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Les
Fermes
près
de
la
ville
de
Walkerton
ont
été
considérées
comme
sources
possibles
de
bactéries
causant
l'épidémie.
L'échantillonnage
des
animaux
sur
11
fermes
a
abouti
à
un
certain
nombre
d'isolats
de
C.
jejuni
et
C.
coli.
Les
isolats
épidémiques
de
type
1
ont
été
trouvés
chez
les
bovins
aux
fermes
2
et
14,
tandis
que
le
second
type
épidémique
a
été
trouvé
chez
les
bovins
de
la
ferme
2.
Méthodes
utilisées
pour
la
caractérisation
des
souches
Beaucoup
d'isolats
pouvaient
être
distingués
en
types
par
seulement
une
ou
deux
méthodes,
tandis
que
tous
les
autres
types
restaient
les
mêmes
avec
les
tests
réalisés
avec
ces
deux
méthodes.
DISCUSSION
Ensembles,
les
méthodes
de
typage
phénotypiques
et
moléculaires
soutiennent
l'hypothèse
que
les
bactéries
entrées
dans
les
réserves
d'eau
municipale
de
Walkerton
depuis
les
fermes
voisines
impliquent
la
ferme
2
comme
la
source
majeure
des
souches
épidémiques.
Cette
conclusion
est
compatible
avec
le
modèle
hydrogéologique
qui
dit
que
le
ruissellement
des
fortes
pluies
ont
balayé
les
bactéries
Campylobacter
spp.
et
E.
coli
O157:H7
de
la
ferme
2
jusqu'aux
puits
5,
où
elles
ont
eut
accès
aux
autres
puits
et
ont
été
distribuées
dans
les
réserves
d'eau
de
la
ville.
La
diversité
observée
chez
les
isolats
de
Campylobacter
est
en
contraste
frappant
avec
le
seule
type
d'E.
coli
ayant
infecté
les
patients
et
le
bétail
de
l'épidémie
de
Walkerton.
En
outre,
l'épidémie
de
New
York
a
elle
été
provoquée
par
un
seul
type
de
Campylobacter
provenant
d'une
source
ponctuelle
provoquée
par
de
la
salade
de
thon.
Au
royaume
unis,
un
seul
type
a
causé
l'épidémie
associée
avec
de
la
nourriture
frie.
Pareil
pour
les
isolats
obtenus
à
partir
d'une
épidémie
hydrique
d'une
ville
au
Danemark.
Une
conduite
d'égout
endommagée
a
été
mise
en
cause
pour
cette
épidémie.
La
diversité
des
sérotypes
SH
et
types
de
PFGE
rencontrés
à
Walkerton
est
donc
quelque
peu
inhabituelle,
alors
que
la
diversité
des
sérotypes
de
HL
et
types
de
phages
est
compatible
avec
les
informations
trouvées
dans
la
littérature.
Cette
diversité
peut
être
le
résultat
d'inclusions
de
souches
ou
de
types
qui
ne
sont
pas
liés
épidémie
ou
de
l'hétérogénéité
des
types
présents
dans
les
fermes
voisines.
Les
données
actuelles
ne
nous
permettent
pas
de
déterminer
laquelle
de
ces
hypothèses
est
correcte.
Des
bases
de
données
continues
et
compréhensibles
de
sous-‐typage
moléculaire
des
espèces
de
Campylobacter
n'ont
pas
encore
été
mis
au
point
au
Canada.
On
ne
sait
donc
pas
si
les
types
présents
à
Walkerton
sont
rares
ou
communs
au
Canada.
Cette
incertitude
rend
l'interprétation
des
données
plus
difficiles
et
souligne
la
nécessité
de
continuer
la
surveillance
des
pathogènes.
Le
lysotypage
seul,
sans
accompagnement
de
donnée
épidémiologiques
n'aurait
pas
permis
d'identifier
les
types
épidémiques.
En
résumé,
deux
souches
de
Campylobacter
jejuni
furent
associées
à
l'épidémie
de
Walkerton
grâce
à
l'utilisation
de
différentes
méthodes
de
typage
et
sous-‐typage
en
combinaison
avec
des
données
épidémiologiques.
Ces
méthodes
furent
utiles
pour
définir
la
portée
de
l'épidémie,
pour
identifier
la
source
des
souches
épidémiques
et
pour
tracer
la
voie
par
laquelle
les
bactéries
ont
infecté
les
humains.
Les
résultats
bactériologiques
confirment
que
les
bactéries
ont
pu
contaminer
l'eau
à
partir
des
bovins
et
du
fumier
après
de
fortes
pluies
en
contaminant
les
puits
desservant
la
ville
de
Walkerton
et
infectant
ensuite
ceux
qui
boivent
l'eau.
PRESENTATION POWER POINT
a.Titre du domaine avec le nom des auteurs;
Doriane Tanner, Coralie Montavon, Elodie Ferrando, Laura Vorpe, Quentin Humair, Lauriane
Dani
b.Introduction thématique;
d.Résultats;
Les résultats obtenus grâce à ces méthodes ont confirmé les résultats d'études
épidémiologiques et l'utilité d'utiliser plusieurs méthodes diférentes de typage et sous-typage
pour caractériser complètement les populations bactériennes, car les différentes méthodes
ne donnaient pas les mêmes résultats.
Les Fermes près de la ville de Walkerton ont été considérées comme sources
possibles de bactéries causant l'épidémie. L'échantillonnage des animaux sur 11 fermes
a abouti à un certain nombre d'isolats de C. jejuni et C. coli (tableau 3). Les isolats
épidémiques de type 1 ont été trouvés chez les bovins aux fermes 2 et 14,
tandis que le second type épidémique a été trouvé chez les bovins de la ferme 2.
Une variété de différentes souches a été obtenue à partir d'autres fermes, bien qu'aucune
n'aie exprimé de caractéristiques des deux types épidémiques majeures.
Beaucoup d'isolats pouvait être distingués en types par seulement une ou deux méthodes,
tandis que tous les autres types restaient les mêmes avec les tests réalisés avec ces deux
méthodes.
e.Conclusion;
f.Références bibliographiques.
10. CLARK CLIFFORD, LAWRENCE PRICE, RAFIQ AHMED, DAVID L. WOOWARD, PASQUALE
L. MELITO, FRANK G. RODGERS, FRANCES JAMIESON, BRUCE CIELIN, AIMIN LI AND ANDREA
ELLIS. 2003. Characterization of a waterborne
1
clishé
pour
intro
et
conclusion
ensuite
présenter
méthodes
et
résultats