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DCF - DCInd Sommaire

Mise à jour :
29 novembre 2002

Révision :
1.1

Dictionnaire des
Nouvelles Technologies
de l'Information et de la
Communication

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 1 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
1 Sommaire
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1 Sommaire 2
2 A propos de ce document 3
3 Révisions 4
4 ActiveX 5
5 ADSL 6
6 Applet 7
7 ARP 8
8 ARPA 9
9 Arpanet 10
10 BBN 11
11 BootP 12
12 Client 13
13 DARPA 14
14 Datagramme 15
15 DHCP 16
16 EGP 17
17 FTP 18
18 ICMP 19
19 Internet 20
20 IP 21
21 Java 22
22 MIB 23
23 Ping 24
24 SNMP 25
25 Telnet 26
26 TCP 27
27 TFTP 28
28 UDP 29

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 2 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
2 A propos de ce document
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Ce document a pour vocation à donner des définitions simples concernant le vocabulaire


utilisé autours des NTIC (Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication)
afin d’en faciliter la compréhension.

Lorsqu’un terme est en caractère gras, italique et souligné (terme) cela signifie que celui-ci
est expliqué dans le document (ou une version à venir).

Pour certaines rubriques, il existe deux niveaux de lecture :

! : découverte rapide

! : informations complémentaires

Nous vous remercions d’adresser vos commentaires et ou remarques concernant ce


document à l’adresse email suivante :

eric_nonnon@mail.schneider.fr

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 3 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
3 Révisions
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Rév. Département Nom Désignation Date


1.0 DCF/DCInd/Gérance d’offre Eric NONNON Création 29/11/2002

1.1 DCF/DCInd/Gérance d’offre Eric NONNON Complément UDP 03/12/2002

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 4 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
4 ActiveX
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Technologie Microsoft.

Un ActiveX peut être assimilé à un bloc fonction orienté informatique (équivalent aux DFB
automate). Un ActiveX est une représentation graphique et souvent paramétrable d’une
fonction particulière.
Les ActiveX sont des "composants" qui peuvent être utilisés dans tous les langages
"modernes". Ils peuvent en particulier être utilisés par un container ActiveX ou à l'intérieur
de pages HTML.

C'est sur les composants OLE ou OCX basés entre autres sur les extensions VBX de Visual
basic qu'est bâtie la technologie ActiveX introduite début 1996 par Microsoft et qui
constitue le cœur de sa stratégie Internet.

Dans la terminologie ActiveX, on ne parle plus d'application mais de document.


Un document est un réceptacle à contrôles ActiveX.
Un contrôle ActiveX est un élément logiciel distinct qui respecte le modèle COM. Un
contrôle peut communiquer avec le document qui le contient de façon bidirectionnelle.

ActiveX a été spécialement conçu pour fonctionner dans un environnement World Wide
Web, grâce notamment à Microsoft Internet Explorer (MSIE) qui est un des navigateurs à
pouvoir recevoir des contrôles ActiveX.

Ces contrôles sont intégrés dans une page web grâce à une balise HTML dédiée. Un langage
de type script, appelé VB SCRIPT, permet d'agir sur un contrôle ActiveX.

Il est important de noter que, même si un développeur peut créer ses propres contrôles
ActiveX, il est tout à fait possible de réutiliser des contrôles existants afin de les intégrer
et en modifier le comportement via un script VB SCRIPT.

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 5 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
5 ADSL
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L’ADSL (Asymetric Digital Subscriber Line) est apparue il y a quelques années (même si
l'offre grand public n'est lancée que depuis 2000 environ) et permet de faire transiter sur
une ligne téléphonique des données tout en laissant celle-ci disponible.

La technologie ADSL n’est, à ce jour, disponible qu’au travers d’un fournisseur d’accès
Internet auprès duquel il faut souscrire un abonnement et qui permet de se connecter à
Internet.

Toutes les lignes ADSL sont centralisées sur un point central appelé DSLAM (Digital
Subscriber Line Access Multiplexer) où arrive toutes les lignes des abonnés ADSL d’une
zone géographique. Son but est d'intercepter tous les flux de données des abonnés afin de
les faire transiter un fournisseur d’accès Internet puis Internet et inversement. Il se situe
juste à côté du central téléphonique.

Les DSLAM sont ensuite réunies par « paquet » (une dizaine environ) sur un BAS (Broadband
Access Server ). C'est lui qui sert de point central par où transitent toutes les données. Il y
en a un (voir plusieurs) pour chaque zones géographiques (également appelées plaques).

Pour connaître le BAS dont on dépend, il suffit d’ouvrir une invite de commande DOS et de
taper : "tracert www.wanadoo.fr" (exemple). La deuxième ligne qui apparaîtra sera le BAS
suivi de son numéro. Cette information est disponible à condition que les firewall traversés
l’autorisent.

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 6 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
6 Applet
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Un Applet peut être assimilé à un bloc fonction orienté informatique (équivalent aux DFB
automate). Un Applet est une représentation graphique et souvent paramétrable d’une
fonction particulière.

Applet : Application écrite en Java,


! dont l’appel est inséré dans le script HTML d’une page Web
! téléchargé en local par le WEB
! exécuté par un navigateur Internet à l’intérieur d’une page Web

Intérêt des Applets :


! Les Applets sont l’une des solutions permettant de créer des pages WEB dynamiques
et interactives (autres solutions : Plug-ins, ActiveX).
! Leur code est indépendant des différents systèmes d’exploitation

Inconvénients des Applets :


Temps de chargement de l’Applet au travers d’Internet

L’exécution d’un Applet nécessite une machine vituelle Java (JVM) généralement incorporée
dans la plupart des navigateurs Internet.

Il existe un document intitulé “Développment Java.doc” disponible sur le serveur DCInd


donnant une trame de méthodologie de dévelopemment des Applications et Applets Java.

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 7 of 29


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7 ARP
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ARP (Address Resolution Protocol) est décrit dans la RFC826.


ARP n'opère que sur un même réseau physique et ne fonctionne qu'avec les réseaux
permettant la diffusion.
Protocole de niveau 2 de la couche OSI, ARP permet de trouver l'adresse physique (adresse
MAC) d'une machine cible en connaissant l'adresse IP de cette dernière.
Les machines utilisant ARP stockent de manière dynamique dans leur mémoire cache
l'association des adresses IP et des adresses physiques fournit par le protocole ARP.
Le stockage des associations d'adresses évite l'encombrement du réseau par des requêtes
ARP.

Cas de l'utilisation du protocole ARP :


! Les programmes d'application utilisent les adresses IP pour indiquer une destination
(indépendance vis à vis du matériel)
! Une machine A désirant échanger des informations avec une machine B doit connaître
son adresse physique

Deux cas
Résolution par correspondance directe
! Dans ce cas l'administrateur a la liberté du choix des adresses physiques et des
adresses IP. Il suffit d'affecter une partie des adresses IP à l'adresse physique
correspondant. (résolution par correspondance dynamique)
! La machine A consulte ces tables des associations des adresses. Si les tables
contiennent l'adresse de B, A ouvre la session.

Dans le cas contraire


! La machine A connaissant l'adresse IP de B diffuse un paquet spécial contenant
l'adresse IP de la machine B et son adresse IP sur le réseau. B reconnait son adresse IP
et renvoie alors son adresse physique directement à A.

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 8 of 29


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8 ARPA
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ARPA (Advanced Research Project Agency), anciennement DARPA, est l'agence


gouvernementale américaine qui a subventionné l'ARPANET puis, plus tard, l'Internet. Le
groupe qui, dans l'ARPA, était responsable de l'ARPANET était l'IPTO (Information
Processing Techniques Office); ce fut ensuite, l'ISTO (Information System Technology
Office).

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 9 of 29


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9 Arpanet
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Arpanet (Advanced Research Project Agency Net) est un réseau grande distance
subventionné par l'ARPA (anciennement DARPA) et réalisé par BBN . Il a constitué, de 1969
à 1990 le support pour les premiers travaux de recherche ainsi que le réseau fédérateur
lors du développement de l'Internet. Le réseau ARPANET comportait des noeuds de
commutation reliés par des lignes spécialisées.

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 10 of 29


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10 BBN
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BBN (Bolt, Beranek et Newman Inc) est la Société de Cambridge Massachusetts responsable
du développement, de l'exploitation, et de la surveillance du réseau ARPANET puis ensuite
du système central de passerelle, du centre d'information et de coordination CSNET (CIC)
et du centre de service réseau NSFNET.
Le BBN a participé aux contrats de recherche DARPA et a beaucoup fait pour TCP/IP et
l'Internet.

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 11 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
11 BootP
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BOOTP (Internet Bootstrap Protocol) est un service statique qui permet de simplifier
l'administration d’un réseau en procurant aux postes de travail et autres périphériques leur
information de configuration de réseau sous profil TCP/IP depuis une base de données
centralisée sur un serveur.

Les paramètres de configuration qu'un client peut obtenir à partir du serveur BOOTP
incluent son adresse IP, masque de sous-réseau, adresse IP du routeur éventuel et DNS du
serveur.

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 12 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
12 Client
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Un programme qui s'exécute devient client lorsqu'il émet une requête (demande) vers un
serveur et qu'il en attend une réponse.

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 13 of 29


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13 DARPA
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DARPA (Defense Advanced Research Project Agency) est l’agence de Défense américaine
pour les projets de recherche avancée, remplacée par l’ARPA. C’est une agence
gouvernementale américaine qui a subventionner la recherche et les expériences sur
ARPANET puis sur l'Internet. Le groupe qui, dans l'ARPA, était responsable de l'ARPANET
était l'IPTO (Information Processing Techniques Office); ce fut ensuite, l'ISTO
(Information System Technology Office).

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 14 of 29


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14 Datagramme
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Unité d'information échangée sur une interconnexion TCP/IP. Un datagramme IP est à


l'interconnexion ce que la trame est au réseau physique.

Il contient une adresse destination, une adresse source et des données.

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 15 of 29


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15 DHCP
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Spécification de l’IETF

Le service DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) fournit une manière simple et rapide
d'automatiser et de contrôler dynamiquement la configuration de réseau des ordinateurs de
bureau et autres dispositifs de réseau qui emploient les protocoles TCP/IP.
Un serveur DHCP tient à jour la liste des équipements disponibles sur le réseau et leur
adresse IP respective associée. C’est le serveur DHCP qui définit et transmet l’adresse IP
correspondante à tout nouvel équipement et permet de rendre l’équipement « Plug and Play »
sur le réseau du point de vue de l’exploitant.

Les spécifications DHCP sont référencées sur les RFC2131 et RFC2132 disponibles sur le
site http://www.rfc-editor.org.

Le protocole DHCP est basé sur BOOTP (RFC951) et maintient le format de base de
message de BOOTP et des agents relais de BOOTP.
Le protocole DHCP partage les ports UDP assignés à BOOTP (port 67 pour le serveur et 68
pour le client). Cette compatibilité avec le BOOTP permet à DHCP d'employer la base
installée des agents relais de BOOTP et évite l’installation d'un serveur DHCP sur chaque
segment de réseau.

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 16 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
16 EGP
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EGP (Exterior Gateway Protocol) est un protocole utilisé par les passerelles externes pour
propager les informations d'accessibilité vers les autres systèmes autonomes. Chaque
système autonome doit utiliser EGP pour communiquer ses informations de routage aux
passerelles du système central.

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 17 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
17 FTP
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FTP (File Transfert Protocol) est un protocole de haut niveau permettant de transférer des
fichiers d'une machine à une autre. FTP, habituellement conçu comme un programme
d'application, utilise les protocoles TELNET et TCP. Côté serveur une identification et un
mot de passe sont exigés avant de satisfaire les demandes.

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 18 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
18 ICMP
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ICMP (Internet Control and error Message Protocol) fait partie intégrante du protocole
Internet. Il permet aux passerelles et aux machines d'une interconnexion de rendre compte
des erreurs et de fournir des informations relatives aux circonstances exceptionnelles
concernant les datagrammes. ICMP inclut un mécanisme de demande et de réponse d'écho
qui permet à une station de tester l'accessibilité et l'activité d'une autre machine.

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 19 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
19 Internet
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Ensemble de réseaux et de passerelles qui utilise la famille des protocoles TCP/IP et


fonctionne comme un réseau virtuel unique et coopérant. L'Internet assure une connectivité
universelle et trois niveaux de service :

! la remise non fiable de datagrammes en mode sans connexion


! le transfert fiable full duplex en mode flot
! les services d'application tels que le courrier électronique qui est bâtit au-dessus des
deux précédents

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 20 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
20 IP
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IP (Internet Protocol) est définit le datagramme comme unité de données échangée sur une
interconnexion et constitue la base du service de remise de paquets non fiable en mode sans
connexion.

ICMP, le protocole Internet de contrôle et d'erreurs, fait partie intégrante d'IP.


L'intégralité de la famille des protocoles est parfois nommée TCP/IP, du nom de ses deux
protocoles principaux.

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 21 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
21 Java
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Technologie Sun.

Java est un langage de programmation qui permet d’écrire de façon simple et claire des
programmes portables sur la majorité des plates-formes.
L’utilisation de Java s’étend de l’animation d’une page HTML par un Applet à des applications
complexes qui fonctionne à travers le réseau Internet.

De plus, nous retrouvons de plus en plus fréquemment le langage Java dans les systèmes
embarqués.

Il existe un document intitulé “Développment Java.doc” disponible sur le serveur DCInd


donnant une trame de méthodologie de dévelopemment des Applications et Applets Java.

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 22 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
22 MIB
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Une MIB (Management Information Base) est une arborescence d’informations structurées
classées en huit grandes catégories permettant à un constructeur de définir précisément
ses propres informations en terme de communication.
La MIB II est définie dans la RFC1213

Ces catégories sont :

! Système : Système d’exploitation de l’équipement


! Interfaces : Chaque interface réseau
! Traduction d’adresses : Par exemple ARP …
! IP : Le protocole Internet
! ICMP : Le protocole de message de contrôle
! TCP : Le protocole de transport
! UDP : Le protocole de datagramme utilisateur
! EGP : Le protocole de passerelle extérieur

NT serveur fournit les MIB suivantes :

! MIB II : 171 vars de base de gestion du réseau


! Lan Manager MIB II : ~ 90 vars indiquant le nombre de sessions, de partage, …
! DHCP MIB : ~ 14 vars permettant de suivre l’activité d’un serveur DHCP
! WINS MIB : ~ 70 vars permettant de suivre l’activité d’un serveur DHCP

Les MIB DHCP et WINS sont fournies sous la forme de deux DLL : DHCPMIB.DLL et
WINSMIB.DLL

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 23 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
23 Ping
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Ping (Packet Internet Groper).

C'est le temps mis par un équipement pour répondre à la demande qui lui est faite par un
autre équipement.

Aussi, si on vous dit que votre ping est de 50 ms, cela signifie que l’équipement auquel vous
vous adressez ne met que 5 ms pour vous répondre (ce qui est très bien). Par contre, si le
ping est de 500 ms, cela signifie qu'il faut une demi seconde à l’équipement pour répondre à
chacune des demandes que vous lui soumettez.

Nom du programme utilisé dans les interconnexions TCP/IP pour tester l'accessibilité des
destinations en leur envoyant une commande d'écho ICMP et en attendant une réponse. Ce
nom est maintenant utilisé en tant que verbe comme, par exemple, dans « peux-tu pinger
cette machine pour voir si elle est active? ».

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 24 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
24 SNMP
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Ne veut pas dire « Syndicat National des Moniteurs de Plongée » (même si ce noble syndicat
existe !).

Le protocole SNMP (Simple Network Management Protocol) est défini dans la RFC1157. Ce
protocole de la famille TCP/IP n’offre pas de services d’applications mais permet aux
administrateurs de réseaux de disposer d’outils de surveillance et de contrôle pour déceler
toute tentative de viol des protocoles normalisés.
SNMP est livré en standard avec le système d’exploitation Windows NT.

Basé sur le principe d’agents répartis dans les différents composants, routeurs, carte
réseau, hubs, …, il permet à ceux-ci de :

! Gérer une base d’information arborescente appelée MIB.


! D’accepter des requêtes de lecture ou d’écriture dans ces MIB, par réception d’ordres
Get, Get-next ou Set, en provenance d’outils de surveillance.
! D’envoyer des signaux (Trap) en fonction d’évènements très particuliers, aux logiciels de
surveillance, notamment ceux concernant les aspects de sécurité.

L’installation du service SNMP permet, en outre, de disposer de compteurs d’activité


supplémentaires dans l’analyseur de performance, concernant TCP et UDP.

De nombreux outils de surveillance existent sur le marché tels que Openview et Netview.

Un agent SNMP ne peut que répondre aux demandes effectuées par l’agent de surveillance
qui va lui transmettre les ordres de lecture (Get, Get-next) et d’écriture (Set). Il peut
prendre d’initiative que dans le cadre d’une interruption Trap qu’il va émettre pour signaler
un événement exceptionnel.

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 25 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
25 Telnet
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Prototocole TCP/IP normalisé assurant le service de connexion à distance. TELNET permet à


un utilisateur de communiquer avec le système à temps partagé d'une autre machine comme
si le terminal de l'utilisateur était directement relié à la machine distante. L'utilisateur
invoque un programme d'application TELNET, lequel établit une connexion avec la machine
distante, demande l'identité et le mot de passe de l'utilisateur puis transmet les caractères
émis par le terminal de l'utilisateur jusqu'à la machine distante et affiche les messages du
serveur distant sur l'écran de l'utilisateur.

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 26 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
26 TCP
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Protocole de contrôle de transmission. Le protocole TCP/IP de niveau transport normalisé


assure un transfert de flot fiable, full duplex, de bout en bout, en mode connecté. De
nombreux protocoles d'application l'utilisent.

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 27 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
27 TFTP
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TFTP (Trivial File Transfert Protocol) est un protocole de transfert de fichiers TCP/IP
normalisé qui assure des services de base à des coûts minimum. TFTP n'utilise que les
services de remise non fiable de datagramme (UDP). Il peut donc être utilisé sur des
stations sans disque qui, disposant de ce programme en ROM l'utilisent pour leur démarrage.

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 28 of 29


DCF - DCInd - Eric Nonnon
28 UDP
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Le protocole UDP (User Datagram Protocol) est un protocole non orienté connexion de la
couche transport du modèle TCP/IP. Ce protocole est très simple étant donné qu'il ne
fournit pas de contrôle d'erreurs (il n'est pas orienté connexion...) à l’inverse de TCP.

Le protocole UDP permet au programme d'application d'une machine d'envoyer un


datagramme au programme d'application d'une autre machine.

UDP utilise IP pour émettre ses datagrammes. Du point de vu conceptuel, la différence


importante qui distingue UDP d'IP est qu'UDP comporte un numéro de port qui permet à
l'émetteur de différencier plusieurs destinations (applications) sur une même machine
distante.

Schneider Electric Dictionnaire NTIC 29 of 29


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