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Impôts Directs

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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE

Ministère des Finances ‫وزارة ا‬


Direction Générale des Impôts ‫ا ا ا‬

Le Directeur Général ‫ا ام‬

Alger, le 02 Mai 2007

TELEX

N° 383 MF/DGI/DG 07 du 02 Mai 2007

Expéditeur : Ministère des Finances / Direction Générale Des Impôts


Destinataires : Messieurs les Directeurs Des Impôts de wilaya

En communication à :
Messieurs les Directeurs Régionaux des Impôts

Suite aux hésitations rencontrées par les services fiscaux Stop Honneur vous faire connaître que les
sommes acquittées en douane au titre du précompte à l’importation institué par les dispositions de
l’article 59 de la loi de finances pour 1997 Stop modifiées par les dispositions de l’article 69 de la loi
de finances pour 2003 Stop sont imputables sur le montant de l’IRG ou de l’IBS de l’exercice Stop
Dans le cas où ces sommes n’ont pu être imputées dans leur totalité Stop Le solde est reporté sur
l’exercice suivant Stop En cas de cessation d’activité ou dans le cas ou le solde n’a pu être imputé
dans sa totalité sur l’IRG ou l’IBS de ce deuxième exercice Stop Le montant restant est remboursé
Stop Une note-circulaire précisera les procédures en la matière Stop et Fin.

‫ا ام ا‬


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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE

Ministère des Finances ‫وزارة ا‬


Direction Générale des Impôts ‫ا ا ا‬

Le Directeur Général ‫ا ام‬

No : 061 MF/DG/ 09
Alger, le 21 janvier 2009

Messieurs
Les Présidents, Directeurs Généraux Des Banques Et Etablissements Financiers :

- Banque Extérieure d’Algérie ;


- Banque Nationale d’Algérie ;
- Crédit Populaire d’Algérie ;
- Banque de Développement Local ;
- Banque de l’Agriculture et du Développement Rural ;
- Caisse Nationale d’Epargne et de Prévoyance (Banque) ;
- Caisse Nationale de Mutualité Agricole (Banque) ;
- Banque el Baraka d’Algérie ;
- Citi Bank N.A Algériat " Succursale de Banque ";
- Arab Banking Corporation – Algeria ;
- Natexis-Algerie ;
- Arab Bank Plc-Algeria " Succursale de Banque ";
- Bnp Parisbas El- Djazair ;
- Trust Bank- Algeria ;
- Gulf Bank Algerie.

Objet : Déclaration de transfert.


REF : Articles 10 et 11 de la loi de finances pour 2009.

Additionnellement aux messages n° 21 MF/DGI/DLRF du 31 décembre 2008 et n° 16


MF/DGI/DLRF du 17 janvier 2009 relatifs à la mise en œuvre des dispositions de l’article 10 de la loi
n°08-21 du 2 Moharram 1430 correspondant au 30 décembre 2008 portant loi de finances pour 2009,
j’ai l’honneur de vous rappeler que vos établissements doivent exiger la production au préalable
d’une attestation délivrée par l’administration fiscale au titre des demandes de transfert de fonds à
destination de l’étranger.

Cette nouvelle procédure remplace celle précédemment édictée par les articles 111 et160 du code
des impôts directs et taxes assimilées, abrogés par l’article 11 de la loi de finances pour 2009.

A ce titre et en attendant la publication de l’arrêté fixant les modalités d’application des


dispositions de l’article 10 suscité, les banques doivent exiger, à l’appui de chaque dossier, cette
attestation au titre des transferts effectués par les entreprises intervenant en Algérie dans le cadre de
marché de travaux ou de prestation de service, accompagnés ou non de la fourniture d’équipements.
L’attestation doit également être exigée au titre des dossiers de transferts des revenus des actions
ou des parts sociales et des valeurs de cession des actions ou parts sociales.

L’attestation suscitée est délivrée exclusivement par la direction des grandes entreprises, instruite
en la matière.

Vous voudriez bien veiller à la stricte application des présentes prescriptions.


Veuillez agréer, Messieurs, l’expression de ma parfaite considération.

‫ا ام ا‬


‫راو‬.‫ ع‬:‫إء‬
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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE

Ministère des Finances ‫وزارة ا‬


Direction Générale des Impôts ‫ا ا ا‬
Direction de la Législation Fiscale  ‫ ا!  ا‬
N° 751 MF/DGI/DLF.EFD ‫ م ت ج‬/‫ م ع‬/‫ و م‬751 : "#‫ر‬

Alger, le 18 Décembre 2004

Circulaire
A
Messieurs et Mesdames les Directeurs des Impôts des Wilayas
En communication à :
Messieurs les Directeurs Régionaux des Impôts
Messieurs les Inspecteurs Régionaux des Services Fiscaux

Objet : Régime Fiscal applicable aux activités minières.

R.E.F. /

• Loi n°01-10 du 03 juillet 2001 portant loi minière


• Décret présidentiel n°03- 85 du 1er Mars 2003 portant modèle de la convention minière.
• Décret exécutif n° 02- 469 du 24 décembre 2002 relatif à l’activité minière de ramassage, de
collecte et/ou de récolte.
• Décret exécutif n°02-470 du 24 décembre 2002 portant modalités d’application des
dispositions relatives aux autorisations d’exploitation des carrières et sablières.
• Décret exécutif n°02 – 471 du 24 décembre 2002 fixant la répartition des revenus de la
redevance d’extraction et de la taxe superficiaire, entre le Fonds du Patrimoine Public Minier et
le Fonds Commun des Collectivités Locales, au profit des communes.
• Décret exécutif n° 02-472 du 24 Décembre 2002 fixant les critères des réductions
applicables à la redevance d’extraction.
• Décret exécutif n°03 – 256 du 22 juillet 2003 relatif aux équipements spécifiques exemptés
de la TVA et des droits, taxes et redevances de douanes.
• Arrêté interministériel du 29 avril 2003 portant application de l’article 155 de la loi minière
fixant les modalités de paiement de tous droits, redevances ou pénalités.
La présente circulaire a pour objet de commenter d’une part, les dispositions de la loi n° 01- 10
du 03 juillet 2001, portant Loi Minière définissant les activités minières et leurs modalités
d’exercices, et d’autre part, définir le régime fiscal spécifique applicable aux dites activités.

I. Champ d’application de la loi minière :

Aux termes des dispositions des articles 1 et 2 de la loi n° 01-10 du 03 Juillet 2003 portant
Loi Minière, relèvent du champ d’application de la loi minière, les activités d’infrastructure
géologique, de recherche et d’exploitation des substances minérales fossiles découvertes ou non
découvertes, situées dans l’espace terrestre du sol et du sous – sol ou dans les espaces maritimes
relevant de la souveraineté de l’Etat algérien ou de la juridiction algérienne.

Par ailleurs, en sont expressément exclus, les eaux, les gisements d’hydrocarbures liquides
ou gazeux et les schistes combustibles pétrolifères, qui sont soumis aux dispositions législatives qui
leurs sont spécifiques.
A) PRINCIPALES ACTIVITES MINIERES :
a) La recherche minière :
Conformément aux dispositions de l’article 13 de la Loi Minière, la recherche minière regroupe
d’une part, les travaux de prospection et d’autre part, les travaux d’exploration.
b) Exploitation des substances minérales :
Aux termes des dispositions de l’article 16 de la Loi Minière, l’activité d’exploitation porte sur
les travaux préparatoires de développement des opérations d’extraction et /ou de concentration des
substances, ainsi que leur valorisation.
Il est signalé, que la valorisation couvre uniquement les opérations de premières transformations
des substances minérales extraites. Par conséquent, toute autre transformation industrielle
supplémentaire ne fait pas partie des activités minières.
c) Les activités de ramassage et d’exploitation des carrières et sablières :
Les articles 21 et 22 de la Loi Minière ont défini respectivement les activités de ramassage et
d’exploitation des carrières et sablières comme suit :
1- L’activité de ramassage :
L’activité de ramassage consiste à s’approprier des substances minérales se trouvant en l’état à la
surface du sol.
2- L’activité d’exploitation des carrières et sablières :
L’activité d’exploitation des carrières et sablières consiste en l’enlèvement de matériaux ne contenant
aucune substance minérale valorisable et se trouvant à l’état naturel sous forme de dépôt meuble
destinés à des fins de construction, d’empierrement et d’amendement des sols.
B) DESIGNATION DES TITRES MINIERS ET AUTORISATIONS RELATIFS A
L’EXERCICE DES ACTIVITES MINIERES :

Conformément aux dispositions des articles 94, 102, 116, 119,124 et 127 de la Loi minière, les
activités minières sont des actes de commerce, exercées exclusivement par des personnes physiques ou
morales de droit privé, titulaires de titres miniers ou d’autorisations. Ces titres et autorisations peuvent
être désignés sous les formes suivantes :
a. La recherche minière :

• Une autorisation de prospection délivrée à toute personne morale de droit privé qui en exprime la
demande ;
• Un permis d’exploration minière délivré à toute personne morale justifiant des capacités techniques
et financières appropriées.

b. L’exploitation minière :

• La concession est accordée par décret exécutif à toute personne morale titulaire d’un permis
d’exploration qui a fait une découverte ou bien par l’adjudicataire retenu.
• L e permis d’exploitation de petite et moyenne exploitation minière est accordé à toute personne
morale titulaire d’un permis d’exploration qui a découvert un gisement et qui désire entreprendre une
exploitation sous ce statut ou bien par l’adjudicataire retenu.
• L’autorisation d’exploitation minière artisanale accordée selon le cas à des personnes morales ou
physiques.
La priorité est donnée :
- en 1er au titulaire d’un permis d’exploration ;
- en 2ème au titulaire d’une autorisation de prospection,
- et enfin à l’adjudicataire.
C) AUTORISATIONS RELATIVES A L’EXERCICE DES ACTIVITES DE RAMASSAGE ET
D’EXPLOITATION DES CARRIERES ET SABLIERES NE CONSTITUANT PAS DES
TITRES MINIERS :
En vertu des dispositions de l’article 8 de la Loi Minière, les autorisations de ramassage,
d’exploitation des carrières et sablières ne constituent pas des titres miniers.
Et conformément aux dispositions des articles 131 et 132 de la loi citée ci-dessus, deux types
d’autorisations sont prévus :
a) Autorisation de récolte et/ou de ramassage des substances minérales :
Elle est délivrée à des personnes morales de droit algérien ou à des personnes physiques de
nationalité algérienne par l’Agence Nationale du Patrimoine Minier (ANPM).
b) Autorisation d’exploitation des carrières et sablières :
Elle est délivrée à des personnes morales ou physiques par l’Agence Nationale du Patrimoine Minier
après avis du wali territorialement compétent.
D- ENTREPRISES EXCLUES DU CHAMPS D’APPLICATION DE LA LOI MINIERE
Sont exclus du champ d’application des dispositions de la loi Minière , les opérateurs dont
l’activité principale ou accessoire , consiste à exécuter les travaux de prospection, d’exploration et
d’exploitation pour le compte de tiers .Il s’ensuit que seuls les opérateurs détenant un titre ou une
autorisation miniers sont éligibles au régime de ladite loi.
E- CONDITIONS D’EXERCICE DES ACTIVITES MINIERES
Aux termes des dispositions de l’article 78 de la loi minière , pour l’attribution d’un titre
minier l’investisseur doit au préalable remplir les conditions suivantes selon le cas :
a) Pour l’autorisation de prospection et le permis d’exploration :
* Etre une société commerciale de droit algérien ou étranger régulièrement constituée et
immatriculée dans son pays d’origine.
b) Pour la concession minière et le permis d’exploitation de petite ou moyenne exploitation
minière :
*Etre une société commerciale de droit algérien régulièrement constituée.
c) Pour l’autorisation d’exploitation minière artisanale :
* Etre inscrit au registre de commerce.
II – REGIME D’IMPOSITION DES ACTIVITES MINIERES
Le régime fiscal édicté par la loi n° 01-10 du 03 juillet 2001 portant loi Minière et les
textes pris pour son application, définit les dispositions relatives aux taux d’impositions , à
l’assiette , à la liquidation et au recouvrement des impôts , droits et taxes ayant trait aux activités
minières , du début de la recherche jusqu'à l’exploitation.
Il est précisé, à cet égard, que les principes d’imposition applicables aux activités
minières sont ceux prévus , d’une part , par le régime spécifique de la Loi Minière , et d’autre part,
ceux édictés par la législation fiscale du droit commun.
Aussi , en vertu des dispositions fiscales de la Loi Minière , les activités minières sont
soumises aux prélèvements spécifiques suivants :
1- Le Droit d’établissement d’acte ;
2- La Taxe superficiaire ;
3- La Redevance d’extraction ;
4- La Redevance de ramassage ;
5- L’Impôt sur le Bénéfice Minier (IBM)
Il est signalé, à cet effet , que le régime d’imposition de ces activités met en évidence les
désignations des titres miniers et autorisations relatifs à leur exercice.
Il s’agit ce faisant, de tenir compte de la distinction entre les impôts et taxes se rapportant
aux activités minières exercées sur la base des tires miniers, de ceux se rapportant aux autorisations
ne constituant pas des titres miniers.
A- IMPOTS ET TAXES SE RAPPORTANT AUX ACTIVITES MINIERES EXERCEES
SUR LA BASE DES TITRES MINIERS
1- Droit d’établissement d’acte :
Aux termes des dispositions de l’article 156 de la Loi Minière, le droit d’établissement d’acte
est perçu à l’occasion de l’établissement, de la modification et du renouvellement des titres et des
autorisations , selon le barème prévu à l’annexe I de la Loi Minière.
En vertu de l’article 1er de l’arrêté interministériel portant application de l’article 155 de la
Loi Minière , les droits sont payables auprès de la recette des impôts du ressort où se situe la
structure de l’Agence Nationale du Patrimoine Minier qui a émis l’ordre de perception.
Le produit des droits d’établissement d’actes est versé au compte d’affectation spéciale N°
302-015 intitulé « Fonds du Patrimoine Public Minier ».
2 – Taxe superficiaire
a) déclaration et paiement de la taxe superficiaire :
Perçue sur la base du barème II annexé à la Loi Minière , la taxe superficiaire est payable
auprès du receveur des impôts du ressort où se situe la structure de l’Agence Nationale du
Patrimoine Minier ( ANPM) qui a émis l’ordre de perception.
Il convient de signaler, que le paiement de cette taxe s’effectue au moment de la délivrance
du titre minier ou de son renouvellement au prorata du nombre de mois pleins qui restent à courir.
Pour les exercices ultérieurs , le paiement de la taxe doit être effectué en début de chaque
année, au plus tard le 31 Mars ( cf. Articles 157 et 158 de la Loi Minière ).
b) Répartition du produit de la taxe superficiaire :
Conformément aux dispositions de l’article 2 du décret exécutif n° 02-471 du 24 Décembre
2002 cité en référence , le produit de la taxe superficiaire est réparti comme suit :
 50 % au Fonds du Patrimoine Public Minier;
 50 % au Fonds Commun des Collectivités Locales, au profit des communes.
En somme, il ressort des développements précédents , que les opérations d’assiette ,
relatives aux droits et taxes prévus par les articles 156 et 157 de la Loi Minière, sont confiées
à l’Agence Nationale du Patrimoine Minier. En conséquence, les services fiscaux ne sont
concernés que par les opérations de recouvrement.
3- La redevance d’extraction :
a) Assiette :

La redevance d’extraction prévue par les dispositions de l’article 159 de la Loi Minière est liée
à la notion d’extraction et basée sur la valeur du produit minier marchand.

La redevance est établie sur la base des quantités des substances minérales extraites des
gisements terrestres ou maritimes mentionnées et décomptées après les opérations de traitement au
champ minier.

Ainsi, sont exclues de l’assiette de la redevance, les quantités des substances minérales
extraites, utilisées à l’occasion des travaux pour la réalisation de lots destinés à des essais
minéralogiques.
Il est précisé, à cet égard, que les quantités de substances minérales exclues du calcul de
l’assiette doivent faire l’objet d’une déclaration préalable à l’Agence Nationale du Patrimoine
Minier et les opérations en question ne doivent pas revêtir un caractère commercial.
b) Taux de la redevance :
Les taux de la redevance d’extraction pour les substances minérales extraites des gisements
sont établis sur la base du barème prévu à l’annexe III de La Loi Minière.
c) Abattements de la redevance d’extraction :
Conformément aux dispositions de l’article 161 de La Loi Minière et au décret exécutif
n°02-472 du 24 Décembre 2002 fixant les critères des réductions applicables à la redevance
d’extraction, des abattements peuvent être accordés sur le montant de la redevance d’extraction aux
titulaires des permis et autorisations suivants :
1) Permis d’exploitation de petite ou moyenne mine
Un abattement de 30% de plein droit est accordé sur le montant de la redevance
d’extraction.
En outre, et en application de l’article 11 du décret sus visé, le titulaire d’un permis
d’exploitation de petite ou moyenne exploitation minière peut bénéficier d’une réduction
complémentaire de 20% de la redevance.
A cet effet, aux termes de l’article 12 du décret susmentionné, les réductions de la redevance
d’extraction, redevable par le titulaire du permis d’exploitation de petite ou moyenne mine sont
accordées en considération des critères suivants :
• L’effort de recherche mesuré par le niveau des investissements en prospection et exploration
minières ;
• Le type de production, apprécié en fonction des besoins du marché national ;
• Les techniques utilisées, appréciées selon le degré de réduction des impacts sur l’environnement
qu’elles induisent ;
• L’isolement du site d’exploitation, par rapport aux voies d’accès et aux réseaux
d’approvisionnement en électricité.

Eu égard aux critères de réductions à retenir, les taux maximums de ces réductions sont fixés par
l’article 13 du décret visé ci-dessus comme suit :

 Au titre de l’effort de recherche ……………………………….. 5%


 Au titre du type de production ………………………………….5%
 Au titre des techniques utilisées ………………………………. 5%
 Au titre de l’isolement du site d’exploitation ………………….5%
Il peut être, ainsi, accordé une réduction sur le montant de la redevance d’extraction d’un taux
maximum de 20%. Celle-ci est cumulable avec l’abattement de 30% dans bénéficie de plein droit,
l’activité d’exploitation de petite ou moyenne mine conformément à l’article 161 de la Loi Minière.
2) Autorisation d’exploitation artisanale
Les titulaires d’une autorisation d’exploitation artisanale bénéficient au titre de la redevance
d’extraction d’un abattement de 50 %. (Cf. art 161 alinéa 2 de la Loi Minière)
3) Titre minier de concession minière
En application des dispositions de l’article 4 du décret n° 02-472 du 24 Décembre 2002, fixant
les critères des réductions applicables à la redevance d’extraction, les taux maximum de réduction sont
fixés comme suit :

 Effort de recherche minière ………………………………….5%


 Effort d’exploitation minière ………………………………..5%
 Type de production …………………………………………10%
 Techniques utilisées ………………………………………..10%
 Eloignement du site d’exploitation ……..………………….10%
 Isolement du site d’exploitation ….…………………..……10%

N.B : En définitive, la réduction de la redevance d’extraction minière ne saurait être supérieure


à 50%.
Il est signalé, à cet égard, que les opérations d’assiette relatives à la détermination de cette
redevance sont confiées à l’Agence Nationale de la Géologie et du Contrôle Minier. En
conséquence, les services fiscaux ne sont concernés que par les opérations de recouvrement.
d) Déclaration et paiement de la redevance :
En application des dispositions de l’article 8 de l’arrêté interministériel portant application de
l’article 155 de la Loi Minière, la redevance est acquittée auprès du receveur des impôts du lieu de
situation de l’exploitation minière, sur la base d’une déclaration spontanée établie par l’exploitant
minier, sur un formulaire mis à sa disposition par les structures de l’Agence Nationale de la Géologie
et du Contrôle Minier (ANGCM).
Il est précisé, à cet égard, que la déclaration et le paiement de la redevance doivent être
accomplis au plus tard le 31 Mars de l’année suivant l’exercice clos.
e) Répartition des produits de la redevance d’extraction
En vertu des dispositions de l’article 3 du décret exécutif n°02 – 471 du 24 décembre 2002 cité
en référence, le produit de la redevance d’extraction est réparti comme suit :
 80%, au Fonds du Patrimoine Public Minier ;
 20 % , au Fonds Commun des Collectivités Locales, au profit des communes.
B- IMPOTS ET TAXES SE RAPPORTANT AUX AUTORISATIONS MINIERES NE
CONSTITUANT PAS DES TITRES MINIERS.
a)Les activités minières de ramassage de collecte et/ou de récolte :
1. Droit d’établissement d’acte :
Suivant les prescriptions de l’article 156 de la Loi Minière, le droit d’établissement d’acte est
perçu, à l’occasion de la demande d’autorisation, selon le barème fixé à l’annexe I de ladite loi.
Ces droits sont payables auprès du receveur des impôts du ressort où se situe la structure de
l’Agence Nationale du Patrimoine Minier qui a émis l’ordre de perception.
Le produit de ces droits est affecté en totalité au compte d’affectation spéciale n°302- 015
intitulé « Fonds du Patrimoine Public Minier »
2-La redevance de ramassage
Elle est perçue annuellement, selon un tarif fixé par la loi de finances.
A cet égard, il est précisé, que le tarif actuellement en vigueur est celui fixé par l’article 92 de Loi
de finances pour 2003.
NB : A défaut de modification de ce tarif par la loi de finances annuelle, il est fait application du
dernier tarif en vigueur.
2.1 Déclaration et paiement de la redevance de ramassage :
En application des dispositions de l’article 23 du décret exécutif n° 02 – 469 du 24 Décembre
2002 relatif à l’activité minière de ramassage, de collecte et/ou de récolte, le recouvrement de la
redevance en cause s’effectue par versement d’acomptes provisionnels trimestriels, calculés sur la base
du volume de ramassage, de collecte et/ou de récolte prévisionnel figurant au dossier de demande de
l’autorisation.
Les délais impartis pour le versement de chaque acompte provisionnel trimestriel sont déterminés
sur la base de la date de délivrance de l’autorisation constituant l’échéance de référence, pour
l’échelonnement des acomptes provisionnels trimestriels à payer au titre d’un exercice d’imposition.
Autrement dit, l’absence des dispositions légales fixant les échéances de paiement desdits
acomptes, le délai trimestriel commence à courir à partir de la date effective de la délivrance de
l’autorisation.
A titre d’exemple soit une autorisation de ramassage délivrée le 16/02/2003. Les échéances de
versement des acomptes provisionnels sont fixées comme suit :
 Pour le premier acompte le 16/05/2003 ;
 Pour le deuxième acompte le 16/08/2003 ;
 Pour le troisième acompte le 16/11/2003.
Pour ce qui est de la période allant du 17/11/2003 au 31/12/2003, les droits correspondants à cette
période, sont pris en compte dans le solde de liquidation.
Il est précisé, que le paiement de la redevance d’effectue auprès du receveur des impôts du lieu de
situation de l’exploitation minière sur la base d’un formulaire fourni par l’Agence Nationale de la
Géologie et du Contrôle Minier (ANGCM).
2-2 Modalité de détermination de la base de calcul des acomptes provisionnels :
Le montant prévisionnel de la redevance de ramassage est le produit de la quantité d’enlèvement
prévue par l’autorisation de ramassage et de la moyenne des valeurs du produit marchand de l’exercice
précédent, selon le taux de la redevance fixé par le loi de finances.
2-3 Apurement du solde de liquidation de la redevance :
Deux situations peuvent se présenter pour le solde éventuel du montant de la redevance résultant
de la différence entre le montant de la redevance versée sur la base du volume de ramassage, de
collecte et/ou de récolte prévisionnel , figurant au dossier de demande d’autorisation, et le montant de
la redevance à apurer sur la base de la déclaration spontanée du titulaire de l’autorisation de
ramassage, de collecte et/ou de récolte et à l’échéance de l’autorisation.
1er cas : remboursement du trop- perçu qui représente la différence entre la quantité réellement
ramassée et la quantité prévisionnelle prévue initialement à la délivrance de l’autorisation.
2ème cas : paiement du reliquat de la redevance et ce, sur la base d’un titre de perception établi par
l’Agence Nationale du Patrimoine Minier pour l’apurement du reliquat représentant la différence
positive entre la quantité réellement enlevée et la quantité prévisionnelle prévue initialement au
moment de la délivrance de l’autorisation.
2-4 Répartition du produit de la redevance de ramassage :
Le produit de la redevance de ramassage est réparti comme suit :
 80% au Fonds du Patrimoine Public Minier ;
 20% au Fonds Commun des Collectivités Locales.
b) Les activités minières d’exploitation de carrière et sablières :
1. Droit d’établissement d’acte :
Suivant les dispositions de l’article 132 de la loi Minière, les activités minières sont passibles
d’un droit d’établissement d’acte, fixé par loi de finances. Aussi, en application des dispositions de
l’article 91 de la loi de finances pour 2003, ce montant est fixé à 20.000 DA /hectare/an.
Ces droits sont payables au plus tard le 31 janvier auprès du receveur des Impôts du ressort où
se situe la structure de l’Agence Nationale du Patrimoine Minier.
Le Produit de ces droits est affecté au compte d’affectation spéciale N°302-105 intitulé « Fonds
du Patrimoine Public Minier »
2. La taxe superficiaire :
Conformément aux dispositions de l’article 132 de la Loi Minière, il est perçu annuellement, une
taxe superficiaire dont le montant est fixé par loi de finances. Pour l’exercice 2003, l’article 91 de la
loi de finances a fixé le montant de ladite taxe à 24.000.
Si la durée de l’autorisation d’exploitation est inférieure à une année, le montant est fixé au
prorata des mois de sa validité.
Cette taxe est payable auprès du receveur des impôts du ressort où se situe la structure de
l’Agence Nationale du patrimoine Minier (ANPM), à l’occasion de la délivrance de l’autorisation
d’exploitation et pour les années ultérieures au plus tard le 31 janvier.
N.B : Pour la première et la dernière année d’exercice, si la durée d’exploitation est inférieure à une
année, le montant est fixé au prorata de la durée de validité de l’autorisation.
3. La redevance d’extraction :
En application des dispositions de l’article 25 du décret exécutif n°02-470 du 24 Décembre 2002,
portant modalités d’application des dispositions relatives aux autorisations d’exploitation des carrières
et sablières, le montant de la redevance d’extraction est calculé sur la quantité à enlever, prévue dans
l’autorisation, par la moyenne de la valeur des produits marchands analogues de l’exercice précédent,
et aux taux du barème fixé à l’annexe III de la Loi Minière correspondant aux substances minérales
non métalliques pour matériaux de construction.
Il est à noter, que la valeur des produits marchands est fixée par arrêté du Ministre chargé des
Mines.
3.1 Déclaration de la redevance d’extraction :
Conformément aux dispositions de l’article 8 de l’arrêté interministériel du 29 Avril 2003
portant application de l’article 155 de la Loi Minière, et fixant les modalités de paiement de tous
droits, redevances ou pénalités, la redevance est acquittée auprès du receveur des impôts du lieu de
situation de l’exploitation minière, sur la base d’une déclaration spontanée établie par l’exploitant
minier sur un formulaire mis à sa disposition par les structures de l’Agence Nationale de la Géologie et
du Contrôle Minier.
Il est précisé, que cette déclaration doit être faite au plus tard le 31 mars de l’année suivant
l’exercice clos.
3.2- Modalités de paiement de la redevance d’extraction :
Le paiement de la redevance d’extraction s’effectue par le versement d’acomptes provisionnels
trimestriels, calculés sur la base du programme prévisionnel de prélèvement figurant au dossier de la
demande d’autorisation.
Les délais impartis pour le versement de chaque acompte provisionnel trimestriel au titre d’un
exercice, sont déterminés sur la base de la date de la délivrance de l’autorisation constituant l’échéance
de référence pour l’échelonnement des acomptes provisionnels trimestriels à payer au titre de
l’exercice d’imposition.
N.B : La détermination des échéances de paiement des acomptes provisionnels obéit aux mêmes
règles que celles énoncées supra au titre de la redevance de ramassage.
3.3 Apurement du solde de liquidation de la redevance :
A ce stade, deux situations sont à considérer pour le solde éventuel du montant de la redevance
résultant de la différence entre le montant de la redevance versée sur la base du programme
prévisionnel de prélèvement, figurant au dossier des demandes initiale d’autorisation, et le montant de
la redevance à apurer sur la base de la déclaration spontanée du titulaire de l’autorisation
d’exploitation de carrières et sablières.
1er cas : Remboursement du trop perçu qui représente la différence négative entre la quantité
réellement enlevée et la quantité prévisionnelle prévue initialement au moment de la délivrance de
l’autorisation dans le cas de la cessation d’activité, ou à l’imputation du trop perçu aux versements à
venir si l’activité se poursuivait.
2ème cas : Paiement du reliquat de la redevance qui représente la différence positive entre la quantité
réellement enlevée et la quantité prévisionnelle, prévue initialement au moment de la délivrance de
l’autorisation.
3.4 - Récupération du produit de la taxe superficiaire :
Conformément aux dispositions de l’article 2 du décret exécutif n°02-471 du 24 décembre 2002
cité en référence, le produit de la taxe superficiaire est réparti comme suit :
 50%, au Fonds du Patrimoine Public Minier.
 50%, au Fonds Commun des Collectivités Locales, au profit des communes.
C/ DISPOSITIONS FISCALES COMMUNES APPLICABLES AUX DIFFERENTES
ACTIVITES MINIERES :
1) Impôt sur le Bénéficie Minier (IBM) :
En application des dispositions de l’article 163 de la Loi Minière, les entreprises
d’exploitation minière telles qu’énumérées à l’article 7 de ladite loi, sont soumises à l’IBM lequel est
assis, liquidé et recouvré dans les mêmes conditions que l’IBS.
Il y’a lieu de préciser, que concernant les personnes physiques et société de personnes qui
exercent une activité minière, elles demeurent, en matière de revenu, et à défaut d’option pour le
régime d’imposition à l’IBM, soumise à l’Impôt sur le Revenu Global (IRG) dans la catégorie des
bénéfices industriels et commerciaux (BIC). (Cf. art . 155 al. 2 de la Loi Minière).
Le taux de l’IBM est fixé à 33% et réparti comme suit :
 30% au profit du Budget de l’Etat ;
 3 % au profit du Fonds Commun des Collectivités Locales.
2) Exonération en matière d’impôts directs :
Les exploitations minières sont exemptées pour les activités de prospection, d’exploitation et
d’exploration minière et pour les activités de ramassage et d’exploitation de carrières et sablières de :
 La taxe sur l’activité professionnelle ;
 La taxe foncière sur les propriété constituées ou immeubles construits sur le périmètre minier
attribué.
3) Modalité de détermination du résultat de l’exercice :
Le bénéfice imposable est établi sous déduction de toutes les charges d’exploitation, les
amortissements, les provisions fiscalement déductibles, les déductions pour réinvestissement et les
pertes admises.
3-1 Les charges admises en déduction :
Les charges d’exploitation sont toutes les dépenses encourues après la date du début de
production et comprenant notamment :
 Les de relevés et d’études géologiques et des prestations connexes liées aux opérations ;
 Les frais d’extraction, de stockage, de traitement, de transport, d’exploitation et de vente ;
 Les frais remise en état des terrains et remblais et généralement toutes les installations utilisées
dans les opérations ;
 Les frais généraux et administratifs à l’exception de ceux refacturés aux sociétés affiliées et les
commissions et honoraires professionnels et de gestion encourues à l’intérieur comme à l’étranger en
rapport aves les opérations pourvu que ces montants correspondent à des prestations réellement
effectuées ;
 Les intérêts payés sur des prêts utilisés exclusivement pour le financement des opérations de
recherches et d’exploitation ;
 Le droit d’établissement d’acte, taxe superficiaire et les redevances d’extraction et de ramassage,
impôts et taxes professionnels ;
 Les loyers versés dans le cas où l’occupation du terrain par le titulaire d’un titre minier se fait par
voie de bail.
Aussi, en matière de charges, la Loi Minière prévoit certaines règles dérogatoires.
 Les amortissements :
Tous les frais immobilisés et frais d’établissements sont susceptibles d’être amortis.
Le montant de l’amortissement de ces frais est calculé par application du taux prévu à l’annexe IV de
la Loi Minière.
Les frais de prospection et d’exploration sont admis à l’amortissement sous réserve que leurs
montants soient validés par l’Agence Nationale du Patrimoine Minier.
Dans le cas d’une acquisition d’un titre minier auprès d’un titulaire, le prix d’acquisition est
amorti par le nouveau titulaire dans les mêmes conditions que s’il avait lui-même réalisé les travaux de
recherches. Il s’agit d’un mode d’amortissement spécifique à l’activité minière (CF annexe 4 de la loi
Minière).
 Provisions pour reconstitution des gisements :
Le titulaire est autorisé à constituer une provision réglementée dont le montant ne peut excéder
1% du chiffre d’affaires annuel hors taxe.
Ce montant doit être utilisé pour financer les travaux de recherche dans un délai de trois (03) ans
sous peine d’être réintégré aux résultats.
 Provision pour remise en l’état des lieux :
Le titulaire est tenu de constituer annuellement une provision pour remise en l’état des lieux dont
le montant est fixé à 0.5 % du chiffre d’affaires hors taxes.
Cette provision doit être placée dans un compte de consignation « compte séquestre-productifs
d’intérêts » ouvert auprès du trésor au nom de l’entreprise.
 Report déficitaire :
Les entreprises (personnes morales ou physiques) minières sont autorisées au report du déficit sur
les dix (10) exercices suivants.
4) Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA) :
(CF. Circulaire N°911 MF /DGI/DOF/SDOF/B2 du 14 Avril 2004)
5) Obligations fiscales :
L’entreprise ( personne morale ou physique ) détentrice d’un titre minier ou d’une autorisation
visée au titre B de la présente circulaire, est tenue de souscrire une déclaration d’existence dans les
conditions prévues par l’article 183 du code des impôts direct et taxes assimilées(CID).
6) Obligations comptables :
Les livres comptables doivent être tenus conformément aux prescriptions des articles
9 à 11 du code du commerce et suivant les modalités d’application prévues par le Plan Comptable
National.
En application des dispositions des articles 166 et 167 de la Loi Minière, les
Entreprises soumises à l’IBM doivent :
• Tenir une comptabilité séparée des trois (03) activités de prospection, d’exploration et
d’exploitation minières ;
• Tenir une comptabilité séparée de leurs activités autres que minières ;
• Enfin, le bilan comptable annuel de l’entreprise est présenté sous la forme consolidée.

D / OCTROI D’UNE DECISION D’ASSIMILATION :

Pour être éligible au régime fiscal spécifique prévu par la Loi Minière, les entreprises soumises
à l’ancien dispositif législatif et réglementaire régissant les activités minières, doivent présenter aux
services fiscaux une décision d’assimilation délivrée par les services de l’Agence Nationale du
Patrimoine Minier (ANPM).
Toutefois, pour prétendre au bénéfice du régime d’exemption de TVA sur l’acquisition des
équipements spécifiques, ces entreprises doivent présenter à l’appui de la décision d’assimilation un
titre minier.
A ce titre, l’attention des services est attirée sur le cas des contribuables n’ayant pas
produit les documents suscités, il y’a lieu d’appliquer le régime fiscal édicté par la loi minière, sans
pour autant accorder le régime d’exonération de TVA.

N.B : La décision d’assimilation est matérialisée par une décision administrative du Ministre
Chargé des Mines ou de l’autorité ayant délégation de signature.
E / Le cumul des avantages fiscaux :

(cf. Circulaire n° 911 MF/DGI/DOF/SDOF/B2 du 14 Avril 2004)

F / Sanctions Fiscales :

En cas de retard de paiement ou de défaut et insuffisances de déclaration, il est fait


application des sanctions (pénalités et amendes) prévues par la législation du droit commun.

Toutefois, au titre des redevances d’extraction ou de ramassage, l’article 162 de la Loi


Minière, dispose que toute fausse déclaration, constatée par les agents de l’Agence Nationale de la
Géologie et du Contrôle Minier, donne lieu à l’application d’une pénalité égale à 50 % du montant de
la redevance éludée.

MESURES TRANSITOIRES

En application de l’article 237 de la loi Minière, les dispositions fiscales développées.


Ci-dessus sont applicables à compter du 01 janvier 2003.

A cet effet, le rappel des droits au titre de l’exercice 2003, ne devrait pas faire l’objet
d’application de pénalités d’assiette et de recouvrement.

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Annexe 1
DELAIS DE PAIEMENT ET DE DEPOT DES DECLARATIONS
DESIGNATION DES LIEU DE DEPOT ET DE DATE LIMITE DE IMPRIME UTILISE OBSERVATION
DECLARATIONS PAIEMENT DE LA PAIEMENT DE LA
DECLARATION DECLARATION

Déclaration d’existence Conditions de droit commun Conditions de droit commun Série K n°95

Déclaration mensuelle des Conditions de droit commun Conditions de droit commun Série G. 50 Exonération de la TAP :
impôts et taxes au comptant ou Obligation
par voie de retenue à la source déclarative en mentionnant le
TAP-VF montant du chiffre d’affaires
IRG/Salaire exonéré de la TAP.
IRG/Retenue à la source
TVA
Déclarations professionnelles
relatives aux activités minières
exercées sur la base des titres
miniers
-Recette des impôts du ressort où se -La date d’établissement, de Barème fixé à l’annexe I de
• Droit d’établissement d’acte situe la structure de l’Agence modification et du la Loi Minière
Nationale du Patrimoine Minier renouvellement des titres
(ANPM) qui a émis l’ordre de miniers
perception.
-Au moment de la délivrance Ordre de perception Barème figurant à l’annexe II
• La taxe superficiaire -Recette des impôts du ressort duquel du titre minier ou de son établi par l’ANPM de la Loi Minière
se situe les structures de l’Agence renouvellement au prorata du
Nationale du Patrimoine Minier nombre de mois pleins restant
(ANPM) à courir. Pour les années
ultérieures, au plus tard le 31
Mars de l’exercice en cours.
• La redevance d’extraction Recette des impôts du lieu de Annuellement au plus tard le 31 mars Formulaire fourni par Les taux de la redevance
situation de l’exploitation de l’année suivant l’exercice clos l’Agence Nationale de d’extraction sont fixés au
minière la Géologie et du barème prévu à l’annexe III
Contrôle Minier de la loi Minière.
Déclarations professionnelles
relatives aux autorisations
minières ne constituant pas
des titres miniers

1 .Les activités minières de


ramassage, de collecte et/ou de
récolte

• Droit d’établissement -Recette des impôts du lieu de -Date d’établissement de modification Ordre de perception Le barème des droits est fixé
d’acte situation de l’exploitation et du renouvellement de l’autorisation établi par l’ANPM à l’annexe I de la loi Minière.
minière de ramassage

• redevance de ramassage -Recette des impôts du lieu de -04 acomptes provisionnels Un tarif. Annuel, fixé par la
situation de l’exploitation trimestriels déterminés sur la base de loi de finances
minière la date de délivrance de l’autorisation
constituant l’échéance de référence
pour l’échelonnement des acomptes
trimestriels au titre de l’exercice N.

-Plus le solde de liquidation au plus Déclaration annuelle


tard le 31 mars de l’année N+1 fournie par L’ANGCM
2. Les activités minières
d’exploitation des carrières et
sablières

• Droit d’établissement d’acte -Recette des impôts du ressort Date d’établissement, de modification Ordre de perception Les droits sont fixés
où se situe l’ANPM qui a et du renouvellement de l’autorisation établi par l’ANPM annuellement par la loi de
émis l’ordre de perception finances

• Taxe superficiaire -Recette des impôts du ressort • au moment de la délivrance du titre Les montants de la Taxe
duquel se situe la structure de minier ou de son renouvellement au superficiaire sont fixés par loi
l’ANPM qui a émis l’ordre de prorata du nombre de mois pleins de finances
perception restant à courir

Pour les années ultérieures, au plus Ordre de perception


tard le 31 Mars de l’exercice en cours établi par l’ANPM

Redevance d’extraction Recette des impôts du lieu de -04 acomptes provisionnels Un tarif annuel fixé par loi de
situation de l’exploitation trimestriels déterminés sur la base de finances
minière la date de délivrance de l’autorisation
constituant l’échéance de référence
pour l’échelonnement des acomptes
trimestriels au titre de l’exercice N.

-Plus un solde de liquidation au plus Formulaire de


tard le 31 mars de l’année N+1 déclaration annuelle
fourni par L’ANGCM

Impôts sur le bénéfice Minier Recette des impôts, du ressort 03 acomptes provisionnels
où se situe le siège des Déclarés et payés dans les mêmes Série G.50
entreprises minières conditions applicables à l’IBS
Annexe 2

Loi Minière
Textes réglementaires

Articles de la loi minière Objet Référence du texte

85 -Les modèles des cahiers des charges des titres miniers autres que la D.E N°03-199 du 3/05/03 JORADP N° 32/03.
concession minière.

84 - Le modèle de la convention minière D.P N° 03-85 du 01/03/03 JORADP N°14/03.


applicable à la concession minière.

131 -L’activité minière de ramassage, collecte et / ou de récolte des D.E N°02-469 du 24/12/02 JORADP N°88/02.
substances minérales :

174 - La liste des équipements spécifiques exemptés de la TVA ou des D.E N°03/256 du 22/07/03
droits, taxes et redevances de douanes, destinés à des activités
minières déterminées.

132 - Autorisations d’exploitation des carrières et sablières. D.E N° 02-470 du 24/12/02 JORADP N°88/02

Art.62 LF 2001 modifié et -Modalités de fonctionnement du compte d’affection spéciale n°302- D.E N° 03-105 du 5/03/03 JORADP N°17/03.
complété par l’art.126 de la 105 intitulé « Fonds du Patrimoine Public Minier »
L.F 2003.

154 - Répartition des revenus de la redevance d’extraction et de la taxe D.E N° 02-471 du 24/12/02 JORADP N°88/02
superficiaire, entre le fonds patrimoine public minier et le fonds
commun des collectivités locales, au profit des communes.

208 -Forme de tenue du registre des substances minérales et fossiles D.E N°02-473 du 24/12/02 JORADP N°88/02.
exploitées en mer.
155 -Modalités de paiement de tout droit, redevance ou pénalité prévus AIM/Finances, Energie du 29/04/03 JORADP N°58/03
par la loi minière.

161 -Critères des réductions applicables à la redevance d’extraction. D. E N° 02-472 du 24/12/02 JORADP N°88/02

DE : Décret Exécutif
DP : Décret Présidentiel
JORADP : Journal Officiel de la République Algérienne Démocratique et Populaire
AIM : Arrêté Inter- Ministériel
AM : Arrêté Ministériel
Annexe 3
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
MINISTERE DE L’ENERGIE ET DES MINES

AGENCE NATIONALE DE LA GEOLOGIE ET DU CONTROLE MINIER

DECLARATION ANNUELLE DE LA REDEVANCE D’EXTRACTION


ANNEE………………….
Modèle RED 100

-Art. 160 loi 01-10 du 3 juillet 2001 portant loi Minière, à souscrire avant le 31 mars de chaque année
au titre de l’exercice précédent.

-Formulaire rempli et signé en trois (03) exemplaires : le premier au déclarant, le second à l’ANGCM
et le troisième au receveur des impôts du lieu de paiement.

Nom et prénom ou raison sociale…………………………………………………………….……………


Elisant domicile à …………………………………………………………………………….…………….
Tél n°…………………………………. …….. Fax n°…..………………………………………….……..
Inscrite au RC le…………….sous le n° ……………. Dont le NIS ……………………………………..
Domicile bancaire…………………………………………………………………………………………...
Représentée par (nom et qualité du représentant ( habilité)…………………………………………….
………………………………………………………………………………………………………………
..

Titulaire ( nature du document autorisant l’exploitation )……………………… …….n°………….......


Délivré.par.………………………..le.………………………….Expirant le………………………….……
Dont le périmètre d’exploitation sis à : commune
……………….Daïra…………………………...……….
wilaya……………………………………………………………………………………………………..…
.
Exploitant les, substances minérales (1) ……….… (2) ……… ……….(3)
…………….(4)……………...
Effectuant les travaux de première transformation de :
………………………………………………………………………………………………………………
..
………………………………………………………………………………………………………………
.
………………………………………………………………………………………………………………
DECLARE :
1. quantité annuelle extraite (1)
(Renseigner la case correspondante)

- Exploitation de substance minérale métallique, non métallique et / ou de métaux précieux.


Année Unité de Quantité Teneur TR (*) Quantité mensuelles
mesures extraites moyenne % % de produits finis
( T ou kg(**))
…………. ………….. …………. ……………... ……… ……………………….

(*)
TR : Taux de récupération de l’usine d’enrichissement
(**)
T : Tonne quand il d’agit de substances métalliques et non métalliques . kg : kilogramme quand il s’agit de métaux précieux
-Exploitation de substance non métallique pour les matériaux de construction ou celles des carrières et
sablières

Exercice Unité de Quantités extraites (m3, Kg, T)


mesure
…………………………………………………

-Exploitation par pompage (Saumure)

Année Volume de Sel Quantit2 annuelle extraite (T)


Saumure pompée contenu
M3 °B
…………………. ………. ……………………….

2/ Redevance de ramassage :

Identification Du Quantité Unité Valeur Montant DA


Produit annuelle de marchande Taux de la
produite mesure du produit % redevance en
DA
Produit 1
Produit 2
Produit 3
Produit 4
Produit……….n
Montant annuel
brut la redevance
d’extraction
Taux d’abattement
(…%)
Montant net de la
redevance à payer
(DA)

Le montant net à payer est de ( en lettres et en chiffres ) ………………………………….

Je déclare, certifié exact, les renseignements et informations portés dans le présent document.

Fait à …………………………le, ……………………………………………………

(Nom et Prénom, Qualité et Signature)

(Cachet)
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
MINISTERE DE L’ENERGIE ET DES MINES
AGENCE NATIONALE DE LA GEOLOGIE ET DU CONTROLE MINIER

DECLARATION ANNUELLE DE LA REDEVANCE DE RAMASSAGE


de l’activité minière de ramassage, de récolte et /ou de collecte.

Année…………………

Modèle RED 101

-Art. 160 loi 01-10 du 3 juillet 2001 portant loi Minière, à souscrire avant le 31 mars de chaque
année au titre de l’exercice précédent, et 30 jours de la fin des travaux d’enlèvement.

-Formulaire rempli et signé en trois (03) exemplaires : le premier destiné au déclarant, le second à
l’ANGCM et le troisième au receveur des impôts du lieu de paiement.

Nom et prénom où raison sociale……………………………………Elisant domicile à


…………………
Tél n°…………………………………. .. Fax
……………………………………………………….……….
Inscrite au RC………….sous le n°………………….. Dont Le
NIS……………………….…………….
Domicile bancaire……………………………………………..………………………………Représentée
par (nom et qualité du représentant ( habilité)…………… …………………………
………………….…
……..………………………………………………………………………………………………………..

Titulaire de l’autorisation d’exploitation de carrières et


sablières…………………….n°………………….
Délivré par …………………..le …………………….Expirant
le…………………………….……………
Dont le périmètre d’exploitation sis à : commune
…………….Daïra…………………wilaya…………….
Substance(s) à
enlever………………………………….…………………………………………………….
Volume prévu à
l’enlèvement……………………………………………………………………………….
Durée prévue des travaux d’enlèvement l’enlèvement………………..( mois )……….……..Date réelle
de début de
l’enlèvement……………./………………/……………………………………………………….

1. quantité annuelle extraite (*)

(*)
Lister les substances enlevées.
Année Unité de mesures Quantité annuelle enlevée

2/ Redevance d’extraction (*) :

Substances Quantité Unité Valeur Taux Montant de


annuelle de marchande % la redevance
produite mesure du produit en DA

Montant annuel brut de la


redevance d’extraction

Montant des acomptes


provisionnels versés
Montant de la redevance
prévisionnelle
solde - A PAYER

-A
RECUPERER

Le montant net à payer est de (en et lettre chiffre)


…………………………………………….……………
…………………………………………………………………………………………………………….

Je déclare, certifié exact, les renseignements et informations portés dans le présent document.

Fait à …………………………le, ……………………………………………………

(Nom et Prénom, Qualité et Signature)

(cachet)

(*)
Article 25 du décret exécutif n° 02-470 du 24 12 -2002 portant les modalités d’application des dispositions relatives aux autorisations des
carrières et sablières.
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE

MINISTERE DE L’ENERGIE ET DES MINES


AGENCE NATIONALE DE LA GEOLOGIE ET DU CONTROLE MINIER

DECLARATION ANNUELLE DE LA REDEVANCE DE RAMASSAGE


de l’activité minière de ramassage, de récolte et /ou de collecte.

Année…………………

Modèle RED 102

-Art. 160 loi 01-10 du 3 juillet 2001 portant loi Minière, à souscrire avant le 31 mars de chaque
année au titre de l’exercice précédent, pour les autorisations valides une (1) année ou deux (2) mois
pour celles dont la durée de validité est moindre.
-Formulaire rempli et signé en trois (03) exemplaires : le premier au déclarant, le second à
l’ANGCM et le troisième au receveur des impôts du lieu de paiement.

Nom et prénom …………………né (e) le


…………………………………………………………...……..
Tél…………………………………. ……..Fax
……………………………………………………….……
Inscrit au RC le …………………………..sous le n°………..dont le NIS…………………………..…….
Sis (adresse de réception des notifications) ……………………………………………………….……….
Titulaire de l’autorisation de ramassage, de récolte et/ou de collecte N°…………………………..……..
Délivré par ………………………..valide du ………………………….au…………………………..….…
Dont le périmètre d’exploitation sis à : commune
……………….Daïra…………..…wilaya………………
Substance (s) à ramasser, collecter et/ou
récolter………………………………….…………………..…….
Volume prévu à ramasser, collecter et/ou
récolter………………………………….……………….……….

DECLARE :

1/quantité annuelle extraite (1)

Année Unité de Quantité totale ramassée, récoltée et/ou ou


mesure collectée
Lister par ligne les substances ramassées, récoltées et/ou collectées

2/ Redevance de ramassage :
substances Quantité Unité Valeur Taux
annuelle de marchande % Montant
produite mesure du produit DA
Montant annuel brut
de la redevance de
ramassage
Montant des
acomptes
provisionnels versés
Montant de la
redevance
prévisionnelle
Solde :
- à payer
- à récupérer

Le montant net à payer est de (en lettres et en chiffres)…………………………………………


…………………………………………………………………………………………………..
Je déclare, certifié exact, les renseignements et informations portés dans le présent document.
Fait à …………………………le, ……………………………………………………

(Nom et Prénom, Qualité, Signature et Cachet)


‫اـــــ رـــ اـــــ ا ـــــ اـــــاــــ اــــــــ ‬
‫‪REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE‬‬

‫‪Ministère de l’Energie et des Mines‬‬ ‫وزارة ا‪ #-‬و ا‪"+,‬‬


‫‪Le Ministre‬‬ ‫اــ‪/‬ز‬

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‫‪ -‬و "‪ 28‬ا' م ا"‪NO‬ي ‪ 214-96‬ارخ  ‪K 28‬م ‪ 1417‬ا ا ‪ 1996 7  15‬ا‪N‬ي ‪K‬د ‪(U%/‬ت وز ا‪ (R‬‬
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‫‪ -‬و "‪ 28‬ا' م ا"‪NO‬ي ر ‪ 65-02‬ارخ  ‪ 23‬ذو اة ‪ 1422‬ا ا ‪ 06‬ا ‪ 2002‬ا‪N‬ي ‪K‬د آ‪(O‬ت ‬
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‫‪ -‬و"‪ 28‬اار ارخ  ‪ [ 26‬ال ‪ 1423‬ا ا ‪ 30‬د‪ 20023‬ا‪N‬ي ‪K‬د  ا  ا ارد ا‪ 7‬؛‬

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‫‪REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE‬‬

‫‪Ministère de l’Energie et des Mines‬‬ ‫وزارة ا‪ #-‬و ا‪"+,‬‬


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‫اـــــ رـــ اـــــ ا ـــــ اـــــاــــ اــــــــ‬
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances ‫وزارة ا‬
Direction Générale des Impôts ‫ا ا ا‬
Direction de la Législation Fiscale  ‫ ا!  ا‬
N°109 MF/DGI/DLF/EF

Alger, le 16 février 2002

Note –circulaire
à
Messieurs les Directeurs des impôts de wilaya
En communication à
Messieurs les Directeurs Régionaux des Impôts
Messieurs les Inspecteurs Régionaux des Services Fiscaux
Messieurs les Chefs de Services de la Recherche et de la Vérification

Objet : IRG/ IBS Crédit d’impôt.

La présente note- circulaire a pour objet de rappeler aux services fiscaux les dispositions
législatives relatives aux crédits d’impôt.
I. Le crédit d’impôt :
Le crédit d’impôt est une technique qui consiste à permettre la déduction du montant de l’impôt
annuel, Impôt sur les bénéfices des sociétés ou Impôt sur le revenu global, la somme qui a été prélevée
par voie de retenue à la source au titre de ces impôts.
II. Impositions ouvrant droit au crédit d’impôt :
Les retenues à la source ouvrant droit à un crédit d’impôt sont :
 La retenue à la source de l’IRG sur les produits des actions et parts sociales et les revenus
assimilés. Elle est calculée au taux de 20% sur le montant brut des sommes perçus à ce titre et
ouvre droit à un crédit d’impôt d’égal montant.
 La retenue à la source de l’IRG sur les jetons de présence, tantièmes et autres rémunérations
versées à des personnes en raison de leur qualité de membre d’un conseil d’administration ou de
surveillance de sociétés. Elle est prélevée au taux de 15% sur le montant brut des sommes perçus à
ce titre et ouvre droit à un crédit d’impôt d’égal montant, sauf dans le cas ou la retenue est
libératoire
 Le retenue à la source de l’IRG ou de l’IBS sur les revenus des créances, dépôts et
cautionnements. Elle est calculée au taux de 10% sur le montant brut des sommes perçus à ce titre
et ouvre droit à un crédit d’impôt d’égal montant, à l’exception des bons de caisse anonymes dont
la retenue est calculée au taux de 30% et revêt le caractère libératoire.
 la retenue à la source de l’IRG sur les intérêts produits par les sommes inscrites sur les
livrets d’épargne , les comptes d’épargne-logement et par les placements et dépôts à terme de
plus de cinq ans et sur les revenus des obligations , actions ou parts des organismes de
placements collectifs en valeurs mobilières ( OPCVM) , à savoir : les sociétés d’investissement à
capital variable ( SICAV) et les fonds communs de placement ( FCP) . La retenue es t opérée
sur le montant brut des sommes versées à ce titre au taux de 1 % libératoire à concurrence de
200.000 DA de revenu et de 10% pour la fraction du revenu supérieure à 200.000 DA .Dans
ce dernier cas, le crédit d’impôt correspond à la fraction de la retenue effectuée au taux de 10
%.

 La retenue à la source de l’IRG sur les sommes versées à des personnes exerçant, en sus de
leur activité principale , une activité d’enseignement, de recherche, de surveillance ou
d’assistanat à titre vacataire. Elle est calculée au taux de 15 % sur le montant global et ouvre
droit à un crédit d’impôt d’égal montant.
 La retenue à la source de l’IRG sur les revenus salariaux. Elle ouvre droit à un crédit d’impôt
égal au montant prélevé, majoré du montant de l’abattement effectivement appliqué.
 La retenue à la source de l’IRG sur les primes de rendement et gratifications , d’une
périodicité autre que mensuelle, habituellement versées par les employeurs . Elle est calculée sur
le montant brut des sommes perçues à ce titre au taux de 15 % et ouvre droit à un crédit
d’impôt d’égal montant.
 Ouvre droit également à un crédit d’impôt d’égal montant le précompte de 2 % prélevé à
l’importation.

III –Traitement du Crédit d’impôt :


Le crédit d’impôt est imputé sur le montant de l’impôt annuel ( IRG ou IBS).IL ne donne
lieu ni à remboursement , ni à report sur les années suivantes.IL constitue de ce fait un minimum de
perception des revenus soumis aux retenues à la source ou au précompte .Autrement dit, les crédit
d’impôt attachés à des revenus compris dans les bénéfices soumis à l’impôt ne peuvent qu’être
imputés sur l’impôt annuel dû par la personne bénéficiaire, à l’exclusion de toute restitution.

IV- Exemples pratiques :


Exemple 1 :
Soit un contribuable qui dispose de bénéfices commerciaux de 210.000 DA et d’un
montant net de 32.000 DA de dividendes (soit un montant brut de 40.000 DA diminué de 8.000 DA
au titre de la retenue à la source ) . Le crédit d’impôt est de 8.000 DA
Revenu annuel imposable : 210 000 DA + 40 000 DA= 250 000 DA
Calcul de l’impôt :

60.000 DA x 0 % = 0 DA
120.000 DA x 10 % = 12.000 DA
70.000 DA x 20 % = 14.000 DA
250.000 DA 26.000 DA
Impôt dû :
26.000 DA - 8.000 DA = 18.000 DA

Exemple2 :
Soit un contribuable marié qui dispose de bénéfices commerciaux de 180.000 DA et d’un
montant net mensuel de 9.750 DA au titre de revenus salariaux (soit un montant mensuel imposable de
10.000 DA diminué de 250 DA au titre de la retenue à la Source). Le crédit d’impôt, dans ce cas,
correspond au montant de la retenue à la Source (250 DA) majoré de l’abattement (250 DA), soit 500
DA.
Revenu annuel imposable : 180.000 DA + (10.000 DA x12) = 300.000 DA

Calcul de l'impôt :

60.000 DA x 0% = 0 DA
120.000 DA x 10% = 12.000 DA
120.000 DA x 20% = 24.000 DA
300.000 DA 36.000 DA
Impôt dû :
36.000 DA - (500 DA x 12) = 30.000 DA
Exemple 3:
Soit un contribuable qui dispose de bénéfices commerciaux de 180.000 DA et d'un Montant
net de 216.000 DA au titre d'intérêts produits sur livret d'épargne (soit un Montant brut de 220.000 DA
diminué de 4.000 DA au titre de la retenue à la source).
Le crédit d'impôt, dans ce cas, correspond au montant de la fraction de la retenue à la source
calculé au taux de 10%, soit 2.000 DA seulement.
Revenu annuel imposable : 180.000 DA + (220.000 DA- 200.000 DA) = 200.000 DA (il
s'agit de l’application de l'abattement pour tenir compte du caractère libératoire de la retenue à la source
de 1%)
Calcul de l’impôt :
60.000 DA x 0% = 0 DA
120.000 DA x 10% = 12.000 DA.
20.000 DA x 20% = 4.000 DA
200.000 DA 16.000 DA
Impôt dû :
16.000 DA - 2. 000 = 14.000 DA
Exemple4:
Soit un contribuable qui dispose de bénéfices commerciaux de 30.000 DA et d'un montant
net de 288.000 DA au titre d'intérêts produits sur livret d’épargne (soit un montant brut de 300.000 DA
diminué de 12.000 DA au titre de la retenue à la source).
Le crédit d'impôt, dans ce cas, correspond au montant de la fraction de la retenue à la
source calculé au taux de 10%, soit 10.000 DA seulement.
Revenu annuel imposable: 30.000 DA + (300.000 DA - 200.000 DA) = 130.000 DA
(Il s’agit de l’application de l’abattement pour tenir compte du caractère libératoire de la retenue à la
source de 1%)
Calcul de l’impôt :
60.000 DA x 0% = 0 DA
70.000 DA x 10% = 7.000 DA
130.000 DA 7.000 DA
Impôt dû :
7.000 DA - 10.000 = - 3.000 DA, (soit 0 DA, le montant de 3.000 DA ne peut être ni remboursé, ni
reporté sur les exercices suivants).

Remarque :
Les présentes prescriptions prennent effet à compter du 02 Novembre 2001 (Télex n°985
MF/DGI/DLF). A ce titre, aucun remboursement, ni report ne peut être appliqué. Elles ne peuvent
également donner lieu à des redressements au titre de situations précédentes.

Vous voudrez bien assurer la diffusion de la présente note-circulaire, veiller à son


application et me faire part, sous le timbre de la présente circulaire, des difficultés éventuellement
rencontrées.

 ‫ ا!  ا‬


‫ راو‬.‫ع‬:‫إء‬
‫اـــــ رـــ اـــــ ا ـــــ اـــــاــــ اــــــــ‬
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE

Ministère des Finances ‫وزارة ا‬


Direction Générale des Impôts ‫ا ا ا‬
Direction de la Législation Fiscale  ‫ ا!  ا‬
N°385 MF/DGI/DLF/EF
Alger, le 02 juin 2002

Monsieur le Directeur des Impôts


de la wilaya de Blida

Objet : Plus-values de cession immobilière « affaire SARL CSA GUEROUAOU»


R.E.F./ Votre lettre n° 411/DIW/09/SDOF/BRA/2002 du 06 Mai 2002.

Suite à votre lettre citée en référence, j’ai l’honneur de vous faire connaître que le traitement
fiscal, des plus values dégagées diffère selon le cas :

1er cas : La cession est réalisée à l’occasion de la dissolution de la société :


Les plus-values réalisées sont considérées comme des plus values professionnelles imposables
selon les prescriptions des articles 172 et 173 du code des impôts directs et taxes assimilées.

2ème cas : La cession est réalisée au nom de la société mais après la dissolution :
Les plus values réalisées sont considérées comme des plus-values de cession de parts sociales
imposables selon les prescriptions des articles 23 et suivants du code des impôts directs et taxes
assimilées.

3ème cas : La cession est réalisée au nom des associés :


Les plus values réalisées sont considérées comme des plus values de cession de biens
immeubles imposables conformément aux dispositions des articles 77 et suivants du code des impôts
directs et taxes assimilées.

Toutefois, il est rappelé que la date d’acquisition à retenir pour la détermination des plus-
values imposables d’après ce dernier cas est celle du transfert de propriété du bien de la société vers les
associés.

 ‫ ا!  ا‬


‫ راو‬.‫ع‬:‫إء‬
‫اـــــ رـــ اـــــ ا ـــــ اـــــاــــ اــــــــ‬
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances ‫وزارة ا‬
Direction Générale des Impôts ‫ا ا ا‬
Direction de la Législation Fiscale  ‫ ا!  ا‬
N°460 MF/DGI/DLF/EF
Alger, le 09 juin 2003

Monsieur le Directeur Général


de la société RED-MED Fischer
BP, 509, Zone Industrielle
Route IN-AMENAS – Hassi Messaoud
Wilaya de Ouargla.

Objet : Régime fiscal applicable à la cession d’actions entre associés d’une même société.
R.E.F./ Votre envoi du 15/05/2003

Comme suite à votre courrier sus-référencé par lequel vous demandez à connaître le
régime fiscal applicable à l’opération citée en objet, j’ai l’honneur de porter à votre connaissance ce qui
suit :
A- Imposition des plus values :
1. Plus values réalisées par les personnes physiques :
L’imposition s’effectue selon le critère de résidence ou de non résidence :
 Pour les personnes physiques résidentes en Algérie, la plus – value réalisée est soumise à l’impôt
sur le revenu global (IRG), dans la catégorie des bénéfices non commerciaux.
 Pour les personnes physiques non résidentes en Algérie, et en application des dispositions
combinées des articles 22-1, 33 et 104 du code des impôts directs, la plus -value générée est soumise à
une retenue à la source de 24%.
2. Plus value réalisée pat la personne morale étrangère :
La plus value réalisée par la société LUDWIG WOLFANG FISCHER, dont le siège social est
situé en Allemagne, est soumise à une retenue à la source de 24% et c’est à l’instar du régime fiscal
applicable aux personnes physiques non résidentes indiqué ci-dessus.
B-Droit d’Enregistrement :
Considérée comme une mutation à titre onéreux, l’opération de cession des actions est soumise à
un droit d’enregistrement de 2.5% (Cf. Art 218 du code de l’enregistrement).
Ledit droit est supporté solidairement par les parties à l’acte auxquelles il appartient d’en faire une
juste et équitable répartition (Cf. Art.91 C.E).
C/Régime fiscal applicable à l’opération de l’introduction de nouveaux actionnaires :

 En matière de droits d’enregistrement, le même droit de 2 ,5 % cité supra est applicable au prix de
cession des actions aux nouveaux associés ;
 Pour ce qu’est de l’imposition de la plus value dégagée par la société Red – Med Fischer Bau, il
s’agit, d’une plus-value à caractère professionnel qui sera soumise à l’IBS par l’intégration au
bénéfice imposable de 70% de ladite plus-value, s’il s’agit de plus value à court terme (actions
acquises depuis 3 ans au moins ) ou de 35 % pour les plus values à long terme ( actions acquises
depuis plus de trois ans (art.173, code des Impôts Directs)

Veuillez agréer, Monsieur le Directeur, l’expression de mes sentiments les meilleurs.

 ‫ ا!  ا‬


‫ راو‬.‫ع‬:‫إء‬
‫اـــــ رـــ اـــــ ا ـــــ اـــــاــــ اــــــــ‬
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE

Ministère des Finances ‫وزارة ا‬


Direction Générale des Impôts ‫ا ا ا‬
Direction de la Législation Fiscale  ‫ ا!  ا‬
N°421 MF/DGI/DLF/EF

Alger, le 29 juin 2006

Monsieur le Directeur des Impôts D’Alger Centre

Objet : Cession de fonds de commerce - Régime d’imposition


R.E.F.: Votre lettre n° 887/DAIC /SDOF/06 du 23 Mai 2006

Par lettre citée en référence, vous posez la question de connaître le régime d’imposition de la
cession par la compagnie aérienne bulgare « BALKAN BULGARIAN AIRLINE » d’un fond de
commerce pour une valeur de 8.000.000 DA notamment au regard de la convention fiscale liant la Bulgarie
et l’Algérie.

En réponse, j’ai l’honneur de vous faire connaître que la convention fiscale avec la Bulgarie n’est
pas encore entrée en vigueur

Aussi, la cession en cause donne t-elle lieu à l’application des impositions du droit commun à
savoir :

-La plus value de cession qui en résulterait est considérée comme en produit imposable à l’IBS à
raison de 35% du montant et si cette plus value est à long terme (PVLT) et à 70% si elle est à court terme
(PVCT)

Le taux applicable est de 30%

-Le droit de mutation de 5% lors de l’enregistrement (art .228 du C.E).

 ‫ ا!  ا‬


‫ ز*رة‬.‫ م‬:‫إء‬
‫اـــــ رـــ اـــــ ا ـــــ اـــــاــــ اــــــــ‬
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances ‫وزارة ا‬
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Direction de la Législation Fiscale  ‫ ا!  ا‬
N°270 MF/DGI/DLF/EF

Alger, le 10 avril 2007

A
Messieurs les Directeurs Régionaux des Impôts
Pour diffusion à :
Mesdames et Messieurs les Directeurs Des Impôts de wilaya

Objet : Autorisation de vente de produits tabagiques pour les restaurants

R.E.F.: Ma circulaire n° 114 MF/DGI/DLF-EFD du 13/02/05.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la prescription de la circulaire visée en référence,


l’Administration Centrale a été saisie au sujet du refus, par les services de certaines Directions des Impôts
de wilaya, signifié aux demandes d’autorisation de vente au profit de certains contribuables exerçant
l’activité de restaurant.

Aussi , je vous rappelle que l’octroi de cette autorisation est prévu par l’article 07 de l’arrêté du
09/12/02 fixant les conditions d’agrément des débitants de tabac et repris dans la section III de la circulaire
y relative.

A cet effet, il vous est demandé d’accorder la diligence qu’il faut quant au traitement des
demandes introduites par cette catégorie de contribuables, même si les formalités de demandes sont
accomplies par les fabricants au nom et pour le compte des restaurateurs.

Enfin, j’accorde une attestation particulière à la stricte application de la présente

 ‫ ا!  ا‬


‫ ز*رة‬.‫ م‬:‫إء‬
‫اـــــ رـــ اـــــ ا ـــــ اـــــاــــ اــــــــ‬
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
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Direction Générale des Impôts ‫ا ا ا‬
Direction de la Législation et de W ‫_" ا‬,!‫ ا!  و ا‬
la Réglementation fiscales
N°345 MF/DGI/DLRF/EF

Alger, le 17 juin 2008

Note
A
Monsieur le Directeur Des Grandes Entreprises
Mesdames et Messieurs les Directeurs Des Impôts de wilaya
En Communication à :
Messieurs les Directeurs Régionaux des Impôts

Objet : Exonération en matière de la TAP des produits de large consommation.

L’administration centrale a été saisie, tant par les services de base que par les contribuables, de la
question tendant à la clarification du régime d’imposition applicable en matière de TAP aux chiffres
d’affaires, réalisés au titre des opérations de ventes des produits de large consommation soutenus par le
budget de l’Etat ou bénéficiant de la compensation.
A cet égard, j’ai l’honneur de préciser à l’ensemble des services que conformément aux
dispositions de l’article 220-2° du Code des Impôts Directs et Taxes Assimilées, les chiffres d’affaires
dont il s’agit ne sont pas soumis à la TAP.

En effet, aux termes de la législation et de la réglementation en vigueur, l’exemption de la TAP


bénéficie aux opérations de ventes portant sur les produits suivants :
1. Pain et farine courante en vrac ou conditionnée, utilisée pour la fabrication de ce pain (décret
exécutif n° 96-132 du 13/04/96 portant fixation des prix aux différents stades de la distribution des farines
et des pains - journal officiel n°23 du 14/04/1996).
2. Lait pasteurisé conditionné en sachet (décret exécutif n° 01-50 du 12/02/2001 portant fixation des
prix à la production et aux différents stades de la distribution du lait pasteurisé conditionné en sachet –
journal officiel n°11 du 12/02/2001).
3. Semoule de blé dur (décret exécutif N°07-402 du 25/12/2007, fixant les prix à la production et aux
différents stades de la distribution des semoules de blé dur – journal officiel n° 80 du 26/12/2007)
A ce titre, il convient de préciser que le soutien de l’Etat s’effectue au moyen de dotations
budgétaires pour la compensation du différentiel entre le prix à l’importation et celui fixé par voie
réglementaire.
Cette compensation concerne les matières premières suivantes :
-Blé tendre destiné à la farine panifiable (utilisée à la fabrication du pain) ;
-Poudre de lait destinée à la fabrication du lait pasteurisé conditionné en sachet d’un litre de 25 DA ;
-Blé dur destiné à la fabrication de la semoule.
Aussi est il utile de signaler que l’avantage en question s’applique à tous les stades de
commercialisation des produits y ouvrant droit (production, vente en gros, vente au détail).
Pour les opérations de vente au détail réalisées par des contribuables relevant du régime du
forfait, les services fiscaux sont instruits à l’effet de prendre en considération les présentes prescriptions
lors de la détermination des chiffres d’affaires soumis à L’IFU.
Dans ce cadre, il convient de se référer aux termes des notes n°227 MF/DGI/DOF/SDOF/07 du
07/02/2007 et n°1074 MF/DGI/DOF/SDOF/07 du 03/04/2007, pour l’application des abattements accordés
en la matière.
Les contribuables soumis au régime du réel simplifié et du réel sont, quant à eux, tenus en vue de
bénéficier de l’avantage suscité, de faire apparaître distinctement dans leurs déclarations les chiffres
d’affaires réalisés au titre des produits exonérés de la TAP.
J’attire l’attention des services que l’octroi de l’exonération de la TAP est subordonné au respect,
par les contribuables bénéficiaires des conditions de prix et de marges tels que fixés par les textes
réglementaires relatifs aux produits concernés. Lorsqu’il est constaté l’application de prix et de marge
différents de ceux fixés par voie réglementaire, l’avantage en question ne peut être accordé. Dans ce cas,
les services sont tenus d’opérer les régularisations qui s’imposent.
Enfin, il est précisé que ces mesures s’appliqueront également aux produits qui deviennent à
l’avenir éligibles au soutien ou à la compensation du budget de l’Etat.
Les services seront informés, en temps opportuns, de ces nouveaux produits.
Vous voudrez bien assurez la diffusion de la présente circulaire et veiller à son application

W ‫_" ا‬,!‫ ا!  و ا‬


‫ ز*رة‬.‫ م‬:‫إء‬

N°346 MF/DGI/DLRF/EF
Monsieur le Directeur Général des Impôts
Monsieur le Directeur Général des Services Fiscaux
Messieurs les directeurs Centraux
‫اـــــ رـــ اـــــ ا ـــــ اـــــاــــ اــــــــ‬
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances ‫وزارة ا‬
Direction Générale des Impôts ‫ا ا ا‬
Direction de la Législation et de W ‫_" ا‬,!‫ ا!  و ا‬
la Réglementation fiscales
N°690 MF/DGI/DLRF/SDLR.
Alger, le 17 décembre 2008

Monsieur le Directeur des Grandes Entreprises

Objet : Application du taux réduit de l’IBS


R. E. F. : Votre envoi n°572/MF/DGI/DGE/SDFH/RA du 29 septembre 2008.

Par envoi cité en référence, vous demandez à savoir si les entreprises étrangères intervenant dans
le cadre contractuel, peuvent bénéficier du taux réduit en matière d’IBS, au titre des acquisitions
immobilières.

A ce titre, vous signalez que ces entreprises n’ont pas d’installations professionnelles
permanentes en Algérie et interviennent dans le cadre de la réalisation de contrats de travaux.

En réponse, j’ai l’honneur de vous faire connaître que les bénéfices réinvestis concernés par
l’application du taux réduit au titre de l’IBS sont ceux réalisés par les entreprises de droit algérien, c'est-à-
dire établies en Algérie.

Il est en découle, que les bénéfices réinvestis réalisés par les entités ne disposant pas en Algérie
d’un établissement stable, telles que les entreprises de travaux intervenant en Algérie, dans le cadre de
contacts de travaux, n’ouvrent pas droit à la taxation réduite en matière d’IBS.

W ‫_" ا‬,!‫ ا!  و ا‬

‫ ز*رة‬.‫ م‬:‫إء‬

N°691/MF/DGI/DLRF/SDLR
Copie pour information à :
Messieurs les Directeurs des Impôts de Wilaya
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la Réglementation Fiscales

Alger, le 17 décembre 2008

Monsieur le Directeur Des Grandes Entreprises

Objet : TAP applicable à l’activité de transport par canalisation des hydrocarbures.

R.E.F.: Votre envoi n°315/MF/DGI/DGE/SDG/2008 du 17 Septembre 2008.

Par envoi sus référencé, vous demandez à connaître si l’activité de transport par canalisation du gaz
naturel, réalisés par la société Sonelgaz transport du gaz (GRTG) filiale de Sonelgaz est soumise à la TAP
au taux de 3% conformément aux dispositions de l’article 8 de la loi de finances complémentaires pour
2008.

A cet égard, vous rappelez que le groupe SONELGAZ bénéficie des avantages fiscaux du régime des
groupes de sociétés dans les conditions prévues par l’article 138 bis du code des impôts directs.

En réponse, j’ai l’honneur de porter à votre connaissance que les dispositions de l’article 5 de la loi
n°05-07 du 28 avril 2005, modifiée, relative aux hydrocarbures donnent une définition de ce qu’il y’a lieu
d’entendre par l’expression « Transport par canalisation des hydrocarbures ».

En effet, au sens des dispositions de cet article, sont exclus du réseau de transport par canalisation des
hydrocarbures, les réseaux de gaz desservant exclusivement le marché national.

De ce fait, le transport par canalisation du gaz naturel assuré par la filiale -SPA Sonelgaz transport du gaz,
en ce qu’il se limite uniquement au marché national, n’est pas concerné par le taux de 3% en matière de
TAP.

Je vous précise, toutefois, qu’étant éligible au régime fiscal des groupes de sociétés, la filiale -spa
Sonelgaz transport du gaz bénéficie de l’exonération de TAP pour les opérations réalisées avec les filiales
distributrices membres du groupe. Par contre, le chiffre d’affaires réalisé avec les autres clients hors groupe
demeure soumis à la TAP au taux de 2%.

S’agissant de la répartition du produit de la TAP afférente au transport par canalisation de gaz naturel
assuré par la filiale Sonelgaz transport du gaz , entre les différentes communes traversées par la
canalisation , il importe de signaler qu’elle doit s’effectuer entre ces différentes communes, au prorata du
kilométrage revenant à chaque commune.
W ‫_" ا‬,!‫ ا!  و ا‬
‫ ز*رة‬.‫ م‬:‫إء‬

Copie pour information à :


Monsieur le Directeur Général des Impôts
‫اـــــ رـــ اـــــ ا ـــــ اـــــاــــ اــــــــ‬
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la Réglementation fiscales
N° 16 MF/DGI/DLRF

Alger, le 17janvier 2009


Messieurs les dirigeants des banques
et établissements Financiers

Objet : Déclaration de transfert

R.E.F. : Articles 10 et 11 de la loi de finances pour 2009

Additionnellement à mon message n°21 MF/DGI/DLRF du 31 décembre 2008, j’ai l’honneur


de vous rappeler qu’en vertu des dispositions de l’article 10 de la loi n° 08-21 du 2 Moharram 1430
correspondant au 30 décembre 2008 portant loi de finances pour 2009, les banques et les
établissements financiers doivent exiger la production préalable d’une attestation délivrée par
l’administration fiscale au titre des demandes de transfert de fonds à destination de l’étranger.

Cette nouvelle procédure remplace celle précédemment édictée par les articles 111 et 160 du
code des impôts directs et taxes assimilées, abrogés par l’article 11 de la loi de finances pour 2009.

A ce titre et en attendant la publication de l’Arrêté fixant les modalités d’application des


dispositions de l’article 10 suscité, les banques doivent exiger, à l’appui de chaque dossier, cette
attestation au titre des transferts effectués par les entreprises intervenant en Algérie dans le cadre de
marchés de travaux ou de prestations de services, accompagnés ou non de la fourniture
d’équipements.

L’attestation doit également être exigée au titre des dossiers de transfert des revenus des actions
ou des parts sociales et des valeurs de cession des actions ou parts sociales.

L’attestation suscitée est délivrée exclusivement par la Direction des Grandes Entreprise, instruite
en la matière.

Vous voudriez bien veiller à la stricte application des présentes prescriptions.


Veuillez agréer, Messieurs, l’expression de ma parfaite considération.

W ‫_" ا‬,!‫ ا!  و ا‬


‫ ز*رة‬A`-O
Copie à :
- ABEF (Monsieur le Délégué Général)
- Banque d’Algérie (Secrétariat Général)
- Commission Bancaire (Secrétariat Général)
‫اـــــ رـــ اـــــ ا ـــــ اـــــاــــ اــــــــ‬
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la Réglementation Fiscales
N°334 MF/DGI/DLRF/EF
Alger, le 8 Juin 2009

NOTE
A
Monsieur le Directeur des Grandes Entreprises
Mesdames et Messieurs les Directeurs les Impôts les Wilayas
En communication à :
Messieurs les Directeurs Régionaux des Impôts

Objet : Taux de l’IBS – Activités mixtes


R.E.F.S. : - Article 5 de la loi de finances complémentaire pour 2008 ;
-Article 150 du code des impôts directs et taxes assimilées.

Les dispositions de l’article 150 du code des impôts directs et taxes assimilées telles que
modifiées par l’article 5 de la loi de finances complémentaire pour 2008 énoncent, s’agissant des activités
mixtes (production – prestations de services) que c’est le taux de 25% de l’IBS qui trouve à s’appliquer
lorsque le chiffre d’affaires réalisé au titre du commerce et de services est plus de 50% du chiffre
d’affaires global hors taxes.
La question a été, dés lors, posée de savoir si, en cas, également de mixité, le taux de 19%
s’applique lorsque le chiffre d’affaires réalisé au titre de la production de biens est de plus de 50% du
chiffre d’affaires global hors taxes.
J’ai l’honneur de vous préciser, à cet égard, qu’inversement, lorsque le chiffre d’affaires réalisé
au titre de l’activité relevant du taux de 19% est prépondérant, c’est ce taux qui s’applique sur le bénéfice
imposable.
Il en découle, également, qu’en cas d’activités mixtes et en l’absence de prépondérance, chacun
des deux taux s’applique sur la moitié du bénéfice imposable.
Pour la mise en œuvre des prescriptions de la présente, les services se fondent, en matière
d’identification des activités concernées pour l’application des taux de l’IBS, sur les définitions ci après.
-Les activités de production de biens s’entendent des activités qui consistent en l’extraction, la fabrication,
le façonnage ou la transformation de produits.
Sont exclues de l’expression « Activités de production » pour l’application du taux de 19% de
l’IBS :
• Les activités de conditionnement ou de présentation commerciale en vue de la revente ;
• Les activités minières et d’hydrocarbures.
-Les activités de bâtiment et des travaux publics s’entendent des activités immatriculées en tant que tel
au registre de commerce et qui donnent lieu au paiement des cotisations sociales spécifiques au secteur.
-L’activité touristique, s’entend quant à elle de la gestion des complexes touristiques ainsi que des stations
thermales à l’exclusion des agences de voyages.
W ‫_" ا‬,!‫ ا!  و ا‬

‫ ز*رة‬.‫ م‬:‫إء‬
‫اـــــ رـــ اـــــ ا ـــــ اـــــاــــ اــــــــ‬
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances
Direction Générale des Impôts
Direction des Opérations Fiscales
S/Direction des Opérations Fiscales.
N°1882 MF/DGI/DOF/SDOF/B1

Alger, le 9 octobre 1995

Monsieur le Directeur Régional des Impôts de Blida

Objet : Imposition des plus-values réalisées à l’occasion de cession d’un bien successoral.

R.E.F.S. : votre correspondance N°251 DRI/09/SDOF du 10 septembre 1995


Circulaire N°3/MF/DGI/DOF/DELF/LF94 du 2 avril 1994.

En réponse à votre correspondance citée en conférence, j’ai l’honneur de vous signaler que
l’article 77du CID dans son deuxième alinéa stipule que les plus-values réalisées à l’occasion de la cession
d’un bien immobilier dépendant d’une succession pour les besoins de la liquidation d’une indivision
successorale existante ne sont pas soumises à l’IRG.

La circulaire citée en deuxième référence précise quant à elle dans sa première page, les
conditions d’exonération des plus-values de cette nature.

Toutefois, lorsqu’il est formellement établi que la cession d’un bien en indivision n’est pas
intervenue pour les besoins de la liquidation de la succession, l’imposition des plus-values réalisées doit
être établie sous côte unique au nom des héritiers. .

Il me sera rendu compte des difficultés éventuellement rencontrées dans l’application des
présentes instructions.

 ‫ ات ا‬

‫ار‬L‫ آ‬.‫ ب‬:‫إء‬

N°1883/MF/DGI/DOF/SDOF/B1 09 OCT 1995


Copie pour information à:
Messieurs les Directeurs Régionaux des Impôts.
Messieurs les Directeurs des Impôts de wilayas.
‫اـــــ رـــ اـــــ ا ـــــ اـــــاــــ اــــــــ‬
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances
Direction Générale des Impôts
Direction des Opérations Fiscales
S/Direction des Opérations Fiscales.
N°742/MF/DGI/DOF/SDOF/B1
Alger, le 18 mai 1998

Messieurs les Directeurs des Impôts de wilaya


En communication à :
Messieurs les Directeurs Régionaux des Impôts

Objet : Travaux d’émission IBS –IRG.

R.E.F.S. / Notes : 163/MF/DGI/DOI/SDASI du 06 Avril 1996


239/MF/DGI/DOF/SDOF/B1 du 15 Mai 1996.
304/MF/DGI/DOF du 08 Mars 1997.

Dans le cadre des travaux d’émission des impositions relatives à l’IBS et l’IRG, l’attention des
services d’assiette doit être attirée sur la nécessité du respect des délais.
A cet égard, j’ai l’honneur de vous demander de respecter les instructions transmises par la DOI
en vous rappelant ci-après les mentions à porter sur les pré-matrices.

1. Emission IBS :

Les pré-matrices qui doivent parvenir aux centres régionaux informatiques avant le 30 juin 1998
doivent porter les précisions suivantes :
-Imputation des crédits d’impôts ;
-Acomptes provisionnels versés;
- Indication des déficits ;
- La case « chiffre d’affaires » doit être renseignée quelque soit le résultat dégagé.
- Taux de la pénalité pour la taxation d’office ou pour dépôt tardif de la déclaration doit être
mentionné.
- Les majorations pour insuffisance de déclaration et amendes pour défaut de production des pièces
annexes étant calculées par le centre informatique, les chefs d’inspections doivent se limiter à indiquer
uniquement le nombre de documents non produits.

2. Emission IRG :

La clôture des travaux d'émission au titre de l'IRG doit se faire de manière à permettre la
transmission des pré-matrices aux centres régionaux informatiques avant le 15 septembre 1998.

Pour permettre d'asseoir correctement l'impôt, les pré-matrices, doivent être renseignées de la même
manière que pour l'IBS en vous assurant que les personnes physiques n'atteignant pas le seuil d'imposition,
celles ayant dégagé et déclaré un déficit et celle ayant bénéficié d'une quelconque exemption soient
mentionnées.

Par ailleurs, pour éviter l'application, à tort, des pénalités pour défaut de versement des acomptes
provisionnels les chefs d'inspection doivent procéder à un contrôle rigoureux des carnets de ces acomptes
et à leur imputation aux droits.
Il est également nécessaire pour le respect des délais, que les chefs d'inspection établissent et
transmettent les bulletins de liaison au moment même ou il est constaté que le domicile du contribuable est
situé hors de leur circonscription territoriale.
Enfin le sous- Directeur des Opérations Fiscales doit être impliqué personnellement, pour faire
respecter les délais fixés, les instructions transmises par la DOI et en procédant au contrôle des pré-
matrices avant leur envoi au centre régional informatique.

Vous voudrez bien assurer à la présente note une large diffusion et me rendre compte, éventuellement, des
difficultés rencontrées.

 ‫ ات ا‬
‫وش‬# .‫ م‬:‫إء‬
‫اـــــ رـــ اـــــ ا ـــــ اـــــاــــ اــــــــ‬
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances
Direction Générale des Impôts
Direction des Opérations Fiscales
S/Direction des Opérations Fiscales.
N°792/MF/DGI/DOF/SDOF/B1

Alger, le 20 mai 1999

Monsieur le Directeur des Impôts


de la Wilaya de Skikda

Objet : Réintégration de l'écart de réévaluation - affaire : ENIP.


R.E.F.: V/C n°103 - SDOF/DIW du 18/03/1998 parvenue le 31/ 03.

Par correspondance visée en référence, vous faites savoir que l'Entreprise Publique de Pétrochimie
« ENIP » sollicite un échéancier de 10 ans pour l'amortissement de l'écart de réévaluation devant être
réintégré à ses résultats.
Vous précisez que cet écart représente le reliquat du total de la plus-value de réévaluation dégagée
sur ses investissements et dont une partie a servi à la recapitalisation suite à des mesures d'assainissement
financier décidées par la DGT.
En réponse, j'ai l'honneur de vous informer qu'il ne peut être dérogé aux dispositions de l'article 65
de la loi de finances pour 1997.
En effet, ces dernières ont mis en place un dispositif de faveur, pour les entreprises publiques dont
l'assainissement est opéré par voie de recapitalisation, dérogeant ainsi aux règles de droit commun( art.186
du C.I.D).
En conséquence, il y’a lieu de vous rappeler que l'imposition de l'écart de réévaluation s'effectue par
la réintégration de la partie de la plus-value correspondant aux annuités d'amortissement complémentaire
non encore pratiquées résultant de la réévaluation.
Lorsque la réévaluation a lieu après que les équipements aient été complètement amortis, les
nouvelles dotations susceptibles d'être pratiquées constituent des annuités d'amortissement complémentaire
à réintégrer en totalité au résultat de chacune des années durant lesquelles ces équipements peuvent encore
servir.

 ‫ ات ا‬
‫وش‬# .‫ م‬:‫إء‬
‫اـــــ رـــ اـــــ ا ـــــ اـــــاــــ اــــــــ‬
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE

Ministère des Finances


Direction Générale des Impôts
Direction des Opérations Fiscales
S/Direction des Opérations Fiscales.
N°1113/MF/DGI/DOF/SDOF/B1
Alger, le 12 juillet 1999

Note
A
Messieurs les Directeurs des Impôts de wilaya
En communication à :
Messieurs les Directeurs Régionaux des Impôts

Objet : Cessation provisoire d’activité.

Le manque de suivi et la mauvaise gestion des dossiers des contribuables en cessation d’activité
ont permis à certains d’entre eux de mettre à profit cette période afin d’exercer d’autres activités
génératrices de profits à l’insu des services fiscaux.

En vue d’assurer une prise en charge de cette catégorie de contribuables, il convient de vous
rappeler que la période de la cessation provisoire ne doit en aucun cas dépasser six (06) mois. Une fois la
période expirée, le contribuable doit, soit reprendre son activité, soit radier son registre de commerce.

A défaut, le service procédera à une taxation d’office dans le respect des dispositions de la
législation fiscale en la matière.

Vous voudrez bien instruire les services d’assiette à l’effet de suivre de prés les contribuables
concernés et d’opérer le cas échéant la régularisation nécessaire.

Il me sera rendu compte de toute difficulté particulière quant à l’application des présentes
instructions.

 ‫ ات ا‬
‫وش‬# .‫ م‬:‫إء‬
‫اـــــ رـــ اـــــ ا ـــــ اـــــاــــ اــــــــ‬
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances
Direction Générale des Impôts
Direction des Opérations Fiscales
S/Direction des Opérations Fiscales.
N°2297/MF/DGI/DOF/SDOF/B1

Alger, le .../…./1999

Note
A
Monsieur le Directeur des Impôts
de la wilaya de BLIDA

Objet : Réfaction de 50%. Produits pharmaceutiques.


R.E.F.: V/C N°025/DIW/SDOF/BRA du 15.10.2001.

Par correspondance citée en référence, vous faites part à l’administration Centrale des doléances
des pharmaciens quant à l’application de la réfaction de 50% édictée par l’article 219 du CID relative aux
ventes du détail des médicaments.

A cet égard, vous précisez qu’un nombre important d’officines appliquent la réfaction de 50% sur
l’ensemble de leur CA sans distinction de marge et proposent son application à un pourcentage moyen
calculé par rapport au CA des produits pharmaceutiques dont la marge est supérieure à 20%.

En réponse, j’ai l’honneur de vous faire connaître qu’en vertu de l’article 219 du CID, seuls les
produits pharmaceutiques classés biens stratégiques par le décret exécutif N°96-31 du 15.01.1996 et dont la
marge de vente au détail est située entre 10 et 30% ouvrent droit à réfaction sur les ventes au détail. Il
s’ensuit que les produits pharmaceutiques excédant 30% sont exclus de cet avantage.

Aussi, l’application de cette réfaction à un pourcentage moyen du CA proposée par les pharmaciens
ne peut être accordée.

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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances
Direction Générale des Impôts
Direction des Opérations Fiscales
S/Direction Du Recouvrement.
N°1810/MF/DGI/DOF/SDR

Alger, le 13 septembre 2004

NOTE
A
Messieurs les Directeurs des Impôts de Wilaya

En communication à :
Mesdames et messieurs les Directeurs Régionaux des Impôts
Mesdames et messieurs les Inspecteurs Régionaux des Services Fiscaux

Objet : Précompte de 4% acquitté en douane par les importateurs


- Procédure comptable de prise en charge.

R.E.F.: Art 59, 69 et 28 respectivement LF/97, 03 et 04.


-Décret exécutif n°97-89 du 16/3/1997
- Circulaire N°20 MF/DGI/DLF/LF/97 du 06/07/1997
- Note conjointe Douanes/Impôts n° 1666 MF/DGI/DOF et
- N°547 MF/DGD/IG/R du 07/9/2004 relative à la procédure comptable de prise en charge du
précompte acquitté en douane par les importateurs.

P.J : Cinq (05)

J’ai l’honneur de vous faire parvenir une copie de la note citée en dernière référence, signée
conjointement avec l’administration des douanes, et instituant une nouvelle procédure de prise en charge
du précompte de 4% acquitté à l’importation par les importateurs des marchandises destinées à la revente
en l’état.
Cette instruction prévoit la désignation au niveau de chaque wilaya d’un (01) receveur des
impôts qui aura pour mission de recevoir chaque mois des receveurs des douanes de la même
circonscription, le produit du précompte encaissé par ces derniers.
Les comptables des douanes, imputent les recouvrements du précompte de 4% au compte
500.026 ligne J et procèdent à la fin de chaque mois au reversement de la totalité du produit à la Recette
des Impôts désignée pour la centralisation.
L’opération de transfert par le receveur des douanes est réalisée mensuellement par voie de
Bordereau R6 habituel appuyé d’un état nominatif reprenant par importateur, le montant des sommes
versées, le numéro d’identification statistique (NIS), la raison sociale et le numéro de la déclaration en
douane.
A la réception des montants transférés par leurs collègues des douanes, les Receveurs des Impôts
centralisateurs, abritent provisoirement le montant reçu au compte 500.027 (Acomptes provisionnels) ligne
3 intitulée « précompte de 4 %».

Parallèlement, ils procèdent à l’exploitation des états nominatifs d’identification des auteurs de
versements communiqués par l’Administration des douanes, en saisissant selon le même canevas et sur des
listings à part les précomptes des importateurs relevant d’une même direction des impôts de wilaya (DIW)
afin de communiquer à ces dernières les informations qui les concernent.
Ensuite, ces listings appuyés des états nominatifs d’identification des auteurs de versements,
sont transmis par le Receveur centralisateur à sa direction hiérarchique aux fins d’établissement du titre de
recettes (SérieD37) devant servir de pièce justificative pour l’opération de budgétisation.

Une fois ce document reçu, le receveur des impôts procède à l’imputation au compte 201.001 sous
compte 101 ou 102 selon qu’il s’agit de l’IRG ou de l’IBS en individualisant le produit sur une nouvelle
ligne D à ouvrir dans les journaux auxiliaires et devant apparaître sur la situation statistique Sn°2.

Enfin, la note conjointe sus signalée, a supprimé le recours aux services des douanes pour
l’authentification des quittances de règlement qu’ils délivrent aux importateurs, dans la mesure où
l’administration Fiscale dispose de cette possibilité à travers les états nominatifs qui lui sont transmis à
l’appui du bordereau R6.

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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances

DIRECTION GENERALE DIRECTION GENERALE


DES IMPOTS DES DOUANES
N°1660 MF/DGI /DOF N° 547 MF/DGD / IG /R

Alger, le 07 septembre 2004

Note
A
Messieurs les Directeurs Régionaux des Douanes
Messieurs les Directeurs des Impôts de Wilaya

Objet : Précompte acquitté en douanes par les importateurs


- Procédure comptable de prise en charge

R.E.F.S. : - Article 59,69 et 28 respectivement des lois de finances


pour 1997, 2003 et 2004.
- Décret exécutif N°97-89 du 16/3/1997.

P.J : Trois (03)

Additionnellement aux dispositions des textes rappelés en référence, relatives aux modalités de
perception et de comptabilisation du précompte applicable à l’importation sur les marchandises destinées
exclusivement à l’achat revente, la présente instruction a pour objet d’apporter des réajustements
comptables tendant à la rationalisation du dispositif en vigueur en vue de préserver les intérêts du Trésor.

Aussi, conformément à la note N°133 MF/DGC/ DRC/RCE/117/03 du 23 Février 2003 émanant de


la Direction Générale de la Comptabilité (Direction de la Réglementation Comptable) dont ci-joint copie,
le précompte de 4% est recouvré par les Receveurs des Douanes au compte 500.026 (Impôts Directs et
Taxes Assimilées à Répartir), ligne J intitulée « précompte de 4% », laquelle sera ouverte et suivie dans
leur comptabilité auxiliaire suivant les procédures en vigueur.

A la fin de chaque mois, les Receveurs des douanes installés au niveau de chaque wilaya, procèdent
au reversement de la totalité du produit des fonds précomptes, à la recette des impôts désignée dans la
même wilaya pour la centralisation du produit concerné, et c’est comme indiqué sur le tableau de
consistance ci-jointe en annexe.
RECETTE DES IMPOTS CENTRALISATRICES
DU PRECOMPTE DE 4%

Wilaya Dénomination de la Commune du lieu CCP Code


Recette de situation Comptable
er
1 Adrar Adrar 1 novembre Adrar 3062.67 01119
clé 39
2 Chlef Chettia Chettia 3060.40 02/24R01
Clé 95
3 Laghouat Ksar el hirane Ksar el hirane 3069.50 03/124
Clé 49
4 Oum Bouaghi Oum El Bouaghi ville Oum El Bouaghi 3005.58 0401R01
Clé14
5 Batna 5 juillet1962 Batna 3030.08 05.116
Clé 80
6 Bejaia Bejaia Bejaia 3001.09 06.101
Aissat Idir Clé 69
7 Biskra Biskra Gare Biskra 3001.07 07.114
Clé 61
8 Bechar Bechar Bechar 3064.30 0801R02
Clé 08
9 Blida Zabana Blida 3030.59 09.108
Clé 09
10 Bouira Kadiria Kadiria 3005.88 10.105
Clé 29
11 Tamanrasset Tamanrasset ville Tamanrasset 3010.66 11/01R01
Clé 88
12 Tébessa 1er Novembre 1954 Tebessa 3068.97 12.129
Clé 90
13 Tlemcen Ghazaouet Ghazaouet 3061.79 13.134
Recouvrement Clé 46
14 Tiaret Tiaret Ibn Rostom Tiaret 3010.36 14.116
Clé 73
15 Tizi Ouzou Abane Ramdane Tizi Ouzou 3005.46 135.15
Clé 01
16 Alger Ben Aknoun BEN AKNOUN 3067.55 163
Clé 56
17 Djelfa Hassi-bahbah Hassi-Bahbah 3005.92 124.17
Clé 10
18 Jijel Jijel Bab Essour JIJEL 3069.62 18.130
Clé 61
19 Sétif Ain Arnat Ain Arnat 3020.40 19.112
Clé 61
20 Saida Saida El Feth Saida 3068.71 20.114
Clé 56
21 Skikda Skikda – Port Skikda 3001.10 2101R04
Clé 38
22 Sidi Bel Abbes Sidi bel Abbes SIDI -bel Abbes 3010.34 22.118
Emir Aek Clé 65
23 Annaba Seybouss Annaba 3021.01 23.107
Clé 51
24 Guelma Guelma Maouna Guelma 3065 .97 2401R02
Clé 72
25 Constantine Coudiat Constantine 3020.01 25.108
Clé 45
26 Medea Ain D’heb Medea 3068.76 Non
Clé 76 codifiée
27 Mostaganem Hai Matmor Mostaganem 3031.02
Clé 62 27/113
28 M’sila M’Sila Djaafra M’Sila 3068.10
Clé 22 28.100
29 Mascara Mascara Rachidia Mascara 3068.78
Clé 84 141.29
30 Ouargla Ouargla ville Ouargla 3020.34
Clé 72 30/R01
31 Oran Oued Tlelat Oued Tlelat 3010.31 31.138
Clé 53
32 El Bayadh Boualem Boualem 3010.13 102/32
Clé 51
33 Illizi Illizi Illizi 3069.12 33/103
Clé 36
34 BB-Arreridj Abane Ramdane Bordj Bou Arreridj 3069.65 124.34
Clé 73
35 Boumerdés Dellys Dellys 3005.20 35.111
36 El-Taref El - kala El- Kala 3020.14 102.36
Clé 62
37 Tindouf Tindouf Tindouf 3005.67 3701R01
Clé 15
38 Tissemssilt Bordj Bou Naama Bordj Bou Naama 3005.57 38/103
Clé 210
39 El Oued El Oued Messaba El Oued 3005.36 39/103
Clé 96
40 Khenchla El Hamma El Hamma 3062.02 40.105
Clé 89
41 Souk Ahras Taoura Taoura 3030.96 41.108
Clé 17
42 Tipaza Tipaza Tipaza 3063.03 42.101
Clé 99
43 Mila Oued El Athmania Oued El Athmania 3068.89 43.134
Clé 93
44 Ain Defla Ain Defla ville Ain Defla 3061.78 44/101
Clé 42
45 Naama Naama Naama 3062.46 4501R01
Clé 25
46 Ain Temouchent A/ Temouchent Ain Temouchent 3069.60 125.46
Larbi B/M’hidi Clé 53
47 Ghardaia Bounoura Bounoura 3003.85 47/106
Clé 05
48 Relizane El Matmar El Matmar 3010.16 48/103
Clé 63
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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE

Ministère des Finances ‫وزارة ا‬


Direction Générale de la Comptabilité :Y ‫ا ا‬
N° 133 MF/DGC/DRC/RCE/117/ 03

Alger, le 23février 2003

Monsieur le Directeur des Operations Fiscales


Direction Générale des Impôts

Objet : Comptabilisation du précompte de 4% acquitté en douane.

R.E.F. : Votre lettre N°199/MF/DGI/DOF/SDR du 09/02/2003

P.J : (1) Une instruction

Par lettre visée en référence, vous avez bien voulu me demander d’envisager l’ouverture d’une
ligne au sein du compte 500.026 « Impôts directs et taxes assimilées à répartir » en vue de permettre une
meilleure prise en charge comptable du produit cité en objet, tant par les receveurs des douanes que par les
receveurs des impôts.

En réponse, j’ai l’honneur de vous faire connaître que conformément aux dispositions de
l’instruction N°01 du 03/01/1995, le compte 500.026 comporte des rubriques permettant la prise en charge
dans la comptabilité auxiliaire des receveurs, des différents impôts et taxes assimilées à repartir.

De plus, l’instruction sis-citée prévoit l’ouverture d’autant de rubriques que nécessaire.

Par conséquent, l’ouverture de la rubrique « J » au sein du compte précité intitulé, « produit du


précompte de 4% acquitté en douane » permettra la prise en charge et la comptabilisation du produit objet
de votre correspondance.

Veuillez agréer, Monsieur le Directeur, l’expression de ma parfaite considération.

:Y‫_" ا‬,!‫ا‬
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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE

Ministère des Finances ‫وزارة ا‬


Direction Générale des Impôts ‫ا ا ا‬
Direction des Opérations Fiscales  ‫ ات ا‬
S/Direction des Opérations Fiscales  ‫ ت ا‬8`‫ا ا‬
N°2559 /MF/DGI/DOF/SDOF/ 06
Alger, le 04 novembre 2006

Monsieur le Directeur des Grandes Entreprises

Objet : Régime fiscal d'Algérie- Poste


R.E.F.: V/E n° 308/MF/DGI/DGE/SDG/BR/2006 du 26 SEPT 2006.

Par envoi visé en référence, vous demandez à connaître le régime fiscal applicable à Algérie-
Poste à la faveur de sa transformation en EPIC.

En réponse, j'ai l'honneur de vous faire connaître qu'Algérie Poste ,en tant qu'EPIC et depuis sa
création effective, relève du droit commun applicable aux sociétés et est redevable à ce titre de tous les
impôts et taxes dus conformément à la législation en vigueur.
Aussi, il vous est demandé de procéder au traitement de cette affaire comme suit :
-Informer Algérie- Poste du régime fiscal applicable et des obligations légales qui en découlent.
En matière de TAP : il vous appartient de saisir la DIW exerçant Algérie- Poste en matière de TAP
en lui fournissant les bases de taxation assorties de pénalités d'assiette en vue d'émettre un rôle de
régularisation.
-En matière de TVA : Hormis les services fournis par Algérie- Poste sous le régime de l'exclusivité en
vertu de la loi n°2000-03 notamment son article 63 et ses textes d'application, la TVA est due au taux de
17% avec droit à déduction par application de la règle de prorata. Il est rappelé que le régime de
l'exclusivité est consenti à Algérie- Poste sur la base d'un tarif réglementé n'incluant pas d'une manière
expresse la TVA, compte tenu de la sujétion de service public présente dans ces services dits universels.

A cet égard, la TVA n'étant pas facturée, il y'a lieu d'envisager la taxation des services assujettis à
compter de la date de notification du régime fiscal à Algérie- poste à charge pour cet EPIC de réexaminer
au besoin les prix de ses prestations en fonction de sa politique tarifaire interne, la TVA étant déjà incluse
de droit. Les déductions opérées selon la règle du prorata ne porteront que sur les achats et les acquisitions
effectués ultérieurement à cette date.

-En matière d'IBS : Algérie- Poste est tenue de s'acquitter de l’IBS dû suivant le régime des grandes
entreprises. Dans ce cadre, il vous est demandé de rappeler d'une manière ferme les obligations de cette
dernière dans ce domaine.

Je vous informe par ailleurs qu'Algérie- Poste, en présentant un déficit au titre de l'exercice écoulé à
cause de « factures annulées » pour non recouvrement de créances détenues sur l'Etat, a, par cet artifice,
sciemment et frauduleusement éludé le paiement de l’IBS (Acomptes provisionnels et solde de liquidation).
Le rapport du commissariat aux comptes doit être en l'occurrence consulté.
A ce titre, je vous demande de procéder au rejet de toute provision constituée au titre des créances
d'Etat non encore recouvrées. En effet, les créances d’état sont garanties de droit et ne peuvent en
conséquence faire l'objet de mesures de prévention comptable de la part des entreprises créancières.

En matière de Timbre : Algérie- Poste demeure redevable sauf pour sa mission relative aux services
universels et les cas d'exonérations énoncées par le Code du Timbre. A ce titre et comme en matière de
TVA, l'assujettissement à ce droit commence dès notification du régime fiscal applicable.

Enfin, votre attention est attirée sur le comportement condamnable de cet EPIC au regard de ses
obligations fiscales de déclaration et de paiement. Aussi, un suivi régulier et détaillé du dossier fiscal de
l'intéressé est nécessaire.
Il me sera rendu compte, sous le présent timbre, des mesures prises et des résultats obtenus.

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N°2560/MF/DGI/DOF/SDOF/06
Copie pour information à :
Messieurs les Directeurs Centraux
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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances ‫وزارة ا‬
Direction Générale des Impôts ‫ا ا ا‬
Direction des Opérations Fiscales  ‫ ات ا‬
S/Direction des Opérations Fiscales  ‫ ت ا‬8`‫ا ا‬
N°425 /MF/DGI/DOF/SDOF/ 07

Alger, le 21 février 2007

Note – Télécopie
A:
MONSIEUR L E DIRECTEUR DES IMPOTS D E LA WILAYA
de Ain TEMOUCHENT

Objet : A/S du régime fiscal applicable à certaines catégories de contribuables.


R.E.F.: V/E n°169/DIWAT/SDOF.R/ du 17 février 2007.

Par envoi sus référencé, vous me faites part des difficultés rencontrées par vos services quant à
la définition du régime fiscal applicable aux : « agriculteurs, marins pêcheurs, patrons pêcheurs et les petits
métiers » soumis, tel que précisé dans votre courrier, à L’IRG/BIC aux termes des dispositions de l'article
(12 -8) du CIDTA.
En réponse, j'ai l'honneur de vous rappeler que l'Impôt Forfaitaire Unique (IFU) s’applique
exclusivement aux activités relevant de la catégorie des Bénéfices industriels et Commerciaux. Il s'en suit
que les activités agricoles, régies par les articles 35 et suivants du CIDTA, sont exclus du régime de l'IFU.
L'article 35 stipule, cependant, que les revenus des activités avicoles et cuniculicoles gardent leur
caractère agricole à la double condition que l'activité soit exercée par l'agriculteur dans son exploitation et
qu'elle n'ait pas le caractère industriel. A contrario, les dites activités relèveraient de la catégorie « BIC ». Il
s'en suit que les agriculteurs dans le domaine de l'aviculture ou de la cuniculture ne sont pas, sauf exception
avérée, concernés par le régime de l'IFU.
Par contre, l'alinéa 8 de l'article 12 du CIDTA, auquel il est fait référence dans votre courrier,
consacre l'appartenance à la catégorie des BIC, les revenus des marins pêcheurs, patrons pêcheurs,
armateurs et exploitants de petits métiers. Ces derniers doivent être soumis à l'IFU si le montant du chiffre
d'affaires annuel réalisé n’excède pas 3.000.000,00 DA (article 282 ter du CIDTA).

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N°426/MF/DGI/DOF/SDOF/07
Copie à:
Monsieur le Directeur Général des Impôts.
Monsieur l’inspecteur Général des Services Fiscaux.
Messieurs les Directeurs Centraux.
Monsieur le Directeur d’Etudes.
‫اـــــ رـــ اـــــ ا ـــــ اـــــاــــ اــــــــ‬
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Ministère des Finances ‫وزارة ا‬


Direction Générale des Impôts ‫ا ا ا‬
Direction des Opérations Fiscales  ‫ ات ا‬
S/Direction des Opérations Fiscales  ‫ ت ا‬8`‫ا ا‬
N°847/MF/DGI/DOF/SDOF/B1.

Alger, le 26 mars 2008

Monsieur le Directeur
des Grandes Entreprises

Objet : Régime de consolidation CIBM/IBS.


Groupe COSIDER SPA.
R.E.F.: : V/E N° 09/MF/DGI/DGE/SDG/BG/2008 du 12/01/2008.

Par envoi rappelé en référence, vous me faites connaître que l’entreprise COSIDER Carrière,
filiale à vocation minière (Extraction des pierres pour la construction) du groupe COSIDER, consolide ses
résultats avec le groupe et ne procède pas au règlement des acomptes IBM dont elle est principalement
redevable au regard de la loi n°17 -10 du 03/07/2001.

A cet effet vous sollicitez l’autorisation de procédez aux régularisations qui s’imposent.

En réponse, j’ai l’honneur de vous faire connaître que s’agissant de deux impôts différents
notamment dans leurs taux d’imposition et de répartition et que l’autorisation N°1028/ DIBMR/SDOF du
02/10/2005 limite le périmètre de consolidation à l’impôt IBS conformément aux dispositions de l’article
138 bis du CIDTA, il convient d’exclure la dite filiale du périmètre de consolidation et de procéder aux
régularisations qui s’imposent en la matière.

 ‫ ات ا‬
‫وش‬# .‫ م‬:‫إء‬
‫اـــــ رـــ اـــــ ا ـــــ اـــــاــــ اــــــــ‬
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances ‫وزارة ا‬
Direction Générale des Impôts ‫ا ا ا‬
Direction du Contentieux
N°843 /MF/DGI/DCTX/SDCTX/ IR

Alger, le 16 Juin 2001

Mesdames et Messieurs les Directeurs des Impôts de Wilaya


En communication à :
Mesdames et Messieurs les Directeurs Régionaux des Impôts

Objet : Contentieux -Dégrèvements sur impôts déductibles.


P.J : Un état

En application des dispositions de l'article 141.4 du code des impôts directs et taxes assimilées
(CID), les impôts et taxes qui se rapportent à l'exploitation des entreprises soumises au régime du réel
constituent des charges déductibles pour le calcul de leur résultat fiscal. Tel est le cas notamment du VF, de
la TAP et de la taxe foncière relative aux immeubles figurant au bilan.

Lorsque ces entreprises obtiennent des restitutions ou réductions au titre de ces impôts (droits en
principal) antérieurement déduits de leurs résultats, les dégrèvements ainsi obtenus constituent des produits
imposables à rattacher à l'exercice au cours duquel ils ont été ordonnancés et c’est conformément aux
dispositions de l'article susvisé.

Si par exemple une société obtient en 2003 un dégrèvement de 100.000 DA de TAP de l'année
2001, cette somme doit être rajoutée aux résultats de l'exercice 2003 imposables en 2004. En revanche, si
l'impôt n'est pas déductible, un dégrèvement ultérieur ne sera pas imposable. Tel est le cas, lorsqu'un
contribuable obtient un dégrèvement en matière d'IBS ou IRG puisque ces impôts ne sont pas déductibles.

Le traitement fiscal précisé ci -dessus s'applique également aux remises ou modérations


accordées à titre gracieux sur les droits en principal relatifs aux impôts en cause.

En pratique, il a été relevé que certains contribuables, bénéficiant de dégrèvements , de


remises ou modérations de droits en principal au titre de ces impôts, ne procèdent pas à la passation des
écritures comptables devant constater le produit réalisé, par son enregistrement au crédit du compte 798 «
produits exceptionnels ».Cette écriture comptable corrigeant à la hausse le montant de l'assiette IBS/IRG
initialement déclarée, a pour effet de rétablir la situation fiscale de l'entreprise au regard de ces impôts.

Aux fins de s'assurer du respect de l'obligation comptable décrite ci-dessus, il y a lieu d'inviter les
gestionnaires à effectuer systématiquement un rapprochement entre les dégrèvements accordés et les bilans
fiscaux souscrits postérieurement à l’année de l’ordonnancement de ces décharges.

A titre indicatif, un dégrèvement ordonnancé au cours de l’année 2003 repris dans les écritures comptables
de 2003 doit figurer dans le bilan fiscal 2004.

A ce titre, il est signalé que la prescription quadriennale ne commence à courir qu'à compter de la date
de l'ordonnancement du dégrèvement. Ainsi, pour une TAP afférente à l'année 1997 dégrevée en 2003, non
comptabilisée au titre du même exercice, le service d'assiette pourra exercer son droit de reprise jusqu'au
31.12.2007.
Dans le cas où les montants des dégrèvements s'avèrent non enregistrés en comptabilité, il conviendra
de procéder,' dans le cadre de la procédure contradictoire, aux régularisations qui s'imposeraient lesquelles
devront entraîner des rappels de droits IBS/IRG assortis des pénalités correspondantes.

Pour ce faire, la Direction des Impôts dressera, par inspection et pour chaque exercice, un état établi
selon le modèle ci-joint, faisant ressortir les dégrèvements/remises ou modérations accordées à chaque
contribuable en matière d'impôts professionnels, pour l'ensemble de la période non touchée par la
prescription décomptée - faut il le rappeler - à partir de la date de l'ordonnancement de ces décharges . Cet
état parvenu à l'inspection compétente fera l'objet d'exploitation ponctuée, le cas échéant, par les rappels de
droits IBS/IRG correspondants à porter sur ledit état qui doit être retourné, à la Direction, à l'issue de
l'opération de contrôle.
Enfin, il est précisé que cette opération doit concerner également les professions libérales relevant
du régime de la déclaration contrôlée.

Vous voudrez bien, veiller à l'application des instructions qui précèdent et me faire part, en temps
opportun, des difficultés rencontrées dans le cadre de leur exécution.

‫ت‬8‫ز‬,‫ ا‬
#‫ أرز‬5e
MINISTERE DES FINANCES
DIRECTION GENERALE DES IMPOTS
DRI de :……………………………..
DIW de : …………………………….
Etat Nominatif des Dégrèvements,
Remises ou Modérations d’impôts
ou Taxes Professionnels
Ordonnancés durant
l’Année :………………………

Concernant les contribuables relevant de l’Inspection des Impôts de : ……………………

Partie à renseigner par la DIW – S/D du Contentieux Partie réservée à l’Inspection des
impôts (*)
Nom, Prénom ou Adresse et Dégrèvements, remises ou modérations
raison sociale de activité
TAP VF TF
l’entreprise exercée Indications des références (date et n°)
Exercice Montant des Exercic Montant Exercice Montant des des rôles individuels de régularisations
Droits en e des droits en éventuellement opérées
principal droits en principal
principal

(*)
Observation : si les dégrèvements ou remises accordés ont été déclarés dans le bilan fiscal de l’entreprise, mettez la mention « montants repris dans le résultat fiscal
de l’exercice…………….. ».
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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances
Direction Générale des Impôts
Direction du Contentieux
S/Direction du Contentieux de l'Impôt sur le Revenu
N°694 MF/DGI/DCTX/SDCTX.IR

Alger, le 17 mai 2008

Monsieur le Directeur de la
Législation Fiscale

Objet : A/S traitement fiscal- TAP des gains et pertes de changes.


R.E.F. : Votre envoi N°213/MF/DGI/DLF/EF du 12/04/2008.

Par envoi rappelé en référence, vous m'avez transmis, pour avis et observations, le projet de
réponse relatif au traitement fiscal, au regard de la TAP, préconisé pour les opérations de gains et
pertes de changes, suite à la demande de renseignements formulée à cet effet par la compagnie
bancaire «NATIXIS ».

En réponse, j’ai l’honneur de porter à votre connaissance que la qualification de chiffre


d'affaires des opérations bancaires susvisées, est tributaire du traitement comptable qui leur est
réservé, au regard des prescriptions du plan comptable sectoriel applicable aux banques et
assurances.

A cet égard, si le plan cité ci-dessus ne considère pas les dites opérations comme produits
exceptionnels constitutifs entre autres du résultat, des organismes bancaires, il convient de les
assimiler à un CA, imposable par v o i e d e conséquence à la TAP.

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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère des Finances ‫وزارة ا‬
Direction Générale des Impôts ‫ا ا ا‬
Direction de la Législation et de W ‫_" ا‬,!‫ ا!  و ا‬
la Réglementation Fiscales
N°16 MF/DGI/DLRF
Alger, le 17janvier 2009

Messieurs les dirigeants des banques


et établissements Financiers

Objet : Déclaration de transfert

R.E.F. : Articles 10 et 11 de la loi de finances pour 2009

Additionnellement à mon message n°21 MF/DGI/DLRF du 31 décembre 2008, j’ai


l’honneur de vous rappeler qu’en vertu des dispositions de l’article 10 de la loi n° 08-21 du 2
Moharram 1430 correspondant au 30 décembre 2008 portant loi de finances pour 2009, les banques
et les établissements financiers doivent exiger la production préalable d’une attestation délivrée par
l’administration fiscale au titre des demandes de transfert de fonds à destination de l’étranger.
Cette nouvelle procédure remplace celle précédemment édictée par les articles 111 et 160
du code des impôts directs et taxes assimilées, abrogés par l’article 11 de la loi de finances pour
2009.
A ce titre et en attendant la publication de l’Arrêté fixant les modalités d’application des
dispositions de l’article 10 suscité, les banques doivent exiger, à l’appui de chaque dossier, cette
attestation au titre des transferts effectués par les entreprises intervenant en Algérie dans le cadre de
marchés de travaux ou de prestations de services, accompagnés ou non de la fourniture
d’équipements.
L’attestation doit également être exigée au titre des dossiers de transfert des revenus des
actions ou des parts sociales et des valeurs de cession des actions ou parts sociales.
L’attestation suscitée est délivrée exclusivement par la Direction des Grandes Entreprise,
instruite en la matière.
Vous voudriez bien veiller à la stricte application des présentes prescriptions.
Veuillez agréer, Messieurs, l’expression de ma parfaite considération.

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Copie à :
- ABEF (Monsieur le Délégué Général)
- Banque d’Algérie (Secrétariat Général)
- Commission Bancaire (Secrétariat Général)

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