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17/03/2017

Chapitre 2 : Courbes caractéristiques des Pompes & Turbines

• N7 Département HMF, 1H

• Machines Hydrauliques
• Véronique ROIG (roig@imft.fr)
• mars 2017

Chapitre 2 : Courbes caractéristiques des Pompes & Turbines

Chapitre 2 : Courbes caractéristiques des Pompes & Turbines

BE1 : Evolutions de l’énergie mécanique et de la pression à l’intérieur de la pompe


Démonstrations et analyse précise en BE 1 !!

Q1 : Comprendre la forme des courbes caractéristiques réelles


en fonction du débit Q : Hmp(Q), h(Q) …

Q2 : Comprendre les évolutions de l’énergie mécanique et de la


pression (Charge, Hauteur piézométrique) à l’intérieur d’une
pompe

Q3 :Analyser les pertes d’énergie

(1) On démontrera en BE que les Courbes


caractéristiques à vitesse de rotation w fixée
ont la forme suivante
(2) On examinera en BE l’évolution de la
charge et de la hauteur piézométrique
à la traversée d ’une pompe

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Chapitre 2 : Courbes caractéristiques des Pompes & Turbines

2.1/ Les 3 Courbes caractéristiques d ’une pompe : : à vitesse de rotation w fixée


• Courbe caractéristique réelle Hmp(Q) • Rendement h(Q)
hauteur manométrique pompe(énergie totale fournie au liquide
entre les sections d ’entrée et de sortie) : HmP = DesHtot Zone optimale d’utilisation

H th
J f
J S
H mP (b2.>p/2) aubes
courbées en arrière
(b2.>p/2) aubes
courbées en
arrière

• NPSH(Q) (cf cavitation) Patm  PVS (T )


 has
hauteur en m

g
hauteur d ’aspiration (NPSHrequis)
(NPSHdispo)
requise ou NPSH (Net donnée
Positive Suction Head) constructeur

Domaine de cavitation
3
Qcrit Q

Chapitre 2 : Courbes caractéristiques des Pompes & Turbines

2.2/ Courbes caractéristiques d ’une turbine (à w constante)

NB : les turbines ont des variables de réglages


Position fixe de
internes supplémentaires par rapport aux pompes. l ’organe de
Il s ’agit de : réglage de débit
-le degré d ’ouverture du distributeur x (rapport
entre la section de passage et la section maximale
autorisée),
- l ’angle de calage des aubages rotoriques i

Au lieu d’utiliser les courbes similaires à celles des pompes


obtenues pour une géométrie d’aubes fixée, on utilise les Collines
de rendement. Qu’est-ce ?

A/ On construit d’abord les Courbes à ouverture du


distributeur (notée A ici) fixe :
(ou à réglage du pointeau fixe)

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Chapitre 2 : Courbes caractéristiques des Pompes & Turbines

Courbes caractéristiques à vitesse constante

B/ On construit ensuite la Colline des


rendements H(Q) :

Avec les Courbes à différentes ouvertures du


distributeur =>
on construit un faisceau de courbes H(Q) auquel on
superpose des lignes de rendement constant

La colline de rendement contient toute


l’information nécessaire au fonctionnement
de la turbine

Chapitre 3 : Analyse adimensionnelle

Chapitre 3 : Analyse adimensionnelle

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Chapitre 3 : Analyse adimensionnelle

Plan du chapitre 3

• 3.1/ Analyse adimensionnelle

• 3.2/ Conditions de similitude

• 3.3/ Utilisation de la similitude

• 3.4/ Vitesse spécifique, classement des machines

• Questions posées :

Comment varie le fonctionnement d ’une machine quand on change la vitesse de rotation N ?

Quelles sont les caractéristiques d ’une machine géométriquement semblable à une machine
donnée mais de dimension différente ?

Comment fabriquer une machine réelle à partir d’une maquette ?


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Chapitre 3 : Analyse adimensionnelle

• 3.1/ Analyse adimensionnelle

• Quels sont les nombres adimensionnels qui régissent le fonctionnement d’une


machine de géométrie donnée ?

• On étudie des familles de machines géométriquement semblables


(caractérisées par une seule longueur de référence notée r)

L’ensemble des machines d’une même famille est caractérisé par d’uniques rapports des dimensions
linéaires à cette échelle de longueur r & par la constance des angles d’aubages homologues

Quels rotors sont géométriquement semblables ?

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Chapitre 3 : Analyse adimensionnelle

• 3.1.a/ Analyse adimensionnelle pour des pompes


qui sont géométriquement semblables !

L’analyse adimensionnelle : 5 variables indépendantes : , mvisc , r, w, Q (volumique)

2 Nombres adimensionnels dont dépend le problème :


L’usage => Nombre de Reynolds & coefficient de débit :

Re 
w r 2

Q **
mvisc w r3

• Choix de variables dépendantes pour caractériser le fonctionnement de la pompe :


Hauteur manométrique H mP Rendement hydraulique d’aubages hH

On construit les nombres sans dimension qui caractérisent le fonctionnement. Les plus courants sont :

m
gH mP Pouvoir manométrique ou hH Rendement hydraulique
w 2r 2 coefficient de pression d’aubages

Chapitre 3 : Analyse adimensionnelle

NBB : la dépendance en Reynolds est faible (à grand Re), et on l’élimine donc ! Sauf pour du pompage de fluides très visqueux.

• Le fonctionnement des pompes géométriquement semblables est caractérisé de façon générale par
les relations entre nombres adimensionnels de la forme :

m=f1(Re,), hH=f2(Re,) ...

Les caractéristiques de toutes les pompes géométriquement semblables sont résumées


par ces deux courbes !
Cela justifie l’essai de pompes sur maquettes par ex.

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Chapitre 3 : Analyse adimensionnelle

• 3.1.b/ Analyse adimensionnelle pour les turbines

NB : L ’ouverture du distributeur x et/ou l ’angle de calage des aubes du rotor i sont deux
variables supplémentaires de réglage des turbines / pompes.
N=6 (ou 7) variables indépendantes : , mvisc , r, H, w, x (et i)

3 (ou 4) Nombres adimensionnels dont dépend le problème

w r 2 gH x (et i)
l ’usage => Re  m (9)
m visc w 2r 2 Pouvoir
manométrique

Choix de variables dépendantes pour caractériser le fonctionnement :


débit Q (volumique) , Rendement hydraulique global ...

On construit les nombres sans dimension qui caractérisent le fonctionnement. Les plus courants sont :
Q (10) Pmec Rendement hydraulique
 ht 
w r3 coefficient de débit Phyd d’aubages
...

Le fonctionnement en similitudes de turbines géométriquement semblables est donc régi


par les relations entre variables réduites dites « coefficients de Rateau » :
   (Re, m , x, i ) ht  ht (Re, m , x, i )
...

Chapitre 3 : Analyse adimensionnelle

• 3.2/ Conditions de similitude


Similitude =
Machines géométriquement semblables
(Chaque machine est caractérisée par une seule longueur r )
+
Similitude de fonctionnement :
Cad qu’en tous points homologues, on a des champs des vitesses absolues et
relatives semblables (cf figure) (conservat° des angles du triangle des vitesses)

Pour un fonctionnement de 2 machines (A) et (B) géométriquement


semblables & fonctionnant en similitude on a :
A  B (démo ci-dessous*) Triangles des vitesses
semblables de 2 pompes du
même type en similitude
Peu de dépendance en Re =>

L ’analyse adimensionnelle permet alors d’écrire :


m A  mB et h A  hB …

* Démonstration :
Qb  vrb rb bb  cvra lra lba  cl2Qa
• Triangles des vitesses semblables ub  cu a *
& géométrie semblable =>
vrb  cv ra Qb cl2Qa
introduisons les facteurs c & l tels que b    a
wb rb3 c(wa ra )l2 ra2
vb  cva
(angles conservés => rb  lra ** H th )b  (u2 v 2  u1 v 1 )b  c 2 H th ) a gH th )b
W V ma )b   ma ) a
 
Th. Thalès valable) g
bb  lba ub2
Nb : stricto sensu Re b  Re a demanderait mb
de vérifier cl 1
u u wr ma

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Chapitre 3 : Analyse adimensionnelle

• Attention !!
Si entre 2 machines géométriquement semblables les points de fonctionnement n’assurent pas que
les triangles des vitesses soient semblables alors on ne peut pas utiliser les lois de similitude !!!

Les angles du triangle des vitesses ne sont pas conservés entre n’importe quels points de
fonctionnement (wa, Qa) et (wb, Qb)

La similitude de fonctionnement demande donc d’être dans des conditions particulières des vitesses
de rotation et de débits des 2 machines géométriquement semblables.

• Exemple où il n’y a pas similitude entre des machines radiales a et b :

rb  lra vrb
rayon caract.
Qb  2prb bb vrb  2p (lra )(lba )vrb  l2 Qa  l2 dQa
bb  lba vra
l dQa
hauteur caract.

Qb d
2
ub  cua b    a  a donc pas de similitude !
wb rb c(wa ra )l2 ra2 c
vitesse entraint.
3

vitesse en 
vb  cva
même si :
vrb  cvra
(u 2 v 2  u1 v 1 )b
vitesse en r

(vrb  dvra ) H th )b   c 2 H th ) a
g
gH th )b
ma )b   ma ) a dans ce cas particulier, mais fortuit !!

ub2 13

Chapitre 3 : Analyse adimensionnelle


Rappel définitions
• 3.3.a/ Utilisation de la similitude des pompes gH mP
m
w 2r 2
Q
 3
wr
1er exemple : Connaissant les courbes de fonctionnement d ’une pompe tournant à la vitesse w1,
déterminer le fonctionnement de cette même pompe, véhiculant le même fluide mais tournant à une
vitesse différente w2 :
On ne peut faire le calcul que dans des conditions de similitude !

Fonctionnement 1 à vitesse w1 connu Fonctionnement 2 à vitesse w2 ?

on connaît les caractéristiques


HmP1(Q1) , h1(Q1)
et notamment un point : On cherche les caractéristiques en
similitude (Q , H ,h )
(Q1 , H mP1 ,h1 )
r
2 mP2 2

dimension conservée

1   2
similitude
m1  m 2 Q2 w2

h1  h 2 Q1 w1
H mP 2 w22

H mP1 w12
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h1  h 2

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Chapitre 3 : Analyse adimensionnelle

gHmP
Connaissant HmP(Q) à w1 on peut donc
construire HmP(Q) à w2 ! 1

Caractéristiques à diverses vitesse de rotation

Commentaires :
C1 : Les fabricants proposent divers ‘modèles de pompes’ en gardant un même corps de pompe
(rotor + stator) mais en entrainant le rotor avec différents moteurs et en changeant la vitesse
de rotation w => ils peuvent ainsi proposer des produits assurant différentes courbes
caractéristiques bien déterminées du plan Hmp(Q) !

C2 : Un moteur à vitesse de rotation réglable permet de se régler aisément un débit


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Chapitre 3 : Analyse adimensionnelle


Exercice 1 :

Une pompe de la famille définie par les courbes ci-contre


a un rayon r=20cm, une vitesse de rotation w=1500 tr/min.

Estimer au point de fonctionnement optimal,


(1) le débit Q, hH
(2) la hauteur manométrique Hmp, hH
(3) l’élévation de pression,
(4) la puissance sur l’arbre du moteur Warbre

si on admet que le rendement mécanique hm = 0,7
(5) le NPSH)requis et la hauteur maximale d’installation sans
cavitation si on néglige la perte de charge dans le circuit 0,6

d’alimentation m
m

0,4

0,2
mcavit mcavit
X 10
0

Indications de correction :  (x 10)


Q~0,014m3/s; Hmp~51 m; DP~5 bar;
hH~0,88; Warbre~11,8 kW g ( NPSH )
NPSH)requis ~3 m; haspi<7 m mcavit  16
w 2r 2

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Chapitre 3 : Analyse adimensionnelle

• 3.3.b/ Utilisation de la similitude des turbines

(1) Changement de caractéristiques lié à un changement de taille d’une turbine

Pbe : calculer les caractéristiques d’une turbine de forme géométriquement semblable à


un modèle réduit pour lequel on connaît les courbes de performances

Maquette ?
gH
m1   m2
w 2r 2 1 
Q
 2
Turbine en grandeur
wr 3 réelle
Turbine Francis, centrale d ’Itaipu
(18 turbines , 740 MW) (Photo P Henry)

Démonstration : page ci-après en lecture autonome

Chapitre 3 : Analyse adimensionnelle

Démonstration :

Fonctionnement 1 de la maquette connu Fonctionnement 2 de la machine réelle ?

on connaît les caractéristiques : On cherche les caractéristiques en


r1 dimension, angles similitude :
&
H1(Q1) , h1(Q1) à w1 la dimension r2, pour les mêmes angles
&
et notamment un point : (w2 , Q2 , H2 ,h2 ) pour la similitude
(w1 , Q1 , H1 ,h1 )
dimension r transformée
Q2 w2 r23
1   2 
Q1 w1 r13
similitude
m1  m 2 H 2 w22 r22 cqft

h1  h 2 H1 w12 r12
h1  h 2
Rappel définitions
gH mP
m
NB1 : Si l’installation réelle impose (Q2 et H2) alors on en déduit w2 et r2 par exemple. w 2r 2
Q
 3
wr
NB2 : puissance P=gQH, couple T=P/w.
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Chapitre 3 : Analyse adimensionnelle

(2) Courbes représentatives du fonctionnement d’une famille de machines


En pratique, le fonctionnement en similitudes de turbines n’est pas représenté par les
courbes associées aux coefficients adimensionnels de Rateau :    ( m , x, i ) ht  ht ( m , x , i ) …!…

• On utilise plutôt des Collines de rendement utilisant des variables réduites de la machine réelle qui correspondent
à un fonctionnement en similitude avec une machine modèle travaillant sous une hauteur H = 1 m et avec un diamètre de
rotor D = 1 m.
•Ces variables réduites sont:
La vitesse angulaire réduite N11 : vitesse (tr/min) de la machine modèle de diamètre 1m, qui fonctionnerait en similitude
sous une hauteur de 1m
Le débit réduit Q11 ; la puissance réduite P11 (en W ou kW) ; le couple réduit C11 : idem pour la machine modèle

On définit ces variables à partir des données de la machine réelle (vraie vitesse de rotation N, vrai diamètre D, vrai
débit Q, vrai hauteur H) :

D Q P C
N11  N Q11  P11  C11 
H 1/ 2 D 2 H 1/ 2 D2 H 3/ 2 D3H
Ces variables réduites N11, Q11, P11 et C11 ne sont pas adimensionnelles, leur valeur dépend du système d’unités utilisé.
Mais D et H doivent être exprimés en m ! ( en raison de la similitude).
Ces variables se conservent dans une similitude.

• Les relations caractéristiques d’une famille de turbines sont donc données sous la forme :
Q11 = f1(N11, x, i) ; C11 = f2(N11, x, i) ; P11 = f3(N11, x, i) ; η = f4(N11, x, i)

Exercice formateur : retrouver les définitions de N11, Q11 et P11 en utilisant la similitude

Chapitre 3 : Analyse adimensionnelle

Exemple de Colline de rendement utilisant des variables réduites :

Une représentation très utilisée des courbes de fonctionnement d’une famille de turbines consiste à
tracer : (1) P11 ou Q11 en fonction de N11 avec x comme paramètre & (2) les courbes joignant entre eux
les points d’égal rendement.
Ces courbes sont nommées collines de la famille de turbines.

Cas avec ouverture x réglable

P
P11 
D 2 H 3/ 2

D
N11  N
H 1/ 2

Attention : selon les cas P=PHyd ou P=hPHyd !

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Chapitre 3 : Analyse adimensionnelle

• 3.4a/ Vitesse spécifique, classement des pompes centrifuges


NB : Pour conserver un rendement appréciable & une taille raisonnable du rotor il faut choisir
une classe de machine en fonction de ce que l’on appelle la vitesse spécifique S (ou NS)

Vitesse angulaire spécifique (ou nombre de tours spécifique)


Concept basé sur les propriétés de similitude, utile pour le choix d’une pompe pour une
application donnée, cf il permet une classification des pompes selon leur type.
C’est une combinaison de m et  , qui se conserve donc dans la similitude, et qui permet
d’éliminer r et ne fait intervenir que des grandeurs intéressant l’installation hydraulique,
à savoir : Q, HmP et w.
Mais: DANGER cf ce n’est pas un nombre sans dimension !
 1/ 2 Q1 / 2
S   w 3/ 4 3/ 4
m 3/ 4
g H mP
selon les auteurs
60 Q1 / 2
NS  S g 3 / 4  N 3/ 4 en tr/mn
2p H mP

Pour aller plus loin : démonstration : l’élimination de r entre m et  permet d’introduire un nouveau nombre adim conservé dans la similitude
gH
m   cste  2 Q 2w 4  1/ 2 Q1/ 2
w 2r 2   cste  w 3 / 4 3 / 4  cste 2pN
w
Q m 3 g 3H 3 m 3/ 4 g H 60
  3  cste
wr

On définit donc Ns qui 2p  Q1 / 2 Au sens de : Vitesse de rotation (en tr/min) d’une machine de la
1/ 2

se conserve dans la N S  g 3/ 4  N 3/ 4 famille considérée fonctionnant en similitude et capable de


similitude 20 m 3 / 4 H débiter Q=1 m3/s sous H=1m
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Chapitre 3 : Analyse adimensionnelle

Classification des pompes en fonction de la vitesse angulaire spécifique (ou du


nombre de tours spécifique)

radiale axiale

Dans ce tableau
 1/ 2
S 
m 3/ 4

Augmenter  S augmenter  et diminuer m


passage de pompes radiales à des pompes hélico-centrifuges puis axiales …

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Chapitre 3 : Analyse adimensionnelle

3.4.b/ Classification des turbines classiques, domaines d ’application

Les types de turbines sont classés en fonction de la vitesse spécifique.

Le plus souvent on utilise la définition suivante de NS : « le nombre de tours par minutes d ’une turbine
en similitude qui fonctionnerait sous 1 m de chute en produisant 1kW. »
Cela revient à écrire : NB : N et Ns en tr/min ; H en m ; Phyd en kW
Phyd
1/ 2

NS  N
H 5/ 4

NB : Il existe une autre définition de la vitesse spécifique dans la littérature : nq d ’une turbine
travaillant sous 1 m de chute avec un débit de 1m3/s
Q1 / 2
nq  N
H mP
3/ 4

Attention à bien identifier la définition avec laquelle on travaille !

Chapitre 3 : Analyse adimensionnelle

Classification en 3 technologies principales …


Roue de turbine Pelton Roue d’une turbine Francis Roue d’une turbine Kaplan

Machine « à action » Machine « à réaction » Machine axiale « à réaction »

On choisit la technologie en fonction de la chute à équiper :


cad en fonction de (Q, Hn) ou mieux : en f° des vitesses spécifiques Ns ou nq

H
Q Règle élémentaire de choix des turbines :
Vitesses spécifiques (Ns et nq ) et hauteurs d’utilisation des différentes turbines

Type de turbines NS (tr/mn) nq(tr/min) Hn(m) Q (m3/s)


Pelton 6 à 60 2 à 20 40 à >1 000 grand Q<1 petit
Francis 50 à 350 16 à 120 6 à 250 moyen 1<Q<10 moyen
Kaplan 200 à 950 65 à 300 2 à 20 petit 1<Q<20 grand

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Moodle N7
Cours NBH3C APP Hydraulique

TD Machines Hydrauliques et Exercices imposés

Utilisation des triangles des vitesses, relation d'euler et du premier principe

Etude élémentaire d'une pompe radiale avec diffuseur

Analyse d'une turbomachine

Théorème de Bernoulli en repère tournant et équation d'Euler

Similitudes de turbines

Similitudes de pompes

Condition de non cavitation de turbines à réaction

Rôle d'un diffuseur

Puissance et rendement d'une turbine Pelton.


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Merci de votre attention,

des questions ?

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Formulaire (1/2)

 
Vitesse de rotation du rotor : w
D E C  E P  Wext , A  m    m
( Ps  Pe )

s
(2)
s


(1)
Vitesse absolue : V
e 
e

Vitesse relative : W
W int
Machines « modèles » :
Identification des entrées et sorties :
a/ radiales VZ  0 WZ  0 re  rs
   
re  ? rs  ? (3-b)
re  rs (3-a)
b/ axiales V  0 Wr  0
   
Pompes centrifuges et Turbines centripètes
r

c/ hélices ou mixtes

V  U W (4-a) U w r (4-b)
     

V

W b

W tangent à l ’aube dans le rotor

a a  (U ,V ) (4-c)
 
(5)
U b  (U , W )
tangent à l’aube dans le stator
  
V

V  U W
  

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Formulaire (2/2)

Volume de contrôle fixe (entrée-sortie du rotor)

 V .n dS  0 (6)

SC

 V (V .n ) dS    PndS    .ndS   gdv (*)


   V  
SC SC SC VC

  OM  V (V .n )dS    OM  Pn dS   OM   .n dS   OM  gdv (**)


   V  
SC SC SC VC

Wext , A  m (U 2V 2  U1 V 1 ) Equation d ’Euler des turbomachines ! (7)


( Machines axiales et / ou radiales )

Pour un fluide réel et une rotation uniforme le théorème de Bernoulli en


repère relatif s ’énonce :
(W22  U 22 ) (W 2  U12 )
P2    gz2  P1   1  gz1   (U  r) (8)
2 2
12
0

gH
m (9) Pouvoir manométrique
w 2r 2

Q (10) coefficient de débit



w r3 28

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