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Thermodynamique Année 2000/2001

Troisième épreuve de moyenne durée

Exercice 1 (10 pts)

I- Etude préliminaire
On considère une barre cylindrique, homogène, de section s , de longueur l , dont les extrémités
sont maintenues à des températures T1 et T2 . Les parois latérales de cette barre sont parfaitement
calorifugées et la température T( x ) dans la barre ne dépend que de l’abscisse x le long de son axe
avec T(0) = T1 et T(l) = T2 (Fig.1a). La barre est caractérisée par sa masse volumique ρ , sa
conductivité thermique λ et sa chaleur massique c .

T1 T2 V1 V2
s s I
O l x O l x
I I
Fig. 1a Fig. 1b

1° En exploitant l’hypothèse du régime permanent, déterminer l’expression de T( x ) en fonction


de x, T1 , T2 et l .
2° Représenter la fonction T(x ) , lorsque T1 = 100 o C et T2 = 0 o C . On précisera la valeur de
T(l/2) .
3° Exprimer la puissance thermique P qui traverse la surface de base s , orientée par e x , de la
barre cylindrique.

II- Analogie entre la conduction thermique et électrique


Si en régime stationnaire électrique, on établit une différence de potentiel V1 − V2 aux bornes
d’un échantillon conducteur de conductivité électrique γ (Fig. 1b), de géométrie identique au
milieu thermique étudié plus haut, il est parcouru par un courant électrique d’intensité I tel que
1l
V1 − V2 = R I . L’expression de la résistance électrique R est donnée par: R = .
γ s
T − T2
1° Montrer que, dans le cas d’un courant de chaleur, le rapport 1 peut par analogie
P
s’appeler résistance thermique.
2° Donner son expression en fonction de λ , l et s . Quel est son unité dans le S I ?

III- Associations en série et en parallèle


1° En régime permanent, on considère l’association en série de deux cylindres d’axe Ox et de
base s . Le premier qui contient un milieu caractérisé par sa conductivité thermique λ1 est compris
entre x = 0 et x = l , le second milieu, caractérisé par sa conductivité thermique λ2 est compris
entre x = l et x = 2l (Fig. 2a). Déterminer la résistance thermique R th de l’ensemble des deux
cylindres en fonction de λ1 , λ2 , l et s .
2° Même question si les deux cylindres sont disposés en parallèle et séparés par un matériau
isolant (Fig. 2b).
Thermodynamique Année 2000/2001

T0 T1
λ1
T0 T1 T2

λ1 λ2 x Isolant
x
O l 2l
Fig. 2a λ2
T0 T1

O l
Fig. 2b

Exercice 2

On considère deux corps, de capacités calorifiques C1 et C2 et de températures T1 et T 2 formant un


système isolé ; C1 et C2 ne dépendent pas de la température.

1° Quelle est la température finale des deux corps lorsque on les met en contact ?

2° Quelle est la variation d'entropie du système? Quel est son signe?

C1 C2
3° Trouver une inégalité liant T1 , T 2 et les coefficients α 1 = et α 2 =
C1 + C 2 C1 + C 2

4° Généraliser cette inégalité pour N corps.


Ecole Nationale des Travaux publics Année 2000/2001

QCM
(3,5 pts)

1° Sur une adiabatique irréversible, l’entropie d’un système


… diminue … augmente … est constante
2° Soit une transformation irréversible qui amène un système d’un état A à un état B, alors
B B B
δQ δQ δQ
… S ( B ) − S ( A) = ∫ T
… S ( B) − S ( A) > ∫ T
… S ( B ) − S ( A) < ∫ T
A A A
où δQ est la quantité de chaleur échangée par le système avec une source extérieure, et T la
température de cette source.

3° Les variables naturelles de l’énergie libre F d’un système fermé sont :


… T et V … T et P … S et P
4° Pour avoir un bon isolant thermique , il faut choisir un corps qui ait:
… une grande chaleur massique
… une petite conductibilité thermique
… une grande conductibilité thermique
… des coefficients calorimétriques indépendants du temps
5° En faisant l'analogie avec les phénomènes électriques, l'écart de température aux extrémités
d'un corps est équivalent à :
… l'intensité du courant
… au champ électrique
… la résistance électrique
… la différence de potentiel électrique
6° Une onde qui se propage vers les x négatifs est décrite par une fonction de
… f (x + Vt )
… f (x − Vt )
… f (x + Vt ) + f (x − Vt )
… f (x + Vt ) − f (x − Vt )
7° Une onde sinusoïdale peut se mettre sous la forme
… A sin(ω t + x / λ )
… A sin(Vt + ω x )
… A sin ω (t + Vx )
… A sin 2π ( f t + x / λ )
Thermodynamique Année 2000/2001

Corrigé

Exercice 1

- Etude préliminaire
1° L’équation de la chaleur à une dimension est de la forme :

∂T(x, t) ∂ 2 T(x, t)
ρc =λ .
∂t ∂x 2

Dans le cas particulier du régime permanent, la température T(x, t) ne dépend plus du temps t

∂T(x, t) d 2 T(x)
=0 ⇒ = 0.
∂t dx 2

L’intégration donne une fonction affine de x :

T(x) = Ax + B ,

où A et B sont deux constantes d’intégration.

Avec les conditions aux limites T(0) = T1 et T(l) = T2 , il vient :

T − T1
A= 2 et B = T1 ,
l
d’où la loi de la température
T − T1
T( x) = 2 x + T1 .
l


On obtient le graphe de T(x) dont l’allure T(°C)
est un segment de droite de pente
T2 − T1
< 0 (car T2 < T1 ).
l 100
l
Pour x = , la température vaut :
2
⎛ l ⎞ T − T1 l T + T2
T⎜ ⎟ = 2 + T1 = 1 ,
⎝2⎠ l 2 2 50

Application numérique :

⎛ l ⎞ 100 + 0 l/2 l
T⎜ ⎟ = = 50 o C O x
⎝ ⎠
2 2
Thermodynamique Année 2000/2001

3° La puissance thermique (ou le flux thermique) qui traverse une surface s quelconque du
matériau est
r
P = ∫∫ jQ ⋅ dS ,
s
r
où dS est un vecteur orienté suivant la normale
r
à la section s tel que dS = dS e x , et jQ le
vecteur densité de courant thermique donné par
la loi de Fourier : r
dT T1 dS
jQ = −λ grad T = −λ ex ,
dx jQ
or, le gradient de température suivant Ox est :
O s
dT T2 − T1 r
= < 0 . Donc ex T2
dx l
T − T1
jQ = −λ 2 ex ; l
l x
ce vecteur est dans le sens des x positifs (figure
ci-contre) ; cela signifie que le transfert
thermique des zones chaudes vers les zones
froides (T1 > T2 ) .
On en déduit la puissance thermique :

T − T1 T − T2
P = ∫∫ − λ 2 dS = λ 1 s. (1)
s l l

II- Analogie entre la conduction thermique et électrique


r
1° • Le vecteur densité de courant électrique je = −γ grad V = γ E ( γ est la conductivité
r
électrique et E le champ électrique) est analogue au vecteur densité de courant thermique
je = −λ gradT ; on en déduit les correspondances suivantes : γ ↔ λ et V ↔ T .

• La différence de potentiel V1 − V2 est analogue à la différence de température T1 − T2 .


r
• L’intensité I du courant électrique, définie comme le flux de je : I =
∫∫s je ⋅ dS , est analogue à
r
la puissance thermique, définie comme le flux de jQ : P = ∫∫ jQ ⋅ dS .
s
V1 − V2
Donc, on peut associer à la résistance électrique R = une résistance thermique
I
T − T2
R th = 1 .
P
L’unité de R th dans le S.I est le K ⋅ W −1 .
Thermodynamique Année 2000/2001

2° compte tenu de la relation (1), la résistance thermique s’écrit :

T − T2 1 l
R th = 1 = .
P λs
III- Associations en série et en parallèle
1° Les deux cylindres placés en série sont traversés l’un après l’autre par la même puissance
thermique. La résistance thermique de l’ensemble de ces deux cylindres est :

T − T2
R th = 0 ;
P

on peut l’écrire sous la forme suivante :

T − T1 T1 − T2
R th = 0 + . (2)
P P

T0 − T1
Le rapport représente la résistance thermique du 1ier cylindre dont les températures des
P
faces d’entrée et de sortie sont respectivement T0 et T1 (Fig. 2a). Cette résistance s’écrit :

1 l
R th 1 = . (3)
λ1 s

De la manière, la résistance thermique du 2ième cylindre vaut :

T − T2 1 l
R th 2 = 1 = ; (4)
P λ2 s

on en déduit, d’après l’équation (2)

1 l 1 l
R th = R th 1 + R th 2 = + ,
λ1 s λ 2 s
soit
⎛ 1 1 ⎞l
R th = ⎜⎜ + ⎟⎟ .
⎝ λ1 λ2 ⎠ s

2° La puissance thermique totale se répartit entre les deux cylindres soumis à la même différence
de température T0 − T1 (Fig. 2b). On a donc :

T − T1 T0 − T2
P = P1 + P2 = 0 + ,
R th 1 R th 2
Thermodynamique Année 2000/2001

ou encore
⎛ 1 ⎞
P = (T0 − T1 )⎜
1 ⎟ ;
+
⎜ R th R th 2 ⎟
⎝ 1 ⎠

donc, la résistance thermique de l’ensemble des deux cylindres en parallèle est telle que

1 P 1 1
= = + .
R th T0 − T1 R th 1 R th 2

En tenant compte des équations (3) et (4), on obtient :

1 l
R th = .
λ1 + λ2 s

Remarques
• L’association en série montre, comme en électrocinétique, que les résistances
thermiques s’ajoutent
• L’association en parallèle montre, comme en électrocinétique, que l’inverse des
résistances thermiques (ou conductances thermiques) s’ajoutent.

Exercice 2

1° Soient T1' et T2' les températures des deux corps à l’instant t (état intermédiaire). Les quantités
de chaleur échangées au cours d’une transformation élémentaire sont :

δQ1 = C1 dT1' et δQ2 = C 2 dT2' ;

par intégration, entre l’état initial et l’état final, on obtient :

Q1 = C1 ∫ f dT1' = C1 (Tf − T1 ) Q2 = C 2 ∫ f dT2' = C 2 (Tf − T2 ) .


T T
et
T1 T2

C1 C2 C1 C2 C1 C2

T1 T2 T1' T 2' Tf Tf

Etat initial Etat intermédiaire Etat final

Si on suppose que les deux corps sont incompressibles, ils n’échangent pas de travail avec le
milieu extérieur δW1 = δW2 = 0 .
Par ailleurs, puisque l’ensemble des deux corps est isolé, le premier principe indique que la
variation totale de l’énergie est nulle. Donc
Thermodynamique Année 2000/2001

∆U totale = Q1 + Q2 = 0 ,
soit
C1 (Tf − T1 ) + C 2 (Tf − T2 ) = 0 .

On en déduit la température finale des deux corps

C T + C 2 T2
Tf = 1 1 .
C1 + C 2

2° L’équilibre thermique n’étant pas assuré (T1 ≠ T2 ) , l’échange de chaleur entre les deux corps
se fait de manière irréversible. La variation d’entropie du corps 1 ne dépend pas du chemin suivi
(car l’entropie est une fonction d’état) , elle est la même que si l’on imaginait une transformation
réversible menant le corps 1 du même état initial au même état final. La variation élémentaire
d’entropie de ce corps est alors
δQ1 C1dT1'
dS1 = = .
T1' T1'
Lorsque la température passe de T1 à Tf , on obtient :

Tf
C1dT1' T
∆S1 = ∫ T1'
= C1 ln f .
T1
T1

De la même manière, la variation d’entropie du corps 2, dont la température passe de T2 à Tf ,


s’écrit :
Tf
C 2 dT2' T
∆S 2 = ∫ T2'
= C 2 ln f ;
T2
T2

l’entropie étant une fonction extensive, on en déduit alors la variation d’entropie du système

T T
∆S = ∆S1 + ∆S 2 = C1 ln f + C 2 ln f ,
T1 T2
ou encore
⎡⎛ T ⎞
C1
⎛ Tf ⎞
C2 ⎤
∆S = ln ⎢⎜⎜ f ⎟⎟ ⎜⎜ ⎟⎟ ⎥. (1)
⎢⎣⎝ T1 ⎠ ⎝ T2 ⎠ ⎥⎦

Puisque l’échange thermique entre les deux corps est irréversible, le deuxième principe impose de
trouver ∆S > 0 .

3° La variation d’entropie étant positive, on a d’après (1)


Thermodynamique Année 2000/2001

⎡⎛ T ⎞ C1 ⎛ T ⎞ C 2 ⎤
∆S = ln ⎢⎜⎜ f ⎟⎟ ⎜⎜ f ⎟⎟ ⎥ > 0 ,
⎢⎝ T1 ⎠ ⎝ T2 ⎠ ⎥
⎣ ⎦
Puisque la fonction logarithme est strictement croissante, ceci implique :

C1 +C2 C C
Tf > T1 1 ⋅ T2 2
soit
C1 C2
C1 + C2 C1 + C2
Tf > T1 ⋅ T2 .

C1 C2
En posant α 1 = et α 2 = , il vient :
C1 + C 2 C1 + C 2

α1T1 + α 2 T2 > T1α1 ⋅ T2α 2 . (2)

4° Soient N corps capacités calorifiques C1 , C 2 ,..., C N et de températures T1 , T2 ,..., TN .


Lorsqu’on met en contact cet ensemble de N corps, la température finale atteinte par le système
s’écrit :
N
∑ Ci Ti N Ci N
Ci
Tf = i =1
N
=∑
N
Ti = ∑ α i Ti , avec αi =
N
(i = 1, 2,..., N )
∑ Ci i =1
∑ Ci i =1
∑ Ci
i =1 i =1 i =1

Ainsi, l’inéquation (2) se généralise en écrivant

N N
αi
∑ α i Ti > ∏ Ti .
i =1 i =1

Remarques
• Pour une transformation élémentaire, on a conformément au premier principe:
δQ1 + δQ2 = 0 . Soit δQ1 = −δQ2 ; cela signifie que la quantité de chaleur cédée par un
corps est reçue par l’autre corps mais nous n’avons aucun renseignement sur le sens
d’évolution des échanges thermiques. Autrement dit, si le corps 1 est plus chaud que le
( )
corps 2 T1' > T2' , le premier principe ne permet pas d’interdire au corps 1 de recevoir de
la chaleur au contact du corps 2 ! (il n’est pas exclu de prendre δQ1 > 0 et δQ2 < 0 ). D’où
l’insuffisance du premier principe qui n’est qu’un principe de conservation de l’énergie.
• Dans l’état intermédiaire, l’échange thermique entre les deux corps de températures
δ Q δQ
T1' et T2' est irréversible. Le deuxième principe nous permet d’écrire : dS = 1 + 2 > 0 .
T1' T2'
Thermodynamique Année 2000/2001

⎛ 1 1 ⎞⎟
Or, δQ1 = −δQ2 , donc : dS = δQ1 ⎜ − > 0 . Cette formule permet de prévoir le sens
⎜ T' T' ⎟
⎝ 1 2⎠
d’évolution des échanges thermiques entre les deux corps. En effet, si T1' > T2' (le corps 1
1 1
est plus chaud que le corps 2), alors − < 0 , ce qui implique que δQ1 < 0 . Donc, le
T1' T2'
corps le plus chaud (le corps 1) fournit de la chaleur au corps le plus froid (le corps 2).

•On voit sur cet exemple comment le deuxième principe a pu remédier à l’insuffisance du
premier principe, en introduisant une nouvelle fonction, l’entropie S .

QCM
1° Sur une adiabatique irréversible, l’entropie d’un système
… diminue 7 augmente … est constante
Réponse :
La variation d’entropie d’un système quelconque est : ∆S = S transférée + S créee , où
δQ
S transférée = ∫ Tsource représente l’entropie transférée lors d’un échange thermique avec une source

extérieure, et S créee l’entropie créée. Le système subissant une transformation irréversible, on a


d’après le deuxième principe, S créee > 0 . De plus, la transformation est adiabatique ; donc δQ = 0 ,
et par suite S transférée = 0 . On en déduit alors que ∆S > 0 .

2° Soit une transformation irréversible qui amène un système d’un état A à un état B, alors
B B B
δQ δQ δQ
… S ( B ) − S ( A) = ∫ T
7 S ( B ) − S ( A) > ∫ T
… S ( B) − S ( A) < ∫ T
A A A
où δQ est la quantité de chaleur échangée par le système avec une source extérieure, et T la
température de cette source.
Réponse :
Soit une transformation irréversible faisant passer le système de l’état A à l’état B. Sa variation
B
δQ
d’entropie est : ∆S (AB) = S (B ) − S ( A) = S transférée( AB) + S créee( AB) . Or, S transféré ( AB) = ∫ T
A
B
δQ
et S créee > 0 ; donc S ( B ) − S ( A) > ∫ T
.
A

3° Les variables naturelles de l’énergie libre F d’un système fermé sont :


7 T et V … T et P … S et P
Thermodynamique Année 2000/2001

Réponse :
La fonction d’état énergie libre est définie par F = U - TS ; sa différentielle s’écrit :
dF = dU − TdS − SdT . Si on considère une transformation réversible élémentaire, on a
dU = − PdV + TdS . Il en résulte que
dF = − PdV − SdT ;

on en déduit alors que les variables naturelles de F sont V et T.

4° Pour avoir un bon isolant thermique , il faut choisir un corps qui ait:
… une grande chaleur massique
7 une petite conductibilité thermique
… une grande conductibilité thermique
… des coefficients calorimétriques indépendants du temps
Réponse :
Compte tenu de l’analogie faîte avec l’électrocinétique (voir Exercice 1 II- 1°) , on a les
T − T2 V − V2 1 l 1 l
correspondances suivantes : P= 1 ↔I= 1 avec R th = ⋅ ↔R= ⋅ .
R th R λ s γ s
On peut dire que plus la résistance thermique du matériau est grande moins il y aura de
conduction thermique (P est petit ) . Donc, un matériau sera un bon isolant thermique lorsque sa
conductivité thermique λ est petite (tout comme en électrocinétique, un bon isolant électrique a une
petite conductivité électrique γ ).

5° En faisant l'analogie avec les phénomènes électriques, l'écart de température aux extrémités
d'un corps est équivalent à :
… l'intensité du courant
… au champ électrique
… la résistance électrique
7 la différence de potentiel électrique
Réponse :
L’analogie entre la loi de Fourier locale jQ = − λ grad T et la loi d’Ohm locale je = −γ grad V ,
permet de faire les correspondances entre les grandeurs suivantes :
λ ↔ γ et T ↔ V . Donc l’écart de températures T1 − T2 est équivalent à la différence de potentiel
V1 − V2 .

6° Une onde qui se propage vers les x négatifs est décrite par une fonction de
7 f (x + Vt )
… f (x − Vt )
… f (x + Vt ) + f (x − Vt )
… f (x + Vt ) − f (x − Vt )
Réponse :
La fonction f ( x + Vt ) possède la valeur y1 = f ( x1 + Vt1 ) en un point d’abscisse x1 et à l’instant
t1 . Plaçons-nous en un point d’abscisse x 2 et à un autre instant (t 2 > t1 ) tel que
Thermodynamique Année 2000/2001

x1 + Vt1 = x 2 + Vt 2 ,
ou encore
x 2 − x1 = −V (t 2 − t1 ) < 0 .
Cela signifie que la fonction f reprend sa valeur y1 au bout d’un temps t 2 − t1 après avoir
parcourue, dans le sens négatif à la vitesse V , la distance x1 − x 2 .
Ainsi, le groupement x + Vt exprime que la fonction f se propage à la vitesse V dans la direction
des x négatifs.

7° Une onde sinusoïdale peut se mettre sous la forme


… A sin(ω t + x / λ )
… A sin(Vt + ω x )
… A sin ω (t + Vx )
7 A sin 2π ( f t + x / λ )
Réponse :
Une onde sinusoïdale peut être décrite par une fonction de la forme

y( x , t ) = A sin(ω t + kx ) (1)
ou encore
⎛ ω ⎞ ω
y( x , t ) = A sin k ⎜ x + t ⎟ = A sin k ( x + Vt ) =V .
avec
⎝ k ⎠ k
Il s’agit d’une onde de la même forme que celle étudié en 6°, soit f ( x + Vt ) ; elle se propage donc
vers les x négatifs.
ω est la pulsation de cette onde : ω = 2πf ;
ω 2πf 2π 2π
k le module du vecteur d’onde : k = = = = (car λ = VT ) .
V V VT λ

En remplaçant ω par 2πf , et k par dans l’équation d’onde (1), il vient :
λ
y( x , t ) = A sin 2π ( f t + x / λ ) .

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