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Travaux dirigés en

immunologie fondamentale
YAICI Ayoub
Décembre 2019
Les lymphocytes T cytotoxiques :

A- Reconnaissent un épitope en association avec les antigènes HLA de classe II

B- Sont porteurs de l'antigéne CD8

C- Sont plus nombreux que les lymphocytes T helper dans le sang du sujet sain

D- Possèdent des récepteurs spécifiques pour le virus de l'immunodéfiscience


humaine acquise

E- Sont un support important de l'immunité non spécifique


Les lymphocytes T cytotoxiques :

A- Reconnaissent un épitope en association avec les antigènes HLA de classe II

B- Sont porteurs de l'antigéne CD8

C- Sont plus nombreux que les lymphocytes T helper dans le sang du sujet sain

D- Possèdent des récepteurs spécifiques pour le virus de l'immunodéfiscience


humaine acquise

E- Sont un support important de l'immunité non spécifique


(Réponse fausse) Le système du complément :

A- Est un facteur de l'immunité non spécifique augmentant la phagocytose.

B- Participe la réaction inflammatoire grâce aux composants C3 et C5a.

C- Ne nécessite pas toujours des complexes antigène-anticorps pour son


activation.

D- Intervient dans l'immunocytoadhrence par le composant C3b.

E- Joue un rôle important dans la neutralisation des bactéries grâce ses quatre
premiers composants C1, C2, C3, C4.
(Réponse fausse) Le système du complément :

A- Est un facteur de l'immunité non spécifique augmentant la phagocytose.

B- Participe la réaction inflammatoire grâce aux composants C3 et C5a.

C- Ne nécessite pas toujours des complexes antigène-anticorps pour son


activation.

D- Intervient dans l'immunocytoadhrence par le composant C3b.

E- Joue un rôle important dans la neutralisation des bactéries grâce ses quatre
premiers composants C1, C2, C3, C4.
Les molécules HLA de classe II sont des glycoprotéines :

A-1+2+4 B- 2+4 C-2+4+5 D-1+3+4+5 E-1+2+4+5

1. Héterodimériques

2. Transmembranaires de type I

3. Transmembranaires de type II

4. Qui intègrent les peptides dérivés de l'antigéne exogéne dans le compartiment


endosomial de la cellule présentatrice de l'antigéne

5. Exprimées par les lymphocytes T humains activés


Les molécules HLA de classe II sont des glycoprotéines :

A-1+2+4 B- 2+4 C-2+4+5 D-1+3+4+5 E-1+2+4+5

1. Héterodimériques

2. Transmembranaires de type I

3. Transmembranaires de type II

4. Qui intègrent les peptides dérivés de l'antigéne exogéne dans le compartiment


endosomial de la cellule présentatrice de l'antigéne

5. Exprimées par les lymphocytes T humains activés


• Les molécules HLA II ont une expression restreinte à certaines cellules :
Elles sont exprimées de façon constitutive sur :

• Les CPA : cellules dendritiques, lymphocytes B et macrophages.


• Les cellules myéloïdes, érythroblastiques et les cellules de l’épithélium
thymique.

Elles sont exprimées après activation sur l’endothélium vasculaire et les


lymphocytes T

Elles ne sont pas exprimées au niveau des plaquettes.


A propos du système HLA :

A- Les molécules de classe II n’apparaissent pas sur les lymphocytes

B- Les gènes HLA sont d’expression récessive

C- La réaction mixte lymphocytaire (MLR) est due à une différence entre les
antigènes HLA de classe I.

D- Il ne joue aucun rôle dans le rejet de greffe

E- Il existe une association entre certains groupes HLA et certaines


maladies.
A propos du système HLA :

A- Les molécules de classe II n’apparaissent pas sur les lymphocytes

B- Les gènes HLA sont d’expression récessive

C- La réaction mixte lymphocytaire (MLR) est due à une différence entre les
antigènes HLA de classe I.

D- Il ne joue aucun rôle dans le rejet de greffe

E- Il existe une association entre certains groupes HLA et certaines


maladies.
Il a été observé que la culture de lymphocytes de deux individus non
apparentés, stimule ces derniers à proliférer.

Il a été établi que cette prolifération est principalement due à une disparité
dans les antigènes du CMH de classe II (DR) et les lymphocytes T d'un
individu interagissent avec des cellules allogéniques portant les antigènes du
CMH classe II (cellules B, cellules dendritiques, cellules de Langerhans,…).

Cette réactivité a été appelé réaction leucocytaire mixte (MLR) et a été


utilisée pour étudier le degré d'histocompatibilité.
Les IgM :

A- Sont exclusivement pentamériques

B- La principale Ig, produite lors d'une réponse immunitaire de type primaire

C- Peuvent traverser la barriére placentaire quand elles sont sous forme


monomrique

D- Interviennent dans la défense Immune des muqueuses

E- sont incapables d'activer le systéme du complément


Les IgM :

A- Sont exclusivement pentamériques

B- La principale Ig, produite lors d'une réponse immunitaire de type primaire

C- Peuvent traverser la barriére placentaire quand elles sont sous forme


monomrique

D- Interviennent dans la défense Immune des muqueuses

E- sont incapables d'activer le systéme du complément


L’interleukine 2 (IL2) :

A- Est synthétisée par la sous population TH2

B- Est une cytokine pro inflammatoire

C- Est un facteur de croissance des lymphocytes T.

D- Induit l’expression du récepteur de l'IL1.

E- Induit l’expression des molécules HLA de classe I et de classe II.


L’interleukine 2 (IL2) :

A- Est synthétisée par la sous population TH2

B- Est une cytokine pro inflammatoire

C- Est un facteur de croissance des lymphocytes T.

D- Induit l’expression du récepteur de l'IL1.

E- Induit l’expression des molécules HLA de classe I et de classe II.


Le TNFα, l’IL-1 et l’IL-6 sont les principales cytokines de l’inflammation.
Les cytokines anti-inflammatoires sont : le TGF beta, l'IL-4, l'IL-10, et
l'IL-13, elles peuvent inhiber les productions d'IL-1, d'IL-6, d'IL-8 et de
TNF.

Dans une moindre mesure, l'interféron-α possède également cette


potentialité.
La B2 microglobuline qui constitue la chaine légère d'une molécule HLA de classe I :

A-1+2+3 B-1+3+4 C-2+3+4 D-1+3 E- 3+4

1. Est monomorphe

2. A un poids moléculaire de 23 kd

3. Contribue à déterminer des spécificités antigéniques

4. Est déterminée par un gène lié à celui qui code pour la chaine lourde alpha

5. Est associe par des liaisons covalentes au domaine alpha-3.


La B2 microglobuline qui constitue la chaine légère d'une molécule HLA de classe I :

A-1+2+3 B-1+3+4 C-2+3+4 D-1+3 E- 3+4

1. Est monomorphe

2. A un poids moléculaire de 23 kd

3. Contribue à déterminer des spécificités antigéniques

4. Est déterminée par un gène lié à celui qui code pour la chaine lourde alpha

5. Est associe par des liaisons covalentes au domaine alpha-3.


En cas de déficit complet en fraction C2 du complément :

A- L'activité hémolytique du complément total est normale

B- La fixation du C1q des complexes immuns est perturbée

C- La C3 convertase classique est normale

D- La manifestation clinique principale est l'oedéme angio-neurotique

E- Il peut exister un syndrome lupique


En cas de déficit complet en fraction C2 du complément :

A- L'activité hémolytique du complément total est normale

B- La fixation du C1q des complexes immuns est perturbée

C- La C3 convertase classique est normale

D- La manifestation clinique principale est l'oedéme angio-neurotique

E- Il peut exister un syndrome lupique


• Les déficits en protéines de la phase précoce de la voie classique
(C1q, C1r, C1s, C4, C2) sont associés à une prédisposition au lupus
érythémateux systémique (LES) et maladies apparentées.

• Les déficits complets en C1q, C1r, C1s et C4 sont rares.

• Le déficit complet en C2 est le plus fréquent.


Les molécules CD4 qui caractérisent les lymphocytes T helper (ou amplificateurs) sont :

A-1+2 B- 2+3+4 C- 2+3+5 D-1+4+5 E-1+2+5

1. Des glycoprotéines dimériques de nature globulaire

2. Impliquées dans l'interaction T cell-récepteur/antigéne peptidique présenté par une cellule


du système réticulo-endothlial

3. Des glycoprotéines monomériques de structure globulaire

4. Associées de manière covalente aux récepteurs spécifiques de l'antigéne des lymphocytes T

5. Des marqueurs membranaires qui apparaissent très tôt au cours de la maturation intra-
thymique
Les molécules CD4 qui caractérisent les lymphocytes T helper (ou amplificateurs) sont :

A-1+2 B- 2+3+4 C- 2+3+5 D-1+4+5 E-1+2+5

1. Des glycoprotéines dimériques de nature globulaire

2. Impliquées dans l'interaction T cell-récepteur/antigéne peptidique présenté par une cellule


du système réticulo-endothlial

3. Des glycoprotéines monomériques de structure globulaire

4. Associées de manière covalente aux récepteurs spécifiques de l'antigéne des lymphocytes T

5. Des marqueurs membranaires qui apparaissent très tôt au cours de la maturation intra-
thymique
Les molécules HLA de classe II sont :

A-1+3 B-1+4+5 C-2+3+4+5 D- 4+5 E-2+4+5

1.Des hétéromères liés de manière covalente

2. Codées par des gênes organisés en 3 sous-régions localisées en position 5 du locus A

3. Organisées en 5 familles alléliques

4. Extrêmement polymorphes

5. Responsables de la prédisposition génétique à certaines maladies auto-immunes


Les molécules HLA de classe II sont :

A-1+3 B-1+4+5 C-2+3+4+5 D- 4+5 E-2+4+5

1.Des hétéromères liés de manière covalente

2. Codées par des gênes organisés en 3 sous-régions localisées en position 5 du locus A

3. Organisées en 5 familles alléliques

4. Extrêmement polymorphes

5. Responsables de la prédisposition génétique à certaines maladies auto-immunes


La cytokine IL6 :

A- Induit la prolifération et la différenciation des lymphocytes B

B- Est un facteur de croissance des lymphocytes T et B

C- Inhibe la croissance des plasmocytes

D- Induit la synthèse des molécules HLA II dans les lymphocytes B

E-est un antagoniste de L' IFN y


La cytokine IL6 :

A- Induit la prolifération et la différenciation des lymphocytes B

B- Est un facteur de croissance des lymphocytes T et B

C- Inhibe la croissance des plasmocytes

D- Induit la synthèse des molécules HLA II dans les lymphocytes B

E-est un antagoniste de L' IFN y


IL6 :

> Pouvoir pyrogène.

>Exerce en plus de son activité pro-inflammatoire, une action sur les LB :


différenciation en plasmocytes et maturation de ces derniers >> synthèse d’Ig.
L'immunisation d'un animal avec des anticorps purifiés provenant d'un
animal syngénique donne lieu à la production d'anticorps de spécificité :

A- Anti-isotypique.

B- Anti-allotypique.

C- Anti-idiotypique.

D- Les propositions A + B.

E- Les propositions A + B + C.
L'immunisation d'un animal avec des anticorps purifiés provenant d'un
animal syngénique donne lieu à la production d'anticorps de spécificité :

A- Anti-isotypique.

B- Anti-allotypique.

C- Anti-idiotypique.

D- Les propositions A + B.

E- Les propositions A + B + C.
Les médiateurs cellulaires et moléculaires de la réponse immunitaire non
spécifique antimicrobienne contribuent :

A. A restaurer l'intégrité des tissus lésés

B. A éliminer l'agent pathogène

C. Au développement et à l’amélioration d'une réponse immunitaire

D. A préserver l’organisme d'une infection ultérieure

E. A circonscrire les foyers lésionnels


Les médiateurs cellulaires et moléculaires de la réponse immunitaire non
spécifique antimicrobienne contribuent :

A. A restaurer l'intégrité des tissus lésés

B. A éliminer l'agent pathogène

C. Au développement et à l’amélioration d'une réponse immunitaire

D. A préserver l’organisme d'une infection ultérieure

E. A circonscrire les foyers lésionnels


Les interférents alpha et gamma sont :

A-1+5 B- 2+3 C- 2+4 D-1+3 E- 2+5

1. Des cytokines qui ont la même origine cellulaire

2. Des médiateurs dont l'action est non spécifique

3. Des cytokines utilisées dans certains protocoles thérapeutiques

4. Des cytokines dont les activités biologiques se superposent

5. Des polypeptides cytotoxiques


Les interférents alpha et gamma sont :

A-1+5 B- 2+3 C- 2+4 D-1+3 E- 2+5

1. Des cytokines qui ont la même origine cellulaire

2. Des médiateurs dont l'action est non spécifique

3. Des cytokines utilisées dans certains protocoles thérapeutiques

4. Des cytokines dont les activités biologiques se superposent

5. Des polypeptides cytotoxiques


• Différence entre cellule phagocytaire et cellule présentatrice
d’antigénes.
Parmi ces cellules, quelle est celle qui peut devenir un macrophage ?

A- Plasmocyte

B- Polynucléaire neutrophile

C- Polynucléaire éosinophile

D- Histiocyte

E- Lymphocyte
Parmi ces cellules, quelle est celle qui peut devenir un macrophage ?

A- Plasmocyte

B- Polynucléaire neutrophile

C- Polynucléaire éosinophile

D- Histiocyte

E- Lymphocyte
Les cellules dendritiques :
A- Sont en première ligne pour capter les antigènes
B- Présentent les antigènes aux lymphocytes grâce à leurs molécules
HLA de classe I et II
C- Présentent les antigènes au lymphocyte CD4 grâce à leurs molécules
HLA de classe I
D- Font en grande partie la différence entre le soi et le non soi grâce à
des structures de reconnaissance comme les TLR (toll-like receptor)
Les cellules dendritiques :
A- Sont en première ligne pour capter les antigènes
B- Présentent les antigènes aux lymphocytes grâce à leurs molécules
HLA de classe I et II
C- Présentent les antigènes au lymphocyte CD4 grâce à leurs molécules
HLA de classe I
D- Font en grande partie la différence entre le soi et le non soi grâce à
des structures de reconnaissance comme les TLR (toll-like receptor)
Parmi les propositions suivantes, donner la (les) réponse(s) exacte(s).
Les cellules folliculaires dendritiques :
A- sont localisées dans les organes lymphoïdes périphériques
B- appartiennent à la famille des polynucléaires
C- sont capables de présenter efficacement l’Ag aux Lym T
D- dérivent des cellules de Langerhans
E- jouent un rôle dans le maintien de la production d’Ac au cours d’une
réponse humorale
Parmi les propositions suivantes, donner la (les) réponse(s) exacte(s).
Les cellules folliculaires dendritiques :
A- sont localisées dans les organes lymphoïdes périphériques
B- appartiennent à la famille des polynucléaires
C- sont capables de présenter efficacement l’Ag aux Lym T
D- dérivent des cellules de Langerhans
E- jouent un rôle dans le maintien de la production d’Ac au cours d’une
réponse humorale
Les cellules dendritiques folliculaires capturent des complexes immuns
et les présentent de façon prolongée aux lymphocytes B.
• Immunité des muqueuses :
• A- Est nommée MALT (Mucosae Associated Lymphoid Tissue)
• B- Les plaques de Peyer et les nodules solitaires constituent des sites
inducteurs des réponses immunitaires du MALT
• C- Le MALT n’est pas impliqué dans le maintien de la tolérance aux
antigènes alimentaires
• D- Les IgA sécrétoires représentent un composant humoral majeur du
MALT
• Immunité des muqueuses :
• A- Est nommée MALT (Mucosae Associated Lymphoid Tissue)
• B- Les plaques de Peyer et les nodules solitaires constituent des sites
inducteurs des réponses immunitaires du MALT
• C- Le MALT n’est pas impliqué dans le maintien de la tolérance aux
antigènes alimentaires
• D- Les IgA sécrétoires représentent un composant humoral majeur du
MALT
Parmi les propositions suivantes, cocher celle(s) qui est (sont) exacte(s).
La phagocytose des bactéries :
A- nécessite l’adhésion des germes à la surface des cellules
phagocytaires
B- est inhibée si les bactéries sont opsonisées
C- peut être effectuée par une certaine sous-population de Lym T
D- est augmentée par la réponse immunitaire
E- concerne essentiellement les germes extracellulaires
Parmi les propositions suivantes, cocher celle(s) qui est (sont) exacte(s).
La phagocytose des bactéries :
A- nécessite l’adhésion des germes à la surface des cellules
phagocytaires
B- est inhibée si les bactéries sont opsonisées
C- peut être effectuée par une certaine sous-population de Lym T
D- est augmentée par la réponse immunitaire
E- concerne essentiellement les germes extracellulaires
Le thymus est un organe lymphoïde :
A- Primaire
B- Secondaire
C- Nécessaire à la maturation des Lym T
D- Libérant dans le sang circulant des Lym T porteurs des molécules
CD2 et CD3
E- Constituant un passage obligé des Lym B
Le thymus est un organe lymphoïde :
A- Primaire
B- Secondaire
C- Nécessaire à la maturation des Lym T
D- Libérant dans le sang circulant des Lym T porteurs des molécules
CD2 et CD3
E- Constituant un passage obligé des Lym B
-Les précurseurs CD 34+ issus de la MO pénètrent dans le thymus.
-Entament une différenciation-maturation du cortex vers la médullaire.
-Acquièrent progressivement : le récepteurs de l’antigène TCR et les
marqueurs de surface (CD2, CD3, CD4, CD8).
Au niveau cortical : La maturation des
lymphocytes T est marquée par trois types
d'événements:
1-Modification de marqueurs membranaires de différenciation (clusters
of differentiation = CD) - disparition du marqueur de cellule souche
hématopoïétique CD34 >> apparition provisoire de CD1 ( il va
disparaitre ensuite)>> apparition des marqueurs spécifiques des
cellules T : TCR et CD3.
2- Réarrangement des gènes codant pour le TCR (récepteur pour
l'antigène à la surface des cellules T) : le TCR est non traduit chez le
progéniteur car l’ADN comprend aussi des introns, le réarrangement
permettra de les supprimer avant la traduction.
3- Sélections clonales : dans la jonction cortico-médullaire.
La sélection positive :
Elle implique les thymocytes à TCR (α,β) et les TEC de la corticale qui se
caractérisent par l'expression des molécules du CMH de classe I et de
classe Il. Cette étape est basée sur l'affinité de l'interaction qui s'établit entre
le TCR et les molécules du CMH.

Les thymocytes qui interagissent avec le CMH self avec forte ou faible
affinité, meurent par apoptose ou délétion clonale.

Seuls vont survivre les thymocytes ayant interagi convenablement avec le


CMH self
La sélection négative :
Cette étape se déroule au niveau du versant médullaire de la jonction
cortico-médullaire en présence des cellules présentatrices d'Ag (CPA)
ainsi que des TEC de la médullaire qui expriment en surface les
peptides selfs associés aux molécules du CMH.
Les thymocytes qui réagissent contre les peptides du soi sont éliminés
par apoptose ou délétion clonales.
Les thymocytes qui ne réagissent pas contre les peptides du soi sont
sauvegardés (sélectionnés) et peuvent quitter le Thymus.
• Parmi les propriétés suivantes, quelles sont celles qui sont attribuées
au ganglion lymphatique ?
• A- Il est un des sites de développement des réponses immunitaires
• B- Il est le site de production des anticorps
• C- Il est peuplé exclusivement de Lym B
• D- Il appartient au système lymphoïde périphérique (ou secondaire)
• E- Il subit des remaniements physiologiques et des variations de
volume dénommées adénopathies
• Parmi les propriétés suivantes, quelles sont celles qui sont attribuées
au ganglion lymphatique ?
• A- Il est un des sites de développement des réponses immunitaires
• B- Il est le site de production des anticorps
• C- Il est peuplé exclusivement de Lym B
• D- Il appartient au système lymphoïde périphérique (ou secondaire)
• E- Il subit des remaniements physiologiques et des variations de
volume dénommées adénopathies
L'activation des lymphocytes B, la prolifération et la maturation de
cellules sécrétant des anticorps se déroule dans le paracortex. Les
plasmocytes synthétisent l'anticorps qui est transporté du ganglion
dans la circulation générale par la lymphe efférente.
Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui s'appliquent
aux cellules NK (Natural Killer) ?
A - Elles expriment des récepteurs pour les molécules du CMH-I
B - Elles ont une activité phagocytaire
C - Elles interviennent dans l'immunité anti-tumorale
D - Elles expriment des récepteurs pour le complément
E - Elles sont capables de lyser des cellules infectées par des virus
Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui s'appliquent
aux cellules NK (Natural Killer) ?
A - Elles expriment des récepteurs pour les molécules du CMH-I
B - Elles ont une activité phagocytaire
C - Elles interviennent dans l'immunité anti-tumorale
D - Elles expriment des récepteurs pour le complément
E - Elles sont capables de lyser des cellules infectées par des virus
Les IgG humaines :

A- Sont quantitativement les moins représentées dans le sérum normal d'un


adulte.

B- Sont capables, pour la majorité d'entre- elles de traverser la barriére


placentaire.

C- Ont comparativement aux autres classes d'immunoglobulines, la durée de vie


la plus courte.

D- Sont les plus abondants dans les sécrétions digestives.

E- Existent normalement dans le sérum sous forme de monomères et de


diméres.
Les IgG humaines :

A- Sont quantitativement les moins représentées dans le sérum normal d'un


adulte.

B- Sont capables, pour la majorité d'entre- elles de traverser la barriére


placentaire.

C- Ont comparativement aux autres classes d'immunoglobulines, la durée de vie


la plus courte.

D- Sont les plus abondants dans les sécrétions digestives.

E- Existent normalement dans le sérum sous forme de monomères et de


diméres.
Les lymphocytes T CD4 + :

A- Minoritaires parmi les lymphocytes circulants

B- Reconnaissent les peptides bactériens présentés par les cellules présentatrices


d'antigéne en association avec les molécules du CMH de classe I

C- Sont des cellules effectrices

D- Peuvent parfois lyser les cellules infectées par des virus

E- Sécrètent de l'IL2 aprés activation


Les lymphocytes T CD4 + :

A- Minoritaires parmi les lymphocytes circulants

B- Reconnaissent les peptides bactériens présentés par les cellules présentatrices


d'antigéne en association avec les molécules du CMH de classe I

C- Sont des cellules effectrices

D- Peuvent parfois lyser les cellules infectées par des virus

E- Sécrètent de l'IL2 aprés activation


Les cellules impliquées dans la destruction des cellules tumorales sont :

A- Les polynucléaires neutrophiles

B- Les polynucléaires éosinophiles

C- Les polynucléaires basophiles

D- Les mastocytes

E- Les cellules NK
Les cellules impliquées dans la destruction des cellules tumorales sont :

A- Les polynucléaires neutrophiles

B- Les polynucléaires éosinophiles

C- Les polynucléaires basophiles

D- Les mastocytes

E- Les cellules NK
Travaux dirigés en
physiopathologie
YAICI Ayoub
Décembre 2019
Une jeune femme est amenée aux urgences médicales dans un état de confusion,
après avoir été retrouvée à la maison avec un flacon d'aspirine vide sur son lit.

A l'admission, elle est en hyperventilation et transpire abondamment, le pouls est à


120 battements/min, la TA à 110/60 mm d'Hg Temprature 39,5C.

pH = 7,20 PC02 = 26 mmHg Bicarbonates = 10 mmol/l Sodium = 131 mEq/l

Potassium = 3,2 mEqI Glucose = 0,59 g/l Urée = 0,60 g/l Lactate = 45 mg/dl

Temps de Quick = 18 sec (témoin = 14 sec)

Chimie urinaire : Corps ctonques +++ Glucose (-) Protéines (-)


De quel trouble acido-basique s'agit-il ?

A- Acidose respiratoire.

B- Alcalose respiratoire.

C- Acidose métabolique.

D- Alcalose métabolique.

E- Acidose respiratoire compense.


De quel trouble acido-basique s'agit-il ?

A- Acidose respiratoire.

B- Alcalose respiratoire.

C- Acidose métabolique.

D- Alcalose métabolique.

E- Acidose respiratoire compense.


Le tableau biologique est compatible avec :

A- Une intoxication aigue aux salicylés.

B- Un coma acido-cétosique d'un diabète sucré inaugural.

C- Une maladie paroxysomale cétogène.

D- Une hypokaliémie paroxystique familiale.

E- Une dficience en pyruvate dshydrognase.


Le tableau biologique est compatible avec :

A- Une intoxication aigue aux salicylés.

B- Un coma acido-cétosique d'un diabète sucré inaugural.

C- Une maladie paroxysomale cétogène.

D- Une hypokaliémie paroxystique familiale.

E- Une dficience en pyruvate dshydrognase.


Quel était le trouble acido-basique primaire ?

A- Acidose métabolique par défaut d'excrétion rénale de H+ titrable et de


NH4+.

B- Acidose respiratoire par rétention de C02 secondaire l'hypersudation.

C- Alcalose métabolique par perte de H+ fixe due à l'hyponatrémie.

D- Alcalose respiratoire par stimulation bulbaire directe des salicylés.

E- Acidose métabolique par accumulation de corps cétoniques.


Quel était le trouble acido-basique primaire ?

A- Acidose métabolique par défaut d'excrétion rénale de H+ titrable et de


NH4+.

B- Acidose respiratoire par rétention de C02 secondaire l'hypersudation.

C- Alcalose métabolique par perte de H+ fixe due à l'hyponatrémie.

D- Alcalose respiratoire par stimulation bulbaire directe des salicylés.

E- Acidose métabolique par accumulation de corps cétoniques.


L'hyperthermie s'explique par (Cochez la réponse fausse)

A- Le découplage des oxydations phosphorylantes.

B- L'inhibition du cycle de Krebs.

C- L'augmentation de la consommation d'oxygéne.

D- L’augmentation de demande en ATP.

E- L'inhibition de l'agrégation plaquettaire.


L'hyperthermie s'explique par (Cochez la réponse fausse)

A- Le découplage des oxydations phosphorylantes.

B- L'inhibition du cycle de Krebs.

C- L'augmentation de la consommation d'oxygéne.

D- L’augmentation de demande en ATP.

E- L'inhibition de l'agrégation plaquettaire.


La présence de corps cétoniques dans les urines est liée à :

A- L'activation de la lipolyse.

B- Le déséquilibre électrolytique.

C- L'augmentation de la sécrétion rénale de HC03-.

D- L'allongement du temps de Quick.

E- La stimulation du cycle de l'urée.


La présence de corps cétoniques dans les urines est liée à :

A- L'activation de la lipolyse.

B- Le déséquilibre électrolytique.

C- L'augmentation de la sécrétion rénale de HC03-.

D- L'allongement du temps de Quick.

E- La stimulation du cycle de l'urée.


Il y'a activation de la lipolyse par augmentation des besoins
énergétiques.

Les corps cétoniques font partie des anions organiques, ils ne sont pas
utilisés par l'organisme pour dans la rééquilibration hydro-
éléctrolytique, ni celle acidobasique.
La lactatémie est :

A- élevée suite à l’inhibition du cycle de Krebs par les salicylés.

B- élevée par accumulation du pyruvate secondairement à une déficience


héréditaire en pyruvate déshydrogénase.

C- élevée par accumulation des acides gras suite à un défaut inné dans leur voie
catabolique dans le peroxysome

D- Normale car la patiente est jeune et non traitée à la metformine.

E- Normale car l'hypokaliémie n’a pas d’impact sur la formation de l'acide


lactique.
La lactatémie est :

A- élevée suite à l’inhibition du cycle de Krebs par les salicylés.

B- élevée par accumulation du pyruvate secondairement à une déficience


héréditaire en pyruvate déshydrogénase.

C- élevée par accumulation des acides gras suite à un défaut inné dans leur voie
catabolique dans le peroxysome

D- Normale car la patiente est jeune et non traitée à la metformine.

E- Normale car l'hypokaliémie n’a pas d’impact sur la formation de l'acide


lactique.
Pour calculer le trou anionique, quel est le paramétre biologique
manquant ?

A- Taux de prothrombine.

B- Créatinémie.

C- Uricémie.

D- Ammoniémie.

E- Chlorémie.
Pour calculer le trou anionique, quel est le paramétre biologique
manquant ?

A- Taux de prothrombine.

B- Créatinémie.

C- Uricémie.

D- Ammoniémie.

E- Chlorémie.
En tenant compte du contexte clinique et du tableau biologique, quel est le
sens de variation attendu du trou anionique ?

A- Normal car la neutralité électrolytique sera maintenue.

B- Normal car la perte en HCO3- sera compensée par les ions chlorure.

C- Normal entre 34 et 38 mmol/l.

D- Augmenté par la présence d'anions organiques.

E- Bas.
En tenant compte du contexte clinique et du tableau biologique, quel est le
sens de variation attendu du trou anionique ?

A- Normal car la neutralité électrolytique sera maintenue.

B- Normal car la perte en HCO3- sera compensée par les ions chlorure.

C- Normal entre 34 et 38 mmol/l.

D- Augmenté par la présence d'anions organiques.

E- Bas.
Quel est le dosage qui vous permettra de confirmer le diagnostic suspecté
chez cette patiente ?

A- HbA1c.

B- HGPO.

C- Activité de la pyruvate déshydrognase.

D- Chromatographie des acides gras.

E- Salicylés sanguins et/ou urinaires.


Quel est le dosage qui vous permettra de confirmer le diagnostic suspecté
chez cette patiente ?

A- HbA1c.

B- HGPO.

C- Activité de la pyruvate déshydrognase.

D- Chromatographie des acides gras.

E- Salicylés sanguins et/ou urinaires.


Le traitement dans ce cas, repose sur : (Cochez la réponse fausse)

A- Lavage gastrique au charbon activé.

B- Réhydratation intraveineuse avec supplémentation en glucose.

C- Perfusion de soluté de bicarbonate de sodium pour obtenir un pH


urinaire supérieur à 7,5.

D- Administration de vitamine K.

E- Hémodialyse.
Le traitement dans ce cas, repose sur : (Cochez la réponse fausse)

A- Lavage gastrique au charbon activé.

B- Réhydratation intraveineuse avec supplémentation en glucose.

C- Perfusion de soluté de bicarbonate de sodium pour obtenir un pH


urinaire supérieur à 7,5.

D- Administration de vitamine K.

E- Hémodialyse.
Le but est d’obtenir un pH urinaire supérieur à 7,5 idéalement entre 8 et
8,5.

Cela est obtenu par l’administration de 500 ml de bicarbonate isotonique


en 2 h qui sera répétée selon la surveillance du pH urinaire.

L’alcalinisation des urines est arrêtée lorsque la salicylémie devient


inférieure à 400 mg/l.

Il faut adjoindre 2 g de KCl par flacon de bicarbonate en raison de la fuite


de potassium induite par l’alcalose.
La Natrémie Reflète :

A- L’état d’hydratation intracellulaire

B- L’état d’hydratation extracellulaire

C- L’état d’hydratation globale

D- L’importance du capital sodé

E- L’importance de la natriurèse
La Natrémie Reflète :

A- L’état d’hydratation intracellulaire

B- L’état d’hydratation extracellulaire

C- L’état d’hydratation globale

D- L’importance du capital sodé

E- L’importance de la natriurèse
L’hyperhydratation Globale Associe :

A- Hypoprotidémie, hypernatrémie et hématocrite bas

B- Hyperprotidémie, hyponatrémie et hématocrite élevé

C- Hypoprotidémie, hyponatrémie et hématocrite bas

D- Hyperprotidémie, hypernatrémie et hématocrite élevé

E- Hyperprotidémie, hypernatrémie et hématocrite bas


L’hyperhydratation Globale Associe :

A- Hypoprotidémie, hypernatrémie et hématocrite bas

B- Hyperprotidémie, hyponatrémie et hématocrite élevé

C- Hypoprotidémie, hyponatrémie et hématocrite bas

D- Hyperprotidémie, hypernatrémie et hématocrite élevé

E- Hyperprotidémie, hypernatrémie et hématocrite bas


La Déshydratation Extracellulaire associe :

A- Protidémie augmentée, hématocrite augmenté et natrémie diminuée

B- Protidémie augmentée, hématocrite augmente et natrémie augmentée

C- Protidémie augmentée, hématocrite augmenté et natrémie normale

D- Protidémie augmentée, hématocrite diminuée et natrémie diminuée

E- Protidémie diminuée, hématocrite augmenté et natrémie diminuée


La Déshydratation Extracellulaire associe :

A- Protidémie augmentée, hématocrite augmenté et natrémie diminuée

B- Protidémie augmentée, hématocrite augmente et natrémie augmentée

C- Protidémie augmentée, hématocrite augmenté et natrémie normale

D- Protidémie augmentée, hématocrite diminuée et natrémie diminuée

E- Protidémie diminuée, hématocrite augmenté et natrémie diminuée


Pour une natrémie De 150 mmol/l, une glycémie de 2,5 g/l, une urémie de 0,45
g/l et une calcémie De 2,3 mmol/l, l’osmolarité est de :

A-155,25 mOsm/l.

B-310 mOsm/l,

C-320 mOsm/l.

D-302 mOsm/l

E-Aucune réponse n’est juste.


Pour une natrémie De 150 mmol/l, une glycémie de 2,5 g/l, une urémie de 0,45
g/l et une calcémie De 2,3 mmol/l, l’osmolarité est de :

A-155,25 mOsm/l.

B-310 mOsm/l,

C-320 mOsm/l.

D-302 mOsm/l

E-Aucune réponse n’est juste.


Osmolarité totale= ([Na]+ [K]) x 2 + [glucose]+[urée]
= [140 x 2] + 5 + 5
= 290 mOsm/l.

Osmolarité efficace = ([Na]+ [K]) x 2 + [glucose]

Urée = 60g/ mole


60 g >> 1 mole
0,45 >> x
X = 7,5 mmole

Glucose = 180g/mole
180g >> 1mole
2,5 >> x
X = 14 mmole
L’hyponatrémie est un signe traduisant une :

A- déshydratation intracellulaire

B- déshydratation extracellulaire

C- hyper hydratation intracellulaire

D- hyper hydratation extracellulaire

E- hypovolumie
L’hyponatrémie est un signe traduisant une :

A- déshydratation intracellulaire

B- déshydratation extracellulaire

C- hyper hydratation intracellulaire

D- hyper hydratation extracellulaire

E- hypovolumie
La déshydratation extracellulaire peut être due à :

A- une hypersudation

B- une insuffisance cardiaque

C- une insuffisance rénale

D- une oligurie

E- une gastro entérite aiguë


La déshydratation extracellulaire peut être due à :

A- une hypersudation

B- une insuffisance cardiaque

C- une insuffisance rénale

D- une oligurie

E- une gastro entérite aiguë


• Les gastro-entérites sont surtout responsables de déshydratations
globales.
Au cours de l’hyperhydratation intracellulaire on a :

A- des œdèmes périphériques un dégoût de l’eau, et une hémoconcentration

B- un dégoût de l’eau une anorexie et une natrémie a 120mmol/l

C- une sècheresse des muqueuses une soif et une natrémie a 250mmol/l

D- un pli cutané une soif et une hémoconcentration

E- des œdèmes périphériques une hypertension artérielle, et une hémodilution


Au cours de l’hyperhydratation intracellulaire on a :

A- des œdèmes périphériques un dégoût de l’eau, et une hémoconcentration

B- un dégoût de l’eau une anorexie et une natrémie a 120mmol/l

C- une sècheresse des muqueuses une soif et une natrémie a 250mmol/l

D- un pli cutané une soif et une hémoconcentration

E- des œdèmes périphériques une hypertension artérielle, et une hémodilution


L’hydratation du secteur extracellulaire dépend de

A- la concentration extracellulaire de sodium

B- du capital hydrique

C- du capital sodé

D- de la natrémie

E- de la natriurèse
L’hydratation du secteur extracellulaire dépend de

A- la concentration extracellulaire de sodium

B- du capital hydrique

C- du capital sodé

D- de la natrémie

E- de la natriurèse
L’eau vasculaire représente en moyenne :

A- 30 % du poids corporel.

B- 15 % du poids corporel

C- 20 % du poids corporel

D- 5 % du poids corporel

E- 60 % du poids corporel
L’eau vasculaire représente en moyenne :

A- 30 % du poids corporel.

B- 15 % du poids corporel

C- 20 % du poids corporel

D- 5 % du poids corporel

E- 60 % du poids corporel
L’hypovolémie, en stimulant le système rénine-angiotensine, aboutit au niveau
Du Tube Contourné Distal à :

A- Une rétention d’ions H+ et/ou K+ contre une fuite de Na+.

B- Une rétention d’ions Na+ contre une fuite de H+ ou K+.

C- Une rétention d’eau seulement

D- Une rétention de Na-. K+ et H+.

E- Une fuite d’eau


L’hypovolémie, en stimulant le système rénine-angiotensine, aboutit au niveau
Du Tube Contourné Distal à :

A- Une rétention d’ions H+ et/ou K+ contre une fuite de Na+.

B- Une rétention d’ions Na+ contre une fuite de H+ ou K+.

C- Une rétention d’eau seulement

D- Une rétention de Na-. K+ et H+.

E- Une fuite d’eau


Les Oedèmes Périphériques Correspondent à :

A- Une rétention d’eau sans sodium dans l’espace interstitielle,

B- Une rétention d’eau sans sodium dans l’espace cellulaire

C- Une rétention d’eau et sodium dans l’espace vasculaire

D- Une rétention d’eau et sodium dans l’espace cellulaire

E- Une rétention d’eau et sodium dans l’espace interstitielle


Les Oedèmes Périphériques Correspondent à :

A- Une rétention d’eau sans sodium dans l’espace interstitielle,

B- Une rétention d’eau sans sodium dans l’espace cellulaire

C- Une rétention d’eau et sodium dans l’espace vasculaire

D- Une rétention d’eau et sodium dans l’espace cellulaire

E- Une rétention d’eau et sodium dans l’espace interstitiel


L’eau suit le sodium !!! TOUJOURS !

Et l’effet de l’ADH Alors ?!


L’oedème périphérique peut se former Lorsque Diminue :

A- La pression veineuse

B- La pression artérielle

C- La pression oncotique

D- La pression hydrostatique capillaire

E- Le flux lymphatique régional


L’oedème périphérique peut se former Lorsque Diminue :

A- La pression veineuse

B- La pression artérielle

C- La pression oncotique

D- La pression hydrostatique capillaire

E- Le flux lymphatique régional


Au cours de l’insuffisance rénale organique on a :

A- Un rapport « urée urinaire/urée plasmatique » bas

B- Un rapport « créatinine urinaire/créatine plasmatique » élevé

C- Un culot urinaire riche en cellules

D- Un rapport « Na urinaire/K urinaire » augmenté

E- Une natriurèse basse


Au cours de l’insuffisance rénale organique on a :

A- Un rapport « urée urinaire/urée plasmatique » bas

B- Un rapport « créatinine urinaire/créatine plasmatique » élevé

C- Un culot urinaire riche en cellules

D- Un rapport « Na urinaire/K urinaire » augmenté

E- Une natriurèse basse


Une fraction excrétée de sodium (FENa) inférieure à 1% suggère une
insuffisance prérénale.
Au cours du syndrome néphrotique l’IRA est caractérisée par :

A- L’apparition d’oedémes

B- Une hyperaldostéronémie secondaire habituelle

C-Une fuite urinaire d’albumine

D-Une pression oncotique basse

E-Tous ces éléments


Au cours du syndrome néphrotique l’IRA est caractérisée par :

A- L’apparition d’oedémes

B- Une hyperaldostéronémie secondaire habituelle

C-Une fuite urinaire d’albumine

D-Une pression oncotique basse

E-Tous ces éléments


Le Potassium :

A- Intervient dans l’excitation neuromusculaire

B- Est un ion principalement plasmatique

C- Intervient dans la coagulation

D- Est éliminé à 90% par voie digestive

E- Est absent dans les hématies


Le Potassium :

A- Intervient dans l’excitation neuromusculaire

B- Est un ion principalement plasmatique

C- Intervient dans la coagulation

D- Est éliminé à 90% par voie digestive

E- Est absent dans les hématies


Travaux dirigés en
microbiologie
YAICI Ayoub
Décembre 2019
Parmi les espèces bactriennes suivantes, une est particulièrement
impliquée dans les infections nosocomiales, laquelle ?

A- Brucella melitensis

B- Salmonella typhi murium

C- Pseudomonas aruginosa

D- Streptocoque du groupe A

E- Neisseria meningitidis
Parmi les espèces bactriennes suivantes, une est particulièrement
impliquée dans les infections nosocomiales, laquelle ?

A- Brucella melitensis

B- Salmonella typhi murium

C- Pseudomonas aruginosa

D- Streptocoque du groupe A

E- Neisseria meningitidis
Tous les éléments suivants caractérisent une infection nosocomiale, sauf un.
Lequel ?

A- C'est une Infection chez un patient hospitalisé qui n‘était pas présente ni en
Incubation ni à l'entrée du malade

B- Son agent causal peut étre une bactérie, un virus, un champignon ou un


parasite

C- L'origine du germe peut étre exogéne ou endogéne

D- Les bactéries responsables sont souvent sensibles aux antibiotiques

E- Les suppurations de paroi sont parmi les plus fréquentes


Tous les éléments suivants caractérisent une infection nosocomiale, sauf un.
Lequel ?

A- C'est une Infection chez un patient hospitalisé qui n‘était pas présente ni en
Incubation ni à l'entrée du malade

B- Son agent causal peut étre une bactérie, un virus, un champignon ou un


parasite

C- L'origine du germe peut étre exogéne ou endogéne

D- Les bactéries responsables sont souvent sensibles aux antibiotiques

E- Les suppurations de paroi sont parmi les plus fréquentes


L‘échec d’un traitement de gonococcie par la pénicilline en 1ére intention
s'explique essentiellement par :

A- La toxicité de la molécule d'antibiotique sur l'appareil uro-génital

B- Le fort pourcentage de souches de neisseria gonorrhae productrices de


pénicillinase isolées en Algérie

C- Mauvaise diffusion de l'antibiotique dans les tissus

D- Mutation chromosomique

E- Neutralisation de l'antibiotique par les anticorps anti-gonococciques


L‘échec d’un traitement de gonococcie par la pénicilline en 1ére intention
s'explique essentiellement par :

A- La toxicité de la molécule d'antibiotique sur l'appareil uro-génital

B- Le fort pourcentage de souches de neisseria gonorrhae productrices de


pénicillinase isolées en Algérie

C- Mauvaise diffusion de l'antibiotique dans les tissus

D- Mutation chromosomique

E- Neutralisation de l'antibiotique par les anticorps anti-gonococciques


(Cochez la réponse fausse) L'association des antibiotiques est parfois utilisée en
thérapeutique pour :

A- Elargir le spectre antibactérien

B- Traiter en urgence une infection avant l'isolement d'un germe

C- Traiter une endocardite

D- Prévenir la sélection de mutants résistants

E- Raccourcir la durée du traitement


(Cochez la réponse fausse) L'association des antibiotiques est parfois utilisée en
thérapeutique pour :

A- Elargir le spectre antibactérien

B- Traiter en urgence une infection avant l'isolement d'un germe

C- Traiter une endocardite

D- Prévenir la sélection de mutants résistants

E- Raccourcir la durée du traitement


Tous les antibiotiques suivants sont contre-indiqués chez la femme
enceinte, sauf :

A- Acide nalidixique

B- Ampicilline

C- Chloramphenicol

D- Sulfamides

E- Aminosides
Tous les antibiotiques suivants sont contre-indiqués chez la femme
enceinte, sauf :

A- Acide nalidixique

B- Ampicilline

C- Chloramphenicol

D- Sulfamides

E- Aminosides
- Tétracyclines
- Aminosides
- Quinolones
- Sulfamides
- Phénicolés

• Moyen mnémotechnique = "Tes amis qui saoulent Nicole"


Tous les antibiotiques suivants sont des anti-staphylococciques, sauf :

A- Oxacilline

B- Pristinamycine

C- Colistine

D- Vancomycine

E- Fosfomycine
Tous les antibiotiques suivants sont des anti-staphylococciques, sauf :

A- Oxacilline

B- Pristinamycine

C- Colistine

D- Vancomycine

E- Fosfomycine
Toutes les substances chimiques suivantes sont des antiseptiques, sauf :

A- La solution de dakin

B- L'alcool éthylique

C- Le chlorhodixine

D- Le métronidazole

E- L'alcool iodé
Toutes les substances chimiques suivantes sont des antiseptiques, sauf :

A- La solution de dakin

B- L'alcool éthylique

C- Le chlorhodixine

D- Le métronidazole

E- L'alcool iodé
(Cochez la réponse fausse) Le prélèvement du LCR :

A- Doit être acheminé immédiatement au laboratoire

B- Peut être conservée à 4c

C- Le résultat de son examen cytologique est obtenu dans les 15 mn

D- Peut être ensemencé au lit du malade

E- Doit être fait avant toute antibiothérapie


(Cochez la réponse fausse) Le prélèvement du LCR :

A- Doit être acheminé immédiatement au laboratoire

B- Peut être conservée à 4c

C- Le résultat de son examen cytologique est obtenu dans les 15 mn

D- Peut être ensemencé au lit du malade

E- Doit être fait avant toute antibiothérapie


• 1. CONDITIONS DE COLLECTE

La ponction lombaire est réalisée après une asepsie rigoureuse de la zone de


ponction
Introduire l’aiguille avec le stylet au niveau de l’interespace L3-L4, L4-L5 ou L5-S1
Quand l’espace sous-arachnoïdien est atteint, retirer le stylet
La quantité moyenne de LCR suffisante pour la majorité des examens à réaliser
est de 3 ml, recueillie dans 3 tubes stériles numérotés 1, 2, 3 servant
respectivement à l’examen biochimique (tube 1, min. 1mL), microbiologique
(tube 2, min. 1 à 2 mL) et cytologique (tube 3, min. 0,5 mL).

Si un seul tube peut être prélevé, la priorité est donnée à la microbiologie ; si


plus d’un tube est disponible, la microbiologie doit recevoir le 2ème tube)
• 2. TRANSPORT ET CONSERVATION

Le prélèvement doit être acheminé immédiatement au laboratoire, en


main propre (pas par le télétube).
Si l'acheminement doit être postposé (max. 2h), conserver le LCR à T°
ambiante ou à 35 ± 1°C (jamais au frigo !)
(Cochez la réponse fausse) Les différentes méthodes de stérilisation sont :

A- Chaleur séche au poupinel

B- Chaleur humide en autoclave

C- Désinfection

D- Filtration

E- Radiations
(Cochez la réponse fausse) Les différentes méthodes de stérilisation sont :

A- Chaleur séche au poupinel

B- Chaleur humide en autoclave

C- Désinfection

D- Filtration

E- Radiations
Les germes des infections nosocomiales se transmettent le plus souvent :

A- Par voie aéroportée

B- Par voie manu-portée

C- Par l'intermédiaire des aliments contaminés

D- Par l'Intermédiaire de l'eau contaminée

E- Par les instruments mal stérilisés


Les germes des infections nosocomiales se transmettent le plus souvent :

A- Par voie aéroportée

B- Par voie manu-portée

C- Par l'intermédiaire des aliments contaminés

D- Par l'Intermédiaire de l'eau contaminée

E- Par les instruments mal stérilisés


Un bon prélèvement bactériologique est conditionné par les éléments
suivants, sauf un. Lequel ?

A- Nécessite une asepsie rigoureuse

B- Doit se faire avant toute antibiothérapie

C- Doit s'accompagner d'une fiche de renseignement clinique

D- Peut être conservé plusieurs jours en température ambiante

E- Doit s'acheminer le plutôt possible au laboratoire


Un bon prélèvement bactériologique est conditionné par les éléments
suivants, sauf un. Lequel ?

A- Nécessite une asepsie rigoureuse

B- Doit se faire avant toute antibiothérapie

C- Doit s'accompagner d'une fiche de renseignement clinique

D- Peut être conservé plusieurs jours en température ambiante

E- Doit s'acheminer le plutôt possible au laboratoire


(Cochez la réponse fausse) Un antibiotique :

A- Est une substance antimicrobienne

B- On le classe en familles

C- Il est défini par un spectre d'activité

D- L'efficacité ne peut être appréciée que par des tests in-vivo

E- Le mécanisme d'action est bien déterminé


(Cochez la réponse fausse) Un antibiotique :

A- Est une substance antimicrobienne

B- On le classe en familles

C- Il est défini par un spectre d'activité

D- L'efficacité ne peut être appréciée que par des tests in-vivo

E- Le mécanisme d'action est bien déterminé


(Cochez la réponse juste) L'avantage du milieu diphasique, lorsqu'on pratique
une hémoculture, est le suivant :

A- Une plus grande richesse du milieu en acides aminés

B- Une atmosphère pauvre en oxygène

C- Une incubation plus courte

D- La possibilité de se limiter à un seul flacon d'hémoculture

E- La présence d'une couche de gélose pour visualiser les colonies


(Cochez la réponse juste) L'avantage du milieu diphasique, lorsqu'on pratique
une hémoculture, est le suivant :

A- Une plus grande richesse du milieu en acides aminés

B- Une atmosphère pauvre en oxygène

C- Une incubation plus courte

D- La possibilité de se limiter à un seul flacon d'hémoculture

E- La présence d'une couche de gélose pour visualiser les colonies


Le mécanisme d'action des béta-lactamines est :

A- Inhibition de la réplication de l'ADN bactérien

B- Inhibition de la transcription de l'ADN bactérien

C- Désorganisation moléculaire de la membrane plasmique bactérienne

D- Inhibition de la synthèse du peptidoglycane

E- Inhibition de la synthèse protéique


Le mécanisme d'action des béta-lactamines est :

A- Inhibition de la réplication de l'ADN bactérien

B- Inhibition de la transcription de l'ADN bactérien

C- Désorganisation moléculaire de la membrane plasmique bactérienne

D- Inhibition de la synthèse du peptidoglycane

E- Inhibition de la synthèse protéique


Ce sont des analogues structuraux de substrats des enzymes
synthétisant le peptidoglycane.

Ces enzymes sont appelés « Protéines Liant les Pénicillines » ou PLP,


localisé dans l’espace périplasmique.

Les β-lactamines se fixent aux PLP => Blocage de la réaction de


transpeptidation => inhibition de la synthèse des ponts
interpeptidiques.
La concentration minimale inhibitrice (CMI) d'un antibiotique vis à vis d'une
souche bactrienne donnée est :

A- Le nombre de bactéries survivantes après contact avec l'antibiotique

B- La plus faible concentration d'antibiotique inhibant la croissance bactrienne


visible

C- Le diamètre de la zone d'inhibition autour d'un disque imprégné


d’antibiotique

D- Le pouvoir bactéricide du sérum

E- La dose journalière à prescrire pour atteindre le seuil thérapeutique


La concentration minimale inhibitrice (CMI) d'un antibiotique vis à vis d'une
souche bactrienne donnée est :

A- Le nombre de bactéries survivantes après contact avec l'antibiotique

B- La plus faible concentration d'antibiotique inhibant la croissance bactrienne


visible

C- Le diamètre de la zone d'inhibition autour d'un disque imprégné


d’antibiotique

D- Le pouvoir bactéricide du sérum

E- La dose journalière à prescrire pour atteindre le seuil thérapeutique


CMI : concentration minimale inhibitrice : C’est la plus faible
concentration d’antibiotique pour la quelle il n’y a pas de croissance
visible à l’oeil de la souche bactérienne à étudier.
CMB : concentration minimale bactéricide

C’est la plus faible concentration d’antibiotique qui ne laisse pas de


bactéries vivantes.

Expérimentalement, elle correspond à la concentration d’antibiotique


qui laisse subsister moins de 0.01% de survivants dans l’inoculum
initial.
En attendant de le faire parvenir au laboratoire, lequel de ces
prélèvements garderiez-vous en étuve à 37 C ?

A- Prélèvement d'urine

B- Prélèvement de selles

C- Hémocultures

D- Pus d'abcès fistulisé

E- Prélèvement biopsique
En attendant de le faire parvenir au laboratoire, lequel de ces
prélèvements garderiez-vous en étuve à 37 C ?

A- Prélèvement d'urine

B- Prélèvement de selles

C- Hémocultures

D- Pus d'abcès fistulisé

E- Prélèvement biopsique
En Algérie, la majorité des souches de staphylocoque aureus présentent
une résistance naturelle à :

A- Streptomycine

B- Erythromycine

C- Pénicilline

D- Oxacilline

E- Pristinamycine
En Algérie, la majorité des souches de staphylocoque aureus présentent
une résistance naturelle à :

A- Streptomycine

B- Erythromycine

C- Pénicilline

D- Oxacilline

E- Pristinamycine
Un malade présente un tableau infectieux avec fièvre et altération de l'tat
général. Vous décidez de pratiquer chez lui des hémocultures selon l'un des
protocoles suivants :

A- Un seul flacon le matin à jeune

B- 3 à 4 flacons au moment des pics fébriles et avant antibiothérapie

C- Un flacon toutes les 3 heures

D- Un flacon toutes les 6 heures aprés antibiothérapie

E- 4 flacons toutes les heures.


Un malade présente un tableau infectieux avec fièvre et altération de l'tat
général. Vous décidez de pratiquer chez lui des hémocultures selon l'un des
protocoles suivants :

A- Un seul flacon le matin à jeune

B- 3 à 4 flacons au moment des pics fébriles et avant antibiothérapie

C- Un flacon toutes les 3 heures

D- Un flacon toutes les 6 heures aprés antibiothérapie

E- 4 flacons toutes les heures.


Les bactéries Auxotrophes :

A- Sont Capables de cultiver sur milieu synthétique simple

B- Incapables de synthétiser leurs constituants sans apports extérieurs en


facteur de croissance

C- N’ont aucun besoin en facteur de croissance.

D- Ont un taux de croissance très bas

E- Toutes ces réponses sont justes.


Les bactéries Auxotrophes :

A- Sont Capables de cultiver sur milieu synthétique simple

B- Incapables de synthétiser leurs constituants sans apports extérieurs en


facteur de croissance

C- N’ont aucun besoin en facteur de croissance.

D- Ont un taux de croissance très bas

E- Toutes ces réponses sont justes.


Besoins en carbone
2 types de bactéries :

AUTOTROPHE : C provient du CO2

HETEROTROPHE : C provient d’un composé organique


Besoins énérgitiques
Soit l'énergie lumineuse (bactéries Phototrophes),

Soit l'énergie fournie par les processus d'oxydo-réduction (bactéries


Chimiotrophes).
Besoins specifiques :
• Bactéries Auxotrophes (Exigeantes ) .

• Bactéries Prototrophes (non exigeantes).

• Exemples :

• E.Coli : n'exige aucun facteur de croissance, se multiplie sur milieu


minimum.

• Haemophilus influenzae : bactérie auxotrophe. exige facteur V (coenzyme I


et II) et facteur X (Hémine).
Un Germe Commensal Est :

A- Toujours aérobie strict.

B- Psychrophile.

C- Toujours à Gram positif.

D- Une bactérie productrice d’anatoxine

E- Aucune réponse n’est juste


Un Germe Commensal Est :

A- Toujours aérobie strict.

B- Psychrophile.

C- Toujours à Gram positif.

D- Une bactérie productrice d’anatoxine

E- Aucune réponse n’est juste


Réponse fausse, l’étude de la croissance bactérienne permet :

A- L’élaboration de milieux de culture pour les bactéries

B- L’identification des bactéries selon leurs exigences nutritives.

C- Le suivi de l’activité bactéricide des antibiotiques.

D- Le dosage microbiologique des vitamines

E- La surveillance du traitement antibiotique.


Réponse fausse, l’étude de la croissance bactérienne permet :

A- L’élaboration de milieux de culture pour les bactéries

B- L’identification des bactéries selon leurs exigences nutritives.

C- Le suivi de l’activité bactéricide des antibiotiques.

D- Le dosage microbiologique des vitamines

E- La surveillance du traitement antibiotique.

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