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Introduction

Nous allons essayer dans ce travail de présenter la réponse a ces


problématique suivantes :
 Quels sont les besoins et les demandes de ces mourants que
nous serons un jour, nous les morts-vivants, nous tous les
sursitaires ?
 Qu'attendent-ils de ceux soignants ou non soignants qui
peuvent leur apporter une aide et un soutien ?
 Quelle est leur croyance pour le passage du seuil ?

Avoir une approche spécifique est si importante qu'on essaye de détailler


dans ce travail.

1. Jeu de rôle

Introduction:
L est âgé de 13 ans, menacée par une tumeur abdominale, elle rêve
d'être professeur, En septembre le cas de L s'aggrave et elle n'a pas pu
continuer ses études à l'école. Elle a consulté plusieurs médecins à propos
de sa maladie.

Dialogue :

- Comment vas-tu aujourd'hui ?


- Ça marche, ma mère est toujours à coté de moi
- Et ton Père ?
- Chaque soir en rentrant du travail il m'apporte une rose.
- Comment vois tu ce geste ?
- Ces roses son belles, il me les donne avec un grand sourir et un
bisou
- Est-ce que tu vois tes frères ?
- Parfois je les vois, j'entends toujours leurs bruits à coté de ma
chambre.
- Est-ce qu'il y a quelque chose qui t'empêche de mourir?
- Oui je ne peux pas mourir car je n'irais pas au ciel
- Pourquoi tu penses comme ça?
- Car le prêtre et les religieuses qui m'ont visité m'ont dit que je
n'irais pas au ciel si je n'aime pas Dieu plus que tout au monde.
- Et toi qui tu aimes plus?
- Mon père et ma mère

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Analyse:
Dès les première lignes nous pouvons dire : que L est empêche par
sa maladie d'accomplir son idéal du moi "être un professeur" donc nous
devons mettre en tête la problématique suivante qu'elle souffre plus que
sa maladie d'une forme de dépression secondaire et qui en faite aggrave
sa situation. Comment agir en ce cas là? (Quels sont les besoins et les
demande implicites)
En premier lieu "l'écoute" est une thérapie importante, puisque par
l'écoute la personne exprime ses sentiments, désires,… que nous devions
les prendre en considération afin de mener un accompagnement
spécifique a cette personne (puisque si on n'écoute pas on risque de
tomber dans l'absolutisme où on applique une règle pour tous les cas sans
avoir prendre en considération les besoins du sujet).

Après l'écoute on doit relire la situation et c'est une étape très


importante puisque "nous ne sommes pas des Dieux" pour pouvoir
comprendre dès le premier rencontre le besoin implicite du sujet. Donc on
relisons la situation nous pouvons récapituler tous les éléments qui
semble nécessaires pour pouvoir accompagner cette personne.

Après ces deux phases nous pouvons élaborer un plan d'action spécifique
à ce sujet.

Les idées principales qu'Elisabeth Kulbur-ross nous communique


dans son livre.

a. Les stades du comportement des maladies.

Le premier stade est le stade du refus"Non pas moi".Les malades à


ce stade prétendent qu'ils n'ont rien, ils font comme l'autruche. D'autres
peut être ils iront chez plusieurs médecins et hôpitaux à fin que les
spécialistes nient l'existence de leur malade. Mais lorsqu'une seule
personne parle franchement avec le malade à propos de sa maladie, ce
dernier peut quitter le stade du refus pour passer au stade de la révolte,
celui qui a pour titre "pourquoi à moi".

Ces malades sont désagréables, manquent de gratitude, rendent la


vie pénible à l'entourage, par exemple si les membres de la famille
viennent le voir il leur reproche f'arriver trop tôt ou tard.

Dr Ross dit qu'il faut être trop gentil avec ce patient ou nous dominons
notre irritation extrême et nous la tournons sur les infirmières stagiaires

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ou enfin en donnant le chien un coup de pied. Ce malade est irrite des
gens car ils représentent l'image de la vie de la santé, du dynamisme. Dr
Ross donne un exemple sur un patient de 21ans atteint de
hymphasarcome. Il était écarte dans une chambre a l fin du couloir. Et il
ne faisait contact avec personne. Apres une visite, elle constate que ce
patient de comporte de cette façon avec les gens car ils représentent la
bonne santé.

Ce stade n'échappe pas aux parents. Les parents toujours se


demandent pourquoi leurs enfants doivent souffrir. Ce stade peut atteindre
Dieu. Le patient s'adresse à Dieu, il lâche sa colère sur Dieu. Ici Dr Ross
demande aux aumôniers de laisser dieu de défendre tout seul car il est
bien au delà.
De même ce stade peut prendre la forme 'pourquoi maintenant' on a des
gens que économise de l'argent pour les études universitaires de leurs
enfants ou pour la retraite et quand le drame apparaît ils se demandent
pourquoi maintenant?

On passe au troisième stade, après qu'ils ont exprime leur colère,


leur chagrin et leur angoisse, il passe vite au stade du marchandage. A ce
stade le patient commence a faire des promesses a dieu pour avoir un ans
de plus, c'est-à-dire pour prolonger sa vie. Alors il semble que le malade
soit en paix, mais ce n'est pas vraiment la paix, c'est une trêve ou il
commence à écrire son testament et a s'inquiéter qui va lui succéder a son
travail ou prendre sonde ses petits enfants. Quand un patient en a fini
avec le marchandage, il passe au stade de la dépression, c'est la profonde
tristesse qui a deux formes successives.
Premièrement ils pensent aux organes qui ont perdu, amputé comme une
jambe ou une main. Puis ils va feront part de la peine que c'est d'être loin
de ses enfants.

Dans la même lignée, on a la dépression préparatoire qui est le


chagrin silencieux qui fait suite à la dépression réactionnelle. Ils
commencent à penser non à ce qu'ils ont perdu mais de ce qu'ils vont
perdre. A ce stade, il demande que quelqu'un reste avec lui.
La dernière étape est celle de l'acceptation. Elle pourrait être la plus
difficile à décrire. Le patient n'accepte plus des visiteurs, ne parle plus a
personne, et il voit que les traitements n'ont plus d'efficacité. Dr Ross fait
la différence entre l'acceptation et la résignation. L'acceptation est le
sentiment d'une victoire, un sentiment de paix, de sérénité de soumission.
La résignation est plutôt un sentiment de défaite, d'amertume, de "à quoi
bon?"

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Dr Ross dit que 80% des malades dans les asiles sont à ce stade de
la résignation. Il exige que ces patients doivent avoir l'impression qu'on a
besoin d'eux et qu'il est attendu à être encore aimé. Il ne faut pas les
mettre devant la télévision ou les faire fabriquer des objets inutiles.

b. Comprendre pour mieux agir:

Les peurs du mourant au sujet de la mort : " La peur de la mort


ressemble à un iceberg dérivant sur un océan d'angoisse : la plus
grande partie est cachée. Mais à 4 h du matin, quand la densité de
l'angoisse augmente, l'iceberg est poussé vers le haut : les peurs
immergées apparaissent." L.Mias

o La peur du processus de la mort et de la douleur


physique.

Comment ce corps qu'on ne maîtrise plus va-t-il réagir


à l'approche de la douleur et de la mort ? Que va-t-il se
passer en lui ?
o La peur de perdre le contrôle de la situation.

Le mourant perd bien souvent son autonomie


cérébrale et/ou son indépendance fonctionnelle : il ne peut
plus assumer les actes de la vie quotidienne. Il a besoin de
l'aide d'autrui.
o La peur de ce qui va arriver aux siens après sa mort.

Le mourant va quitter à sa mort des personnes


auxquelles il est lié... des enfants qui ne sont pas encore
élevés... un collaborateur avec qui un travail important a été
entamé... Il sait que sa mort va socialement être un
bouleversement : les autres vont devoir faire face et trouver
les moyens de continuer à vivre et de continuer le travail
commencé avec lui.
o La peur de la peur des autres.

Le mourant est capable de lire dans les yeux du soignant


ce que celui-ci pense, tel que le sentiment : « J'espère qu'il ne
mourra pas durant mon temps de service ».
Ce qui occasionne de la « peur en retour » : celle qu'on lit dans
le regard des autres.

o La peur de l'isolement et de la solitude.


 Propos d'une jeune élève infirmière à ses soignants

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« De quoi avez-vous donc peur ? C'est moi qui meurt.
Ne vous sauvez pas. Patientez. Tout ce que j'ai besoin
de savoir, c'est qu'il y aura quelqu'un pour me tenir la
main quand j'en aurai besoin. J'ai peur. Peut-être êtes
vous blasés sur la mort : pour moi c'est nouveau.
Mourir, ça ne m'est encore jamais arrivé.»
"E. Kubler Ross, "Rencontre avec les mourants

o La peur de l'inconnu.

Qu'y a-t-il après la mort ? Au-delà ou Néant ? On voit


certaines personnes se réclamant d'un athéisme incontestable
prier leurs proches à l'approche de leur mort de fleurir leur
tombe et même d'organiser des funérailles religieuses.
« Voilà pourtant que l'heure est déjà venue de nous en aller,
moi pour mourir dans quelque temps, vous pour continuer à
vivre. Qui, de vous ou de moi va vers le meilleur destin ?
C'est pour tout le monde chose incertaine, sauf pour la
divinité.»
.Platon, Apologie de Socrate

o La peur finale de la personne qui s'approche de la mort


est que sa vie n'ait eu aucune signification.

Quand vient "l'heure au bilan", ce peut être déchirant


pour le mourant. Dans sa vie passée, il aurait pu faire ou
vivre autrement : "J'aurais dû..." "Si c'était à refaire..."

Cas de Laura ( elisabeth colber-Ross, vivre avec la mort et les


mourrant p 80-83)

Echelle D'évaluation

Dans cette grille nous allons entourer le signe (+) si le sentiment est
présent et le signe (-) si non.

Sentiment (+) (-)


*Solitude (même à la présence de la famille) + -
Perte (pouvoir, physique, relationnelle) + -
Culpabilité (envers la famille,…) + -
*Pas de convictions religieuses ou autres + -

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Refus anxieux de la maladie + -
Mélancolie : état dépressif, … + -
*Idée suicidaire + -
Asthénie, relâchement, … + -
Inquiétude + -
Repliement sur soi + -
Somme

Si les sentiments marqués par (*) sont présentes, la personne


doit être accompagnée d'une façon intensif.
Laura a obtenu selon les résultats qu'on a faits pendant l'exposé en classe
(7 + et 3 -) donc nous pouvons conclure que Laura souffre beaucoup. au
niveau de l'analyse que nous avons fait pour le dessin de Laura on
remarque la solitude nuisible et souffrante. Donc on peut conclure que le
besoin fondamentale de Laura c'est d'être avec quelqu'un mais sa
souffrance l'empêche d'avoir une relation avec aucun.

Approche convenable "théorique":


L'intervention professionnelle dans le cas de Laura est si
importante car on a un très grand risque d'isolement et c'est par
conséquence l'un des signes de la dépression et le suicide. Nous avons
déjà développée ce que est l'écoute et c'est une première démarche qu'on
peut l'établir avec une personne pareille.

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