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Classification

Bactéricide : Tue bactérie, agit sur la paroi.


Bactériostatique : Inhibe multiplication sans tuer, agit sur la synthèse des protéines.

Temps-dépendant CMI : Concentration minimale inhibitrice.


Efficace si : Cmin est au-dessus de la CMI durant toute l’intervalle. Si sous la CMI, la
croissance bactérienne reprend, donc la résistance peut se développer.
AB : B-lactamines, clindamycine, macrolides, vancomycine.
Concentration- Cmax : Plus le pic est élevé, plus AB est efficace. On vise Cmax/CMI, de 10 :1.
dépendant Lorsque la concentration est sous la CMI, l’effet post-AB inhibe la croissance.
AB : Aminosides et quinolones

G+ G- Anaérobie Atypique
Staph E. Coli B. Fragilis Chlamydia
Strept Klebsiella C. Difficile Mycoplasma
Entérocoque Pseudomonas P. Acnes Legionella
Listeria N. Méningite
N. Gonorrhée
Moraxella

Pénicillines
Classification (A) Pénicillines naturelles
PO : Pénicilline V. QID. À JEUN.
IM : Pénicilline G. (Procaïne ou benzathine) Détruite par acidité gastrique. Absorption
lente. Activité 26 jours avec benzathine.

(B) Aminopénicillines
PO : Amoxicilline. BID. Bonne F. Non-linéaire. Diminue avec absorption de la dose.
IV : Ampicilline

(C) Pénicillines résistantes aux pénicillinases, anti-Staph.


PO, IV, IM : Cloxacilline. QID. Absorption rapide mais incomplète. Liaison protéine
90%. LA SEULE MÉTABOLISÉE HÉPATIQUE.
USA : Oxacilline

(D) Pénicillines à large spectre


IV : Pipéracilline, Ticarcilline.
Chimie Anneau thiazolidine
Anneau b-lactam (activité antibactérienne)
Chaine latérale (pharmacocinétique et antibactérienne)
MA PBP : Récepteur de la bactérie
Inhibition de la synthèse du peptidoglycan : C’est un constituant de la paroi cellulaire
qui donne de la rigidité à la paroi. Il y a + de couches pour les G+. La dernière étape
avec la transpeptidase pour faire un imbriquage.
Rupture de la paroi : Par pression osmotique.
Activation d’enzymes autolytiques.
Bactéricide.
Temps-dépendant.
ADME DISTRIBUTION
Partout dans le corps.
Exception : Prostate, cerveau, œil.
Liquide-céphalo-rachidien : Mauvaise pénétration, sauf si inflammation.

MÉTABOLISME
Uniquement Cloxacilline

ÉLIMINATION RÉNALE
Ajustement ClCr < 50ml/min, sauf Cloxacilline. Sinon peut causer convulsions.
Résistance 1. Inactivation par b-lactamase (Transmis par les plasmides)
Enzyme produite en plus grande quantité par les G+.
G- en fait peu, elle en met entre la membrane interne et externe.
Rôle : Hydrolyser le cycle b-lactam.
Spécifiques : Pénicillinases, Céphalosporinases
Large spectre : ESBL, Carbapenemase, Metallo-b-lactamase.

Solution : Inhibiteur irréversible de b-lactamases. (Acide clavulanique, Tazobactam,


Sulbactam) Cela étend le spectre d’action de l’AB.

2. Modification des PBP


Modification de la structure pour rendre incapable de se lier.
Exemple : SARM, Pneumocoque, Entérocoque.
Solution : Augmenter les concentrations sériques. (Amoxicilline haute dose)

SARM : Résistante à la méthicilline, pénicilline, céphalosporine, macrolide.


2 types : Communauté ou hospitalier.
Facteur de risque : Exposition ATB < 3 mois, chirurgie, cathéters, infection, exposition
clindamycine ou macrolides.

3. Diminution de la pénétration
Incapacité de pénétrer la bactérie.
Diminution d’entrée : G-, surface plus complexe, membrane externe. AB pénètre par
une porine.
Pompe efflux : Pseudomonas.
EI  Hypersensibilité (rash, bronchospasme, vasculite, anaphylaxie) (Allergie
croisée possible avec céphalosporine et carbapenem, syndrome mononucléose)
 Nausées, vomissements, diarrhée
 Diarrhée à C. Difficile
 Vaginite à Candida
 Convulsion (haute dose, IR)
 Néphrite interstitielle
 Toxicité hématologique
Interaction Probénécide : Diminue excrétion par inhibition sécrétion tubulaire.
Aminoside : Inactivation si administré ensemble.
Contraceptif oraux : Utilisé protection supplémentaire durant le Tx + 7 jours suivants.
Warfarine : INR augmente. Pire : Métronidazole, Bactrim, Quinolone, Rifampicine
(diminution dans ce cas)
Grossesse : OK (Amoxil > Clavulanate > Cloxacilline)
Allaitement : OK.
Enfant : OK.
IR : < 50 mL/min. sauf Cloxacilline.
IH : OK.
Spectre PÉNICILLINE V
G+ : Strept pyogenes, pneumocoque.
Anaérobie (sauf B. Fragilis)
Clinique : Pharyngite, infection peau, endocardite, syphilis.

AMOXICILLINE
G+ : Strept
G- : H. Influenzae, E. Coli, Mirabilis, Gonorrhoae.
Clinique : Infection voie respiratoire supérieur, urinaire, méningite chez le nouveau-né
(ampicilline), H Pylori, endocardite.

CLOXACILLINE
G+ : Staph. Stept.
Clinique : Infection de la peau et tissus mous, endocardite.

LARGE SPECTRE (IV) TOUJOURS ASSOCIÉ AVEC ACIDE CLAVINIQUE.


G+ : Strept
G- : Pseudomonas, E. Coli, infection sévère.
Anaérobie

Céphalosporines
Classification 1ÈRE GÉN
IM : Céfazoline
PO : Céphalexine QID
PO : Céfadroxil BID

2ÈME GÉN
IM : Céfuroxime
IM : Céfoxitine
PO : Cefprozil BID
PO : Cefaclor

3ÈME GÉN
IM : Cefotaxime
IM : Ceftriaxone
IM : Ceftazidime
PO : Céfixime DIE

4ÈME GÉN
IM : Cefepime

5ÈME GÉN (PAS AU CANADA)


Ceftaroline
Ceftobiprole
MA Même que pénicillines.
ADME ABSORPTION
Bonne pour PO.
DISTRIBUTION
Étendue.
Agent 3e génération traverse BHE, placentaire, lait maternel.
MÉTABOLISME
PAS métabolisées
ÉLIMINATION
Comme pénicilline
Résistance 1. Production de b-lactamase
2. Modification des PBP.

Pas efficace contre le SARM et pneumocoque résistant. (Sauf 5e gén)


EI  Hypersensibilité (allergie croisée uniquement 5%)
 Diarrhée
 Vaginite
Interaction Probénécid.
Grossesse : OK, mais pénicilline 1er choix.
Allaitement : OK
Enfant : OK.
IR : < 50 mL/min, sauf Ceftriaxone
Spectre 1ère génération (CEPHALEXINE)
G+ : Strept pyogenes, agalactiae, pneumoniae, Staph aureus, epidermidis.
G- : E. Coli, Kleb, Mirabilis.
Anaérobie
Clinique : Peau, tissu mou, urinaire, prophylaxie.

2ème génération (CEFUROXIME)


Meilleure spectre pour G+ et G-. (Hemophilus influenzae + Moraxella + Kleb sp)
Clinique : Voie supérieure + inférieure

Céfoxitine : B. Fragilis et G+.


Clinique : Péritonite, infection pelvienne, prophylaxie.

3ème génération (CEFTRIAXONE)


G+ : Staph + Strept
G- : E. Coli, Kleb, Proteus, Influenzae, Gonorrhée, Méningite, Enterobacter,
Citrobacter
Clinique : Méningite, pneumonie sévère, sepsis.

Ceftazidime :
Pseudomonas
G-
Clinique : Fièvre chez patient neutropénique

Cefixime :
G- : E. Coli
Clinique : Infection urinaire.

4ème génération (CEFEPIME)


G+ : Strept.
G- : Entérobactérie, Pseudomonas
Clinique : Inférieur, urinaire, péritonite, peau, tissu mou, neutropénie.

5ème génération (CEFTAROLINE)


G+ : Strept, Staph, SARM, entérocoque, ERV.
G- : E. Coli.
Clinique : Pneumonie, peau, tissu mou.

Clindamycine (Dalacin) Licosamide


Classification PO : Capsule, susp orale.
IV
Topique
MA Inhibition de la synthèse protéique par liaison 50S.
Peut empêcher macrolide d’agir.
Bactériostatique.
ADME ABSORPTION
PO : 150-300 TID. Complète.
IV : Pro-médicament. 900-1200 q8h. (Plus élevé car tolérance GI meilleure)

DISTRIBUTION
Distribution large.
Ne pénètre pas BHE.
90% protéine.

MÉTABOLISME
Accumulation possible si IH sévère.

ÉLIMINATION
Métabolites excrétés dans l’urine et la bile.
T1/2 = 2,5h.
Résistance 1. Modification du site de liaison (Résistance croisée avec macrolides)
2. Inactivation enzymatique (S. Aureus)
3. Faible perméabilité de la membrane (G-)
EI  Diarrhée
 Rash
 Augmentation AST/ALT
 Thrombocytopénie
 Thrombophlébite
Interaction Prolonge effet des bloquants neuromusculaires.
IH : Ajustement si sévère
Grossesse/allaitement/pédiatre = OK.
Spectre G+ : Strept, SASM.
Anaérobie : B. Fragilis, Peptostreptocoque, P. Acnes.
Utilisation clinique Infection peau, tissu mou, fasciite nécrosante, bucco-dentaire, abdominales, pelviennes,
gynécologique, pneumonie d’aspiration, acné, syndrome choc toxique.

Macrolides et azalide
Structure chimique MACROLIDES (érythromycine + clarythromycine)
Lactone 14 atomes.
AZALIDES (azithromycine)
Lactone 15 atomes.
MA Inhibition réversible synthèse protéine bactérienne 50S.
Empêche élongation protéine.
Bactériostatique.

Ne pas associer avec : Clindamycine.


ADME ÉRYTHROMYCINE
Général : Vieux médicament, peu utilisé aujourd’hui, remplacé par clarithromycine.
A: Type : Temps-dépendant (QID)
D: A : Incomplète, inactivé par acide gastrique, nécessite enrobage entérique.
M: F= 18%.
E: Estolate : Sel le mieux absorbé.
Lactobionate : IV.
D : Lipophile, partout sauf cerveau/LCR. Liaison protéine 80%.
E : Foie, éliminé forme active dans la bile. Courte demi-vie. Non-dialysable.

CLARITHROMYCINE
Forme : PO. Courte action (BID) ou longue (DIE). Suspension orale bien agiter.
Type : Temps + Concentration.
A : 1er passage hépatique important.
F = 55%. XL doit être pris avec nourriture.
D : Distribution 2.5L/kg. Liaison protéine 70%.
M : Foie. 25%. Métabolite actif + 6 inactifs.
E : Rénale. 40% inchangé. 15% métabolite actif. Reste bile. Demi-vie moyenne.

AZITHROMYCINE
Forme : Comprimé, suspension orale, IV.
Type : Concentration-dépendant (DIE)
A : F= 37%.
Capsule : À jeun. (n’existe plus)
Comprimé/suspension : Nourriture ok
D : Vd = 100L/kg. Liaison protéine 30%. Concentration tissulaire 100x plus grande.
Pénètre dans les leucocytes.
E : Hépatique et biliaire. T1/2 très longue car séquestration tissulaire.
Problème lié à la longue séquestration : Développement de résistance.
Clinique : On va surtout l’utiliser pour un patient inobservant, ou IV nécessaire.
Résistance 1. Gène MEF : Diminution de la pénétration (efflux hors de la bactérie), faible
résistance. Contourner par + grosse dose.
2. Gène ERM : Diminution liaison ribosome (Forte résistance, surtout strept)
3. Production d’estérase (hydrolyse macrolides, entérobactérie)

Pneumocoque : De plus en plus résistant. 1/3 ERM, 2/3 MEF. (On donne haute dote
d’amoxil)
Facteur de risque : Comorbidité, 65 ans, alcoolisme, immunosup, usage AB récent.

H. Pylori : De plus en plus prévalence. 20%. 8% au Canada.


EI  TGI (nausées, vomissement, diarrhée), pire avec dose élevé, parce qu’ils sont
agonistes des récepteurs de la motiline. IV/PO change rien.
A-C moins pire que E.
 Augmentation AST, ALT. => Cholestase hépatique réversible (fièvre, jaunisse,
fonction hépatique perturbée.)
 Intervalle QT augmentée (torsade de pointe mortel)
 IV : Douleur site injection, thrombophlébite.
 Hypoacousie (haute dose, long terme.)
Interaction  Antipsychotique
 Antiarythmique
 Rx bradycardisant.
 Érythro + Clarithro = inhibiteur CYP 3A4.
 Statines, incidence accrue rhabdomyolyse.
 Substrats CYP3A4 avec index étroit (Carbamazépine, théophylline, warfarine,
cyclosporine)
 Digoxine, concentration augmentée.
 Terfénadine : Augmentation intervalle QT.
 IH : Érythro
 IR : Clarithro < 30 ml/min.
 Grossesse : JAMAIS ÉRYTHRO ESTOLATE.
 Allaitement : OK
 Pédiatrie : OK
Spectre G+ : Strept, Listeria, Staph.
G- : H. Influenzaee, Méningite, Gonorrhée, Bordetella (coqueluche), Moraxella
(IVRS), H. pylori
Atypique (souvent enfant, ivrs) : Mycoplasma pneumoniae, Legionella, Chlamydia.
Autres : Mycobacterium avium, toxoplasma gondii, plasmodium sp.

Clarithromycine : Active G+. Davantage pour respiratoire.


Azithromycine : Active G-. Davantage pour urinaire/its.

Clinique : Rarement un premier choix.


Respiratoire haute (Pharyngite, otite, sinusite, coqueluche), basse (pneumonie,
bronchite), ITS (azythromycine), H. Pylori, MAC, VIH, légionnaire, peau et tissu mou
(on aime mieux clinda/blactam), acné (érythro topique).

Fibrose kystique : Maladie génétique récessive qui fait une atteinte


respiratoire/intestinale. Coloniser par des strept/pseudomonas résistant, très
inflammatoire. Azithromycine pourrait avoir un effet anti-inflammatoire.

Métronidazole
Classification Flagyl.
PO, IV, Crème.
MA 1. Absorbé dans bactérie passivement.
2. Activation avec protéine transporteur d’électrons.
3. Accumulation d’un métabolite toxique
4. Métabolite incorporé dans l’ADN bactérien
5. Inhibition de la synthèse de l’ADN + Dommage à l’ADN.
ADME ABSORPTION
Complète et rapide. 100%.

DISTRIBUTION
Partout.
Sécrétion vaginale, liquide séminal.

MÉTABOLISME
2 métabolites actifs. 50% de l’élimination.

ÉLÉMINATION RÉNALE
T1/2 = 8h.
Résistance 1. Diminution de l’activation
2. Inactivation du métronidazole par une réductase alternative.
3. Inhibition de l’entrée dans la cellule ou pompe à efflux.
4. Réparation accélérée de l’ADN.

TRÈS PEU DE RÉSISTANCE.


EI  Naussées, vomissement, diarrhée.
 Stomatite
 Convulsion
 Neuropathie périphérique (engourdissement)
Interaction HYPERSENSIBILITÉ À L’ALCOOL. NE PAS EN PRENDRE 24H QUI SUIT.
Warfarine : Augmente INR.
Amiodarone : Prolongation du QT.
Cyclosporine : Augmentation de sa concentration. Toxicité rénale.
Lithium, phénobarbital, phénytoine, carbamazépine.
IR / IH : Ajustement si sévère.
Grossesse : CI 1er trimestre.
Allaitement : Cesser 12-24h si dose unique.
Pédiatrie : OK, mais mauvais goût (!)
Spectre Anaérobie + Protozoaire.
Utilisation clinique Intra-abdominale, gynécologique (Trichomonas, Vaginose), C. Difficile, H. Pylori,
abcès cérébraux.

Giardiase, amibiase, ostéomyélite, endocardite, infection respiratoire, dentaire.

Tétracycline
Classification Tétracycline : PO, F = 75%, à jeun.
Minocycline : PO, F = 90%
Doxycycline : PO, F = 90%
Tigecycline : IV. Manger.
Structure chimique 4 hexagones.
MA Inhibition réversible synthèse protéine 30S.
Empêche ARN-T se lier au site A.
Doit pénétrer dans la bactérie.

Bactériostatique (bactéricide à haute dose)


Temps-dépendant.
ADME DISTRIBUTION
Étendue. ATTENTION OS/DENT et VERRE DE CONTACT.
PAS BHE.
Liaison protéine = 80%.
MÉTABOLISME
Minocycline + Doxycycline au foie.
Pas d’effets sur CYP450.

ÉLIMINATION
Tétracycline
T1/2 = 6-10h.
Excrété inchangé dans l’urine 60%.
Excrété biliaire par cycle entérohépatique.
Minocycline : 12-22h. Urine 12%.
Doxycycline : 11-26h. Urine 30%.
Résistance 1. Diminution concentration (pompe à efflux)
G+ : Tétra seulement
G- : Tétra, mino, doxy.
2. Protection ribosome (Changement conformation, pas accès)
3. Inactivation enzymatique
EI  Trouble TGI dose-dépendant, diminué avec nourriture. Soulagé avec ondansétron.
 SNC (maux de tête, somnolence, fatigue, femme +++)
 Inhibition croissance des os, décoloration dents.
 Toxicité hépatique haute dose.
 Toxicité rénale (IRA)
 Neutropénie, anémie, thrombocytopénie
 Photosensibilité
 Colite pseudomembraneuse
 Vaginite à Candida
 Médicament périmé : Effet toxique sur tubules rénaux, polyurie, polydipsie,
protéinurie, glycosurie.
Interaction Chélation (diminue absorption): Lait, aluminium, calcium, salicylate, fer, zinc,
magnésium, cholestyramine. Administrer 1h avant ou 2h après.
Warfarine
Digoxine : Augmente niveaux sanguins
Carbamazépine, phénytoine, barbiturate : Augmente métabolisme Doxycycline.
Insuline : Diminue besoins en insuline.
CO : Efficacité réduite.
Grossesse : NON (os et dent, toxicité hépatique, malformation)
Allaitement : OK
Pédiatrie : NON (pas avant 8 ans)

TÉTRACYCLINE
IR : PAS UTILISÉ SI < 30ml/min.
IH : Ajustement
Spectre LARGE SPECTRE.
G+ : Staph, Strept.
G- : Influenzae, Gonorrhée, Méningite, entérobactéries.
Anaérobie : B. Fragilis.
Atypique : Mycoplasma P, Chlamydia, Légionella.

Tigécycline : Rajoute SARM.


Déméclocyline : Inhibe action ADH. SIADH. Rarement utilisé comme AB.

Clinique : 2ème ligne. Beaucoup de résistance.


ITS, Acné, infection respiratoire.

Sulfamidés
Classification PO BONNE
Moyenne durée d’action : Sulfaméthoxazole + Triméthoprim (Bactrim, Septra)

Moy : Sulfadiazine + Triméthoprim

Moy : Sulfapyridine

Courte action: Sulfisoxazole + Érythromycine

PO FAIBLE
Sulfasalazine. Maladie inflammatoire intestin.

TOPIQUE
Moy : Sulfadiazine d’argent. Prévention infection brûlé.

Sulfacétamide
MA Inhibition compétitive (avec PABA) de la dihydroptéroate synthase, l’enzyme responsable de
la production de folates.

Triméthoprim : Inhibe dihydrofolate réductase. Action synergique.

Bactériostatique.
ADME DISTRIBUTION
PARTOUT.
TMP distribution + grande.
Méningite : On ne l’utilise pas à cause des résistances.

MÉTABOLISME
Foie : Acétylation ou glucuronidation. Métabolites inactifs.

ÉLIMINATION
Rénal : Inchangé + Métabolites éliminés.
Résistance Résistance importante. (Moins pire si SMX-TMP)
1. Surproduction PABA
2. Dihydroptéroate synthase avec faible affinité pour sulfamidés
3. Perméabilité diminuée.
EI 75% réactions touchent la peau. (Rash, dermatite, urticaire, syndrôme de stevens-johnson)
Hypersensibilité croisée avec : Diurétique, sulfonylurée, celebrex
Crystallurie, hématurie : Précipite dans l’urine acide ou neutre. Il faut boire beaucoup
d’eau, bicarbonate de sodium.
Trouble hématologique : Anémie, thrombocytopénie, agranulocytose.
Nausées, vomissements.
Hyperbilirubinémie.
Photosensibilité.
Interaction Augmentation de l’effet : Warfarine, sulfonylurées, phénytoine
IR : < 30 mL/min.
Grossesse : Déconseillé 3ème trimestre.
Allaitement : Éviter si enfant prématuré ou hyperbilirubinémie.
Spectre G+ : Staph, Strept pyogènes + pneumoniae.
G- : Entérobactéries.
Atypique : Chlamydia

Clinique : Polythérapie.
Infection urinaire (Prostatite (TMP)), Respiratoire supérieure, infection à Pneumocyctis
jiroveci (P. Carinii), conjonctivite bactérienne.
Sulfadoxine : Toxoplasmose, malaria.

Antibiothérapié, commént s’y rétrouvér


G+ :

 Streptocoque béta-hémolytique
 Strept alpha-hémolytique. Pneumoniae.
 Strept viridan (bouche, cause souvent bactériémie, endocardite),
 Strept non-hémolytique : Entérocoques.
 Staph cocci en amas.
o Aureus, coagulase positive, plus pathogène
o Staph blanc, coagulase négative, moins pathogène
 Pneumo PR : Résiste pénicilline. 2%.
 Staph CR : SARM et SARM-AC. Résistant à la Cloxacilline.
 ERV : Résiste à la vancomycine. Pas très virulent, mais très difficile à traiter.

G- :

 Neisseria : Gonorrhée et Méningite.


 Pasteurella Mirabilis : Morsure de chat/chien.
 Eikennela : Morsure humaine.
 E. Coli : Infection urinaire.
 Moraxella : Bronchite, sinusite.
 H. Influenzae : Voie respiratoire.
 Entérobactérie
 Pseudomonas
 S. Malto
 BGN MR

Anaérobie :

 En haut du diaphragme : IVRS, tête, etc.


 En bas du diaphragme : B. Fragilis.

Intracellulaire : Légionella, Mycoplasma Pneumoniae, Chlamydia.

Pen G/V Spectre étroit. Il faut savoir ce qu’on traite. (Pharyngite, Infection invasive, pneumonie sensible)

 Strept pyogenes, pneumoniae


 Entérocoque : Nécessite deux AB.
 Nesseria + Eikennella + Pasteurella

Cloxacilline : Traverse BHE IV. (Staph, cellulite)

 Strept
 Staph. Aureus : Arthrite, endocardite, tissu peau, mou, cellulite

Amoxycilline :

 Strept
 Entérocoque
 Nesseria + Eikennella + Pasteurella
 E. Coli : Infection urinaire.

Clavulin (Amox + Acide clavulanique) : Meilleur choix pour les morsures. IVRS deuxième ligne.

 Strept
 Staph
 Entérocoque
 Nesseria + Eikennella + Pasteurella
 E. Coli , Moraxella, H. Influenzae
 Anaérobie : HD + BD.

Pipéracilline : Fais plus de neutropénie que les autres.

 Strept
 Staph si avec Tazobactam
 Entérocoque
 Neisseria + Eikennella + Pasteurella
 E.Coli, Moraxella, H. Influenzae
 Entérobactéries
 Pseudomonas

Ticarcilline :

 Strept
 Staph si avec acide clavulique.
 Neisseria + Eikennella + Pasteurella
 E.Coli, Moraxella, H. Influenzae
 Pseudomonas
 S. Malto.

Céfazoline (IV), Céfalexine, Céfadrozil (PO) :

 Strept
 Staph
 E. Coli
Céfuroxime (IV), Cefprozil, Céfurozime axétil (PO) :

 Strept
 Staph
 Neisseria + Eikennella + Pasteurella
 E.Coli, Moraxella, H. Influenzae

Céfotaxime, Ceftriaxone : Méningite bactérienne.

 Strept
 Staph
 Pneumocoque résistant
 Neisseria + Eikennella + Pasteurella
 E.Coli, Moraxella, H. Influenzae
 Entérobactérie

Ceftazidime :

 Strept
 Eikennella + Pasteurella + Neisseria
 E. Coli + Moraxella + H. Influenzae.
 Entérobactéries
 Pseudomonas

Céfépime :

 Ceftriaxone + Ceftazidime

Ertapénème : Danger de surutilisation, ça augmente les résistances des carbapénémases. Confusion possible
chez personne âgée.

 Strept
 Staph
 Entérocoque
 Pneumocoque résistant
 Eikennella + Pasteurella + Neisseria
 E. Coli + Moraxella + H. Influenzae
 Entérobactérie

Imipénème, méropénème, doripénème : En deuxième ligne. Chez les immunosupprimés.

 Strept
 Staph
 Entérocoque (On préfère imipénème)
 Pneumocoque résistant
 Eikennella + Pasteurella + Neisseria
 E. Coli + Moraxella + H. Influenzae
 Entérobactérie
 Pseudo

Vancomycine : Staph clindamycine résistant. Ça fonctionne mal. PO : Uniquement pour le C. Difficile.

 Strept
 Staph
 Entérocoque
 Pneumocoque résistant
 SARM

Linézolide (traite le poumon) et Daptomycine (ne traite pas le poumon) : Premier choix contre le SARM et
ERV.

 Strept
 Staph
 Entérocoque
 Pneumocoque résistant
 SARM
 ERV

Aminoside (Genta, Netil, Tobra, Amikacin) : pénètre mal les tissus. Chargé électriquement. Beaucoup retrouver
dans les urines. Peut être néphrotoxique. Les dosages ne sont pas pour l’efficacité, mais pour la toxicité. On
peut l’ajouter à un b-lactam ou de la vancomycine pour avoir une synergie et couvrir des G+.

 Neisseria + Eikennella + Pasteurella


 E.Coli, Moraxella, H. Influenzae
 Entérobactérie
 Pseudo

SMX-TMP : Photosensibilité, réaction allergique jusqu’au steven-johnson. (Infection urinaire 1er choix)

 Staph
 SARM
 Neisseria + Eikennella + Pasteurella
 E.Coli, Moraxella, H. Influenzae
 Entérobactérie
 S. Malto

Clindamycine : Association avec le C. Difficile. Strept du groupe A. (Pneumonie d’aspiration, abcès


pulmonaire)

 Strept
 Staph (25% est résistant à la clinda)
 Pneumocoque résistant

Métronidazole : (Infection intra-abdominale, Colite C. Difficile)


 Anaérobie BD
 Protozoaire

Érythromycine : Voies respiratoires (Pneumonie atypique, coqueluche)

 Atypique : Chlamydia, Mycoplasma, légionnaire.


 Strept
 Staph
 Pneumocoque (résistance 25)

Clarithromycine, Azithromycine : (Voie respiratoire, pneumonie atypique, coqueluche, SARM-AC)

 Atypique
 Strept
 Staph
 Pneumocoque (résistante 25)
 E. Coli + Moraxella + H. Influenzae.

Télithromycine : Risque d’hépatite très élevé.

 Atypique
 Strept
 Staph
 Pneumocoque résistant
 E. Coli + Moraxella + H. Influenzae.

Cipro, Levo, Moxifloxacine : (Infection G-, infection urinaire 2ème ligne, légionnellose)

 Strept (Levo et Moxi meilleure)


 Staph (Levo et Moxi meilleure)
 Entérocoque
 Pneumocoque résistant (Levo et Moxi meilleure)
 Eikennella + Pasteurella + Neisseria
 E. Coli + Moraxella + H. Influenzae. De plus en plus de résistance à l’E. Coli.
 Entérobactérie
 Pseudo (Meilleur = Cipro) PO.
 Uniquement légionnaire pour Cipro
 Chlamydia + Mycoplasma + Légionnaire pour Levo et Moxi.
 Moxi ANA HD + BD
 La moxi ne va pas dans l’urine.

Tigécycline (Infection compliquée tissu mou, intra-abdominale)

 Dérivé de la minocycline
 Ça couvre tout, sauf le pseudomonas, proteus, providencia et morganella.
 Les taux de mortalité sont plus élevés.
 Contre-indication : Pneumonie sur ventilateur, infection intra-abdominale avec perforation.
Doxycycline

 Staph
 SARM
 Atypique

Quinoloné
Fluoroquinolone
Origine Traiter les germes à G-. C’était la première fois qu’on pouvait traiter à PO.
Développer par erreur pour traiter la malaria, la chloroquine.
1ère molécule : Acide nalidixique (quinolone)
 Peu biodisponible. Devait être très concentré dans l’urine.
Facilité à développer de la résistance.
Limité aux infections urinaires.
RSA Pos-1 : Influence la puissance, PK, risque d’interaction avec théophylline.
Pos-2,3,4 : Liaison aux enzymes bactériennes, influence activité bactériologique.
Pos-3,4 : Chélation des métaux divalents. (O-COOH)
Pos-5 : Méthoxy activité G+ et potentiel phototoxicité.
Pos-6 : Fulor augmente l’activité contre ADN gyrase.
Dihalogénisation : Augmente potentiel phototoxicité.
Pos-7 : Spectre, puissance, PK, interaction théophylline selon le substitut.
Pipérazine augmente activité VS pseudo. (il nous faut 2 AB)
Pyrrolidine augmente activité VS G+
Affinité pour GABA. (peut faire convulsion)
Pos-8 : Fluor augmente absorption, t1/2 et phototoxicité.
Méthoxy augmente activité VS pneumoniae et réduit risque de résistance.
Halogène augmente activité VS anaérobie. (Aucune fluoroquinolone est reconnu pour
anaérobie)
Ciprofloxacine Forme : PO, IV.
Cycle : Pipérazine, donc augmente activité VS Pseudo.
Activité : Staph sensible, G-, Pseudo.
Levofloxacine Forme : PO, IV
Activité : Pneumoniae, moins actif que Cipro pour pseudo.
Moxifloxacine Forme : PO, IV, ophtalmique.
Activité : G+. Actif vs anaérobie. (mais n’a pas l’indication, les anaérobies n’ont pas de
mécanisme de résistance). Moins actif contre Pseudo.

Norfloxacine Forme : PO. Mauvaise F.


Activité :
Ofloxacine Forme : PO, ophtalmique.
Activité :
MA Inhibition de la réplication de l’ADN bactérien par inhibition de l’ADN gyrase.
Topoisomérase IV et ADN gyrase (Topo 2)

 Empêche l’enroulement de l’ADN dans son cycle de réplication, ce qui bloque la


transcription et la duplication normale de l’ADN.
BACTÉRICIDE.

Ratio Cmax : CMI


8-12 x CMI.
MAX 20-50 * CMI.
Réduction paradoxale si 35-65 * CMI. Ce n’est pas linéaire.
La CMI est importante lorsque l’infection est compliquée.

SSC24 / CMI
Minimum 30 S.pneumoniae (controversé)
Idéalement > 125 pour G-
Jusqu’à 250-500 pour S. Aureus.

SSC24 est meilleur que Cmax.

Les Fluoroquinolones fonctionnent surtout par surface sous la courbe.

Dépend de :
Fraction libre
État immunitaire
AB associé
Durée de Tx
Résistance des microorganismes.
Spectre G- : Entérobactérie, H. Influenzae, Neisseria gonorrhée. Moraxella (Branhamella)
Pseudomonas : Cipro.
Effet post-antibiotique prolongé sur G-.
Gram+ pour les molécules plus récentes. (Moxi)

Tuberculose : Levo 1000 mg DIE en association.


Levo > Moxi > Gati > Oflox.

Staph : Fonctionne. Mais on a d’autres AB pour ça.


Atypique : C/L/M
Anaérobie : non.
Résistance 1. Mutation qui altère ADN gyrase et topoisomérase 4. (ParC, ParE)
Cause une augmentation CMI, mais qui demeurent en dessous de Cp atteinte dans
l’organisme sauf peut-être Pseudomonas. Peut se développer en cours de Tx.
2. Pompe à efflux G+ et G-, non spécifique, énergie.
3. Plasmide de résistance.

Certaines bactéries peuvent survivre avec seulement l’ADN gyrase.

G- : Surtout ADN gyrase.


G+ : Surtout topoisomérase IV.

La résistance est causée par une mutation d’acides aminés sur une région de l’ADN « Région
de détermination de la résistance aux quinolones »

POMPE À EFFLUX
Pneumocoque => Surtout Cipro
Pseudomonas
Sélection lors du Tx
Inhibé in vitro par réserpine
Inhibiteurs systémiques en développement.

Touche plusieurs classes : B-lactamine, imipenème, tétracycline.

Résistance facilitée si :
1) FQ < CMI.
2) Exposition répétée.

RÉSISTANCE CAUSÉE PAR PLASMIDE


QnrA.
Plasmide peut causer directement la résistance.
Cause la synthèse d’une protéine qui protège l’ADN-gyrase et topoisomérase 4.
Surtout étudiée chez K pneumoniae, E. Coli, et autres G-.

RÉSISTANCE DE HAUT NIVEAU


1) Mutation ADN-gyrase surtout G-.
2) Mutation topoisomérase 4 surtout G+.

RÉSISTANCE EN CLINIQUE
Attention à : Pseudomonas, Staph, E. Coli, pneumocoque.
Résistance à pseudomonas si monothérapie.
Infection chronique : fibrose kystique, plaie chronique, infection urinaire avec sonde, MPOC.
Début de résistance ailleurs qu’en Amérique VS gonorrhée.
PK PO autant efficace que IV.

ABSORPTION
Bonne.
Retardée par aliments.
Attention à la chélation.

Cipro BID.
Levo/Moxi DIE

DISTRIBUTION
Faible liaison aux protéines plasmatiques.
Bonne pénétration dans plusieurs tissus.

Supérieur : Rein, prostate, foie, poumon, bile.


Inférieur : Salive, sécrétion bronche, liquide prostatique.
Concentration efficace : Selle, urine, os, LCR (doit être inflammée), humeur aqueuse.

ÉLIMINATION
Pas d’ajustement IR pour Moxi.
Les autres sont ajustés < 50 ml/min.
EI N/V/D.
Douleur abdominale. (Attention à ce qu’il ne prenne pas d’Anti-acide)
Augmente transaminase.
Étourdissement, céphalée, insomnie, modification humeur, convulsion.
Éruption cutanée, prurit.
Altération croissance cartilage.
Tendinite, rupture tendon Achille.
Dysglycémie (hypo/hyper)

Augmente risque de convulsion si Cipro + AINS.

Patient atteint de myasthénie grave :


Risque de faiblesse musculaire accrue, difficulté respiratoire.

Prolongation intervalle QT :
Risque : QT > 500 ms, femme, hypoK, FC < 50, IC, digoxine, hypoMg, antiarythmique 1a ou
3.

Amiodarone augmente le QT, mais ne fait pas de torsade de pointe.

C DIFFICILE
AB qui perturbe la flore favorise le C. Difficile.
Risque : Âge avancé, hospitalisation.
CI Grossesse/Allaitement
Enfant. (risque d’altération des cartilages)
Exceptions : Fibrose kystique, cancer, neutropénie.
Interaction Théophylline : Diminuer dose de théo de 50%.
Cations divalents : Donner FQ 2h avant ou 6h après.
Warfarine : Monitorer RNI, car augmente effet anticoagulant.
Clinique Urinaire
Prostatite bactérienne
MTS
Infection TGI, respiratoire
Ostéomyélite
Prophylaxie neutropénie
Peau.

Légionellose : Levo.
Méningite bactérienne à G-
Éradication porteur Méningitidis
Brucellose
Otite externe maligne (Pseudo)
Tuberculose en 2e ligne avec Levo en association.

Nitrofurantoine
MA Bactéricide ou statique? BACTÉRICIDE.
Effet antagoniste avec : FQ.

MA : Réaction de réduction par les flavoprotéines bactériennes en des intermédiaires réactifs,


qui inactivent ou altèrent les protéines des ribosomes, causant une inhibition des processus
biochimiques aérobiques et la synthèse de l’ADN, ARN et paroi bactérienne.
Spectre Efficacité : Urinaire seulement.
G+
G-
Résistance Chromosomique ou par plasmide : Inhibition de nitrofuran reductase.
Résistance acquise? NON.
PK ABSORPTION
Microcristalline. Rapide et complète.
Macrocristalline. Absorption plus lente.
Biodisponibilité : Augmenter par alimenter.

DISTRIBUTION
Négligeable.

MÉTABOLISME
Hépatique.

ÉLIMINATION
Inefficace en bas de < 40 ml.
Clinique Indication : Cystite aiguë chez la femme.
G/A : OK.

Posologie : 50-100 mg PO QID X 7 Jours.

MacroBID : 100 mg PO BID X 7 jours.

Prophylaxie infection urinaire :


50-100 mg PO HS ou post-coïtal.
EI Diminue l’appétit.
N/V.

Grave, rare : Anémie, hépatique, immunologique, neurologique, respiratoire.


Interaction Sévère : Fluconazole (augmente risque hépatotoxicité, pulmonaire)
Modérée : Norfloxacine : antagoniste.
Mineure : Acide folique : réduction concentration acide folique.

Fosfomycine
MA MA : Inhibition de la synthèse de la paroi bactérienne en inhibant la synthèse des
peptidoglycans par blocage de la formation d’acide N-acétylmuramique au niveau de la
phosphoénolpyruvate synthétase.

Bactéricide ou bactériostatique? Bactéricide.


Temps ou concentration? Temps.

Autre effet : Immunomodulateur.


Spectre Spectre : Large G+ et G-.

Synergie avec (3): B-lactamines, Aminoside, FQ.

Ne couvre pas (2): Pseudomonas + Acinetobacter baumannii


Résistance Chromosomique (2) :
1- Mutation système de transport
2- Enzyme modifiant/inactivant fosfomycine.

Plasmide (1) :
1- Métalloglutathion transférase, forme lien covalent qui inactive AB.
Résistance croisée? Non.
PK Absorption : Rapide, bonne biodisponibilité avec tromethamine.
Élimination : Rénale 90%.
LCR : Partout.
IR : < 50 ml/min.
Clinique Infection urinaire non compliquée : 3g *1 dose.
Compliquée : 3g DIE * 3 jours.
Parentéral : Fosfomycine disodium 12-16 g/j en 2-4 doses. Max 20 g.
EI D/N
Douleur abdominale
Céphalée, étourdissement
Vaginite, rhinite, pharyngite.
Surinfection fongique et C. Difficile.
IV : Surcharge sodique, attention IC, hypoK, douleur site injection.
Interaction Métoclopramide (mineure) : Diminue la concentration par augmentation motilité TGI.
Indication Infection urinaire.
Infection multirésistante (MRSA, entérocoque, K pneumoniae, Pseudomonas)
Protection contre néphrotoxicité due aminoside (pas encore reconnu en clinique)
Femme enceinte.

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