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Diagraphie Cour

3 éme année production professionnel


Dr: Brahmia Nabil

Well Log
SP Resistivity
Généralités
Les diagraphies se sont les mesures enregistrées, continues ou
périodiques ,faites a l’aide d’appareillages appropriés, relative
soit a des caractères physiques ou chimiques des roches
traversées par le forage et des fluides qu’elles contiennent. Elle
présente une des méthodes les plus importantes pour analyser
la lithologie et la saturation liquide de la croute superficielle.
La méthode est utilisé par la pétrolerie pour évaluer la
quantité et la qualité du pétrole brut et du gaz.
Les diagraphies différées sont généralement présentées sous
forme de courbes traduisant la mesure effectuée avec un pas
d’échantillonnage décimétrique, centimétrique ou
millimétrique
But des diagraphies différées
La transcription graphique des paramètres physiques mesurés par
les outils de diagraphies différées permet l’étude tant qualitative
que quantitative des terrains traversé, contribuant ainsi:

 L’identification des roches potentiellement réservoirs et de leur


couvertures ainsi que l’analyse des conditions de dépôts de ces
sédiments.
Détermination de la nature et de la quantité des fluides que ces
roches contiennent.
Par la quantification des données géologiques, les diagraphies
permettent également une description des séries rencontrées et
une représentation des phénomènes sédimentaires.
On enregistre des diagraphies a plusieurs moments de la vie
d’un champs :

 Lors de la phase d’exploration.

En phase de développement du champs.

En phase de production.


DIAGRAPHIES DE RESISTIVITE

 Rappels classiques
 Laterolog (deep, shallow)
 Induction
 Microresistivités
Définition de la résistivité

La résistivité d’un milieu est la propriété physique qui détermine la capacité de


ce milieu à laisser passer le courant électrique (conductivité électrique).
C’est la résistance ohmique d’un cylindre de longueur (L) et de section (S)

R- résistance électrique, ohm (Ω)


L-longueur du cylindre
S-section du cylindre
ρ- résistivité , ohm.m (Ω.m)
S
L
La conductivité électrique d’une roche est essentiellement
électrolytique, c’est-à-dire grâce à l’eau qu’elle contienne.
Elle est directement proportionnelle à la saturation en eau
(Sw).
La résistivité d'une formation est un paramètre de base qui
reflète son contenu en fluides (eau ou hydrocarbures) et qui est
aussi une fonction :

de la porosité de la roche, de la salinité, de l'eau de formation,


de la teneur en argile, et de la résistivité de l'argile. Du fait que,
les formations perméables sont envahies par la boue de forage,
la valeur de la résistivité aux abords immédiats du sondage
n'est pas représentative de la résistivité réelle de la formation,
telle qu'elle était avant le forage.
D'autre part, la mesure de la résistivité de la zone envahie permet
une évaluation de la mobilité des hydrocarbures. c'est pourquoi, il
existe plusieurs types de diagraphie de résistivité ayant différentes
profondeurs d 'investigation,(profonde moyenne et faible)

La combinaison de trois mesures ayant différentes profondeurs


d'investigation, permet la détermination de la résistivité vraie
(Rt),de la résistivité de la zone lavée (Rxo), la résistivité de la zone
envahie (Ri) et le diamètre d'invasion (Di)
Principe de mesure de la résistivité

Le principe de base commun à toutes les diagraphies de résistivité


consiste à envoyer un courant électrique (i) dans le sol et mesurer la
différence de potentiel entre l’électrode de surface (référence) et
celle(s) descendue(s) dans le trou de forage.
V V
Sonde Source V Source
T
N
i
Source monoélectrode T
T
i i A

M B

E E
E

Lignes de courant Mesure de la ddp (E,M) en terme de Mesure de la ddp (E,B) et (E,A) et la
résistivité du milieu. surface. La mesure est plus précise.
Lignes équipotentielles
Evolution des outils de résistivité

Depuis le développement des diagraphies, vers les années en 1920


par les frères Schlumberger, une grande variété d’outils de résistivité
a été introduite mais les techniques de mesure de plus en plus
sophistiquées n’ont pas cessé de progresser jusqu’à nos jours.

 Les anciennes générations d’outils: courant non focalisé


Sonde Normales
Sondes latérales

 Les générations intermédiaires: courant focalisé


Les Laterologs

 Les dernières générations


On dispose ainsi d'une grande diversite d'outils de mesure de la
résistivité (et dont la combinaisonpermettra de determiner Rt, Rxo
et di ) dont on va étudier ci-après le principe, en faisant ressortir
pour chacun d'eux leurs caracteristiques propres (point de
mesure, rayon d'lnvestigation, définition verticale,facteurs
géométriques integres) et les facteurs‘ ’parasites ’’ encore appeles
effets d'environnement, affectant la mesure ou I'allure de la
courbe.
LES OUTILS DE RESISTIVITES
CONVENTIONNELS
1- PRINCIPE DE MESURE

• Le principe consiste en l'envoi de courant à


l'aide de 2 électrodes A et B, et
l'enregistrement d'un potentiel entre 2 autres
électrodes M et N. La mesure du potentiel
déterminera la résistivité
• Supposons un milieu infiniment épais et homogène au sein
duquel serait noyée une électrode d'envoi de courant (Fig.
ci-contre). Le courant I émis par I'électrode A se propagerait
également dans toutes les directions et porterait àun même
potentiel V tous les points situés à une même distance r de
A donc sur une même sphère centré sur A. La chute de
potentiel qui se produirait entre la sphère de rayon r + dr
serait:
-dv = RI /4pi r2 * dr
où R : Résistivitédu milieu
• Rdr / 4pi r2 : Résistance du milieu dr longueur dr, de surf.
4pi r2 et de Résist. R
2- Types de sondes

• 2 types d'arrangements sont employés:


• - Sonde normale.
• - Sonde latérale.
LA SONDE NORMALE
B- La sonde latérale

• Dans ce dispositif, les 2 électrodes de mesure


M et N sont voisines.
• L’espacement AO est de 18 pieds et 8 pouces
soit 5.70 m. Le point de référence de la mesure
est O.
• plus l’espacement est grand, plus le rayon
d’investigation est grand.
• La sonde latérale a une plus grande
investigation que les sondes normales.
Effet du trou
 Les outils de l’ancienne génération sont affectés par les conditions du trou et
l’épaisseur car le courant envoyé n’est pas focalisé.
 La résistivité enregistrée ne correspond pas réellement à celle de la couche :
c’est une moyenne des résistivité Rm, R0, R1 et R2 , d’où le développement des
outils à courant focalisé.

R2 R2
Rm

R0 R0

R1 Courbe théorique
Courbe mesurée R1

22
• Deux problèmes fondamentaux sont associés à
la sonde normale, à la fois lié au du trou de
forage, qui est normalement remplie d'un fluide
• Lorsque la boue de forage est conductrice et la
formation a une résistivité plus élevée que La
résistivité de la boue de forage donc les courant
électrique s’écoule dans la boue plutôt que la
formation
• Lorsque la boue de forage est conductrice et la
formation est résistante que la boue de forage
et les bacs adjacents le courant circule dans le
banc adjacent a faible résistivité.
• Dans ce cas la résistivité mesurée elle n est pas
de la résitivité de la formation mais c est la
résistivité du banc adjacent
4- Réponses de la sonde normale
• Le résistivité lue est en général inférieure à la
résistivité vraie.
• L'épaisseur des couches aux points d'inflexion
est plus petite que l'épaisseur vraie d'une
longueur AM dans le cas des bancs épais
résistants.
• et plus grande que l'épaisseur vraie d'une
longueur AM dans le cas des bancs
conducteurs
Couche épaisse résistante
Couche épaisse conductrice
Couche mince résistante

• Pour les couches minces résistantes il se


produit un phénomène d'inversion et la
couche apparaît comme conductrice.
• Ce phénomène ne se produit pas pour les
couches minces conductrices.
Couche mince résistante
5- réponses de la sonde latérale
• La sonde latérale fournit une courbe
dissymétrique qu'il s'agisse de couches
résistantes ou conductrices.
• La limite inférieure du banc est bien définie.
• L'épaisseur dans le cas de bancs épais
résistants est plus petite d'une longueur de
dispositif AO.
Couche épaisse résistante
Dans le cas de bancs conducteurs
épais
cette épaisseur est exagérée de la
longueur du dispositif AO
Les outils de résistivités focalisés
1- Introduction
• Les outils traditionnels sont très affectés
par les conditions du trou.
• l'influence importante des formations
adjacentes notamment pour les couches
minces
• La boue si elle est très conductrice fausse
encore les lectures.
Les outils à courant focalisé

 Laterolog 7 (LL7): épaisseur de la nappe de courant = 1 m

Laterolog 3(LL3): épaisseur de la nappe de courant = 30cm mais moins


profond que le LL7

 Dual Laterolog (DLL): plus profond que le LL7 et mesure 2 courbes


 Laterolog deep (LLd)
 Laterolog shallow (LLs)

Nappe de
courant
Laterolog LL
• Principe
II consiste a obliger le courant a pénétrer dans la formation
suivant un fin pinceau de lignes de force parallèles en
envoyant de part et d'autre un courant de focalisation a
l’aide d'électrodes de garde.

• Ce type d'outils donne des réponses beaucoup moins


influencées par la colonne de boue ou les épontes que les
normales et latérales" car le courant est confine dans une
tranche de terrain de faible épaisseur perpendiculaire a
I'axe du dispositif. II en résulte une mesure plus
significative. Plusieurs dispositifs existent.
Conditions favorables d’utilisation du
Laterolog

Les Laterologs nécessitent une boue


conductrice (salée) afin d’assurer la
liaison électrique entre la boue et la
formation et sont utilisés dans les
formations à grandes résistivités.
2- Le laterolog 3 (LL3)
• Composé de 3 électrodes:
– Une électrode centrale
– Deux électrodes de garde de part et d’autres.
• La sonde Comporte une petite électrode
centrale d'envoi de Courant Ao,et deux
Iongues électrode.de garde" court-circuitees
entre elle" A1 et A1'
Principe de focalisation du courant: sonde à 3 électrodes

V
Equilibrage Source  Les électrodes de garde sont portées au
même potentiel que l’électrode centrale, ce
qui pousse le courant injecté à être
perpendiculaire à l’axe de l’électrode
Electrode de garde
centrale (focalisation).

Electrode centrale  La focalisation permet de détecter les


(injection du courant)
bancs de quelques centimètres d’épaisseur
et mesurer leur vraie résistivité.
Electrode de garde

44
3- Le laterolog 7 (LL7)
• Il comporte 7 électrodes:
• On envoie un courant constant Io sur
l'électrode centrale
• On alimente en courant variable 2
électrodes de garde A1 et A2
interconnectées
• les paires d'électrodes M1,M2 et M'1,M'2
soient au même potentiel.
Efficacité des mesures
• Le latérolog 3, LL3, a un faisceau de
courant de 30 cm. Par conséquent, le
latérolog 3 arrive à "voir" des formations
plus minces que le latérolog 7, mais sa
profondeur d'investigation est nettement
plus faible.
4- Le double latérolog (DLL)

• Le DUAL LATÉROLOG, DLL est un outil


focalisé ou grâce à une combinaison
d'électrodes on peut faire simultanément
deux mesures à des profondeurs
d'investigation différentes.
• LLd (deep latérolog), qui a une profondeur
d'investigation plus grande que le LL7 et
donne Rt.
• LLs (shallow latérolog), en utilisant les mêmes
électrodes mais de manière différente, on
arrive à une profondeur d'investigation
beaucoup plus faible.
• La nappe de courant s'ouvre beaucoup plus
vite. On obtient dans ce cas une valeur de Rxo
ou Ri.
PROFONDEUR D INVERSTIGATION
5- Présentation des résultats
• Les outils traditionnels sont en général
enregistrés en échelle linéaire avec des
changements d'échelle de ce type :
• 0------------------------------10
• 0-----------------------------100
• A l'heure actuelle, on enregistre avec une
échelle standardisée logarithmique.
Induction IL
• Principe
On envoie dans une bobine émettrice un courant alternatif
d'un oscillateur.Le champ électromagnétique alternatif qui en
résulte, induit dans la formation des courants qui circulent en
anneaux coaxiaux à la sonde (courants de Foucault). Ces
courants, à leur tour engendrent leur propre champ
électromagnétique qui en traversant, un solénoïde (bobine
réceptrice. coaxiale), y induit un force éIectromotrice
proportionnelle au flux traversant la bobine.
Principes physiques des diagraphies ‘’open hole’’

L’induction est un outil électromagnétique: principe


 Envoi d’un courant alternatif dans la
Bobine de
réception
bobine émettrice et création d’un champ
magnétique (W).
Ampli.
Courant
électrique
induit (I)  Apparition d’un courant alternatif induit
(I) dans la formation, proportionnel à sa
Point de
conductivité.
Formation mesure  Ce courant crée à son tour dans la
Champ bobine réceptrice une tension (V)
magnétique (W)
proportionnelle à la conductivité de la
Oscillateur Bobine formation.
d’émission
 Cette conductivité est transformée en
résistivité (R) puis mesurée par l’outil
induction ( Rt =K*V/I)
• Dans la pratique les sondes à induction
comportent plusieurs bobines émettrices et
réceptrices.
• - la sonde 5FF40;
• - la sonde 6FF40;
• - La sonde double induction ( DIL)
La sonde 5FF40
• Comporte 5 bobines avec un espacement de
40 ’’
• La focalisation a été étudiée pour approcher
les résistivités des couches minces de 5 ou 6
pieds (1,5 à 1,8m ). Pour les invasions
faibles à moyennes la résistivité Ra mesurée
est proche de Rt.
B- la sonde 6FF40
• la sonde "6 FF 40" possède la même
résolution verticale.

• Son rayon d'investigation est double


5- Présentation des résultats
• L’induction est enregistrée sur la 2eme
grille d’un log.
• Elle est souvent accompagnée d’une courbe
de conductivité sur la 3eme grille.
• L’échelle peut être linéaire ou
logarithmique.
INTERPRETATION DES LOGS DE RESISTIVITES

La présente figure est un exemple des


trois lectures, enregistrée sur une
série de sable.
Au-dessus de 833 m il ya une
séparation claire entre les courbes.
Près de trou de sonde la résistivité est
faible, en raison de la présence du filtrat
de boue. aller plus loin dans formation
la résistivité augmente. Ceci suggère
fortement la présence des
hydrocarbures.
En dessous de 833 m aucune
séparation ne est observée entre le où le
filtrat de boue ne pénètre pas, la
résistivité est encore faible. Nous
concluons que la formation est aquifère
Le log est enregistre pour une profondeur de l
ordre de l'ordre de 150 pieds La zone au-
dessous de 5.300 m est éventuellement
l'eau,puique la résistivité de l'eau de formation
est beaucoup moins à la résistivité de la boue.
L'effet de la résistivité de la boue peuvent
voir par observation le long de la courbe de
résistivité superficielle, qui pour la plupart,
environ 2 ohm-m. A une profondeur de 5275 m,
une zone d'hydrocarbures la lecture de la
résistivité (ILD) est beaucoup plus grande que
dans la supposée zone d'eau.
Resistivity
Archie” resistivity formul
0.2 Ohmm’s 2000
1 10 100 1000

Sw = a x Rw
m x Rt
Shale

Sand
Sw = water saturation
Rw = formation water resistivity
Shale Rt = formation resistivity
400 = porosity
a, m, n are constants
(default a=1, m=2, n=2)
Sand Example porosity = .26 (26%)
0.3
Rw = .02 (at reservoir temp)
Shale
Sw = 3%
Resistivity
0.2 Ohmm’s 2000
1 10 100 1000

Shale

Sand

Shale
Shallow

Hydrocarbon
Sand
Deep water

Shale
Archie ‘Clean Sand’ Equation

a  Rw
Ro = m Sw nRo
Φ a  Rw Rt
Sw = m
n

Φ Rt
Water Sand, Ro Hydrocarbon Sand, Rt

 = Porosity
m = Cementation Exponent Rw = Fm Water Resistivity
n = Saturation Exponent Sw = Water Saturation
Interprétation quantitative

Estimation de la saturation en hydrocarbure


Elle ne peut pas etre mesurée directement mais on peut esitmer la
saturation en eau a partir des logs de resistivités et de prorsités
• Sw – Fraction des pores occupée par l’eau.
• Sh – Fraction des pores occupée par les hydrocarbures
Sh + Sw = 1

Oil

Water
• EVALUATION TECHNIQUE
• Identifier les intervalles de réservoirs potentiels par la
recherche d'une séparation de la résistivité en combinaison
avec les courbes GR et la porosité.
• Le Réservoir d'eau portant peut généralement être reconnu par
une résistivité relativement faible ;tandis qu'un réservoir
contenant des hydrocarbures peut être reconnu par une
résistivité relativement élevée
• Rw et de Sw peut être calculée comme cela sera décrit comme
décrit dans la précédente

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