Documente Academic
Documente Profesional
Documente Cultură
Mise à jour :
29 novembre 2002
Révision :
1.1
Dictionnaire des
Nouvelles Technologies
de l'Information et de la
Communication
1 Sommaire 2
2 A propos de ce document 3
3 Révisions 4
4 ActiveX 5
5 ADSL 6
6 Applet 7
7 ARP 8
8 ARPA 9
9 Arpanet 10
10 BBN 11
11 BootP 12
12 Client 13
13 DARPA 14
14 Datagramme 15
15 DHCP 16
16 EGP 17
17 FTP 18
18 ICMP 19
19 Internet 20
20 IP 21
21 Java 22
22 MIB 23
23 Ping 24
24 SNMP 25
25 Telnet 26
26 TCP 27
27 TFTP 28
28 UDP 29
Lorsqu’un terme est en caractère gras, italique et souligné (terme) cela signifie que celui-ci
est expliqué dans le document (ou une version à venir).
! : découverte rapide
! : informations complémentaires
eric_nonnon@mail.schneider.fr
Technologie Microsoft.
Un ActiveX peut être assimilé à un bloc fonction orienté informatique (équivalent aux DFB
automate). Un ActiveX est une représentation graphique et souvent paramétrable d’une
fonction particulière.
Les ActiveX sont des "composants" qui peuvent être utilisés dans tous les langages
"modernes". Ils peuvent en particulier être utilisés par un container ActiveX ou à l'intérieur
de pages HTML.
C'est sur les composants OLE ou OCX basés entre autres sur les extensions VBX de Visual
basic qu'est bâtie la technologie ActiveX introduite début 1996 par Microsoft et qui
constitue le cœur de sa stratégie Internet.
ActiveX a été spécialement conçu pour fonctionner dans un environnement World Wide
Web, grâce notamment à Microsoft Internet Explorer (MSIE) qui est un des navigateurs à
pouvoir recevoir des contrôles ActiveX.
Ces contrôles sont intégrés dans une page web grâce à une balise HTML dédiée. Un langage
de type script, appelé VB SCRIPT, permet d'agir sur un contrôle ActiveX.
Il est important de noter que, même si un développeur peut créer ses propres contrôles
ActiveX, il est tout à fait possible de réutiliser des contrôles existants afin de les intégrer
et en modifier le comportement via un script VB SCRIPT.
L’ADSL (Asymetric Digital Subscriber Line) est apparue il y a quelques années (même si
l'offre grand public n'est lancée que depuis 2000 environ) et permet de faire transiter sur
une ligne téléphonique des données tout en laissant celle-ci disponible.
La technologie ADSL n’est, à ce jour, disponible qu’au travers d’un fournisseur d’accès
Internet auprès duquel il faut souscrire un abonnement et qui permet de se connecter à
Internet.
Toutes les lignes ADSL sont centralisées sur un point central appelé DSLAM (Digital
Subscriber Line Access Multiplexer) où arrive toutes les lignes des abonnés ADSL d’une
zone géographique. Son but est d'intercepter tous les flux de données des abonnés afin de
les faire transiter un fournisseur d’accès Internet puis Internet et inversement. Il se situe
juste à côté du central téléphonique.
Les DSLAM sont ensuite réunies par « paquet » (une dizaine environ) sur un BAS (Broadband
Access Server ). C'est lui qui sert de point central par où transitent toutes les données. Il y
en a un (voir plusieurs) pour chaque zones géographiques (également appelées plaques).
Pour connaître le BAS dont on dépend, il suffit d’ouvrir une invite de commande DOS et de
taper : "tracert www.wanadoo.fr" (exemple). La deuxième ligne qui apparaîtra sera le BAS
suivi de son numéro. Cette information est disponible à condition que les firewall traversés
l’autorisent.
Un Applet peut être assimilé à un bloc fonction orienté informatique (équivalent aux DFB
automate). Un Applet est une représentation graphique et souvent paramétrable d’une
fonction particulière.
L’exécution d’un Applet nécessite une machine vituelle Java (JVM) généralement incorporée
dans la plupart des navigateurs Internet.
Deux cas
Résolution par correspondance directe
! Dans ce cas l'administrateur a la liberté du choix des adresses physiques et des
adresses IP. Il suffit d'affecter une partie des adresses IP à l'adresse physique
correspondant. (résolution par correspondance dynamique)
! La machine A consulte ces tables des associations des adresses. Si les tables
contiennent l'adresse de B, A ouvre la session.
Arpanet (Advanced Research Project Agency Net) est un réseau grande distance
subventionné par l'ARPA (anciennement DARPA) et réalisé par BBN . Il a constitué, de 1969
à 1990 le support pour les premiers travaux de recherche ainsi que le réseau fédérateur
lors du développement de l'Internet. Le réseau ARPANET comportait des noeuds de
commutation reliés par des lignes spécialisées.
BBN (Bolt, Beranek et Newman Inc) est la Société de Cambridge Massachusetts responsable
du développement, de l'exploitation, et de la surveillance du réseau ARPANET puis ensuite
du système central de passerelle, du centre d'information et de coordination CSNET (CIC)
et du centre de service réseau NSFNET.
Le BBN a participé aux contrats de recherche DARPA et a beaucoup fait pour TCP/IP et
l'Internet.
BOOTP (Internet Bootstrap Protocol) est un service statique qui permet de simplifier
l'administration d’un réseau en procurant aux postes de travail et autres périphériques leur
information de configuration de réseau sous profil TCP/IP depuis une base de données
centralisée sur un serveur.
Les paramètres de configuration qu'un client peut obtenir à partir du serveur BOOTP
incluent son adresse IP, masque de sous-réseau, adresse IP du routeur éventuel et DNS du
serveur.
Un programme qui s'exécute devient client lorsqu'il émet une requête (demande) vers un
serveur et qu'il en attend une réponse.
DARPA (Defense Advanced Research Project Agency) est l’agence de Défense américaine
pour les projets de recherche avancée, remplacée par l’ARPA. C’est une agence
gouvernementale américaine qui a subventionner la recherche et les expériences sur
ARPANET puis sur l'Internet. Le groupe qui, dans l'ARPA, était responsable de l'ARPANET
était l'IPTO (Information Processing Techniques Office); ce fut ensuite, l'ISTO
(Information System Technology Office).
Le service DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) fournit une manière simple et rapide
d'automatiser et de contrôler dynamiquement la configuration de réseau des ordinateurs de
bureau et autres dispositifs de réseau qui emploient les protocoles TCP/IP.
Un serveur DHCP tient à jour la liste des équipements disponibles sur le réseau et leur
adresse IP respective associée. C’est le serveur DHCP qui définit et transmet l’adresse IP
correspondante à tout nouvel équipement et permet de rendre l’équipement « Plug and Play »
sur le réseau du point de vue de l’exploitant.
Les spécifications DHCP sont référencées sur les RFC2131 et RFC2132 disponibles sur le
site http://www.rfc-editor.org.
Le protocole DHCP est basé sur BOOTP (RFC951) et maintient le format de base de
message de BOOTP et des agents relais de BOOTP.
Le protocole DHCP partage les ports UDP assignés à BOOTP (port 67 pour le serveur et 68
pour le client). Cette compatibilité avec le BOOTP permet à DHCP d'employer la base
installée des agents relais de BOOTP et évite l’installation d'un serveur DHCP sur chaque
segment de réseau.
EGP (Exterior Gateway Protocol) est un protocole utilisé par les passerelles externes pour
propager les informations d'accessibilité vers les autres systèmes autonomes. Chaque
système autonome doit utiliser EGP pour communiquer ses informations de routage aux
passerelles du système central.
FTP (File Transfert Protocol) est un protocole de haut niveau permettant de transférer des
fichiers d'une machine à une autre. FTP, habituellement conçu comme un programme
d'application, utilise les protocoles TELNET et TCP. Côté serveur une identification et un
mot de passe sont exigés avant de satisfaire les demandes.
ICMP (Internet Control and error Message Protocol) fait partie intégrante du protocole
Internet. Il permet aux passerelles et aux machines d'une interconnexion de rendre compte
des erreurs et de fournir des informations relatives aux circonstances exceptionnelles
concernant les datagrammes. ICMP inclut un mécanisme de demande et de réponse d'écho
qui permet à une station de tester l'accessibilité et l'activité d'une autre machine.
IP (Internet Protocol) est définit le datagramme comme unité de données échangée sur une
interconnexion et constitue la base du service de remise de paquets non fiable en mode sans
connexion.
Technologie Sun.
Java est un langage de programmation qui permet d’écrire de façon simple et claire des
programmes portables sur la majorité des plates-formes.
L’utilisation de Java s’étend de l’animation d’une page HTML par un Applet à des applications
complexes qui fonctionne à travers le réseau Internet.
De plus, nous retrouvons de plus en plus fréquemment le langage Java dans les systèmes
embarqués.
Une MIB (Management Information Base) est une arborescence d’informations structurées
classées en huit grandes catégories permettant à un constructeur de définir précisément
ses propres informations en terme de communication.
La MIB II est définie dans la RFC1213
Les MIB DHCP et WINS sont fournies sous la forme de deux DLL : DHCPMIB.DLL et
WINSMIB.DLL
C'est le temps mis par un équipement pour répondre à la demande qui lui est faite par un
autre équipement.
Aussi, si on vous dit que votre ping est de 50 ms, cela signifie que l’équipement auquel vous
vous adressez ne met que 5 ms pour vous répondre (ce qui est très bien). Par contre, si le
ping est de 500 ms, cela signifie qu'il faut une demi seconde à l’équipement pour répondre à
chacune des demandes que vous lui soumettez.
Nom du programme utilisé dans les interconnexions TCP/IP pour tester l'accessibilité des
destinations en leur envoyant une commande d'écho ICMP et en attendant une réponse. Ce
nom est maintenant utilisé en tant que verbe comme, par exemple, dans « peux-tu pinger
cette machine pour voir si elle est active? ».
Ne veut pas dire « Syndicat National des Moniteurs de Plongée » (même si ce noble syndicat
existe !).
Le protocole SNMP (Simple Network Management Protocol) est défini dans la RFC1157. Ce
protocole de la famille TCP/IP n’offre pas de services d’applications mais permet aux
administrateurs de réseaux de disposer d’outils de surveillance et de contrôle pour déceler
toute tentative de viol des protocoles normalisés.
SNMP est livré en standard avec le système d’exploitation Windows NT.
Basé sur le principe d’agents répartis dans les différents composants, routeurs, carte
réseau, hubs, …, il permet à ceux-ci de :
De nombreux outils de surveillance existent sur le marché tels que Openview et Netview.
Un agent SNMP ne peut que répondre aux demandes effectuées par l’agent de surveillance
qui va lui transmettre les ordres de lecture (Get, Get-next) et d’écriture (Set). Il peut
prendre d’initiative que dans le cadre d’une interruption Trap qu’il va émettre pour signaler
un événement exceptionnel.
TFTP (Trivial File Transfert Protocol) est un protocole de transfert de fichiers TCP/IP
normalisé qui assure des services de base à des coûts minimum. TFTP n'utilise que les
services de remise non fiable de datagramme (UDP). Il peut donc être utilisé sur des
stations sans disque qui, disposant de ce programme en ROM l'utilisent pour leur démarrage.
Le protocole UDP (User Datagram Protocol) est un protocole non orienté connexion de la
couche transport du modèle TCP/IP. Ce protocole est très simple étant donné qu'il ne
fournit pas de contrôle d'erreurs (il n'est pas orienté connexion...) à l’inverse de TCP.