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citoyens […] à réduire […] les écarts territoriaux et à


réaliser la justice sociale », a-t-il martelé en octobre
Le Maroc n’est pas à la fête pour les vingt
2017.
ans de règne de Mohammed VI
PAR RACHIDA EL AZZOUZI ET ALI AMAR (LE DESK) À l’époque, Mohammed VI fait face au hirak du Rif,
ARTICLE PUBLIÉ LE MARDI 30 JUILLET 2019
une contestation inédite en dix-huit ans de règne née
un an plus tôt au lendemain de la mort d’un jeune
poissonnier broyé par une benne à ordures dans la ville
de Al-Hoceïma, au nord-est du pays, alors qu’il tentait
de sauver 500 kilos d’espadons pêchés illégalement.

Moulay Hassan et son père le roi du Maroc Mohammed VI lors


des commémorations du 11-Novembre à Paris en 2018. © Reuters
Le roi du Maroc Mohammed VI fête ses vingt
ans de règne mardi 30 juillet. Il a demandé des
célébrations sans ostentation, car le royaume est
Moulay Hassan et son père le roi du Maroc Mohammed VI lors
gagné par une ambiance crépusculaire. Pour celui qui des commémorations du 11-Novembre à Paris en 2018. © Reuters
incarnait l’espoir après les terribles années de plomb Durant des semaines, des mois, toute une région se
sous le régime de son père Hassan II, il s’agit de faire soulève contre l’injustice d’un système qui écrase
profil bas. ses enfants et les marginalise, les privant d’écoles,
Le 30 juillet 1999, Mohammed VI (surnommé M6) d’hôpitaux, de routes, d’usines… D’abord toléré, le
montait sur le trône du Maroc pour succéder à son mouvement est très vite violemment étouffé sous
père Hassan II, mort une semaine plus tôt après trente- l’effet de la répression et des arrestations massives.
huit ans d’un interminable règne de fer. Il devenait Plus de 400 manifestants se retrouvent en prison. Si le
à 36 ans le vingt-troisième monarque de la dynastie roi a fini par en gracier quelques-uns, la majorité reste
alaouite, le troisième à porter le titre de roi du Maroc. embastillée, dont les chefs de file qui ont carrément
Avec une ambition affichée : être le roi des pauvres, écopé d’une vie derrière les barreaux avec des peines
proche du peuple. Vingt ans plus tard, il ne reste de vingt ans.
plus que le surnom. Le Maroc est le pays le plus Ils paient cher la dénonciation d’un constat que le
inégalitaire d’Afrique du Nord, selon la très sérieuse roi partage pourtant : un modèle de développement
ONG britannique Oxfam. Incapable de partager la profondément inégalitaire, confirmé d’ailleurs par les
richesse avec celles et ceux qui la créent. Il faudrait plus grandes instances officielles. Le HCP, le haut
154 ans à une personne payée au salaire minimum commissaire au plan, s’alarme d’une pauvreté et
pour gagner ce que reçoit en douze mois l’un des d’un chômage galopants « en raison de la croissance
milliardaires du royaume. économique lente, du sous-investissement et d’un
Éducation, santé, marché du travail… Pas un secteur système éducatif qui ne développe pas les compétences
n’est épargné. Et derrière ces inégalités, il y a employables ». Un diplômé universitaire marocain
des mauvais choix économiques et politiques que sur trois ne peut pas trouver d’emploi et même les
même le roi remet en cause. Il n’hésite pas à étudiants issus des filières d’excellence préfèrent
parler d’« échec ». Le « modèle de développement quitter le pays faute de conditions de travail décentes.
national […] s’avère aujourd’hui inapte à satisfaire Le gouverneur de la Banque centrale ne dit pas autre
les demandes pressantes et les besoins croissants des chose devant le roi et appelle le Maroc« à un sursaut ».

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Le CESE, Conseil économique et social, aussi : « La constatait ici Khadija Ryadi, figure de l’opposition
pauvreté, le chômage des jeunes et les inégalités sont et de la gauche marocaine. Du nord au sud, d’est
de “moins en moins acceptés” au Maroc. » en ouest, dans des villes et des villages reculés, des
Le Maroc continue ainsi de végéter dans la hirak font ou refont surface, comme ce fut le cas en
catégorie des pays au développement poussif, comme 2017-2018 à Jerada, 43 000 habitants, bassin sinistré
l’indique le dernier rapport du Programme des situé dans l’Oriental, aux portes du Rif (Nord-Est).
Nations unies pour le développement (PNUD) paru en C’est l’autre grand mouvement social du règne de M6
qui finira par être réprimé, quand les “gueules noires”
2018, occupant la 123e place, loin derrière l’Algérie
et toute la ville ont manifesté après la mort de deux
voisine (85e)… La faute à un État social absent, frères, noyés dans une mine clandestine de charbon.
« parent pauvre des changements survenus au cours Les revendications ? Du pain, de l’eau, du travail, de
de cette décennie,résume ici le professeur Abdallah l’électricité et que les promesses soient enfin tenues.
Saaf, qui a dirigé un ouvrage collectif sur les
mutations politiques au Maghreb et au Machrek sept D’ailleurs, il y a tout juste un an, pour le 19e
ans après les Printemps arabes. La problématique de la anniversaire de son accession au trône, M6 avait de
justice sociale n’a pas fait l’objet d’un investissement nouveau axé son discours sur le social, point noir de
politique convaincant, sinon de quelques gestes son bilan de règne, s’engageant à refondre le modèle
symboliques ». M6 en est conscient depuis longtemps. de développement du pays, notamment en matière
Déjà pour ces quinze ans de règne, il s’interrogeait sociale (santé, inégalités sociales et territoriales,
(étonnamment) : « Où est la richesse ? » et pointait emploi, enseignement), mais aussi en matière de
directement les inégalités. gestion publique dont la régionalisation, « chantier de
règne » devant participer à résoudre l’épineux conflit
Et pourtant, à l’international, de l’autre côté de la
territorial du Sahara occidental, est toujours en panne.
Méditerranée, notamment dans « le pays ami »,
« frère », en France, on vend une image d’Épinal, « Une partie de la richesse créée doit être orientée
un « Maroc, nouvelle puissance » pour laquelle vers la satisfaction de ces demandes. Or la seule
on mobilise les relais souvent puisés chez la droite réponse, c’est la répression », s’insurge Abdellah
souverainiste française qui applaudit au « national- Lefnatsa, militant de l’Association marocaine des
monarchisme »de Mohammed VI… Relais qui droits humains (AMDH). Les derniers chiffres sans
interrogent, quand on sait combien cette frange cesse en baisse, sur la confiance des ménages,
politique tape sur « les Arabes ». En témoignent le indicateur de base du ressenti de la population, sont en
dossier fraîchement servi par le magazine Le cela révélateurs d’un climat social très détérioré. Les
Point ou encore les sorties de l’un des plus technocrates du roi, eux, sont pressés par des mesures
assidus VRP du royaume, le géopoliticien Aymeric d’austérité dictées par le FMI qui ne font qu’enfoncer
Chauprade. L’ancien député européen d’extrême la population dans de graves crises sociales, à l’image
droite français, éminence grise de Marine Le Pen, du secteur de la santé qui a vu une démission
vient de publier : « Géopolitique d’un roi, essai sur collective de plus de 300 de ses médecins exerçant
un Maroc moderne et multipolaire », qui raconte dans des hôpitaux du nord du pays. Dans une note
comment M6, « roi atypique », a fait progresser la publiée il y a un an, l’association Tafra tente de
démocratie, les libertés… démontrer que si un projet de développement ne voit
pas le jour, ce n’est pas uniquement à cause de la
Portrait bien élogieux, aussi bien dépeint par ces
corruption et du clientélisme. Un autre facteur peut
« intellectuels qui critiquent tous les pouvoirs
entrer en jeu : l’absence d’union entre les acteurs
autoritaires sauf le marocain » remarque ici
Orient XXI, et surtout bien éloigné de la réalité sociale
marocaine. « Le royaume est une poudrière sociale »,

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politiques. Cette conjonction de facteurs fait que version de l’État qui avait nié auparavant l’existence
le « Maroc est le mauvais élève du développement de Tazmamart et d’autres geôles de l’ère Hassan II »,
humain ». assène-t-il.
Pour contenir la colère sociale, le royaume a érigé le Une négation de la répression du Rif dont témoigne
sécuritaire en mode de gouvernance. Si la situation le rapport présenté début juillet par Ahmed Chaouki
des droits de l’homme est bien meilleure que sous Benyoub, délégué interministériel aux droits de
les années de plomb de Hassan II, depuis 2011, la l’homme (DIDH). Tant attendu sur « les événements
situation se dégrade… Les associations de défense des d’Al-Hoceïma et la protection des droits de
droits humains, nationales ou internationales, font état l’homme »,ilsert au gouvernement à le blanchir.
d’un bilan catastrophique. La première d’entre elles et Pourtant, en juillet 2017, le même CNDH, alors
la plus importante au Maroc, l’AMDH, s’est encore présidé par le consensuel Driss el-Yazami, avait
alarmée début juillet d’une dégradation. conclu à l’instar des rapports produits par des ONG
Elle décrit une « escalade des violations des droits et associations nationales et internationales, à de
humains et des libertés publiques et individuelles » multiples exactions, atteintes aux droits de l’homme et
au Maroc, l’État « se soustrayant à ses engagements cas de torture commis par les forces de l’ordre dans
internationaux et ignorant recommandations et plusieurs dossiers de contestation sociale.
rapports » sur le sujet. L’ONG dénombre « sept cas de Si la prise de parole est contenue dans la rue
décès » et « vingt-sept cas de torture ou de traitements par le bâton, elle a trouvé un nouveau terrain
cruels ou inhumains ou dégradants » pendant des d’expressiondans le monde virtuel, notamment lors
gardes à vue ou en détention, dans son rapport portant d’unevaste opération de boycott lancée il y a plus
sur l’année 2018 et le premier semestre 2019. d’un an contre la « cherté de la vie » et qui a notamment
Le Conseil national des droits de l’homme (CNDH), éreinté la multinationale française Danone, prise pour
qui devait servir d’instance de « réconciliation » et symbole de ce Maroc ne profitant qu’aux classes
de contrôle de l’appareil sécuritaire, s’aligne plus aisées.
que jamais sur cette politique répressive. Pour sa Même pour un post sur Facebook, on peut finir en
première sortie publique après sa récente nomination prison, tant la « traque sur Internet » est devenue
à sa tête par le roi, Amina Bouayacha déclaré systématique, souvent avecl’appui de technologies
de manière catégorique à l’agence espagnole EFE françaises. La capture d’écran sur les réseaux sociaux
« qu’il n'y a pas de prisonniers politiques » au est devenue une pièce à conviction judiciaire. Ce
Maroc et que la torture n'est plus pratiquée dans les qui est arrivé aumilitant pacifiste El Mortada
prisons ou les postes de police… Une assertion qui Iamrachen ou à l’humoriste Bziz est symptomatique
a suscité un tollé dans les rangs de la société civile de ce harcèlement. Celui qui avait ironisé en 1999
au moment où nombre de militants, journalistes et sur « Sa Majetski » (allusion au sport favori du roi
blogueurs croupissent en prison, pour avoir dénoncé Mohammed VI au début de son règne) a été convoqué
les injustices, la corruption et l’absence de reddition fin 2018 par la police judiciaire de Casablanca pour
des comptes. avoir dénoncé sur sa page Facebook les arrestations
Pour le militant et historien Maâti Mounjib, cité parTel arbitraires des artistes du Rif lors du hirak de 2017…
Quel, les propos d’Amina Bouayach témoignent d’un Autre exemple de cette répression aveugle, la
« déni total des violations des droits de l’homme justicea condamné en octobre 2018 quatorze jeunes
». Même réaction du président de l’AMDH, Aziz supporteurs d’un club de football de Tétouan, dans
Ghali, qui juge que ces propos « confirment que le nord du pays, pour « outrage au drapeau national » :
le CNDH n’est pas indépendant ».« C’est la même ils avaient sorti des drapeaux espagnols pour protester

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contre la mort d’une étudiante, tuée par des tirs de la reprendre l’expression de l’intellectuel Mohamed
marine marocaine, alors qu’elle tentait de traverser la Tozy, le Maroc, dont les relations avec ses alliés
Méditerranée. traditionnels en Europe, dans le Golfe ou outre-
Sur le plan des droits des femmes, le roi aurait pu Atlantique, connaissent une évolution en dents de scie,
faire bien davantage. Entrée en vigueur en septembre, se cherche pourtant aujourd’hui un destin continental
une première loi contre les violences faites aux en se lançant, autant pour des raisons diplomatiques
femmes reste largement incomplète. Idem sur le plan qu’économiques, à la conquête de l’Afrique. Mais là
de l’égalité devant l’héritage… encore, le poids réel du Maroc en termes d’influence,
de développement, de gouvernance et de puissance
L’échec des politiques publiques est surtout un échec
économiqueest à relativiser.
patent de la « monarchie exécutive » dont Mohammed
VI a refusé de se départir, s’arc-boutant sur un pouvoir Ainsi, ce n’est pas un hasard si le palais royal a
sur lequel il garde la haute main, perpétuant, malgré demandé une célébration des vingt ans de règne de
une certaine tempérance, l’autoritarisme oriental Mohammed VI sousle signe de la « normalité »,
hérité de son père. Ainsi, pour endiguer la montée sans ostentation, car le Maroc est gagné par une
inexorable de l’islamisme qui fait son lit sur la ambiance crépusculaire. Et ce malgré le satisfecit des
pauvreté, il n’a eu de cesse de promouvoir des écuries pouvoirs publics, qui ne veulent retenir de ce bilan
politiques factices, au point d’enrayer la machine que les grandes réalisations portées par le roi lui-
gouvernementale. Depuis les dernières législatives de même, comme le port Tanger Med, « le plus grand
2016, l’exécutif est composé d’une coalition bancale de la Méditerranée », la ligne TGV qui relie depuis
de partis aux idéologies divergentes, incapable de quelques mois les deux principaux pôles économiques
transformer les vœux de développement du roi en que ce sont Casablanca et Tanger, l’émergence
réalité tangible… d’une industrie automobile avec notamment les usines
Renault et PSA, etc. Mohammed VI lui-même semble
Et en dernier recours, « l’État profond » cherche
prendre par intermittence des périodes de retrait de
àresponsabiliser les mouvements islamistes. Face à
l’avant-scène depuis deux ans, préférant se retrouver
la contestation multiforme à l’ampleur exponentielle,
loin du pays ou avec un entourage improbable…
les autorités semblent n’avoir qu’une stratégie :
délégitimer la cause des frondeurs en accusant Jusqu’à peu, pour suivre ce roi, tout l’inverse de
régulièrement les islamistes d’en être les principaux son père, souvent à l’étranger, et pas seulement en
responsables, comme ce fut le cas au sujet des France pour y recevoir des soins, il fallait aller sur
enseignants contractuels précarisés sortis manifester Instagram. Sur le réseau social, il pose aux côtés
en masse à Rabat… d’Abu Bakr Azaitar, un boxeur « full-contact »
surnommé « le Gladiateur », ou encore en compagnie
Ce qui fait que le Maroc, pris pour « modèle de
de l’humoriste Jamel Debbouze et de la star du
stabilité » dans la région, vit une période d’inquiétante
rap Maître Gims. On le voit encore sur la page
inertie, alors que des dynamiques sont en mouvement
Facebook du mystérieux Soufiane el-Bahri, « social
au Maghreb. En Tunisie, mais surtout depuis cette
media community manager of the king ». Sur les
année en Algérie, où l’espoir renaît à travers une
réseaux sociaux, des mots-dièses sans équivoque
contestation civile inédite quele royaume observe
sont apparus comme #masdatkichMVI : « Au final,
avec la craintede la voir se propager au-delà de
t’es décevant, mec. » La figure du roi, surnommé
frontières fermées depuis un quart de siècle.
« 1er MRE » (Marocain résident à l’étranger), est
Sur la scène diplomatique, Mohammed VI a fait désacralisée. En cause : la propre image parallèle que
disparaître le Maroc alors que, sous son père ses communicants n’ont cessé de promouvoir avec ses
Hassan II, le royaume était un acteur, un arbitre « débordements ».
incontournable. « Empire chérifien insulaire », pour

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peu, les proches du palais évoquent cette dernière


en tant qu’« ancienne épouse »), ou lorsque son
mode de vie et l’étalage de son luxe sont éventés.
Dernier excès en date : l’acquisition de son nouveau
yacht valant plus de 88 millions de dollars
amarré dans les eaux turquoise du nord du pays, là
oùdes Marocains émigrent en masse vers l’Europe
voisine. Le baromètre du monde arabe publié par
« Dans la monarchie, le corps privé du roi était la BBC fin juin indique que 44 % d’entre eux
toujours caché, et c’était le corps public qui était mis souhaitent émigrer – 17 % de plus qu’il y a trois ans
en scène », analyse dans Le Nouvel Obs l’historien –, mais ce pourcentage grimpe jusqu’à 70 % quand la
Mohammed Ennaji. Là, avec Mohammed VI, on a question est posée aux moins de 30 ans. Un mal-être
au contraire un débordement de ce corps privé, décrit par les chansons scandées par les supporters
comme s’il ne supportait plus d’être assujetti au corps du Raja de Casablanca et repris en boucle sur la
public, une surexposition, presque un exhibitionnisme. Toile par des millions de jeunes… Les Marocains
C’est certes assez raccord avec notre époque de étaient surtout, parmi les peuples de la région, ceux
l’ultra transparence et du voyeurisme, mais dans la qui souhaitaient en plus grand nombre (49 %) un
désacralisation de la fonction, on atteint des sommets changement politique rapide dans leur pays…
inédits. »
Boite noire
Sa vie privée suscite ainsi nombre de questionnements
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