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"la responsabilité civile"

La responsabilité civile est l'obligation de réparer le dommage que l'on a causé à autrui. Elle est
contractuelle lorsque le dommage résulte de l'inexécution d'un contrat, délictuelle, lorsqu'elle n'est
régie par aucun contrat. L'action en responsabilité appartient à la victime du dommage. Les tribunaux
compétents sont en principe les tribunaux civils.
Pour obtenir réparation, la victime doit apporter la preuve d'une faute, d'un dommage et d'un lien de
causalité entre les deux précédentes conditions. Une personne peut toutefois s'exonérer de sa
responsabilité en démontrant que le dommage provient d'un cas de force majeure ou du fait même de
la victime ou d'un tiers.
Le dommage peut être réparé par équivalent (dommages-intérêts) ou en nature (en cas, par exemple,
de diffamation par voie de presse, le magistrat peut ordonner la publication de sa décision dans les
journaux). La réparation doit, en principe, être intégrale.
A contrario, la responsabilité pénale renvoie à la punition ou à l'amendement de l'individu qui commet
une infraction (contravention, délit, crime).
Les principes stricts du droit pénal s'appliquent et peuvent aboutir à la condamnation de l'auteur de
l'infraction à une peine (amende, emprisonnement, etc.). Cette dernière doit être clairement distinguée
de la réparation obtenue par les victimes de dommages (dommages-intérêts, mesure de publication de
la décision du juge, etc.).
Seuls les tribunaux pénaux sont compétents et l'action appartient au Ministère public, représentant des
intérêts de la société.
Après avoir mis en exergue les conditions des responsabilités civile et pénale, on en examinera les
conséquences.

1. Responsabilités Civile et Pénale

Les conditions de la Responsabilité Civile


Selon l’article 1er du DOC, Dahir des Obligations et Contrats, les obligations dérivent des
conventions et autres déclarations de volonté, des quasi-contrats, des délits et des quasi-délits.
Contrairement aux conventions et autres déclarations de volonté, les quasi-contrats, les délits et les
quasi-délits constituent des sources involontaires d’obligations ; il s’agit des faits juridiques en
opposition aux actes juridiques. Le délit est un fait illicite et volontaire causant un dommage à autrui.
La réalisation du dommage a été voulue, intentionnelle mais sa conséquence (l’obligation de réparer le
dommage) n’a pas été recherchée.
Le fait juridique est par conséquent un événement volontaire (délit) ou involontaire (quasi-délit)
susceptible de produire des effets de droit sans que ces effets aient été spécialement recherchés et
voulues par les parties.
Certains faits juridiques sont dommageables, dans ce cas il s’agit de réparer le préjudice causé à
tort. D’autres faits juridiques sont profitables, il s’agit de restituer l’avantage que l’on a reçu d’autrui.
Le dommage causé par autrui est la source de l’obligation de réparation c'est-à-dire celle qui engage la
responsabilité civile de son auteur. L’avantage reçu d’autrui est la source de l’obligation de
restitution. C’est le cas de la gestion d’affaires, du paiement de l’indu et de l’enrichissement sans
cause.
La responsabilité civile est le mécanisme par lequel une personne va répondre des conséquences
dommageables de son agissement. Elle emporte l’obligation de réparer le préjudice résultant soit de
l’inexécution d’un contrat (responsabilité contractuelle) soit de la violation du devoir général de ne
causer aucun dommage à autrui.
En d’autres termes, on peut dire que la responsabilité civile entre en jeu quand une personne cause
un dommage à une autre personne. Le fondement de la responsabilité civile se trouve donc dans
l’obligation qui pèse sur chacun de répondre de ses actes.
La responsabilité civile vise donc la réparation et doit donc être distinguée de la responsabilité
pénale qui vise la punition, sanction de la commission d’une infraction. Cependant, un même
événement peut engendrer les deux responsabilités sans que cela affecte le principe de leur
distinction.
La question que l’on peut se poser à ce stade, est pourquoi une personne est elle obligée de réparer un
dommage causé ? C’est le problème du fondement de la responsabilité.
La responsabilité peut être fondée soit sur la faute, soit sur le risque.
En ce qui concerne la première possibilité, la faute est le fondement classique de la responsabilité.
C’est une responsabilité subjective fondée sur la conduite de l’auteur du dommage, sur l’appréciation -
moral- de son comportement. Pour que la responsabilité de ce dernier soit engagée, la victime doit
prouver la faute de celui-ci conformément au droit commun de la preuve. La victime doit donc prouver
la faute, la défaillance de conduite ou de volonté ayant engendré le dommage. Si cette preuve n’est pas
rapportée, la victime n’obtiendra pas réparation et elle supportera la charge du dommage dont l’origine
n’est pas prouvée. La preuve de la faute est très difficile d’où le recours à des présomptions. (Exemple
de la présomption des père et mère à l’égard de leurs enfants mineurs).
En ce qui concerne la deuxième possibilité, celle fondée sur le risque, c’est une responsabilité
objective entre le préjudice et l’activité du tiers responsable. Il suffit que le dommage se rattache
matériellement à l’activité du tiers pour que la responsabilité de ce dernier soit engagée, car celui qui
exerce une activité doit en assumer les risques, surtout dans le cas où cette activité est source de profits
pour lui. Cette théorie est plus facile à mettre en œuvre, car il s’agit simplement de rapporter la preuve
matérielle d’un rapport de causalité, celle de la faute qui implique une recherche psychologique et une
appréciation morale. La théorie du risque a trouvé de nombreuses applications dans le droit moderne
(responsabilité de l’employeur des dommages survenus aux salariés par le travail ou à l’occasion du
travail).
D’une manière générale, en matière de responsabilité civile, trois conditions sont nécessaires pour
pouvoir engager la responsabilité d’une personne :

 L’existence d’un dommage ou d’un préjudice

[*]L’existence d’une faute ou fait générateur du dommage


[*]L’existence d’un lien de causalité entre la faute et le dommage

 Le dommage ou préjudice est la première condition de la responsabilité civile. Même si la


faute établie, l’auteur ne verra pas sa responsabilité engagée s’il n’a pas causé de dommage :
cas de l’automobiliste qui commet un excès de vitesse sans causer d’accident. Le demandeur
soit apporter la preuve du dommage dont il demande réparation.

 Il existe trois sortes de dommage, le dommage matériel, moral et corporel.

Le dommage matériel, patrimonial ou pécuniaire constitue l’atteinte au patrimoine, nous avons d’une
part la perte éprouvée et le gain manqué.
D’une part, la perte éprouvée se définit par le fait que le patrimoine s’est appauvri après l’événement,
et la victime peut être amenée à débourser des sommes pour remplacer les biens perdus ou
endommagés.
D’autre part, en ce qui concerne le gain manqué, la victime est mise dans l’impossibilité temporaire ou
définitive de réaliser un revenu qui lui aurait été acquis si l’événement n’était pas survenu : perte de
salaires par exemple. On parle de gain manqué puisque sans l’événement le patrimoine de la victime
se serait accru.
Le dommage moral ou extrapatrimonial se caractérise par l’atteinte portée à des droits
extrapatrimoniaux, c'est-à-dire ne faisant pas partie des biens constitutifs du patrimoine : à titre
d’exemple on peut citer le droit au nom, à l’image, à l’honneur, ou encore à la considération.
Cependant, les droits extrapatrimoniaux, n’ayant pas une valeur pécuniaire, et n’étant donc pas
évaluable en argent, le problème de leur réparation s’est posée. La cour de cassation française s’est
très tôt prononcée en faveur de l’indemnisation du préjudice moral. Cette solution est consacrée en
droit marocain.
Le dommage corporel s’explique par l’atteinte portée à l’intégrité physique de la personne :
blessures, mort… . Les lésions corporelles peuvent entraîner à la fois :

 Des préjudices purement matériels : frais médicaux, manque à gagner au titre de l’incapacité
de travail…

[*]Des préjudices extrapatrimoniaux : douleur physique éprouvée par la victime, souffrances morales,
préjudice d’agrément, préjudice esthétique, handicap social… .

La mort peut être source de dommages pour d’autres personnes (dommage par ricochet).

 Les caractères généraux du dommage réparable :

Pour être réparé, le préjudice allégué doit être certain, direct et non-entaché d’illicéité ou d’immoralité.
On dit dans ce dernier cas qu’il doit être la violation d’un intérêt légitime.
Le dommage certain est celui dont l’existence est acquise ; on distingue le dommage actuel du
dommage futur et le préjudice réparable futur du préjudice futur éventuel.
D’une part, le dommage actuel est celui qui est déjà réalisé. Celui- là ne pose pas de difficulté, il suffit
de rapporter la preuve de la matérialité du dommage. Le problème se pose plutôt pour ce qui concerne
le préjudice futur, c'est-à-dire celui qui n’est pas encore réalisé, qui n’existe pas matériellement au
moment où sa réparation est envisagé. Le dommage futur peut être également certain, s’il apparaît
comme inévitable et devant nécessairement se réaliser dans l’avenir. La question se pose de savoir si le
préjudice se réalisera nécessairement dans l’avenir.
D’autre part, au préjudice futur réparable, c'est-à-dire celui qui apparaît comme inévitable, s’oppose le
préjudice futur éventuel, celui dont la réalisation est subordonnée à un événement. C’est ce qu’on
appelle la perte de chance. La question que l’on se pose est de savoir si celle-ci est réparable ? Il
appartient aux juges d’apprécier les chances de réalisation du dommage. Si ces chances sont légères,
minces, le dommage sera considéré comme simplement éventuel, et par conséquent non réparable. Si
elles sont par contre fortes, la condition de certitude serait alors remplie, et le dommage réparable.
De plus, le dommage doit être la suite directe du fait reproché au tiers, il faut un lien de causalité
entre le préjudice et la faute. L’exigence du caractère direct vise à écarter des actions intentées par des
personnes autres que la victime immédiate principale : parent, conjoint qui peuvent se prévaloir d’un
dommage par ricochet.
La jurisprudence a admis que ces personnes, bien que n’étant pas victimes principales, mais victimes
médiates, peuvent se prévaloir de la qualité de victime principale, cette disparition les privant des
revenus ou subsides que leur procurait la victime immédiate.
Enfin, la victime peut agir dés lors qu’il y a atteinte à son intérêt. Mais cet intérêt doit être légitime,
c'est-à-dire n’être contraire ni à la loi ni aux bonnes mœurs.
 Le fait générateur du dommage constitue la deuxième condition de la responsabilité civile.
Il existe trois sortes de responsabilité : celle du fait personnel, celle du fait d’autrui et celle du
fait des choses.

 Il existe trois sortes de responsabilité : celle du fait personnel, celle du fait d’autrui et celle du
fait des choses.

La responsabilité du fait personnel trouve son fondement dans les


articles 77 et 78 du DOC ; en vertu de l’article 77, « tout fait
quelconque de l’homme qui, sans l’autorité de la loi, cause sciemment
et, volontairement à autrui un dommage matériel ou moral, oblige son
auteur à réparer ledit dommage, lorsqu’il est établi que ce fait en est la
cause directe. Toute stipulation contraire est sans effet ».
L’article 78 ajoute que « chacun est responsable du dommage moral
ou matériel qu’il a causé, non seulement par son fait mais par sa faute,
lorsqu’il est établi que cette faute en est la cause directe. Toute
stipulation contraire est sans effet. La faute consiste, soit à faire ce
dont on est était tenu de s’abstenir, sans intention de causer un
dommage ».
A la lecture des articles 77 et 78 DOC on remarque que le système
juridique marocain est basé sur une responsabilité où la faute de
l’auteur du dommage joue un rôle déterminant dans l’indemnisation
de la victime.
La faute est donc la condition préalable de la responsabilité du fait
personnel. Il faut nécessairement une faute dûment prouvée pour que
cette responsabilité soit engagée. Telle qu’elle peut se dégager des
dispositions et application du DOC et telle qu’elle est interprétée par
la jurisprudence implique deux éléments : un élément objectif,
l’illicéité, la violation d’un devoir et un élément subjectif,
l’imputabilité de cette violation.
En ce qui concerne la preuve de cette faute, c’est la victime qui fonde
son action sur la responsabilité civile qui est tenue de l’établir :
« actori incumbit probatio » qui veut dire que la charge de la preuve
incombe au demandeur. De plus, lorsque la faute est commise dans
l’exercice d’un droit, la responsabilité n’est pas engagée ; c’est ce qui
ressort de l’article 94 du DOC qui stipule qu’ « il n’y a pas lieu à
responsabilité civile, lorsqu’une personne, sans intention de nuire, à
fait ce qu’elle avait le droit de faire.
Cependant, lorsque l’exercice de ce droit, est de nature à causer un
dommage notable à autrui et que ce dommage peut être évité ou
supprimé, sans inconvénient grave pour l’ayant droit, il y a lieu à
responsabilité civile, si on n’a pas fait ce qu’il fallait pour le prévenir
ou pour le faire cesser ».
Il ressort de ce texte qu’en principe on n’engage pas sa responsabilité
dans l’exercice d’un droit. En général l’exercice d’un droit, d’une
liberté appartenant à chacun à l’égard de tous n’entraîne pas la
responsabilité de l’auteur.
On estime qu’il à une justification qui ôte à l’acte dommageable son
caractère illicite. Cette justification disparaît avec l’abus de droit c'est-
à-dire dans le cas où l’auteur a abusé de son droit, c'est-à-dire l’a
utilisé dans le but de nuire à autrui, dans un usage contraire à sa
finalité. Cette abus de droit peut être liée à la manière d’exercer le
droit, au but poursuivi ou aux conséquences du droit exercé.
La responsabilité du fait d’autrui repose sur le principe que l’on est
responsable non seulement du dommage que l’on a causé par son
propre fait, mais encore de celui qui est causé par le fait des personnes
dont on doit répondre.
Ainsi, en vertu de l’article 85 dudit dahir (DOC) :
« Le père, la mère et les autres parents ou conjoints répondent des
dommages causés par les insensés et autres infirmes d'esprit, même
majeurs, habitant avec eux, s'ils ne prouvent :
1° Qu'ils ont exercé sur ces personnes toute la surveillance nécessaire ;

2° Ou qu'ils ignoraient le caractère dangereux de la maladie de l'insensé ;

3° Ou que l'accident a eu lieu par la faute de celui qui en a été la victime.

La même règle s'applique à ceux qui se chargent, par contrat, de l'entretien ou de la surveillance de ces personnes ».

En ce qui concerne la responsabilité du fait d’autrui, il y a d’une part,


la responsabilité du fait d’autrui fondée sur une faute présumée, on
peut citer à titre d’exemple le cas des parents responsable du fait de
leurs enfants mineurs et il y a d’autre part, la responsabilité du fait
d’autrui reposant sur une garantie de réparation, l’on peut citer ici la
responsabilité des commettants du fait de leurs préposés.
La responsabilité du fait des choses est une responsabilité sans faute
prouvée, dans la mesure où tout dommage causé par une chose doit
être réparé par celui qui en a la charge.
Dans ce cas, la mise en œuvre de la responsabilité du fait des choses
suppose l’intervention d’une chose, et le caractère causal de cette
intervention dans la production du dommage.
En ce qui concerne le gardien de la chose, pour qu’une personne
puisse être déclarée de plein droit responsable d’une chose, il faut
qu’elle puisse être considérée comme gardienne. Le gardien est celui
qui a le pouvoir d’usage, de direction et de contrôle de la chose. Le
principe ici est que le propriétaire est le gardien.
De plus chacun doit répondre du dommage causé par les choses qu’il a
sous sa gare, lorsqu’il est justifié que ces choses sont la cause direct
du dommage s’il ne démontre : qu’il a fait tout ce qui était nécessaire
afin d’empêcher le dommage et que le dommage dépend soit d’un cas
fortuit, soit d’une force majeure, soit de la faute de celui qui en est la
victime.
On peut donc dire que les causes d’exonération sont donc la cause
étrangère, la faute de la victime et le fait d’un tiers.
Résumé du document
« L'anarchie est partout quand la responsabilité n'est nulle part ». Gustave Le Bon exprime ici toute
l'importance de la responsabilité au sein d'une société,

Résumé du document
Selon le juriste Louis Josserand, la responsabilité civile est de « tous les instants et de toutes les
situations », ce qui illustre bien l'importance la place de cette responsabilité dans l'ordre juridique. Le
principe général de la responsabilité civile est exposé par l'article 1382 du Code Civil qui dispose que
« tout fait quelconque de l'homme qui cause à autrui un dommage oblige celui par la faute duquel il
est arrivé à le réparer». Définie comme l'obligation mise à la charge d'un responsable de réparer le
préjudice subi par la victime, la responsabilité civile englobe les responsabilités contractuelle et
délictuelle. Elle est contractuelle si le dommage causé résulte de l'inexécution d'un contrat liant le
responsable et la victime. La responsabilité est délictuelle, ou extracontractuelle, dans les autres cas.
Quelle que soit la nature de la responsabilité, le mécanisme qui la met en œuvre est identique.
Lorsque qu'un dommage subi est considéré comme injuste, non seulement par les victimes, mais
aussi par la société, il déclenche une réaction sociale consistant en l'application d'une sanction
tendant à effacer le mal et à réparer autant que faire se peut le dommage pour rétablir l'équilibre
rompu. La fonction est ici principalement restitutive et indemnisatrice et non plus répressive. La
responsabilité civile se distingue ainsi de la responsabilité pénale, qui est engagée lorsqu'une
personne doit répondre des dommages causés non plus à des individus, mais à la société toute
entière.
Cela n'exclut cependant pas que la responsabilité civile puisse également se charger d'autres
fonctions, moins purement civiles. C'est ainsi que les juges cherchent parfois autant à sanctionner un
responsable qu'à indemniser une victime et que la responsabilité civile prétend jouer un rôle de
régulation et de prévention des comportements anti-sociaux, notamment par l'exemplarité des
condamnations prononcées. Une autre fonction de la responsabilité civile, celle de la dilution de la
charge du dommage, s'est également imposée dans les cas où les circonstances rendent injuste de
faire supporter la réparation à l'auteur du dommage:
Comment la responsabilité civile fait-elle coïncider les différentes fonctions que sont la réparation du
préjudice subi, la prévention des comportements anti-sociaux et la dilution de la charge des
dommages?
Si la réparation du dommage causé à la victime apparaît comme la fonction principale de la
responsabilité civile (I), d'autres fonctions relèvent de manière tout aussi indiscutable de cette
responsabilité (II).
Sommaire
1. La fonction principale de la responsabilité civile est la réparation du préjudice subi par la
victime

1. Réparer le préjudice subi par les victimes d'une faute aussi bien que par les victimes de certains
risques
2. Compenser le dommage grâce à l'indemnisation des victimes
2. La responsabilité civile, en jouant un rôle de régulation des comportements et de dilution de la
charge des dommages, se charge d'autres fonctions

1. Une fonction de prévention des comportements anti-sociaux


2. Une fonction de dilution de la charge des dommages

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