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L’ORMVAG occupe 114 000 ha, équipé en grande hydraulique, découpé en secteur pour faciliter la gestion,
chaque tranche est d’à peu près 30 000 ha, et dont 79 000 ha est irrigué en gravitaire et 20 000 ha en
aspersion, 12 000 ha en submersion et 3 000 ha en basse pression. De plus des superficies irriguées par des
équipements privés occupant 54 000 ha.
Elle obéit à plusieurs tranches d’aménagements successifs:
• Beth: 28 750 ha
• Première tranche d'irrigation (PTI): 35 000 ha
• Deuxième tranche d'irrigation(STI): 57 920 ha
• Troisième tranche d'irrigation(TTI): 95 000 ha.
Les tâches de l’ORMVAG sont résumées comme suit :
Si le volume demandé est disponible dans le barrage, on répond au besoin. Si non, on réalise une réunion de
coordination pour la re-planification qui peut causer une diminution de la surface.
Les différents types de sol qui caractérise la zone d’action de l’ORMVA du Gharb sont résumés dans le tableau
suivant :
Station de 1.Irrigation
Station de
mise en par
pompage
pression gravitaire
Cette station est alimentée par 2 secteurs. Un secteur C3 de la mise en pression qi concerne le mode
d’irrigation par aspersion, et le secteur C4 (= Secteur rizicole) qui concerne le mode de submersion. La
superficie du secteur C3 est de 3 400 ha et elle est de 4 000 ha dans le secteur C4 (avec un total de ~ 7 400
ha).
L’eau est pompée du « Oued Sebou » et stockée dans un puits. A l’aide d’un siphon on stock l’eau dans un
réservoir pour alimenter le système d’irrigation gravitaire de la région.
Dans chaque station de pompage, il y a 4 groupes motopompes et chaque groupe pompe 1000 l/s, avec un
débit fictif continu de 1 l/ha/sec, et donc 10 litres pour 10 ha soit 4000 litres par site.
Une fois l’eau dans le premier réservoir arrive à un niveau donné elle déclenche une alarme pour arrêter le
pompage et passer au remplissage du deuxième réservoir. Tout ceci reste en dépend de la demande des
agriculteurs.
Deuxième arrêt : station de pompage
La station de prise est une sorte de station de pompage sur l’oued Sebou. L’eau passe de l’oued à la station
(bâche d’aspiration) en se basant sur le principe des vases communicants.
L’eau est pompée par des siphons sur lesquelles on applique certaines dépressions par création de vide
d’où l’eau passe par une simple dépression.
Cette eau est stockée dans une bâche puis dans un bassin, qui est régulé selon les demandes des
agriculteurs (Au niveau du bassin il y’a une régulation électromécanique). Ensuite l’eau est refoulée dans
des canaux primaires puis dans des canaux secondaires, tertiaires et à la fin dans des canaux quaternaires
jusqu'à la parcelle.
Au niveau d’une ferme de canne à sucre et de betterave à sucre, où l’agriculteur pratique le système
d’irrigation par goutte à goutte.
Cet agriculteur profit de l’avantage de ce système qui est la possibilité de pratiquer la fertigation, à
l’aide d’une station très simple ou il y a un système d’injection, une conduite, un système de venturi
pour injecter l’engrais, et un filtre avec deux manomètres.