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M1 MEEF
G. Tcherkez (IBP)
D’abord, on réfléchit ensemble !
Progression possible
Attention, cela ne signifie pas que les cellules sont toujours turgescentes au maximum :
proplaste
cytoplasme
mb plasmique
mitochondrie
vacuole
enveloppe nucléaire
hétérochromatine noyau
euchromatine
matrice extracellulaire
lamelle moyenne
(pectique)
paroi Ire (cellulosique)
paroi
épaississement: paroi IIre
(cellulosique)
échelle: 1 µm
Comment se meut l’eau dans les cellules ?
plasmodesmes perforation
ponctuations, perforations
L’eau, source de pouvoir réducteur et de -OH
Mais en réalité:
CO2 et H2O
H2O
NADPH PGA RuBP
½ O2 + 2 H+ + e- cycle de Calvin
ATP
fonctions –OH viennent de l’eau
conductance
transport hydraulique
racines : Fr = G x Dy
flux différence de
conductance potentiel hydrique
racinaire
pour l’eau
feuilles : Ff = g x Dw
Fr = Ff
En outre,
YP YS
Yw = Yhydrostatique + Yosmotique + Ypesanteur + Ymatrice
= P – p + Etc..
Pour évaporer un gramme d’eau, il faut fournir 2400 Joules (=575 calories)
Transpiration
lumière
refroidit la feuille
échauffe la feuille
-absorption directe IR
-un certain % est converti en
chaleur (au lieu de
photochimie)
II. Homéostasie hydrique et
stratégies de gestion de l’eau des
plantes
La « performance » hydrique d’une plante est souvent vue sous l’angle de
la photosynthèse
A C assimilé
EUE = = eau perdue
E
MAIS
TOLERANCE EVITEMENT
ajustement
osmotique des production d’ABA par
cellules (diminue y) les feuilles elles-mêmes
perte de turgescence ou
humidité très faible
fermeture stomatique feuilles
senseur racinaire
Stratégies d’évitement : sur trois aspects de la biologie des organismes
Morpho-anatomie
Ecophysiologie
Métabolisme Cycle de vie
feuilles réduites
aphyllanthe
Rapide
Métabolisme CAM
(éphémérophytes)
cactus, joubarbe, welwitschia
pois du désert
trichomes
romarin
Métabolisme C4
Evite la période sèche
sorgho, millet, canne, etc ... maïs pour la floraison ou
même végétation
stomates enfoncés/feuille crocus, jacinthe de
enroulée méditerranée (Dipcadi)
laurier rose
oyat
Reviviscence
mousses, sélaginelle, Ramonda, ...
cuticule épaisse
chêne vert
Aphyllanthe de Montpellier (Liliacées)
0.3 mm
Romarin (Lamiacées)
CT feuille carmino-vert
Grossissement crypte
Laurier-rose (Apocynacées)
Welwitschia mirabilis (Gnétales Gymnospermes)
Pois du désert Australien (Fabacées)
Dipcadi serotinum
(Asparagacées ex-Liliacées)
Ramondie (Gesnériacées)
CAM
C4
C3
C4
CAM
Nuit
Jour
mondiale
nationale
régionale
locale
Diversité des modes de vie associés à la disponibilité en eau
exemple, dans un même genre : radiation spécifique (adaptation à différents milieux hydriques)
lande à callune
lande à molinie
x = 40
Le développement des zones de végétation mondiales
est liée en partie à la disponibilité en eau
représentation cartographique
Le développement des zones de végétation mondiales
est liée en partie à la disponibilité en eau
représentation graphique
Hydrométrie du sol
Bilan hydrique de l’écosystème
exemple de l’écosystème forestier (hêtraie ou hêtraie-sapinière)
hêtraie : évaporation de 2500 tonnes d’eau/ha/an « interception » jusqu’à 40% (en été)
(évaporation avant d’atteindre le sol)
transpiration de la
végétation 30%
précipitation
apports 100
utilisation pour fabriquer de pertes par
nouveaux organes (croissance) transpiration du sol
quelques % quelques %
drainage, ruissellement
30%
Pour ce sujet, livres utiles :
À noter