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Aziz Akhannouch
Ministre de l’Agriculture, de la Pêche Maritime,
Du Développement Rural et des Eaux et Forêts
PIBA (sans la Pêche) (Millions Dh) 100.757 96.374 100.251 97.582 113.128 99.121
PIBA (sans la Pêche) /PIB 13,76 12,28 12,22 11,51 12,55 10,72
Tafilalet 313 45 15
Nekkor 20 17 85
Nombre d’exploitations
SAU de la catégorie (ha) et son % de
Catégorie d’exploitation dans la catégorie
la SAU totale
et % du total
64 700
Exploitations sans SAU
(4,3% du total général)
1.2.1.1. Le blé
Production
La production mondiale de blé pour la campagne 2013-14 a enregistré
un nouveau record de 715,1 millions de tonnes contre 659,7 millions de tonnes
en 2012-13, soit une progression d’environ 8,4% par rapport à la campagne
précédente et de 9,7% par rapport à la campagne 2010-11. Ce résultat s’explique
en grande partie par l’augmentation de la production en Europe en général et
dans certains pays d’Asie.
Ainsi en Europe, la production de blé a progressé de 10% grâce à
l’augmentation de la production dans la Fédération de Russie et en Ukraine.
Ces deux pays ont enregistré des rendements exceptionnels suite aux bonnes
conditions météorologiques. La progression dans l’UE a atteint 8%, soit 11,3
millions de tonnes de plus qu’en 2013, grâce à l’accroissement des semis et des
rendements.
Dans certains pays d’Asie, de nouveaux records de production ont été
atteints notamment en Chine, en Inde et au Pakistan.
Au Proche-Orient, les résultats ont été marqués par une réduction de la
production en Turquie, en Iraq, en Syrie et en Iran à cause des sécheresses et des
conflits armés dans la région.
Utilisation et stocks
L’utilisation mondiale de blé a atteint 687,9 millions de tonnes en
2013-14 enregistrant ainsi une légère progression de 0,3% par rapport à la
campagne précédente.
Concernant le rapport stocks mondiaux-utilisation de blé, il a progressé
de 11,4% passant ainsi de 22,8% en 2012-13 à 25,4% en 2013-14 et de 15,5% du
niveau historiquement bas de 22% enregistré en 2007-08.
Commerce et prix
Le commerce mondial de blé a atteint un volume de 150,5 millions de tonnes
en 2013-14 contre 140,8 millions de tonnes en 2012-13, soit une progression de
6,9%. Cette augmentation record est due aux abondantes disponibilités dans la
quasi-totalité des grands pays exportateurs et la demande généralement forte de
la part de certains pays d’Asie notamment la Chine et de celle de l’Égypte, de l’Iran
et du Bangladesh.
Les cours mondiaux du blé ont continué leur tendance baissière en 2014.
Ainsi et à titre d’exemple, le blé (No.2 Hard Red Winter-États-Unis) est passé de
288$EU/T en Janvier 2014 pour atteindre son pic de 345$EU/T en mai 2014 puis
entamer sa descente et se stabiliser autour 280$EU/T en novembre 2014 suivie
d’une légère remontée au mois de décembre de la même année (289$EU/T).
Cette baisse des prix s’explique essentiellement par les bonnes perspectives de
la campagne 2014-15 et l’abondance des disponibilités mondiales qui a freiné la
hausse des cours.
Production
La production mondiale de céréales secondaires a atteint un niveau record
en 2013-14 en s’établissant à 1306,7 millions de tonnes contre 1156,4 millions
de tonnes, soit une hausse d’environ 13,0% par rapport à l’année précédente.
Cette hausse de la production est obtenue principalement par la forte reprise
de la production de maïs aux États-Unis par rapport au niveau réduit enregistré
en 2012-13 en raison de la sécheresse. Elle est attribuée, aussi, aux bonnes
conditions climatiques et à l’augmentation des superficies semées dans certains
pays producteurs.
La production mondiale des céréales secondaires a été dominée par
le maïs avec un total de 1020 millions de tonnes contre 873 million de tonnes
l’année précédente soit une progression d’environ 17%.
L’orge a connu également une augmentation significative passant de 131,5
millions de tonnes en 2012-13 à 145,1 millions de tonnes en 2013-14 soit une
progression de 7,3%.
Source : FAO
Rapport
15,0 13,8 17,0 23,2
Stocks Mondiaux –Utilisation (%)
Commerce et Prix
En 2013-14, le commerce mondial de céréales secondaires a progressé de
10,4%, en atteignant un volume de 146,4 millions de tonnes contre de 132,2
millions de tonnes l’année précédente.
Les exportations ont été dominées par le maïs qui a atteint un nouveau
record d’exportation en enregistrant un volume de 113 millions de tonnes contre
une moyenne 2010-11 et 2011-12 de 100,7 millions de tonnes. Les grands
volumes d’export de maïs ont été réalisés par l’Argentine, le Brésil et l’Ukraine en
enregistrant respectivement 14,0 millions de tonnes, 23,5 millions de tonnes et
18,0 millions de tonnes.
Avec l’amélioration de l’offre et l’augmentation des stocks, les prix des
céréales secondaires ont continué leur baisse. Les cours internationaux du
maïs américain sont passés de 197$EU/T (N°2 Jaune, f.o.b) en décembre 2013
à 178 $EU/T en décembre 2014. Pour le cas du maïs (Argentine) les prix ont
oscillé entre 212$EU/T et 197$EU/T pour la même période.
Le sorgho américain (N°2 Jaune, f.o.b) a connu des fluctuations avec des
tendances à la baisse en passant de 207$EU/T en décembre 2013 pour atteindre
son pic au mois de Mars 2014 (228$EU/T) et entamer une baisse le ramenant à
197$EU/T au mois de novembre 2014.
1.2.1.3. Le riz
Production
La production mondiale de riz de la campagne de 2013-14 (exprimée en
équivalent riz usiné) s’est établie à 496,9 millions de tonnes contre 491,2 millions
de tonnes l’année précédente soit une progression légère de 1,2%. Ce résultat
est la conséquence de la stagnation de la production surtout en Asie menacée
régulièrement par des évènements climatiques et par le recul du prix mondial
du riz.
Figure 5 : Evolution de la production mondiale de riz
(Millions de tonnes en équivalent riz usiné)
Source : FAO
Commerce et Prix
Le commerce mondial du riz a progressé de 5,6% lors de la campagne 2013-
14 en enregistrant un volume de 39,3 millions de tonnes contre 37,2 millions de
tonnes la campagne précédente. Ce record est le résultat de la baisse des prix
internationaux et de l’achat massif de nombreux pays en prévision d’un éventuel
fléchissement de la production.
L’augmentation des importations mondiales est due aux vastes
disponibilités sur les marchés internationaux et à l’augmentation des importations
des principaux pays importateurs tels que le Bangladesh, l’Indonésie ou les
Philippines.
Les cours mondiaux du riz sont restés globalement stables avec une tendance
à la baisse selon les variétés à compter du mois d’avril 2013 jusqu’au mois de mars
2014 pour reprendre leurs montées à partir du mois d’avril 2014 ce qui explique
l’augmentation de l’indice FAO des prix du riz uniquement de 0,9% en passant
de 233 points en 2013 à 235 points en 2014. Ainsi le prix à l’exportation de riz
thaïlandais de référence (riz blanc thaïlandais 100% B) qui se négociait à 586,0 $EU
la tonne en avril 2013 a chuté à 408,0 $EU en avril 2014 soit une baisse de 30,4%.
1.2.2. Le sucre
Production
La production mondiale au cours de la campagne 2013-14, n’a pas connu
de progression notable. Elle a atteint 182,2 millions de tonnes contre 182,1
millions de tonnes, soit une progression d’environ 0,1% par rapport à la campagne
précédente. Cette stagnation s’explique par le recul de la production dans les
principaux pays producteurs à savoir le Brésil, l’Inde et l’Union Européenne qui a
été compensée par la production accrue d’autres pays notamment la Thaïlande,
la Chine, l’Australie et d’autres petits pays producteurs.
Tableau 8: Production mondiale de sucre par principaux producteurs
(Millions de tonnes en équivalent sucre brut)
2009-10 2010-11 2011-12 2012-13 2013-14 Variation
Union
16,89 15,93 18,32 16,65 16,02 -3,8
Européenne
Rapport
35,0 38,9 42,2 42,1 -0,2
Stocks Mondiaux-utilisation (%)
Commerce et Prix
Sous l’effet de l’amélioration de l’offre et la tendance baissière des prix, le
commerce mondial du sucre a connu une légère hausse en passant de 53,4 millions
de tonne en 2012-13 à 55,0 millions de tonne en 2013-14 soit une progression
de 2,8%. Cette faible performance est le résultat de l’augmentation de l’offre
et les mesures prises par les principaux pays exportateurs pour encourager les
exportations et les pays importateurs pour freiner les importations surtout qu’ils
disposent déjà de réserves importantes des campagnes précédentes.
Cette situation a impacté les prix mondiaux qui ont continué leurs
tendances baissières. Ainsi la livre de sucre qui s’échangeait au mois d’avril 2013
à 17,8 cents US, a été échangée au mois d’Août à 17,0 cents $EU et à 16,6 cents
$EU au mois de février 2014.
Figure 7 : Evolution de l’indice FAO du sucre sur
le marché mondial (2002-2004=100)
L’indice FAO du prix du sucre est passé de ce fait de 267,8 points au mois
de janvier 2013 pour atteindre 252,6 au mois d’avril 2013 et atteindre 221,7
points au mois de janvier 2014. Cette tendance baissière a continué jusqu’au
mois décembre 2014 avec un indice de 217,5 points.
Source : USDA
L’essentiel de cette production a été dominé par la farine de soja qui est
passée de 181,29 millions de tonnes à 189,53 millions de tonnes en 2013-14
ainsi que la farine de colza qui est passée de 36,84 millions de tonnes à 39,36
millions de tonnes. Pour les autres farines et tourteaux, elles n’ont pas connu de
progressions notables.
Les approvisionnements mondiaux, qui comprennent la production de la
campagne 2013-14 et les stocks de report, ont grimpé de 6,9% passant ainsi de
136,9 millions de tonnes à 146,3 millions de tonnes. Les disponibilités importantes
ont été enregistrées au niveau des États-Unis, du Brésil et de l’Argentine qui sont
les trois principaux producteurs de farine de soja et qui ont connu des récoltes
records durant cette campagne.
Les échanges commerciaux, et compte tenu de l’abondance de l’offre sur
le marché mondial, ont progressé de manière importante en passant de 73,2
millions de tonnes à 81,7 millions de tonnes, soit une augmentation en volume de
11,6 %. Les importations ont été dominées par la Chine qui demeure le premier
consommateur. Elle est suivie par la Thaïlande, la Turquie, le Pakistan et l’UE.
Quant aux exportations, les Etats Unis continuent à être le premier exportateur
mondial, suivi du Brésil, de l’Argentine et de l’Inde.
1.2.4.2. Exportations
Les exportations totales d’agrumes frais, ont atteint le volume de
8,8millions de tonnes en 2013-14 contre 8,4 millions de tonnes durant la
campagne précédente, soit une progression de 5,1%. Cette performance est
attribuée aux bons résultats réalisés par les principaux pays exportateurs. Il
s’agit principalement de la Turquie avec une progression de 21,1%, celle de la
Chine qui a enregistré 18,0% et celle de l’Egypte qui a atteint 10%. Les contre-
performances de cette campagne ont été constatées au niveau des Etats Unis
(-20%), de l’Argentine (-6,8%) et de l’Union Européenne (-0,2%).
1.2.4.3. Importations
Les importations des agrumes frais restent toujours dominées par les deux
principaux pays importateurs d’agrumes à savoir l’UE-27 et la Russie bien qu’elles
aient connu des régressions respectivement de -1,5% et -0,3%. Cependant
d’autres pays importateurs ont connu des accroissements significatifs notamment
les Emirats Arabes Unis avec 7,8%, les Etats Unis avec 7,0%, le Vietnam avec
52,8% et la Malaisie avec 65,0%.
Émirats Arabe Unis 216 236 222 259 281 303 7,8
Part commercialisée de la production (%) 6,6 6,7 7,0 8,9 9,2 3,4
Indice Fao des Prix des produits laitiers 207 229 194 243 224 -7,8
(Source : FAO)
Commerce et prix
Les échanges en matière de lait et produits laitiers ont atteint 72,2 millions
de tonnes en 2014, soit une progression de 5,7% par rapport à l’année précédente.
Les exportations restent dominées par la Nouvelle-Zélande (19,1 millions de
tonnes) et l’Union Européenne (17,7 millions de tonnes), qui représentent
ensemble 50% du commerce mondial.
Les États-Unis, avec une part de 15% du marché mondial, ont exporté 10,6
millions de tonnes contre 9,9 millions de tonnes l’année précédente.
L’Asie a été le principal espace d’exportation avec une augmentation
substantielle des achats par la Chine, la Malaisie, le Vietnam, la Thaïlande, l’Arabie
Saoudite, l’Indonésie, les Philippines et Singapour.
En Afrique, la chute des prix internationaux a stimulé la demande
d’importation dans son ensemble. Les principaux pays importateurs ont été
l’Algérie, l’Egypte, l’Afrique du Sud et le Ghana.
En Amérique latine, l’augmentation de la production nationale a remplacé
les importations au Mexique et au Brésil, alors qu’au Venezuela les importations
ont augmenté sensiblement.
Figure 10: Evolution de l’indice FAO des prix
des produits laitiers (2002-2004=100)
- Matériel et
1 531 1 061 1 108 1 458 1 340 1 530 1 562 1 817
dépenses diverses
Saharien 27 56 54 84 -36
Les pluies des mois de janvier et de mars 2014 ont été déterminantes,
puisqu’elles ont coïncidé avec les stades végétatifs critiques de développement
des cultures d’automnes notamment les céréales semi-tardives.
Figure 13: Excèdent ou déficit pluviométrique par
rapport à la normale (en %)
1) Situation à la 3éme décade d’octobre 2013 2) Situation à la 1ère décade de février 2014
3) Situation à la 3éme décade de mars 2014 4) Situation à la 3éme décade d’avril 2014
Les principaux projets et opérations réalisés dans ce cadre sont les suivants:
Aides financières accordées pour l’aménagement hydro-agricole et l’amélioration foncière :
Projets d’irrigation localisée: des aides financières de 100% du coût de l’aménagement sont
accordées aux petits agriculteurs (possédant moins de 5 Ha) et aux agriculteurs qui adhèrent aux
projets de reconversion collective ou aux projets d’agrégation et 80% du coût de l’aménagement aux
autres agriculteurs ;
Projets d’irrigation de complément : des aides financières de 50% ou 70% du coût de l’aménagement
sont accordées selon le cas ;
Travaux d’améliorations foncières : des aides financières de 30% et 50% du coût des aménagements
respectivement à l’épierrage de profondeur et à la collecte des eaux pluviales.
Aides financières accordées à l’amélioration de la productivité et à la valorisation de l’eau à
travers l’acquisition du matériel agricole, à la création des vergers,à l’installation des serres
notamment:
Matériel agricole : de 30% à 70% du coût selon le type de matériels (tracteurs, matériel de travail et
d’entretien du sol, matériel de récolte...) ;
filet de protection des cultures : 35% du coût pour les cultures maraichères sous serre contre les
insectes et 40% pour les plantations fruitières contre la grêle ;
Capsules à phéromone contre la Tuta absoluta : 60% du coût à l’hectare ;
Création de vergers d’olivier : de 3.500 Dh/Ha à 6.000 Dh/Ha ;
Création de vergers d’agrumes : 12.000 Dh/Ha ;
Création de vergers arboricoles d’amandier, de figuier, de caroubier, de pistachier, de noyer, de
grenadier, de cerisier, de néflier, de pêcher, de nectarinier, de cognassier, de pommier et de prunier:
60% du coût d’acquisition des plants avec un plafond de 3.500 Dh/Ha à 17.000Dh/Ha selon le cas;
Palmier dattier : 70% du coût d’acquisition des plants pour l’extension des palmeraies et 100% du
coût d’acquisition des plants pour l’intensification et réhabilitation des palmeraies ;
Acquisition et installation des serres destinées à la production agricole : 10% pour les armatures et
la couverture de serre en plastique et fil de fer ;
Analyses de laboratoire : 50% du coût des analyses ;
Construction des bâtiments d’élevage : 25% du coût pour les étables, les bergeries et les chèvreries
et 30% pour les centres de collecte de lait ;
Acquisition du matériel d’élevage : 30% du coût du matériel ;
Amélioration génétique des espèces animales : 700 à 850 Dh/tête pour les ovins et 4000 à 5.000 Dh/
tête pour les bovins
Mise en place des unités de valorisation des produits agricoles : 10% avec un plafond variant de 1
million Dh à 4,75 millions de Dh.
Les projets d’agrégation (agrégateurs et agrégés) bénéficient des taux bonifiés pour l’acquisition du
matériel agricole (majorée de 10 à 20 points) et pour l’équipement en système d’irrigation localisée
(subventionné à 100% au lieu de 80%) et l’équipement en système d’irrigation de complément
(subventionné à 70% au lieu de 50%). Des subventions forfaitaires sont également accordées aux
agrégateurs (250 Dh/Ha à 5.000 Dh/Ha selon les filières pour les productions végétales et de 280
Dh/tête à 350 Dh/tête pour les filières animales).
Sur le plan organisationnel et en vue d’améliorer les conditions d’instruction et de versement des
aides au profit des agriculteurs, des Guichets Uniques au niveau des Directions Provinciales de
l’Agriculture et des Offices Régionaux de Mise en Valeur Agricole ont été institués depuis mars 2008.
Tafilalet 313 45 15
Nekkor 20 17 85
Dotation Taux de
Dotation Taux de Fournitures
Périmètre allouée au prélèvement
Barrage normale satisfaction d’eau
irrigué 01/09/13 de la
(Mm3) (%) (Mm3)
(Mm3) dotation (%)
Oued Al Makhazine Loukkos 220 220 100 155 70
Mohamed V- Oued
Moulouya 300 515 58 286 95
Za-Hassan II
Plaine du
615 610 101 507 82
Gharb
Al Wahda
Merja
10 10 100 3 30
Loukkos
Plaine du
Idriss 1er -Allal El 381 365 104 267 70
Gharb
fassi
Moyen sebou 44 60 73 7 16
El Kansera Beht 145 174 83 138 95
Beni Moussa 560 710 79 406 73
Bin El Ouidane
Tassaout Aval 220 235 94 244 111
Hassan 1er -Sidi Haouz
114,4 310 37 114 100
Driss central
Moulay Youssef Tassaout
170 260 65 168 99
(Timounitine) Amont
Ahmed Al Hansali Béni Amir 265 320 83 250 94
Al Massira(Imfout) Doukkala 710 850 84 710 100
Lalla Takerkoust N’Fis 34 82 42 34 100
Abdelmoumen
Issen 60 63 95 29 48
(Dkhila)
Youssef Ben Massa -
85 85 100 90 106
Tachefine) Tassila
Mansour Eddahbi Drâa 130 250 52 100 77
Tafilalet - V.
Hassan Addakhil 12 140 9 18 150
Ziz
Sebt El
Mokhtar Soussi 45 45 100 45 100
Guerdane
TOTAL 4 121 5 304 78 3 571 87
Superficie %
Superficie
Cultures emblavées de la % de la superficie
emblavée (ha)
(ha) superficie
Retenue d’eau
١ ٢
Réseau de Réseau de
transport distribu�on
Techniques d’irriga�on
économes en eau
Cultures à haute valeur ajoutée
Aver�ssement à l’irriga�on
Le PNEEI s’articule autour de cinq composantes : (i) modernisation des réseaux agricoles au niveau des
programmes publics, incluant les équipements financés par l’État et les équipement privés des exploitations
agricoles; (ii) modernisation individuelle au niveau des exploitations agricoles; (iii) amélioration de la
valorisation agricole au niveau de la production et de la commercialisation; (iv) renforcement de l’appui
technique aux agriculteurs, aux opérateurs du service d’irrigation et aux fournisseurs d’équipements; et (v)
autres mesures d’accompagnement.
Au terme du programme, la superficie totale des terres irriguées par des systèmes d’irrigation localisée
devrait couvrir près de 50 % de la surface équipée pour l’irrigation.
Pour atteindre les objectifs escomptés, le PNEEI s’est appuyé sur trois leviers:
La modernisation des réseaux collectifs d’irrigation et des équipements (en grande hydraulique) ;
L’équipement des exploitations agricoles en irrigation localisée moyennant les aides financières de l’Etat (Fonds
de Développement Agricole).
L’appui technique et l’accompagnement des agriculteurs pour la valorisation de l’eau, à travers l’organisation des
agriculteurs, le renforcement de leurs capacités, l’introduction des cultures à haute valeur ajoutée, la promotion
de l’agrégation, la recherche/développement/Conseil agricole, etc.
Taux d’avancement
Superficie physique des travaux de
ORMVA Périmètres Sous projets
(ha) modernisation
à fin 2014
S6- Sidi Smaïl 1 192 64%
Nord- Gharbia 3 737 52%
Périmètre
Doukkala Ouest1- Gharbia 2 452 88%
Bas-Service
Z3-Zemamra 2 490 75%
Sidi Bennour 846 12%
Total Doukkala 10 717
Tessaout
Oulad Gaïd 2 200 55%
Amont
Nfis Rive Droite N1-2 4 210 65%
Tessaout S/secteurs Ouled Said,
5 453 5%
Haouz Amont Skhirate et Taourirte
Tessaout
Rive Droite S1.3 3 800 60%
Aval
Tessaout
Amont T2 5 000 15%
Aval
Total Haouz 20 663
AUEA Alittihad 1 984 Travaux achevés à 100%
AUEA Alomrania 2 061 98%
Tadla Beni-Moussa
AUEA Annour 3 331 80%
AUEA Arraja 2 860 63%
Total Tadla 10 236
S/Secteur C 2 124 64%
S/Secteur B1 1 579 12%
S/Secteur E1 1 339 12%
Loukkos Rmel
S/Secteur E2 2 748 12%
S/Secteur A 2 125 12%
S/Secteur B2 1 136 12%
Total Loukkos 11 051
Nord 5 2 240 Travaux achevés à 100%
Gharb STI C3 3 443 85 %
Nord 2 3 800 66 %
Total Gharb 9 483
Souss
Souss Massa Souss Amont 3 300 71 %
Amont
Total Souss Massa 3 300
24 sous-projets portant sur
65 550 ha en chantier de
TOTAL GENERAL 65 550
travaux dont 3 secteurs sont
achevés sur 6 285 ha
Des prélèvements en tête du barrage qui ont atteint 45,3 Mm3 dont 43,75
Mm3 ont été distribués et facturés aux usagers. Ces volumes constituent un
record de distribution depuis le démarrage de l’exploitation du projet ;
Source: Arrêtés conjoints n°2451-09 et n°2452-09 du 17 septembre 2009 publiés au Bulletin Officiel n°5781 du 26
octobre 2009.
TE : Taux d’équilibre correspondant au tarif du m3 non compris les frais de pompage
RP : Redevance supplémentaire destinée à couvrir les frais de pompage
(*) TVA fixée à 7% pour l’eau livrée aux réseaux de distribution publique (Article99 du Code Général des Impôts)
Poursuite des travaux d’aménagement sur près de 39000 Ha, soit 25% de la
superficie totale du programme.
Dar
Tanger- Tétouan Loukkos Dar Khrofa 21 000 2 822 2011-2015
Khrofa
(*) Superficie initialement équipée par l’Etat pour l’irrigation gravitaire ou par aspersion et reconvertie par
les agriculteurs à l’irrigation localisée.
(**) Superficies aménagées par les agriculteurs en irrigation individuelle à l’extérieur des périmètres
aménagés en grande hydraulique et en PMH
• L’aménagement et l’amélioration des terrains de parcours à travers la création des mises en repos,
la plantation d’arbustes fourragers, l’ensemencement et le développement de l’hydraulique
pastorale et la consolidation des infrastructures socio-pastorales ;
• La conservation de la biodiversité des écosystèmes pastoraux ;
• La régulation des flux de transhumants par le balisage et la maîtrise des couloirs de transhumance,
l’accompagnement des populations d’éleveurs identifiés et organisés et l’organisation spatiale de
la mobilité des troupeaux ;
• L’organisation des acteurs et des communautés pastorales avec le renforcement de leurs
capacités ;
• La contribution au renforcement du cadre juridique et réglementaire de gestion et exploitation
des parcours ;
• La promotion, le développement et la valorisation des différentes filières associées aux parcours ;
• Le renforcement des infrastructures socioéconomiques de base par le biais des actions visant
l’aménagement de pistes pastorales et l’amélioration des conditions d’accès des populations
locales aux services de base de scolarisation et de santé.
COMPOSANTES DU PROGRAMME
FINANCEMENT DU PROGRAMME :
• Le coût total du programme est de l’ordre de 900 Millions de Dirhams dont le montant du Don
Qatari s’élève à 750 Millions de Dirhams.
• Durée du programme : 2015-2017
Disponibilités en semences
Le démarrage de la campagne agricole 2013-14 a été marqué par la mise
en place d’un programme de sécurisation de l’approvisionnement en semences
céréalières axé sur les mesures suivantes :
Un programme de multiplication des semences céréalières de 62000 Ha (avec
le renforcement du programme en irrigué: 25000 Ha) dont le blé tendre (77%),
le blé dur (21%) et l’orge (2%). Il enregistre une baisse de 5% par rapport à la
campagne précédente qui s’explique par le volume important du stock de report
(400.000 Qx);
L’instauration d’un prix incitateur aux multiplicateurs en se référant aux prix du
marché des céréales communes, majorés d’une prime de multiplication de 15%;
La mise en œuvre d’un programme d’encadrement rapproché des multiplicateurs
en vue d’améliorer la productivité et la qualité des semences. La priorité est
également donnée au niveau des périmètres irrigués aux parcelles destinées à la
multiplication.
Céréales Quantités
Orge 19 400
Total général 977 623 890 025 909 781 1 055 073 16,0
2012-13 2013-14
REGIONS ECONOMIQUES 2010-11 2011-12 (1)/(2) %
(1) (2)
GUELMIM-ESMARA 19 12 7 63 +780
GD CASABLANCA 35 35 33 31 -8
5.1.2.1.2. Productions
La production des céréales d’automne a atteint 69 millions Qx, soit une
baisse de 29% par rapport à la production de la campagne précédente (97
millions Qx) et de 12% par rapport à la moyenne des cinq dernières campagnes
(76 millions Qx).
Par espèce, la production nationale de céréales d’automne pour cette campagne
a atteint les volumes suivants :
Blé dur : 14 millions Qx (21% de la production totale en céréales d’automne),
soit une baisse de 26% par rapport à la campagne précédente et de 13% par
rapport à la moyenne de la période 2009-2013;
Blé tendre : 37 millions Qx (55% de la production totale en céréales d’automne),
soit une baisse de 26% par rapport à la campagne précédente et de 16% par
rapport à la moyenne de la période 2009-13;
Orge : 16 millions Qx (24% de la production totale en céréales d’automne),
soit une baisse de 40% par rapport à la campagne précédente et de 26% par
rapport à la moyenne de la période 2009-13.
5.1.2.1.3. Rendements
Le rendement moyen des céréales d’automne pour la campagne 2013-14,
a été estimé à 18,8 Qx/Ha, soit une hausse de 85% par rapport à la campagne
précédente et de 30% par rapport à la moyenne de la période 2009-2013.
Les rendements des céréales d’automne selon les espèces et leur
comparaison avec la campagne précédente et la moyenne de la période 2009-13
sont donnés dans le tableau n°47:
Moyenne
2012-13 2013-14
2009-2013 Ecart (%) (1)/ Ecart (%)
Espèces (Ql/Ha) (Ql/Ha)
(Ql/Ha) (2) (1)/(3)
(2) (1)
(3)
Source : ONICL
La politique des prix de l’Etat pour les céréales consacre plus de libéralisation pour
permettre aux opérateurs plus de concurrence sur le marché. Toutefois, l’Etat accorde une
attention particulière au blé tendre pour tenir compte de l’importance de cette céréale dans le
système de production agricole nationale et dans la structure de la consommation des ménages.
Ainsi, l’Etat met en place, au titre de chaque campagne, des mesures pour réunir les
conditions nécessaires à la commercialisation du blé tendre issu de la production nationale et
pour assurer un approvisionnement normal du marché en blé tendre local et d’importation. Les
principales mesures prises sont :
- L’annonce d’un prix référentiel: Au début de chaque campagne de commercialisation
(juin-mai), l’Etat annonce un prix référentiel pour permettre aux différents intervenants
(agriculteurs, organismes stockeurs et minotiers) d’avoir une référence (une base) pour cadrer
leurs transactions. Ce prix n’est ni un prix fixe ni un minimum garanti aux intervenants. Il reste
entendu que les prix des marchés sont libres et sont fonction de l’offre et de la demande. Le
prix référentiel au titre de la campagne de commercialisation 2014-15 est de 270 Dh/Ql, rendu
moulin, pour un blé standard.
- L’octroi d’une prime de magasinage : Les achats de blé tendre de production nationale,
effectués par les organismes stockeurs au prix de référence durant la période de collecte
bénéficient d’une prime de magasinage de 2 dirhams par quintal par quinzaine. Au titre de
chaque quinzaine, les organismes stockeurs déclarent à l’ONICL le niveau de leur stock et les
services extérieurs de l’ONICL procèdent à des contrôles réguliers pour vérifier la sincérité de
déclarations des opérateurs.
- L’organisation, par voie d’appel d’offres, de l’approvisionnement en blé tendre
destiné à la fabrication des farines subventionnées (FNBT et Farine Spéciale): depuis 2006,
l’ONICL organise, chaque campagne de commercialisation, un appel d’offres tous les deux
mois pour approvisionner les minoteries industrielles en blé tendre pour la fabrication des
farines subventionnées. En début de collecte, ces appels d’offres portent exclusivement sur la
production nationale pour stimuler la demande du blé local et soutenir les prix aux producteurs.
- La protection à la frontière de la production par les droits de douane: les droits
d’importation du blé tendre sont généralement fixés en tenant compte du niveau de la
production nationale et des cours mondiaux. Par ailleurs, pour la campagne de commercialisation
2014-15, le Gouvernement a donné plus de visibilité aux opérateurs sur la période pendant
laquelle les droits de douane sont levés à des niveaux permettant la protection de la production
nationale. Cette visibilité a permis aux opérateurs de se positionner sur les différents marchés
internationaux et a permis de saisir les opportunités offertes par le marché international sur
les plans quantité, qualité et prix. Cette politique, conjuguée avec les mesures prises pour la
commercialisation de la production nationale, a contribué à l’approvisionnement régulier du
marché tout en permettant l’écoulement des quantités collectées de la production nationale.
5.1.3.2. Productions
La production totale des légumineuses alimentaires en bour est
estimée à 2827000 Qx, marquant un accroissement de 8% par rapport à la
campagne agricole 2012-13. Cette augmentation a concerné le pois chiche
(+150%) et la fève (+6,4%)
5.1.3.3. Rendements
Le rendement moyen des légumineuses alimentaires en bour est de
l’ordre de 8,1 Qx/Ha, soit une augmentation de 12% par rapport à la campagne
précédente.
Autres - - - -
5.1.4.1.2. Production
La production totale de betterave à sucre réalisée au titre de la campagne
2013-14 a atteint 3,2 millions de tonnes, soit une hausse de 51% par rapport à la
production de la campagne écoulée et 35.6% par rapport à la moyenne des cinq
dernières campagnes (2,4 millions tonnes).
Moyenne
ORMVA 2010-11 2011-12 2012-13 2013-14
2009-13
Superficie (Ha) 830 000 870 000 922 000 947 000 846 000
Productions (T)
- Olives totales 1 500 000 1 300 000 1 114 000 1 570 000 1 251 000
- Conserves d’olive 120 000 100 000 100 000 120 000 102 000
- Huile d’olive 150 000 130 000 120 000 150 000 130 000
Les exportations ont atteint 69000 T, au titre de l’année 2014, soit une
amélioration de 9,5% par rapport à l’année 2013 (63000 T) et une diminution de
10,6 % par rapport à 2011 (77200 T).
5.1.6.1.2. Production
La production globale des primeurs au cours de cette campagne s’élève à
environ 1,8 millions T dont 897800 T de tomate, 159500 T de pomme de terre
et 721000 T de fruits et légumes divers, enregistrant ainsi une hausse de 7% par
rapport à la campagne précédente tout en restant supérieure de 10% par rapport
à la moyenne du quinquennat 2009-13.
Tableau 56 : Production de primeurs (en Tonnes)
Moyenne
Culture 2010-11 2011-12 2012-13 2013-14
2009-13
Tomate 856 800 932 250 935 000 897 795 881 460
Pomme de terre 152 500 145 205 177 950 159 555 152 340
Fruits et légumes divers 693 800 798 800 786 145 721 045 722 400
Total 1 703 100 1 876 255 1 899 095 1 778 395 1 756 200
Moyenne
Cultures 2010-11 2011-12 2012-13 2013-14
2009-2013
5.1.6.2.2. Production
La production maraîchère de saison pour la campagne 2013-14 a été de
l’ordre de 5,9 millions de tonnes, soit une augmentation de 7% par rapport à la
campagne précédente (5,5 millions T) et une hausse de près de 14% par rapport
à la moyenne de la période 2009-13 (5,2 millions T).
Tableau 58 : Répartition par espèce de la production
des cultures maraichères de saison (en Tonnes)
Moyenne
Culture 2010-11 2011-12 2012-13 2013-14
2009-13
Pomme de terre 1 344 420 1 358 300 1 361 000 1 755 000 1 378 000
Oignon 821 204 595 600 913 400 916 000 788 000
Tomate 260 020 250 300 249 000 279 000 264 000
Carotte-navet 417 607 427 400 587 000 493 000 438 000
Légumineuses en vert 270 474 298 000 280 000 363 000 290 000
Melon-pastèque 1 075 850 1 269 000 1 222 000 1 247 000 1 233 000
Autres légumes 742 452 906 700 923 000 866 000 809 000
Total 4 932 027 5 105 000 5 535 000 5 919 000 5 200 000
5.1.6.2.3. Transformation
La superficie occupée par les cultures maraichères destinées à la
transformation a été d’environ 2300 Ha accusant ainsi des baisses respectives de
14 % et 30% par rapport à la campagne précédente (2600 Ha) et à la moyenne de
la période 2009-2013.
Tableau 59 : Réalisation des cultures maraichères
destinées à l’agro-industrie
2011-12 2012-13 2013-14 Moyenne 2009-13
Cultures Superficie Production Superficie Production Superficie Production Superficie Production
(Ha) (Tonnes) (Ha) (Tonnes) (Ha) (Tonnes) (Ha) (Tonnes)
Tomate 1 243 94 180 1 080 78 650 945 86 845 1 695 114 915
Niora 1 210 23 600 1 502 31 830 1 260 27 800 1 490 29 900
Cornichon 60 630 70 1 120 80 1 025 65 690
Total 2 513 118 410 2 652 111 600 2 885 115 670 3 250 145 505
5.1.7.1. Viticulture
5.1.7.1.1. Superficie
La culture de la vigne a occupé, en 2013-14, une superficie de l’ordre de
43600 ha, dont 35300 Ha (81%) pour la vigne de table et 8300 Ha (19%) pour la
vigne de cuve.
Vignoble de table
Les principales régions de production de la vigne de table sont: Doukkala-Abda
(39%), Marrakech-Tensift-Haouz (18%), Rabat-Salé-Zemmour-Zaer (11%), Meknes-
Tafilalet (7%) et la région Orientale (7%).
Total 344 200 303 500 336 300 337 450 319 500
Production
Production 2012-13 2013-14
Régions (T)
Production (T) %
AMANDIER 150 506 149 921 153 149 159 100 148 225
PISTACHIER 90 75 65 63 80
PACANIER 124 75 75 75 90
TOTAL ROSACEES A FRUITS SECS 155 466 154 927 160 127 166 198 154 172
TOTAL ROSACEES 220 901 216 351 244 082 253 119 235 120
5.1.7.3.3. Commercialisation
La production des rosacées fruitières est destinée principalement à
l’approvisionnement du marché local en fruits frais, secs et transformés.
Cependant, les exportations à l’état frais ont connu une amélioration depuis la
signature en 2011 du contrat programme relatif à la mise à niveau de la filière
arboricole fruitière passant de 10000 tonnes à 20000 tonnes au titre de 2014.
Ce résultat reste, jusqu’à présent, en deçà de l’objectif tracé par le contrat
programme qui prévoit d’atteindre un volume de 50000 tonnes à l’horizon 2020.
Les produits exportés concernent principalement l’avocat, les pêches et les
abricots à l’état frais et transformé.
Les importations des fruits des rosacées ont enregistré un volume de
35000 tonnes en 2014. Elles portent essentiellement sur les poires et les
pommes à l’état frais.
La demande intérieure des dattes est estimée en moyenne au cours des dix
dernières années aux environs de 85000 T, générant un ratio moyen de consommation
nationale de 3 Kg/Hab contre une moyenne de l’ordre de 15 Kg/Hab au niveau des
zones de production.
Cependant, malgré ces performances, la filière fait face à un certain
nombre de défis:
• Le développement du palmier dattier fait face à un déficit de production de
vitroplants et un mix variétal non adapté aux besoins des investisseurs, ce
qui limite l’investissement au niveau de la filière notamment dans le cadre
des projets de Partenariat Public Privé (PPP).
• Le Maroc importe près de 30% de ses besoins en dattes et l’approvisionnement
du marché local par la production nationale devrait constituer une priorité
dans le but de couvrir la demande nationale notamment durant la période
du Ramadan. Le déficit en capacités frigorifiques limite le calendrier et le
potentiel de commercialisation des producteurs.
5.1.7.5. Figuier
La superficie totale du figuier, au titre de la campagne 2013-14 a été de
l’ordre de 54771 Ha portant essentiellement sur des plantations traditionnelles
localisées dans les régions de Taza-Al Hoceima-Taounate, Tanger-Tetouan et
Doukkala-Abda.
La production au titre de la campagne 2013-14 a enregistré un volume
d’environ 126 554 tonnes (20% de figues séchées), soit un rendement moyen de
2,5 T/ha.
Les principaux bassins de production de figues séchées, au Maroc, sont
Taounate et Chefchaouen qui assurent environ les deux tiers de la production
nationale. Dans ces zones, le figuier est souvent associé à l’olivier (91% des cas)
avec parfois la pratique de cultures annuelles en intercalaire.
Malgré des rendements en deçà du rendement potentiel qui varie de 10
à 15 T/Ha, le niveau de production connait une amélioration progressive grâce
aux connaissances acquises par la recherche agronomique, ainsi que le cadre
incitatif offert par le Plan Maroc Vert et le contrat programme signé avec les
professionnels pour la mise à niveau de l’arboriculture fruitière dont le figuier.
Pour obtenir de meilleurs rendements, le choix variétal est différencié
selon les systèmes de production et la destination des figues.
5.1.7.6. Grenadier
La culture du grenadier a couvert, au titre de la campagne 2013-14, une
superficie estimée à 10181 Ha. Plus de 50% des bassins de productions sont
concentrés dans les régions de Tadla-Azilal et Marrakech-Tensift-AlHaouz.
Le profil variétal est composé de deux principaux groupes :
Les grenades de couleur rouges et jaunes : Sefri, Kharazi, Laaroussi.
5.1.7.7. Bananier
5.1.7.7.1. Superficie et production du bananier
La superficie réservée à la culture du bananier au titre de la campagne
2013-14 a été de 8349 Ha soit une hausse de 3% par rapport à la campagne
précédente et une hausse de 19% par rapport à la moyenne de la période
2009-2013. La production de bananes est de 346586 T, soit une augmentation
de 15.5% par rapport à la campagne 2012-13 et de 30% par rapport à la
moyenne des cinq dernières années. Les principales régions de production
sont le Souss Massa (55%) et le Gharb (44%).
b) Elevage caprin
Le programme 2014 pour l’élevage caprin, a porté sur l’encadrement de
1.560 éleveurs propriétaires de 83770 têtes et organisés en 14 groupements. Le
programme a permis la réalisation de plusieurs sessions de sensibilisation des
éleveurs pour améliorer les productions caprines, notamment dans les zones de
montagnes.
Clavelée ovine 20 89
Brucellose bovine 07 58
Chlamydiose caprine 02 10
Charbon bactéridien 02 26
Effectifs
vaccinés,
Nature de l’opération Zones concernées
traités ou
tuberculinés
Vaccination des ovins contre la Blue Tongue Vaccination périfocale 153 471
Vaccination des chiens à propriétaires contre la Rage Tout le territoire national 105 181
Les prix des viandes rouges ont enregistré, durant l’année 2014, une
hausse pour la viande ovine dont le prix a oscillé entre 60 et 65 Dh/kg contre 48
et 62 Dh/kg l’année précédente. Pour la viande bovine son prix s’est situé entre
60 et 64,30 DH/kg carcasse contre 51,56 et 64,30 Dh/kg en 2013.
5.2.5.3. Aviculture
La production de viande avicole a atteint 584000 tonnes en 2014, soit une
augmentation de 7% par rapport à l’année 2013.
La production de poussins d’un jour de type chair a été de l’ordre de380
millions d’unités contre 340 millions en 2013. Cette production a couvert
l’ensemble des besoins du marché.
Pour ce qui est des dindonneaux, les opérateurs ont importé environ 144200
unités de reproducteurs-chair et 2,79 millions d’unités d’autres reproducteurs.
Ces chiffres sont en augmentation de 36% par rapport à l’année précédente pour
les deux types de dindonneaux.
La consommation annuelle des viandes de volaille par tête d’habitant a été
de 16,9 kg en 2014 contre 16 kg en 2013. Le prix de vente du poulet s’est situé en
moyenne à 12,50 DH le kg au poids vif, soit une diminution de 7% par rapport à
celui enregistré en 2013.
- 1043 têtes
Equidés
- 14 têtes en transit (Sénégal)
- 15 364 têtes
Bovins reproducteurs de race pure
- 96 têtes en transit (Sénégal)
Autruches 6 autruches
Produits avicole
- Abattoirs et unités d’abattage (33) 42 -
- Unités d’ovo produits (12) 07 205
- Abattoirs de lapins (05) 07 09
Traiteurs 02 127
Afin de détecter d’éventuels foyers de ce fléau dans les Oasis du Sud, 166
pièges ont été installés et suivis dans les régions de Marrakech, Ouarzazate,
Errachidia et Figuig. Grâce à cette stratégie de lutte, le charançon rouge du
palmier est resté circonscrit dans la ville de Tanger.
Virus de la Tristeza des agrumes
Pour éviter des dégâts possibles sur les productions des rosacées à
noyau par le virus de la Sharka des rosacées à noyaux, 6400 échantillons ont
été prélevés dans différentes régions productrices de rosacées à noyaux (Moyen
Atlas, Haouz, Rabat-Zemmour et Sous Massa) et analysés au niveau du laboratoire
phytosanitaire de la station de quarantaine végétale de Bouznika. Les résultats se
sont tous révélés négatifs.
Grandes Luttes :
Source : Elaboré à partir des données agrégées de l’Office des Changes et de l’EACCE
Entre 2009 et 2014, les fruits et légumes frais ont enregistré une hausse d’environ
43% pour atteindre 12,6 Mds Dhs. De même, les produits végétaux transformés ont
augmenté d’environ 45% sur cette période pour atteindre 5,5 Mds Dhs.
- Part % 60 67 66 68 84 78
- Part % 39 32 33 31 16 20
AUTRES AGRUMES 5 5 5 5 2 7
- Part % 1 1 1 1 1 1
Total général 461 536 500 444 471 488
Source : Elaboré à partir des données de l’EACCE
Amérique du Nord 60 69 59 47 52 89
Autres 13 14 9 5 9 12
6.5.2. Tomates
En 2014, les tomates ont atteint un volume 461 KT pour une valeur totale
de 3,9 Milliards Dhs.
Russie 28 17 36 52 62 65
Suisse 13 10 11 9 7 6
4ème exportateurmondial de clémentines ;
PIB (Millions DH) 732 449 784 624 820 077 847 881 909 336 924 769
PIBA (sans la Pêche) (Millions Dh) 100 757 96 374 100 251 97 582 113 128 99 121
PIBA (sans la Pêche) /PIB 13,76 12,28 12,22 11,51 12,55 10,72
Exportations globales (Millions DH) 111 967 149 583 174 994 184 885 184 685 200 013
Exportation des produits alimentaires 25 193 26 796 28 644 30 105 33 649 35 458
- Part produits alimentaires (%) 22,5 17,9 16,3 16,2 18,2 17,7
Importations globales (Millions DH) 265 188 297 963 357 770 386 949 379 920 386 118
Importation des produits alimentaires 24 213 29 100 38 810 41 783 35 887 41 747
- Part produits alimentaires (%) 9,1 9,8 10,8 10,4 9,4 10,8
Balance commerciale des produits
104,0 92,0 73,8 72,0 93,7 84,9
alimentaires (%)
Taux de couverture globale de la balance
42,2 50,2 48,9 47,7 48,6 51,8
commerciale (%)
Beurre 25 27 24 24 30 25,0
Fromage - 11 14 16 - -
Dattes 51 40 58 47 62 31,9
Source des données : Office des Changes-rapport sur le commerce extérieur 2014
Source des données : Office des Changes-rapport sur le commerce extérieur 2014
Avec l’ajustement structurel des années 80, les politiques agricoles, ont
été marquées par un désengagement progressif de l’État des fonctions de
production et de commercialisation. Mais cette libéralisation s’était vite heurtée
à l’incapacité des organisations professionnelles agricoles (OPA) existantes à
prendre en charge les fonctions de coordination et de régulation auparavant
assurées par l’État. Leurs fonctions étaient souvent limitées et se concentraient
principalement sur le plaidoyer. Les insuffisances se manifestaient à plusieurs
niveaux dont notamment :
leur faiblesse institutionnelle et organisationnelle
leur manque de ressources humaines, financières et matérielles limitant
fortement la capacité à fournir des services aux membres en particulier
la diffusion de l’information;
l’absence de synergie et de coordination aggravée par un chevauchement
de missions entre OPA
Les imperfections au niveau de chacun des segments d’une filière,
pris isolément, se conjuguent au niveau de la chaîne de valeur pour réduire
la compétitivité et la productivité globales de l’activité agricole eu égards aux
potentialités naturelles et humaines du secteur et des avantages comparatifs
avérés dont jouissent de nombreuses filières agro-alimentaires au niveau national
et international.
Le Plan Maroc Vert a été élaboré pour permettre au secteur agricole
d’affronter les multiples défis auxquels il fait face en considérant l’ensemble
de la chaîne de valeur allant de la production, à la transformation et à la
commercialisation avec leurs implications directes sur l’équilibre économique,
social et territorial du pays. Il a mis l’accent sur l’établissement d’un secteur
agricole compétitif, rentable et durable sur le plan environnemental. A cet
effet, des réformes structurelles ont été entreprises pour initier de nouvelles
dynamiques entrepreneuriales aux niveaux des filières et des territoires. Ces
réformes se fondent sur l’impératif d’engager et de responsabiliser les acteurs aux
niveaux des filières et des territoires à travers une contractualisation précisant les
objectifs à atteindre, les formes d’organisation et de gouvernance, les moyens à
mobiliser et la sanction des résultats.
FILIERE VEGETALE
Transformation / valorisation/
Filière Production Commercialisation
conditionnement
- Première transformation : 70 % au moins
du volume global de céréales écrasées par
- Production de semences :
les unités industrielles et 100V du nombre
60’% au moins du volume de
d’opérateurs intervenant dans l’écrasement
la production nationale de
des céréales;
semences certifiées de céréales 60 % au moins des
-Deuxième transformation :
à paille à l’exception du riz et quantités de céréales
* Boulangerie pâtisserie : 60% au moins, du
70 % au moins, du nombre des commercialisées par les
volume de la production nationale et 60% au
Filière producteurs desdites semences ; organismes stockeurs et
moins, du nombre d’opérateurs intervenant
céréalière - Production de graines : 60 % au
dans le secteur de la boulangerie pâtisserie
70 ‘V au moins du nombre
moins du volume de la production d’opérateurs intervenant
autorisés pour leurs activités conformément
nationale des céréales, 60 % au dans la commercialisation
à la législation.
moins, du nombre de producteurs des céréales
* Pâtes alimentaires et couscous : 80%
et 80% du nombre des régions
au moins, du volume de la production
assurant chacune au moins 10 %
industrielle et 60% au moins, du nombre
de la production nationale
d’opérateurs intervenant dans l’industrie
des pâtes alimentaires et du couscous
- Production de plants : 55%
- 70% au moins du volume de la production
au moins du nombre de plants
nationale transitant par les stations de
d’agrumes certifiés produits par 70% au moins du volume
conditionnement et 60% au moins, du
des pépinières agréées et 60% au des exportations globales
nombre des opérateurs intervenant dans
moins desdites pépinières ; et 70% au moins du
les activités de conditionnement
Filière agrumes - Production de fruits : 70% au
- 60% au moins du volume de la
nombre des opérateurs
moins du volume de la production assurant chacun au moins
production nationale destinée aux unités
nationale d’agrumes répartis sur 5% des exportations
de transformation et 60% au moins du
le territoire des régions assurant nationales
nombre des opérateurs intervenant dans
chacune au moins 15% de la
les activités de transformation
production nationale.
- Production de plans : 55%
au moins du nombre de plans
fruitiers produits par les
pépinières agrées et 60% au moins 60% au moins du volume de la production
du nombre des dites pépinières nationale de fruits valorisés par les
Filière de - Production des fruits : 55% unités d’entreposage frigorifique, de
l’arboriculture au moins du volume de la conditionnement et de transformation et 55
production nationale de fruits % au moins du nombre desdites unités
frais repartis sur le territoire des
régions assurant chacune au
moins 10% de cette production
-Trituration des olives : 70% au moins du
volume de la production nationale traitée 80% au moins du volume
par les unités industrielles de trituration et des exportations globales
70% au moins du volume de la 60% au moins, des opérateurs assurant des d’huile d’olive et d’olive
production nationale d’olives, activités de trituration des olives de table et 70% au moins,
répartie sur le territoire des du nombre des opérateurs
Filière oléicole régions assurant chacune au -Conservation des olives de table : 70% au assurant chacun au moins
moins 10% de la production moins du volume de la production nationale 5% des exportations
nationale traitée par les unités industrielles de nationales desdites huiles
conserves et 60 (%) au moins des opérateurs et olives de table
assurant des activités de conservation des
olives de table ;
70% au moins
des quantités de
semences certifiées
commercialisées et 60%
70% au moins du volume de
au moins du nombre
la production des semences
Filière des des personnes physiques
certifiées et 60% au moins du
semences ou morales agrées pour
nombre de producteurs desdites
la commercialisation
semences
des semences et de
plans conformément
à la règlementation en
vigueur
FILIERE ANIMALE
Transformation
Filière Production / valorisation/ Commercialisation
conditionnement
51% au moins du volume de
la production nationale des
Filière 51% au moins du nombre de producteurs des viandes des 80% au moins du volume de la viandes issues de bovins, ovins
Viandes espèces bovines, ovines et caprines et 60% au moins du production nationale des dites viandes et caprins abattus dans les
volume de production nationale de ces viandes. transformées et valorisées abattoirs agrées ou soumis à
rouges une surveillance régulière sur le
plan sanitaire.
Filière 51% au moins du nombre d’apiculteurs possédant des 51% au moins du volume de la production 51% au moins du volume de la
ruches modernes à cadre et 51% au moins du volume de nationale du miel destiné aux unités de production nationale de miel
Miel production nationale issue des ruches modernes à cadre conditionnement et de transformation commercialisé
FILIERES VEGETALES
Situation Objectifs
Filière Contrat-programme
de référence 2020
2009 2020
• Superficie (Ha) 680 000 1 220 000
• Production Totale en olives(T) 700 000 2 500 000
- Huile d’olive 80 000 330 000
FILIERE OLEICOLE - Olives de table 92 000 320 000
• Exportations (T)
Coût d’investissement : - Huile d’olive 16 000 120 000
29,5 Milliards Dhs - Olives de table 60 000 150 000
(État : 8,4 Milliards
Dhs) • Apport en devises (milliards DH/an) 1,5 6
• Création de l’emploi 100 000 300 000
• Consommation interne (Kg/habitant/an)
- Huile d’olive
- Olives de table 2 4
3 5
2009 2020
• Superficie (Ha) 32 000 59 000
FILIÈRE - Serres 15 200 27 500
MARAÎCHAGE - Plein champ 16 800 25 500
DE PRIMEURS • Production (millions T) 1,7 3,2
Coût d’investissement : • Exportations (millions T) 0,75 1,7
21 milliards DH • Apport en devises (Milliards DH/an) 3,5 10
(État : 2 milliards DH) • Création de l’emploi (millions JT/an)
20 60
2008 2018
• Superficie (Ha) 85 000 105 000
FILIÈRE • Production (MT) 1,3 2,9
AGRUMICOLE • Exportations (MT) 0,54 1,3
• Apport en devises (Mds DH/an) 3 8
Coût d’investissement :
• Création de l’emploi (MJT/an) 21 34
9 milliards Dh
• Équipement en système d’irrigation (% de 47 85
(État : 3 milliards Dh)
la sup totale)
2011 2020
FILIÈRE
• Réhabilitation des palmeraies existantes 48.000 Ha
PHŒNICICOLE
• Création de nouvelles plantations
• Production de vitro plants 17.000 Ha
Coût d’investissement :
• Production de dattes 2,9 millions
7,6 Milliards Dhs
• Exportations de dattes de qualité 160.000 T
(dont État : 4,9 Milliards
5.000 T
Dhs)
2011 2020
FILIÈRE
• Superficie (Ha) 265 000 325 000
ARBORICULTURE
• Production (T) 884 000 1 600 000
FRUITIÈRE
• Exportation (T) 10 000 50 000
Coût d’investissement : • Apport en devises (millions DH) 125 500
10,2 Milliards Dhs • Création de l’emploi (JT/an) 165 000 205 000
(État : 3,6 Milliards
Dhs)
2011 2020
• Réhabilitation de l’arganeraie 4.000 tonnes 200.000 Ha
FILIÈRE ARGANIER • Extension en domestication 5.000 Ha
• Production de l’huile d’argan 10.000 T/an
Coût d’investissement : • Émergence d’un pôle de compétences en
2,81 Milliards Dhs recherche et
(État : 2,25 Milliards développement intégré dédié à l’arganier.
Dhs) • Valorisation et promotion des produits de
l’arganier.
2012 2020
FILIÈRE SAFRAN • Augmenter la superficie 610 Ha 1.350 Ha
Coût d’investissement : • Production du Safran - 9 Tonnes
100 Millions Dhs • Traitement et conditionnement à par année 9 kg/an 6 T/an
(État : 84 Millions Dhs) à l’horizon 2020.
• Exportations - 6 T/an
2013 2020
• Importations Réduction de
20%
2011 2020
FILIÈRE • Superficie (Ha) 4 000 40 000
BIOLOGIQUE • Production (T) 40 000 400 000
• Exportations (T) 10 000 60 000
Coût d’investissement :
• Apport en devises (millions DH) 100 800
1,121 Milliards Dhs
• Création d’emplois (millions journées de
(État : 286 Millions Dhs)
travail) 1 9
FILIERES ANIMALES
FILIÈRE LAIT 2009 2014
• Production (Milliards de L) 1,96 3
Coût d’investissement : • Consommation (g/hab/j) 100 250-300
12 Milliards Dhs • Chiffre d’affaires (Mds DH) 8 15
(État : 2 Milliards Dhs) • Emplois permanents (JT/an) 460 000 500 000
FILIÈRE VIANDES 2014 2020
ROUGES • Production (tonnes) 490 000 612 000
Coût d’investissement : • Consommation : kg/hab/an 14,2 17,3
5 Milliards Dhs • Chiffre d’affaires (milliards DH) 25 30
(État : 1,45 Milliards • Emplois permanents (J T/an) - + 80 000
Dhs)
2011 2020
FILIÈRE APICOLE
• Effectif des ruches (modernes) 110 000 610 000
Coût d’investissement: • Production (T) 3 500 16 000
1,48 Milliards Dhs • Investissements (Millions DH) 60 900
(État: 388 Millions Dhs) • Chiffres d’affaires (Millions DH) 210 960
• Création d’emplois (J T/an) 36 000 76 000
2011 2020
• Production viandes de volailles (T) 560 000 900 000
• Production d’œufs de consommation 4,5 7,2
(Milliards unités)
FILIÈRE AVICOLE • Consommation de viandes (kg/hab/an) 17,2 25
• Consommation œufs/hab/an 138 200
Coût d’investissement : • Investissements (Milliards dh) 9,4 13,8
3,76 Milliards Dhs • Chiffre d’affaires (Milliards dh) 23,2 38
(État : 700 Millions Dhs) • Création d’emplois (J T/an) 360 000 500 000
• Exportation de poussins, d’œufs à couver 400 4400
et d’œufs de consommation (T)
• Apports en devises (Millions de dh) 14 172
CONCLUSION