d’une peine d’emprisonnement dont elle fixe le maximum à plus de deux ans… ». C’est le cas des
articles 401, 505, et 520 du Code pénal.

* Les délits de police

Moins grave que le délit correctionnel, le délit de police est comme le précise l’article 111 alinéa 3 du C.P.
toute : « infraction que la loi punit d’une peine d’emprisonnement dont elle fixe le maximum à deux ans,
ou moins de deux, ou d’une amende de plus de 1200 dirhams ». Exp. articles 386 et 400 du C.P.

3- Les contraventions

Selon l’article 18 du C.P. : « les peines contraventionnelles principales sont :

 la détention de moins d’un mois ;

 l’amende de 30 à 1200 dirhams.

Section II : les différentes branches du droit


IL existe deux grandes branches du droit: le droit privé et le droit public,

Le droit privé régit les rapports entre particuliers ou personnes privées qu’elles soient physiques ou
morales (sociétés, associations), ses règles visent la satisfaction d’intérêts individuels,

Le droit public régit l’organisation de l’Etat et les rapports entre les particuliers et les pouvoirs publics, ces
règles visent la satisfaction de l’intérêt général,

Le droit alors se subdivise en deux grandes catégories: le droit privé; et le droit public, chacune de ces deux
branches comprend un droit national et un droit international,

I- les branches du droit public

Le droit public comprend les branches du droit qui régissent les situations ou l’Etat est partie, le droit public
comprend aussi bien les règles qui déterminent l’organisation et le fonctionnement des pouvoirs publics
que celles qui sont relatives à leurs rapport avec les personnes privées, Il comprend le droit
constitutionnel (1), le droit administratif(2), le droit des finances publiques (3) et le droit international
public(4),

1- Le droit constitutionnel
Le droit constitutionnel pose les règles relatives aux organes supérieurs de l’Etat, il est généralement défini
comme étant l’ensemble des réglés qui définissent la forme de l’Etat, précisant la forme du régime
politique, les pouvoirs publics: leur constitution, leurs compétences, les rapports entre eux et avec les
citoyens, ainsi que les différentes libertés et différentes droits dont bénéficient les citoyens
collectivement et individuellement.
Les règles de droit constitutionnel ne peuvent, en aucun cas, être contredites ‫ يتناقض مع‬une loi ordinaire
sinon celle-ci sera inconstitutionnelle par conséquent nulle et non avenue
2- Le droit administratif
Le droit administratif fixe les règles relatives aux organes inférieurs à l’Etat, à savoir les règles régissant
l’organisation et le fonctionnement des administrations publiques (l’Etat, région, département…) il régit
aussi les rapports des administrations entre elles ou avec les particuliers, il trait enfin l’organisation de la
justice administrative.
3-Le droit des finances publiques
Le droit des finances publiques englobe les règles relatives aux ressources (impôts) et aux
dépendes de l’Etat, et des collectivités et des services publiques.
les finances publiques sont l’étude des moyens par lesquels l’Etat cherche a réaliser des
interventions dans le domaine économique et social.
4-Le droit international public
Le droit international public régit les relations interétatiques, c’est à les relations entre Etats (traités
internationaux bilatéraux ou multilatéraux) ainsi que le fonctionnement des organisations des
organisations internationales (organisation des nations unis, cour internationale de justice de la
Haye).

II- Les branches du droit privé

Le droit privé régit les relations des personnes privées entres elles, il vise la satisfaction des intérêts privés,
les deux principales branches du droit privé sont le droit civil (1) et le droit commercial (2) auxquelles
s’ajoute le droit du travail (3).

1- Le droit civil

Le droit civil désigne l’ensemble des règles applicables à la vie privée des individus et à leurs rapports entre
eux, il rassemble les règles régissant l’état des personnes (capacité), la famille dans ces aspects
patrimoniaux (successions) ‫ العقارات‬et extrapatrimoniaux ( mariage, divorce, filiation ‫) النسب‬, la propriété et
les rapports d’obligation (créances et dettes) qui peuvent s’établir entre les personnes du fait de la
conclusion d’un contrat ‫العق د شريعة المتعاقدين‬

2- Le droit commercial
Le droit commercial c’est la deuxième branche du droit privé, il régit les commerçants et les actes de
commerce, il réglemente de façon générale la profession commerciale, qu’elle soit exercée à titre
individuel ou sous forme de société: société anonyme, société à responsabilité limitée, etc…
Le droit commercial peut se définir comme la branche du droit privé relative aux opérations juridiques
accomplies par les commerçants, soit entre eux, soit avec leurs clients.
3- Le droit du travail
Le droit du travail fixe les règles relatives et les droits individuels et collectifs nés à l’occasion de la relation
de travail, c’est l’ensembles des règles juridiques qui régissent les relations entre les salariés et les
employeurs.
Entré en vigueur le 8 Juin 2004, le nouveau Code de travail a été élaboré avec la participation des
opérateurs économiques et sociaux qui sont profondément convaincus du rôle qu'ils doivent jouer pour
garantir un climat propice dans le monde du travail.
I. les sources nationales modernes
Parmi les sources nationales modernes on peut citer :
- La Constitution
- Les principes généraux du droit
- La jurisprudence
- La doctrine
- La loi et les règlements
La constitution marocaine
• La Constitution marocaine est le résultat de plusieurs moutures et la dernière en vigueur est celle
promulguée par le Dahir n°1/11/91 du 29 juillet 2011 publiée au bulletin officiel n°5964 bis du 30 juillet
2011.
LA COUR CONSTITUTIONNELLE
• La loi organique relative à la Cour constitutionnelle est publiée dans l’édition générale du B0 du 4/9/2014
= dahir n° 1-14-139 du 13/8/2014 portant loi organique de la loi n°066.13 relatif à la cour constitutionnelle.
Composition
Selon l’article 130 de la constitution, la Cour constitutionnelle comprend 12 membres désignés pour une
durée de 9 ans non renouvelable:
- 6 membres désignés par un dahir ( le Roi), dont un membre est désigné sur proposition du secrétaire
général du conseil supérieur des oulémas ;
- 3 membres désignés, selon l’article 130 de la constitution, par le président de la Chambre des
représentants ;
- 3 membres désignés, selon l’article 130 de la constitution, par le président de la Chambre des conseillers.
- Le Parlement
- se compose de deux chambres :
- Chambre des représentants = membres élus au suffrage universel
- Chambre des conseillers = membres élus parmi les membres des conseils régionaux et communaux, des
chambres professionnelles et des représentants des associations professionnelles et syndicales.
- Le Parlement concentre tout le pouvoir législatif, en dehors de celui concédé au Roi comme indiqué ci-
avant. C'est le Parlement qui vote les lois.

Le gouvernement
Le pouvoir exécutif reste partagé entre le gouvernement et le Roi.
Le Premier ministre = chef du gouvernement et préside à ce titre le Conseil de gouvernement
Mais
le Conseil des ministres continue d'être présidé par le Roi
Le Conseil du gouvernement
se compose de tous les ministres, ministres délégués et autres secrétaires d'État. Il délibère des politiques
publiques et sectorielles, de l’engagement de la responsabilité du gouvernement devant la Chambre des
représentants, des questions d’actualité liées aux Droits de l'homme et à l’ordre public, des projets de loi

Le Conseil de gouvernement n'a qu'un pouvoir délibératif en matière de politique générale de l’État, des
conventions internationales, du projet de loi de finances.
Le Conseil des Ministres
où siègent uniquement le chef du gouvernement et les ministres est compétent en matière d'orientations
stratégiques de la politique de l’État, de révision de la Constitution, des projets de lois organiques, des
orientations générales du projet de loi de finances, d’amnistie, des projets de textes relatifs au domaine
militaire, de la déclaration de l’état de siège, de la déclaration de guerre.
Même avec un pouvoir limité, le Gouvernement est responsable devant le Parlement.
Il présente son programme qui fait l’objet d’un débat devant chacune des deux Chambres et est suivi d’un
vote à la Chambre des représentants.
Le gouvernement est investi après avoir obtenu la confiance de la Chambre.
LA LOI
• Définition : C’est toute règle de droit formulée par écrit, composée d’un ou plusieurs articles.
• La constitution limite le domaine de la loi parlementaire est limité, en effet le Parlement ne peut légiférer
que sur les matières qui lui sont attribuées par la Constitution.
La loi organique
• Certaines dispositions de la Constitution nécessitent un développement ultérieur qui est conférée à des
lois organiques qui devraient en préciser la teneur.
• Par exemple bien que le droit de grève soit un droit reconnu par la constitution, celle-ci prévoit qu’elle
sera réglementée par une loi ultérieure
Les lois ordinaires

• Elle fixe d’une part les règles concernant un certain nombre de matière (libertés publiques, capacité des
personnes, crimes et délits, impositions, régime électoral, nationalisations des entreprises…) et d’autre
part détermine les principes fondamentaux d’autres domaines (défense nationale, régime de la
propriété, droit du travail et de la sécurité sociale…).

font partie du domaine de la loi :(le domaine de la loi)


• Les droits individuels et collectifs,
• La détermination des infractions et des peines,
• Le statut des magistrats,
• Le statut général de la fonction publique,
• Les garanties fondamentales accordées aux fonctionnaires civils et militaires,
• Le régime électoral des assemblées et conseils des Collectivités Locales,
• Le régime des obligations civiles et commerciales,
• La création des établissements publics,
• La nationalisation d’entreprises et les transferts d’entreprises du secteur public au secteur privé.
LES REGLEMENTS
• Définition : ce sont des textes qui édictent des règles de droit, émanant du pouvoir exécutif et des
autorités administratives.
• Le domaine de la loi étant limité, la Constitution dispose que « les matières autres que celles que sont du
domaine de la loi ont un caractère réglementaire ».
3 catégories de règlements
• Les décrets sont signés par le 1er Ministre.

• Les décrets dits d’application sont pris pour l’application d’une loi (en précise les conditions de mise en
œuvre) et
• les décrets autonomes sont pris dans une matière qui n’est pas du domaine législatif (exemple : la
procédure civile).
• Les arrêtés subordonnés aux décrets, et eux-mêmes hiérarchisés en fonction du rang de l’autorité qui
l’édicte :
• Exemples :arrêtés ministériels ou arrêtés municipaux.
• Les circulaires ne sont pas vraiment des règlements mais qui sont des textes par lesquels un ministre
donne des instructions à des fonctionnaires pour l’application des lois ou des règlements.
Ils n’ont pas de valeur juridique vis à vis des Administrés

Partie 2 ; Droit de travail


a Qui s’applique les dispositions du code du travail ?

Employeurs assujettis :

• Tous les établissements industriels, commerciaux, de services, exploitations agricoles et


forestières ;
• Les entreprises publics et privées de l’état et des collectivités locales à caractère industriel ou
commercial ou agricole;
• Les coopératives , les sociétés civiles , syndicats, associations et s groupements de toute
nature;
• Les employeurs exerçant une profession libérale.

salariés assujettis :

 Tout salarié lié par un contrat de travail quels que soient les modalités de son exécution , la
nature ou le mode de rémunération ou l’entreprise dans laquelle le contrat est exécuté ;
 Les personnes se mettant à la disposition d’un établissement pour assurer des prestations au
profit de la clientèle du dit établissement;

Statuts particuliers :

 Les travailleurs de la marine marchande et des pêches maritimes ;


 Le personnel des entreprises minières;
 Les journalistes;
 Le personnel de l’industrie cinématographique;
 Les salariés des entreprises et établissements publics dépendant de l’Etat, ainsi que ceux des
collectivités locales;
 Les concierges.

Exception : Loi spéciale :

 Les employés de maison;


 Les travailleurs dans le secteur artisanal à caractère traditionnel.
Comment Recruter ?

En vertu de l’articles 507, l’employeur a la liberté de choisir les candidats qui répondent au profil
recherché en tenant compte des qualifications, des expériences et recommandations
professionnelles tout en respectant la non discrimination.

LES INTERDICTIONS A L’EMBAUCHE !

 Les mineurs ne peuvent être employés ni être admis dans les entreprises avant l’âge de 15 ans
révolus (Article 143). Cependant des dérogations à ce principe existent au profit des apprentis,
les stages d’initiation et les professions de spectacle.
 Il est interdit d’employer un salarié ayant atteint l’âge de la retraite fixée à 60 ans (des dérogations
à cette règle existent).

EMBAUCHE DES SALARIÉS ÉTRANGERS

 Tout employeur désireux d’embaucher un salarié étranger doit obtenir une autorisation de
l’autorité gouvernementale chargée du travail. Cette autorisation est accordé sous forme de visa
apposé sur le contrat de travail.

LES DÉCLARATIONS ET INFORMATIONS

 Déclaration à l’ANAPEC dans les 8 jours ;


 Information du service chargé du travail (déclaration faite sur un formulaire);
 Déclaration à la CNSS.

Genèse de la relation contractuelle

Qu’est ce qu’un contrat ?

 Un contrat se définit comme une convention (accord de volonté conclu entre des personnes) formelle ou
informelle, passée entre deux parties ou davantage, ayant pour objet l'établissement d‘obligations
(devoirs) à la charge ou au bénéfice de chacune de ces parties.
 Les dispositions d'un contrat sont appelées clauses (conditions particulières).

Les conditions de validité d’un contrat

Pour être valable, un contrat doit obéir à certaines règles :


 Il faut qu’il y est accord des parties sur les éléments essentiels de l’obligation ainsi que toutes les clauses
que ces dernières considèrent comme essentielles (art 19 du D.O.C);
 Un consentement non vicié par erreur, dol ou violence (Art 39 et suivants du D.O.C);
 La volonté de contracter doit émaner de personnes capables (Art. 3 et suivants du D.O.C) ;
 Le contrat doit avoir un objet et une cause ;

Le contrat de travail
 Le contrat de travail est un type de contrat par lequel une personne dite « employée » (Personne
rémunérée pour produire un travail au sein d’une entreprise ou d’une administration) s'engage à
effectuer un travail pour une autre dite « employeur » (Personne, entreprise ou autre organisme qui
fourni un travail) moyennant une rémunération.
 Du point de vue juridique, les trois éléments constitutifs du contrat de travail sont : La prestation de travail,
la rémunération, et le lien de subordination.

Choix du type de la relation de travail

Les types de contrat de travail

 En vertu de l’article 16 du code de travail, le contrat est conclu soit pour une durée indéterminée ou alors
pour une durée déterminée ou pour accomplir un travail déterminé. Néanmoins et selon les besoins et les
possibilités, plusieurs formules sont offertes à l’entreprise :

Le contrat de travail à durée indéterminée (CDI)

 C’est le contrat de droit commun, il est conclu sans détermination de la durée.


 Ce contrat de travail peut être conclu par écrit, mais peut également résulter d'une entente verbale entre
l'employeur et le salarié.
 La formule du CDI implique un engagement lourd.

Le contrat de travail à durée déterminée (CDD)

 Un contrat à durée déterminée (ou CDD) est un contrat pour lequel un employeur recrute un salarié pour
une durée déterminée.
 Le contrat de travail à durée déterminée ne peut être conclu que dans les cas où la relation de travail ne
pourrait avoir une durée indéterminée;
 Le code du travail a énuméré les cas de recours fréquents (art. 16) ainsi que les cas de recours
exceptionnels (art.17).

Le contrat de travail à temps partiel

Lorsque la nature du travail ne justifie pas une présence permanente dans l’entreprise, l’employeur peut
avoir recours à un contrat à temps partiel.
A défaut d’un écrit, le contrat est présumé conclu à plein temps. Toutefois la preuve du contraire peut être
apportée par l’employeur

Le contrat d’insertion IDMAJ (ANAPEC)


Dahir portant la loi n° 1-93-16

Objectifs
Il permet aux jeunes diplômés d’acquérir des compétences professionnelles à travers une première
expérience en entreprise.
Avantages
Les trois modèles des contrats procurent à la fois des avantages aux stagiaires (exonération de l’IR (sauf
pour le modèle 3) et des cotisations salariales CNSS) et aux employeurs (exonération des cotisations
patronales CNSS, taxe professionnelle et impôt sur les salaires versés).
NB: Afin de bénéficier des avantages précités, le contrat doit être visé par l’administration et communiqué
à la CNSS dans les 3 mois qui suivent la date de sa conclusion.
Conditions
Les bénéficiaires (stagiaires) doivent avoir des profils de bacheliers (Bac ou équivalent) ou diplômés de
l’enseignement supérieur ou alors de l’enseignement professionnel et obligatoirement être inscrits à
l’ANAPEC.

Obligations de l’employeur

 1) Fournir le travail convenu lors de l’embauche ainsi que les moyens (matériels ou humains)
nécessaires à son exécution;
 2) Verser le salaire en contrepartie du travail effectué et payer les cotisations sociales;
 3) Faire effectuer le travail dans le respect des dispositions légales et conventionnelles en vigueur
(réglementation relative à la durée du travail, au repos hebdomadaire, à la santé et la sécurité, non
discrimination…...);
 4) Respecter les éléments du contrat de travail (lieu de travail, durée, qualification….);
 5) Informer les salariés sur (la convention collective et son contenu si elle existe, le règlement
intérieur, l’organisme assureur contre les accidents de travail et les maladies professionnelles…);
 6) Remettre une carte de travail.

Obligations du salarié

 1) Effectuer personnellement le travail demandé;


 2) Respecter les instructions de son employeur;
 3) Conserver les objets , et outils de travail , et les restituer après l’exécution du travail;
 4) Observer les clauses de son contrat;
 5) Respecter la déontologie de la profession;
 6) Informer son employeur (lettre recommandée avec AR ou remise en main propre) en cas de
changement d’adresse.

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