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CHAPITRE I

GENRES ET ESPÈCES D’ÉCRITURE AU XVIIIe SIÈCLE

Le XVIIIe siècle est connu commne “le siècle des Lumières”. Ces lumières de l’esprit ont
amélioré le sort de l’humanité en luttant contre toutes formes d’injustices et d’oppression. C’est
au cours de ce siècle qu’on a commencer à affronter le fanatisme et les prejugés.

Tout en continuant la littérature du XVIIe siècle, avec laquelle elle forme notre littérature
classique, la littéreture du XVIIIe siècle s’en distingue néanmoins par ses tendances génénerales.
Toute la littérature du siècle des Lumières devient l’expression des voex du people.

L’esprit des Lumières commence à se faire jour dans la littérature française dès la fin du
XVIIe siècle “le siècle de Louis XIV”. Dans la dernière partie de son règne, il durcit le régime de
la monarchie absolue: la volonté d’unifications politique et religieuse conduit à l’intolerance.
Certains écrivains de l’époque ont condamné le fanatisme religieux. Ils ont travaillé à répandre
les idées de la liberté, de tolerance, de justice et à réaliser le progress ( l’amélioration matérielle,
intellectuelle et politique de l’humanité).

Une différence profonde sépare les auteurs du XVIIIe siècle de leurs prédecesseurs : ce
sont des philosophes réformarmateurs. Ils essayent de régler la société. La littérature cesse d’être
désintéressée pour devenir militante et sera le ferment de la grande revolution politique et sociale
de la fin du siècle “ la Révolution française”.

Le XVIIIe siècle se place égalememt sous le signe du rationalism philosophique. De


nombreux écrivains ont rejeté totut dogmatism et ont eu confiance en la raison. “La lumière
designe le passage de l’obscurité à la connaissance”1

1
Les philosophes des Lumières ont défendus les idées de la liberté, la raison, la
tolerance, l’égalité, le progress et la separation des pouvoirs.

Au XVIIIe siècle, on ne trouve plus de grands écrivains parmi les hommes d’église
et les défenseurs de la religion. Si l’on rencontre encore quelques chrétiens respecteux,
comme Montesquieu et Buffon, dont les idées religieuses ne pénètrent d’ailleurs pas
beaucoup des oeuvres, déjà l’on compte des écrivains, qui, comme Voltaire et Jean
Jacques Rousseau, furent de simples deists. Il y a aussi un groupe de philosophes
franchement hostiles la religion, les encyclopédistes: Diderot, Helvétius, d’Holbach.

L’esprit des Lumières constitue le courant de pensée dominat du siècle. La


sensibilité se déploie dans les genres spécifiquement littéraires. On voit apparaitre des
courants de pensée opposes a l’esprit laïque qui marque le XVIIIe siècle.

La « crise de la conscience européenne » est féconde par l’évolution des ides, mais
elle ne produit pas de chefs d’œuvres littéraires. Les formes anciennes sont use et il n’y a
pas encore de renouveau.

La situation du roman dans la première moitie du siècle est paradoxale. C’est un


genre mal définie, mais en plein essor. La critique est sévère pour le genre romanesque.
Le roman prétend servir la vérité par le réalisme. Le développement du genre au début du
sicle, les autorisations de publier des romans deviennent rares à partir de 1735.

Le terme de « roman » est associe aux invraisemblances romanesques du baroque


au XVIIe siècle. Les écrivains sont à la fois scientifiques, littérateurs, philosophes. Le
roman est considère comme « un vice a la mode » qui cherche sa légitime culturelle. Le
paradoxe du romancier au XVIIIe siècle est que les écrivains présentent les récits comme
des documents authentiques qu’ils auraient découverts, et dont ils ne seraient que les
éditeurs. Il peut s’agir de lettres échanges entre les personnages, mais ce genre – le roman
épistolaire- se développera surtout dans la seconde moitie du siècle. Avant 1750, la forme
qui prédomine est celle des mémoires fictifs : s’est le personnage principal qui raconte
lui-même sa vie, a la première personne. Les plus grains romans de la période adoptent
cette forme. Le ton et le contenu varient : Lesage insiste sur la peinture de la société et
des mœurs, Marivaux et Prévost sur la vie intérieure du narrateur.

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La critique reproche l’immortalité des leurs ouvrages, au contraire les romanciers
affichent la volonté de donner un enseignement moral. Par exemple Claude Crébillon,
dans la préface de son plus célèbre roman Les Egarements du cœur et de l’esprit, il
condamne le romanesque et prône le réalisme « Le roman, si méprise des personnes
sensées, et souvent avec justice, serait peut-être celui de tous les genres qu’on pourrait
rendre le plus utile si (…) on le rendait, comme la comédie, le tableau de la vie humaine,
et qu’on y censurât les vices et les ridicules. »1.

Le roman du XVIIIe siècle est marque par le renouvellement des formes et des
contenus qui préfigures le roman moderne. Il est considère comme un œuvre de fiction en
prose, racontant les aventures et l’évolution d’un ou de plusieurs personnages. Le genre,
en pleine croissance avec le lectorat élargi, est marque par le développement de la
sensibilité. Par le souci d’une apparente d’authenticité et par l’esprit des Lumières en
prenant en compte les valeurs nouvelles d’une société qui évolue.

Le roman français est influence par le réalisme formel de Richardson, Defoe,


Fielding, Smollet, mais surtout par le roman déconcertant de Laurence Sterne, Tristam
Sandy. L’influence de la littérature anglaise est également sensible à travers la traduction
des œuvres. Néanmoins le roman restera, au cours du XVIIIe siècle un genre en quête de
légitimation et de définition.

Le genre de ce siècle très riche explore toutes les possibilités romanesques :


question du narrateur, éclatement du récit, engagement, analyse psychologique
minutieuse, peinture réaliste du monde, imagination et confidence, apprentissage, souci
de la forme. Les textes sont difficilement réductibles à des catégories indiscutables.

Dans la première moitie du XVIIIe siècle, on écrit toujours de la littérature


néoclassique à portée moraliste et réaliste. Mais dans la seconde moitie, on enregistre une
tendance vers le romanesque.

1
Profil Historique Littéraire, Histoire de la littérature en France au XVIIIe siècle, Marie Sylvie Seguin, Agrégée des
Lettres, p.78.

3
Pendant tout le siècle la sensibilité du public se délecte d’histoires d’amours
malheureuses et pathétiques : Manon Lescaut de l’abbé Prévost (1731), Julie ou La
Nouvelle Héloïse de J.J.Rousseau (1761), Paul et Virginie de Bernardin de Saint-Pierre
(1788). La réflexion morale sur l’amour conduit Choderlos de Laclos à punir le vice dans
Les liaisons dangereuses (1782). Tandis que le marquis de Sade fait triompher la
perversion et la cruauté dans Justine ou Les Malheurs de la vertu (1791), La Philosophie
dans le boudoir (1795).

En 1761 la parution de La Nouvelle Héloïse de J.J.Rousseau est un véritable


événement culturel et le plus grand suces de librairie, cela affirme que le roman malgré
tout est gagnant. On peut légitimement situer au XVIIIe siècle la date de naissance du
roman moderne. Il apparait que la méfiance a l’égard des romans vient de la part des
spécialistes : poéticiens, théologiens, philosophes férus de vérité et de raison. Le public
est déjà forme au gout de la lecture romanesque, avide de fiction. Ce public forme
s’oppose aux lecteurs de groupe de l’époque précédente, ou la lecture faite à haut voix
dans les salons relevait pour une large part des règles de la conversation.

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