Documente Academic
Documente Profesional
Documente Cultură
Giraffa camelopardalis
Sauter à la navigationSauter à la recherche
Pour les articles homonymes, voir Girafe (homonymie).
Giraffa camelopardalis
Embranchement Chordata
Classe Mammalia
Ordre Artiodactyla
Famille Giraffidae
Genre
Giraffa
Brünnich, 1771
Nom binominal
Giraffa camelopardalis
(Linnaeus, 1758)
Synonymes
Cervus camelopardalis Linnaeus, 1758
(protonyme)
Statut de conservation UICN
VU : Vulnérable
La Girafe (Giraffa camelopardalis) est une espèce de mammifères ongulés artiodactyles,
du groupe des ruminants, vivant dans les savanes africaines et répandue
du Tchad jusqu'en Afrique du Sud. Son nom commun vient de l'arabe زرافة, zarāfah, mais
l'animal fut anciennement appelé camélopard, du latin camelopardus1, contraction
de camelus (chameau) en raison du long cou et de pardus (léopard) en raison des taches
recouvrant son corps. Après des millions d'années d'évolution, la girafe a acquis
une anatomie unique avec un cou particulièrement allongé qui lui permet notamment de
brouter haut dans les arbres.
Neuf populations, se différenciant par leurs robes et formes, ont été décrites par les
naturalistes depuis le XIXe siècle parfois comme espèces à part entière, mais généralement
considérées comme simples sous-espèces jusqu'au XXIe siècle. Cependant la taxonomie des
girafes est actuellement débattue parmi les scientifiques.
L’espèce est considérée comme vulnérable avec le diminution de 40 % du nombre
d'individus entre 1985 et 20152.
Sommaire
1Étymologie
2Description
3Répartition géographique
4Écologie et comportement
o 4.1Course
o 4.2Régime alimentaire
o 4.3Reproduction[20]
4.3.1La girafe mâle
4.3.2La girafe femelle et le girafon (ou girafeau)
o 4.4Prédateurs
5Systématique
o 5.1Sous-espèces
6La girafe et les hommes
o 6.1Une longue histoire
o 6.2Conservation
o 6.3La girafe de Charles X
o 6.4Arts et culture
7Galerie
8Notes et références
9Annexes
o 9.1Articles connexes
o 9.2Références taxinomiques
o 9.3Liens externes
Étymologie
Le substantif féminin3,4,5,6 « girafe » est un emprunt3,4,5 à l'italien giraffa, lui-même emprunté à
l'arabe zurāfa4 pour l'arabe classique4 zarāfa3,5.
Description
Il s’agit de l’animal actuel le plus grand en hauteur, pouvant, grâce à la longueur de son cou,
atteindre jusqu’à 5,50 m ou même 5,80 m. Les girafes femelles mesurent, à l'âge adulte,
entre 4,00 et 4,60 mètres de hauteur, soit 4,30 m en moyenne. Cependant leur cou
comporte le même nombre de vertèbres cervicales (7, d'environ 40 cm chacune) que les
autres mammifères7. Les girafes dorment très peu, moins de 2 heures par 24 heures, et plus
volontiers le jour, car elles peuvent continuer à surveiller l'horizon. En réalité, elles
somnolent debout, les yeux grands ouverts et sur des périodes allant de 1 à 30 minutes
d'affilée8. Le poids d'une girafe varie entre 750 et 1 100 kg pour les femelles et peut aller
jusqu’à 2 000 kg9 pour les mâles. Son pelage à dominante rousse est réticulé ou tacheté de
jaune ; son ventre est blanc. Sa queue, mince et longue, terminée par un pinceau de poils
noirs, mesure de 70 à 100 cm.
La tête porte deux ossicônes, des appendices osseux recouverts de peau. Les ossicônes
des femelles sont couverts d'une touffe de poils tandis que ceux des mâles en sont
pratiquement dépourvus après quelques combats. Les mâles développent parfois en plus
des dépôts de calcium sur leur crâne qui finissent par donner l'impression qu'un troisième
ossicône est présent10. Ses caractéristiques physiques, notamment la longueur de ses
membres et de son cou, font qu'elle est considérée par la NASA comme le modèle idéal
pour étudier l'effet de la gravité sur la circulation sanguine. Les phlébologues de la NASA ont
copié son réseau sanguin pour réaliser la combinaison anti-G des pilotes de chasse et
astronautes11.
Son cœur de 11 kg, au myocarde renforcé, pompe 60 litres de sang et bat à 170 pulsations
par minute, ce qui donne une pression artérielle deux fois supérieure à la pression humaine.
Dans les artères du cou, tout un réseau de muscles annulaires aide à hisser le sang
jusqu'au cerveau. Dans les veines, des valvules orientent le sang vers le cœur. Lorsque
l'animal baisse la tête au sol, les valvules de la jugulaire sont fonctionnelles et empêchent le
sang de retomber vers le cerveau (ce qui conduirait à un « voile rouge »). La veine
jugulaire de la girafe est la plus longue et la plus droite du monde animal et possède
9 valvules. En 1993, à Vincennes, son endoscopie confirma que les constituants
anatomiques d'une veine sont orientés en fonction de son axe d'aplatissement et donc
qu'une veine a bien deux faces et deux bords. En bas des jambes où la pression est
énorme, un système de capillaires sanguins très résistants (le rete mirabile, ou merveilleux
réseau), comparables à ceux de l'espèce humaine, empêche un œdème fatal.
Contrairement à une idée répandue, les girafes possèdent des cordes vocales mais elles
n'émettent que très rarement des sons, se reposant davantage sur la vision que sur
l'audition pour communiquer via par exemple des postures et des mouvements du cou et de
la tête. Dans l'obscurité, les girafes ont tout de même recours à une communication orale,
elles produisent un bruit sourd, une sorte de bourdonnement autour de 92 Hz, c'est-à-dire à
la limite de la perception humaine12. Néanmoins, il est possible d'entendre les girafons en
situation de stress pousser un genre de beuglement approchant celui des bovins13. La girafe
est le seul mammifère terrestre qui ne bâille pas8,14.
Son espérance de vie serait de l'ordre de 10 à 15 ans9 ou de 26 ans15 en milieu sauvage
(selon les sources), et de 279 à plus de 36 ans en captivité15. Un mâle girafe du Kordofan a
vécu 30 ans au Bioparc de Doué-la-Fontaine, il était le doyen de la population captive
européenne16.
Répartition géographique
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la
bienvenue ! Comment faire ?
La girafe vit en Afrique, dans la savane. On la trouve du Tchad jusqu'en Afrique du Sud.
Mais c'est principalement au Kenya, en Tanzanie, au Botswana et au Niger que l'on peut
rencontrer des troupeaux de girafes. Elle était aussi présente en Afrique Australe (Angola,
Botswana, Malawi, Mozambique, Namibie, Swaziland, Zambie, Zimbabwe). Les girafes ont
disparu de la plupart des pays de l'Afrique de l'Ouest. L'espèce a été réintroduite en Afrique
du Sud pour les réserves de chasse.
Écologie et comportement
Course
Lorsqu'elle court, elle va à l'amble, à l'instar du chameau ou de l'ours, c'est-à-dire qu'elle
lève ensemble les deux pattes du même côté. En vitesse de croisière, elle court
à 15 km/h mais peut accélérer à 56 km/h17 en prenant un curieux galop. Les pattes avant se
lèvent ensemble mais largement écartées, ce qui évite que ses sabots s'entrechoquent.
Son galop particulier est facilité par son long cou qui balance et crée l'équilibre, grâce à un
petit muscle spécial qui le tire en avant.
Régime alimentaire
Les acacias de la savane ont atteint des tailles leur permettant d'échapper aux zèbres et aux
antilopes, mais leurs feuilles les plus tendres poussent entre 2 et 6 mètres, ce qui constitue
pour la girafe la hauteur idéale et sa niche alimentaire. Sa langue bleue et préhensile est la
plus puissante, la plus coriace et la plus longue (55 cm) parmi les ongulés. Elle peut
l'allonger pour atteindre les pousses les plus tendres entre les barrières d'épines d'acacias.
La girafe n'a pas d'incisives à la mâchoire supérieure. Elle saisit donc les pousses d'acacias
avec sa langue, puis les guide entre ses lèvres, referme la bouche et tire la tête en arrière
pour racler les feuilles grâce à ses dents du bas.
Certains acacias (Acacia drepanolobium) sont protégés parce qu'ils hébergent des galles
de fourmis agressives du genre Crematogaster18,19, à la morsure cuisante pour la bouche et
les lèvres des girafes. Les acacias broutés émettent plus de nectar servant de nourriture à
ces fourmis[réf. nécessaire] ainsi qu'une hormone végétale de stress leur permettant d'augmenter
leur production de tanin, ce qui rend les feuilles plus amères et moins appétissantes pour la
girafe, laquelle s'éloigne alors pour aller brouter plus loin. Cette boucle de rétroaction
expliquerait que les girafes et les éléphants n'ont jamais surexploité les acacias.
Reproduction20
Les girafes n'ont pas de saison(s) de reproduction définies(s). Les femelles sont
constamment sollicitées par les mâles. La conception malgré cela a généralement lieu à la
saison des pluies et les naissances se produisent entre mai et août dans des périodes
sèches.
Tous les 15 jours les femelles sont en rut pendant une journée. Les mâles doivent donc
rapidement trouver une femelle apte à procréer. Si la femelle est réceptive, celle-ci tourne
autour du mâle et prend une position d'accouplement. Tous les 20 à 30 mois les femelles se
reproduisent.
La gestation dure 457 jours en moyenne. La femelle accouche du girafeau debout ou en
marchant, si bien que celui-ci tombe d'environ 2 m. Il n’y a principalement qu’un girafeau
mais il peut y en avoir deux de manière exceptionnelle. En moyenne les petits pèsent 60 kg
à leur naissance. Ils commencent 15 minutes après l'accouchement à téter leur mère. Le
temps de sevrage est en fonction du sexe : 12 à 16 mois pour les femelles, 12 à 14 mois
pour les mâles. Durant les quinze premiers jours, les mères ne quittent pas leurs petits,
situés toujours à moins de 25 m d’elles. Après trois ou quatre semaines, les petits des
différentes femelles sont regroupés afin de former une sorte de « crèche » où une femelle du
groupe les surveille pendant que les autres femelles s’éloignent pour chercher de la
nourriture ou de l’eau. Les mères rejoignent toutefois chaque soir leurs petits pour les nourrir
et les protéger.
Après 3 à 4 ans chez la femelle la maturité sexuelle est atteinte mais elle attend une année
supplémentaire avant de se reproduire. Les mâles ont leur maturité sexuelle vers l’âge de 5
ans mais ne se reproduisent que vers 7 ans.
La girafe mâle
Le grand mâle parcourt les pâtures des femelles pour trouver une partenaire. Il tente de
dominer ses rivaux en leur coupant le passage et en dressant sa tête le plus haut possible.
Le combat éclate lorsqu'un rival refuse de baisser la tête, de laisser le passage, ou fronce la
lèvre en sa présence.
Dans les combats de girafes, les mâles utilisent leur tête comme une massue, qui est lourde,
cornue et bosselée (comportement appelé necking). Ses ossicônes sont massifs et durs
comme de l'ivoire et sur son front pousse une excroissance osseuse, la corne médiane.
Les deux mâles se cognent jusqu'à ce que l'un d'eux abandonne. La tête d'un mâle de
15 ans pèse 10 kg de plus que celle d'un jeune adulte de 7 ans, ce qui lui permet de gagner
à tous les coups, mais le perdant est rarement tué et ils ne se battent jamais à coups de
sabots.
Une fois qu'un mâle a conquis une femelle, ses amours sont caressantes et paisibles, avec
beaucoup de coups de langue.
La girafe femelle et le girafon (ou girafeau)
Un girafon
La girafe peut commencer à mettre bas dès l'âge de cinq ans. La gestation dure environ
15 mois. La mise bas s'effectue debout et le girafon tombe de près de deux mètres de haut.
Il y a des risques que le girafon meure à la naissance, car en tombant il peut se blesser, et
notamment se briser la nuque, même si cela reste très rare. La girafe met au monde le plus
souvent un seul petit à la fois, exceptionnellement deux.
À la naissance, le girafon mesure deux mètres pour un poids variant de 40 à 80 kg. Les
jambes sont plus longues que le cou et sortent les premières. Le cou est
proportionnellement moins long que celui des adultes. Sur la tête, deux touffes de poils noirs
recouvrent les cartilages des futurs ossicônes, qui se souderont avec les os du crâne. Il
s'agit de l'un des rares animaux dont les appendices crâniens existent dès la naissance.
La girafe n'adopte son petit que s'il est capable de se tenir rapidement debout (généralement
au bout de 15 minutes) et de stimuler la lactation. Au bout d'une heure, il doit tenir sur ses
pattes pour atteindre les mamelles de sa mère où il pourra se nourrir d'un lait très gras. Dans
le cas contraire, elle l'abandonne ou même le tue.
La mère se fait comprendre de son petit en le caressant avec le bout de son museau ou
avec un langage sonore d'une fréquence trop élevée pour les humains. Elle l'incite ainsi à la
suivre et à la téter, créant ainsi le lien maternel.
Le girafon grandit de un mètre durant la première année de sa vie. À six mois, il approche
les trois mètres et à sept ans, il aura sa taille d'adulte avec un minimum de cinq mètres.
Le sevrage intervient au bout de 12 à 16 mois mais le girafon peut rester avec sa mère
jusqu'à l'âge de deux ans et demi. Après cette période, il est gardé dans une « nurserie » qui
permet à sa mère d'aller s'alimenter. La maturité sexuelle est acquise au bout de trois à
quatre ans pour un girafon femelle, et quatre à cinq ans pour un mâle10.
Prédateurs
Adulte et en bonne santé, la girafe n'a à craindre que le lion, bien qu'elle puisse le tuer d'un
coup de patte. Par contre, les jeunes qui échappent à la surveillance de leur mère ou isolés
du troupeau et les sujets affaiblis par la vieillesse, la maladie ou une blessure, peuvent être
la proie de prédateurs comme les lions, les hyènes rayées, les hyènes tachetées,
les léopards ou les lycaons. C'est ainsi que trois girafons sur quatre se font tuer avant l'âge
de trois mois.[réf. nécessaire] Aux points d'eau, les girafons peuvent aussi être victimes
des crocodiles10. La girafe se repose et dort debout. Ce n’est que si elle se sent parfaitement
en sécurité qu’elle dormira et se reposera par terre ; sa stature la rend vulnérable aux
prédateurs, car elle met un certain temps à se relever.
Systématique
Sous-espèces
Neuf sous-espèces sont généralement acceptées, avec notamment quelques variations de
couleurs et de répartition géographique :
Une girafe est visible sur une fresque de Giorgio Vasari au Palazzo
Vecchio de Florence.
Salvador Dalí a peint en 1937, pendant que la guerre civile faisait rage en Espagne, une
toile intitulée La Girafe en feu (ce tableau est conservé au musée des beaux-arts de
Bâle).
Honoré de Balzac a écrit[réf. nécessaire] Discours de la girafe au chef des six Osages
prononcé le jour de leur visite au jardin du Roi, traduit de l’arabe par l’interprète de la
girafe. François-René de Chateaubriand a écrit un pamphlet : La girafe ou le
gouvernement des bêtes.
En France, Sophie la girafe est un jouet en caoutchouc créé en 1961 et destiné à être
mordillé par les nourrissons.
En argot, une girafe est une personne de haute taille.
L'expression « peigner la girafe » signifie ne rien faire ou perdre son temps. L'origine de
cette expression, qui n'est pas attestée avant 1900, est inconnue27. On sait cependant
que lorsqu'une girafe (nommée Zarafa) fut offerte à Charles X par le pacha d'Égypte,
celle-ci eut un gardien personnel, qui répondit à ses supérieurs lui reprochant de ne rien
faire, qu'il était fort occupé à peigner la girafe.
La girafe est une métaphore de la communication non-violente.
Représentation sur tapisserie. Verdure à la girafe, vers 1600, musée des Hospices civils de Lyon.
Galerie
Girafe d'Afrique du Sud (G. c. giraffa)
Girafe réticulée
Ossicônes de la Girafe
Notes et références
1. ↑ Gaffiot [archive]
2. ↑ Revenir plus haut en :a et b « Les girafes menacées d’« extinction silencieuse » », Le Monde, 16 août
2019 (lire en ligne [archive], consulté le 16 août 2019)
3. ↑ Revenir plus haut en :a b et c « Girafe » [archive], dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre
national de ressources textuelles et lexicales [consulté le 1er septembre 2017].
4. ↑ Revenir plus haut en :a b c et d Définitions lexicographiques [archive] et étymologiques [archive] de « girafe »
(sens A, en part. ZOOL.) du Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre
national de ressources textuelles et lexicales [consulté le 1er septembre 2017].
5. ↑ Revenir plus haut en :a b et c Entrée « girafe » [archive], dans Alain Rey (dir.), Marianne Tomi,
Tristan Hordé et Chantal Tanet, Dictionnaire historique de la langue française, Paris, Dictionnaires
Le Robert, juillet 2010 (réimpr. janvier 2011), 4e éd. (1re éd. février 1993), 1 vol., XIX-2614 p.,
29 cm(ISBN 978-2-84902-646-5 et 978-2-84902-997-8, OCLC 757427895,
notice BnFn FRBNF42302246, SUDOC 147764122, lire en ligne [archive]) [consulté le 1er septembre2017].
o
6. ↑ Entrée « girafe » [archive] (sens 1) des Dictionnaires de français [en ligne], sur le site des éditions
Larousse [consulté le 1er septembre 2017].
7. ↑ Girafe (Giraffa camelopardalis) [archive] sur conservation-nature.fr
8. ↑ Revenir plus haut en :a et b Pourquoi baille-t-on ? [archive]
9. ↑ Revenir plus haut en :a b et c « Encyclopédie Larousse en ligne - girafe » [archive],
sur www.larousse.fr (consulté le31 décembre 2015)
10. ↑ Revenir plus haut en :a b c d e f et g Jean-Louis Hartenberger, Grandeur et décadence de la girafe, Éditeur
Belin, mars 2010
11. ↑ (en)Alan R. Hargens, Developmental Adaptations to Gravity/Cardiovascular Adaptations to
Gravity in the Giraffe, Life Sciences Division, NASA Ames Research Center (California),
1994, p. 12.
12. ↑ https://www.wired.com/2015/09/giraffe-say-scientists-find-answer/ [archive]
13. ↑ https://www.youtube.com/watch?v=Y7iuOZVJhs0 [archive]
14. ↑ « Giraffa camelopardalis » [archive], sur Futura-Sciences (consulté le 23 mars 2014)
15. ↑ Revenir plus haut en :a et b Encyclopedia Universalis version 9 (2003)
16. ↑ « Doué-la-Fontaine. Sacha, plus vieux mâle reproducteur girafe d’Europe est mort » [archive],
sur ouest-france.fr, 22 novembre 2017
17. ↑ Girafe Encyclopédie Larousse [archive]
18. ↑ (en) Truman P. Young, Maureen L. Stanton, Caroline E. Christian (2003) « Effects of natural and
simulated herbivory on spine lengths of Acacia drepanolobium in Kenya ». Oikos April 2003, 101
(1), 171–179. DOI:10.1034/j.1600-0706.2003.12067.x
19. ↑ (en) Stapley L (1999) « Physical worker castes in colonies of an acacia-ant (Crematogaster
nigriceps) correlated with an intra-colonial division of defensive behaviour ». Insectes sociaux1999,
vol. 46, no 2, p. 146-149.
20. ↑ « Girafe (Giraffa camelopardalis) » [archive], sur conservation-nature.fr (consulté le5 juillet 2019)
21. ↑ (en) David M Brown, Rick A Brenneman, Klaus-Peter Koepfli, John P Pollinger, Borja Milá,
Nicholas J Georgiadis, Edward E Louis, Gregory F Grether, David K Jacobs et Robert
K Wayne, « Extensive population genetic structure in the giraffe », BMC
Biology, vol. 5, no 1, 2007, p. 57 (ISSN 1741-7007, DOI 10.1186/1741-7007-5-57)
22. ↑ (en) Julian Fennessy, Tobias Bidon, Friederike Reuss, Vikas Kumar, Paul Elkan, Maria
A. Nilsson, Melita Vamberger, Uwe Fritz et Axel Janke, « Multi-locus Analyses Reveal Four Giraffe
Species Instead of One », Current Biology, vol. 26, no 18, 2016, p. 2543–2549 (ISSN 0960-
9822,DOI 10.1016/j.cub.2016.07.036)
23. ↑ (en) Fred B. Bercovitch, Philip S.M. Berry, Anne Dagg, Francois Deacon, John B. Doherty, Derek
E. Lee, Frédéric Mineur, Zoe Muller, Rob Ogden, Russell Seymour, Bryan Shorrocks et
Andy Tutchings, « How many species of giraffe are there? », Current Biology, vol. 27, no 4, 2017,
R136–R137 (ISSN 0960-9822, DOI 10.1016/j.cub.2016.12.039)
24. ↑ Camille Chuquet, « Les girafes sont en train de disparaître dans le plus grand des
silences » [archive], Daily Geek Show (consulté le 14 décembre 2016).
25. ↑ Jean-Louis Hartenberger; Grandeurs et décadences de la girafe; Belin; 2010; (ISBN 978-2-7011-
3354-6).
26. ↑ Pour éviter son extinction, la girafe sera protégée [archive], 20 minutes (Suisse), 22 août 2019
27. ↑ Laurent Herz, Dictionnaire des animaux et des civilisations : linguistique et symbolique,
L'Harmattan, 2004, p. 115.
Annexes
Sur les autres projets Wikimedia :
Girafe, sur Wikimedia Commons
Girafe, sur Wikispecies
girafe, sur le Wiktionnaire (thésaurus)
Articles connexes
Liens externes
(en) Référence Animal Diversity Web : Giraffa camelopardalis [archive] (consulté le 28 juin 2012)
(en) Référence NCBI : Giraffa camelopardalis [archive] (consulté le 28 juin 2012)
(en) Référence UICN : espèce Giraffa camelopardalis (Linnaeus, 1758) [archive] (consulté le 20
mai 2015)
(en) Référence uBio : Giraffa camelopardalis (Linnaeus, 1758) [archive] (consulté le 28 juin 2012)
(en) Référence Fonds documentaire ARKive [archive] : Giraffa
camelopardalis [archive] (consulté le 28 juin 2012)
Giraffe Conservation Foundation [archive]
Introduction à l’Histoire de la girafe au Moyen Âge [archive]