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TELEX
En communication à :
Messieurs les Directeurs Régionaux des Impôts
Suite aux hésitations rencontrées par les services fiscaux Stop Honneur vous faire connaître que les
sommes acquittées en douane au titre du précompte à l’importation institué par les dispositions de
l’article 59 de la loi de finances pour 1997 Stop modifiées par les dispositions de l’article 69 de la loi
de finances pour 2003 Stop sont imputables sur le montant de l’IRG ou de l’IBS de l’exercice Stop
Dans le cas où ces sommes n’ont pu être imputées dans leur totalité Stop Le solde est reporté sur
l’exercice suivant Stop En cas de cessation d’activité ou dans le cas ou le solde n’a pu être imputé
dans sa totalité sur l’IRG ou l’IBS de ce deuxième exercice Stop Le montant restant est remboursé
Stop Une note-circulaire précisera les procédures en la matière Stop et Fin.
No : 061 MF/DG/ 09
Alger, le 21 janvier 2009
Messieurs
Les Présidents, Directeurs Généraux Des Banques Et Etablissements Financiers :
Cette nouvelle procédure remplace celle précédemment édictée par les articles 111 et160 du code
des impôts directs et taxes assimilées, abrogés par l’article 11 de la loi de finances pour 2009.
L’attestation suscitée est délivrée exclusivement par la direction des grandes entreprises, instruite
en la matière.
Circulaire
A
Messieurs et Mesdames les Directeurs des Impôts des Wilayas
En communication à :
Messieurs les Directeurs Régionaux des Impôts
Messieurs les Inspecteurs Régionaux des Services Fiscaux
R.E.F. /
Aux termes des dispositions des articles 1 et 2 de la loi n° 01-10 du 03 Juillet 2003 portant
Loi Minière, relèvent du champ d’application de la loi minière, les activités d’infrastructure
géologique, de recherche et d’exploitation des substances minérales fossiles découvertes ou non
découvertes, situées dans l’espace terrestre du sol et du sous – sol ou dans les espaces maritimes
relevant de la souveraineté de l’Etat algérien ou de la juridiction algérienne.
Par ailleurs, en sont expressément exclus, les eaux, les gisements d’hydrocarbures liquides
ou gazeux et les schistes combustibles pétrolifères, qui sont soumis aux dispositions législatives qui
leurs sont spécifiques.
A) PRINCIPALES ACTIVITES MINIERES :
a) La recherche minière :
Conformément aux dispositions de l’article 13 de la Loi Minière, la recherche minière regroupe
d’une part, les travaux de prospection et d’autre part, les travaux d’exploration.
b) Exploitation des substances minérales :
Aux termes des dispositions de l’article 16 de la Loi Minière, l’activité d’exploitation porte sur
les travaux préparatoires de développement des opérations d’extraction et /ou de concentration des
substances, ainsi que leur valorisation.
Il est signalé, que la valorisation couvre uniquement les opérations de premières transformations
des substances minérales extraites. Par conséquent, toute autre transformation industrielle
supplémentaire ne fait pas partie des activités minières.
c) Les activités de ramassage et d’exploitation des carrières et sablières :
Les articles 21 et 22 de la Loi Minière ont défini respectivement les activités de ramassage et
d’exploitation des carrières et sablières comme suit :
1- L’activité de ramassage :
L’activité de ramassage consiste à s’approprier des substances minérales se trouvant en l’état à la
surface du sol.
2- L’activité d’exploitation des carrières et sablières :
L’activité d’exploitation des carrières et sablières consiste en l’enlèvement de matériaux ne contenant
aucune substance minérale valorisable et se trouvant à l’état naturel sous forme de dépôt meuble
destinés à des fins de construction, d’empierrement et d’amendement des sols.
B) DESIGNATION DES TITRES MINIERS ET AUTORISATIONS RELATIFS A
L’EXERCICE DES ACTIVITES MINIERES :
Conformément aux dispositions des articles 94, 102, 116, 119,124 et 127 de la Loi minière, les
activités minières sont des actes de commerce, exercées exclusivement par des personnes physiques ou
morales de droit privé, titulaires de titres miniers ou d’autorisations. Ces titres et autorisations peuvent
être désignés sous les formes suivantes :
a. La recherche minière :
• Une autorisation de prospection délivrée à toute personne morale de droit privé qui en exprime la
demande ;
• Un permis d’exploration minière délivré à toute personne morale justifiant des capacités techniques
et financières appropriées.
b. L’exploitation minière :
• La concession est accordée par décret exécutif à toute personne morale titulaire d’un permis
d’exploration qui a fait une découverte ou bien par l’adjudicataire retenu.
• L e permis d’exploitation de petite et moyenne exploitation minière est accordé à toute personne
morale titulaire d’un permis d’exploration qui a découvert un gisement et qui désire entreprendre une
exploitation sous ce statut ou bien par l’adjudicataire retenu.
• L’autorisation d’exploitation minière artisanale accordée selon le cas à des personnes morales ou
physiques.
La priorité est donnée :
- en 1er au titulaire d’un permis d’exploration ;
- en 2ème au titulaire d’une autorisation de prospection,
- et enfin à l’adjudicataire.
C) AUTORISATIONS RELATIVES A L’EXERCICE DES ACTIVITES DE RAMASSAGE ET
D’EXPLOITATION DES CARRIERES ET SABLIERES NE CONSTITUANT PAS DES
TITRES MINIERS :
En vertu des dispositions de l’article 8 de la Loi Minière, les autorisations de ramassage,
d’exploitation des carrières et sablières ne constituent pas des titres miniers.
Et conformément aux dispositions des articles 131 et 132 de la loi citée ci-dessus, deux types
d’autorisations sont prévus :
a) Autorisation de récolte et/ou de ramassage des substances minérales :
Elle est délivrée à des personnes morales de droit algérien ou à des personnes physiques de
nationalité algérienne par l’Agence Nationale du Patrimoine Minier (ANPM).
b) Autorisation d’exploitation des carrières et sablières :
Elle est délivrée à des personnes morales ou physiques par l’Agence Nationale du Patrimoine Minier
après avis du wali territorialement compétent.
D- ENTREPRISES EXCLUES DU CHAMPS D’APPLICATION DE LA LOI MINIERE
Sont exclus du champ d’application des dispositions de la loi Minière , les opérateurs dont
l’activité principale ou accessoire , consiste à exécuter les travaux de prospection, d’exploration et
d’exploitation pour le compte de tiers .Il s’ensuit que seuls les opérateurs détenant un titre ou une
autorisation miniers sont éligibles au régime de ladite loi.
E- CONDITIONS D’EXERCICE DES ACTIVITES MINIERES
Aux termes des dispositions de l’article 78 de la loi minière , pour l’attribution d’un titre
minier l’investisseur doit au préalable remplir les conditions suivantes selon le cas :
a) Pour l’autorisation de prospection et le permis d’exploration :
* Etre une société commerciale de droit algérien ou étranger régulièrement constituée et
immatriculée dans son pays d’origine.
b) Pour la concession minière et le permis d’exploitation de petite ou moyenne exploitation
minière :
*Etre une société commerciale de droit algérien régulièrement constituée.
c) Pour l’autorisation d’exploitation minière artisanale :
* Etre inscrit au registre de commerce.
II – REGIME D’IMPOSITION DES ACTIVITES MINIERES
Le régime fiscal édicté par la loi n° 01-10 du 03 juillet 2001 portant loi Minière et les
textes pris pour son application, définit les dispositions relatives aux taux d’impositions , à
l’assiette , à la liquidation et au recouvrement des impôts , droits et taxes ayant trait aux activités
minières , du début de la recherche jusqu'à l’exploitation.
Il est précisé, à cet égard, que les principes d’imposition applicables aux activités
minières sont ceux prévus , d’une part , par le régime spécifique de la Loi Minière , et d’autre part,
ceux édictés par la législation fiscale du droit commun.
Aussi , en vertu des dispositions fiscales de la Loi Minière , les activités minières sont
soumises aux prélèvements spécifiques suivants :
1- Le Droit d’établissement d’acte ;
2- La Taxe superficiaire ;
3- La Redevance d’extraction ;
4- La Redevance de ramassage ;
5- L’Impôt sur le Bénéfice Minier (IBM)
Il est signalé, à cet effet , que le régime d’imposition de ces activités met en évidence les
désignations des titres miniers et autorisations relatifs à leur exercice.
Il s’agit ce faisant, de tenir compte de la distinction entre les impôts et taxes se rapportant
aux activités minières exercées sur la base des tires miniers, de ceux se rapportant aux autorisations
ne constituant pas des titres miniers.
A- IMPOTS ET TAXES SE RAPPORTANT AUX ACTIVITES MINIERES EXERCEES
SUR LA BASE DES TITRES MINIERS
1- Droit d’établissement d’acte :
Aux termes des dispositions de l’article 156 de la Loi Minière, le droit d’établissement d’acte
est perçu à l’occasion de l’établissement, de la modification et du renouvellement des titres et des
autorisations , selon le barème prévu à l’annexe I de la Loi Minière.
En vertu de l’article 1er de l’arrêté interministériel portant application de l’article 155 de la
Loi Minière , les droits sont payables auprès de la recette des impôts du ressort où se situe la
structure de l’Agence Nationale du Patrimoine Minier qui a émis l’ordre de perception.
Le produit des droits d’établissement d’actes est versé au compte d’affectation spéciale N°
302-015 intitulé « Fonds du Patrimoine Public Minier ».
2 – Taxe superficiaire
a) déclaration et paiement de la taxe superficiaire :
Perçue sur la base du barème II annexé à la Loi Minière , la taxe superficiaire est payable
auprès du receveur des impôts du ressort où se situe la structure de l’Agence Nationale du
Patrimoine Minier ( ANPM) qui a émis l’ordre de perception.
Il convient de signaler, que le paiement de cette taxe s’effectue au moment de la délivrance
du titre minier ou de son renouvellement au prorata du nombre de mois pleins qui restent à courir.
Pour les exercices ultérieurs , le paiement de la taxe doit être effectué en début de chaque
année, au plus tard le 31 Mars ( cf. Articles 157 et 158 de la Loi Minière ).
b) Répartition du produit de la taxe superficiaire :
Conformément aux dispositions de l’article 2 du décret exécutif n° 02-471 du 24 Décembre
2002 cité en référence , le produit de la taxe superficiaire est réparti comme suit :
50 % au Fonds du Patrimoine Public Minier;
50 % au Fonds Commun des Collectivités Locales, au profit des communes.
En somme, il ressort des développements précédents , que les opérations d’assiette ,
relatives aux droits et taxes prévus par les articles 156 et 157 de la Loi Minière, sont confiées
à l’Agence Nationale du Patrimoine Minier. En conséquence, les services fiscaux ne sont
concernés que par les opérations de recouvrement.
3- La redevance d’extraction :
a) Assiette :
La redevance d’extraction prévue par les dispositions de l’article 159 de la Loi Minière est liée
à la notion d’extraction et basée sur la valeur du produit minier marchand.
La redevance est établie sur la base des quantités des substances minérales extraites des
gisements terrestres ou maritimes mentionnées et décomptées après les opérations de traitement au
champ minier.
Ainsi, sont exclues de l’assiette de la redevance, les quantités des substances minérales
extraites, utilisées à l’occasion des travaux pour la réalisation de lots destinés à des essais
minéralogiques.
Il est précisé, à cet égard, que les quantités de substances minérales exclues du calcul de
l’assiette doivent faire l’objet d’une déclaration préalable à l’Agence Nationale du Patrimoine
Minier et les opérations en question ne doivent pas revêtir un caractère commercial.
b) Taux de la redevance :
Les taux de la redevance d’extraction pour les substances minérales extraites des gisements
sont établis sur la base du barème prévu à l’annexe III de La Loi Minière.
c) Abattements de la redevance d’extraction :
Conformément aux dispositions de l’article 161 de La Loi Minière et au décret exécutif
n°02-472 du 24 Décembre 2002 fixant les critères des réductions applicables à la redevance
d’extraction, des abattements peuvent être accordés sur le montant de la redevance d’extraction aux
titulaires des permis et autorisations suivants :
1) Permis d’exploitation de petite ou moyenne mine
Un abattement de 30% de plein droit est accordé sur le montant de la redevance
d’extraction.
En outre, et en application de l’article 11 du décret sus visé, le titulaire d’un permis
d’exploitation de petite ou moyenne exploitation minière peut bénéficier d’une réduction
complémentaire de 20% de la redevance.
A cet effet, aux termes de l’article 12 du décret susmentionné, les réductions de la redevance
d’extraction, redevable par le titulaire du permis d’exploitation de petite ou moyenne mine sont
accordées en considération des critères suivants :
• L’effort de recherche mesuré par le niveau des investissements en prospection et exploration
minières ;
• Le type de production, apprécié en fonction des besoins du marché national ;
• Les techniques utilisées, appréciées selon le degré de réduction des impacts sur l’environnement
qu’elles induisent ;
• L’isolement du site d’exploitation, par rapport aux voies d’accès et aux réseaux
d’approvisionnement en électricité.
Eu égard aux critères de réductions à retenir, les taux maximums de ces réductions sont fixés par
l’article 13 du décret visé ci-dessus comme suit :
Pour être éligible au régime fiscal spécifique prévu par la Loi Minière, les entreprises soumises
à l’ancien dispositif législatif et réglementaire régissant les activités minières, doivent présenter aux
services fiscaux une décision d’assimilation délivrée par les services de l’Agence Nationale du
Patrimoine Minier (ANPM).
Toutefois, pour prétendre au bénéfice du régime d’exemption de TVA sur l’acquisition des
équipements spécifiques, ces entreprises doivent présenter à l’appui de la décision d’assimilation un
titre minier.
A ce titre, l’attention des services est attirée sur le cas des contribuables n’ayant pas
produit les documents suscités, il y’a lieu d’appliquer le régime fiscal édicté par la loi minière, sans
pour autant accorder le régime d’exonération de TVA.
N.B : La décision d’assimilation est matérialisée par une décision administrative du Ministre
Chargé des Mines ou de l’autorité ayant délégation de signature.
E / Le cumul des avantages fiscaux :
F / Sanctions Fiscales :
MESURES TRANSITOIRES
A cet effet, le rappel des droits au titre de l’exercice 2003, ne devrait pas faire l’objet
d’application de pénalités d’assiette et de recouvrement.
Déclaration d’existence Conditions de droit commun Conditions de droit commun Série K n°95
Déclaration mensuelle des Conditions de droit commun Conditions de droit commun Série G. 50 Exonération de la TAP :
impôts et taxes au comptant ou Obligation
par voie de retenue à la source déclarative en mentionnant le
TAP-VF montant du chiffre d’affaires
IRG/Salaire exonéré de la TAP.
IRG/Retenue à la source
TVA
Déclarations professionnelles
relatives aux activités minières
exercées sur la base des titres
miniers
-Recette des impôts du ressort où se -La date d’établissement, de Barème fixé à l’annexe I de
• Droit d’établissement d’acte situe la structure de l’Agence modification et du la Loi Minière
Nationale du Patrimoine Minier renouvellement des titres
(ANPM) qui a émis l’ordre de miniers
perception.
-Au moment de la délivrance Ordre de perception Barème figurant à l’annexe II
• La taxe superficiaire -Recette des impôts du ressort duquel du titre minier ou de son établi par l’ANPM de la Loi Minière
se situe les structures de l’Agence renouvellement au prorata du
Nationale du Patrimoine Minier nombre de mois pleins restant
(ANPM) à courir. Pour les années
ultérieures, au plus tard le 31
Mars de l’exercice en cours.
• La redevance d’extraction Recette des impôts du lieu de Annuellement au plus tard le 31 mars Formulaire fourni par Les taux de la redevance
situation de l’exploitation de l’année suivant l’exercice clos l’Agence Nationale de d’extraction sont fixés au
minière la Géologie et du barème prévu à l’annexe III
Contrôle Minier de la loi Minière.
Déclarations professionnelles
relatives aux autorisations
minières ne constituant pas
des titres miniers
• Droit d’établissement -Recette des impôts du lieu de -Date d’établissement de modification Ordre de perception Le barème des droits est fixé
d’acte situation de l’exploitation et du renouvellement de l’autorisation établi par l’ANPM à l’annexe I de la loi Minière.
minière de ramassage
• redevance de ramassage -Recette des impôts du lieu de -04 acomptes provisionnels Un tarif. Annuel, fixé par la
situation de l’exploitation trimestriels déterminés sur la base de loi de finances
minière la date de délivrance de l’autorisation
constituant l’échéance de référence
pour l’échelonnement des acomptes
trimestriels au titre de l’exercice N.
• Droit d’établissement d’acte -Recette des impôts du ressort Date d’établissement, de modification Ordre de perception Les droits sont fixés
où se situe l’ANPM qui a et du renouvellement de l’autorisation établi par l’ANPM annuellement par la loi de
émis l’ordre de perception finances
• Taxe superficiaire -Recette des impôts du ressort • au moment de la délivrance du titre Les montants de la Taxe
duquel se situe la structure de minier ou de son renouvellement au superficiaire sont fixés par loi
l’ANPM qui a émis l’ordre de prorata du nombre de mois pleins de finances
perception restant à courir
Redevance d’extraction Recette des impôts du lieu de -04 acomptes provisionnels Un tarif annuel fixé par loi de
situation de l’exploitation trimestriels déterminés sur la base de finances
minière la date de délivrance de l’autorisation
constituant l’échéance de référence
pour l’échelonnement des acomptes
trimestriels au titre de l’exercice N.
Impôts sur le bénéfice Minier Recette des impôts, du ressort 03 acomptes provisionnels
où se situe le siège des Déclarés et payés dans les mêmes Série G.50
entreprises minières conditions applicables à l’IBS
Annexe 2
Loi Minière
Textes réglementaires
85 -Les modèles des cahiers des charges des titres miniers autres que la D.E N°03-199 du 3/05/03 JORADP N° 32/03.
concession minière.
131 -L’activité minière de ramassage, collecte et / ou de récolte des D.E N°02-469 du 24/12/02 JORADP N°88/02.
substances minérales :
174 - La liste des équipements spécifiques exemptés de la TVA ou des D.E N°03/256 du 22/07/03
droits, taxes et redevances de douanes, destinés à des activités
minières déterminées.
132 - Autorisations d’exploitation des carrières et sablières. D.E N° 02-470 du 24/12/02 JORADP N°88/02
Art.62 LF 2001 modifié et -Modalités de fonctionnement du compte d’affection spéciale n°302- D.E N° 03-105 du 5/03/03 JORADP N°17/03.
complété par l’art.126 de la 105 intitulé « Fonds du Patrimoine Public Minier »
L.F 2003.
154 - Répartition des revenus de la redevance d’extraction et de la taxe D.E N° 02-471 du 24/12/02 JORADP N°88/02
superficiaire, entre le fonds patrimoine public minier et le fonds
commun des collectivités locales, au profit des communes.
208 -Forme de tenue du registre des substances minérales et fossiles D.E N°02-473 du 24/12/02 JORADP N°88/02.
exploitées en mer.
155 -Modalités de paiement de tout droit, redevance ou pénalité prévus AIM/Finances, Energie du 29/04/03 JORADP N°58/03
par la loi minière.
161 -Critères des réductions applicables à la redevance d’extraction. D. E N° 02-472 du 24/12/02 JORADP N°88/02
DE : Décret Exécutif
DP : Décret Présidentiel
JORADP : Journal Officiel de la République Algérienne Démocratique et Populaire
AIM : Arrêté Inter- Ministériel
AM : Arrêté Ministériel
Annexe 3
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
MINISTERE DE L’ENERGIE ET DES MINES
-Art. 160 loi 01-10 du 3 juillet 2001 portant loi Minière, à souscrire avant le 31 mars de chaque année
au titre de l’exercice précédent.
-Formulaire rempli et signé en trois (03) exemplaires : le premier au déclarant, le second à l’ANGCM
et le troisième au receveur des impôts du lieu de paiement.
(*)
TR : Taux de récupération de l’usine d’enrichissement
(**)
T : Tonne quand il d’agit de substances métalliques et non métalliques . kg : kilogramme quand il s’agit de métaux précieux
-Exploitation de substance non métallique pour les matériaux de construction ou celles des carrières et
sablières
2/ Redevance de ramassage :
Je déclare, certifié exact, les renseignements et informations portés dans le présent document.
(Cachet)
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
MINISTERE DE L’ENERGIE ET DES MINES
AGENCE NATIONALE DE LA GEOLOGIE ET DU CONTROLE MINIER
Année…………………
-Art. 160 loi 01-10 du 3 juillet 2001 portant loi Minière, à souscrire avant le 31 mars de chaque
année au titre de l’exercice précédent, et 30 jours de la fin des travaux d’enlèvement.
-Formulaire rempli et signé en trois (03) exemplaires : le premier destiné au déclarant, le second à
l’ANGCM et le troisième au receveur des impôts du lieu de paiement.
(*)
Lister les substances enlevées.
Année Unité de mesures Quantité annuelle enlevée
-A
RECUPERER
Je déclare, certifié exact, les renseignements et informations portés dans le présent document.
(cachet)
(*)
Article 25 du décret exécutif n° 02-470 du 24 12 -2002 portant les modalités d’application des dispositions relatives aux autorisations des
carrières et sablières.
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Année…………………
-Art. 160 loi 01-10 du 3 juillet 2001 portant loi Minière, à souscrire avant le 31 mars de chaque
année au titre de l’exercice précédent, pour les autorisations valides une (1) année ou deux (2) mois
pour celles dont la durée de validité est moindre.
-Formulaire rempli et signé en trois (03) exemplaires : le premier au déclarant, le second à
l’ANGCM et le troisième au receveur des impôts du lieu de paiement.
DECLARE :
2/ Redevance de ramassage :
substances Quantité Unité Valeur Taux
annuelle de marchande % Montant
produite mesure du produit DA
Montant annuel brut
de la redevance de
ramassage
Montant des
acomptes
provisionnels versés
Montant de la
redevance
prévisionnelle
Solde :
- à payer
- à récupérer
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Note –circulaire
à
Messieurs les Directeurs des impôts de wilaya
En communication à
Messieurs les Directeurs Régionaux des Impôts
Messieurs les Inspecteurs Régionaux des Services Fiscaux
Messieurs les Chefs de Services de la Recherche et de la Vérification
La présente note- circulaire a pour objet de rappeler aux services fiscaux les dispositions
législatives relatives aux crédits d’impôt.
I. Le crédit d’impôt :
Le crédit d’impôt est une technique qui consiste à permettre la déduction du montant de l’impôt
annuel, Impôt sur les bénéfices des sociétés ou Impôt sur le revenu global, la somme qui a été prélevée
par voie de retenue à la source au titre de ces impôts.
II. Impositions ouvrant droit au crédit d’impôt :
Les retenues à la source ouvrant droit à un crédit d’impôt sont :
La retenue à la source de l’IRG sur les produits des actions et parts sociales et les revenus
assimilés. Elle est calculée au taux de 20% sur le montant brut des sommes perçus à ce titre et
ouvre droit à un crédit d’impôt d’égal montant.
La retenue à la source de l’IRG sur les jetons de présence, tantièmes et autres rémunérations
versées à des personnes en raison de leur qualité de membre d’un conseil d’administration ou de
surveillance de sociétés. Elle est prélevée au taux de 15% sur le montant brut des sommes perçus à
ce titre et ouvre droit à un crédit d’impôt d’égal montant, sauf dans le cas ou la retenue est
libératoire
Le retenue à la source de l’IRG ou de l’IBS sur les revenus des créances, dépôts et
cautionnements. Elle est calculée au taux de 10% sur le montant brut des sommes perçus à ce titre
et ouvre droit à un crédit d’impôt d’égal montant, à l’exception des bons de caisse anonymes dont
la retenue est calculée au taux de 30% et revêt le caractère libératoire.
la retenue à la source de l’IRG sur les intérêts produits par les sommes inscrites sur les
livrets d’épargne , les comptes d’épargne-logement et par les placements et dépôts à terme de
plus de cinq ans et sur les revenus des obligations , actions ou parts des organismes de
placements collectifs en valeurs mobilières ( OPCVM) , à savoir : les sociétés d’investissement à
capital variable ( SICAV) et les fonds communs de placement ( FCP) . La retenue es t opérée
sur le montant brut des sommes versées à ce titre au taux de 1 % libératoire à concurrence de
200.000 DA de revenu et de 10% pour la fraction du revenu supérieure à 200.000 DA .Dans
ce dernier cas, le crédit d’impôt correspond à la fraction de la retenue effectuée au taux de 10
%.
La retenue à la source de l’IRG sur les sommes versées à des personnes exerçant, en sus de
leur activité principale , une activité d’enseignement, de recherche, de surveillance ou
d’assistanat à titre vacataire. Elle est calculée au taux de 15 % sur le montant global et ouvre
droit à un crédit d’impôt d’égal montant.
La retenue à la source de l’IRG sur les revenus salariaux. Elle ouvre droit à un crédit d’impôt
égal au montant prélevé, majoré du montant de l’abattement effectivement appliqué.
La retenue à la source de l’IRG sur les primes de rendement et gratifications , d’une
périodicité autre que mensuelle, habituellement versées par les employeurs . Elle est calculée sur
le montant brut des sommes perçues à ce titre au taux de 15 % et ouvre droit à un crédit
d’impôt d’égal montant.
Ouvre droit également à un crédit d’impôt d’égal montant le précompte de 2 % prélevé à
l’importation.
60.000 DA x 0 % = 0 DA
120.000 DA x 10 % = 12.000 DA
70.000 DA x 20 % = 14.000 DA
250.000 DA 26.000 DA
Impôt dû :
26.000 DA - 8.000 DA = 18.000 DA
Exemple2 :
Soit un contribuable marié qui dispose de bénéfices commerciaux de 180.000 DA et d’un
montant net mensuel de 9.750 DA au titre de revenus salariaux (soit un montant mensuel imposable de
10.000 DA diminué de 250 DA au titre de la retenue à la Source). Le crédit d’impôt, dans ce cas,
correspond au montant de la retenue à la Source (250 DA) majoré de l’abattement (250 DA), soit 500
DA.
Revenu annuel imposable : 180.000 DA + (10.000 DA x12) = 300.000 DA
Calcul de l'impôt :
60.000 DA x 0% = 0 DA
120.000 DA x 10% = 12.000 DA
120.000 DA x 20% = 24.000 DA
300.000 DA 36.000 DA
Impôt dû :
36.000 DA - (500 DA x 12) = 30.000 DA
Exemple 3:
Soit un contribuable qui dispose de bénéfices commerciaux de 180.000 DA et d'un Montant
net de 216.000 DA au titre d'intérêts produits sur livret d'épargne (soit un Montant brut de 220.000 DA
diminué de 4.000 DA au titre de la retenue à la source).
Le crédit d'impôt, dans ce cas, correspond au montant de la fraction de la retenue à la source
calculé au taux de 10%, soit 2.000 DA seulement.
Revenu annuel imposable : 180.000 DA + (220.000 DA- 200.000 DA) = 200.000 DA (il
s'agit de l’application de l'abattement pour tenir compte du caractère libératoire de la retenue à la source
de 1%)
Calcul de l’impôt :
60.000 DA x 0% = 0 DA
120.000 DA x 10% = 12.000 DA.
20.000 DA x 20% = 4.000 DA
200.000 DA 16.000 DA
Impôt dû :
16.000 DA - 2. 000 = 14.000 DA
Exemple4:
Soit un contribuable qui dispose de bénéfices commerciaux de 30.000 DA et d'un montant
net de 288.000 DA au titre d'intérêts produits sur livret d’épargne (soit un montant brut de 300.000 DA
diminué de 12.000 DA au titre de la retenue à la source).
Le crédit d'impôt, dans ce cas, correspond au montant de la fraction de la retenue à la
source calculé au taux de 10%, soit 10.000 DA seulement.
Revenu annuel imposable: 30.000 DA + (300.000 DA - 200.000 DA) = 130.000 DA
(Il s’agit de l’application de l’abattement pour tenir compte du caractère libératoire de la retenue à la
source de 1%)
Calcul de l’impôt :
60.000 DA x 0% = 0 DA
70.000 DA x 10% = 7.000 DA
130.000 DA 7.000 DA
Impôt dû :
7.000 DA - 10.000 = - 3.000 DA, (soit 0 DA, le montant de 3.000 DA ne peut être ni remboursé, ni
reporté sur les exercices suivants).
Remarque :
Les présentes prescriptions prennent effet à compter du 02 Novembre 2001 (Télex n°985
MF/DGI/DLF). A ce titre, aucun remboursement, ni report ne peut être appliqué. Elles ne peuvent
également donner lieu à des redressements au titre de situations précédentes.
Suite à votre lettre citée en référence, j’ai l’honneur de vous faire connaître que le traitement
fiscal, des plus values dégagées diffère selon le cas :
2ème cas : La cession est réalisée au nom de la société mais après la dissolution :
Les plus values réalisées sont considérées comme des plus-values de cession de parts sociales
imposables selon les prescriptions des articles 23 et suivants du code des impôts directs et taxes
assimilées.
Toutefois, il est rappelé que la date d’acquisition à retenir pour la détermination des plus-
values imposables d’après ce dernier cas est celle du transfert de propriété du bien de la société vers les
associés.
Objet : Régime fiscal applicable à la cession d’actions entre associés d’une même société.
R.E.F./ Votre envoi du 15/05/2003
Comme suite à votre courrier sus-référencé par lequel vous demandez à connaître le
régime fiscal applicable à l’opération citée en objet, j’ai l’honneur de porter à votre connaissance ce qui
suit :
A- Imposition des plus values :
1. Plus values réalisées par les personnes physiques :
L’imposition s’effectue selon le critère de résidence ou de non résidence :
Pour les personnes physiques résidentes en Algérie, la plus – value réalisée est soumise à l’impôt
sur le revenu global (IRG), dans la catégorie des bénéfices non commerciaux.
Pour les personnes physiques non résidentes en Algérie, et en application des dispositions
combinées des articles 22-1, 33 et 104 du code des impôts directs, la plus -value générée est soumise à
une retenue à la source de 24%.
2. Plus value réalisée pat la personne morale étrangère :
La plus value réalisée par la société LUDWIG WOLFANG FISCHER, dont le siège social est
situé en Allemagne, est soumise à une retenue à la source de 24% et c’est à l’instar du régime fiscal
applicable aux personnes physiques non résidentes indiqué ci-dessus.
B-Droit d’Enregistrement :
Considérée comme une mutation à titre onéreux, l’opération de cession des actions est soumise à
un droit d’enregistrement de 2.5% (Cf. Art 218 du code de l’enregistrement).
Ledit droit est supporté solidairement par les parties à l’acte auxquelles il appartient d’en faire une
juste et équitable répartition (Cf. Art.91 C.E).
C/Régime fiscal applicable à l’opération de l’introduction de nouveaux actionnaires :
En matière de droits d’enregistrement, le même droit de 2 ,5 % cité supra est applicable au prix de
cession des actions aux nouveaux associés ;
Pour ce qu’est de l’imposition de la plus value dégagée par la société Red – Med Fischer Bau, il
s’agit, d’une plus-value à caractère professionnel qui sera soumise à l’IBS par l’intégration au
bénéfice imposable de 70% de ladite plus-value, s’il s’agit de plus value à court terme (actions
acquises depuis 3 ans au moins ) ou de 35 % pour les plus values à long terme ( actions acquises
depuis plus de trois ans (art.173, code des Impôts Directs)
Par lettre citée en référence, vous posez la question de connaître le régime d’imposition de la
cession par la compagnie aérienne bulgare « BALKAN BULGARIAN AIRLINE » d’un fond de
commerce pour une valeur de 8.000.000 DA notamment au regard de la convention fiscale liant la Bulgarie
et l’Algérie.
En réponse, j’ai l’honneur de vous faire connaître que la convention fiscale avec la Bulgarie n’est
pas encore entrée en vigueur
Aussi, la cession en cause donne t-elle lieu à l’application des impositions du droit commun à
savoir :
-La plus value de cession qui en résulterait est considérée comme en produit imposable à l’IBS à
raison de 35% du montant et si cette plus value est à long terme (PVLT) et à 70% si elle est à court terme
(PVCT)
A
Messieurs les Directeurs Régionaux des Impôts
Pour diffusion à :
Mesdames et Messieurs les Directeurs Des Impôts de wilaya
Aussi , je vous rappelle que l’octroi de cette autorisation est prévu par l’article 07 de l’arrêté du
09/12/02 fixant les conditions d’agrément des débitants de tabac et repris dans la section III de la circulaire
y relative.
A cet effet, il vous est demandé d’accorder la diligence qu’il faut quant au traitement des
demandes introduites par cette catégorie de contribuables, même si les formalités de demandes sont
accomplies par les fabricants au nom et pour le compte des restaurateurs.
Note
A
Monsieur le Directeur Des Grandes Entreprises
Mesdames et Messieurs les Directeurs Des Impôts de wilaya
En Communication à :
Messieurs les Directeurs Régionaux des Impôts
L’administration centrale a été saisie, tant par les services de base que par les contribuables, de la
question tendant à la clarification du régime d’imposition applicable en matière de TAP aux chiffres
d’affaires, réalisés au titre des opérations de ventes des produits de large consommation soutenus par le
budget de l’Etat ou bénéficiant de la compensation.
A cet égard, j’ai l’honneur de préciser à l’ensemble des services que conformément aux
dispositions de l’article 220-2° du Code des Impôts Directs et Taxes Assimilées, les chiffres d’affaires
dont il s’agit ne sont pas soumis à la TAP.
N°346 MF/DGI/DLRF/EF
Monsieur le Directeur Général des Impôts
Monsieur le Directeur Général des Services Fiscaux
Messieurs les directeurs Centraux
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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances وزارة ا
Direction Générale des Impôts
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Direction de la Législation et de W
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la Réglementation fiscales
N°690 MF/DGI/DLRF/SDLR.
Alger, le 17 décembre 2008
Par envoi cité en référence, vous demandez à savoir si les entreprises étrangères intervenant dans
le cadre contractuel, peuvent bénéficier du taux réduit en matière d’IBS, au titre des acquisitions
immobilières.
A ce titre, vous signalez que ces entreprises n’ont pas d’installations professionnelles
permanentes en Algérie et interviennent dans le cadre de la réalisation de contrats de travaux.
En réponse, j’ai l’honneur de vous faire connaître que les bénéfices réinvestis concernés par
l’application du taux réduit au titre de l’IBS sont ceux réalisés par les entreprises de droit algérien, c'est-à-
dire établies en Algérie.
Il est en découle, que les bénéfices réinvestis réalisés par les entités ne disposant pas en Algérie
d’un établissement stable, telles que les entreprises de travaux intervenant en Algérie, dans le cadre de
contacts de travaux, n’ouvrent pas droit à la taxation réduite en matière d’IBS.
ز*رة. م:إء
N°691/MF/DGI/DLRF/SDLR
Copie pour information à :
Messieurs les Directeurs des Impôts de Wilaya
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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances وزارة ا
Direction Générale des Impôts
ا ا ا
Direction de la Législation et de W
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la Réglementation Fiscales
Par envoi sus référencé, vous demandez à connaître si l’activité de transport par canalisation du gaz
naturel, réalisés par la société Sonelgaz transport du gaz (GRTG) filiale de Sonelgaz est soumise à la TAP
au taux de 3% conformément aux dispositions de l’article 8 de la loi de finances complémentaires pour
2008.
A cet égard, vous rappelez que le groupe SONELGAZ bénéficie des avantages fiscaux du régime des
groupes de sociétés dans les conditions prévues par l’article 138 bis du code des impôts directs.
En réponse, j’ai l’honneur de porter à votre connaissance que les dispositions de l’article 5 de la loi
n°05-07 du 28 avril 2005, modifiée, relative aux hydrocarbures donnent une définition de ce qu’il y’a lieu
d’entendre par l’expression « Transport par canalisation des hydrocarbures ».
En effet, au sens des dispositions de cet article, sont exclus du réseau de transport par canalisation des
hydrocarbures, les réseaux de gaz desservant exclusivement le marché national.
De ce fait, le transport par canalisation du gaz naturel assuré par la filiale -SPA Sonelgaz transport du gaz,
en ce qu’il se limite uniquement au marché national, n’est pas concerné par le taux de 3% en matière de
TAP.
Je vous précise, toutefois, qu’étant éligible au régime fiscal des groupes de sociétés, la filiale -spa
Sonelgaz transport du gaz bénéficie de l’exonération de TAP pour les opérations réalisées avec les filiales
distributrices membres du groupe. Par contre, le chiffre d’affaires réalisé avec les autres clients hors groupe
demeure soumis à la TAP au taux de 2%.
S’agissant de la répartition du produit de la TAP afférente au transport par canalisation de gaz naturel
assuré par la filiale Sonelgaz transport du gaz , entre les différentes communes traversées par la
canalisation , il importe de signaler qu’elle doit s’effectuer entre ces différentes communes, au prorata du
kilométrage revenant à chaque commune.
W
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ز*رة. م:إء
Cette nouvelle procédure remplace celle précédemment édictée par les articles 111 et 160 du
code des impôts directs et taxes assimilées, abrogés par l’article 11 de la loi de finances pour 2009.
L’attestation doit également être exigée au titre des dossiers de transfert des revenus des actions
ou des parts sociales et des valeurs de cession des actions ou parts sociales.
L’attestation suscitée est délivrée exclusivement par la Direction des Grandes Entreprise, instruite
en la matière.
NOTE
A
Monsieur le Directeur des Grandes Entreprises
Mesdames et Messieurs les Directeurs les Impôts les Wilayas
En communication à :
Messieurs les Directeurs Régionaux des Impôts
Les dispositions de l’article 150 du code des impôts directs et taxes assimilées telles que
modifiées par l’article 5 de la loi de finances complémentaire pour 2008 énoncent, s’agissant des activités
mixtes (production – prestations de services) que c’est le taux de 25% de l’IBS qui trouve à s’appliquer
lorsque le chiffre d’affaires réalisé au titre du commerce et de services est plus de 50% du chiffre
d’affaires global hors taxes.
La question a été, dés lors, posée de savoir si, en cas, également de mixité, le taux de 19%
s’applique lorsque le chiffre d’affaires réalisé au titre de la production de biens est de plus de 50% du
chiffre d’affaires global hors taxes.
J’ai l’honneur de vous préciser, à cet égard, qu’inversement, lorsque le chiffre d’affaires réalisé
au titre de l’activité relevant du taux de 19% est prépondérant, c’est ce taux qui s’applique sur le bénéfice
imposable.
Il en découle, également, qu’en cas d’activités mixtes et en l’absence de prépondérance, chacun
des deux taux s’applique sur la moitié du bénéfice imposable.
Pour la mise en œuvre des prescriptions de la présente, les services se fondent, en matière
d’identification des activités concernées pour l’application des taux de l’IBS, sur les définitions ci après.
-Les activités de production de biens s’entendent des activités qui consistent en l’extraction, la fabrication,
le façonnage ou la transformation de produits.
Sont exclues de l’expression « Activités de production » pour l’application du taux de 19% de
l’IBS :
• Les activités de conditionnement ou de présentation commerciale en vue de la revente ;
• Les activités minières et d’hydrocarbures.
-Les activités de bâtiment et des travaux publics s’entendent des activités immatriculées en tant que tel
au registre de commerce et qui donnent lieu au paiement des cotisations sociales spécifiques au secteur.
-L’activité touristique, s’entend quant à elle de la gestion des complexes touristiques ainsi que des stations
thermales à l’exclusion des agences de voyages.
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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances
Direction Générale des Impôts
Direction des Opérations Fiscales
S/Direction des Opérations Fiscales.
N°1882 MF/DGI/DOF/SDOF/B1
Objet : Imposition des plus-values réalisées à l’occasion de cession d’un bien successoral.
En réponse à votre correspondance citée en conférence, j’ai l’honneur de vous signaler que
l’article 77du CID dans son deuxième alinéa stipule que les plus-values réalisées à l’occasion de la cession
d’un bien immobilier dépendant d’une succession pour les besoins de la liquidation d’une indivision
successorale existante ne sont pas soumises à l’IRG.
La circulaire citée en deuxième référence précise quant à elle dans sa première page, les
conditions d’exonération des plus-values de cette nature.
Toutefois, lorsqu’il est formellement établi que la cession d’un bien en indivision n’est pas
intervenue pour les besoins de la liquidation de la succession, l’imposition des plus-values réalisées doit
être établie sous côte unique au nom des héritiers. .
Il me sera rendu compte des difficultés éventuellement rencontrées dans l’application des
présentes instructions.
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Dans le cadre des travaux d’émission des impositions relatives à l’IBS et l’IRG, l’attention des
services d’assiette doit être attirée sur la nécessité du respect des délais.
A cet égard, j’ai l’honneur de vous demander de respecter les instructions transmises par la DOI
en vous rappelant ci-après les mentions à porter sur les pré-matrices.
1. Emission IBS :
Les pré-matrices qui doivent parvenir aux centres régionaux informatiques avant le 30 juin 1998
doivent porter les précisions suivantes :
-Imputation des crédits d’impôts ;
-Acomptes provisionnels versés;
- Indication des déficits ;
- La case « chiffre d’affaires » doit être renseignée quelque soit le résultat dégagé.
- Taux de la pénalité pour la taxation d’office ou pour dépôt tardif de la déclaration doit être
mentionné.
- Les majorations pour insuffisance de déclaration et amendes pour défaut de production des pièces
annexes étant calculées par le centre informatique, les chefs d’inspections doivent se limiter à indiquer
uniquement le nombre de documents non produits.
2. Emission IRG :
La clôture des travaux d'émission au titre de l'IRG doit se faire de manière à permettre la
transmission des pré-matrices aux centres régionaux informatiques avant le 15 septembre 1998.
Pour permettre d'asseoir correctement l'impôt, les pré-matrices, doivent être renseignées de la même
manière que pour l'IBS en vous assurant que les personnes physiques n'atteignant pas le seuil d'imposition,
celles ayant dégagé et déclaré un déficit et celle ayant bénéficié d'une quelconque exemption soient
mentionnées.
Par ailleurs, pour éviter l'application, à tort, des pénalités pour défaut de versement des acomptes
provisionnels les chefs d'inspection doivent procéder à un contrôle rigoureux des carnets de ces acomptes
et à leur imputation aux droits.
Il est également nécessaire pour le respect des délais, que les chefs d'inspection établissent et
transmettent les bulletins de liaison au moment même ou il est constaté que le domicile du contribuable est
situé hors de leur circonscription territoriale.
Enfin le sous- Directeur des Opérations Fiscales doit être impliqué personnellement, pour faire
respecter les délais fixés, les instructions transmises par la DOI et en procédant au contrôle des pré-
matrices avant leur envoi au centre régional informatique.
Vous voudrez bien assurer à la présente note une large diffusion et me rendre compte, éventuellement, des
difficultés rencontrées.
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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances
Direction Générale des Impôts
Direction des Opérations Fiscales
S/Direction des Opérations Fiscales.
N°792/MF/DGI/DOF/SDOF/B1
Par correspondance visée en référence, vous faites savoir que l'Entreprise Publique de Pétrochimie
« ENIP » sollicite un échéancier de 10 ans pour l'amortissement de l'écart de réévaluation devant être
réintégré à ses résultats.
Vous précisez que cet écart représente le reliquat du total de la plus-value de réévaluation dégagée
sur ses investissements et dont une partie a servi à la recapitalisation suite à des mesures d'assainissement
financier décidées par la DGT.
En réponse, j'ai l'honneur de vous informer qu'il ne peut être dérogé aux dispositions de l'article 65
de la loi de finances pour 1997.
En effet, ces dernières ont mis en place un dispositif de faveur, pour les entreprises publiques dont
l'assainissement est opéré par voie de recapitalisation, dérogeant ainsi aux règles de droit commun( art.186
du C.I.D).
En conséquence, il y’a lieu de vous rappeler que l'imposition de l'écart de réévaluation s'effectue par
la réintégration de la partie de la plus-value correspondant aux annuités d'amortissement complémentaire
non encore pratiquées résultant de la réévaluation.
Lorsque la réévaluation a lieu après que les équipements aient été complètement amortis, les
nouvelles dotations susceptibles d'être pratiquées constituent des annuités d'amortissement complémentaire
à réintégrer en totalité au résultat de chacune des années durant lesquelles ces équipements peuvent encore
servir.
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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Note
A
Messieurs les Directeurs des Impôts de wilaya
En communication à :
Messieurs les Directeurs Régionaux des Impôts
Le manque de suivi et la mauvaise gestion des dossiers des contribuables en cessation d’activité
ont permis à certains d’entre eux de mettre à profit cette période afin d’exercer d’autres activités
génératrices de profits à l’insu des services fiscaux.
En vue d’assurer une prise en charge de cette catégorie de contribuables, il convient de vous
rappeler que la période de la cessation provisoire ne doit en aucun cas dépasser six (06) mois. Une fois la
période expirée, le contribuable doit, soit reprendre son activité, soit radier son registre de commerce.
A défaut, le service procédera à une taxation d’office dans le respect des dispositions de la
législation fiscale en la matière.
Vous voudrez bien instruire les services d’assiette à l’effet de suivre de prés les contribuables
concernés et d’opérer le cas échéant la régularisation nécessaire.
Il me sera rendu compte de toute difficulté particulière quant à l’application des présentes
instructions.
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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances
Direction Générale des Impôts
Direction des Opérations Fiscales
S/Direction des Opérations Fiscales.
N°2297/MF/DGI/DOF/SDOF/B1
Alger, le .../…./1999
Note
A
Monsieur le Directeur des Impôts
de la wilaya de BLIDA
Par correspondance citée en référence, vous faites part à l’administration Centrale des doléances
des pharmaciens quant à l’application de la réfaction de 50% édictée par l’article 219 du CID relative aux
ventes du détail des médicaments.
A cet égard, vous précisez qu’un nombre important d’officines appliquent la réfaction de 50% sur
l’ensemble de leur CA sans distinction de marge et proposent son application à un pourcentage moyen
calculé par rapport au CA des produits pharmaceutiques dont la marge est supérieure à 20%.
En réponse, j’ai l’honneur de vous faire connaître qu’en vertu de l’article 219 du CID, seuls les
produits pharmaceutiques classés biens stratégiques par le décret exécutif N°96-31 du 15.01.1996 et dont la
marge de vente au détail est située entre 10 et 30% ouvrent droit à réfaction sur les ventes au détail. Il
s’ensuit que les produits pharmaceutiques excédant 30% sont exclus de cet avantage.
Aussi, l’application de cette réfaction à un pourcentage moyen du CA proposée par les pharmaciens
ne peut être accordée.
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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances
Direction Générale des Impôts
Direction des Opérations Fiscales
S/Direction Du Recouvrement.
N°1810/MF/DGI/DOF/SDR
NOTE
A
Messieurs les Directeurs des Impôts de Wilaya
En communication à :
Mesdames et messieurs les Directeurs Régionaux des Impôts
Mesdames et messieurs les Inspecteurs Régionaux des Services Fiscaux
J’ai l’honneur de vous faire parvenir une copie de la note citée en dernière référence, signée
conjointement avec l’administration des douanes, et instituant une nouvelle procédure de prise en charge
du précompte de 4% acquitté à l’importation par les importateurs des marchandises destinées à la revente
en l’état.
Cette instruction prévoit la désignation au niveau de chaque wilaya d’un (01) receveur des
impôts qui aura pour mission de recevoir chaque mois des receveurs des douanes de la même
circonscription, le produit du précompte encaissé par ces derniers.
Les comptables des douanes, imputent les recouvrements du précompte de 4% au compte
500.026 ligne J et procèdent à la fin de chaque mois au reversement de la totalité du produit à la Recette
des Impôts désignée pour la centralisation.
L’opération de transfert par le receveur des douanes est réalisée mensuellement par voie de
Bordereau R6 habituel appuyé d’un état nominatif reprenant par importateur, le montant des sommes
versées, le numéro d’identification statistique (NIS), la raison sociale et le numéro de la déclaration en
douane.
A la réception des montants transférés par leurs collègues des douanes, les Receveurs des Impôts
centralisateurs, abritent provisoirement le montant reçu au compte 500.027 (Acomptes provisionnels) ligne
3 intitulée « précompte de 4 %».
Parallèlement, ils procèdent à l’exploitation des états nominatifs d’identification des auteurs de
versements communiqués par l’Administration des douanes, en saisissant selon le même canevas et sur des
listings à part les précomptes des importateurs relevant d’une même direction des impôts de wilaya (DIW)
afin de communiquer à ces dernières les informations qui les concernent.
Ensuite, ces listings appuyés des états nominatifs d’identification des auteurs de versements,
sont transmis par le Receveur centralisateur à sa direction hiérarchique aux fins d’établissement du titre de
recettes (SérieD37) devant servir de pièce justificative pour l’opération de budgétisation.
Une fois ce document reçu, le receveur des impôts procède à l’imputation au compte 201.001 sous
compte 101 ou 102 selon qu’il s’agit de l’IRG ou de l’IBS en individualisant le produit sur une nouvelle
ligne D à ouvrir dans les journaux auxiliaires et devant apparaître sur la situation statistique Sn°2.
Enfin, la note conjointe sus signalée, a supprimé le recours aux services des douanes pour
l’authentification des quittances de règlement qu’ils délivrent aux importateurs, dans la mesure où
l’administration Fiscale dispose de cette possibilité à travers les états nominatifs qui lui sont transmis à
l’appui du bordereau R6.
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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances
Note
A
Messieurs les Directeurs Régionaux des Douanes
Messieurs les Directeurs des Impôts de Wilaya
Additionnellement aux dispositions des textes rappelés en référence, relatives aux modalités de
perception et de comptabilisation du précompte applicable à l’importation sur les marchandises destinées
exclusivement à l’achat revente, la présente instruction a pour objet d’apporter des réajustements
comptables tendant à la rationalisation du dispositif en vigueur en vue de préserver les intérêts du Trésor.
A la fin de chaque mois, les Receveurs des douanes installés au niveau de chaque wilaya, procèdent
au reversement de la totalité du produit des fonds précomptes, à la recette des impôts désignée dans la
même wilaya pour la centralisation du produit concerné, et c’est comme indiqué sur le tableau de
consistance ci-jointe en annexe.
RECETTE DES IMPOTS CENTRALISATRICES
DU PRECOMPTE DE 4%
Par lettre visée en référence, vous avez bien voulu me demander d’envisager l’ouverture d’une
ligne au sein du compte 500.026 « Impôts directs et taxes assimilées à répartir » en vue de permettre une
meilleure prise en charge comptable du produit cité en objet, tant par les receveurs des douanes que par les
receveurs des impôts.
En réponse, j’ai l’honneur de vous faire connaître que conformément aux dispositions de
l’instruction N°01 du 03/01/1995, le compte 500.026 comporte des rubriques permettant la prise en charge
dans la comptabilité auxiliaire des receveurs, des différents impôts et taxes assimilées à repartir.
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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Par envoi visé en référence, vous demandez à connaître le régime fiscal applicable à Algérie-
Poste à la faveur de sa transformation en EPIC.
En réponse, j'ai l'honneur de vous faire connaître qu'Algérie Poste ,en tant qu'EPIC et depuis sa
création effective, relève du droit commun applicable aux sociétés et est redevable à ce titre de tous les
impôts et taxes dus conformément à la législation en vigueur.
Aussi, il vous est demandé de procéder au traitement de cette affaire comme suit :
-Informer Algérie- Poste du régime fiscal applicable et des obligations légales qui en découlent.
En matière de TAP : il vous appartient de saisir la DIW exerçant Algérie- Poste en matière de TAP
en lui fournissant les bases de taxation assorties de pénalités d'assiette en vue d'émettre un rôle de
régularisation.
-En matière de TVA : Hormis les services fournis par Algérie- Poste sous le régime de l'exclusivité en
vertu de la loi n°2000-03 notamment son article 63 et ses textes d'application, la TVA est due au taux de
17% avec droit à déduction par application de la règle de prorata. Il est rappelé que le régime de
l'exclusivité est consenti à Algérie- Poste sur la base d'un tarif réglementé n'incluant pas d'une manière
expresse la TVA, compte tenu de la sujétion de service public présente dans ces services dits universels.
A cet égard, la TVA n'étant pas facturée, il y'a lieu d'envisager la taxation des services assujettis à
compter de la date de notification du régime fiscal à Algérie- poste à charge pour cet EPIC de réexaminer
au besoin les prix de ses prestations en fonction de sa politique tarifaire interne, la TVA étant déjà incluse
de droit. Les déductions opérées selon la règle du prorata ne porteront que sur les achats et les acquisitions
effectués ultérieurement à cette date.
-En matière d'IBS : Algérie- Poste est tenue de s'acquitter de l’IBS dû suivant le régime des grandes
entreprises. Dans ce cadre, il vous est demandé de rappeler d'une manière ferme les obligations de cette
dernière dans ce domaine.
Je vous informe par ailleurs qu'Algérie- Poste, en présentant un déficit au titre de l'exercice écoulé à
cause de « factures annulées » pour non recouvrement de créances détenues sur l'Etat, a, par cet artifice,
sciemment et frauduleusement éludé le paiement de l’IBS (Acomptes provisionnels et solde de liquidation).
Le rapport du commissariat aux comptes doit être en l'occurrence consulté.
A ce titre, je vous demande de procéder au rejet de toute provision constituée au titre des créances
d'Etat non encore recouvrées. En effet, les créances d’état sont garanties de droit et ne peuvent en
conséquence faire l'objet de mesures de prévention comptable de la part des entreprises créancières.
En matière de Timbre : Algérie- Poste demeure redevable sauf pour sa mission relative aux services
universels et les cas d'exonérations énoncées par le Code du Timbre. A ce titre et comme en matière de
TVA, l'assujettissement à ce droit commence dès notification du régime fiscal applicable.
Enfin, votre attention est attirée sur le comportement condamnable de cet EPIC au regard de ses
obligations fiscales de déclaration et de paiement. Aussi, un suivi régulier et détaillé du dossier fiscal de
l'intéressé est nécessaire.
Il me sera rendu compte, sous le présent timbre, des mesures prises et des résultats obtenus.
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N°2560/MF/DGI/DOF/SDOF/06
Copie pour information à :
Messieurs les Directeurs Centraux
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Ministère des Finances وزارة ا
Direction Générale des Impôts
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Direction des Opérations Fiscales
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S/Direction des Opérations Fiscales
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N°425 /MF/DGI/DOF/SDOF/ 07
Note – Télécopie
A:
MONSIEUR L E DIRECTEUR DES IMPOTS D E LA WILAYA
de Ain TEMOUCHENT
Par envoi sus référencé, vous me faites part des difficultés rencontrées par vos services quant à
la définition du régime fiscal applicable aux : « agriculteurs, marins pêcheurs, patrons pêcheurs et les petits
métiers » soumis, tel que précisé dans votre courrier, à L’IRG/BIC aux termes des dispositions de l'article
(12 -8) du CIDTA.
En réponse, j'ai l'honneur de vous rappeler que l'Impôt Forfaitaire Unique (IFU) s’applique
exclusivement aux activités relevant de la catégorie des Bénéfices industriels et Commerciaux. Il s'en suit
que les activités agricoles, régies par les articles 35 et suivants du CIDTA, sont exclus du régime de l'IFU.
L'article 35 stipule, cependant, que les revenus des activités avicoles et cuniculicoles gardent leur
caractère agricole à la double condition que l'activité soit exercée par l'agriculteur dans son exploitation et
qu'elle n'ait pas le caractère industriel. A contrario, les dites activités relèveraient de la catégorie « BIC ». Il
s'en suit que les agriculteurs dans le domaine de l'aviculture ou de la cuniculture ne sont pas, sauf exception
avérée, concernés par le régime de l'IFU.
Par contre, l'alinéa 8 de l'article 12 du CIDTA, auquel il est fait référence dans votre courrier,
consacre l'appartenance à la catégorie des BIC, les revenus des marins pêcheurs, patrons pêcheurs,
armateurs et exploitants de petits métiers. Ces derniers doivent être soumis à l'IFU si le montant du chiffre
d'affaires annuel réalisé n’excède pas 3.000.000,00 DA (article 282 ter du CIDTA).
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N°426/MF/DGI/DOF/SDOF/07
Copie à:
Monsieur le Directeur Général des Impôts.
Monsieur l’inspecteur Général des Services Fiscaux.
Messieurs les Directeurs Centraux.
Monsieur le Directeur d’Etudes.
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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Monsieur le Directeur
des Grandes Entreprises
Par envoi rappelé en référence, vous me faites connaître que l’entreprise COSIDER Carrière,
filiale à vocation minière (Extraction des pierres pour la construction) du groupe COSIDER, consolide ses
résultats avec le groupe et ne procède pas au règlement des acomptes IBM dont elle est principalement
redevable au regard de la loi n°17 -10 du 03/07/2001.
A cet effet vous sollicitez l’autorisation de procédez aux régularisations qui s’imposent.
En réponse, j’ai l’honneur de vous faire connaître que s’agissant de deux impôts différents
notamment dans leurs taux d’imposition et de répartition et que l’autorisation N°1028/ DIBMR/SDOF du
02/10/2005 limite le périmètre de consolidation à l’impôt IBS conformément aux dispositions de l’article
138 bis du CIDTA, il convient d’exclure la dite filiale du périmètre de consolidation et de procéder aux
régularisations qui s’imposent en la matière.
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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances وزارة ا
Direction Générale des Impôts
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Direction du Contentieux
N°843 /MF/DGI/DCTX/SDCTX/ IR
En application des dispositions de l'article 141.4 du code des impôts directs et taxes assimilées
(CID), les impôts et taxes qui se rapportent à l'exploitation des entreprises soumises au régime du réel
constituent des charges déductibles pour le calcul de leur résultat fiscal. Tel est le cas notamment du VF, de
la TAP et de la taxe foncière relative aux immeubles figurant au bilan.
Lorsque ces entreprises obtiennent des restitutions ou réductions au titre de ces impôts (droits en
principal) antérieurement déduits de leurs résultats, les dégrèvements ainsi obtenus constituent des produits
imposables à rattacher à l'exercice au cours duquel ils ont été ordonnancés et c’est conformément aux
dispositions de l'article susvisé.
Si par exemple une société obtient en 2003 un dégrèvement de 100.000 DA de TAP de l'année
2001, cette somme doit être rajoutée aux résultats de l'exercice 2003 imposables en 2004. En revanche, si
l'impôt n'est pas déductible, un dégrèvement ultérieur ne sera pas imposable. Tel est le cas, lorsqu'un
contribuable obtient un dégrèvement en matière d'IBS ou IRG puisque ces impôts ne sont pas déductibles.
Aux fins de s'assurer du respect de l'obligation comptable décrite ci-dessus, il y a lieu d'inviter les
gestionnaires à effectuer systématiquement un rapprochement entre les dégrèvements accordés et les bilans
fiscaux souscrits postérieurement à l’année de l’ordonnancement de ces décharges.
A titre indicatif, un dégrèvement ordonnancé au cours de l’année 2003 repris dans les écritures comptables
de 2003 doit figurer dans le bilan fiscal 2004.
A ce titre, il est signalé que la prescription quadriennale ne commence à courir qu'à compter de la date
de l'ordonnancement du dégrèvement. Ainsi, pour une TAP afférente à l'année 1997 dégrevée en 2003, non
comptabilisée au titre du même exercice, le service d'assiette pourra exercer son droit de reprise jusqu'au
31.12.2007.
Dans le cas où les montants des dégrèvements s'avèrent non enregistrés en comptabilité, il conviendra
de procéder,' dans le cadre de la procédure contradictoire, aux régularisations qui s'imposeraient lesquelles
devront entraîner des rappels de droits IBS/IRG assortis des pénalités correspondantes.
Pour ce faire, la Direction des Impôts dressera, par inspection et pour chaque exercice, un état établi
selon le modèle ci-joint, faisant ressortir les dégrèvements/remises ou modérations accordées à chaque
contribuable en matière d'impôts professionnels, pour l'ensemble de la période non touchée par la
prescription décomptée - faut il le rappeler - à partir de la date de l'ordonnancement de ces décharges . Cet
état parvenu à l'inspection compétente fera l'objet d'exploitation ponctuée, le cas échéant, par les rappels de
droits IBS/IRG correspondants à porter sur ledit état qui doit être retourné, à la Direction, à l'issue de
l'opération de contrôle.
Enfin, il est précisé que cette opération doit concerner également les professions libérales relevant
du régime de la déclaration contrôlée.
Vous voudrez bien, veiller à l'application des instructions qui précèdent et me faire part, en temps
opportun, des difficultés rencontrées dans le cadre de leur exécution.
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MINISTERE DES FINANCES
DIRECTION GENERALE DES IMPOTS
DRI de :……………………………..
DIW de : …………………………….
Etat Nominatif des Dégrèvements,
Remises ou Modérations d’impôts
ou Taxes Professionnels
Ordonnancés durant
l’Année :………………………
Partie à renseigner par la DIW – S/D du Contentieux Partie réservée à l’Inspection des
impôts (*)
Nom, Prénom ou Adresse et Dégrèvements, remises ou modérations
raison sociale de activité
TAP VF TF
l’entreprise exercée Indications des références (date et n°)
Exercice Montant des Exercic Montant Exercice Montant des des rôles individuels de régularisations
Droits en e des droits en éventuellement opérées
principal droits en principal
principal
(*)
Observation : si les dégrèvements ou remises accordés ont été déclarés dans le bilan fiscal de l’entreprise, mettez la mention « montants repris dans le résultat fiscal
de l’exercice…………….. ».
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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances
Direction Générale des Impôts
Direction du Contentieux
S/Direction du Contentieux de l'Impôt sur le Revenu
N°694 MF/DGI/DCTX/SDCTX.IR
Monsieur le Directeur de la
Législation Fiscale
Par envoi rappelé en référence, vous m'avez transmis, pour avis et observations, le projet de
réponse relatif au traitement fiscal, au regard de la TAP, préconisé pour les opérations de gains et
pertes de changes, suite à la demande de renseignements formulée à cet effet par la compagnie
bancaire «NATIXIS ».
A cet égard, si le plan cité ci-dessus ne considère pas les dites opérations comme produits
exceptionnels constitutifs entre autres du résultat, des organismes bancaires, il convient de les
assimiler à un CA, imposable par v o i e d e conséquence à la TAP.
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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances وزارة ا
Direction Générale des Impôts
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Direction de la Législation et de W
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la Réglementation Fiscales
N°16 MF/DGI/DLRF
Alger, le 17janvier 2009
Copie à :
- ABEF (Monsieur le Délégué Général)
- Banque d’Algérie (Secrétariat Général)
- Commission Bancaire (Secrétariat Général)