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Chapitre1 :

1.●Corrosion : oxydation d’un métal 𝑴 ↔ 𝑴𝒏+ + 𝒏é

Attaque des métaux par des agents (O2, pluies acide, ex) dans le même milieu.
On s’intéresse à la corrosion de fer, le fer est très utilisé avec alliage
-Alliage : mélange des métaux
- Acier : alliage de fer et de carbone (C<1.2%)
-fonte : alliage de fer et de carbone (C>1.2%)
2.● Prévision de la corrosion :

Plus que 𝐸 0 est faible le métal est facilement corrodé ou le contraire (le cas pour les
métaux nobles)
- Les métaux nobles : Pt, l’or, l’argent, cuivre
3.● les réactions de corrosion :

Milieu acide avec concentration d’oxygène faible :


Fe Fe2+ + 2é, H++1é 1/2 H2
- Milieu acide on présence d’oxygène :

Fe Fe2+ + 2é ; 𝑶𝟐 + 𝟒𝑯+ + 𝟐é ↔ 𝟐𝑯𝟐 𝐎


- Milieu neutre ou basique :

(Fe Fe2+ + 2é)X2 ; 𝑶𝟐 + 𝟐𝑯𝟐 𝐎 + 𝟒é ↔ 𝟒𝑶𝑯−


Si 𝑬𝟎 𝒎é𝒕𝒂𝒍 > 𝑬𝟎 𝒎𝒊𝒍𝒆𝒖 : pas de corrosion
4.● principe de la corrosion :

- L’immunité : pas de corrosion, le métal reste intact avec n.o=0


- Etat de corrosion : 𝑀 ↔ 𝑀𝑛+ + 𝑛é 𝑬𝟎 𝒎é𝒕𝒂𝒍 < 𝑬𝟎 𝒎𝒊𝒍𝒆𝒖
- Passivation : métal est couvert d’une couche d’oxyde formé à la surface, il
constitué une barrière entre milieu et métal (métal est protégé par lui-même)
5.● les différents type de corrosion : sèche (milieu gazeux), humide (en présence de
l’eau).

1
2

3 3
5.1. La corrosion chimique : 2𝐹𝑒 + 𝑂2 → 𝐹𝑒2 𝑂3 ; 𝐹𝑒 + 𝐶𝑙2 → 𝐹𝑒 𝐶𝑙3
2 2

Cl2 présent dans les unités de raffinage.

L’attaque de l’acier par l’hydrogène se fait par 2 mécanismes dépend de T et P


1er mécanisme : décarburation à la surface (haute T, faible P), migration de carbone
vers la surface ou il combine avec hydrogène pour former CH4. .
2éme mécanisme : décarburation interne à haute pression, dissociation de
l’hydrogène et il va diffuser à l’intérieur de l’acier pour former CH4 avec carbone,
l’augmentation de la teneur de carbone augmente la résistance de l’acier et diminue
la résistance à la corrosion.
- Corrosion par les composés soufre : 𝑋𝑀 + 𝑦𝑆𝑂2 −→ 𝑀𝑥 𝑆𝑦 + 𝑦𝑂2
−→
- Corrosion par CO2 : 𝑀 + 𝑍𝐶𝑂2 ↔ 𝑀𝑂𝑍 + 𝐶𝑂

Equilibre dépend de 𝑃𝐶𝑂2 /𝑃𝐶𝑂 (pression)


- Corrosion par les sels fondus : présents dans le gaz, ils se déposent sur la
surface de la pièce métallique pour l’oxyder
5.2. Corrosion Electrochimique : métal + milieu oxydant, naissance d’une pile de
corrosion

A l’anode (oxydation de métal) : 𝑴 ↔ 𝑴𝒏+ + 𝒏é


A la cathode (réduction de milieu)
Exemple : structure métallique à base de fer plongé dans l’eau de mer
A l’anode : Fe Fe2+ + 2é

A la cathode : 𝑶𝟐 + 𝟐𝑯𝟐 𝐎 + 𝟒é ↔ 𝟒𝑶𝑯−

- Corrosion uniforme : toute la surface qui en contact avec le milieu oxydant est
corrodé exemple : fer+Al dans HCl

2
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Cathode : réduction de milieu 𝟐𝑯+ + 𝟐é−→ 𝑯𝟐


L’anode : 𝑨𝒍 → 𝑨𝒍𝟑+ + 𝟑é

Rmq : 2 métaux on contact, le métal qui est potentiel le + faible subira une
corrosion
- Corrosion galvanique :

- Corrosion dans les sols : plus la concentration des sols est haute, plus le sol est
corrosif
𝟏
Si la Résistivité augmente, la corrosion diminue 𝝆 =
𝝀

Si 𝜌 < 5 : très corrosif , 5 < 𝜌 < 15 : corrosif , 15 < 𝜌 < 20 : sol moyennement
corrosif , 𝜌 > 25 : pas de corrosion

Chapitre2 : Etude thermodynamique de la corrosion


2.1. Potentiel d’équilibre :

- Electrode simple : Fe Fe2+ + 2é


𝟎,𝟎𝟔 [𝑭𝒆𝟐+ ]
S’écrit : 𝑬 = 𝑬𝟎 + 𝐥𝐨𝐠( [𝑭𝒆]
)
𝟐

2.2. Électrode mixte : potentiel mixte (Ec)

2.3. Stabilité des espèces vis avis de l’eau

2.3.1. Diagramme de stabilité de l’eau :

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Les espèces : H2O ,O2 , H2


1/pour le couple (O2 / H2O)

n.o(O2)=0, n.o(o) dans H2O =-2


- diagramme préliminaire :

La réaction s’écrit : 𝑶𝟐 + 𝟒𝑯+ + 𝟒é → 𝟐𝑯𝟐 𝑶

𝟒
𝟎,𝟎𝟔 [𝑶𝟐 ][𝑯+ ]
Le potentiel : 𝑬(𝒄𝒐𝒖𝒑𝒍𝒆) = 𝑬𝟎 + 𝐥𝐨𝐠( [𝑯𝟐 𝑶]𝟐
)
𝟒

2/ pour (H2O , H2)

n.o(H) dans l’eau =+1 , n.o(H) dans H2 =0


- diagramme préliminaire :

La réaction : 𝟐𝑯𝟐 𝑶 + 𝟐é → 𝑯𝟐 + 𝟐𝑶𝑯−


𝟎,𝟎𝟔 [𝑯𝟐 𝑶]𝟐
Potentiel : 𝑬(𝒄𝒐𝒖𝒑𝒍𝒆) = 𝑬𝟎 + 𝐥𝐨𝐠([𝑯 − 𝟐
)
𝟐 𝟐 ][𝑶𝑯 ]

4
5

Soit Ke produit ionique de l’eau : 𝑲𝒆 = [𝑯+ ][𝑶𝑯− ]


E (H2O/H2) =E (H+/H2)
𝟐
𝟎 𝟎,𝟎𝟔 [𝑯+ ]
On a : 𝑬(𝑯+⁄ =𝑬 +
(𝑯 ⁄𝑯 )
+ 𝐥𝐨𝐠( [𝑯 ] )=0-0,06PH=𝑬(𝑯𝟐 𝑶⁄
𝑯𝟐 ) 𝟐
𝟐 𝟐 𝑯𝟐 )

- Détermination de 𝑬𝟎 (𝑯𝟐 𝑶⁄ : 𝑬𝟎 (𝑯𝟐 𝑶⁄ +0 ,84-0,06 PH =-0,06PH


𝑯𝟐 ) 𝑯𝟐 )
 𝑬𝟎 (𝑯𝟐 𝑶⁄ =-0,84V=𝑬𝟎 (𝑯+⁄
𝑯𝟐 ) 𝑯𝟐 )
𝑬 𝑯 𝑶
( 𝟐 ⁄𝑯 )
= -0,84+0,84-0,06PH
𝟐

Si PO2 >1bar  𝑶𝟐 + 𝟒𝑯+ + 𝟒é → 𝟐𝑯𝟐 𝑶


Si PH2 >1bar  𝟐𝑯𝟐 𝑶 + 𝟐é → 𝑯𝟐 + 𝟐𝑶𝑯−

5
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2.3.2. Stabilité des espèces vis-à-vis de l’eau :

Comportement de Al dans un milieu acide : on a la présence de 𝐴𝑙3+


𝑶𝒙 𝒓é𝒅 𝟏
Réaction : 𝑨𝒍 ↔ 𝑨𝒍𝟑+ + 𝟑é , 𝟑. (𝑯+ + é ↔ 𝑯𝟐 )
𝟐

En milieu basique on a la présence de 𝑨𝒍𝑶𝟐−

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Réaction : 𝑶𝑯− + 𝑨𝒍𝑶𝟐 → 𝑨𝒍𝑶− − +


𝟐 + 𝑯𝟐 𝑶 , 𝟐𝑯𝟐 𝑶 + 𝑨𝒍 → 𝑨𝒍𝑶𝟐 + 𝟒𝑯 + 𝟑é

On a aussi : 𝟐𝑯𝟐 𝑶 + é → 𝟐𝑶𝑯− + 𝑯𝟐

Chapitre 3 : étude cinétique


3.1. La surtension : Fe2+ Fe3+ + é
[𝒐𝒙]
A l’équilibre : Eeq=E, 𝑬 = 𝑬𝟎 + 𝟎, 𝟎𝟔 𝒍𝒐𝒈 [𝒓𝒆𝒅] = 𝟎, 𝟕𝟕

Si 𝐸 ↑→ [𝑜𝑥] ↑→ [𝑟𝑒𝑑 ] ↓
On favorise la réaction 1 dans le sens directe.
Si 𝐸 ↓→ [𝑜𝑥] ↓→ [𝑟𝑒𝑑 ] ↑
Dans ce cas on favorise la réaction dans le sens indirecte (2)
On a : 𝜼 = 𝑬𝒂𝒑𝒑 − 𝑬𝒆𝒒 , 𝐸𝑎𝑝𝑝 ∶ 𝑝𝑜𝑡𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑙 𝑎𝑝𝑝𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒

Dans le cas d’une oxydation on a : 𝑬𝒂𝒑𝒑 > 𝑬𝒆𝒒  𝜼 > 𝟎

- Dans le cas d’une réduction : 𝑬𝒂𝒑𝒑 < 𝑬𝒆𝒒  𝜼 < 𝟎

3.2. La vitesse de la réaction :

Soit la réaction : 𝒐𝒙 + 𝒏é → 𝒓𝒆𝒅


𝟏 𝒅[𝑶𝑿] 𝟏
La vitesse : 𝒗 = − ,𝒗= 𝒊  𝒊 = 𝒏𝑭𝑺𝒗
𝒔 𝒅𝒕 𝒏𝑭𝑺

I : courant généré en ampère


F : constante de faraday (F=96500 C/mole)
n : nombre d’é mise en jeu dans la réaction
v : vitesse de réaction (mol/L.S.m²)
𝒊 𝑨
Soit la densité de courant : 𝒋 = ( )  𝒋 = 𝒏𝑭𝒗
𝒔 𝒎𝟐

Pour suivre la cinétique d’une réaction ou de corrosion il suffit d’étudié l’évolution


de la densité de courants en fonction du potentiel j=f(E) ou i=f (E)

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3.3. Les courbes de polarisation : j=f(E) ou i=f (E)

Ja : densité de courant anodique


Jc : densité de courant cathodique
Densité total : 𝑗 = 𝑗𝑎 + 𝑗𝑐
Cas ou 𝜂 est faible : 𝜂 = 𝐸𝑎𝑝𝑝 − 𝐸𝑒𝑞 (système rapide) il s’agit d’une réaction
rapide
Cas où 𝜂 est trop élevée : système lent  il s’agit d’une réaction lente

𝒐𝒙
3.4. Théorie cinétique : 𝑹𝒆𝒅 ↔ 𝒐𝒙 + 𝒏é
−𝒅[𝑹𝒆𝒅]
La vitesse de réaction d’oxydation : 𝑽𝒐𝒙 = = 𝒌𝒐𝒙 [𝑹𝒆𝒅]
𝒅𝒕
−𝑬𝒂
Avec : 𝑲𝒐𝒙 = 𝒌𝟎 𝒆𝒃 , 𝒃 =
𝑹𝑻
𝑹𝒆𝒅
Réaction de réduction : 𝒐𝒙 + 𝒏é ↔ 𝑹𝒆𝒅

8
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−𝒅[𝑶𝑿]
La vitesse de réaction réduction : 𝑽𝑹𝒆𝒅 = = 𝒌𝒓𝒆𝒅 [𝒐𝒙]
𝒅𝒕

La vitesse globale : 𝑽𝒈 = 𝑽𝒐𝒙 − 𝑽𝑹𝒆𝒅

J=nFV =nF(𝑉𝑜𝑥 − 𝑉𝑅𝑒𝑑 ) avec : 𝑗 = 𝑗𝑎 − |𝑗𝑐 |


𝜶𝒏𝑭𝜼 𝜷𝒏𝑭𝜼
Relation de bulter-volmer : 𝒋 = 𝒋𝟎 (𝒆 𝑹𝑻 − 𝒆− 𝑹𝑻 )
𝜶𝒏𝑭𝜼
On a : 𝒆 𝑹𝑻 correspond à la réaction d’oxydation
𝜷𝒏𝑭𝜼
Aussi : 𝒆− 𝑹𝑻 correspond a la réaction de réduction, 𝜂 ∶ 𝑠𝑢𝑟𝑡𝑒𝑛𝑠𝑖𝑜𝑛
n : nombre d’é mise en jeux, 𝛼, 𝛽: 𝑐𝑜𝑒𝑓𝑓 𝑑𝑒 𝑠𝑦𝑚é𝑡𝑟𝑖𝑒 𝜶 + 𝜷 = 𝟏
j0 : densité de courant d’échange, E=Eeq lorsque l’électrode est en repos
𝜶𝒏𝑭 𝑬𝒆𝒒 𝜷𝒏𝑭 𝑬𝒆𝒒
Relation de densité : 𝒋𝟎 = 𝒏𝑭𝑲𝑶𝒙 [𝑹𝒆𝒅]𝒆 𝑹𝑻 , 𝒋𝟎 = 𝒏𝑭𝑲𝒓𝒆𝒅 [𝑶𝒙]𝒆− 𝑹𝑻

- Cas de surtensions élevés : 𝜼 → +∞


𝜶𝒏𝑭𝜼 𝜷𝒏𝑭𝜼
On a : 𝒆 𝑹𝑻 ≫ 𝒆− 𝑹𝑻

𝜶𝒏𝑭
Après démonstration on trouve : 𝒍𝒏𝒋 = 𝒍𝒏𝒋𝟎 + 𝜼
𝑹𝑻

Cette équation s’écrit sous la forme : y=b+ax avec a : cts anodique

- Cas de 𝜼 → −∞
𝜶𝒏𝑭𝜼 𝜷𝒏𝑭𝜼
On a : 𝒆 𝑹𝑻 ≪ 𝒆− 𝑹𝑻

𝜷𝒏𝑭 𝜷𝒏𝑭
 𝒍𝒏𝒋 = 𝒍𝒏𝒋𝟎 − 𝜼 , y=A+b x avec b= : cts cathodique
𝑹𝑻 𝑹𝑻

9
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- Cas de faibles surtensions : 𝜼 → 𝟎


𝒏𝑭𝜼
Après démonstration on établit : 𝒋 = 𝒋𝟎 ( )
𝑹𝑻

3.5. Électrode mixte :

Exemple : Fer+HCl
Les réactions :
𝒐𝒙𝒚
Anode (oxydation) : 𝑭𝒆 ↔ 𝑭𝒆𝟐+ + 𝟐é …..(1), couple 1(𝐹𝑒 2+ /𝐹𝑒)
𝟏
Cathode (réduction) : 𝑯+ + 𝟏é ↔ 𝑯𝟐 …(2), couple 2 (𝐻 + /𝐻2 )
𝒓𝒆𝒅 𝟐
𝜶𝒏𝟏 𝑭 𝜼𝟏 𝜷𝒏𝑭
- Pour la réaction 1 : 𝒋 = 𝒋𝟎 (𝒆( 𝑹𝑻
)
− 𝒆− 𝑹𝑻 𝜼𝟏 )
𝜶′𝒏𝟐 𝑭 𝜼𝟐 𝜷′𝒏𝑭
- Pour la réaction 2 : 𝒋 = 𝒋𝟎 (𝒆( 𝑹𝑻
)
− 𝒆− 𝜼
𝑹𝑻 𝟐 )

-
Avec : 𝜼𝟏 = 𝑬𝑪 − 𝑬𝟏 , 𝜼𝟐 = 𝑬𝑪 − 𝑬𝟐
La densité de courant globale : 𝒋 = 𝒋𝟏 + 𝒋𝟐

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On obtient le Ec (potentiel de corrosion ou de mixte) lorsque j=0 j1=-j2


𝜶𝒏𝟏 𝑭(𝑬𝑪−𝑬𝟏 ) 𝜷′ 𝒏𝑭
Pour j1 : 𝒋𝟏 = 𝒋𝟎𝟏 (𝒆 𝑹𝑻 ) … (𝟏) , : 𝒋𝟐 = 𝒋𝟎𝟐 (𝒆− 𝑹𝑻 (𝑬𝑪 −𝑬𝟐 ) ) …..(2)

Exemple : conduite en acier dans un sol aéré à pH neutre.


- Les courbes de polarisation :
𝑜𝑥𝑦
Anode (oxydation) : 𝐹𝑒 ↔ 𝐹𝑒 2+ + 2é
Cathode (réduction) : 𝑂2 + 4é + 2𝐻2 𝑂 → 4𝑂𝐻 − (𝑚𝑖𝑙𝑖𝑒𝑢 𝑛𝑒𝑢𝑡𝑟𝑒)
Cathode (réduction) : 𝑂2 + 𝐻 + + é → 𝐻2 𝑂 (milieu acide)

3.6. Détermination de la vitesse de corrosion :

1/
𝑀𝑖𝑡
La relation de la masse : 𝑚 =
𝑛𝐹

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m : masse d’un métal en corrosion perdue


t : durée pendant la perte de masse
n : nombre d’électron
i : intensité du courant (A)
𝜀
2/ la relation de la vitesse de corrosion : 𝑣 =
𝑡

Avec : 𝜀: é𝑝𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑢 𝑚é𝑡𝑎𝑙 , t : le temps

Chapitre4 : moyens lutte contre la corrosion


- Passives : peinture, revêtements, inhibiteurs ce sont des méthodes couteuses
en matières premières.
- Actives : méthodes électrochimiques, couteuses en énergie.

4.1. Les méthodes passives :

4.1.1. Les revêtements : enveloppement de la surface métallique pour la


protéger.
Alors le métal il doit subir les traitements suivants :
- : élimination de la couche passivante
- : l’élimination des impuretés ou les traces de graisses ou huiles
- : rendre la surface lisse pour adhérer revêtement ou la peinture
- : on applique la peinture à
plusieurs couches pour assurer la protection.
 L’efficacité d’un revêtement : pour que le recouvrement soit total il faut que le
potentiel de métal à protéger inférieur au métal protecteur.
La protection est efficace tant qu’il n’y pas des fissures sur la pièce à protéger.
Si on trouve le contraire (E Métal >E protecteur) : couche protectrice peut se
corroder sans que le métal à protéger ne soit corrodé et après la disparition de
revêtement.
4.2. Dépôt métallique ou revêtement métallique : déposer le métal sur la surface
à protéger, On plonge le métal à protéger dans un bain d’un autre métal fondu.
4.2.1 Électrodéposition : on dispose nickel sur le fer, on va prendre NiCl2

Réduction cathodique : 𝑵𝒊𝟐+ + 𝟐é → 𝑵𝒊


La cathode est le métal à protéger

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𝑀𝑖𝑡
Détermination de la masse : 𝑚 = , 𝑚 = 𝜌𝑉 = 𝜌𝑆𝜀
𝑛𝐹

4.3. Les méthodes archivées :

 Protection cathodique par anode sacrificielle :

Maintenir le métal dans son domaine d’immunité

Fer= métal à protéger, on choisit un métal (aluminium) dont 𝑬𝟎𝑴 < 𝑬𝟎𝒇𝒆𝒓

A l’anode : 𝑨𝒍 → 𝑨𝒍𝟑+ + 𝟑é
𝟏
A la cathode : 𝑯+ + é → 𝑯𝟐
𝟐

 Protection anodique : le métal à protéger se trouve à l’anode (oxydation


anodique)
Maintenir le métal a son domaine de passivation, cette méthode utiliser pour
protéger réservoir en acier qui contient 𝑯𝟐 𝑺𝑶𝟒
4.4. Les inhibiteurs : ce sont des substances qui ralentissent ou stoppe la vitesse
de corrosion (inhibiteurs cathodique ou anodique)

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- inhibiteur cathodique : réduit courant cathodique en réagissant avec l’agent


oxydant (Oxygène …ex)
Mg, Ni, Zn ce sont des bons inhibiteurs cathodique
- Inhibiteur anodique : réduit le courant anodique c.-à-d. empêche l’oxydation
du métal
● le mécanisme inhibiteur se fait selon :

 Adsorption : fixation des molécules organiques à la surface du métal.


 Passivation
 Précipitation : par dépôt de calcaire ou de tartre

■ Corrosion localisé : touche certains endroits dans le métal, il existe corrosion


localisé à la couche inter granulaire et par pique.
 Corrosion inter granulaire : concerne les aciers inoxydable (acier
sensibilisé), opération de soudage pour les réacteurs et les fours provoque
une précipitation au joins de grain
Les équipements concertants sont les types de fours et les échangeurs de
chaleur.
- Les moyens de lutte contre la corrosion integranulaire :

Stabilisation de l’acier en utilisant le titane à la place de chrome diminuera la


teneur en carbone.

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