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MÉTAUX ET ALLIAGES
Du minerai au métal : obtention du métal brut :
réduction de la combinaison chimique, métal primaire
(bcp d’impuretés), affinage. Métaux de haute pureté
difficiles à produire, intérêt industriel limité
utilisation d’alliages.
Alliages ferreux : aciers non alliés (teneur moyenne en
manganèse <1% ), aciers (teneur de
chaque élément <5% ),
aciers alliés (teneur d’au moins un des éléments d’alliage
est >5% )
Intérêt des métaux et alliages : propriétés évolutives et
recyclables (modification de la structure par trempe ou
écrouissage)
Modifications de structure : longues distances et
equilibre thermodynamique (transformations lentes,
diffusion) ou courtes distances et hors équilibre thermodynamique.
Diffusion : transport des atomes ou molécules par agitation thermique (implique le passage d’une barrière d’énergie
potentielle)
Loi de Fick : avec J flux d’atomes à travers une section perpendiculaire à l’axe x et dC/dx le gradient de
concentration. Deuxième équation de Fick : (régimes transitoires de diffusion)
Coefficient de diffusion : avec Q l’énergie d’activation de la diffusion.
Germination : regroupement de quelques atomes jusqu’à l’obtention d’un agrégat de taille critique, de structure la phase en
formation (germe) puis Croissance du germe par ajout de matière.
Germination homogène : variation de l’enthalpie libre du système : rayon de germe critique. Le processus de germination
tire son énergie initiale de la surfusion.
Germination hétérogène : facteurs aux effets contradictoires : température et énergie motrice de la réaction.
Solidification dentrique. Transformation diffusive à l’état solide.
Diagrammes d’équilibre
Systèmes binaires : Variance d’un système à l’équilibre (règle de Gibbs) V = c + 1 – φ ; enthalpie libre : G = H –TS.
Composant : tout élément (corps pur) rentrant dans la composition de l’alliage.
Phase : toutes les parties d’un système ayant les mêmes propriétés limitées par une surface
Constituant : phases ou agrégats de phases observables au microscope.
Facteurs physiques de l’équilibre : P, T, composition chimique de chaque phase.
Miscibilité partielle à l’état solide : diagramme avec eutectique.
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Miscibilité partielle à l’état solide : diagramme avec péritectique.
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Retour vers l’état d’équilibre
Après trempe on chauffe le matériau dans un domaine de température
Revenu des aciers : evolution générale des caractéristiques mécaniques. Effet global, diminution de Re, Rm et HV ;
augmentation de K. Il est possible d’ajuster le niveau de propriété des aciers à celui demandé par le cahier des charges
choix de la température du revenu.
Contrairement au cas général des aciers, le retour à l’équilibre peut être accompagné d’une augmentation de la dureté.
Mécanisme mis en œuvre : formation de précipités intermétalliques cohérents ou semi-cohérents avec la matrice.
Avantages des alliages à durcissement structural : mise en œuvre aisée à froid à l’état trempé suivi d’un revenu à T modérée,
pas de chocs thermiques et déformations restent faibles, caractéristiques mécaniques supérieures à un simple écrouissage et se
conservent à des T plus élevées, possibilité de combiner les effets de l’écrouissage et du durcissement structural.
Inconvénient : conditions d’utilisation du matériau, risque de sur-revenu.
MATÉRIAUX POLYMÈRES
Polymère: molécule de très haute masse molaire qui se forment par réaction de polymérisation en chaine ou par étape à
partir de monomères organiques.
Nœuds d’enchevêtremets : thermoplastiques (TP).
Nœuds chimiques : thermodurcissables (TD), élastomères ou TP réticulés.
Thermolplastiques :
Notions de masse moléculaire moyenne en nombre, masse moléculaire en poids, indice de polymolécularité.
Motifs du même type : homopolymère. / Chaine composée de deux motifs différents : copolymère.
Configuration : manière dont les atomes et les groupements latéraux sont disposés le long de la chaine.
Conformation : différentes conformations rendues possibles par la possibilité de libres rotations autour des liaisons C-C
constituant la chaine principale : isomères de conformation.
Superstructure : formée par interaction topologique entre les chaines macromolécualires en pelote.
3 types d’interactions : liaisons covalentes intramoléculaires, liaisons faibles intermoléculaires, interactions mécaniques.
Polymères semi-cristallins et polymères amorphes. (ne peut pas être entièrement cristallin.
Sphérolites : agrégat des cristallites présents dans le polymère.
Densité : différence de masse volumique de la phase amorphe et de la phase cristalline.
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électrique et thermique. / Stabilité des liaisons chimiques : grande résistance à la corrosion.
Structure cristalline complexe et multiélémentaire.
Elaboration et structure : mélange des matières premières, fusion 1550°, mise en forme.
Propriétés mécaniques : dureté élevée, fragiles : ténacité propriété intrinsèque, facteur d’intensité de
MATÉRIAUX COMPOSITES
Composites à matrice: organique, métallique ou céramique: obtenir des qualités en mélangeant les matériaux.
Renforcés par des particules ou par des fibres (continues ou discontinues). Filaments compris entre 5 et 20 m : flexibilité,
surface spécifique plus grande pour une même fraction volumique, contrainte à rupture des fibres plus grande.
Composite unidirectionnel : loi de comportement, modèles micromécaniques, module longitudinal, rapport de charge
supporté par les fibres, module transversal, module de cisaillement, coefficients de Poisson
Interface, transfert de charge, et énergie de rupture : notion de longueur de transfert.
Interet des CMO : propriétés mécanqieus, légèreté, anisotropie, absence de corosion, amortissement, pièces de grandes
dimensions. Défauts : anisotropie, prévision du comportement à la rupture, contrôle, recyclage.
Interêt des CMM : amélioration de α et E et des propriétés au fluage, anisotropie. Défauts : cout, ténacité.
Interet des CMC : amélioration du comportement au choc, applications à très haute température. Défauts : idem CMM.
Modèle de Drude :
Hypothèses : les e- ont un mvt rectiligne uniformément accéléré perturbé lors de collisions, chaque collision arrête l’e- tous
les ∆t, directions des e- equiprobables (pas de courant créé). En présence ‘un champ électrique extérieur : :
création d’un courant électrique.
Conductivité électrique.