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z 2D
III.5. z, t f ( z ) ei t
A exp z i t z Ae exp i t , avec : .
D D
0, 0 A a.
z
z
III.6. T z , t T0 cos t ae : Les fluctuations de la température à la surface se propagent en
profondeur en s’atténuant. 2 est la pseudo-période des variations spatiales de l’onde thermique. représente
aussi une distance caractéristique sur la quelle l’amplitude des fluctuations s’annule. Après une profondeur de
DM4 : Thermodynamique et mécanique
quelques , les variations occasionnelles de température à la surface ne sont plus ressenties.
z L10
z a
III.7. z, t ae cos t . ae ⇒ L10 ln10 .
10
Correction
III.8.variations quotidiennes de température, la période des variations temporelle de température à la surface est
2 2D
1 jour. #8, 4cm .D’où : L10 # 20cm .
2
Pour les variations annuelles, 1an, #1,6m et L10 #3, 70m : trop profond ! . On peut donc enfouir les
III.10. la pertinence du modèle réside dans le faite qu’il permet d’évaluer la profondeur que peut attendre une
fluctuation de température de surface et le temps qu’elle met pour atteindre cette profondeur. Néanmoins, ce
modèle est simpliste et ne prend pas en compte l’inhomogénéité et les variations temporelles (surtout
saisonnières) de la conductivité thermique, les fluctuations aléatoires de température à la surface qui ne sont pas
périodiques et la possibilité de production d’énergie interne .
IV.2. a) lv T hv T hl T .
R
b) c p .
M 1
R
c) pour un GP, dh c p dT ⇒ h(T ) T cst .
M 1
qc
IV.3. a) w 0 , qC 0 et q f 0. e . 1 e eC (1ier et
w
2ième principe).
qc qc 1 q qc qf Tf T f sc
b) e et d’après le 2ième principe : f sc 0 tq sc 0 ⇒
w qf qc 1 (q f / qc ) Tf Tc qc Tc qc
1 1 Tc
. d’où : e eC . e eC ⇒ sc 0 : c’est le cas d’un cycle totalement réversible.
T T f sc T Tc T f
1 f 1 f
Tc qc Tc
IV.4. a) cycle thermodynamique (voir figure)
b) qc q2 3 . qf q4 1 .
c) pour une PAC sur aquifère, la température de l’eau glycolée est relativement élevée par rapport à celle de
l’air ambiant d’hiver. Elle est donc plus efficace qu’une PAC air-air.
IV.6. a) 1 2 est une compression isentropique de gaz parfait, donc d’après la loi de Laplace :
1
1 1
p
T1 p1 T2 p2 ⇒ T2 Tf f . T1 T f . p1 psat T f p f . p2 pc . AN : T2 #335 K .
pc
R 1
b) qc hV Tc hV T2 lv Tc Tc T2 lv Tc . AN : qc #158kJ .kg .
M 1
1 x hV T f hL T f . soit : q f
1
IV.8. q f hV T f h4 1 x lv T f . AN : q f #135kJ .kg .
R 1
IV.9. w qf qc h2 h1 T2 T f . AN : w # 25, 2kJ .kg .
M 1
qc qf 1 x hV T f hL T f hV T f hL Tc
IV.10. a) e 1 1 1 . AN : e #6,36 .
w w R R
T2 T f T2 T f
M 1 M 1
Tc
b) eC . AN : eC #9, 23 . e eC .
Tc T f
Il y’a irréversibilité lors de la détente du gaz. Elle est due aux frottements et à la diffusion du fluide.