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Etude institutionnelle de la stratégie d’assainissement au Congo - Termes de références Page 1

TERMES DE REFERENCE

I – INTRODUCTION

Le Gouvernement de la République du Congo (RC) a obtenu du Fonds Africain de


Développement (FAD) un don en différentes monnaies pour financer le projet relatif à
l’assainissement des villes de Brazzaville et Pointe-Noire.

Il est prévu qu’une partie des sommes accordées au titre du don soit utilisée pour effectuer les
paiements prévus au titre de prestations de services de consultants pour les activités de
maîtrise d’œuvre technique.

Le projet concentré à Brazzaville et Pointe-Noire, a pour objectif d’aider le Gouvernement à


consolider les efforts consentis dans le cadre de la mise en œuvre de sa politique de réduction
de la pauvreté urbaine par :
 La construction des infrastructures de collecte et d’évacuation des eaux usées, des
excrétas et des eaux pluviales;
 La mise en œuvre des actions visant l’accroissement durable de l’accès à
l’assainissement notamment, l’appui à l’investissement et l’appui institutionnel.

II – CONTEXTE DU SECTEUR DE L’ASSAINISSEMENT


2.1 Le Congo dispose d’importantes ressources en eau pouvant servir pour
l’approvisionnement en eau potable de sa population. Force est de constater que le
taux d’accès tant en milieu urbain que rural est très faible. De même, l’accès des
populations à un assainissement individuel ou collectif en milieu urbain et rural est
insuffisant.
2.2 Le secteur de l’assainissement est confronté aux problèmes suivants : (i) les
équipements insuffisants, vétustes et dégradés ; (ii) l’insuffisance des ouvrages et des
services adéquats. En milieu urbain, l’ECOM 2005 (Enquête sur les Consommations des
Ménages) révèle que le taux de couverture en assainissement individuel adéquat (WC
avec chasse d’eau et latrines ventilées améliorées) est de l’ordre de 10.5%. Le reste
des infrastructures, soit 89.5%, est constitué de latrines non conventionnelles. Il
n’existe pas de décharges contrôlées pour l’élimination des boues collectées, ce qui
constitue une grande menace pour l’environnement et la santé publique. Les réseaux
d’assainissement des eaux usées des ménages dans les communes et les chefs lieux
des départements sont inexistants. Les eaux usées produites par les ménages sont
jetées dans la cour, la rue et dans les canalisations d’eau pluviale. Par ailleurs, les
eaux résiduaires chargées des polluants chimiques et organiques des autres
établissements humains (brasseries, hôpitaux, hôtels,…) sont généralement évacuées
dans les exutoires naturels, sans traitement préalable. Tous les réseaux d’évacuation
des eaux pluviales des agglomérations urbaines et rurales, là où ils existent, sont
insuffisants, vétustes et encombrés. En milieu rural, l’ECOM fait ressortir que le taux
de couverture en assainissement individuel adéquat est de l’ordre de 0.4%. Le reste des
équipements sanitaires, soit 81.4%, est constitué de latrines non conventionnelles. Par
contre, plus de 17% de la population défèquent dans la nature.
Pour ce qui concerne les taux d’accès aux services d’eau et d’assainissement, les
dernières données du Programme conjoint de suivi OMS/UNICEF (WHO-
UNICEF/JMP, Progress on Sanitation and Drinking-water: 2010 Update) montrent
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que le taux d’accès à l’eau potable est estimé à 30% tandis que le taux d’accès à un
assainissement adéquat est estimé à

2.3 La responsabilité de la gestion des ressources en eau au Congo est confiée au


Ministère de l’Energie et de l’Hydraulique qui définit la politique nationale dans ce
domaine et suit sa mise en œuvre s’articulant essentiellement autour du code de l’eau
qui recentre le rôle de l’Etat dans la politique de développement et libéralise le
domaine de l’eau. Au niveau central, le secteur de l’eau est représenté par la
Direction Générale de l’Hydraulique. C’est à elle qu’incombe la promotion et le
développement du secteur, l’application de la loi portant code l’eau, des textes
réglementaires subséquents et de la gestion des ressources en eau sur l’étendue du
territoire national. Elle dispose d’une structure organisationnelle ainsi définie :
- une direction de l’hydraulique et de l’assainissement ;
- une direction de la réglementation et du contrôle ;
- une direction de la gestion des ressources hydrauliques
- une direction des affaires administratives et financières.

2.4 D’autres acteurs interviennent dans le secteur de l’assainissement. Il s’agit de :


 Ministère du Plan et de l’Aménagement du territoire : Planification des
investissements dans le secteur de l’eau potable et l’assainissement ;
 Ministère chargé de l’Environnement : élaboration de la politique de protection de
l’environnement ;
 Ministère chargé de l’Urbanisme : établissement des plans directeurs d’urbanisme,
assainissement en milieu urbain ;
 Ministère chargé de la Santé : hygiène publique, contrôle sanitaire de l’eau ;
 Ministère chargé des Finances et du Budget : financement du secteur ;
 Ministère chargé de l’Administration du territoire : décentralisation.

En plus des structures ci-dessus, d’autres acteurs interviennent dans la gestion des ressources
en eau parmi lesquels on peut citer :
- Le secteur privé constitué par les opérateurs privés dans le domaine de l’eau. Il est chargé
de réaliser des études et les travaux d’AEPA ainsi que la production d’eau destinée à la
consommation humaine ;
- La société civile constituée pour la plupart des ONG et des associations .Elle est chargée de
la mobilisation sociale et de la sensibilisation, participe en outre à la mise en œuvre des
programmes et projets du secteur de l’eau.
-
2.5 Cadre législatif et réglementaire : Le secteur de l’eau est doté depuis 2003 d’un code
de l’eau. C’est un instrument juridique de référence pour assurer la gestion et la
valorisation des ressources en eau. Il est basé sur : (i) Le recentrage du rôle de l’Etat à
la définition de la politique de développement, à la planification et à la régulation
sectorielle ; (ii) La délégation de l’exercice de l’activité du service public de l’eau à
une ou plusieurs personnes morales de droit privé sous forme de concession,
d’affermage ou de régie intéressée ; (iii) La mise en place d’un organe de régulation
pour le suivi et le contrôle des activités des délégataires ; (iv) L’institution d’un fonds
national de développement du secteur de l’eau ; (v) L’institution d’un Conseil
consultatif de l’eau pour une gestion globale, intégrée et concertée des ressources en
eau ; et (vi) La mise en place d’un dispositif juridique de répression des infractions.
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En assainissement, il n’existe pas une définition formelle du champ couvert par cette
activité dans le code de l’eau ; on note toutefois quelques références aux eaux usées et
aux eaux de ruissellement.

2.6 Le Congo s’est engagée dans un processus de lutte contre la pauvreté avec
l’élaboration du DSRP, servant de référence aux orientations stratégiques des
différents secteurs dont celui de l’eau et de l’assainissement. Ces orientations
stratégiques s’articulent autour de l’atteinte des OMD dont l’objectif est de créer les
conditions propices au développement économique et social du secteur. Il s’agit pour
le secteur de l’eau et de l’assainissement d’assurer un environnement durable et
réduire de moitié la proportion de la population qui n’a pas accès à l’eau potable. Pour
atteindre cet objectif, la stratégie du DSRP, relayée par les objectifs poursuivis par le
M.E.H, s’appuie pour le secteur de l’eau sur trois axes suivants : (i) l’amélioration de
la gouvernance de l’eau ; (ii) le renforcement des capacités de contrôle quantitatives et
qualitatives de l’eau ; et (iii) l’amélioration de l’accès à l’eau potable en milieu urbain
et rural.
2.7 Dans le secteur de l’assainissement, les stratégies suivantes ont été retenues pour
améliorer le cadre de vie des populations. Il s’agit de : (i) la vulgarisation des
techniques adaptées et à faible coût de gestion des excréta et des déchets solides ; (ii)
le développement de systèmes collectifs urbains d’évacuation des eaux usées et des
eaux pluviales ; et (iii) le renforcement des capacités opérationnelles des services
d’hygiène publique et collectivités locales dans la gestion des excréta, des eaux usées
et des eaux pluviales.
2.8 Le passage du taux d’accès aux ouvrages d’assainissement de 10% en 2008 à 50% en
2015 nécessite la définition d’une stratégie qui permette de dynamiser les interventions
et d’offrir un cadre de suivi rendant compte des efforts réalisés. L’opérationnalisation
de cette stratégie doit fournir aux acteurs un référentiel pour cadrer et coordonner leurs
interventions dans ce sous secteur.

III - MANDAT DU BUREAU D’ETUDES


Dans ce contexte, les principaux thèmes de réflexion à développer pour opérationnaliser la
stratégie sont les suivants :
1. L’analyse du contexte socio-économique des populations et motivations liées à
l’assainissement (gestion des excrétas et des eaux grises, eaux pluviales) ;
2. La proposition d’une offre technologique appropriée en termes d’acceptabilité sociale,
technique et économique;
3. La définition des méthodes d’animation adaptées pour la promotion « hygiène /
assainissement » et les conditions de pérennisation / diffusion des activités ;
4. La définition des principes et mécanismes d’opérationnalisation de la stratégie.
La réflexion doit porter simultanément sur les trois champs d’activités suivants :
 Assainissement privé,
 Assainissement institutionnel,
 Assainissement public (eaux usées et pluviales).
En effet, comme récapitulé dans le tableau suivant, ces champs d’activités diffèrent selon :
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 la nature et les caractéristiques des ouvrages susceptibles d’être proposés,


 les acteurs impliqués dans la commande des ouvrages (décision), la réalisation,
l’entretien et la maintenance.

PRINCIPAUX TYPES D’ASSAINISSEMENT CIBLES


Type Privé Institutionnel Public
d’assainissement
Définition Ouvrage Ouvrage desservant des parcelles Ouvrage implanté sur le
desservant des et bâtiments appartenant à des domaine public (relevant de la
parcelles institutions publiques ou privées responsabilité de la commune)
privées
Cibles prioritaires Usage établissements scolaires et de Marchés, gares routières, etc.
domestique ou santé et assimilés; lieux de culte,
familial etc.
Décideur en Propriétaires Services déconcentrés, Maire de la commune
charge de la
commande
Acteur en charge Artisan maçon / Petites et moyennes entreprises Petites et moyennes entreprises
de la réalisation tâcheron local au niveau régional au niveau régional
Responsable de Propriétaires Gestionnaire local de la parcelle Maire de la commune, qui
l’entretien (voire et des bâtiments publics délègue l’entretien et la gestion
locataires) (Directeur d’école, responsable à un prestataire privé via un
du centre de santé) au travers du contrat de délégation de
personnel de l’établissement. service public.
Délégation possible à des
associations d’usagers ou au
travers d’un contrat local
d’entretien.
Responsable de la Propriétaires Gestionnaire local des bâtiments Maire de la commune, qui fait
maintenance / publics (Directeur d’école, réaliser les opérations par un
vidange responsable du centre de santé), prestataire privé,
qui fait réaliser les opérations ou Délégataire du service
par un prestataire privé. public (si prévu comme tel au
cahier des charges).

OBJECTIFS
L’objectif global de la présente étude est de clarifier et d’opérationnaliser la mise en œuvre
d’une stratégie nationale de l’assainissement en République du Congo. Les objectifs
spécifiques sont les suivants :
 Analyser les contraintes des orientations stratégiques actuelles
 Analyser le contexte socio-économique des populations et motivations liées à
l’assainissement
 Proposer une offre technologique, des critères de choix et des recommandations
pour le secteur en général, assortis de dispositions spécifiques pour le milieu urbain et le
milieu rural (standards minimums à appliquer)
 Définir les méthodes d’animation pour la promotion « hygiène / assainissement »
et conditions de pérennisation / diffusion des activités
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 Poser les principes et définir le cadre institutionnel et les mécanismes


d’opérationnalisation de la stratégie
 Préparer les textes législatifs et réglementaires correspondants,
 Préparer des documents standards a l’attention des décideurs en charge de la
commande (institutionnel et public) et de l’entretien (modèle de cahiers des charges pour
la délégation du service)

RESULTATS ATTENDUS
Les résultats, non exhaustifs de cette étude sont :
Cadre institutionnel de la stratégie :
 Une analyse du cadre actuel (contraintes et atouts) est conduite
 Un nouveau cadre institutionnel est proposé.
Contexte socio-économique et motivations liées à l’assainissement :
 Une analyse de la motivation et de la capacité des populations urbaines et rurales
à investir dans l’assainissement privé est conduite.
 Une analyse de la motivation et de la capacité des usagers à contribuer à
l’entretien des équipements institutionnels et publics est conduite.
Offre technologique appropriée :
 Les options technologiques pour la réalisation d’assainissement autonome les
mieux adaptées au contexte urbain et rural sont préconisées, et intègrent la
problématique de la commodité de l’entretien et de la maintenance
 La conception technique des ouvrages est décrite et les coûts respectifs
d’investissement / fonctionnement sont évalués ainsi que les schémas type pour
l’organisation et le financement de la maintenance sont proposés.
 Les conditions préalables, critères de choix et recommandations pour la mise en
œuvre sont établis pour les différentes technologies proposées, et comparés.
Méthodes d’animation pour la promotion « hygiène / assainissement » et conditions de
pérennisation / diffusion des activités :
 Les approches de Promotion de l’Hygiène et assainissement (PHA) sont
comparées et les conditions de pérennisation et dissémination des techniques et bonnes
pratiques H&A sont établies.
 Les méthodes d’IEC recommandées pour la PHA sont proposées et décrites et le
chronogramme-type d’intervention est établi précisant le rôle des acteurs concernés,
les activités et messages dispensés.
Principes et mécanismes d’opérationnalisation de la stratégie :
 La pertinence d’un appui à l’investissement ou d’une subvention est analysée et
justifiée ; la nature et les modalités de mise à disposition des différents types d’appuis
sont proposées.
 Les orientations de la stratégie opérationnelle d’assainissement sont définies, et
les procédures et modalités précisées pour la mise en œuvre.
 Les mécanismes de suivi évaluation et ses indicateurs clés liés à la mise en
œuvre de la stratégie opérationnelle d’assainissement sont définis.
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 Les besoins en terme de renforcement de capacité sont évalués pour la mise en


œuvre de la stratégie opérationnelle d’assainissement.

Le consultant soumettra par ailleurs des propositions d’ordre normatif et réglementaire


pour accompagner l’opérationnalisation de la stratégie d’assainissement en milieu
urbain et rural, relatif à tout thème/résultat le justifiant.

DEMARCHE PROPOSEE
L’ensemble de ces prestations devra être réalisé en étroite collaboration avec les Ministères et
autres acteurs institutionnels impliqués dans le secteur.
Le Consultant travaillera sur la base de l’expérience acquise, de sa connaissance en matière de
stratégies d’assainissement adaptées aux pays africains, à l’échelle sous-régionale et
internationale, de la connaissance de la diversité géographique et ethnique du Congo (rapport
à l’eau et l’assainissement).
Nombre de documents ou bases de données sont disponibles auprès des services et
organismes compétents au niveau national (MEH, Santé, CREPA, ONGs, etc.) et international
(UNICEF, OMS, etc) et sont susceptibles de contribuer à l’étude. De la qualité des analyses
critiques développées par l’équipe du bureau d’études dépendra la pertinence des solutions
proposées.
Pour chacun des thèmes structurants de la présente étude, le Consultant :
 établira un répertoire exhaustif des études, enquêtes, expériences et liens utiles,
tant au Congo que dans la sous région mais aussi au niveau international ;
 analysera de manière approfondie la documentation répertoriée et produira une
synthèse comprenant des conclusions quant à l'exhaustivité de la documentation
existante et aux besoins d'enquêtes complémentaires ;
 soumettra les résultats, recommandations et propositions.

PROFIL DES EXPERTS


La mission sera exécutée par un Bureau d’Etude ayant l'expérience requise dans le domaine
de l’eau et de l’assainissement et dont l’équipe répondra aux profils suivants :
 un Chef de Mission, spécialiste en assainissement (Ingénieur en Génie sanitaire
ou équivalent) ayant au moins 15 ans d'expérience et une bonne connaissance des
stratégies d’assainissement ;
 un ingénieur en assainissement ayant au moins 10 ans d'expérience dans le
domaine des infrastructures d’assainissement, et maîtrisant les différentes
technologies.
 un Socio-économiste ayant au moins 10 ans d'expérience, dont 5 ans au moins
dans le domaine de l’hygiène et de l’assainissement, et maîtrisant les différentes
approches de Promotion de l’Hygiène et de l’Assainissement développées au niveau
international. La maîtrise du contexte socio-économique au Congo est un atout.
 un spécialiste en études institutionnelles, ayant au moins 10 ans d'expérience,
dont si possible 3 ans dans le secteur de l’eau et l’assainissement ;
 un environnementaliste ayant au moins 10 ans d'expérience générale avec au
moins 5 années dans le secteur de l’assainissement.
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Le consultant pourra mobiliser des ressources humaines complémentaires s’il le juge


nécessaire. Dans ce cas, leur rôle devra être justifié et leur profil défini.

DUREE DE L’ETUDE
La durée de l’étude est de dix (10) mois y compris les périodes de validation.

RAPPORTS
Les rapports suivants seront produits :
 Une note de démarrage au bout d'un mois (01) à compter de la date de démarrage de la
mission
La note proposera un plan de travail détaillé pour chacun des volets incluant les phases de
recherche documentaires, de rédaction, de concertation etc. Il présentera un plan
d'intervention des membres de l’équipe du bureau d’études et détaillera leurs tâches
respectives. Il précisera la méthodologie, le sommaire des rapports à produire et fera état de
toute observation pertinente relative à la bonne exécution de la mission. Ce rapport sera remis
pour validation en dix(10 (idem autres rapports ci-dessous) exemplaires (plus version
numérique Word/ Excel)à la DGH.
 Un rapport diagnostic
Ce rapport présentera les résultats obtenus à l’issue de l’analyse approfondie de la
documentation et du diagnostic du secteur sera soumis au bout de trois (3) mois pour compter
de la date de démarrage de la mission. Ce rapport, qui fera l'objet d'une validation, sera remis
à la DGH en dix (10) exemplaires en version provisoire et dix (10) exemplaires en version
définitive après prise en compte des observations de la DGH et de la BAD.
 Un rapport d’étude institutionnelle et d’opérationnalisation
Ce rapport sera rédigé en sections correspondant aux différents résultats attendus. Il sera
soumis à la DGH, au bout de neuf (9) mois pour compter de la date de démarrage de la
mission en dix (10) exemplaires en version provisoire et dix (10) exemplaires en version
définitive. Ce rapport fera l'objet d'une validation interne puis d’un atelier national de
validation.

MATERIEL

Le consultant devra disposer des moyens de déplacement nécessaires à son intervention et dont il
devra justifier la disponibilité. En plus du matériel roulant, il devra justifier de la disponibilité de
toute logistique nécessaire pour le bon déroulement de sa mission : locaux, matériel informatique
et bureautique.

Cet équipement n’est qu’indicatif et il revient aux bureaux d’indiquer l’état réel des besoins pour
mener à bien la mission et les coûts y afférents.

Le matériel roulant indiqué dans le cadre de devis sera remis en état de bon fonctionnement et
remis à l’administration en fin d’exécution des prestations.

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