Sunteți pe pagina 1din 5

1

Nouveau paradigme
« Nouveau paradigme » est une expression de la seconde moitié du
XXe siècle et du début du XXIe siècle utilisée par des auteurs populaires,
et notamment vulgarisée dans des magazines, invitant à une nouvelle
représentation du monde dans les domaines les plus divers,
management1, alimentaire2, économie3, religion4, finances5, société6. Le
concept a été abondamment repris dans le courant New Age.

Les nouveaux paradigmes, qui participent d'une sorte de


« réenchantement du monde », entendent se démarquer des
« anciennes » visions matérialistes et déterministes inspirées par la
science, dont les limites jadis identifiées comme telles seraient, pour les
auteurs sus-cités, désormais dépassées. La remise en cause du
déterminisme par la théorie du chaos ou encore la vision
« holographique » de la réalité qu'inspirent les fractales, sont des
exemples de ce que l'on range communément dans les nouveaux
paradigmes. Les notions de matière, réalité, vie, intelligence, pensée,
vérité... sont des exemples de concepts changeants au gré de l'évolution
des paradigmes.

Références
1. ↑ Alain Gagnon,Jean-Pierre Girard,Stéphan Gervais, Le mouvement
coopératif au cœur du XXIe siècle, PUQ, 2001 (présentation en
ligne [archive]), p. 47
2. ↑ Gabriel Cousens, Alimentation, science et spiritualité: Se nourrir
au XXIe siècle, Fernand Lanore, 2008 (présentation en ligne [archive]),
p. 31
3. ↑ OCDE, Études économiques de l'OCDE, OCDE, 1998 (présentation
en ligne [archive]), p. 65
4. ↑ Udo Schaefer, L'histoire du salut et changement de paradigme:,
AEB, 1993 (présentation en ligne [archive]), p. 62
5. ↑ Philippe Herlin, Finance : le nouveau paradigme, Eyrolles, 2010
(présentation en ligne [archive])
6. ↑ Alain Touraine, Un nouveau paradigme: pour comprendre le
monde d'aujourd'hui, LGF, 2006 (présentation en ligne [archive])
2

Foire Aux Questions


1- Le Nouveau Paradigme, c’est quoi ?
2- Qui est Mongo ?
3- Qui est l’auteur(e) du livre L’Appel de Mongo ?

1- Le Nouveau Paradigme, c’est quoi ?


Paradigme signifie étymologiquement « modèle », et dans le sens
commun « modèle cohérent s’appuyant sur une base théorique définie,
représentation du monde reposant sur un courant de pensée dominant ».
On oppose aujourd’hui le vieux paradigme en tant que socle conceptuel,
idéologique, psychologique, culturel sur lequel s’est édifiée notre société
industrielle consumériste mondialisée, à un nouveau paradigme
émergeant en tant qu’il est en rupture avec ce socle ancien pour prendre
racine dans un autre socle.
Lorsqu’on parle de la nécessité de changer de paradigme, on se situe au
niveau du socle, c’est-à-dire des fondements mêmes de la société où doit
s’opérer la transformation qui seule peut conduire à résoudre les grands
maux de l’humanité auxquels nous sommes confrontés. Et dès lors qu’on
touche aux fondements de la société, on quitte la voie réformiste pour
entrer dans la voie révolutionnaire.

C’est ici que le choix du terme nouveau paradigme majoritairement


adopté par l’activisme citoyen planétaire prend toute sa pertinence pour
le distinguer des révolutions du passé. Plutôt que d’avoir la naïveté de
croire qu’il suffit de détruire de l’extérieur les responsables des maux de
l’humanité pour rebâtir un monde idéal régénéré (échec de toutes les
révolutions), il s’agit d’opérer la révolution de l’intérieur, par une
mutation, transition et évolution de conscience collective qui touche tous
les aspects de notre être et de notre vie.

Enfin, faire référence AU nouveau paradigme émergeant et non pas


simplement à UN nouveau paradigme, signifie qu’il n’émane pas d’un
groupe idéologique particulier ou de personnalités remarquables comme
l’ont été Marx ou Gandhi au siècle passé, mais qu’il est l’expression d’une
intelligence collective informelle en structuration, d’un mûrissement de
conscience collective se déployant organiquement dans toutes les
dimensions de notre société mondialisée.
Et tout l’enjeu de ce mûrissement de conscience consiste à faire basculer
l’humanité du vieux paradigme devenu hautement dysfonctionnel qui
nous mène à l’autodestruction, vers le nouveau paradigme relevant d’un
autre ordre de réalité dont la cohérence supérieure résout en elle-même
la somme de contradictions et de dysfonctionnements qui restent
insolubles dans l’ordre de réalité inférieur du vieux paradigme.

2- Qui est Mongo ?


3

C’est la grande question que chaque lecteur se pose en lisant le livre


L’Appel de Mongo. Le mystère qui l’enveloppe suscite tout du long une
interrogation ouverte sur le sens de la vie et de notre réalité profonde. On
ne le déflorera donc pas ici.
La traduction la plus simple que l’on peut se permettre sera de dire que
l’appel de Mongo est l’appel de la Vie, de la source du vivant en chacun
de nous qui est porteuse de toutes les vertus fondamentales : créativité,
inspiration, régénération, guérison, mais aussi confiance, liberté, pardon,
amour, beauté, lumière et vérité.

3- Qui est l’auteur(e) du livre L’Appel de


Mongo ?
« S’il m’est impossible de nier que ce livre est bien venu au monde à
travers moi, ce serait une imposture de m’en attribuer la paternité. Son
véritable auteur est inconnu et il le restera. » C.S.

Cette déclaration inscrite à la première page du livre précise pourquoi il


est proposé sans nom d’auteur affiché. Il ne s’agit pas ici de satisfaire un
désir d’anonymat mais seulement de demeurer en retrait, à la juste place
qui convient en conformité avec la vision de l’art que le livre défend.

À la manière des artistes mongonastiques dont les œuvres sont


anonymes, la créatrice de L’Appel de Mongo s’inscrit dans cette lignée où
elle reconnaît elle-même qu’elle n’en est pas la véritable auteure. Ce
retrait de la personnalité s’accorde par ailleurs avec les valeurs du
nouveau paradigme qui émerge au sein de nos sociétés où foisonne une
créativité collective ne demandant qu’à contribuer à l’enrichissement
humain et spirituel de chacun et de tous.

Nous ne saurons donc rien de la personnalité de l’auteure de L’Appel de


Mongo, pas même si c’est une femme ou un homme. Notre collectif a fait
le choix de s’exprimer à son propos dans une grammaire au féminin par
facétie, mais aussi pour marquer le basculement de la polarité
phallocratique du vieux paradigme qui structure notre société industrielle
vers la prééminence de la polarité féminine propre au nouveau
paradigme.

Les seules informations capitales à connaître sont que l’auteure


est indépendante de la création de notre collectif, qu’elle n’en fait
pas partie, résidant désormais loin de la France, et qu’elle a fait le
vœu de ne tirer aucun profit de l’oeuvre qui est venue au monde à
travers elle, ni en terme de notoriété ni en terme de gain matériel.
C’est pourquoi elle nous a confié le soin de nous charger de son
édition et de sa promotion en reversant l’intégralité de ses droits
d’auteur à notre collectif, à la condition expresse que tous les
bénéfices que nous en tirerons seront exclusivement dédiés à
l’essor du Nouveau Paradigme.
4

Représentation du monde
En psychologie sociale, la représentation du monde désigne l'image
que l'être humain se fait du monde.

Représentation du monde cosmique


Représentations successives du monde cosmique dans
l'Histoire

La représentation du monde découle en partie de l'explication que donne


la cosmologie de la structure de l'univers. Celle-ci a beaucoup changé au
cours de l'Histoire :

 la représentation antique et médiévale consistait en un univers


centré autour de la Terre (géocentrisme), dont ont découlé des
conceptions anciennes de cosmologie religieuse ;
 la représentation apparue à partir du XVIe siècle avec Copernic,
confirmée par Galilée puis Newton consistait en un univers centré
autour du Soleil (héliocentrisme) ; dans cette représentation,
l'univers se réduit peu ou prou au système solaire, dans lequel la
Terre est l'une des planètes qui gravitent autour du soleil ;
l'acceptation sociale de cette représentation a nécessité plusieurs
sièclesN 1 ; en France, Voltaire (dans deux de ses ouvrages) et
l'encyclopédiste d'Alembert (dans le Discours préliminaire de
l'Encyclopédie et les articles d'astronomie de l'Encyclopédie), ont
fortement contribué à cette acceptation1 ;
 la représentation contemporaine de l'univers, issue des théories
cosmologiques du XXe siècle, et des observations
radioastronomiques, est un ensemble de galaxies, dont la Voie
lactée. À l'intérieur de celle-ci, aux deux tiers du rayon, le système
solaire tourne autour du centre de la Voie lactée, où se trouve un
trou noir supermassif dans la région de Sagittarius A*. Il est à noter
que l'Église catholique contemporaine a accepté sans aucune
difficulté la théorie contemporaine du big bang, comme en
témoigne la déclaration de Pie XII devant l'Académie pontificale des
sciences en 19512 : « Il semble en vérité que la science
d'aujourd'hui, remontant d'un trait des millions de siècles, ait réussi
à se faire le témoin de ce fiat lux initial. Vers cette époque, le
cosmos est sorti de la main du Créateur ».

Conséquences

Les révolutions scientifiques engendrent en général de nouvelles


représentations du monde. Ce fut le cas avec la révolution copernicienne,
qui amena la représentation héliocentrique de l'univers. C'est aujourd'hui
5

le cas avec la révolution issue des découvertes scientifiques de la


première moitié du XXe siècle, qui décrit l'univers comme un ensemble de
galaxies.

Alexandre Koyré expliquait que la révolution copernicienne avait entraîné


depuis l'époque de Galilée jusqu'au XXe siècle, le passage d'un monde clos
à un univers infini3.

Représentation du monde terrestre


Déjà, dès 1945, Paul Valéry, dans son ouvrage Regards sur le monde
actuel, estimait que « le temps du monde fini commence »4. Par
« monde », il n'entendait pas le monde-univers des Anciens, mais notre
monde actuel, c'est-à-dire, la Terre et l'ensemble de ses habitants. Il
réfléchit sur la transformation radicale et de plus en plus rapide de la
société des hommes. Selon lui, « l’homme moderne est l’esclave de la
modernité : il n’est point de progrès qui ne tourne pas à sa plus complète
servitude. […] Rien ne se fera plus que le monde entier s’en mêle »5.

Bertrand de Jouvenel a évoqué la petitesse de la Terre en 19686.

Dominique Bourg, philosophe du développement durable, montre que la


prise de conscience récente de la finitude écologique de la Terre a
entraîné dans nos représentations un changement radical entre
l'universel et le particulier. Elle conduit à remettre en cause le paradigme
moderne classique en introduisant une interdépendance entre la
biosphère (le planétaire) et les biotopes (le local)7.

Articles connexes
 Paradigme
 Weltanschauung

S-ar putea să vă placă și