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le 4 juin 2010
Etaient présents :
Monsieur Joël Teyssier pour Inter-Réseaux, Monsieur Abdoul Karim Mamalo pour
le Code Rural, Monsieur Gandou Zakara pour l’AREN, Monsieur Boubacar Fofana
pour le Landnet West Africa, Monsieur Loïc Colin pour E-Sud Développement
ainsi que Monsieur Michel Merlet et Mademoiselle Clara Jamart pour AGTER.
La réunion, menée dans les locaux d’AGTER pour les partenaires français, et par
téléphone pour les partenaires africains, s’est déroulée de 15h à 17h heure
française, et a été animée par Melle. Jamart.
Ordre du jour :
Une première liste de 5 messages clefs a été validée par le Copil. Ceux-ci seront
d’importances inégales au sein du film, mais tous seront abordés.
Cette liste de thèmes sera évidemment complétée en fonction des résultats des
enquêtes de terrain. Nous pouvons notamment imaginer que certaines fiches
présenteront plus spécifiquement quelques études de cas, ou retranscriront de
manière plus exhaustive le contenu de certains entretiens avec des acteurs
locaux si ceux-ci sont jugés particulièrement pertinents.
Les points qui suivent retracent les grandes lignes du rapport de la mission de
repérage, même si le rapport final n’a pas pu être rédigé avant le COPIL.
Monsieur Zakara enverra dans le courant de la semaine du 7 Juin la version
finale de ce rapport, qui sera envoyée à l’ensemble des membres du COPIL, et
qui précisera, entre autres, le rôle des CoFo de base dans les deux
départements concernés, la thématique de l'accaparement des terres dans la
région de Say et quelques points logistiques.
Tous les lieux de tournage retenus sont situés dans une seule région du Niger
(Région de Maradi). Notons que le Niger en compte Huit. Situé à quelques
660km à l’est de Niamey, Maradi est le chef lieu de région. C’est à partir de ce
chef lieu de région que la mission pourra se déployer dans les deux
départements qui coiffent administrativement les différents lieux de tournage
retenus.
Ces deux départements sont :
Il a été spécifié lors du COPIL que l’ensemble de ces lieux d’intérêt ne pourrait
malheureusement pas être visité lors de la mission. Le choix final des lieux qui
seront visités se fera par l’équipe de mission une fois que le rapport final de la
mission de repérage aura été envoyé.
3. Azagor : à 20 km de Dakoro
4. Effaret à 73 km de Dakoro
La visite de ce site permettra de rencontrer des pasteurs dont une partie est
fixée dans le village de Effarett, mais dont l’immense majorité continue de vivre
de l’élevage mobile. Ce phénomène d’adaptation des éleveurs à
l’environnement socio culturel, économique et politique mérite d’être discuté
avec les acteurs.
6. Bammo à 12 km de Emouless
7. Aminata à 5 km de Bammo
8. Tiguittou à 12 km de Aminata
Ce faisant ici on n’a pas besoin de multiplier les sites de tournage. Deux lieux
suffisent largement à couvrir toutes les problématiques en jeu. Il s’agit de
Madarounfa ville, et de la Gabi(chef lieu de commune à 55 km de
Madarounfa)
1. Madarounfa à 25 Km de Maradi
2. Gabi : à 55 km de Madarounfa
- louer le véhicule à partir de Maradi car les coûts y sont moindres par
rapport à niamey ;
- de faire le trajet Niamey Maradi par le bus de transport qui desservent
quotidiennement Maradi à partir de Niamey
B. Du logement
Le film a vocation à être diffusé dans un premier temps dans trois pays
d’Afrique de l’Ouest : le Niger, le Sénégal et le Burkina Faso. Il a été rappelé
que cette première phase de diffusion constituerait une phase de test, à
l’issue de laquelle, si les résultats sont concluants, il pourrait être envisagé
de chercher des financements complémentaires pour pouvoir lancer une
phase de diffusion plus large. Au cours de ces séances de diffusion, le film
sera projeté, puis commenté avec l’aide d’un animateur. Les fiches
constituant le rapport écrit pourront aussi être mises à disposition du public
et discutées.
Monsieur Fofana a précisé que lors des diffusions au Sénégal, le film devra
être utilisé dans sa version française, puisque le Bamanan et le Poular ne
sont pas des langues utilisées dans ce pays. La possibilité de traduire le film
dans d’autres langues locales ouest-africaines, notamment le wolof, a été
discutée. Il a été convenu que cela pourrait constituer un objectif de la
seconde phase de diffusion si elle a lieu et si les financements nécessaires
ont pu être trouvés.