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APS
Lundi, 13 Mai 2019 17:55
ALGER - Les superficies agricoles irriguées à travers tout le territoire nationale ont atteint
plus de 1,3 millions d'hectares jusqu'à à fin 2018 alors que ce chiffre ne dépassait pas les
164.000 hectares en 1962, ont affirmé lundi les ministres de l'Agriculture, Cherif Omari et
des ressources en eau, Ali Hamam.
"L'objectif escompté est d'atteindre 2 millions d'hectares de superficies agricoles irriguées en vue
d'assurer une abondance en matière de production agricole pour garantir la sécurité alimentaire",
ont indiqué les deux ministres lors d'une rencontre d'évaluation et de concertation ayant regroupé
les cadres des deux secteurs au siège du ministère de l'Agriculture dans le cadre de la
coordination entre ces deux départements concernant les programmes conjoints relatif à l'irrigation
agricole.
Après avoir suivi un exposé exhaustif sur les résultats réalisés par les secteurs de l'agriculture et
des ressources en eaux en matière d'irrigation agricole, M. Omari a précisé que les superficies
irriguées avaient attient jusqu'à fin 2018, plus de 1,3 millions d'hectares outre l'extension des
superficies irriguées dotées de systèmes d'irrigation goutte-à-goutte, à 757.494 hectares à fin
2018.
A ce propos, il a fait savoir que toutes les mesures nécessaires avaient été prises pour doter les
agriculteurs de ces équipements et matériels (assurer leur disponibilité sur le marché national) qui
leur permettront de recourir aux systèmes économiseurs d'eau notamment dans certains filières
essentielles comme la céréaliculture.
Ces systèmes économiseurs d'eau qui étaient réservés à certaines filières, seront élargies à
d'autres filières "importantes" dont la culture de la pomme de terre, de la tomate et des arbres
fruitiers en vue d'économiser l'eau et améliorer la production au niveau des superficies irriguées, a-
t-il ajouté.
Le ministre a, également, indiqué que les secteurs de l'Agriculture et des Ressources en eaux
œuvreraient ensemble à l'encadrement des producteurs afin de d'augmenter la production et la
productivité, soulignant que son secteur collaborait actuellement avec celui des ressources en
eaux en vue de "développer les équipements du système goutte-à-goutte pour l'utiliser dans le
domaine agricole".
Soulignant l'importance du programme de mise en valeur des terres par voie de concession, il a
expliqué que l'objectif escompté était la promotion de l'investissement agricole et l'extension des
superficies agricoles.
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APS
Lundi, 13 Mai 2019 13:17
Pomme de terre : une production annuelle de près de 50 millions de
quintaux
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APS
Lundi, 13 Mai 2019 14:45
Poudre de lait: le quota accordé à l'ONIL maintenu pour une année supplémentaire
Les délégués de la filière ont, en outre, exprimé le risque que comporte cette situation pour le
maintien des niveaux de production, des équilibres des emplois, des ressources des petits
agriculteurs et de la stabilité de l'économie rurale, appelant ainsi à la tenue d'une réunion avec le
ministère de l'Agriculture du Développement rural et de la Pêche pour arriver à une "issue rapide"
et des solutions "concrètes".
M. Ziani a également demandé à ce que des représentants d'opérateurs privés de la filière lait
soient présents dans les Comités ministériels ad-hoc chargés de l'attribution des quotas de poudre
de lait subventionnée.
Il a également recommandé le lancement d'"une réflexion" en collaboration avec les pouvoirs
publics, pour libérer les prix administrés du lait en sachet (25 DA), tout en les plafonnant autour de
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L'ONIL attribue les quotas au prorata de la population et les capacités de chaque unité
Pour sa part, le directeur général de l'Office national Interprofessionnel du lait (ONIL), Mourad
Alim, a affirmé, dans une déclaration à l'APS, que "la répartition des quotas de la poudre de lait
subventionnée est décidée par une commission ad-hoc placée sous l'égide du ministre de
l'Agriculture du Développement rural et de la Pêche".
Cette Commission, a-t-il expliqué, est composée de représentants du ministère de l'Agriculture et
de ceux du Commerce, de la Santé, ainsi que de l'ONIL.
Les quotas sont attribués au prorata de la population de chaque wilaya, en fonction des
capacités de production de chaque laiterie, sachant que les capacités des unités de
production du Groupe Giplait avoisinent les 350.000 litres/jour, alors que celles des laiteries
privées sont à 50.000 maximum. Par conséquent les importants quotas reviennent au
Groupe Giplait.
Il a précisé que "l'Etat a une main mise sur le groupe Giplait et s'il lui est demandé de travailler en
h24 ou distribuer le lait sur une autre wilaya que celle dans laquelle il est implanté, il le fera, ce que
les opérateurs privés refusent, car le coût du transport leur revient plus cher, donc, la vente d'un
sachet de lait à 25 da leur devient moins rentable".
M. Alim a, en outre, évoqué "les tricheries" de certaines laiteries privées qui utilisent de la poudre
de lait subventionnée pour produire d'autres dérivés, non subventionnés comme les yaourts et les
fromages.
Il a précisé qu'à l'importation la poudre de lait entier coûte 409 DA/kg et celle du lait écrémé 253
DA/kg, mais elles sont vendues à 157Da/kg par l'ONIL aux 101 laiteries privées et 15 laiteries
publiques bénéficiant des prix subventionnés.
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