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MORPHOLOGIE GENERALE
bactéries.
1° groupe des bactéries invisibles en microscope ordinaire. En raison même de leur invisibilité en
microscope photonique, ces bactéries ont été longtemps considérés comme des virus.
2° groupe des bactéries visibles en microscope ordinaire. La plupart des bactéries pathogènes ont un
diamètre moyen de 0,5 à 1u et une longueur de 3 à 5u, lorsqu'elles ont la forme de bâtonnets à
l'exception toutefois des spirilles et des spirochètes, dont la longueur peut atteindre et dépasser 100u
et des rickettsies dont la taille est d'environ 0,4u et qui sont à la limite de la visibilité optique. On peut
distinguer 4 formes principales.
• Forme arrondie: elle est représentée par les coccis, dont chaque élément est appelé coccus ou coque,
qui sont soit réguliers et sphériques, soit irréguliers et ovoïdes ou réniformes, et dont le diamètre
• Forme allongée et incurvée: elle est représentée par les vibrions, bâtonnets incurvé dans un seul plan
en forme de croissant, de virgule ou de faucille et dont les dimensions varient dans les mêmes
proportions que celles des bacilles.
• Forme allongée et sinueuse: elle est représentée par les spirilles et les spirochètes a structure
hélicoïdale, avec des tours des spires déférent longs et réguliers et dont les dimensions s'échellent
entre 5 et 500u pour un diamètre de 0.2 à 5u.
•
MRPHOLOGIE DES FLAGELLES
Les sont des filaments sinueux et flexibles non ramifies très grêlés et très fragiles, d'un diamètre
uniforme de 10 à 100mu et de longueur très variable, déférente suivant les espèces, mais toujours
supérieur à celle du corps bactérien (6 à 15u pour le Bacillus subtilis, 80u pour le v. Cholérique).
• Leur disposition à la surface de la bactérie est très variable et représente un caractère important de
classification. On peut ainsi distinguer:
Les bactéries, entièrement revêtues ou hérissées de cils sur toute leur surface, chez ces bactéries le
nombre de cils est très variable pour chaque espèce bactérienne considérée.
Chez les eubactérials il s'agit toujours d'endospore qui sont soit non déformantes et d'un diamètre
inferieure a celui du corps bactérien (cas de Bacillus), soit déformantes et d'un diamètre supérieur à
celui du corps bactérien (cas des clostridiales).
Sa position dans la bactérie est différente suivant les espèces; elle est généralement centrale chez les
Bacillus, subterminal chez les clostridiales et terminal chez les plectridiales.
REPRODUCTION ASEXUEE PAR SCISSIPARITE
En règle générale la division se fait très rapidement et elle est de l'ordre de 12 à 15min pour certaines
espèces (E. coli), de 30 à 50min pour beaucoup d'autre, mais quelqu'une, elle peut être très lente et de
l'ordre de plusieurs heures (Mucobacterium Tuberculosis) ne se divise que toutes les 20heures dans
les conditions les plus favorables.
Pour préciser la nature infectieuse d'une maladie en laboratoire médicale doit dans un certain nombre
des cas indique:
• Fournir les indications pronostic et thérapeutique général complète, l'étude de la sensibilité particulier
du germe en antibiotique.
Remarque: une règle fondamentale est rigoureuse doit être respecter, il s'agit de l'asepsie.
• L'asepsie vise à éliminer tous micro-organismes vivant dans un milieu donner, il est indispensable pour
tous le matériels à utiliser en bactériologie, en chirurgie et en pratique médicale.
• La chaleur humide acquise par l'autoclave, sous pression pour la stérilisation des milieux de culture,
verreries,…etc.
• La filtration; c'est la stérilisation qui permette à éliminer toutes les éléments figurées, elle est
indispensable pour les liquides,
• Les transports du prélèvement, pour le germe habitué strictement, il est donc nécessaire de les
transportées, le plus rapidement possible au niveau de laboratoire.
• Parfois il est indispensable de faire l'ensemencement des mêmes malades (cas de méningocoque).
• Parfois il faut utiliser un milieu de transport (cas de gonocoque), ce milieu de transport correspond a
un milieu de service.
Méthode générale d'étudier les prélèvements: le but de l'analyse bactériologique dans la recherche et
l'identification précise dans un produit pathologique tel que le sang, urines, pus, selles, ponctions
d'épanchements et LCR; du ou des germes responsables tel ou tel affection ou maladie, cette
identification qui se fait correspond à un diagnostic bactériologique, comportes plusieurs étapes.
• A l'état frais: mettre une goutte de produit pathologique entre lame et lamelle puis en observe au
microscope, cela conduit à un examen des bactéries vivantes et permettent de noter la qualité
morphologique, la mobilité ou l'immobilité des germes.
• Coloration spéciale:
III – Mise en évidence de culture: la mise de culture correspond à l'ensemencement des germes et à
son isolement, l'ensemencement du produit pathologique doit séparer dans des milieux favorables à la
multiplication des germes soit en aérobiose, soit en anaérobiose. L'identification des bactéries à partir
d'une souche pure se base sur certain détaille.
La morphologie, son forme, présence de capsule, présence de spore, présence des flagelles, présence
des cils. Caractère de culture, multiplication en milieu aérobie et en milieu anaérobie.
Etude sur métabolisme: des glucides, lipides et protides pour certaines bactéries, il est important de
préciser les constituants antigéniques par les réactions d'agglutination ou précipitation des antigènes
en présence de certains antisérums.
MONDE BACTERIEN
L'existence d'un monde bactérien fut méconnu jusqu’à l'invention du microscope au début de 17e
siècle, la découverte des microorganismes est attribuée au hollandais Antoine Van-Leeuwenhoek
(1632 -1723) qui observa au moyen d'un microscope rudimentaire de fabrication; un grand nombre de
particule visible à l'œil, qu'il appelait "animalcules" présentes notamment dans les infusions de poivre
parmi ces animalcules, figuraient des sphères , des bâtonnets et des spirales, correspondant aux
principales variétés morphologiques des bactéries. Lorsque le monde bactérien commença à être
systématiquement exploré, il apparut nécessaire de la situer dans le cadre de la biologie, la solution la
plus logique (longtemps méconnu) fut elle proposée par Haeckel en 1866, établissant à côté des
règnes animaux et végétaux, la règne des protistes; ceci se distinguent des animaux et des plantes par
leurs organisation simple; ils sont généralement unicellulaires ou pluricellulaires, s'il sont
pluricellulaires ils ne forment pas des tissus différencies.
Protistes supérieurs : sont dits "eucaryotes" car ils possèdent un "vrai" noyau avec une membrane, de
nombreux chromosomes, un appareil de mitose assurent lors de la réplication, l'équilibre
chromosomique parmi les cellules filles, et une structure cellulaire analogue à celle des animaux et des
plantes.
Protistes inferieurs : sont dits "procaryotes" car se sont de petites cellules dans lesquelles le noyau est
un unique chromosome nu dépourvu de membrane.
. les bactéries qui furent parfois classés dans le règne végétal ou règne animal, constituent le groupe le
plus étendu et le plus divers des protistes inferieurs, la plupart des bactéries sont unicellulaires et ils se
multiplient par scission binaire transversale, les cellules individuelles peuvent posséder l'un des 3
formes fondamentales; sphériques ou ovoïdes (cocci), cylindriques (bâtonnets) , hélicoïdales
(spirochètes ou spirales).
. tous les microbes ne sont pas des protistes; c'est le cas des particules virales infectieuses ou virions,
les caractères fondamentaux qui opposant entre "protistes et virus" ont été definis par Lwoff en 1953.
• Le monde bactérien comprend un très grand nombre d'espèces rencontrées dans la nature et dont
quelque uns seulement sont responsables de maladies humains.
Par analogue avec une classification des organismes animaux et végétaux basées sur leurs exigences
nutritionnelles, on peut opposer les bactéries Hétérotrophes (et éventuellement pathogènes). Aux
bactéries Autotrophes, ces derniers utilisent le CO2 comme principale source de carbone et sont
capables de se développer dans un milieu chimiquement simple. Alors que les bactéries Hétérotrophes
exigent pour se développer des composés organiques formés dans la nature par les animaux ou les
plantes, les bactéries hétérotrophes peuvent avoir besoin d'un apport exogène en un ou plusieurs
métabolites essentiels (facteurs de croissance ou vitamines).
Dans la nature: certains bactéries jouent un rôle biologique essentiel, par exemple; elles assurent la
transformation de matières organique animale ou végétale par des processus de putréfaction
(protéines) et de fermentation (hydrate de carbone).
Une gamme de terre arable contient plusieurs milliards de bactéries, notamment des Actinomycines,
de nombreuses espèces bactérienne améliorent la fertilité du sol, en convertissant l'azote
atmosphérique en composés azotées utilisés par les plantes pour synthétiser les protéines.
Chez l'homme normal: la flore bactérienne de la peau, des muqueuses et du gros intestin joue
également un rôle biologique important, mais non rigoureusement indispensable à la vie (exemple
d'animaux dits 'Axeniques" dépourvus de toutes bactéries). Cependant la flore bactérienne intestinale
normale contribue à la nutrition de l'homme. Des entérobactéries synthétisent des vitamines en
quantité excédant largement leurs propres exigence et apportent à l'hôte des quantités appréciable de
biotine, vitamine K, acide pantothénique, pyridoxine et vitamine B12, de plus les bactéries de la flore
intestinale suscitent la formation d'anticorps, gammaglobulines spécialisés présentes dans le sérum
humain normale, la flore bactérienne exercerait ainsi une action protectrice pour l'homme. Enfin,
l'homme bénéfice d'interaction entre les microbes; certaines bactéries hôtes normales de l'intestin tel
E.coli secrètent des substances, les colicines capables d'inhiber la multiplication excessive et
dangereuse d'autres espèces bactériennes.
Enfin les bactéries se sont révélées être de très remarquables modelés pour les recherche de biologie
moléculaire.
Les grands problèmes de croissance et de reproduction cellulaire ont été étudier à l'aide des bactéries,
car elles sont capables de vivres et de se multiplies très rapidement dans des conditions simples et
bien défini.
Virus Cyanobactéries
Rickettsies et Mycoplasmes bactéries
chlamydiae
- non - toutes - jamais - jamais - quelques' unes
photosynthétique photosynthétique photosynthétique photosynthétique photosynthétique
- poussent à - poussant sur un - poussent à - poussant sur un - poussant sur un
l'intérieur de milieu sans vie l'intérieur de milieu sans vie milieu sans vie
cellule vivante cellule vivante
seulement seulement
- prolifèrent grâce - fission - fission - fission - fission
aux système
enzymatique de
leur cellule hôte
-" vivent "isolés - unicellulaire ou - unicellulaire - unicellulaire - généralement
les uns des autres filament multicell unicellulaire
- non mobiles - non mobiles - non mobiles - non mobiles - mobiles ou - non
mobiles
- pas de paroi - paroi: - paroi: - pas de paroi - paroi:
peptidoglycane peptidoglycane peptidoglycane
La structure de la cellule bactérienne: les bactéries sont connus depuis avril 1674 (Leeuwenhoek) mais
leur structure fait encore l'objet de recherches, elles appartiennent au règne des protistes, terme crée
en 1866 par Haeckel. Pour désigner les êtres qui ne sont ni des animaux, ni des végétaux; on distingue
les protistes supérieurs (algues inferieurs, champignons inferieurs et protozoaires), et les protistes
inferieurs (bactéries, algues bleus).
Les protistes groupent donc l'ensemble des microorganismes qui sont rigoureusement unicellulaires,
sont pluricellulaires, mais sans différenciation en tissus, les bactéries sont les protistes les plus petits,
leur taille est généralement comprise entre 1 à 10u, bien que les crist spires soient des bactéries de
30u de long et que les rickettsies soient à peine plus grande que les plus grands virus( 0.3u). C'est
surtout la structure de la cellule bactérienne qui différencier ces êtres des autres êtres vivants, ce sont
en effet des cellules procaryotes dont les caractères différentielles peuvent être mis en parallèle avec
ceux des cellules eucaryotes selon le tableau suivant:
Cependant les ressemblances et les analogues sont très nombreuses; les bactéries ne forment pas un
"monde à part". Aussi peut-on décrire la cellule bactérienne en utilisant les mêmes chapitres qui sont
employer en cytologie; noyau, cytoplasme et enveloppe.
Noyau bactérien: le noyau est l'organite cellulaire qui renferme le patrimoine génétique, il est donc
riche en acide désoxyribonucléique, cette richesse en acide explique son affinité pour les colorations
basique. Le nucléoplasme de toute cellule est donc basophile. Dans les cellules eucaryotes, le
cytoplasme et peu basophile, et se distingue donc nettement du noyau.
Chez les bactéries le cytoplasme et aussi basophile que le noyau car il est très riche en acide
ribonucléique. Un colorant basophile colore donc aussi intéressement le noyau bactérien que le
cytoplasme bactérien, c'est pourquoi l'existence même du noyau bactérien a été contesté jusque vers
1935 date à laquelle on a commencé à faire des colorations différentielles entre ADN et ARN, c'est
pourquoi aussi on ne voit jamais le noyau bactérien quand on utilise les colorants habituels en
microscope.
Cytoplasme bactérien: les caractères de ceux et des cellules eucaryotes dans ces dernières, le
cytoplasme présente une structure complexe avec centrosome et centriole, mitochondries,
ergastoplasme (réticulum endoplasmique), appareil de golgi, vacuoles et plastes; il est le siège de
mouvement (cyclose, formation et disparition des vacuoles, mouvements amiboïde,….), chez les
bactéries la structure du cytoplasme est beaucoup plus simple.
1° rôle de perméabilité sélective: à son niveau doivent se trouver les perméases qui commandant les
"entrées" dans la cellule, elle joue un rôle de barrière osmotique, elle joue un rôle dans les "sorties".
Paroi des bactéries: la paroi est une structure de protection dont la formation essentielle et de
contenir la forte pression osmotique intra-bactérienne, c'est en outre un squelette externe qui
détermine la forme de la bactérie, cette paroi existe chez toutes les bactéries à l'exception des
mycoplasmes. Des parois cellulaires analogues existent dans le règne végétal (membrane cellulosique
et chitinique). L'originalité de la paroi bactérienne réside dans la nature chimique du composé
macromoléculaire constitutif (fig. 3).
Pendant longtemps la paroi n'a été mise en évidence que de façon indirecte dans les expériences de
plasmolyse, puis la mise en évidence directe de la paroi a été faite à l'aide de nombreuses techniques.
Microdissection réaction avec des anticorps spécifiques, isolement de la paroi, coloration surtout
microscopie électronique.
Propriétés physiques de la paroi bactérienne: c'est une portion importante de la bactérie 20 à 30°/°
de poids sec, la paroi est rigide, ductile et élastique.
Constitution chimique de la paroi: elle est complexe et varie selon les espèces. l'étude des produits
d'hydrolyse acide de la paroi des bactéries à Gram (+) Revel des oses (acétyl-glucosamine, acide acétyl-
muramique, glucose, galactose, gentiobiose,…), des acides aminées
(alanine, lysine ou acide diamo-pénilique, acide glutamique, glycine); il n'y a pas de lipide. Chez les
bactéries a Gram (-) on trouve d'autres acides aminés ainsi que des lipides.
Rôle de la paroi bactérienne: elle est le support des antigènes somatique, elle donne à la bactérie sa
forme et sa rigidité, elle lui permet de résister à la lyse osmotique en milieu iso ou hypotonique. Ce
rôle est bien mis en évidence par des expériences constituant soit a dissoudre la paroi ( a l'aide du
lysozyme), soit a inhiber sa synthèse (par la pénicilline), ou par l'étude des bactéries sans paroi
(protoplastes, formes L. Mycoplasmes).
La capsule bactérienne et les autres couches de surface: certains bactéries secrètent les polymères
organiques de solubilité aqueuse limitée qui constituent une couche externe par rapport à la paroi,
cette couche externe porte le nom de capsule" quand elle correspond à une structure nettement
limitée; si l'épaisseur en est faible 0.1u, on appelle "microcapsule", enfin dans quelques espèces
streptococcus salivarius, les substances secrétées sont très abondantes mais diffuses, et noient les
bactéries dans une sorte de mucus (zooglée).
Rôle de la capsule: la capsule ne semble pas avoir un rôle direct important la faculté de produire une
capsule peut être perdue par mutation, les cellules ne s'en multiplient pas moins, cependant son rôle
n'est pas négligeable chez les bactéries pathogènes capsulées, la présence de la capsule conditionne la
virulence. Elle rend la bactérie moins sensible à la phagocytose, enfin ses conditions sont antigéniques.
La répartition des flagelles varie l'espèce bactérienne, la ciliature peut être polaire (monotriche,
lophotriche), polaire (amphotriche), ou périphérique (péritriche) , le point d'origine des flagelles est
dans le cytoplasme.
Rôle et mécanisme d'action des flagelles: ce sont des organes locomoteurs de la bactérie; on ne sait
rien de certain sur l'origine de l'énergie nécessaire par analogue avec les flagelles des protozoaires, on
pense que la source d'énergie serait constitué par l'ATP.
Les pilis (ou fimbria) des bactéries: en plus des flagelles on peut observer la présence chez de
nombreuses bactéries a Gram (-), d'autres appendices filamenteuse sorte de poils appelés pilis , on
distingue plusieurs types de pilis (pilis communs et pilis sexuels).
La spore bactérienne: la spore bactérienne est un organite facultatif on la rencontré chez certains
bactéries (généralement à Gram"+") = Bacillus, clostridium). Elle représente une forme de résistance
de la bactérie aux conditions défavorables de vie.
La spore bactérienne apparait à l'intérieur de la cellule bactérienne sous forme sphérique ou ovalaire,
réfringent déformante ou non déformante pas la bactérie, mais colorable par les méthodes classiques,
la localisation à l'intérieur de la bactérie est variable selon l'espèce; "centrale, subterminale ou
terminale). La position de la spore est un caractère taxonomique important.
Les spores sont d'abord incluses dans le cytoplasme de la bactérie (endospore), mais elles peuvent s'en
libérer complètement.
Rôle de la spore: son rôle principal est la résistance à déférent agents physiques ou chimiques
(thermo-résistance). Les spores jouent également un rôle dans la transmission de certaines maladies
(tétanos, charbon, botulisme, gangrène,…etc.), leurs position à l'intérieur de la bactérie représente un
critère important pour l'identification et la classification des bactéries sporulés, enfin la spore fixe la
virulence de la bactérie au moment de sa formation.
INTRODUCTION: toutes les cellules bactériennes prévient de la division d'une cellule male qui
donne naissance à un clone. Dans le cas général on peut manipuliez une population bactérienne
appelé souche bactérienne. Seules des souches pures peut être identifiés et classées. Les
identifications retour sur l'ensemble de caractères à s'avoir:
Sensibles aux agents physiques et chimiques, une identification et de temps plus précise que les
caractères étudies sont plus nombreuses, cependant cette identification n'est valable que par rapport
à un modèle qu'est établie grâce à l'étude comparatif et à la construction consentive d'une
classification donc cette classification constitue le langage 1e de la bactériologie. L'espèce bactérienne
est la base de toute l'édifice taxonomique sont rassemblé dans la même espèce, les bactéries qu'on le
plus d'antigènitique c.à.d. les souches qui sont supposé descendre dans un certain commun de la
résulte une semi étude entre 2 caractères , mais non entre tous les caractères en raison loin de
l'évolution c'est le produit a l'existence au niveau de chaque espèce bactérienne des 2 types de
souches:
11°) Myxobactériales: cellules plus ou moins longues, flexueuse, rampant sur un support, aspect
pseudo-amiboide, colonies minces, muqueuses envahissantes (bactéries muqueuses).
ORDRE Famille Genre Espèce Synonymes courants
Eubactérials . Micrococcacae . Staphylococcus . Staphylocoque
. Streptococcus . Streptocoque
. Diplococcus Pneumocoque
. Neisseria . Gonocoque
. Méningocoque
.Enterobacteriacae . Escherichia
. Enterobacter
. Shigella
. Citrobacter
. Klebsiella
. Serratia
. Proteus
. Salmonella
. Clostridiaceae . Clostridium . Perfringens Blle. Anaérobie: blle.
. Clostridium . Botulinum Des Gangrène. G.
. Plectridium . Tetani Bacille du tétanos
.parvobacteriaceae . Psterella
. Francisella
. Yersinia
. Brucella
. Hemophilus
. Bordetella
. Bacillaceae . Bacillus . anthracis Blle. Sporulé aérobie
Blle. charbon
Pseudomonales . .Pseudomonas . aeroginosa . bacille pyocyanique
Pseudomonadacea . Alcaligenesa . faecalis
. moraxella
. Vibrionaceae . vibrio . comma . vibrion cholérique
. autres spirilles
Actinomycetales Actinomycetaceae . Corynebacterium . diphteriae . bacilli diphterique
. Listeria . monocytogénes
. Erysipelothrix . rhinopathcea ou
insidiose
. Mycobacterium . Tuberculosis .BK
. Mycobacterium . leprae . Bacille de lèpre
Spirochaetales . treponemaceae . treponema . pallidum . tréponèma de
. borrelia syphilis
. leptospera . Ictère- . L.I. Hémorragique
hémorragique
Rickettsiales . Rickettsiaceae . Rickettsia . provarecki . typhus
. Chlamydiaceae + groupes:
ornithose
Psittacose Trachome,
agenttric conjonctivite
Mycoplasmatales mycoplasmose
Au de vue didactique, il est commode de décrire les bactéries pathogènes, en les regroupent
en 11 chapitres, les bactéries pathogènes décrites dans ces chapitres appartiennent aux six
ordres suivants: "Pseudomonales, Eubacteriales, Actinomycetales, spirochaetales, Ricketsiales
et Mycoplasmatales".
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