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Histoire de
l'alphabet
phonétique
international

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L’histoire de l’alphabet phonétique


international et de l’Association
phonétique internationale débute à la fin
e
du siècle avec la création de
l’association avec comme objectif de créer
un système capable de transcrire les sons
des langues. L’association est fondée par
des professeurs de langue britanniques et
français sous la direction de Paul Passy à
Paris en 1886 sous le nom Dhi Fonètik
Tîcerz' Asóciécon.

La première version de l’API, publiée en


1888, était inspirée de l’alphabet romique
d’Henry Sweet, lui-même élaboré à partir
de l’alphabet phonotypique d’Isaac Pitman
et le Palæotype d’Alexander John Ellis.

L’API a connu plusieurs révisions au cours


des années dont principalement en 1927,
1928, 1932, 1938, 1947, 1976, 1989, 1993,
et 2005.

Débuts
En 1886, un groupe de professeurs de
langues et linguistes fonde le groupe Dhi
Fonètik Tîcerz' Asóciécon ou The Phonetic
Teachers Association qui deviendra
l’Association phonétique internationale,
avec son journal Dhi Fonètik Tîtcer ou The
Phonetic Teacher. Ce journal défini un
ensemble de symboles à utiliser dans
l’étude des langues. Initialement le même
symbole peut avoir des valeurs
phonétiques différentes dans différentes
langues, par exemple ‹ ɴ › peut représenter
le ‹ ng › anglais /ŋ/ ou ‹ gn › français /ɲ/.
En 1888 et 1889, les valeurs des symboles
sont uniformisées pour représenter les
mêmes sons dans différentes langues[1].

Le premier tableau est publié par Paul


Passy en 1888.

Voyelles API en 1890.


Consonnes API en 1890.

Le symbole actuel du coup de glotte ‹ ʔ ›


remplace l’apostrophe ‹ ʼ › sur le tableau de
l’alphabet en couverture arrière du Maître
phonétique de février 1893.

1895
En janvier 1895, après un vote entre quatre
propositions, la consonne occlusive vélaire
voisée et la consonne fricative vélaire
voisée sont respectivement représentées
avec le g cursif ‹ ɡ › et le g à boucle ‹   ›[2].

1900
En 1900, le conseil de l’Association
phonétique internationale adopte le
changement suivant[3] :

le g barré ‹ ǥ ›, proposé par Cloos, est


adopté pour représenter la fricative
vocalique vélaire.
1905
L’édition des Principes de l’Association
phonétique internationale publiée en 1905
mentionne des symboles préférés ou
suggérés par certains auteurs[4]:

‹ ɵ, ʚ › préférés par certains auteurs


allemands comme alternatives aux
symboles ‹ ø, œ › ;
‹ ᵷ,  › pour les fricatives dentales du
ʒ
tcherkesse ;
‹ σ › pour la sifflante labialisée utilisée
dans quelques langues bantoues ;
‹ ɴ › pour la nasale uvulaire des
Eskimos ;
‹ * › après une consonne pour les
claquements hottentots.

1908
L’édition des Principes de 1908 mentionne,
elle aussi, ces symboles suggérés avec en
plus les symboles suivants[5] :

les affriquées représentés à l’aide du


ligature tirant ‹ ts ͜  › ou ‹ t͡s, d͡z,
͜ , dz͜ , tʃ͜ , dʒ
t͡ʃ, d͡ʒ › ;
la lettre ‹ ɾ › pour le r formé d’un seul
coup de langue ;
la lettre ‹ ɒ › pour la voyelle très ouverte
de l’anglais not, saw quand on veut la
distinguer du ‹ ɔ › ;
la lettre ‹ ł › (avec la barre oblique
inversée) pour un l lingual vélarisé.

1909
En 1909, deux modifications sont
apportées à l’alphabet de l’association[6] ;

la lettre ‹ ř › pour la roulée fricative


tchéque ;
la lettre ‹ ɛ̈ › pour un [ɛ] retiré,
remplaçant ‹ ä ›.
D’autres propositions (pour la notation des
affriquées, le r formé d’un seul coup de
langue, la voyelle très ouverte de l’anglais
et le l lingual vélarisé)[7] sont rejetées mais
leurs emplois est autorisé.

1911
En 1911, le point suscrit ‹  ̇ › est adopté
pour indiquer la palatalisation (mais
seulement pour les cas demandant une
transcription minutieuse)[8].

1912
Dans les Principes publiés en 1912, des
symboles proposés auparavant sont
utilisés[9] :

les ligatures tirants ‹  ͡  › et ‹  ͜  › pour


transcrire les affriquées ;
les symboles ‹ σ, ƍ › pour les fricatives
labiales.

Plusieurs symboles y sont mentionnés


comme étant préférés ou suggérés par
certains auteurs, dont notamment :

‹ pʽ, tʽ ›, etc. pour les [p, t], etc. aspirés ;


‹ ɵ, ʚ › comme alternatives aux
symboles ‹ ø, œ › ;
‹ ɒ › pour la voyelle anglaise de not ;
‹ ɾ › comme variété du [r].

1921
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Dans L’Écriture phonétique internationale de


1921 :

‹ χ › remplace déjà ‹ ᴚ › et ‹ ɤ › remplace


la petite capitale a culbuté‹   › avant que

ceux-ci ne soient officiellement


approuvés en 1928 ;
‹ ƕ › remplace ‹ ʍ › et ‹   › représente un
[ɥ̊] ([ɥ] dévoisé) mais ses deux symboles
ne seront pas officiellement approuvés.

1927
En 1927, le conseil de l’Association
phonétique internationale adopte plusieurs
nouveaux symboles et remplaces certains
symboles à la suite des recommendations
de la conférence de Copenhague[10],[11] :

le point (demi-chrone) ‹ ˑ › peut aussi


être utilisé facultativement pour indiquer
la longueur entière, dans les cas non
ambigus — quand dans un même texte
la demi longueur et la longueur entière
sont indiquées, le point ‹ ˑ › et les deux-
points (chrone) ‹ ː › sont respectivement
utilisés ;
l’accent de force (accent tonique) est
représenté par une ligne verticale ‹ ˈ › au
lieu de l’oblique, et ‹ ˌ › est utilisé pour
représenter l’accent secondaire ;
le signe diacritique ‹  ̫ › représente
provisoirement la labialisation et le
signe diacritique ‹  ̪ › indique la
modification dental ;
les symboles ‹ ʈ, ɖ, ɳ, ɭ, ɽ, ʂ, ʐ › sont
adoptés pour représenter les consonnes
rétroflexes ;
les signes ‹ ꜰ, ʋ › sont remplacés par ‹ ɸ,
β › — le signe ʋ est disponible pour
représenter la consonne labio-dentale
non fricative ;
le signe diacritique ‹ ̣ › dénote une
voyelle exceptionnellement fermée, le
signe diacritique ‹ ̜ › dénote une voyelle
exceptionnellement ouverte.

1928
En 1928, les symboles suivants, déjà
utilisés provisoirement par certains
auteurs, sont adoptés[12] :
‹ ɬ › pour le [l] fricatif soufflé ;
‹ ɮ › pour le [l] fricatif voisé ;
‹ ɕ › pour le ś polonais ou hs pékinois, et
‹ ʑ › pour le ź polonais ;
‹ ᵭ, ᵶ, etc. › (sur le modèle de ‹ ɫ ›) pour
les consonnes à modification vélaire ou
pharyngale ;
‹ ħ, ʕ › pour les ‫ ح‬et ‫ ع‬arabes, à la place
de ʜ et Q (figurant dans les Principes de
1912) ;
‹ χ › à la place du ‹ ᴚ › pour une variété
profonde de [x] ;
‹ ƫ, ᶁ, ᶇ, etc. › pour les consonnes
palatalisées ;
‹ ɨ, ʉ, ɵ › pour les voyelles centrales ([ɨ]
entre [i] et [ɯ], [ʉ] entre [y] et [u], [ɵ] entre
[ø] et [o]) ;
‹ ᴈ › pour la voyelle centrale non
arrondie, plus fermée que [ɐ] ;
‹ ʇ, ʗ, ʖ › pour les trois principaux
claquement des langues sud-africaines ;
‹ ɓ, ɗ, etc. › pour les [b], [d], etc. implosif
en zoulou, en sindhi, en haoussa, etc. ;
‹ ƪ, ƺ › pour les [ʃ] et [ʒ] labialisés du
setswana, de l’akan, etc.
‹ ɺ › pour une intermédiaire entre [l] et [d]
‹ ɒ › pour une variété très ouverte du [ɔ] ;
‹ ɤ › pour [o] désarrondi, remplaçant le ‹ 
 ›.

De plus, le symbole ‹ ɾ ›, suggéré


auparavant, figure dans le tableau de
l’alphabet phonétique international de
1928 pour représenter une consonne
battue dento-alvéolaire. Plusieurs
diacritiques figurent aussi sous ce
tableau :

‹ ˉ › pour le ton haut ;


‹ ˍ › pour le ton bas ;
‹  › pour le ton haut montant ;
‹ ˋ › pour le ton haut descendant ;
‹ ˎ › pour le ton bas descendant ;
‹ ˆ › pour le ton montant descendant ;
‹  ̌ › pour le ton descendant montant ;

1931
Le gamma latin ‹ ɣ ›, de l’alphabet
international africain, est adopté comme
symbole pour la consonne fricative vélaire
voisée, remplaçant le g barré ‹ ǥ ›[13].

1932
Le tableau des symboles de l’API sur la
couverture du Maître phonétique
commence à indiquer l’année de la
révision des symboles en 1932.

1933
La notation ‹ kp, ɡb › des consonnes labio-
vélaires de l’Afrique occidental est
approuvée[14].

1937
En 1937, l’utilisation du ligature tirant ‹  ͜  ›
et ‹  ͡  › pour indiquer l’articulation
synchronique est adoptée[15].

1938
En 1938, le symbole ‹ ɮ › est remplacé par
‹ ꜧ › (ou alternativement par un symbole
similaire à ɮ avec une partie droite
arrondie ‹   ›)[16].

Un tableau des symboles révisé en 1938


est imprimé sur la couverture du Maître
phonétique.

1943
En 1943, les symboles ‹ ɩ, ɷ › sont
adoptés, à la suite de l’utilisation plus
fréquente de polices de caractères sans
empattement, remplaçant les symboles ‹ ɪ,
ʊ › pouvant être utilisés comme
alternatives[17].

1945
En 1945, le symbole ‹ ɼ › est adopté,
remplaçant ‹ ř ›, pour représenter une
consonne dorsoalvéolaire roulée[18].

1947, 1948 et 1949


En 1947, plusieurs modifications sont
adoptées[19] :

les voyelles avec résonance de [ɹ]


peuvent être notées soit comme
auparavant ‹ aɹ, eɹ, əɹ, ɛɹ, ɜɹ, iɹ, ɔɹ, uɹ ›
soit avec le crochet ‹ ᶏ, ᶒ, ᶕ, ᶓ, ᶔ, ᶖ, ᶗ, ᶙ › ;
les symboles ‹ ƾ, ƻ › sont acceptés pour
représenter les affriqués [ts] et [ds] ;
les symboles ‹ ʆ, ʓ › sont acceptés pour
représenter les [ʃ] et [ʒ] palatalisés ;
la rétraction peut être représentée avec
le signe moins (avec ou sans
empattements) après ou sous la lettre,
pour les [t], [d], [n] alvéolaires, par
exemple ‹ t ̠, d̠, n̠ › ou ‹ t˗, d˗, n˗ ›, et pour
les voyelles reculées ;
l’avancement peut être représenté avec
le signe plus après ou sous la lettre, par
exemple ‹ a̟, e̟, o̟ › ou ‹ a˖, e˖, o˖ › ;
la nasale syllabique du japonais peut
être représentée avec ‹ ƞ › ;
le symbole ɧ de l’alphabet dialectal
suédois représente le [x͡ʃ] suédois.

En 1948, le g à boucle ‹   › est admis


comme alternative au g cursif ‹ ɡ › et,
lorsque celui-ci est utile, un g cursif avec
un crochet plus étroit est admis comme
alternative au g cursif avec un crochet
palatal ‹ ᶃ ›[20].

Une nouvelle édition des Principes est


publiée en 1949[21].

1950
En 1950, le symbole ‹ ɚ ›, inventé par John
Samuel Kenyon  , largement utilisé dans
(en)

les ouvrages publiés aux États-Unis, est


admis comme alternative au symbole
‹ ᶕ ›[22].

1973
En 1973, le symbole ‹ ɻ › est adopté pour
représenter la consonne spirante
rétroflexe[23].

1976
En 1976, les changements suivant sont
adoptés[24],[25] :

le symbole ‹ ɶ › représente la voyelle


ouverte antérieure arrondie, figurant déjà
dans le tableau de voyelles cardinales
de Daniel Jones de 1956 ;
le sens du signe diacritique tréma ‹  ̈ ›
est modifié, indiquant la centralisation
au lieu d’une prononciation centrale ;
le signe diacritique, ou lettre
modificative, ‹ ʰ › représente l’aspiration,
comme alternative à ‹ ʻ › ;
le signe diacritique ‹  ̚ ›, représente la
désocclusion inaudible ;
le symbole ‹ ʘ › représente le clic
bilabial ;
le signe diacritique ‹  ̤ › représente le
murmure ;
le symbole ‹ ɰ › représente la consonne
spirante vélaire ;
les diacritiques ‹  ̣ › et ‹  ̜ › représentent
respectivement les phonations fricative
et spirante ;
les symboles désuets de ligatures
fricatives ‹ ƾ, ƻ › (pouvant être transcrits
‹ ʦ, ʣ ›, ou ‹ t͡s, d͡z ›, ou encore, lorsqu’il
n’y a pas d’ambiguité, ‹ ts, ds ›), de
nasale syllabique ‹ ƞ ›, de fricatives
labiales ‹ σ, ƍ, ƪ, ƺ ›, ainsi que les
symboles diacrités ‹ ᶕ, ᶓ, ᶏ ›, etc pour
les voyelles avec résonance de [ɹ], ou
encore le signe diacritique de
palatalisation ‹  ̇ › sont abandonnés.

1989
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Plusieurs symboles ou restrictions sont


adoptés :

‹ ʀ, ʙ › pour la consonne roulée bilabiale


voisée et la consonne roulée uvulaire
voisée ;
les consonnes battues sans symboles
propres peuvent être représentées en
utilisant la brève ‹ ʀ̆, n ̆ › ;
‹ ʝ › pour la consonne fricative palatale
voisée ;
‹ ɮ › pour la consonne fricative latérale
alvéolaire voisée ;
‹ j › ne devrait être utilisé que pour
représenter consonne spirante palatale
voisée ;
‹ ʟ › pour la consonne spirante latérale
vélaire voisée ;
‹ ʄ › pour la consonne occlusive injective
palatale voisée et ‹ ʛ › pour la consonne
occlusive injective uvulaire, ainsi que les
symboles ‹ ƥ ƭ ƈ ƙ ʠ › ;
les symboles de clics utilisés par
certains linguistes ‹ ʘ › pour le clic
bilabial, ‹ ǀ › pour le clic dental, ‹ ǃ › pour
le clic post-alvélaire ou alvéolaire, ‹ ǂ ›
pour le clic palato-alvéolaire et ‹ ǁ › pour
le clic alvéolaire sont adoptés et les
symboles ‹ ʇ ʗ ʖ › sont retirés ;

Seul les symboles ‹ ɪ, ʊ › sont reconnus,


leurs symboles alternatifs ‹ ɩ, ɷ › sont
désormais proscrits[26].

1993
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Les symboles de consonnes injectives ‹ ƥ ƭ
ƈ ƙ ʠ › sont retirés, ils devront être notés
avec les symboles des consonnes voisées
avec l’anneau, le symbole de
dévoisement[27].

2005
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Notes et références
1. Passy 1888.
2. Le Maître phonétique, janvier 1895,
p. 16–17.
3. Le Maître phonétique, février–mars
1900, p. 20.
4. Association phonétique internationale
1905, p. 10.
5. Association phonétique internationale
1908, p. 20.
6. Le Maître phonétique, mai–juin 1909,
p. 75–76.
7. Le Maître phonétique, mars–avril
1909, p. 44–47.
8. Le Maître phonétique, mai–juin 1911,
p. 91–92.
9. International Phonetic Association
1912.
10. Jespersen et Pedersen 1926.
11. Le Maître phonétique, avril–juin 1927,
p. 14.
12. Le Maître phonétique, juillet–
septembre 1928, p. 51–53.
13. Le Maître phonétique, juillet–
septembre 1931, p. 41–42.
14. MF-juin-septembre-1933.
15. Le Maître phonétique, juin–septembre
1937, p. 57.
16. Le Maître phonétique, janvier–mars
1938, p. 14–15.
17. Jones 1943.
18. Jones 1945, p. 17.
19. Le Maître phonétique, janvier–juin
1947, p. 16–19.
20. Jones 1948, p. 30.
21. International Phonetic Association
1949.
22. Gimson 1950, p. 40–41.
23. Gimson 1973, p. 61.
24. International Phonetic Association
1975.
25. International Phonetic Association
1976.
26. International Phonetic Association
1989.
27. International Phonetic Association
1993.

Bibliographie
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avril–juin 1927, p. 13–18
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F. Mossé, « Transcription phonétique et
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(en) Paul Passy, « Our revised alphabet »,
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Paul Passy, Étude sur les changements
phonétiques et leurs caractères généraux,
Paris, Librairie Firmin-Didot, 1890 (lire en
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Paul Passy, « avi d no kɔ̃ːsɛje », lə mɛ:trə
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mars–avril 1909, p. 44–47
« desizjɔ̃ dy kɔ̃sɛj », lə mɛːtrə fɔnetik [Le
Maître phonétique], nos 5–6,
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Jane Setter, « The International Phonetic
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Magazine, aout 2013 (lire en ligne )

Liens externes
(en) Natalie Udomkesmalee, « Historical
charts of the International Phonetic
Alphabet » , sur
internationalphoneticassociation.org,
juin 2018

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