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Un séisme (ou tremblement de terre) correspond à une fracturation (processus tectonique

aboutissant à la formation de fractures des roches en profondeur), le long d’une faille généralement
préexistante. Cette rupture s’accompagne d’une libération soudaine d’une grande quantité d’énergie
et se traduit en surface par des vibrations plus ou moins importantes du sol. Les vibrations du sol
peuvent induire des mouvements de terrain ou la liquéfaction des sols et provoquer également des
tsunamis si leur origine est sous-marine.

l y a 2 phénomènes:
- les sols "mous" absorbent plus les hautes fréquences que les basses fréquences (faible facteur de
qualité),
- les couches superficielles "molles" sont des résonnateurs qui piègent les ondes sismiques et se
comportent comme un résonnateur équivalent d'un filtre passe-bande amplifiant les ondes à la
fréquence de résonnance (en general une "basse fréquence" du spectre sismique quand on compare
au site au rocher).

La magnitude d’un séisme ne doit pas être confondue avec son intensité macrosismique.
Alors que la magnitude est une grandeur intrinsèque uniquement liée à la taille du séisme,
l’intensité décrit localement les effets en surface, notamment les dommages aux constructions.
Elle se mesure en un point précis , et se décline grâce à une échelle bornée graduée de I à XII
(en chiffres romains). La distinction est fondamentale : un séisme de grande magnitude pourra
avoir une intensité faible, par exemple s’il est profond ; au contraire, un séisme de magnitude
relativement restreinte pourra avoir localement des effets importants en surface (phénomènes
locaux d’amplification), et donc présenter localement une intensité élevée. En général, on
décrit un séisme par son intensité maximale.

Attention aux confusions

Une confusion est souvent faite entre la magnitude et l’intensité d’un séisme.

 La magnitude est une mesure de la taille d’un séisme, c’est-à-dire de l’énergie libérée
lors de ce séisme. Elle dépend essentiellement des dimensions de la surface de rupture
du séisme, et de la longueur du glissement sur le plan de faille.

 L’intensité est une estimation des effets en surface du séisme. Sur le croquis ci-
dessus, on voit bien qu’un séisme de forte magnitude (à gauche) peut commettre
moins de dégâts qu’un séisme de magnitude moindre (à droite), par exemple s’il est
très profond.

Une erreur fréquente


UN SÉISME DE DEGRÉ 8,2 SUR L’ÉCHELLE DE RICHTER QUI EN COMPTE 10″

1. le degré d’un séisme n’existe pas. On parle soit de magnitude, soit d’intensité.
2. l’échelle de Richter n’est plus valable pour les très gros séismes ; en pratique, une
magnitude donnée comme supérieure à 6 par les sismologues ne peut pas être une
magnitude de Richter – c’est probablement une magnitude d’ondes de volume,
d’ondes de surface ou d’énergie.
3. les échelles de magnitude ne sont pas bornées ; on peut simplement estimer que la
magnitude d’énergie maximale envisageable est de l’ordre de 10. Quant à l’échelle
d’intensité macrosismique, elle est, elle, bornée et graduée de I à XII.

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