rnández keeps an ace in his sleeve if he arrives at the Casa Rosada: China's eventual financial

rescue

The presidential candidate of the Frente de Todos evaluates Beijing's economic aid for 5G
Fernández garde un as dans sa manche s'il arrive à la Casa Rosada: le sauvetage financier de la
Chine

Le candidat à la présidence du Frente de Todos évalue l'aide économique de Beijing aux

projets d'infrastructure, de crédit et de technologie 5G

Par Martín Dinatale

31 août 2019

mdinatale@infobae.com

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Xi JInping, dirigeant chinois: l'approche à Alberto Fernández, candidat à la présidentielle du

Frente de Todos.

Xi JInping, dirigeant chinois: l'approche à Alberto Fernández, candidat à la présidentielle du

Frente de Todos.

Alberto Fernández sait que s'il arrive à la Casa Rosada, il devra restructurer sa dette avec le
Fonds monétaire international (FMI) et faire face à des années compliquées avec l'Argentine
aux prises avec la crise économique et financière. Cependant, Fernandez a déjà un atout pour
accompagner la négociation complexe avec le FMI: un financement potentiel de la Chine pour
faire face à une tempête politique aux conséquences sans précédent.

Le candidat à la présidence du Front de tous cherchera un renflouement économique pour

Pékin s'il remporte l'élection et doit négocier une extension de l'accord de confirmation signé
par Mauricio Macri avec le FMI. Cette stratégie a été confirmée à Infobae par les analystes de
politique étrangère du Frente de Todos et son référent économique Guillermo Nielsen, qui
parlent déjà du "sauveteur financier appelé Chine".

S'agissant d'une question complexe de géopolitique, où la guerre commerciale entre la Chine

et les États-Unis apparaît toujours, la nouvelle stratégie financière de Fernández s'inscrit dans
les coulisses et avec les plus grandes réserves diplomatiques.
Dans ce contexte, Infobae a confirmé que Fernández avait tenu une réunion informelle avec
l'ambassadeur de Chine en Argentine, Zou Xiaoli, au cours duquel ils ont parlé des relations
futures entre les deux pays. C'était avant STEP, et l'engagement était de reprendre les
discussions à la fin du scrutin.

Cependant, le porte-parole du candidat à la présidence du Front de Tous, Juan Pablo Biondi, a

nié l'existence de cette réunion et précisé que "pour le moment, Alberto ne parlera pas de la
Chine".

Ce conclave informel n'apparaît pas sur la page officielle de l'ambassade de Chine, tandis que
le secrétaire politique du siège diplomatique, Yi Yuanging, assurait Infobae qu'il ne se
souvenait pas de la réunion entre Fernandez et l'ambassadeur Zou.

Depuis l'époque de Mao, lorsque la diplomatie était réservée entre Pékin et les Etats
occidentaux, leurs ambassadeurs ne nient jamais les réunions avant une question des
journalistes. Ils ont juste dit: "Je ne me souviens pas."

Jorge Taiana, ancien chancelier de Cristina Kirchner et conseiller actuel d'Alberto Fernández a
également rencontré l'ambassadeur de Chine. Il en a été de même de plusieurs référents en
matière de politique étrangère du Homeland Institute avec l’Ambassadeur Zou, qui ont évoqué
la nécessité de renforcer les liens entre les deux pays.

"Nous ne devrions pas nous impliquer dans la lutte entre la Chine et les Etats-Unis car ce n'est
pas notre problème. Ce que je dirais, c'est que les Etats-Unis veulent que la Chine ne pénètre
pas en Amérique latine, pour donner à l'Amérique latine l'attention qu'elle lui porte Cela ne
peut pas nous demander d’abandonner des investissements qu’il ne couvre pas non plus ", a
déclaré Fernandez aux médias locaux.

Dans ce scénario, l'assistance financière éventuelle de la Chine à un éventuel gouvernement

Fernández pourrait être un outil nécessaire face à la crise économique et financière. Le
candidat à la présidence sait déjà que la négociation avec le FMI sera longue et ardue.

L'économiste Nielsen - qui conseille Fernandez sur la question de la dette extérieure - a utilisé
une métaphore pour parler d'un possible sauvetage de la Chine. "Le monde financier est
comme un océan. On peut plonger dans des eaux plus profondes: il existe aujourd'hui des
ressources. Il est facile à financer. Fondamentalement, il y a le G7, la Chine, les Tigres
asiatiques. Tout le monde a accès à un réservoir de ressources très importantes." , a-t-il
dit.infrastructure, credit and technology projects

By Martín Dinatale

August 31, 2019

mdinatale@infobae.com

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Xi JInping, Chinese leader: the approach to Alberto Fernández, presidential candidate of the
Frente de Todos.

Xi JInping, Chinese leader: the approach to Alberto Fernández, presidential candidate of the
Frente de Todos.

Alberto Fernández knows that if he arrives at Casa Rosada he will have to restructure the debt
with the International Monetary Fund (IMF) and face complicated years with an Argentina
cornered by the economic and financial crisis. However, Fernandez already has an ace up his
sleeve to accompany the complex negotiation with the IMF: a potential financing from China
to weather a political storm of unprecedented consequences.

The presidential candidate of the Front of All will seek an economic bailout of Beijing, if he
wins the election and has to negotiate an extension of the Stand By Agreement closed by
Mauricio Macri with the IMF. This strategy was confirmed to Infobae by the foreign policy
analysts of the Frente de Todos and its economic reference Guillermo Nielsen, who already
speak of the "financial lifeguard called China."

As it is a complex issue of geopolitics, where trade war between China and the United States
always appears, Fernández's new financial strategy moves behind the scenes and with the
largest diplomatic reserves.

In this context, Infobae has confirmed that Fernández held an informal meeting with China's
ambassador to Argentina, Zou Xiaoli, where they talked about future relations between the
two countries. It happened before STEP, and the commitment was to resume the talks when
the electoral contest ended.
However, the spokesman of the presidential candidate of the Front of All, Juan Pablo Biondi,
denied that this meeting existed and clarified that "for now Alberto will not speak anything
about China."

This informal conclave does not appear on the official website of the Chinese embassy, while
the political secretary of the diplomatic headquarters, Yi Yuanging, assured Infobae that he did
not remember the meeting between Fernandez and Ambassador Zou.

Since Mao's time, when diplomacy was reserved between Beijing and the western states, their
ambassadors never deny the meetings before a question from journalists. They just said: "I
don't remember."

Jorge Taiana, the former chancellor of Cristina Kirchner and current advisor to Alberto
Fernández also held meetings with the Chinese ambassador. The same did several foreign
policy referents of the Homeland Institute with Ambassador Zou where they commented on
the need to strengthen ties between the two countries.

"We should not get involved in the fight between China and the United States because it is not
our problem. What I would say is that the United States wants China not to enter Latin
America, to give Latin America the attention that China gives it. It can't be asking us to give up
investments that he doesn't cover either, "Fernandez said to local media.

In this scenario, China's eventual financial assistance to a possible Fernández government may
be a necessary tool in the face of the economic and financial crisis. The presidential candidate
already knows that the negotiation with the IMF will be long and strenuous.

The economist Nielsen - who advises Fernandez on the issue of foreign debt - used a metaphor
to talk about a possible Chinese bailout. "The financial world is like an ocean. One can dive in
deeper waters: today there are resources. It is easy to finance. Basically, there is the G7, China,
the Asian Tigers. Everyone has access to a pool of very large resources." , he said.

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