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Ayant subir une vie cloitrée au couvent pour cinq ans, Jeanne, 17ans, se
sent désormais libre. Elle se réunit avec sa famille. Maintenant elle
exprime son impatience. Elle est très curieuse à son avenir. Un avenir qui
va la mener tous les bonheurs. C’est ce qu’elle pense. L’auteur nous
montre un symbole, le mot « calendrier » qui représente tous ses espoirs
sur l’avenir. Il nous montre un personnage qui n’a aucune idée à propos
de la société ou la vie réelle. Une personne qui se repos toujours dans sa
monde onirique. Apres être sorti du couvent, elle a la liberté qu’elle n’a
pas auparavant. Cette attitude la fait penser qu’elle a le droit pour faire ou
bien penser n’importe quelle chose ce qu’elle veut. C’est donc elle laisse
courir son imagination sans pensant les conséquences.
Maupassant a bien évoqué qu’elle est une jolie fille avec son visage
Véronèse. Elle rêve du prince charmant tous le temps « et elle se mit à
rêver d’amour… maintenant elle était libre d’aimer ». Le désir d’absolu et
la naïveté font partie de sa personnalité. Pour eux, les bonheurs est la vie.
Elle n’a aucune idée de malheurs. Personne ne l’a éduqué à propos de la
vie sociale. Maupassant montre une jeune fille de bonne famille, un
exemple typique de XIXème siècle. Il se moque. Il prédit la vie
malheureuse de Jeanne, avec ironie il montre comment toutes ses
attentes vont être contrées. Si on prend les premiers phrases, on voit la
rupture par utiliser « mais, et ». Cela nous montre une préparation pour
l’opposition espérances ou réalité pour Jeanne. Déjà là on a quelque
chose qui l’empêche de réaliser ce qu’elle désir.
Apres être arrivée au château « les peuples », sa première nuit, elle rêve
du amour. La nature autour d’elle la rend heureuse. Elle exprime sa joie.
Elle rêve son homme idéal « il serait lui ». Elle ne donne aucune
description de lui. Ce n’est que les allusions ce qu’elle a pour lui. Elle ne
connait rien de lui mais elle pense d’avoir une famille avec lui. L’auteur
donne une prémonition aux lecteurs par rapport à Jeanne, comment elle
veut mener sa vie avec son désir d’absolu.
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