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 Axe de visée, axe de collimation : ligne passant par les foyers de l’objectif

d’une lunette et le point de mesure en correspondance avec le réticule.


 Basculement : la lunette du théodolite est tournée de 200 gr autour de l’axe
horizontal pour éliminer les erreurs instrumentales.
 Calage et mise en station : opération effectuée par l’opérateur pour amener
l’axe vertical de l’appareil à l’aplomb d’un repère sur le sol.
 Correction : valeur algébrique à ajouter à une valeur observée ou calculée
pour éliminer les erreurs systématiques connues.
 Croisée du réticule : croix dessinée sur le réticule représentant un point de
l’axe de visée.
 Erreur de fermeture : écart entre la valeur d’une grandeur mesurée en
topométrie et la valeur fixée ou théorique.
 Fils stadimétriques : lignes horizontales marquées symétriquement sur la
croisée du réticule. Elles sont utilisées pour déterminer les distances à partir
d’une échelle graduée (mire) placée sur la station.
 Hauteur de l’appareil : distance verticale entre l’axe horizontal de l’appareil
et celle de la station.
 Implantation : établissement de repères et de lignes définissant la position et
le niveau des éléments de l’ouvrage à construire.
 Levé : relevé de la position d’un point existant.
 Lunette : instrument optique muni d’une croisée de réticule ou d’un réticule,
utilisé pour établir un axe de visée par l’observation d’un objet de mesure.
 Mesurage : opération déterminant la valeur d’une grandeur.
 Nivelle : tube en verre scellé, presque entièrement rempli d’un liquide
(alcool) dont la surface intérieure a une forme bombée obtenue par moulage,
de sorte que l’air enfermé forme une bulle qui prend différentes positions
suivant l’inclinaison du tube.
 Nivellement ou altimétrie : est l’ensemble des opérations topographiques qui
permet de déterminer l'altitude d'un point à partir de l'altitude connue d'une
référence, après avoir calculé la dénivelée entre ces deux points.
 La planimétrie : opération qui a pour but de représenter la projection, sur un
plan horizontal, de tous les points situés sur le terrain. Pour cela on mesurera
les distances séparant les différents points les uns des autres ainsi que les
angles pour rattacher ces différents points.
 Repères : points dont on connaît les coordonnées.
 Réticule : disque transparent portant des traits ou des échelles. Il permet
d’effectuer correctement des lectures.
 Signal, balise : dispositif auxiliaire pour indiquer l’emplacement d’une
station (par un jalon).
 Station : tout point à partir duquel ou vers lequel on effectue une mesure.
Cela peut être un point spécifié sur un bâtiment ou un point marqué dans la
zone d’étude.
 Tolérance : variation admissible pour une dimension.
 La géodésie est une des sciences de base nécessaires au topographe. Sa
maîtrise n’est pas indispensable : elle relève du domaine du spécialiste mais
un aperçu centré sur les incidences de la forme et des caractéristiques de la
terre sur la topographie est indispensable. Ceci permet d’introduire et de
justifier les problèmes de projection plane et leurs incidences sur la carte de
base, les choix de points et de surfaces de référence pour un système de
coordonnées général, etc. Mais, définissons dans un premier temps, le
vocabulaire de base.
 Topométrie : du grec topos signifiant le lieu et métrie signifiant l’opération
de mesurer. C’est donc l’ensemble des techniques permettant d’obtenir les
éléments métriques indispensables à la réalisation d'un plan à grande ou très
grande échelle. Ces éléments nécessitent différentes mesures sur le terrain,
suivi de nombreux calculs, schémas et croquis. C’est un domaine vaste qui
demande de nombreuses compétences auxquelles l’outil informatique est
aujourd’hui indispensable.
 Topographie : association de topos et de graphie qui, en grec, signifie
décrire. C’est donc la science qui donne les moyens de représentation
graphique ou numérique d’une surface terrestre. La nuance entre ces deux
techniques réside dans le fait qu’en topographie le terrain est représenté in
situ alors qu’en topométrie les calculs et reports sont des phases ultérieures
au travail sur le site.
 Topologie : c’est la science qui analyse les lois générales de la formation du
relief par les déformations lentes des aires continentales appelées
mouvements épirogéniques, atténués ultérieurement par les actions externes :
érosion due à la mer, au vent, à la glace, à l’eau et à la neige.
 Géodésie : c’est la science qui étudie la forme de la terre. Par extension, elle
regroupe l’ensemble des techniques ayant pour but de déterminer les
positions planimétriques et altimétriques d’un certain nombre de points
géodésiques et repères de nivellement.
 Le Levé Topographique : C’est l’ensemble des opérations destinées à
recueillir sur le terrain les éléments nécessaires à l’établissement d’un plan
ou d’une carte. Un levé est réalisé à partir d’observations : actions d’observer
au moyen d’un instrument permettant des mesures ; par extension, « les
observations » désignent souvent les résultats de ces mesures. La phase d’un
levé topographique, ou d’une implantation, qui fournit ou utilise les valeurs
numériques de tous les éléments planimétriques et altimétriques est appelée
topométrie ; Généralement, la topométrie est la technique de levé ou
d’implantation mise en oeuvre aux grandes et très grandes échelles.
 Lever de détails : Le lever(ou levé) de détails est l’ensemble des opérations
intervenant dans un lever topographique et consistant à déterminer à partir
des points du canevas d’ensemble, polygonal ou de détails, la position des
différents objets d’origine naturelle ou artificielle existant sur le terrain. Le
levé, nom donné au document résultant d’un lever, est destiné,
éventuellement après traitement numérique, à l’établissement de plans
graphiques ou numériques : c’est la phase de report.
 Les calculs topométriques : Ils traitent numériquement les observations
d’angles, de distances et de dénivelées, pour fournir les coordonnées
rectangulaires planes : abscisse X, ordonnée Y et les altitudes Z des points
du terrain, ainsi que les superficies ; en retour, les calculs topométriques
exploitent ces valeurs pour déterminer les angles, distances, dénivelées non
mesurées, afin de permettre notamment les implantations.
 Cartographie : c’est l’ensemble des études et opérations scientifiques,
artistiques et techniques intervenant à partir d’observations directes ou de
l’exploitation d’un document en vue d’élaborer des cartes, plans et autres
moyens d’expression.
 Canevas : c’est l’ensemble des points connus en planimétrie et/ou en
altimétrie avec une précision absolue homogène.
 Ellipsoïde : c’est la surface engendrée par l’ellipse tournant autour de son
petit axe.
 point fondamental : est un point origine conventionnel du système
géodésique, déterminé par méthodes astronomiques, c'est-à-dire, en
particulier, où la verticale physique est assimilée à la normale à l'ellipsoïde.
Ce dernier est également lui-même l'objet d'un choix conventionnel.
 Indicatrice de Tissot : On appelle ainsi l’image sur le plan de projection
d’un petit cercle dessiné sur l’ellipsoïde. Cette image donnera des indications
sur la déformation des longueurs autour du centre du cercle. Le cercle est
transformé en une figure plus ou moins ovale.
 Le théodolite : L’appareil de base pour les mesures d’angles. Il est
essentiellement constitué, en plus de la lunette de visée, de deux cercles : un
horizontal et un vertical.
 Axe principal : il doit être vertical après la mise en station du théodolite et
doit passer par le centre de la graduation horizontale (et le point stationné).
 Axe secondaire : (ou axe des tourillons), il est perpendiculaire à (P) et doit
passer au centre de la graduation verticale.
 Axe optique : (ou axe de visée), il doit toujours être perpendiculaire à (T),
les trois axes (P), (T) et (O) devant être concourants.
 L'alidade : c’est un ensemble mobile autour de l’axe principal (P)
comprenant le cercle vertical, la lunette, la nivelle torique d’alidade et les
dispositifs de lecture (symbolisés ici par des index).
 Cercle vertical : (graduation verticale). Il est solidaire de la lunette et pivote
autour de l’axe des tourillons (T).
 Cercle horizontal ou limbe : (graduation horizontale). Il est le plus souvent
fixe par rapport à l’embase mais il peut être solidarisé à l’alidade par un
système d’embrayage (T16) : on parle alors de mouvement général de
l’alidade et du cercle autour de (P) ; c’est le mouvement utilisé lors du
positionnement du zéro du cercle sur un point donné. Lorsqu’il est fixe par
rapport au socle, on parle de mouvement particulier : c’est le mouvement
utilisé lors des lectures angulaires. Sur le T2, un système de vis sans fin
permet d’entraîner le cercle et de positionner son zéro.
 Erreur d’index de cercle vertical : L’index du cercle vertical n’est pas situé
sur la verticale du centre du cercle. Cette erreur peut être éliminée par double
retournement ou par l’utilisation d’une nivelle d’index. Sur les appareils
récents, un automatisme utilisant l’action de la pesanteur minimise ce défaut.
 Erreur d’excentricité du viseur : L’axe de visée ne coupe pas l’axe
principal ou l’axe secondaire. Cette erreur est éliminée par double
retournement.
 Collimation horizontale : La collimation horizontale est notée c. L’axe de
visée OP n’est pas perpendiculaire à l’axe secondaire (T). Ce défaut de
perpendicularité c induit une erreur ε sur l’angle horizontal. L’angle i n’est
pas affecté par cette erreur : la projection de i sur le plan vertical xOz reste
inchangée. La ligne de visée décrit un cône d’axe (T) et d’angle au sommet
(200 – 2c). Les angles horizontaux et verticaux sont lus dans le plan vertical
OPh alors qu’ils devraient être lus dans le plan vertical Oxz.
 Erreur de calage de l’axe principal : Le calage parfait de l’axe principal est
très difficile à réaliser : il n’est jamais parfaitement vertical. Ceci entraîne un
défaut d’horizontalité t’ de l’axe secondaire, défaut qui ressemble à un défaut
de tourillonnement, entraînant sur l’angle horizontal une erreur ε dans la
mesure des angles horizontaux de la forme : sinε = sint′. tani, comme pour le
tourillonnement.
 Erreurs de lecture : Pour éviter ce type d’erreur, il faut soigner la lecture
sur vernier et effectuer des doubles lectures. Les appareils électroniques à
affichage digital limitent les erreurs de lecture et les erreurs de retranscription
(en particulier s'ils sont munis d’une interface informatique).
 Erreur de dérive du zéro : Cette erreur est due à la torsion du trépied : les
trépieds en bois (ou en métal) étant peu massifs (pour faciliter leur transport)
et relativement peu rigides, il existe des phénomènes de torsion du trépied
dus aux passages et aux manipulations de l’opérateur, aux dilatations
différentielles des pieds sous l'effet du soleil, etc. Ces phénomènes entraînent
une dérive du zéro qui peut affecter des mesures de très grande précision
(dmgon).
 Déplacement accidentel de l’appareil : C’est par exemple un déplacement
dû à un choc sur un pied. Le contrôle s’effectue en refermant chaque série de
lectures angulaires sur le point de départ (fermeture d’un tour d’horizon).
Cette manipulation permet aussi de contrôler la dérive du zéro traitée au
paragraphe précédant.
 Le double retournement : C’est une manipulation consistant en un demi-
tour simultané de la lunette et de l’alidade. Cette technique de mesure
permet d'éliminer certaines erreurs systématiques et de limiter les fautes de
lecture. Lors d’une mesure d’angle horizontal, cela permet :
 de doubler les lectures et donc de diminuer le risque de faute de lecture ;
 de ne pas toujours lire sur la même zone du limbe, donc de limiter l’erreur
due aux défauts de graduation du limbe ;
 d’éliminer les défauts de collimation horizontale et de tourillonnement.
L’erreur de centrage sur le point de station et l’erreur de calage de l’axe
vertical ne sont pas éliminées par cette manipulation. Il convient donc de
soigner ces opérations.
 Tour d'horizon : Le tour d’horizon est le résultat final de la combinaison
des observations angulaires (séquences) en une même station et rapportées à
une même référence (dans nos exemples le point R). Lors du calcul, on
détermine la valeur moyenne de l’écart sur la référence : c’est la somme
algébrique de tous les écarts de lecture d’une même paire divisée par (n + 1),
n étant le nombre de directions visées y compris la référence.
 Paire de séquences réduite : C’est une paire de séquences sans fermeture et
sans décalage du limbe. On l’utilise en lever de détails ou pour la mesure
d’angles uniques, par exemple en polygonation ordinaire.
 Le G0 de station (noté aussi V0) : est une constante d'orientation de la
station S qui, ajoutée à une lecture d'angle horizontal sur un point P visé,
donne le gisement de la direction SP. C'est aussi le gisement du zéro du
limbe, soit l'angle entre la direction de l'axe des ordonnées du repère Lambert
et le zéro du limbe de l'appareil stationné
 Mesures stadimétriques : La stadimétrie est une méthode moins précise que
les précédentes. Elle permet la mesure indirecte d’une distance horizontale en
lisant la longueur interceptée sur une mire par les fils stadimétriques du
réticule de visée. Le point A, centre optique d’un théodolite, est situé à la
verticale du point stationné en S ; l’opérateur vise une mire posée en P et
effectue la lecture interceptée par chaque fil sur la mire soit m1 et m2.
 Nivellement : est une opération topographique qui permet de déterminer
l’altitude des points du terrain à partir d’un point de référence (Point dont on
connaît l’altitude).
 Mire : C’est une sorte de règle plate pliable possédant une ou plusieurs
graduations.
 Nivellement par rayonnement : se fait à partir d’une seule station.
On détermine les altitudes des points environnant (ici A, B, C et D) par
rapport à un point de référence (ici Réf). Tous les points rayonnés sont des
lectures avant, seul le point de référence est une lecture arrière.
 Nivellement par cheminement : se réalise en plusieurs stations pour
lesquelles on effectue un nivellement direct. Le point de visée avant devient
suite à la progression point de visée arrière. Le cheminement peut être utilisé
lorsque le point d’arrivée n’est pas accessible en une seule station pour
différentes raisons (distance, obstacles, dénivelée..). On intercale alors
plusieurs points (A, B) de manière à pouvoir calculer l’altitude du point final
voulu.
 Nivellement mixte : est une combinaison du nivellement cheminé et du
nivellement par rayonnement.
 L’implantation : est l’opération qui consiste à reporter sur le terrain, suivant
les indications d’un plan, la position de bâtiments, d’axes ou de points isolés
dans un but de construction ou de repérage. La plupart des tracés
d’implantation sont constitués de droites, de courbes et de points isolés.
 Un alignement : est une droite passant par deux points matérialisés au sol.
 La triangulation : est une technique permettant de déterminer les éléments
d’une figure en la décomposant en triangles adjacents dont l’opérateur
mesure les angles au théodolite, dont il assure les fermetures angulaires et
dont un côté au moins est connu ou déterminé.
 Intersection : Un point intersecté M est un point non stationné que
l’opérateur vise depuis des points anciens connus en coordonnées A, B, C, D,
encore appelés points d’appui, de manière à déterminer les gisements des
visées d’intersection. On ne pourra connaître précisément ces gisements que
si on détermine les G0 des points d’appui.
 Relèvement : Un point relevé est un point stationné depuis lequel l’opérateur
effectue un tour d’horizon sur des points anciens connus.
 Le recoupement : est le procédé qui utilise simultanément l’intersection et le
relèvement pour la détermination d’un point. Est déterminé par recoupement
à partir de trois visées d’intersection et trois visées de relèvement.
 L’insertion : est un procédé qui utilise l’intersection, le relèvement et la
multilatération pour la détermination d’un point.
 Point nodal, intersection d’au moins trois cheminements à longs côtés :
Cette méthode permet de remplacer les méthodes précédentes quand la nature
du terrain interdit la réalisation d’un réseau de triangles.
Seuls les points nodaux, définis comme les points de rencontre d’au moins
trois cheminements à longs côtés, remplacent les points du canevas que l’on
aurait déterminés par triangulation ou trilatération.
 Un point lancé (ou point rayonné) : est un point hors cheminement, visé
directement depuis un point connu.
 Un point nodal : est l'aboutissement d'au moins trois antennes. Ces antennes
sont appelées demi-cheminements. Si les coordonnées des sommets sont
calculées dans le système Lambert général, le cheminement est qualifié de
rattaché. S’il n'est pas rattaché, un cheminement est indépendant.
 Compensation angulaire : C’est l’opération qui consiste à répartir l'écart de
fermeture angulaire sur tous les angles observés. On ne peut compenser
angulairement un cheminement que si l'écart de fermeture angulaire est
inférieur à la tolérance réglementaire. Si ce n’est pas le cas, la manipulation
doit être reprise en entier car il s’agit d’une faute.
 Chaque lever : de détails doit s’accompagner d’un croquis de levé aussi
précis, soigné et descriptif que possible. Ce croquis est d’une aide précieuse,
voire indispensable, lors de l’établissement du plan définitif.
 Le GPS (Global Positioning System) : est un ensemble de 24 satellites qui
orbite vers 20000 km d'altitude. Ils émettent en permanence des signaux
radioélectriques. Au niveau du sol, on emploie des récepteurs des ces
signaux. Il faut observer au moins 4 satellites.
 Le SIG (Système d'information géographique) :c'est l'exploitation des
données graphiques par ordinateur. Ces données sont structurées en couches
parfaitement superposables. Il permet de gérer à la fois la partie graphique
(lieu) et d'autres données s'y rapportant tels nombre d'habitants, etc.
 Le mot topographie : vient du grec, topos (le lieu) et graphein (décrire). La
topographie est l'ensemble des opérations qui permettent la représentation
graphique de la configuration du terrain avec tous les détails qui s'y trouvent.
 La géodésie : est la science qui étudie la forme de la Terre. Par extension,
elle regroupe l'ensemble des techniques ayant pour but de déterminer les
positions planimétriques et altimétriques d'un certain nombre de points
géodésiques et repères de nivellement.
 La photogrammétrie : est l'ensemble des techniques et méthodes permettant
de restituer la géométrie d'un objet à partir d'images aériennes.
 La cartographie : est l'ensemble des techniques et méthodes permettant
d'élaborer des cartes et plans.
 La planimétrie c'est l'exécution et l'exploitation des observations et mesures
qui permettent de représenter sur un plan horizontal les détails situés à la
surface du sol.
 L'Altimétrie c'est l'exécution et l'exploitation des observations qui
conduisent à la représentation du relief du sol.

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