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utour de l'enfant par Silva PAssos


À tous ceux, que m’ont aidé de près ou de loin à arriver
jusqu’ ici.

Merci beaucoup.
INTRODUCTION

Ce manuscrit, n’a pas la prétention d’être une ouvre


spécialisé dans le domaine de la psychologie, j’ai
ressemblé des extraits de travaux personnels réalisés
pendant mes cours en psychologie de l’enfant.

J’ai voulu garder le format de questions – réponses, ce


qu’à mes yeux facilitera la compréhension des sujets ici
abordés de façon esquisse, afin de d’offrir au lecteur un
caractère ludique et pédagogique.
RÉSUMÉ DES INTITULÉS ABORDÉS

Affectivité et construction de la personnalité de


l’enfant

En psychanalyse, le processus de sublimation est un


mécanisme de défense

Le conditionnement et la différence entre le réflexe


conditionnel et le réflexe inconditionnel chez Pavlov

Une situation de conditionnement chez l’animal

Les capacités de régulation cognitive dont

L’enfant dispose à partir de l’âge de 5 ans et demi,


6 ans selon Piaget

Mécanisme d’intégration fonctionnelle chez Wallon

Scolarisation de l’enfant à partir de l’âge de 6 ans

La sublimation en psychanalyse

La sublimation en psychanalyse

Entre autres (…)


DÉVELOPPEMENT DE L’ENFANT DE 0 À 12 ANS ET EN
PARTICULIER LES PHASES AINSI QUE LES DOMAINES DU
DÉVELOPPEMENT QUI ME SEMBLENT LES PLUS IMPORTANTS POUR
FORGER SA PERSONNALITÉ, QUE CE SOIT AU NIVEAU MOTEUR,
AFFECTIF, SOCIAL, ETC.…

AFFECTIVITÉ ET CONSTRUCTION DE LA PERSONNALITÉ DE


L’ENFANT

Le développement d’un enfant ne se fait pas de façon


linéaire et isolé, mais d’une façon globale et
harmonieuse, chaque étape, chaque domaine est
important afin de forger la personnalité de l’enfant, mais
ce n’est pas moins vrai que certaines phases et certains
domaines jouent un rôle plus prépondérant que d’autres.

Je ne souhaite pas non plus minimiser la complexité de


ce sujet, dont on peut tant dire, et apprendre.

Personnellement je me suis attardé sur les phases et les


domaines de développement que j’estime importantes et
que permettent de forger la personnalité de l’enfant, et
cela n’engage que moi.

Permettez-moi de nous trouver une définition commune


de l’idée complexe de la personnalité, en ce que
concerne l’enfant.
Elle rend compte de ce qui qualifie l'individu :
permanence et continuité des modes d'action et de
réaction, originalité et spécificité de sa manière d'être.
C'est le noyau relativement stable de l'individu, sorte de
synthèse complexe et évolutive des données innées
(gènes) et des éléments disponibles dans le milieu social
et l'environnement en général.
La connaissance de la personnalité est souvent un enjeu
important en ce qu'elle permet de prévoir avec une marge
d'erreur limitée, le comportement de l’enfant dans des
situations ordinaires, sans oublier l’être en devenir, qu’il
est.

Peut être pourrai je dire un mot en ce concerne le


développement en psychologie de l’enfant. L’étude du
développement est une discipline qui met l'accent sur les
transformations psychologiques qui se produisent depuis
la naissance jusqu'à la mort.

Néanmoins, d'un point de vue médical, on été identifiés


de nombreux facteurs liés à l'environnement prénatal de
l'embryon qui peuvent influencer la psychologie de
l'individu en devenir. ( comme par exemple, la
consommation d'alcool par la mère durant la grossesse
qui est susceptible d'induire un syndrome d'alcoolisation
fœtale, qui se traduit par diverses malformations et des
déficits cognitifs chez l'enfant à naître.

En sachant que le développement est l'ensemble des


transformations qui affectent les organismes vivants au
cours du temps, c’est dans une perspective globale que
j’envisage le développement de la personnalité de
l'enfant comme un être global.
Les interactions endogènes (équipement
neurobiologique, cognitif, etc.) et exogènes (effets de
rencontre avec l’environnement écologique, biologique,
alimentaire et surtout relationnel) me semble participer
en grande partie à la construction de la personnalité d’un
individu (social, affectif, moteur…).

Dès la vie anténatale jusqu'à 12 ans, chaque expérience


sensorielle (quelle soit auditive, visuelle, olfactive,
gustative ou tactile) active ainsi certaines connexions
neurales et les renforce avec le temps, tandis que
l’absence de stimulations provoque la dégénérescence de
circuits inutilisés.

Le facteur relationnel affectif est au cœur de mon


attention, car à la naissance le bébé à déjà une expérience
au niveau des émotions (à partir de 6 mois le fœtus
devient véritablement sensible aux émotions), je vais
jusqu'à penser que si l’interaction affective est
défectueuse ‘’conditionnera’’ la pensée, le langage et la
forme de communication, la posture du corps, ainsi que
l’image que le bébé se fait du monde et de ses
semblables.

Autrement dit, le langage par exemple, ne peut advenir


qu’en fonction d’une bascule de la bouche pleine de seins
(de lait nourricier et d’investissement relationnel
dyadique) à la bouche pleine de mots (édification de sa
relation à autrui).
Cela influe considérablement dans la construction de la
pensée à toute âge, plus spécialement vers le début de la
troisième année, phase anal (Freud) période si
importante, ou les question fusent, ou l’enfant se sent
exister, avec un besoin de s’affirmer dans un mouvement
d’autonomisation et de prise d’indépendance, de
comprendre, de parler, enfin de se construire avec tous
ses conflits et frustrations .

Penser, c’est agir et surtout interagir, et l’enfant à besoin


d’un psychisme auxiliaire afin de construire le sien, qu’il
le prendra en compte et les assurer lui-même, consolidant
enfin les assises narcissiques d’ont l’enfant nécessite
afin de construire, de bâtir sa personnalité.
Il nous suffit d’observer sa relation avec les jouets
(plaisir, ennuie, détournement, projection, destruction…).

Vers 6 – 12 ans, C’est le stade opératoire concret


(Piaget) à prédominance intellectuel, la période de la
réversibilité (devient capable de considérer le point de
vue de l’autre), l’âge de l’école où l’enfant a le statut
d’élève, et où le rôle tuteur de l'adulte est pour lui
primordial, car c'est l'adulte (parent, professeur,
éducateur) qui permet à l'enfant d'accéder à des
connaissances, non seulement sur un point de vue
intellectuel, mais aussi et surtout affectif.

La motivation, si nécessaire, à cette période lui permet


ainsi de réussir ses objectifs en termes d’acquisition de
savoir, et encore une fois ce sont les sentiments qui lui
permettront d’organiser, ces apprentissages.
Fort de cette connaissance, l’enfant ne retient souvent
que les aspects particulièrement vifs et frappants et dans
sa représentation du réel l’affectivité joue un rôle majeur
dans le développement de sa personnalité, si on rajoute à
cela des résidus de sensibilité subjective qui intervienne
également dans son jugement on aboutit, a son ‘’stock’’
de schèmes affectifs que l’enfant a assimilé et incorporés
jusqu’ici, et qui joue un rôle prépondérant dans son
originalité et spécificité de sa manière d'être.

En conclusion,

‘’L’affectivité et l’intelligence constitue donc les deux


axes principaux autour desquels s’organise n’importe
quelle conduite.’’ (Source : livret 6)

Et toutes les deux s’influence mutuellement, dans la


construction de ce qui qualifie et synthétise l'individu.

La personnalité.

Qu’est-ce qu’une aphasie?

L’aphasie est un trouble du langage consécutif à une


lésion cérébrale, en endommageant ou en détruisant
irrémédiablement la zone cérébrale correspondante au
langage (au niveau de l’hémisphère qui domine c'est-à-
dire gauche chez le droitier), empêchant l’organisation
harmonieuse des fonctions que permet à un individu de
s’exprimer correctement.
Le retard de langage chez l’enfant, la dyslexie
dysorthographie, en particulier est-il le résultat d’un
manque de stimulation sociale (thèse
environnementaliste) ou à l’inverse, dû à la piètre
qualité des structures cérébrales impliquées dans
l’apprentissage du langage (thèse en faveur de la
prédominance de l’hérédité) ?

Attardons-nous un peu sur la définition : La dyslexie-


dysorthographie (D-D) est un trouble d’apprentissage de
la lecture et de l’orthographe qui est caractérisé par une
difficulté durable d’apprentissage de la lecture et de
l’orthographe chez des enfants intelligents, indemnes de
troubles sensoriels (surdité, vue…) et de troubles majeurs
de la personnalité.

Faut – il donner à l’enfant de 3 ans des jouets en


fonction du sexe de l’enfant ?

Je crois qu’il faut laisser le libre choix à l’enfant. Il ne


faut pas oublier que, ce que pour nous est une poupée,
peut être dans l’imaginaire de l’enfant est un autre
personnage, car le jouet peut être détourné de sa fonction
première.

De toute manière, l’enfant s’orientera naturellement vers


d’autres activités plus en accord avec notre idée de la
culture sexiste, si vous me permettez de m’exprimer
ainsi.
Un enfant de trois ans, est dans une phase où l’imitation
et les jeux symboliques sont son passe-temps préféré,
donc, laisser l’enfant choisir ce qui lui plaît c’est au
même temps participer au développement de sa
personnalité.

Doit-on se montrer nu devant son enfant ?

A mon avis ce n’est pas rédhibitoire jusqu'à certain âge, à


partir du moment qu’on fasse preuve de sagesse.

Qu’est – ce que l’angoisse de castration ?

C’est cette peur de l’enfant, (garçon) de perdre son sexe.


Nous pouvons traduire sa réflexion de cette
manière ‘’puisque ma sœur n’en a pas, c’est qu’on lui a
enlevé ; don, cela risque de m’arriver un jour si je ne suis
pas sage’’

EN PSYCHANALYSE, LE PROCESSUS DE SUBLIMATION EST UN


MÉCANISME DE DÉFENSE

Ce mécanisme de défense est caractérisé par le


détournement de ses pulsions sexuelles inacceptables
vers un but socialement adapté et non sexuel.
Parce que c’est le seul moyen pour l’enfant de sortir du
conflit œdipien et ainsi renoncer définitivement à l’objet
de son désir.
Quelle est, selon vous, la meilleure manière de se
comporter face au négativisme de l’enfant ?

D’abord, rester calme et faire preuve d’un savant


mélange de réconfort et de fermeté, tout en le rassurant
par une parole organisatrice et sécurisante.
Il me semble que la solution la plus efficace est de le
prendre dans les bras.

Ensuite, Le choix de l’endroit où il peut se calmer et se


sentir en sécurité semble être adapté.

En fin, une fois que l’enfant ait compris que c’est son
comportement qui est désapprouvé et pas lui-même, ne
plus évoquer la crise.

Quelles sont les manifestations de régression les plus


courantes qui se produisent chez l’enfant lorsqu’il
entre à la maternelle ?

En sachant que c’est toujours un moment de grande


émotion, d’appréhension et d’expectative, que soit de la
part des parents, ou de la part des enfants, il y a toute une
série de manifestations inhérentes à ce moment.

-L’enfant se met à nouveau à souiller son lit.


-Il réclame un jouet qu’il avait depuis longtemps délaissé
-il se met parfois à bégayer ;
-Il se met à sucer son puce ;
-Il réclame son biberon ;
-ses nuits sont peuplées de cauchemars.
LE CONDITIONNEMENT ET LA DIFFÉRENCE ENTRE LE RÉFLEXE
CONDITIONNEL ET LE RÉFLEXE INCONDITIONNEL CHEZ PAVLOV

Pavlov a été celui qui a découvert le conditionnement.


Le réflexe conditionnel c’est une réaction par
anticipation que produisent les mêmes effets que le
stimulus inconditionnel, suite à une répétition d’actions
sensées de déclencher un comportement précis.
Le réflexe inconditionnel est, le déclanchement d’une
excitation innée.

UNE SITUATION DE CONDITIONNEMENT CHEZ L’ANIMAL

Cette situation est réel, pas avec un chien ou un chat,


mais une lapine que je détiens depuis un an, depuis
qu’elle a 2 mois.

Depuis que notre lapine est arrivée à la maison, nous


avons associé le son du paquet de son repas du matin et
du soir. Et le plus intéressant, c’est que a chaque fois que
‘’Bianca’’ la lapine nous vois en sa présence n’a aucune
réaction particulière, en revanche si nous secouons le
paquet de ses biscuits, elle cherche tout de suite sa
gamelle et adopte un comportement très tonique à
l’intérieur de sa cage, en sachant que nous allons la
nourrir.
Je vous avoue que face à cette page blanche il’ y a toute
une myriade de réflexions que assaillissent mon esprit,
car aborder la question de l’école n’est pas tâche aisée.
Surtout d’une école qui puisse s’en approcher des
besoins de l’enfant les plus adaptés et d’être en phase
avec l’inéluctable évolution socio-économiques de notre
société

Sans nul doute l’école est depuis toujours le terrain


privilégié où s’affrontent des opinions divergentes sur la
‘’bonne’’ et la mauvaise ‘’école’’, mais l’école et son
système est le passage incontournable pour tout citoyen à
vocation social, car elle est un instrument de
socialisation, d’intégration, participant de ce fait à la
construction identitaire de l’individu.

Dans un pays comme la France, connue comme une


nation d’accueil où une bonne partie de la population est
issue de la diversité, il ya tout de même certains progrès à
faire en matière d’égalité devant le savoir, sans vouloir
pour autant nier touts les efforts déployés à tout les
niveaux par les uns et par l’autres, afin que cela change.

Je crois fermement, que la meilleur transmission du


savoir, en tout cas, celle que donne à l’individu la liberté
d’évoluer vers d’autres univers de connaissance à son
initiative, est celle qui stimule la curiosité, la recherche,
l’expérimentation, l’expression de soi.

Face à l’école d’aujourd’hui, j’ai la sensation qu’on n’est


pas encore là, pour cela il faut réinventer l’école, pas
forcement la meilleur, mais une école plus en accord, et
en harmonie avec les attentes de la jeunesse de notre
temps, ses questions, ses centres d’intérêt, ses émotions,
ses réflexions, et surtout à l’écoute de ce qu’ils veulent
nous dire.

Nous savons que le surnombre d’élèves dans les classes,


les conditions de travail du cadre enseignant, les enjeux
familiaux, les questions budgétaires, bref, la liste est
infinie, peuvent nous inhiber de réagir, mais ne nous
empêche pas de songer à un jour meilleur pour notre
système scolaire.

Un système scolaire, auquel nous pouvions appeler de ‘’


RÉUSSIR’’ où l’aspect du développement de leur
individualité et potentiel sont au centre de toutes les
démarches, où l’élève apprend qu’il est important, qu’il
peut toujours s’améliorer et être utile.

Au sein d’une école soucieuse de créer les conditions de


la réussite pour tous, en donnant la parole aux élèves,
par la promotion de débats, une école que stimule la
curiosité et la participation active en proposant des sujets
d’étude extra programme, respectueuse de la
personnalité de l’élève, compréhensive des ses intérêts et
difficultés, sans oublier la coparticipation des parent à ce
projet.

Une école ou le professeur est à la fois maitre et élève,


continuellement en apprentissage dans une dimension
moins institutionnalisé, avec la marge d’action
suffisante, afin d’adapter son enseignement aux élèves
qui sont en difficulté, un enseignant que reconnait l’effort
et le sait faire savoir par une natation plus enclin à
motiver.

Avant de conclure, ma réflexion j’aimerai citer Jean Paul


Sartre, un ardent défenseur d’une liberté humaine
absolue, il affirmait (…)’’ Je suis ce que je veux être, ce
que j’ai choisi d’être’’(…) source : L’être et le néant

Cette affirmation responsabilise l’individu, nous pouvons


choisir nos chemins de vie et malgré les obstacles et les
difficultés, nous pouvons courageusement faire le choix
de renoncer au statut de victime, et pour plus que l’école
ne soit pas parfaite, la réussite ne dépend pas simplement
de facteurs extérieurs, mais elle est plutôt fruit d’une
implication, d’un engagement vis-à-vis de soi même.

Une école que tire vers le haut et que conscientise que


tous peuvent réussir, est à mon avis l’institution idéal.

LES CAPACITÉS DE RÉGULATION COGNITIVE DONT L’ENFANT


DISPOSE À PARTIR DE L’ÂGE DE 5 ANS ET DEMI - 6 ANS
SELON PIAGET

A cette âge l’enfant cherche une certaine cohérence dans


la réalisation dans un objectif tout en gardant en
mémoire chaque étape du processus de la réalisation,
l’enfant progresse toute en faisant des ajustes en fonction
de la stratégie du début.
Le sens de l’anticipation et la capacité de rétroaction,
c’est ce qui marque ce tournant dans le développement
de l’intelligence de l’enfant, selon Piaget.
Et c’est cet éloignement de la pensée intuitive que lui
permettra de parvenir à la réversibilité.

Le complexe d’Œdipe se manifeste – t-il de manière


identique chez le garçon et chez la fille ?

Absolument pas, car pendant cette période l’idée –


phrase chez le garçon repose sur la notion de castration,
à ce moment il accède à une nouvelle image de son corps
et éprouve d’abord un sentiment d’infériorité par rapport
à la taille du pénis adulte de son père et d’autre part il
nourrit une angoisse qui concerne l’absence de phallus
chez la fille, qu’il interprète comme le résultat d’une
castration.

En revanche, chez la fille c’est l’envie du pénis le thème


favori de ses fantasmes libidinaux, mais s’apercevant que
cela ne pourra pas être possible, progressivement son
désir va s’estomper pour céder la place au désir d’avoir
un enfant de son père. Chez la fille c’est donc l’envie de
pénis qui la pousse dans la situation œdipienne et c’est le
renoncement à ses désirs impossibles qui l’en fait sortir.
A partir de quel âge l’enfant réussit – il
véritablement à compter ?

C’est aux alentours de 6- 7 ans qu’un enfant réussit à


compter. La raison c’est que l’enfant à cet âge est
capable de raisonner en termes de classes et de relations
entre les objets, ce que lui permet de dénombrer.

TABLEAU RÉCAPITULATIF DES ACQUISITIONS DE LA


CONSERVATION (MATIÈRE, POIDS, VOLUME) EN FONCTION DE
L’ÂGE DE L’ENFANT SELON PIAGET

âge Conservation des Conservation Conservation


Matières/substances du poids du volume
X
Vers (d’abord pour les - -
7-8 liquides et après
ans pour les solides)
Vers X X
11-
12
ans

Toutes ces acquisition de conservation sont essentielles,


car sont les prémices de l’apprentissage de la
classification, et de la sériation.
MÉCANISME D’INTÉGRATION FONCTIONNELLE CHEZ WALLON

On entend par mécanisme d’intégration fonctionnelle, le


chevauchement du stade précédent avec le stade suivant,
l’intégration fonctionnelle permet de rendre compte
l’évolution de l’enfant et selon un processus qui explique
plus clairement comment l’enfant peut passer facilement
d’un stade à un autre.

Nous pouvons retrouver la même notion chez Piaget sur


un terme différent, la désassimilation ce que ne veut pas
dire que l’enfant fait un pas en arrière mais seulement
qu’il intègre et ajuste les acquis du stade précédent en les
confrontant avec la réalité du monde extérieur.

Concernant les stades il ya tout de mêmes certaines


différences, pour Wallon chaque période est marqué par
la prédominance d’une fonction et sa transition
s’effectue de manière conflictuelle (indispensable au
développement harmonieux de l’enfant), Pour Wallon,
chaque stade se construit à partir du précédent et se
prolonge dans le suivant (sous une autre forme).

Cependant Piaget défend une conception discontinuiste


du développement : l’enfant ne progresse pas de manière
linéaire mais par crises en rupture avec le stade
précédent.
SCOLARISATION DE L’ENFANT À PARTIR DE L’ÂGE DE 6 ANS

Même si nous ne sommes pas face un adulte cette enfant


n’est plus un bébé.
Doué de compétences intellectuelles, avec un temps
accru d’attention et de concentration.
Un enfant à partir de 6 ans acquiert la maitrise
progressive du temps, cette maitrise va lui permettre de
distribuer ses activités autour d’un axe temporel (par
exemple en ce qui concerne, ses devoirs scolaires) et de
différer certaines parties de la tâche.

Cette enfant non seulement est capable d’effectuer


certaines différentiations d’une part grâce à sa
maturation nerveuse et d’autre part, à la grande maitrise
du langage que lui permet de mettre en relation plusieurs
éléments et identifier les rapports entre eux.

Au niveau social, et à ce stade appelé catégoriel, nous


savons que l’enfant veut bien faire, ce qui l’emmène à
chercher des partenaires (parents, amis, maîtres..) afin de
mener à bien ses objectifs.

Cela me permet de dire qu’avec toute cette soif de


conquête et de connaissance du monde extérieur, cette
enfant a toute sa place dans l’environnement scolaire
afin de pouvoir enrichir toutes ses évolutions et ses
compétences.
En psychologie, dans quelle mesure peut – on dire le
surmoi est l’héritier du complexe d’Œdipe ? Quel est
son rôle véritable par rapport aux autres instances ?

Le surmoi, l’héritier car il est le refoulement des


tendances sexuelles du stade phallique, et de
l’identification parentale ou maternelle (le père en
particulier) déclenchant ainsi son apparition.

Le surmoi est ainsi le résultat d’une dichotomie du moi, il


incarne la partie vertueuse du moi (le moi idéal : celui
que je devrais être ou celui que je dois être) qui
s’oppose à l’autre partie du moi qui est soumise aux
instincts.

Par rapport aux autres instances le surmoi agit comme le


représentant de la loi parentale : son rôle est de surveiller
le moi, surtout au niveau inconscient.
Mais pas seulement car au même temple surmoi sait
évoluer au point de représenter n’importe quelle forme
d’autorité, il possède tout un arsenal pour empêcher les
pulsions les plus instinctuelles de triompher.

LA SUBLIMATION EN PSYCHANALYSE

Est un mécanisme de défense un procédé par lequel


l’individu détourne du but sexuel l’énergie libidineuse du
ça afin de l’orienter vers des buts socialement utiles.
Quels sont les éléments susceptibles de favoriser le
processus d’indentification chez l’enfant ?

Je crois que l’élément principal réside surtout dans les


sentiments d’amour et d’admiration que l’enfant nourrit
à l’égard du modèle, mais ce processus peut aussi se
déclencher par un refus de la crainte ou de l’angoisse,
voire d’envie.
Sans oublier que le statut ou le rôle du modèle peut aussi
déclencher ce processus d’indentification chez l’enfant
(par exemple : les héros de bande dessinée, camarade,
éducateur...)
Nous pouvons dire que l’enfant cherche à s’identifier à
n’importe quel objet susceptible de lui apporter des
qualités ou des ressources qu’il ne possède pas.

Quelles sont les principales actions que les parents


peuvent entreprendre pour aider l’enfant à ‘’se sentir
élève’’ ?

Élève un statut plein d’attentes.

Afin de lui permettre non seulement d’être mais aussi de


‘’se sentir élève’’, le respect de tous ses besoins sur un
point de vue global, ses rythmes de sommeil, du
développement biologique, une vigilance alimentaire,
les besoins de détente, d’échanges, les moments
familiales, d’amour, compréhension, patience et
confiance.
Pour cela il faut instaurer des règles que soient propices
et en accord avec le rythme scolaire, et cela dés son
réveil (petit déjeuner équilibré, éviter toute confrontation
le matin, prendre son temps sans précipitation et stress).

Ensuite lui apprendre à établir des méthodes de travail


que lui permette de progresser dans sa vie scolaire, plutôt
il apprendra à se organiser, plutôt il gagnera en
autonomie.
Au même temps l’aider à établir un créneau horaire pour
ses devoirs dans un endroit que soit propice a la
concentration.

Enfin, Les parents doivent s’intéresser au contenu des


cours, cet intérêt lui donne le sentiment d’être épaulé
dans sa démarche de se ‘’sentir élève’’, lui montrant qu’il
n’apprend que pour lui et que apprendre et un plaisir.

Il me semble très important d’entretenir des moments de


convivialité familiale, de loisirs afin de fournir des
repères solides à l’enfant.

Quelle est la différence entre l’apprentissage


intentionnel et l’apprentissage incident selon Claudia
Strauss ?

L’apprentissage intentionnel, selon Claudia Strauss est un


processus que se produit à l’école.

L’apprentissage incident : résulte des diverses


acquisitions qui ont lieu dans la vie de tous les jours
A mon avis, toutes les deux formes d’apprentissage sont
complémentaires et une n’est pas plus importante que
l’autre, car la vie de tous les jours, devient le théâtre de
tous les apprentissages intentionnels (école).

Et si nous pouvons appliquer dans la vie ce que nous


apprenons à l’école (apprentissages intentionnels)
l’inverse est aussi réalisable. La vie de tous les jours
(apprentissages incidents) est une source inépuisable de
connaissances et expériences qu’aide à rendre le travail
scolaire plus évident et gratifiant.

LE GRAND MÉRITE DU SIÈCLE DES LUMIÈRES EN CE QUI


CONCERNE L’ÉDUCATION DE L’ENFANT

Le siècle des lumières a été marqué par une vision


renouvelée, élargie, et d’une pensée moderne du monde
héritée de questionnements, parfois angoissés.

En ce qui concerne l’éducation de l’enfant, celui - ci a


été placé au centre de toutes les considérations
pédagogiques et l’enfance considéré comme une période
spécifique chez l’homme avec toutes ses règles de
fonctionnement particulières et son rythme propre.

Voilà, le grand mérite du siècle des lumières en ce qui


concerne l’éducation de l’enfant.
Comment peut-on réussir à faire découvrir le ‘’plaisir
d’apprendre’’ à l’enfant ?

Afin de réussir quelque chose il faut impérativement


avoir un plan, avoir une stratégie qui puisse nous mener
de manière efficace vers l’objectif déterminé, mais en ce
qui concerne l’apprentissage, est nécessaire d’être
impliqué, aimer la matière enseigné, croire que ce qui est
enseigné a une importance réel et qui est utile à l’élève,
sans oublier de faire confiance à ses capacités
d’apprentissage tout en respectant ses rythmes.

Je suis absolument convaincu que pour enseigner,


transmettre un savoir quelconque il faut obligatoirement
ce faire plaisir.
Bien évidement, ne pas oublier d’envisager du point de
vue de l’enfant, et dés que l’opportunité se présente il me
semble que passer par le jeu soit une pratique plus au
moins efficace.

Qu’entend –on par rythme ultradien, circadien et


infradien ?

Nous pouvons parler de rythme ultradien s’il se


reproduit environ toutes les ½ heures, mais si sa
périodicité est d’environ 24 heures on parlera de rythme
circadien, et d’infradien si la périodicité est supérieure à
2,5 jours.

Tous les trois ce sont des classifications utilisées afin de


différencier les principaux rythmes auxquels l’individu
peut être soumis.
Quel est le facteur biologique qui, selon H.
Montagner, serait à l’origine de comportement
agressif chez l’enfant, en particulier le matin ?

Selon Montagner, certaines hormones et


particulièrement celles qui participent à la défense de
l’organisme et à la régulation de la glycémie, ont la
particularité de croitre entre 7 et 9 heures du matin, ayant
une influence dans le comportement agressif chez
l’enfant.

LES 5 STADES DU SOMMEIL EN PRÉSENTANT LEURS


CARACTÉRISTIQUES RESPECTIVES.

Le sommeil est un moment pendant lequel notre système


nerveux change d’état, divisé en 5 stades.

Le stade 1 : C’est le stade de l’endormissement,


caractérisé par une activité électrique du cerveau de plus
en plus lente, le dormeur a une facilité à se réveiller
immédiatement, souvent assailli par des hallucinations
(hypnagogiques).

Le stade 2 : Sommeil léger, caractérisé par un


abaissement du rythme cardiaque et de la fréquence
respiratoire.

Les stades 3 et 4 : Phase de sommeil profond, caractérisé


par une diminution notable de la tonicité musculaire, et
une par grande difficulté à éveiller le dormeur.
Le stade 5 : Stade du sommeil paradoxal (rêves) qui
présente des caractéristiques proches du stade 1 ,
endormissement profond abaissement sensible de la
pression artérielle et de la fréquence cardiaque,
respiration souvent irrégulier, et hausse du débit sanguin
que provoque souvent de érections du pénis et
gonflement du clitoris.

Qu’est-ce que l’asthénie ?

L’asthénie est une forme grave de fatigue qui peut être


accompagnée de maux de têtes, de courbatures, ou
irritabilité.

Même si pouvons la comparer aux symptômes d’un état


de fatigue normal, parfois est difficile à diagnostiquer et
peut éventuellement nous donner l’impression de paresse
ou indolence.

L’asthénie a pour particularité, de ne pas être lié à un


effort particulier et se poursuit dans le temps, sans
oublier qu’aucun repos compensateur n’y peut remédier.

Cette pathologie est accompagnée d’une


symptomatologie que se manifeste chez l’enfant de la
manière suivante : difficulté de concentration et attention,
difficulté à retenir ce qu’il apprend.

Les causes sont multifactorielles, car peuvent être d’ordre


génétique, biologique, environnemental, alimentaire,
physique ou psychologique (surmenage, stress), ou
d’ordre pathologique.

Le QI soit est-il un bon indicateur de l’intelligence


chez l’enfant ?

Je crois qu’il a toute sa place sur un point de vue


statistique, mais ne je ne crois pas qu’il détienne les
explications psychométriques concernant l’intelligence
ou que soit même capable de la mesurer.

Je crois que il nous faut peut être parler plutôt des


intelligences, par exemple le simple fait de faire preuve
d’adaptation dans un environnement hostile et arriver
trouver des solutions c’est aussi la preuve d’un niveau
d’intelligence existant.

Des intelligences

1. Intelligence linguistique (maniement intelligent


des mots)
2. Intelligence logique- mathématique (cause/ effet,
travail avec des chiffres et logique)
3. Intelligence spatial (réfléchir en images et
perspective)
4. Intelligence musical (perception, créations,
audition affinée des rythmes et des sons)
5. intelligence Kinesthésique (Connaissance et
perception de son corps dans l’espacer)
6. Intelligence interpersonnel (Compréhension et
psychologie des relations humaines ou sociales)
7. Intelligence intra personnel (Connaissance de
son être intérieur/capacité d’introspection

Pensez – vous que la dictée soit, pour l’enfant, un bon


moyen de progresser en orthographie ?

La dictée un bon moyen de progresser en orthographie,


mais n’est pas le seul moyen, puisque c’est un mode de
contrôle qui permet de vérifier les acquisitions
corrélation à la maîtrise de l’écriture.

Au même temps en tant que outil de communication, le


fait de multiplier les occasions où l’enfant va pouvoir
s’exprimer en dehors du milieu scolaire lui permettra de
progresser et s’exercer.

Tout enfant est unique : en matière d’apprentissage de


l’orthographe, certains auront une préférence pour
l’approche auditive, d’autres visuels, d’autres préféreront
apprendre par stratégie ou même en combinant plusieurs
procédées en même temps.

Le secret est de susciter le plaisir d’apprendre

Quels sont les principaux obstacles à l’apprentissage


chez l’enfant ?

L’obstacle le plus courant est habituellement la


mauvaise stratégie employée par l’enfant, le fait d’avoir
une conception personnelle et habituelle de voir les
choses avec le problème qui est posé, semble être une
entrave à l’apprentissage aisé.

Cette barrière peut être de nature culturelle, d’immaturité


fonctionnelle, motrice ou affective, voire d’une
immaturation biologique.

LES PRINCIPAUX AVANTAGES ET INCONVÉNIENTS DE LA


TÉLÉVISION POUR L’ENFANT.

PRINCIPAUX AVANTAGES

-Permet des moments de détente et de loisirs ou même


d’enseignement.
-Permet à l’enfant l’évasion du monde qui l’angoisse.
-Peut jouer un rôle dans une mission éducative
- La télévision permet de ‘’visiter’’ le monde.

PRINCIPAUX INCONVÉNIENTS

-Effet néfaste sur les capacités d’apprentissage et de


concentration
-Inhibition de la majorité de nos sens = ‘’fascination
secondaire’’
-Peut induire à des comportements d’agressivité
-Effet néfaste sur la construction de la personnalité.
ARGUMENTS

Toute chose peut être bonne ou mauvaise, et cela dépend


de la manière dont nous en tirons profit ou de l’usage
dont nous en faisons preuve.

Aujourd’hui, la télévision est indéniablement une


composante incontournable de notre monde moderne.
Elle influence nos loisirs, notre savoir, notre culture et
nous renseigne sur l'actualité.

Une prise de conscience avisée permettra, sans nul doute,


d’avoir une posture différente vis-à-vis du petit écran.

Malgré avoir énoncé les avantages et les inconvénients


pour moi se dégage impérativement le mot EQUILIBRE.

Pour agir avec parcimonie il faut d’abord s’éduquer, afin


de d’éduquer l’enfant face aux médias.

Les parents peuvent utiliser la télévision comme outil


privilégié d’échange familiale, de convivialité et profiter
des ces instants, pour transmettre des valeurs importantes
et donner des leçons de vie aux enfants, ce qui peut
faciliter la discussion entre parents et enfants, et ainsi
éveiller un esprit critique à l'endroit de la société et du
monde.

Je me permets de citer deux extraits de ce livret dont je


partage l’opinion afin de conclure.
‘’L’objectif des années à venir en matière de télévision
n’est plus à la diabolisation (...)’’

‘’ Impossible donc de s’approprier ce fantastique


moyen de communication et d’enseignement et
d’imposer les règles pédagogiques de son utilisation.’’

MES IMPRESSIONS CONCERNANT LA PSYCHOLOGIE DE L’ENFANT,


ET EN PARTICULIER LES PERSPECTIVES D’AVENIR D’UNE TELLE
DISCIPLINE

Au milieu d’une cette gestion délicate reposant sur le


fantasme de l’unité de la psychologie, que avec le temps,
a fait plus de mal que de bien.
La psychologie de l’enfance cette discipline si jeune mais
si importante certifié par des résultats probants a encore
beaucoup de secrets à nous révéler dans les années à
venir.

Tant que le public n’aura pas connaissance du fait qu’il


existe des disciplines psychologiques (et pas seulement
des psychologues qui remplacent les mamans ou les bons
copains), disciplines faites de savoirs utiles détenus par
des professionnels qui ont une formation théorique que
les autres n’ont pas, Tant que le public n’aura pas
connaissance, c’est vrai que son avenir pourra être
compromis.
Aujourd’hui des chercheurs défendent l’idée d’un
diplôme pour étudiants de psychologie finalisé sur
l’analyse sensorielle. Cette pratique mobilise des
compétences dont les fondements sont entièrement situés
dans les sciences psychologiques (apprentissage verbal,
apprentissage sensoriel, psychophysique et psychologie
du jugement...) que peuvent s’avérer indispensables à la
compréhension de certains mécanismes du
développement de l’embryon, du fœtus du nourrisson et
de l’enfant. Les petits d’homme de notre génération sont
en nette évolution, si nous faisons une comparaison avec
l’enfant des générations passés.

Où se situe l’approche de Durkheim par rapport à


l’école : éducation statique ou éducation dynamique ?

Selon, Durkheim la morale ‘’laïque’’ c’est ce qui


permettra d’affranchir l’individu du joug de l’irrationnel
et permettre ainsi de favoriser l’émergence d’un homme
libre. Sa morale repose sur trois principes : Esprit de
discipline (favorisant la régulation), attachement au
groupe (favorisant l’intégration) et autonomie de la
volonté.
Sociologue de formation, Durkheim envisageait l’école
come un endroit qui contribue de manière essentielle à la
socialisation, car c’est elle qui permet, grâce à la morale,
la transformation de l’individu en un être social.
Pour cette raison selon moi Emile Durkheim se situe dans
une approche d’éducation dite dynamique, car dans cette
aspect de l’éducation toutes les transmissions transmises
apparaissent comme révocables, ou l’individu peut douter
et remettre en cause ces connaissances, laissant de ce fait
une grande place à la créativité, voire la contestation,
devenant ainsi un facteur de changement et de
transformation social. .

LES PRINCIPALES SIMILITUDES ET DIFFÉRENCES QUI EXISTENT


ENTRE LA THÉORIE DU DON ET LA THÉORIE DU HANDICAP
SOCIOCULTUREL

Afin de relever les principales similitudes et différences,


j’ai choisi de le présenter sur forme d’un tableau.

Similitudes Différences
-Font Sa théorie
l’économie repose sur des
d’une dons innés.
réflexion (attribue des
en Théorie du qualités de
profondeur don l’enfant à un
Théorie du sur le déterminisme
don système génétique
et scolaire. absolu)
Théorie du Sa théorie
handicap -Innocente Théorie du repose sur
socioculturel l’école en handicap l’inadaptation
rejetant socioculturel de l’élève.
l’échec déterminisme
solaire sur social
l’élève. (Introduction
de la notion
de handicap)
Commentaire de la phrase du sociologue M.
Touraine Les sociologues passent à l’attaque) :

‘’Le champ scolaire fonctionne comme un piège (…) Les


victimes du piège sont celles qui valorisent la réussite
scolaire mais n’en connaissent pas les règles, ni de sa
production, ni de son utilisation’’

Cette phrase recèle en elle toute la problématique du


système scolaire.
L’école doit être le temple du savoir et de la
connaissance où tout être humain doit pouvoir s’enrichir
de connaissances et en retour être en mesure de
contribuer de maniéré active dans la société, où il est
inséré.

Cette institution est en train de jouer le rôle inverse,


devenant complice de la stagnation, de l’abandon
scolaire, décrédibilisé concernant son efficacité.

L’école est devenue une arène de combat ou juste ceux


qui connaissent les règles du jeu sortiront vainqueurs.
Mais, réussir, est beaucoup plus que privilégier la
reconnaissance diplômante, même si le diplôme
récompense l’effort étudiant.

Attention ! Car les victimes ne sont pas que les élèves,


mais aussi le corps d’enseignants, et la société toute
entière, car l’échec d’un est l’échec des l’autres.
À l’image de notre société à tendance inégalitaire,
l’erreur n’est pas l’absence d’information, mais plutôt
l’absence des ‘’secrets’’, que permettent de progresser au
sein de l’institution scolaire et delà communauté sociétal.
Toute acquisition d’un savoir doit nous être utile.

Selon la psychanalyse, pourquoi la compétition


(scolaire en particulier) entre enfants n’est – elle pas
souhaitable ?

Parce que, afin de construire et structurer sa personnalité,


l’enfant a besoin d’être aimé et mis en confiance, la
compétition ne favorise pas la structuration de la
personnalité de l’enfant, car elle empêche l’enfant de
sublimer son désir incestueux vers un nouveau domaine.

Si l’école lui renvoie constamment une image d’échec,


lui faisant croire que n’est pas assez intelligent et capable
de réussir, il aura du mal à investir ses pulsions dans cet
univers scolaire, et cette image risque de détruire l’image
qu’il a de lui-même.

Sans oublier l’introjection d’un modèle relationnel basé


sur la ‘’loi du plus fort’’, avec toutes les dérives que
nous en connaissons.

Quelles peuvent entre les conséquences de


‘’l’étiquetage’’ sur l’élève ?

La liste est inépuisable, voici quelques-unes des


conséquences,
-répulsion vis-à-vis du système scolaire,
-La perte de motivation et d’intérêt pour les cours de la
part de l’élève,
-La perte de confiance à son professeur,
-agressivité,
-déception de la part de l’élève,
-sentiment d’infériorité et timidité.

Qu’entend – on par ‘’représentation’’ et effet


d’attente ‘’ ?

La représentation est l’image que se fait un individu de


la réalité. Cette image n’est pas le reflet objectif de la
réalité, mais l’interprétation subjective que la personne
en a appréhendant la réalité par des filtres qui lui sont
propres.

Afin d’exemplifier, un bon élève seras toujours vu


comme quelqu’un de discipliné, que travaille,
persévérant, consciencieux, qui s’exprime bien.

En revanche, parce que l’enseignant perçoit l’élève à


partir d’un certain modèle normatif.
S’il est en face d’un enfant dissipé, que travaille peu ou
pas, est tout de suite appelé de mauvais élève.

L’effet d’attente, est l’expectation de la part de


l’enseignent vis-à-vis de son élève à un niveau culturel
en rapport avec le niveau socio - économique.
Exemple 1 : en forme de dialogue – effet d’attente
influence socio-économique

(Le Professeur en remettant à son élève son dernier


travail)

Enseignant à son élève – Tu sais Louis, je m’attendais à


un mieux travail, surtout du fils du ministre de la
culture.
- Profite de ce férié pour te
reposer, et remet toi au travail.

La même situation pouvait se reproduire dans d’autres


contextes, par exemple avec un enfant que provient d’un
milieu défavorable, le professeur piégé par les effets
d’attente aura tendance à considérer les mauvais
résultats comme normal, due à son niveau socioculturel,
ou encore la surnotation afin de compenser l’élève de
milieu socialement défavorisé.

Il y aussi celui qui est entre les deux, l’élève moyen celui
dont l’enseignant associe des qualités de ‘’perfectibilité’’,
donc avec un potentiel qui peut évoluer.

7. Pourquoi, les parents doivent être vigilants quant à


la manière de parler de l’école à l’enfant ?

Les valeurs à transmettre à l’enfant sont d’une


importance capitale, car ce sont elles qui vont constituer
le système de référence de l’enfant, lui permettant de se
situer dans le monde.
Parler de l’école en fait partie de ce système de valeurs,
l’enfant ce fait une idée de l’enseignant et de l’école à
travers les discours des parents, et même si elle n’est pas
parfaite, l’école est reste l’institution basilaire de
l’instruction de nos sociétés.

La relation affective doit être la base de toute


interaction maître – élève ?

Isolé de la relation éducative je ne crois pas que soit la


plus adapté, a une interaction maître- -élève, je préconise
plutôt une relation basée sur une affectivité éducative,
que sait prendre ses distances et reconnaît la place que
occupe dans le système scolaire, sans pour autant laisser
d’être à l’écoute de l’élève.

Mais la relation maître – élève est indéniablement une


relation affective, que peut être conflictuelle,
douloureuse, hostile ou au contraire chaleureuse,
emphatique.

Permettez-moi de vous illustrer, mon idée de la façon


suivante :

La base d’un objet est ce que soutien cet objet, et plus la


base est solide et ample plus stable et sure de pas tomber
est la construction de cet objet, de même en ce que
concerne la relation affective éducative, car à cette
prérogative, l’enseignant et l’élève sont conviés au
respect et investis d’un fil conducteur vers la
communication, l’échange, la compréhension mutuelle,
la coopération, la construction d’une nouvelle école.
Le système de notation actuel ?

En sachant que ce système permet d'évaluer un résultat et


donc de connaître la valeur d'un résultat qui ne peut pas
être mesuré.
Elle est appliquée dans divers domaines où des résultats
sont attendus mais non mesurables.
Alors, que mesure ce système ? La personne ? Son
effort ? Son travail de recherche? L’apparence ? Le statu
socio économique ?

A mon avis est un système qui ne tient pas totalement


compte des multiples raisons qui peuvent influencer le
travail l’élève, parce que, un système est un ensemble
d'éléments que interagissent entre eux selon un certain
nombre de principes ou règles, il faut donc, envisager
d’une façon global tout les éléments a disposition
susceptibles d’influencer la notation.
(De préférence vers le haut)

C’est vrai que toute notation chiffrée donne l’impression


à l’élève, que c’est ce qu’il vaut en réalité, l’élève oublie
rapidement les efforts qu’il a déployés, afin de fournir un
travail de qualité.

Puisque la question demande de me prononcer sur ce


sujet, je sais que cette évaluation diffère selon les
enseignants et que plusieurs facteurs peuvent entrer en
ligne de compte au moment d’une notation, et comme
tout système, celui-ci n’est pas infaillible.

Je ne sais pas si pourrait inventer le système idéal, mais


s’il devait exister un modèle, doit être celui de réveillera
la conscience de chaque l’élève et de chaque enseignant,
que nous pouvons plus que ce que nous pouvons
imaginons, gratifier l’élevé par un renforcement
narcissique mettant l’accent sur la valeur intrinsèque de
l’élève, par de mentions encourageantes.

Les perspectives d’avenir pour améliorer l’action


éducative aujourd’hui ?

Parce que le PAE, incite à l’engagement, à la prise


d’initiative, l’autonomie, stimule la recherche, le travail
en équipe, toute en se faisant plaisir est important
(engagement affectif), que quand il est renforcé permet
de s’investir dans des projets plus ambitieux.

Le PAE me semble donner valeur à des éléments


importants pour de enfants en situation particulière (pour
utiliser une expression positive).

ORTHOPÉDAGOGIE : de par sa recherche à ne pas


compenser un déficit mais a substituer une démarche
pédagogique par une autre totalement nouvelle.

LA STATUT DIDATIQUE DE L’ERREUR : Car je crois que


l’erreur nous donne des informations concernant les
stratégies et mécanismes de réflexion
Je crois que peut être revalorisant pour l’enfant, évitant
de lui renvoyer une image négative et de le catégoriser.

LES ADOLESCENTS D’AUJOURD’HUI QUI LES A CHANGÉS ?

Plusieurs émissions télé, émissions radio, suivi par les


magazines, et d’autres médias spécialisées consacrent
aujourd’hui des sujets qui concernent les adolescents, une
enquête récente menée auprès des jeunes de toute la
France déclare qu’ils ont des amis, et qu’ils résistent à la
pression scolaire et envisagent sereinement leur avenir.

Sont –ils les adolescents d'aujourd'hui très différents des


les générations qui les ont précédé ?

Au début de ce XXIe siècle c’est plutôt sur le fond que


nos ados ont bien changé, et cette fameuse crise
d’adolescence a pris de nouvelles formes, souvent plus
difficiles à reconnaître comme telles. Dépression et
automutilation chez les filles, violence et consommation
de drogues chez les garçons.

Dans un monde où l’on prône la satisfaction immédiate


du désir, sans médiation et sans recul, il devient de plus
en plus difficile d’imposer des limites à la toute-
puissance naturelle de son enfant pubère. Avant, tout
était donné, voire imposé par la société. Aujourd’hui, tout
se passe comme si le jeune devait tout construire par lui-
même.
Ce rôle n’est pas toujours facile à tenir, surtout quand la
crise d’adolescence coïncide avec la crise de milieu de
vie des parents. Les risques de résonance entre les deux
problématiques se traduisent notamment quand les
adultes déversent sur le jeune leurs conflits larvés, leurs
problèmes professionnels et leurs émotions.
Malgré ces informations, nous ne voyons pas encore clair
en ce que concerne la compréhension de nos adolescents,
leurs besoins, leurs comportements et leur monde
étrange.

À l’époque de la Rome antique les citoyens âgés de 17 à


30 ans étaient désignés des adolescents, ce même terme
identifiait au XVIIe siècle un « vieux beau » et au XVIIIe
un « novice un peu niais, un morveux ». Chaque époque
a donné un sens à cette notion, en fonction de ce dont elle
avait besoin. Reste que l’événement pubertaire constitue
dans l’évolution humaine une authentique effraction qui
perturbe gravement l’équilibre narcissique, mettant en
danger la cohésion interne et le sentiment de continuité.

La réalité aujourd’hui est que les adolescents grandissent


face aux mêmes problèmes « sociétales » que ses parents.

LES TRANSFORMATIONS HORMONALES DE LA PUBERTÉ

La puberté situé entre les 12 et 18 ans est considérée par


les psychanalystes comme une deuxième naissance, est
une période de transformations physiologiques, très
importantes.
Caractérisé par une intense activité endocrinienne, où
l’apparition des règles est une des spectaculaires
manifestations, les poils se mettent à pousser chez les
filles et les garçons, mais de manière plus accentuée chez
le garçon que chez la fille.
Le déclenchement de la puberté s’effectue au niveau de
l’hypothalamus, qui donne en effet le signal de la
libération des hormones mâles et femelles qui vont
permettre le fonctionnement de l’appareil génital.

Les glandes surrénales et les glandes sexuelles


(gonades : assurent la fabrication des spermatozoïdes et
les ovules), ce sont les ovaires chez la fille et les
testicules chez le garçon que secrètent les hormones qui
vont permettre l’apparition des phénomènes pubertaires.

Les glandes surrénales son responsables des


transformations que l’on constate la fois chez le garçon et
chez la fille : augmentation de taille, développement de la
musculature, apparition des poils modification de la voix(
nettement plus prononcé chez les garçon) chez le garçon
produisent également des hormones mâles qui renforce et
accentue l’action des glandes surrénales , la raison pour
laquelle le garçon possède de caractères sexuels
secondaires typiquement mâles comme barbe et une
pilosité plus marquée.

Dans quelle mesure le premier rapport sexuel peut-il


être déterminant pour la sexualité future de
l’individu ?
Dans la mesure qu’il augure la teneur des relations
futures.
Normalement, la première expérience est un souvenir
inoubliable soit elle réussie ou pas.
Autrement dit, cette relation peau à peau, sera encrée
dans la mémoire du corps, devenant partie intégrante du
modèle que l’individu peut se faire de la pratique sexuel.

Faut-il convaincre à tout prix un adolescent de se


protéger lors d’un rapport sexuel ?

Je crois que plus que convaincre à tout prix, il faut


éveiller la conscience par un dialogue ouvert et sincère si
possible avec les mots justes. Certes, sans diaboliser le
sujet, mais sans craindre non plus de secouer un peu,
donc, savoir éduquer à ce sujet est une situation
particulière et pas toujours efficace.

Mais tout effort concentré dans un seul but, fera que


l’adolescent devienne plus réfléchie lors de ses prochains
rapports, et lui permettra de faire preuve du courage
nécessaire pour résister à l’irrémédiable.
L’amour n’est pas un jeu, il parait au
départ, mais quand ses effets se révèlent,
toutes les autres maladies sont attirées.

L’amour n’est pas un jeu


scene 1 -

Dans une salle habillée d’une lumière tamisée, dépourvue


de meubles, un couple assis sur une chaise se retrouve
face à face, tout les deux liés par le regard sans aucun
clignotement des yeux.

IL PARAIT AU DÉPART
scene 2-

Le Garçon du type homme idéal, gentiment soulève sa


main droite et caresse la joue droite de la fille, le reflet
de l’image glamour.
Elle sourit en fermant doucement les yeux.

MAIS QUAND SES EFFETS SE RÉVÈLENT


scene 3-

Cette image est figée pendant 5 secondes, ensuite d’un


mouvement discret un bouton de sa robe, se rompt.

Toutes les autres maladies sont attirées


scene 4-
Soudain, d’un mouvement violent la fille, métamorphosé
dans un serpent lui mord le cou et l’étrangle jusqu'à que
le garçon perde conscience.
Moment de pause (silence).
Fin
Le garçon allongé par terre (inconscient) ouvre sa main
droite ou il cachait un préservatif.

QUELLES sont les principales s craintes exprimées


par la jeune fille avant son premier rapport sexuel ?

-La peur de ne pas savoir s’y prendre


-Peur d’avoir mal
-Peur de tomber enceinte
-Peur de la réaction du garçon devant sa propre nudité
-Peur d’avoir recours à la simulation pour faire plaisir au
partenaire
-Peur de ne pas savoir dire non devant un rapport non
protégé
-Peur de la réaction de ses parents, s’ils apprennent de
son rapport
-Peur d’être abandonnée (méprisée) par le garçon
-Peur que le garçon rapporte le moment passé ensemble à
ses copains
-Peur d’être étiqueté comme une fille facile

FAUT – il décourager la masturbation chez


l’adolescent ?
La masturbation est un phénomène naturel chez l’être
humain, donc, décourager n’est pas l’attitude la plus
adapté.
Non seulement permet à l’adolescent de faire une auto
apprentissage du plaisir de son corps et des pulsions dont
il est siège, comme au même temps dans cette démarche
exploratrice il apprend à apprivoiser les sensations liées
au plaisir, et de faire appel à son imagination virtuelle par
le biais des fantasmes.
Il faut juste être vigilant, porque cette pratique ne
deviennent pas une obsession, raison de plus de savoir,
quand, comment, et pourquoi intervenir, sans le
culpabiliser.
Respecter le forum intime de l’adolescent est de mise, car
c’est un moyen efficace d’attirer son attention et de
susciter la confiance nécessaire, à ce que nous souhaitons
lui faire comprendre.

QUELLES sont les trois propriétés fondamentales qui


marquent l’apparition de la pensée formelle selon
Piaget ?

Le raisonnement formel apparait chez l’enfant de 11-12


ans.
-Le raisonnement hypothético-déductif : capacité de
réfléchir avant d’expérimenter.
-Raisonnement type combinatoire : dissocier chaque
facteur et d’analyser son poids respectif.
-Le raisonnement porte sur les combinaisons et non plus
sur les objets : l’enfant raisonne désormais sur
l’ensemble des propriétés de la logique.

DANS quelle mesure la disparition des rites


d’initiation à l’intérieur de nos sociétés modernes
favorise –t- elle la déstructuration de l’adolescent(e) ?

Cette séquence d’actions stéréotypées(Le rite), chargées


de significations et de motions symboliques permettent
de mettre tout le monde à égalité au sein de nos sociétés
(ensemble des modèles d'organisation et d'interrelation,
des individus et des groupes), mais face à l’épreuve de la
modernité au sein d’une société de plus en plus exigeante
et très peu clémente, et sous le signe de l’individualisme,
l’adolescent s’y trouve face à tous les obstacles que
viennent s’opposer au passage du monde noétique vers
un univers plus large.

Car cette ‘’mort’’ que de façon symbolique sanctionne


l’abandon des habitudes de vie infantiles et consacre le
passage au monde adulte afin de les préparer aux
vicissitudes de la vie adulte, est sensé de participer à la
structuration physique et psychique du jeune, mais sa
disparition ou lieu de structurer, fragilise son ‘’moi’’.

Dans cette progression vers l’autonomie ayant pour but la


maturité biologique et comportemental il y a une
scissure, un fossé qu’un moment donné il va falloir
sauter, et si possible sans être engloutit. ( ???)
Aujourd’hui les jeunes sont déboussolés, désemparés,
sans repères, totalement à dérive, ‘’un peu comme s’ils
étaient lancés dans la nature’’, sans savoir comment
interagir avec un monde affaibli de rites, encore inconnu
et tellement exigent. En conclusion, ils font un voyage en
solitaire.
POURQUOI dit – on de l’adolescence qu’elle
constitue le deuxième temps du choix sexuel ?

En sachant que la masturbation est la manifestation de la


réactivation des pulsions de fantasmes de la période
œdipienne.

À la puberté, les diverses zones érogènes s’effacent pour


donner la primauté aux organes génitaux, c’est pour cette
raison que l’adolescence constitue le deuxième temps du
choix sexuel qui va conditionner la forme définitive de la
vie sexuelle adulte.

LES CIRCONSTANCES QUI AMÈNENT L’ADOLESCENT À


RENFORCER SON MOI

Obligé de subir la réactivation de ses pulsions, coincées


entre ses désirs et des pressions sociales qui ne lui
permettent pas de vivre ses fantasmes, s’orientera
naturellement vers un renforcement de son moi afin de se
protéger et de conserver un semblant d’équilibre
psychique.
En effet, la séparation du moi avec le surmoi résulte de la
révolte du moi contre l’état de dépendance dans lequel le
surmoi souhaite maintenir le moi.
C’est cette vive opposition entre ces deux instances que
l’on retrouve à travers les conduites souvent asociales de
l’adolescent : la nécessité dans laquelle il se trouve de
rejeter violement son surmoi se traduit dans son
comportement. A mi-chemin entre ces deux inconscients
(le ça et le surmoi) soudain réactivés, l’adolescent ne s’y
retrouve pas toujours facilement : ses décisions sont
souvent imprévisibles et contradictoires, comme si
chaque instance cherchait à lui imposer sa loi à tour de
rôle. A bout de forces et arguments, son moi est souvent
obligé ‘’d’exploser’’ pour réussir à faire entendre sa
voix : c’est cependant la seule alternative pour permettre
à l’individu de se sortir de cette période parsemée
d’embûches et d’évoluer vers une maturité indispensable
pour faire de lui un membre à part entière de la
collectivité sociale.

‘’LE MEILLEUR DIALOGUE, C’EST L’ÉCOUTE’’

Tout bon dialogue commence par l’écoute de soi même


et seulement là nous pouvons transmettre nos idées et
sentiments à quelqu’un d’autre que nous écoute. Ecouter,
oui mais pas seulement avec ses oreilles, mais aussi avec
tous ses sens.

Pour bien communiquer, le premier pas est


indéniablement l’écoute, d’ailleurs le compositeur
André Boucourechliev, dit que ‘’écouter c’est agir’’.
Source : À Ecoute, éditions Fayard
Ecouter, est tout à fait cela une action, une véritable
implication avec notre interlocuteur c’est un savoir se
placer dans un dialogue à jeux égal, où il y un terrain
favorable à l’échange.

Offrir la possibilité à la personne avec qui nous


dialoguons de manifester ses réflexions, ses émotions,
pouvoir partager ces moment avec celui ou celle qui est
en face.

Comprendre ses points de vue, voire ne rien dire, peut


s’avérer une autre façon fruitive de dialoguer. Mais pour
y arriver il faut lâcher prise en sachant que nous n’avons
pas toujours raison (ne pas monologuer), que parfois
nous avons tord, car il est là le sens du meilleur dialogue,
savoir écouter est savoir aimer.

Qu’est-ce qu’un comportement coercitif ? Quelles


sont les méthodes les plus efficaces qui permettent de
ne pas se laisser submerger par ce comportement chez
l’enfant ?

Ce sont tous les comportements qui ont recours à l’usage


de la contrainte, afin d’obtenir la satisfaction de ses
désirs.

Afin de réussir à canaliser cette conduite indésirable, il y


a tout de même un travail à effectuer de la part des
parents sur eux même, comme par exemple, avoir une
nouvelle posture et un rôle ‘’d’attache’’ ce que
progressivement permettra à l’enfant de se détacher de
ses parents et en amont une attitude positive et
appropriée vis-à-vis des problèmes posées par l’enfant,
ce que permet un réajustement à la relation parents,
enfants.

LES ACTIONS QUI PEUVENT CONTRIBUER EFFICACEMENT À


FAVORISER UN ENGAGEMENT PARENTAL POSITIF

Dans cette voie d’affranchissement du milieu familiale le


fait de multiplier les moments de rencontre et d’échange,
s’avère indispensable à la construction d’un dialogue
libre de contraintes, susceptible d’aider et structurer
l’enfant, dans le respect de ses besoins de liberté
d’élargir son champ d’action.

Lui faire participer sur les points important de


l’organisation familiale (règles de vie commune dans le
foyer), diminue de manière significatif les conflits, et
c’est justement là que l’intégrité parentale, la cohérence
entre les mots et les actions, doivent être visibles, afin
que l’enfant puisse valoriser les injonctions parentales.
Mais, faire preuve de zèle concernant tous cela et vivre
dans un environnement familiale chaotique, ne sera
d’aucun effet, donc est important que les parent occupe
chacun leur rôle respectif, que tous les deux aillent dans
le même sens et de commun accord.

Parce qu’il n’y a pas de formule magique une évaluation


est nécessaire au niveau de l’engagement parental vis-à-
vis de l’adolescent, et sont souvent ces remises en en
cause qui aiguille les parents vers les conduites les plus
adaptés envers ses enfants.
EN QUELQUES PHRASES LA DIFFÉRENCE ENTRE RENFORCEMENT
SOCIAL ET RENFORCEMENT NON SOCIAL
Les renforcements sociaux, ce sont tous les
encouragements qui ont un rapport avec tous ce qui n’a
pas de lien avec le matérielle, par exemple : des éloges,
des encouragements verbaux, en revanche les
renforcements non sociaux, comme la permission
d’aller au cinéma, ou l’augmentation de l’argent de poche
s’y trouve plus au niveau de la récompense matériel.

LA RÉCOMPENSE

AVANTAGES

1-‘’La récompense contribue au développement de


l’estime de soi’’.
-La récompense est un stimulus très puissant, une sorte
d’aiguillon que permet à l’adolescent d’orienter ses
conduites dans la direction souhaité.
Au delà de cela c’est la reconnaissance des efforts
fournis, et ces gratifications narcissiques sont
indispensable à son amour propre de l’enfant, stimulant
ainsi la motivation.

2-‘’Les récompenses ont une vertu pédagogique car elles


préparent l’enfant à la philosophie du monde dans lequel
il va vivre (‘’ toute peine mérite salaire’)’’
-Responsabiliser et renforcer l’apprentissage, est une des
fonctions de la récompense, il est important de
considérer, qu’à travers un renforcement les progrès de
l’enfant deviennent notoires.
La reconnaissance sincère de ses efforts, lui permet
d’évaluer le travail accompli et que tout ce vaut
réellement la peine et qu’est important, demande un
engagement supplémentaire et un prix à payer.

INCOVENIENTS

1-L’adolescent n’apprend à agir qu’en fonction de la


récompense et non pas pour lui-même ‘’
-Un enfant que positionne tous ses rapports envers les
autres, dans la dynamique du recevoir développe chez
lui un esprit matérialiste, voire égoïste ou avare, je ne
crois pas qu’il puisse être heureux, car il ne cherchera
qu’a recevoir et avec une difficulté accrue à offrir, sans
en parler de la frustration que lui est impose, quand ses
désir ou caprices, ne sont pas réalisés.

2- ‘’La responsabilité financière octroyée par les


parents ne permet pas à l’enfant de se soustraire
véritablement de la tutelle parentale : c’est une fausse
indépendance.’’
- Car inhibe l’intrépidité, la confiance en soi et l’image
positive que le travail renvoie à l’individu, des valeurs
battues pour céder la place à l’argent facile.

Dans ces conditions d’impossibilité de se dégager


financièrement de la tutelle de ses parents.
L’enfant ne peut pas prendre des risques et se construire,
faire sa propre expérience et s’armer pour la vie. L’argent
à ce niveau abandonne son rôle symbole d’échange pour
devenir une valeur en soi. Ses objectifs sont maintenant
est confié à des biens passagers et éphémères.

LES AVANTAGES CONSISTANT À ASSOCIER L’ADOLESCENT À


L’ÉLABORATION DES RÈGLES DE VIE FAMILIALE

Quel moment prestigieux de pouvoir avoir son mot à


dire dans une cellule où les parents ont toujours pris des
décisions, sans en tenir vraiment compte de l’opinion de
l’enfant.
C’est sans doute, ce qu’un adolescent doit sentir, quand il
est pris à partie dans l’élaboration des règles de vie
familiale.

Sans laisser de dire, que non seulement cela réduit de


manière significative le nombre de conflits, comme
responsabilise l’enfant en l’engageant à avoir un
comportement plus mûre vis-à-vis des ses parents au sein
du foyer, car une partie de lui-même, de ses opinions
sont maintenant importantes, pour toute la famille et tout
le monde les respecte.

Qu’est-ce que le brainstorming ?

Technique sensé de stimuler la créativité. C’est la


transposition en paroles de toutes les idées que peuvent
germer sans aucune retenu, à l’intérieur du cerveau des
participants, afin d’exprimer et de générer des idées
autour d’une idée mère, où seule la créativité et la
quantité sont importantes.

Le brainstorming, fait appel à l’aspect positif de la


personnalité de l’adolescent, car sans contrainte, ni
critique, et dans un esprit de jeu, il peut librement
s’exprimer, créer, et aider à régler en commun des
problèmes pratiques au sein de la famille tout cela.

La drogue est-elle un piège pour l’adolescent ?

Le mot piège évoque tout de suite, l’image de filet, de


trappe, de ce que peut nous tromper et nous induire en
erreur.
Pour cette raison, oui, selon moi, la drogue est un piège,
même si donne cette impression d’évasion au départ, elle
ne permet pas d’extérioriser sa souffrance.
Bien au contraire, elle ne fait qu’isoler un peu plus
l’adolescent dans sa souffrance et l’exacerber.

La drogue empêche l’adolescent de grandir, favorisant la


régression au stade antérieur de développement ce que
ne permet pas l’autonomisation progressive nécessaire à
leur âge.

Dans cette ‘’boule’’ où il s’imagine à l’ abri, protégé,


cela n’est plus ni moins, qu’ne fuite imaginaire, une sorte
de communion passive dans lequel il se trouvait lorsque
il était nourrisson.
Enfermé dans une sorte d’égocentrisme la consommation
des drogues a un effet inhibiteur au niveau de la libido,
car au contraire de ce que est dit, elle ne permet
nullement d’être plus attentif au désir de l’autre, peut être
moins timide, mais sans plus.
Pourquoi l’anorexie ?

Les causes sont sans doute multiples, mais pas encore


clairement établis avec certitude
Malgré cela, il semble se dégager des explications
concernant, utilisation de son corps comme un moyen
d’expression, comme langage pour exprimer une détresse
morale.

L’anorexie touche plus les files que les garçons, et une


des raisons est due à l’image qu’elles se font de leur du
schéma corporelle.
En plus de cela, l’anorexie renvoie invariablement à la
petite enfance, à la vie anténatale, aux pulsions du stade
oral, à la mère, au sein nourricier, d’ailleurs nous
pouvons nous en rendre compte du rapport vis-à-vis de
la nourriture et la relation dyadique, entretenue dans les
premiers mois de vie. L’anorexique cherche à contrôler
son corps, à contrôler le cordon alimentaire qui relie à la
mère

L’anorexie est une pathologie que apparait s’en qu’on


aperçoive, soudaine et imprévisible, elle fait encore des
victimes.

Le plus intéressant, c’est que quelqu’un que apriori est


bien dans sa peau, peut être victime de cette maladie.
Alors, quelles sont les caractéristiques communes du
comportement anorexique ?
Ce sont plutôt des compétiteurs, qui ont du mal à
accepter l’échec, l’insatisfaction les stimulent a aller plus
loin, d’être actifs.

Pourquoi ? Parce qu’il y a un refus de son corps surtout


à l’apparition de la puberté, un refus d’introjection du
monde adulte, un défi, parfois à la recherche de
l’admiration dans le regard d’autrui ce que traduit une
affective certaine

Quel est le véritable rôle du symptôme en


psychanalyse ?

En psychanalyse le vrai rôle du symptôme, est de


remplacer, sans en prendre conscience, l’évènement par
un évènement de substitution, le symptôme permet la
décharge affective, donnant au sujet la possibilité
d’oublier l’événement traumatisant et donc, de le
refouler.

LA NOTION DE TRANSFERT EN PSYCHANALYSE

En psychanalyse, le transfert est le déplacement de


sentiments ou de désirs interdits refoulés dans
l’inconscient vers un personnage de substitution,
autrement dit, désigne le lien affectif qui s’établi
inconsciemment entre le psychanalyste et le patient.
Existe t-il une différence entre la peur et l’angoisse du
point de vue psychanalytique ?

D’un point de vue psychanalytique la peur porte sur un


objet connu, tandis que l’angoisse porte sur un objet
inconnu.

La peur en tant qu’objet connu est plus accessible parce


que nous pouvons l’identifier plus aisément comme
l’objet de notre peur, en revanche l’angoisse est du
domaine de l’inconscient car le sujet ressent un malaise
diffus sans pour autant pouvoir attribuer avec précision
l’origine de ce malaise, car en tant que charge affective
est détaché de son support original devient une sorte
d’électron libre que provoque l’angoisse.

Qu’est qu’une zone érogène ?

Est la zone du corps apte procurer du plaisir, par moyens


de caresses ou du toucher, certaines zones de notre corps
sont considérés érogènes, comme la peau, les lèvres, le
clitoris, mamelons …voire la pensée considéré comme
zone érogène non-spécifique.

‘’ CONTENU MANIFESTE ‘’ ET ‘’CONTENU LATENT’’ DANS LE


RÊVE

Grace à la découverte de Freud en ce que concerne le


rêve de l’adulte, contrairement à celui de l’enfant, le
rêve subit des déguisements, et des défigurations.
Le rêve tel qu’il nous apparait, tel que nous l’évoquons le
matin parfois de façon vague, et difficile traduire en
mots (enchainements d’idées) c’est ce nous appellerons
de contenu manifeste du rêve.
D’autre part l’ensemble d’idées oniriques cachés (du
fond de l’inconscient) que constituent le sens profond et
réel du rêve c’est ce nous appellerons de contenu latent
du rêve.

LES DEUX PRINCIPALES RÉSISTANCES DE ‘’L’ENTOURAGE À LA


CURE’’ DE L’ENFANT, SELON F. DOLTO

Selon Françoise Dolto, le fait de considérer son enfant


malade ou bien, comme un enfant méchant faisant preuve
de mauvaise volonté, peuvent avoir des conséquences
néfastes à la cure de l’enfant.

Considérer son enfant malade


Comme illustre l’exemple de Josette de 3 ans ½ au
départ avec des symptomatologies névrotiques,
anorexique avec un comportement régressif et en amont
des examens somatique négatifs.
Habituée à dormir dans la chambre des ses parents,
apprend que doit quitter le chambre conjugal pour dormir
dans un canapé dans la salle à manger.
Sa mère repousse l’idée que Josette ait pu exprimer sa
peur de quitter la chambre des ses parents par une
succession d’états névrotiques, pour maman elle est trop
petite pour comprendre la signification du canapé.
En réalité l’enfant souffrait de moralement à l’idée de
devoir se séparer des ses parents.
Suite à une explication de la part des parents de combien
elle était une grande fille, les améliorations s’ensuivirent
progressivement.
Le fait de voir enfant comme malade contribue à
augmenter son sentiment d’infériorité, blessant de son
amour propre, car il a le sentiment d’être anormal,
exacerbant les symptômes psychiques.

Comme un enfant méchant faisant preuve de


mauvaise volonté
Comme illustre l’exemple de jean 11 ans porteur des
signaux de nervosité et des troubles du caractère, instable
depuis sa tendre enfance, avec des difficultés de
s’exprimer devant un médecin homme.
La famille a dû avoir recours à la menace du martinet et
à la sanction physique avec le même, ce que à empiré la
situation.
De famille pieuse, son attitude de ‘’méchant’’ ulcérait la
conscience de Jean et les symptômes contre lesquels il
luttait consciemment faisait place à des tics, plus
acceptable pour les parents.
Après plusieurs séances Jean avoue qu’il se masturbait
depuis lorsqu’il était petit, pratique sévèrement réprimée
par sa grand-mère, mère et sa sœur, lui interdisant tout
ce qui symbolise un phallus.
Tenir son enfant comme méchant ou faisant preuve de
mauvaise volonté ne fait que provoquer chez lui un
sentiment de culpabilité au niveau conscient.
F. DOLTO AFFIRME QUE LES ORATEURS, LES CHANTEURS, LES
FUMEURS, ETC.…ONT DES COMPORTEMENTS RESPECTIFS À
METTRE EN RELATION AVEC LE STADE ORAL

Selon Dolto, ces comportements sont dus à un sevrage


brusque, exposant l’enfant à une frustration, renforçant
ainsi l’auto-érotisme chez le nourrisson qui perdra tout
intérêt pour l’environnement extérieur et se consacre à
ses émois libidinaux antérieurs, qu’il cherchera à
retrouver en fantasmes.

Pour Dolto, les personnes adultes qui utilisent des


comportements ultérieurs en rapport exclusif ou
privilégié avec la sphère orale (tels que certains orateurs,
certains grands fumeurs, grands buveurs, etc.)

Qu’entend – on par stade sadico-anal ?

C’est la période où l’enfant a un plaisir à ressentir des


applications passives sur le corps, en effet la progression
du boudin fécal ne constitue pas un acte volontaire et
donne des sensations ressenties passivement.

La découverte du plaisir auto-érotique sur le mode


masochique est au même temps un pouvoir sur ses selles
ce que devient un pouvoir affectif sur sa mère qu’il peut
ou non récompenser.

Quelles sont les fonctions principales de chaque


hémisphère cérébral ?
L’hémisphère droit : est le coté du cerveau responsable
des fonctions suivantes : la vision, intuition, impulsivité,
douleur, instinct de survie, capable d’assimiler la plus
grande image possible, que permet la reconnaissance
d’un visage dans une foule ou une chanson après avoir
entendu une ou deux notes, est le coté subjectif du
cerveau.
L’hémisphère gauche : s’occupe des fonctions
principales suivantes : audition, empirisme, contrôle
conscient, anxiété, implication du moi, c’est lui que
permet de fragmenter les choses en petits morceaux
d’information permettant l’acquisition de nouvelles
apprentissages une à la fois et que nous puissions
communiquer avec les autres. En résumé est le coté
réaliste et conscient de notre cerveau.

Qu’est – ce qu’une personne ‘’homolatéral’’ selon


Dennison ?

Une personne homolatérale, selon Dennison est


quelqu’un que n’utilise qu’un hémisphère de son
cerveau, faisant usage de ce fait d’une petite partie de ses
capacités.
Est quelqu’un que a une pensée unilatérale puisqu’à un
instant donné, elle n’a accès qu’à un seul côté de son
cerveau.

LA MÉTHODE DU TEST MUSCULAIRE UTILISÉ EN KINÉSIOLOGIE


En sachant que la kinésiologie considère que le tonus
musculaire reflète nos états d’équilibre ou de
déséquilibre intérieurs.
Cette pratique va consister à apprécier les modifications
subtiles du tonus musculaire en fonction de tests précis
que pourront porter sur la posture, position des yeux,
encrer des réponses positives et mouvement positif par
un test musculaire fort.

L’ENFANT OU L’ADULTE HOMOLATÉRAL

L’enfant ou l’adulte homolatéral, sur un point de vue


narcissique reflète un moi affaibli, déséquilibré, associé à
un manque de confiance en soi et en ses capacités, une
vision très réductrice da la réalité, pessimiste et
intolérante vis-à-vis de soi même, des situations et des
personnes qu’y font partie.

En revanche l’enfant ou l’adulte intégré fait preuve d’un


moi plus sur de soi, plus équilibré, dans une dimension
plus sage et conscient du monde environnant et des
personnes qu’y font partie, joie, plaisir et créativité
semble définir ce type de personne.

Cela m’inspire la réflexion suivante, ‘’nous ne voyons le


monde et les personnes tels qu’ils sont mais comme nous
avons appris à les voir’’.

Qu’est-ce qu’une ‘’abréaction’’ en hypnose ?


En hypnose abréaction est le principe que permet au sujet
de revivre la cause de son trouble et provoquer, toujours
par suggestion, une forte décharge émotionnelle, par
laquelle le sujet peut se libérer de ce souvenir
traumatisant.

LE FONCTIONNEMENT DE L’HYPNOSE AU NIVEAU PHYSIOLOGIQUE

Tout d’abord l’hypnose correspond à une modification de


l’état habituel de vigilance, qu’est la propriété que permet
à l’individu de raisonner et d’avoir des activités au
quotidien.
Mais nous pouvons tout au plus constater des effets au
niveau physiologique comme par exemple, l’hypotonie
musculaire.

Parce que sur l’effet des suggestions dirigés à


l’inconscient et acceptés par le même, le cerveau à son
tour ne fait que transmettre ces informations suggestives
induisant une transformation physiologique au niveau des
muscles. Je peux dire que le corps est sur l’emprise de
l’esprit.

Pour avoir essayé l’auto hypnose et avoir constaté des


résultats concernant certains domaines de ma vie, je ne
peux que défendre son efficacité, bien évidement, parce
que j’ai voulu être réceptif, et parce j’ai cru a son
efficacité.

LA THÉRAPIE COGNITIVE
A la différence des thérapies psychanalytiques la thérapie
cognitive (à dimension biologique) s’appuie sur le
courant expérimental en particulier sur les théories du
conditionnement et de l’apprentissage.
Relativement récente, s’est d’abord intéressé aux états
dépressifs, le thérapeute insiste auprès du sujet pour qu’il
apprenne à repérer le fonctionnement habituel de son
système cognitif et agir sur les aspects négatifs de ce
système afin de conserver que les aspects positifs et
améliorer ainsi son fonctionnement cognitif.

Dans quelle mesure peut-on dire que les TCC


s’appuient sur les théories du conditionnement ?

Dans la mesure où elle est fondé sur l’apprentissage de


nouveaux comportements, se débarrasser de ses
mauvaises pensées pour les remplacer par de nouveaux
modes d’organisation mental sensés de réussir là où on
échouait.
Il s’agit ni plus ni moins de soumettre le sujet à un
déconditionnement de ce qui l’empêche de vivre de
manière harmonieuse, dû à un conditionnement aversif.
En résumé tout le travail de la TCC consiste à aider le
sujet à mettre en ouvre un certain nombre de réponses
adaptés en lieu et place des réponses qui le paralysent.

Quels sont les trois états du moi en Analyse


Transactionnelle ?
Faisant partie des thérapies de la communication, la
grande innovation en (AT) fut de réussir à modéliser le
fonctionnement de l’individu en trois états du moi.

-l’Etat-Parent (symbolisé par la lettre P)


-l’Etat-Adulte (symbolisé par la lettre A)
-l’Etat-Enfant (symbolisé par la lettre E)

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