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Communication et langages

Le graphisme dans la musique


Eric Brabant

Résumé
Différentes tentatives ont été faites pour analyser et représenter les sons complexes qui existent dans notre monde
moderne et qui sont intraduisibles dans le langage musical traditionnel. Cet article a pour objet de présenter l'utilisation du
graphisme comme solfège musical,les signes et les grammaires de ce nouveau langage, l'interprétation, enfin, au niveau
de la lecture. Le but de ce nouveau mode de notation est de doter la musique contemporaine d'un outil à la fois plus fidèle
et/ou plus souple que la notation habituelle. L'auteur, Eric Brabant, a composé différentes pièces, dont l'une lui a été
commandée par les Compagnons de Lure pour un spectacle basé sur le livre de Michel Butor, «6 810 000 litres d'eau par
seconde»; il a également composé, pour le Studio 111 de Strasbourg, un morceau réalisé graphiquement.

Citer ce document / Cite this document :

Brabant Eric. Le graphisme dans la musique. In: Communication et langages, n°14, 1972. pp. 29-42.

doi : 10.3406/colan.1972.3929

http://www.persee.fr/doc/colan_0336-1500_1972_num_14_1_3929

Document généré le 15/10/2015


LE GRAPHISME

DANS LA

MUSIQUE

par Eric Brabant

Différentes tentatives ont été faites pour analyser et représenter les sons
complexes qui existent dans notre monde moderne et qui sont intraduisibles
dans le langage musical traditionnel. Cet article a pour objet de présenter
l'utilisation du graphisme comme solfège musical, îes signes et les
grammaires de ce nouveau langage, l'interprétation, enfin, au niveau de la
lecture '. Le but de ce nouveau mode de notation est de doter la musique
contemporaine d'un outil à la fois plus fidèle et/ou plus souple que la
notation habituelle. L'auteur, Eric Brabant, a composé différentes pièces,
dont l'une lui a été commandée par les Compagnons de Lure pour un
spectacle basé sur le livre de Michel Butor, «6 810 000 litres d'eau par
seconde»; il a également composé, pour le Studio 111 de Strasbourg, un
morceau réalisé graphiquement.

LA MUSIQUE, UN PHENOMENE PHYSIQUE, SON ORGANISATION


La musique est un phénomène de compréhension intellectuelle.
Notre cerveau perçoit et analyse le phénomène sonore au moyen
du capteur qu'est l'oreille. La source sonore est un instrument
mécanique qui a pour propriété de mettre en vibration
l'atmosphère, et l'instrumentiste agit en fonction de signes écrits
(sauf dans l'improvisation, bien entendu).
Ces signes écrits ont des referents ou des ordres 2 ; ils
constituent un vocabulaire, organisé par des règles d'écriture (une
grammaire). Ces règles établissent des fonctions et des
rapports de fonctions. Ainsi :

La gamme tonale, dont la première note donne le ton (gamme


de do, gamme de ré, etc.) , est une gamme de sept notes avec
des intervalles définis entre chaque note (toujours un ton entre
le do et le ré, un ton entre le ré et le mi, un demi-ton entre le mi
et le fa, etc.) .

1. Nous avons volontairement simplifié certains aspects de l'exposé en nous limitant aux
seules explications indispensables à la compréhension.
2. Hauteur ou durée des sons pour le réfèrent, indication d'exécution pour l'ordre.
Le graphisme dans la musique

Exemple d'écriture de gamme totale ; gamme de do

re •fa 5oi ta fit (do)


-1 tow -A ton i ton

Gamme de ré

Sol dodiese (ré)


i ton. -4 +oa "*]), tbn H ton. -A +ow- ' -4 frovt "*A +oa
Le dièze # ajoute un demi-ton à l'intervalle initial.

Le dodécaphonisme : douze sons à la base au lieu des sept de


la gamme tonale, avec, cette fois, un intervalle régulier entre
chaque son, de un demi-ton.

A partir de ces douze sons, on établit des séries dodécapho-


niques qui servent de vocabulaire de base à l'œuvre.
Exemple: série de 12 sons, extrait des Variations, op. 27 pour
piano, de A. Webern.

±
Illustration non autorisée à la diffusion
#♦•
■t» ■ -io re' sol la, si jo. r . $d si
dièse bémol dièse
Cette écriture est régie par une grammaire qui établit l'ordre
de succession de tous les sons, de telle sorte qu'aucun son
de la série ne soit répété avant que tous les autres n'aient été
écrits une fois.

La musique sérielle est l'application de la règle dodécaphonique


non seulement pour les sons, mais aussi pour le rythme, les
nuances, etc.

Le rôle des signes dans la notation traditionnelle


Toutes ces musiques sont inscrites sur un graphe (la portée de
5 lignes) ayant en ordonnée les sons et, en abscisse, le
déroulement du temps (les barres verticales sur la portée indiquent
Graphisme 31

la fin de la « mesure », la mesure étant une unité de temps


donnée).
Des signes annexes, à l'intérieur, au-dessus ou au-dessous de
la portée, sont destinés à préciser :
— la vitesse à laquelle il faut lire la partition (le livre) ;
— la dynamique (ou la puissance du son) ;
— les attaques : comment jouer un son ;
— la façon d'interpréter le morceau : doux, violent, etc.,
notés par des verbes ou des adjectifs, c'est-à-dire par le langage
littéraire et non plus par des signes. Ces signes annexes,
d'ailleurs, deviennent l'objet de règles d'écriture dans la musique
sérielle.
On peut noter, à l'heure actuelle, qu'une cinquantaine de signes
sont utilisés dans l'écriture de la musique traditionnelle, non
compris les lettres, les chiffres et. les mots. Néanmoins, on
ne peut être que surpris par ce chiffre dérisoire : plusieurs
siècles de musique avec une cinquantaine de signes !

LE MONDE MODERNE : SON NOUVEAU LANGAGE


Durant ces deux derniers siècles, le bruit, progressivement,
s'installe dans notre vie quotidienne : une multitude de bruits,
de bruits nouveaux. Un instrument comme le violon, dans cet
univers, perd de son intensité et se révèle de moins en moins
fidèle, sinon à l'esprit des compositeurs, du moins à la
reproduction de sons de plus en plus complexes.
La « marée noire » du bruit-machine a amené un groupe
d'hommes, les bruitistes italiens, à créer un concert de bruits :
leurs expériences ont duré de 1914 à 1921.

Les cinéastes font de la musique

Déjà Kandinsky cherchait à traduire graphiquement des


partitions traditionnelles (exemple page 32), tandis qu'Eisenstein
(cinéaste, auteur de Octobre) essaye de réaliser une partition
graphique tenant compte des mouvements de la caméra, des
acteurs, des jeux de lumière et de la musique. De même que des
personnes comme Moholy Nagy (photographe), Fischenger
(cinéaste), les frères Withney (cinéastes) et Mac Laren
Le graphisme dans la musique

Cinquième symphonie de Beethoven


traduite graphiquement par Kandinsky : exemples.
01
j j j i j i t j j

Ce thème traduit en points

••

Illustration non autorisée à la diffusion


Ce thème traduit en points

*, J , j J
r r

Le deuxième thème traduit en points

Extrait de Kandinsky : « Point-ligne-plan », Œuvres (Gonthier-Denoël, Paris, 1971).


Graphisme 33

Un sol dièze
dessiné pan Mac Laren.
Mac Laren dessine des sons
sur une pellicule et,
après réduction,
il la copie
sur la piste sonore du film,
laquelle est lue
par le système optique
du projecteur.
Quand les deux bords
sont complètement ouverts,
la note est à 100% de son volume
ou, en terme musical, ■ fff »
(amplitude maximale).

(cinéaste canadien) tentent, par différents moyens, d'obtenir


de la musique à partir de la pellicule cinématographique.
L'exemple le plus célèbre, peut-être, marquant la visualisation de
la musique est celui de la « piste sonore » du film très
contestable et contesté de Walt Disney « Fantasia » (1940). Le son du
basson, de la flûte, de la harpe était représenté. Disney fait croire
qu'il nous montre la « piste sonore » d'un film, alors qu'il
transpose le son en intensité colorée et en forme. « Toccata et fugue »
de J.S. Bach sont illustrées dans le même film par les
mouvements de formes abstraites.
En 1935, Ch. Blanc-Gatti, de Lausanne, avait déjà présenté au
Congrès international de cinéma scientifique « son et couleur »,
jeux de formes et de couleurs synchronisées avec la musique.
« Fantasia » lui doit beaucoup.

UTILISATION DU GRAPHISME DANS LA MUSIQUE


L'écriture traditionnelle, à travers la musique sérielle, voit son
exigence de précision, de finesse dans le détail des structures
se renforcer si impérieusement que la musique graphique —
disons : l'utilisation du graphisme dans la musique — et les
musiques improvisées vont paraître comme une réaction et
comme une libération.
Les compositeurs allaient se tourner tout naturellement vers
le dessin comme mode de représentation de leur création.
Le graphisme dans la musique

Un transcription plus facile

En effet, le dessin semble être le moyen le plus efficace pour


traduire ce qui est acoustique. La notation traditionnelle, par
exemple, ne peut pas transcrire le son du tam-tam : elle ne
peut en indiquer que le commencement et la fin, sans pouvoir
rendre compte de l'évolution et des variations de ce son d'une
façon simple. En revanche, le graphisme résoud facilement ce
genre de difficulté.
Voici en exemple la partition Four Visions, de R. Moran
(compositeur américain), encore que, dans ce morceau, la
représentation graphique soit faite pour plusieurs instruments (flûte, harpe,
quatuor à cordes) et de ce fait offre plus de variations quant
à l'interprétation du son que pour un seul instrument.

Extrait de « Four Visions »


Cette page peut se lire de droite à gauche.
Les instrumentistes sont libres de jouer l'un ou l'autre signe,
à condition de les jouer tous,
ce qui implique à la fois une constante et une variation de la musique :
— constante due à l'étroit champ de possibilités de varier le son
(le dessin définit avec précision \a catégorie sonore) ;
— variation due aux différentes superpositions des signes, chacun
des instrumentistes ne jouant pas le même signe en même temps.

Une interprétation plus « ouverte »

S'il fallait trouver une nouvelle notation musicale pour


transcrire des sons nouveaux, il fallait aussi, en réaction contre la
rigidité de l'interprétation traditionnelle, trouver le moyen de
« libérer » l'exécutant.
L'exemple précédent {Four Visions) a déjà illustré cette notion
d'interprétation. En voici un autre, tiré de la partition Folio, de
E. Brown3, page « Décembre 1952 ».
3. E. Brown, compositeur américain qui a travaillé avec J. Cage ; œuvres : Corroborée,
Fveht, Synergie 2, Folio, etc.
Graphisme 35

« Folio », de E. Brown, page « Décembre 1952 »


Cette page, une des premières dans le genre de la musique graphique.
n'est pas limitée par un cadre.
Les signes sont lus comme étant des sons dont la durée
est proportionnelle à la longueur du signe
et la puissance proportionnelle à l'épaisseur du trait.
Cette feuille peut être lue dans un sens ou dans l'autre,
mais elle doit l'être rigoureusement.
Des conventions peuvent être établies par chaque musicien
lors d'une interprétation en groupe,
cela afin de pouvoir les respecter lors d'un concert.

Illustration non autorisée à la diffusion


Le graphisme dans la musique

••«••*••.
J. Cage : « Cartridge Music 4 »

o
Illustration non autorisée à la diffusion


Cette
la page
première
page de
est fond
composée
page comporte
transparente
de quatre
des posée
formes
feuilles
surdessinées
dont
la précédente
trois; sont transparentes
comporte :

une ligne de pointillés ;


— la deuxième page transparente comporte des petits cercles ;
— la dernière page transparente des points.
En outre, sur une autre page est dessiné un cadran horaire.
La durée de la pièce est déterminée par la ligne pointillée
et le cadran horaire.
La lecture de la partition est pluri-dimensionnelle,
d'où les variations de la même pièce à différents concerts.
Donnons un exemple de lecture :
partout où se trouve un point à l'intérieur d'une forme dessinée,
il faut agir à l'intérieur des excitateurs sonores.
On appelle excitateur sonore n'importe quel instrument,
mais aussi objet : table, casserole, etc. ;
lorsqu'il est précisé « à l'intérieur » ou « à l'extérieur » de
l'excitateur sonore, c'est que le son n'est pas le même
si l'on frappe à l'intérieur d'une casserole ou à l'extérieur.
A propos de cette partition, une remarque s'impose :
la qualité instrumentale n'est pas définie ;
la forme dessinée de la page de fond peut tout aussi bien
être un instrument, un objet, un lieu : une salle à manger ou
une conférence, etc.
4. J. Cage, compositeur américain qui a travaillé pendant douze ans à l'aide du graphisme.
II s'est rendu célèbre par ses innovations dont le « Piano préparé» est la plus connue.
Œuvres : « Imaginary Landscape 3 », « 4' 33" », « Water Music », c 45' for a speaker », etc.
Graphisme 37

Un autre mode de pensée

Le graphisme musical peut être considéré comme un processus


autre de composer, comme un processus autre d'imaginer ou
encore comme un autre mode de pensée. Par exemple, avec
J. Cage, dans Cartridge Music (page ci-contre).
De cet exemple, nous pouvons tirer un des théorèmes de la
musique graphique : « Un champ instrumental définit un champ
de possibilités de variations. » Et c'est la raison pour laquelle
il n'est généralement pas donné de listes instrumentales dans
les musiques graphiques.

Où ie graphisme rend des services


Depuis la dernière guerre, il est apparu un nouveau genre
musical, dont les sons qui servent de vocabulaire sont soit
naturels puis enregistrés sur bandes magnétiques (musique
concrète), soit produits par un générateur (musique
électronique).
A priori, il ne semble pas nécessaire de réaliser une partition,
ces musiques étant directement utilisées sur bandes
magnétiques. Toutefois, il est quelquefois fait appel à la description
sur papier, en cas, par exemple, de destruction de la bande
magnétique originale.
Cette représentation sous forme de graphe indique en
ordonnée les fréquences et en abscisse le temps ; le dessin des
sons et de leurs évolutions est représenté par des segments
de droite qui parcourent le graphe d'une fréquence à l'autre,
ou sur la même fréquence. A ce graphe est parfois superposé
un autre graphe pour indiquer la puissance du son. Cette
notation est plus spécialement utilisée pour l'électronique.
Stockhausen : « Electronische Studie II »

3 5 t l Si î ï » 5
Le graphisme dans la musique

Deux tentatives
d'analyse graphique du son

Tentative du Groupe de recherches musicales de l'O.R.T.F.


La complexité des sons concrets (bruits de voiture, porte
qui grince, etc.) a amené les chercheurs de ce groupe à en
faire une analyse typologique. Si l'analyse des critères de
formes (la forme que l'on peut reconnaître d'un son) et de
masse (ou la place que le son occupe dans l'échelle des
fréquences) s'avère très claire, la. dénomination qui a été
donnée à chaque catégorie typologique du son est impropre
à l'utilisation en composition. En effet, si une dénomination
consonale peut être un moyen clair de classifier les objets
d'une analyse, elle est par contre difficile pour une
perception immédiate par l'œil et l'imagination.

Critère Note ordinaire NT où N peut être une note de violon


de masse Note complexe X X peut être un coup de frein
Note variée Y Y peut être un glissando
N"
Critère X' X" N' un
N" uneroulement
note piquée
de (pizz)
tambour
de facture

Groupe d'acoustique musicale de la Faculté des sciences.


Il a tenté de transcrire graphiquement, et d'une façon claire,
les sons entendus.
Pour cela, il a été utilisé un appareil : le Sonagraphe, lequel
« permet de faire l'analyse simultanée des trois dimensions
de tout signal acoustique : la fréquence en ordonnée, le
temps en abscisse et l'intensité proportionnelle à la largeur
et à la noirceur du trait. » Si la traduction est claire pour ce
qui est de la représentation graphique d'une seule voix, déjà
la traduction de deux instruments laisse à désirer quant à sa
lisibilité.

Analyse du son par le sonographe

Vifc>raro
Graphisme 39

Analyse de la voix par le sonographe

-10s.

Deux instruments : la voix et le tampoura (instrument à percussion


hindou).

M2 ÏC M ^lvlE KW*i- (Ta na). CHAN1 ET TAMPOURA


3ooo -

2500

5000-

ASoo-

-dooo-

5oo

3 secondes
Le graphisme dans la musique

GRAPHISME MUSICAL ET MUSIQUE GRAPHIQUE


Dans les pages précédentes, il a surtout été question de la
notation dans les musiques graphiques ; c'est ce que l'on a
appelé le « graphisme musical ». L'expression « graphisme
musical » recouvre de ce fait tous les signes écrits.
En réalité, son sens est plus restreint. Le « graphisme musical »
désigne toute musique graphique à base de signes aux formes
géométriques précises, chargés d'un réfèrent et d'un ordre5.
Ces signes rejoignent, par leurs dessins, ceux de la notation
traditionnelle : en quelque sorte, ils en sont l'évolution logique
et historique.

Exemple de graphisme musical

Partition « II Nudo », de Bussotti

L'expression « graphisme musical » est finalement réservée à ce


style de musique.

Par opposition, la « musique graphique » est l'expression


employée pour toutes les musiques utilisant des formes
géométriques ou des dessins non codifiés. Nous l'avons vu dans les
exemples précédents : c'est le compositeur qui donne son
vocabulaire.
On peut facilement imaginer la diversité des tendances et, de ce
fait, la diversité des langages ; chaque compositeur va inventer
ou développer sa « graphie », celle qui lui paraîtra la plus
représentative des sons, des actions, des intentions..., voire de
l'inspiration.
Cette profusion de signes * entraîne une certaine confusion;
plusieurs signes pour une même signification, plusieurs
significations pour un seul signe, de sorte que la « signalisation »
graphique demande un commentaire généralement long, pour
expliquer ce qu'il faut jouer dans telle ou telle partition. De
plus, l'interprète n'est pas un homme-mémoire et il lui faut
parfois un certain courage, qui n'est pas toujours récompensé.

5. Voir note 2.
6. Plus de 700 signes sont notés dans le livre Dos Schriftbild der neuen Musik, de
E. Karkoshscka (Editions Moeck).
Graphisme 41

Exemples de musique graphique

10' 10" 15» 20» 25" 30» 35" 40» 45» SO»

Dynapolis de anestis logothetis


Le graphisme dans la musique

Y a-t-il une possibilité d'organiser un « solfège » cohérent et


pratique, qui puisse servir de soutien à l'imagination ? Il paraît
difficile de trouver une solution au problème de la « musique
graphique » qui, si l'on se réfère à la définition de H. Pousseur,
et une « libre improvisation », ou à celle de J. Cage, une «
programmation des événements » : ce genre de musique reste en
effet du domame de l'irrationnel.
En revanche, dans les compositions de style « graphisme
musical », il; est très possible de penser à une classification, à une
organisation de.s signes, grâce à l'ordinateur, sans doute.
Eric Brabant.

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