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ECOLE SUPERIEURE DE TECHNOLOGIE salé

Rapport de TP d’electricité
Realisé par : Charnane Abdelkaddousse
ENCADRE PAr : Mr benbouya

GIM1 : 2015/2016

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Ces travaux pratiques d’électricité ont pour but de familiariser les étudiants
auxcomposants électriques tels que les condensateurs et les résistances, ainsi qu’au
câblage de circuits électriques alimentes en courant continu. On étudiera notamment
les lois reliant lacharge et la différence de potentiel pour un condensateur, la loi
d’Ohm pour les résistances,ainsi que des applications concrètes de ces lois dans le
cadre de la réalisation d’outils artisanauxde mesure du courant électrique.Le travail
est proposé sous forme deux séances thématiques sur lescondensateurs et les
résistances, suivies d’un mini-projet de conception d’ampèremètres et devoltmètres à
partir de galvanomètres a cadre mobile, qui seront finalement utilises pourobserver la
charge/décharge d’un condensateur à travers une résistance. Tous ces travaux
seréaliseront en groupe de deux ou trois étudiants.Du point de vue pratique, les
étudiants réaliseront ce travail en grande autonomie. L’assistantencadrant les
séances dédiées à la réalisation de ce travail aura évidemment pour rôle decontrôler
l’avancement des différents groupes et de les aider afin qu’ils
progressentnormalement au fil des séances, mais les étudiants devront avoir un esprit
particulièrementcritique sur leurs propres résultats.

Le but de ces travaux pratiques et de permettre a nous qui sommes des étudiants, et
futur techniciens, de nous familiariser avec les différents appareils de mesures
électrique actuellement utiliser et les différentes méthodes d’utilisation.

Exemple : oscilloscope, multimètre digitales,fréquencemètre, …ce travail nous


amènera à apprendre à interpréter et à discuter de la valeur de résultats obtenus.

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 But :

L’objet de ce TP est de vous familiariser avec le matériel actuellement utilisé en


électricité : oscilloscopes, multimètres digitales, fréquencemètres …

Elle est composée de deux parties :

 Utilisation de l’oscilloscope
 Mesure de déphasage à l’aide de l’oscilloscope

I. Utilisation de l’oscilloscope :
Nous avons relié le fréquencemètre et l’oscilloscope dans le but de voir, à travers ce dernier,
les variations que nous allons appliquer, par le fréquencemètre, sur le courant en changeant la
fréquence et le type de signal : carré, triangulaire et sinusoïdal.

Pour cela, nous devons utiliser plusieurs fonctions de l’oscilloscope…

Signal Carré :

F mesurée a partir F déduite par la La tension La tension


du relation : mesurée par le observée dans
fréquencemètre. F=T-1 voltmètre l’oscilloscope
(Hz) (Hz) Ueff (V) Umax (V)
328,64 332,22 13,3 13,3
1479 1500 12,2 12,2
Remarque :

Pour une tension carrée la tension efficace mesurée par le voltmètre est égale à la tension max
(oscilloscope).

Démonstration :

On a la formule générale est: U eff = 1/T 0T U²(t) dt

Pour un signal triangulaire:


On a: U(t) = a t + b et pour t[0,T/4] a=4 Umax /T ; b = 0

Alors : U(t) = 4 Umax t /T

D’autre part U² eff = 4/T 0T U²(t) dt = 1/T 0T U²max dt = U²max/T [T] = U²max

D’où :

D’où :

3
Ueff=Umax

Signal triangulaire :

F mesurée par le F déduite par la La tension La tension


fréquencemètre. relation : mesurée par le observée par
(Hz) F=T-1 voltmètre l’oscilloscope
(Hz) Ueff (V) Umax (V)
325,1 333,33 6,5 12,18
1560 1481 6,5 12,18

Remarque :

Pour une tension triangulaire la tension efficace mesurée par le voltmètre est égale
à la tension max ⁄ 3

Démonstration :
On a U² eff = 4/T 0T/4 U²(t) dt = (4/T)3 U²max 0T/4t2dt = U²max/3

D’où :

Ueff = Umax/3

Signal sinusoïdal :

F mesurée par le F déduite par la La tension mesurée La tension


fréquencemètre. relation : par le voltmètre observée par
(Hz) F=T-1 Ueff (V) l’oscilloscope
(Hz) Umax (V)
313,26 317,46 7,6 10,87
1580 1538 7,9 11,31
-Umax

4 T
 Umax : la tension affichée par l’oscilloscope
 T : la période

Remarque :

Pour un signal sinusoïdal ; la tension efficace mesurée par le voltmètre égale à la


Umax affichée par l’oscilloscope ⁄ √2.

Démonstration :

Pur un signal sinusoïdal : U(t) = Umax sin( t + )

Donc : U² eff = 1/T 0T U²(t) dt = U2max /T 0T sin2( t + ) dt

= U2max /2T 0T 1- cos(2( t + )) dt= U²max/T [T/2]

= U²max/2

D’où :

Ueff = Umax/2

Conclusion :

D’après ces mesures, nous avons pu tirer les 3 équations liantes les valeurs de Ueff avec celles des
Umax pour les différents types de signaux.

Aussi, nous avons eu presque les mêmes valeurs de la fréquence donné par le fréquencemètre,
ainsi que celles calculées à partir de la relation : F= T-1

III-- Mesure de déphasage à l’aide d'un oscilloscope :

L = 1 H ; Rb = 350 Ω T
UR U
Voie X
L = cte

U (t) Voie-Y
f = cte UR (t)
ΔT

5 « Schéma du montage » « Écran de l’oscilloscope »


1er : la mesure directe.

On a la relation suivante :

φ = 2 π ΔT / T

Les valeurs de R Les valeurs de φ


(Ω) (rad)
200 π
500 1,5. π

2éme : Mesure en Lissajous.

B
A

On a la relation suivante :

Sin φ=OA⁄OB

φ = Arcsin(OA/OB)

Les valeurs de R Les valeurs de φ Les valeurs d’OA Les valeurs d’OB
(Ω) (rad) (div.) (div.)
500 29,15 1,9 3,9
200 34,41 1,3 2,3

3éme : Théoriquement:

On a la relation suivante :

6 Tan φ = Lω / Rtφ=Arctan (Lω / Rt)


On a : Rt = R + Rbobine et ω = 2π f avec (f =50 Hz) et (Rbobine=350Ω)

Les valeurs de R (Ω) 200 500


les valeurs de φ (rad) 29,73 20 ,88

« Conclusion (Comparaison entre 1ére ,2éme et 3éme méthode) »

 Il est maintenant évident que les mesures de déphasage par les


différentes méthodes précédentes sont les mêmes quelle que soit la valeur
de R, avec une petite incertitude liée à l’opérateur et au matériel utilisé.
 Alors, nous pouvons dire que nous sommes arrivés au but de cette
manipulation en utilisant la plupart des foncions de l’oscilloscope d’une
façon correcte.

---------------------------------

Le but :

Cette manipulation a pour but est de mesurer une résistance R en appliquant :

 La loi d’Ohm
 En utilisant un Ohmmètre

Principe de la mesure en appliquant la loi d’Ohm :

U est mesuré par un voltmètre

I est mesuré par un Ampèremètre

𝑈
En déduire la valeur de R : R=
𝐼
 Mesure à l’aide d’un Ohmmètre :

Pour cela, nous avons lié, directement, les bornes d’une résistance variable avec celles

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de l’ohmmètre.
R 
Puis nous avons relevé, pour différentes
valeurs de R, les mesures suivantes :

Valeur de R () Valeur mesurée ΔR=|Rm–R| ∆𝑅 ⁄ Rm


Rm () (%)
10 11 1 9, 09
100 100,9 0, 9 0, 89

Conclusion: nous pouvons dire que cette méthode est précis même qu’il y a une petite
incertitude dû à la fidélité et aux autres caractéristiques de l’ohmmètre utilisé.

 Méthode Voltamperemétrique :
Montage courte déviation ou montage aval :

IA I
A
Montage :
IV
+
R U
- v
UV

Après avoir réalisé le montage ci-avant, nous avons pris les suivant pour toute valeur de la résistance

Valeur de R UV (V) IA (A) Rm =Uv ⁄IA ΔR=|RmFI–R| ∆𝑅 ⁄ Rm


() () (%)
10 5, 1 0, 48 10, 625 0, 625 5, 88
100 10 0, 1 100 0 0

Conclusion :

On constate que l’incertitude relative est plus faible pour les petites résistances. C’est à dire
que ce montage est plus précis pour les petites valeurs de R.

Montage longue dérivation ou montage Amont :

IA
Montage : A

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UA
+
R
- UV v U
Après avoir réalisé le montage ci avant , nous avons pris les suivant pour toute valeur de
la résistance :

Valeur de R UV (V) IA (A) Rm =Uv ⁄IA ΔR=|RmFI–R| ∆𝑅 ⁄ Rm


() () (%)
10 2, 7 0, 19 14,21 4, 21 29, 62
100 5 0, O5 100 0 0

Conclusion :

On constate que l’incertitude relative est plus faible pour les grandes résistances. C’est à dire
quece montage est plus précis pour les grandes valeurs de R.

Comparaison des trois méthodes :

 D’après les expériences précédentes, nous pouvons en déduire que :


L’utilisation de l’Ohmmètre est la méthode la plus prés pour la mesure des
résistances en générale, et surtout celles qui ont des valeurs moyennes.
Le montage Amont est le plus adaptable pour la mesure de grandes
résistances
Le montage Aval est le plus adaptable pour la mesure de faible
résistance.

I- BUT du T.P :

Le but principal de cette manipulation c’est de récompenser la puissance réactive pour


diminuer le facteur de puissance Cos φ.

II- Considérons un récepteur constitué d’un rhéostat variable et d’un self


variable :

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Montage à réalisé :

Bobine

Voltmètre

Ampèremètre Résistance

Wattmètre

Le schéma du montage à réalisé :

On fixe I à une valeur en faisant varier le rhéostat de charge. Ensuite, en agissant


sur le self de façon à avoir It…

Mesure de la puissance :

Le wattmètre indique la valeur 29, puisque on utilise les calibres 240v et 5A donc :

P=29*240*5/120

P=290W

Mesure de la tension et de l’intensité du courant

10 Le voltmètre indique la valeur 2,3 puisque le calibre=300v :


U=2,3*300/3

U=230v

L’ampèremètre indique la valeur 2,7 puisque le calibre=12,5A :

I=2,7*12,5/12,5

I=2,7A

Calcul du cos :

On sait que : P=U*I* cos

Donc cos=P/U*I

A.N: cos=0.46
Remarque :

Cos=0.46 donc =62,61

On sait que Q=U*I*sin donc Q=551,38w

Détermination de la valeur de la capacité du condensateur nécessaire à brancher


de manière a avoir cos=0.8

On a tan=Q’/P= (Q-│Qc│)/P

Telle que Qc= -2*3,14*f.C.U2 (Z=1⁄C et =2.f)

Donc Qc= -P.tan’+Q

On trouvera que : C=│ (P.tan’-Q)/ (6,28f. U2) │

App. Numérique : C=2.10-5 F= 20𝝁𝑭

S QC=-CU²

φ Q=P.tan φ

φ’
Conclusion :

Selon la relation P = UIcos, on déduit qu’il existe une certaine proportion entre P (la puissance active) et
cos.

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En ce qui concerne la puissance réactive Q, elle est proportionnelle avec sin parce que Q = UIsin.
En effet, si cos a une grande valeur implique que sin est de petite valeur. Ce qui signifie que P est
grande et Q est faible. Par contre si cos a une petite valeur alors, sin a une grande valeur, ce qui implique
que P sera faible et Q sera grande. Cependant, il faut brancher un condensateur pour obtenir une valeur de
cos grande proche de 1 de telle sorte a faire diminuer la valeur de la puissance réactive Q consommer dans
les installations industriels par les moteurs, les transformateurs…

Les données :Soit un réseau monophasé de tension efficace de fréquence f=50Hz


alimentant un récepteur formé d’une bobine en série aves une résistance on veut
mesurer la puissance active consommée par ce récepteur.

Circuit
Am
Intensité

Vm

Point Circuit
Commu Tension
U
n
« Wattmètre simplifié »

Mesure préliminaire :
Pour savoir l’inductance L et la résistance Rb de la bobine que nous allons utiliser ci-après, nous
l’avons monté dans le circuit suivant :

L1 A W
F=50 Hz
U=225 V
I=0, 93 A
V (L,Rb) P=12 W

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 Comment on a trouvé U, I et P ?
P= (1×240×6) ⁄120 = 12 W
U= (2,25×300) ⁄3 = 225 V
I = (9,3×3) ⁄30 = 0,93 A

Détermination de :
 La résistance de la bobine (Rb) :
On a d’une part: P=U.I.Cos φ Cos φ=P⁄ (U.I)

Etd’autre part: Cos φ= Rb ⁄ Z avec Z=I⁄U

On peut déduire d’après tout ça que : Rb=P⁄I²

A.N : Rb = 13,87 

 L’inductance L :

On sait que : On a trois types de puissance :

La puissance active: P=U.I. Cos φ

La puissance réactive: Q=U.Isin 𝜑

La puissance apparente : S=U.I

D’après les trois équations et ce triangle on peut déduire que :

S= √(𝑃2 + 𝑄 2 ) Q²=S²- P² LI²= (S²-P²) ½ L= (S²-P²)½⁄ I²

A.N: L=0, 77 H

Mesure de la puissance active :

Schéma
L1 A W de
f = 50 Hz
R U = 225 V montage :

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I = 1, 33 A
V
P = 224 W
(L,Rb)
N
Comment on a trouvé ces valeurs ?

La réponse c’est : P= (1×240×112) ⁄ 120 = 224 W

I= (13,3×3) ⁄ 30 = 1, 33 A

U=225 V (puisqu’on n’a pas changé l’alimentation !)

La détermination de la puissance :

 A l’aide d’un Wattmètre :

On a trouvé que : P= 224 W

 A l’aide d’un Cosphimètre :

On sait que : U= 225 V et I= 1, 33 A

Alors On a utilisé un cosphimétre et on a trouvé que : cos φ =0, 48

Sachant que : P=U. I. Cos φ

=225×1, 33×0, 48

=143, 46 W

Donc : P=143, 46 W

 Par la mesure de Rt et du courant I :

On a mesuré la résistance totale par un ohmmètre et on a trouvé que :

Rt=130 

La mesure de I à l’aide d’un Ampèremètre et on a trouvé que :

I=1, 33 A

Et par l’application de la relation suivante : P=RT .I²

P=224,65 W
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On a trouvé que :
Après avoir détailler ces manipulations pratique, et après
avoir des résultats et des mesures dites logiques, nous
pouvons dire que nous sommes arriver à notre but principal
qui consiste à valider, expérimentalement, les relations et
les équations théoriques…

Aussi, avons nous pu avoir accès aux pluparts des appareils


et instruments de mesure utilisés fréquemment dans le
domaine d’électricité et savoir comment les bien manipuler,
tous ça en ressentant la notion de l’incertitude due à

l’opérateur et au matériel utilisé.

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