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immunologie fondamentale
YAICI Ayoub
Décembre 2019
Les lymphocytes T cytotoxiques :
C- Sont plus nombreux que les lymphocytes T helper dans le sang du sujet sain
C- Sont plus nombreux que les lymphocytes T helper dans le sang du sujet sain
E- Joue un rôle important dans la neutralisation des bactéries grâce ses quatre
premiers composants C1, C2, C3, C4.
(Réponse fausse) Le système du complément :
E- Joue un rôle important dans la neutralisation des bactéries grâce ses quatre
premiers composants C1, C2, C3, C4.
Les molécules HLA de classe II sont des glycoprotéines :
1. Héterodimériques
2. Transmembranaires de type I
3. Transmembranaires de type II
1. Héterodimériques
2. Transmembranaires de type I
3. Transmembranaires de type II
C- La réaction mixte lymphocytaire (MLR) est due à une différence entre les
antigènes HLA de classe I.
C- La réaction mixte lymphocytaire (MLR) est due à une différence entre les
antigènes HLA de classe I.
Il a été établi que cette prolifération est principalement due à une disparité
dans les antigènes du CMH de classe II (DR) et les lymphocytes T d'un
individu interagissent avec des cellules allogéniques portant les antigènes du
CMH classe II (cellules B, cellules dendritiques, cellules de Langerhans,…).
1. Est monomorphe
2. A un poids moléculaire de 23 kd
4. Est déterminée par un gène lié à celui qui code pour la chaine lourde alpha
1. Est monomorphe
2. A un poids moléculaire de 23 kd
4. Est déterminée par un gène lié à celui qui code pour la chaine lourde alpha
5. Des marqueurs membranaires qui apparaissent très tôt au cours de la maturation intra-
thymique
Les molécules CD4 qui caractérisent les lymphocytes T helper (ou amplificateurs) sont :
5. Des marqueurs membranaires qui apparaissent très tôt au cours de la maturation intra-
thymique
Les molécules HLA de classe II sont :
4. Extrêmement polymorphes
4. Extrêmement polymorphes
A- Anti-isotypique.
B- Anti-allotypique.
C- Anti-idiotypique.
D- Les propositions A + B.
E- Les propositions A + B + C.
L'immunisation d'un animal avec des anticorps purifiés provenant d'un
animal syngénique donne lieu à la production d'anticorps de spécificité :
A- Anti-isotypique.
B- Anti-allotypique.
C- Anti-idiotypique.
D- Les propositions A + B.
E- Les propositions A + B + C.
Les médiateurs cellulaires et moléculaires de la réponse immunitaire non
spécifique antimicrobienne contribuent :
A- Plasmocyte
B- Polynucléaire neutrophile
C- Polynucléaire éosinophile
D- Histiocyte
E- Lymphocyte
Parmi ces cellules, quelle est celle qui peut devenir un macrophage ?
A- Plasmocyte
B- Polynucléaire neutrophile
C- Polynucléaire éosinophile
D- Histiocyte
E- Lymphocyte
Les cellules dendritiques :
A- Sont en première ligne pour capter les antigènes
B- Présentent les antigènes aux lymphocytes grâce à leurs molécules
HLA de classe I et II
C- Présentent les antigènes au lymphocyte CD4 grâce à leurs molécules
HLA de classe I
D- Font en grande partie la différence entre le soi et le non soi grâce à
des structures de reconnaissance comme les TLR (toll-like receptor)
Les cellules dendritiques :
A- Sont en première ligne pour capter les antigènes
B- Présentent les antigènes aux lymphocytes grâce à leurs molécules
HLA de classe I et II
C- Présentent les antigènes au lymphocyte CD4 grâce à leurs molécules
HLA de classe I
D- Font en grande partie la différence entre le soi et le non soi grâce à
des structures de reconnaissance comme les TLR (toll-like receptor)
Parmi les propositions suivantes, donner la (les) réponse(s) exacte(s).
Les cellules folliculaires dendritiques :
A- sont localisées dans les organes lymphoïdes périphériques
B- appartiennent à la famille des polynucléaires
C- sont capables de présenter efficacement l’Ag aux Lym T
D- dérivent des cellules de Langerhans
E- jouent un rôle dans le maintien de la production d’Ac au cours d’une
réponse humorale
Parmi les propositions suivantes, donner la (les) réponse(s) exacte(s).
Les cellules folliculaires dendritiques :
A- sont localisées dans les organes lymphoïdes périphériques
B- appartiennent à la famille des polynucléaires
C- sont capables de présenter efficacement l’Ag aux Lym T
D- dérivent des cellules de Langerhans
E- jouent un rôle dans le maintien de la production d’Ac au cours d’une
réponse humorale
Les cellules dendritiques folliculaires capturent des complexes immuns
et les présentent de façon prolongée aux lymphocytes B.
• Immunité des muqueuses :
• A- Est nommée MALT (Mucosae Associated Lymphoid Tissue)
• B- Les plaques de Peyer et les nodules solitaires constituent des sites
inducteurs des réponses immunitaires du MALT
• C- Le MALT n’est pas impliqué dans le maintien de la tolérance aux
antigènes alimentaires
• D- Les IgA sécrétoires représentent un composant humoral majeur du
MALT
• Immunité des muqueuses :
• A- Est nommée MALT (Mucosae Associated Lymphoid Tissue)
• B- Les plaques de Peyer et les nodules solitaires constituent des sites
inducteurs des réponses immunitaires du MALT
• C- Le MALT n’est pas impliqué dans le maintien de la tolérance aux
antigènes alimentaires
• D- Les IgA sécrétoires représentent un composant humoral majeur du
MALT
Parmi les propositions suivantes, cocher celle(s) qui est (sont) exacte(s).
La phagocytose des bactéries :
A- nécessite l’adhésion des germes à la surface des cellules
phagocytaires
B- est inhibée si les bactéries sont opsonisées
C- peut être effectuée par une certaine sous-population de Lym T
D- est augmentée par la réponse immunitaire
E- concerne essentiellement les germes extracellulaires
Parmi les propositions suivantes, cocher celle(s) qui est (sont) exacte(s).
La phagocytose des bactéries :
A- nécessite l’adhésion des germes à la surface des cellules
phagocytaires
B- est inhibée si les bactéries sont opsonisées
C- peut être effectuée par une certaine sous-population de Lym T
D- est augmentée par la réponse immunitaire
E- concerne essentiellement les germes extracellulaires
Le thymus est un organe lymphoïde :
A- Primaire
B- Secondaire
C- Nécessaire à la maturation des Lym T
D- Libérant dans le sang circulant des Lym T porteurs des molécules
CD2 et CD3
E- Constituant un passage obligé des Lym B
Le thymus est un organe lymphoïde :
A- Primaire
B- Secondaire
C- Nécessaire à la maturation des Lym T
D- Libérant dans le sang circulant des Lym T porteurs des molécules
CD2 et CD3
E- Constituant un passage obligé des Lym B
-Les précurseurs CD 34+ issus de la MO pénètrent dans le thymus.
-Entament une différenciation-maturation du cortex vers la médullaire.
-Acquièrent progressivement : le récepteurs de l’antigène TCR et les
marqueurs de surface (CD2, CD3, CD4, CD8).
Au niveau cortical : La maturation des
lymphocytes T est marquée par trois types
d'événements:
1-Modification de marqueurs membranaires de différenciation (clusters
of differentiation = CD) - disparition du marqueur de cellule souche
hématopoïétique CD34 >> apparition provisoire de CD1 ( il va
disparaitre ensuite)>> apparition des marqueurs spécifiques des
cellules T : TCR et CD3.
2- Réarrangement des gènes codant pour le TCR (récepteur pour
l'antigène à la surface des cellules T) : le TCR est non traduit chez le
progéniteur car l’ADN comprend aussi des introns, le réarrangement
permettra de les supprimer avant la traduction.
3- Sélections clonales : dans la jonction cortico-médullaire.
La sélection positive :
Elle implique les thymocytes à TCR (α,β) et les TEC de la corticale qui se
caractérisent par l'expression des molécules du CMH de classe I et de
classe Il. Cette étape est basée sur l'affinité de l'interaction qui s'établit entre
le TCR et les molécules du CMH.
Les thymocytes qui interagissent avec le CMH self avec forte ou faible
affinité, meurent par apoptose ou délétion clonale.
D- Les mastocytes
E- Les cellules NK
Les cellules impliquées dans la destruction des cellules tumorales sont :
D- Les mastocytes
E- Les cellules NK
Travaux dirigés en
physiopathologie
YAICI Ayoub
Décembre 2019
Une jeune femme est amenée aux urgences médicales dans un état de confusion,
après avoir été retrouvée à la maison avec un flacon d'aspirine vide sur son lit.
Potassium = 3,2 mEqI Glucose = 0,59 g/l Urée = 0,60 g/l Lactate = 45 mg/dl
A- Acidose respiratoire.
B- Alcalose respiratoire.
C- Acidose métabolique.
D- Alcalose métabolique.
A- Acidose respiratoire.
B- Alcalose respiratoire.
C- Acidose métabolique.
D- Alcalose métabolique.
A- L'activation de la lipolyse.
B- Le déséquilibre électrolytique.
A- L'activation de la lipolyse.
B- Le déséquilibre électrolytique.
Les corps cétoniques font partie des anions organiques, ils ne sont pas
utilisés par l'organisme pour dans la rééquilibration hydro-
éléctrolytique, ni celle acidobasique.
La lactatémie est :
C- élevée par accumulation des acides gras suite à un défaut inné dans leur voie
catabolique dans le peroxysome
C- élevée par accumulation des acides gras suite à un défaut inné dans leur voie
catabolique dans le peroxysome
A- Taux de prothrombine.
B- Créatinémie.
C- Uricémie.
D- Ammoniémie.
E- Chlorémie.
Pour calculer le trou anionique, quel est le paramétre biologique
manquant ?
A- Taux de prothrombine.
B- Créatinémie.
C- Uricémie.
D- Ammoniémie.
E- Chlorémie.
En tenant compte du contexte clinique et du tableau biologique, quel est le
sens de variation attendu du trou anionique ?
B- Normal car la perte en HCO3- sera compensée par les ions chlorure.
E- Bas.
En tenant compte du contexte clinique et du tableau biologique, quel est le
sens de variation attendu du trou anionique ?
B- Normal car la perte en HCO3- sera compensée par les ions chlorure.
E- Bas.
Quel est le dosage qui vous permettra de confirmer le diagnostic suspecté
chez cette patiente ?
A- HbA1c.
B- HGPO.
A- HbA1c.
B- HGPO.
D- Administration de vitamine K.
E- Hémodialyse.
Le traitement dans ce cas, repose sur : (Cochez la réponse fausse)
D- Administration de vitamine K.
E- Hémodialyse.
Le but est d’obtenir un pH urinaire supérieur à 7,5 idéalement entre 8 et
8,5.
E- L’importance de la natriurèse
La Natrémie Reflète :
E- L’importance de la natriurèse
L’hyperhydratation Globale Associe :
A-155,25 mOsm/l.
B-310 mOsm/l,
C-320 mOsm/l.
D-302 mOsm/l
A-155,25 mOsm/l.
B-310 mOsm/l,
C-320 mOsm/l.
D-302 mOsm/l
Glucose = 180g/mole
180g >> 1mole
2,5 >> x
X = 14 mmole
L’hyponatrémie est un signe traduisant une :
A- déshydratation intracellulaire
B- déshydratation extracellulaire
E- hypovolumie
L’hyponatrémie est un signe traduisant une :
A- déshydratation intracellulaire
B- déshydratation extracellulaire
E- hypovolumie
La déshydratation extracellulaire peut être due à :
A- une hypersudation
D- une oligurie
A- une hypersudation
D- une oligurie
B- du capital hydrique
C- du capital sodé
D- de la natrémie
E- de la natriurèse
L’hydratation du secteur extracellulaire dépend de
B- du capital hydrique
C- du capital sodé
D- de la natrémie
E- de la natriurèse
L’eau vasculaire représente en moyenne :
A- 30 % du poids corporel.
B- 15 % du poids corporel
C- 20 % du poids corporel
D- 5 % du poids corporel
E- 60 % du poids corporel
L’eau vasculaire représente en moyenne :
A- 30 % du poids corporel.
B- 15 % du poids corporel
C- 20 % du poids corporel
D- 5 % du poids corporel
E- 60 % du poids corporel
L’hypovolémie, en stimulant le système rénine-angiotensine, aboutit au niveau
Du Tube Contourné Distal à :
A- La pression veineuse
B- La pression artérielle
C- La pression oncotique
A- La pression veineuse
B- La pression artérielle
C- La pression oncotique
A- L’apparition d’oedémes
A- L’apparition d’oedémes
A- Brucella melitensis
C- Pseudomonas aruginosa
D- Streptocoque du groupe A
E- Neisseria meningitidis
Parmi les espèces bactriennes suivantes, une est particulièrement
impliquée dans les infections nosocomiales, laquelle ?
A- Brucella melitensis
C- Pseudomonas aruginosa
D- Streptocoque du groupe A
E- Neisseria meningitidis
Tous les éléments suivants caractérisent une infection nosocomiale, sauf un.
Lequel ?
A- C'est une Infection chez un patient hospitalisé qui n‘était pas présente ni en
Incubation ni à l'entrée du malade
A- C'est une Infection chez un patient hospitalisé qui n‘était pas présente ni en
Incubation ni à l'entrée du malade
D- Mutation chromosomique
D- Mutation chromosomique
A- Acide nalidixique
B- Ampicilline
C- Chloramphenicol
D- Sulfamides
E- Aminosides
Tous les antibiotiques suivants sont contre-indiqués chez la femme
enceinte, sauf :
A- Acide nalidixique
B- Ampicilline
C- Chloramphenicol
D- Sulfamides
E- Aminosides
- Tétracyclines
- Aminosides
- Quinolones
- Sulfamides
- Phénicolés
A- Oxacilline
B- Pristinamycine
C- Colistine
D- Vancomycine
E- Fosfomycine
Tous les antibiotiques suivants sont des anti-staphylococciques, sauf :
A- Oxacilline
B- Pristinamycine
C- Colistine
D- Vancomycine
E- Fosfomycine
Toutes les substances chimiques suivantes sont des antiseptiques, sauf :
A- La solution de dakin
B- L'alcool éthylique
C- Le chlorhodixine
D- Le métronidazole
E- L'alcool iodé
Toutes les substances chimiques suivantes sont des antiseptiques, sauf :
A- La solution de dakin
B- L'alcool éthylique
C- Le chlorhodixine
D- Le métronidazole
E- L'alcool iodé
(Cochez la réponse fausse) Le prélèvement du LCR :
C- Désinfection
D- Filtration
E- Radiations
(Cochez la réponse fausse) Les différentes méthodes de stérilisation sont :
C- Désinfection
D- Filtration
E- Radiations
Les germes des infections nosocomiales se transmettent le plus souvent :
B- On le classe en familles
B- On le classe en familles
A- Prélèvement d'urine
B- Prélèvement de selles
C- Hémocultures
E- Prélèvement biopsique
En attendant de le faire parvenir au laboratoire, lequel de ces
prélèvements garderiez-vous en étuve à 37 C ?
A- Prélèvement d'urine
B- Prélèvement de selles
C- Hémocultures
E- Prélèvement biopsique
En Algérie, la majorité des souches de staphylocoque aureus présentent
une résistance naturelle à :
A- Streptomycine
B- Erythromycine
C- Pénicilline
D- Oxacilline
E- Pristinamycine
En Algérie, la majorité des souches de staphylocoque aureus présentent
une résistance naturelle à :
A- Streptomycine
B- Erythromycine
C- Pénicilline
D- Oxacilline
E- Pristinamycine
Un malade présente un tableau infectieux avec fièvre et altération de l'tat
général. Vous décidez de pratiquer chez lui des hémocultures selon l'un des
protocoles suivants :
• Exemples :
B- Psychrophile.
B- Psychrophile.