Sunteți pe pagina 1din 4

Pratique

Thérapie manuelle
Jean-Louis Estrade
Mobilisation postéro-antérieure selon Maitland
'JBCJMJUÏEVOUFTUFUWBMJEJUÏEVOUSBJUFNFOU
Maitland’s antero-posterior mobilization: reliability and validity of
treatment
Dans la rubrique « Thérapie manuelle », nous essayons de développer des
connaissances spécifiques de prise en charge pour les kinésithérapeutes. Les
mobilisations « AP » de Maitland sont enseignées dans la plupart des écoles de
kinésithérapie en France, en Australie, en Amérique du Nord et dans les pays
d’Europe du Nord.

Résumé Summary
La mobilisation passive segmentaire lombal en procubitus, propo- Segmental lumbar passive motion in the prone position
sée par Geoffrey Maitland, est à la fois un test et un traitement. given by Geoffrey Maitland is both a test and treatment. It is
Elle est précise et simple à mettre en œuvre. Le test permet precise and easy to implement. The test identifies segmen-
d’identifier des segments lombaires douloureux ou peu mobiles. tal lumbar pain or limited mobility. The treatment provides
Le traitement permet d’obtenir une antalgie immédiate sur des immediate pain relief on one of discogenic low back pain
lombalgies d’origine discale d’apparition récente. Les conditions of recent onset. The conditions of application of the test,
d’application du test, sa fiabilité, sa validité, la posologie et les effets its reliability, validity, the dosage and therapeutic effects
thérapeutiques du traitement sont décrits dans l’article à partir de of treatment are described in the article from the recent
la littérature récente. literature.
Niveau de preuve : non adapté Level of evidence : not applicable

MOTS-CLÉS KEYWORDS
Maitland – Mobilisation passive segmentaire lombal –Test – Maitland – Segmental lumbar passive motion – Test –
Traitement Treatment
© 2011. Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés © 2011. Elsevier Masson SAS. All rights reserved

Le test ou pendants, tête tournée de façon confortable. Le kiné-


Objectifs sithérapeute est debout, latéralement à lui.
Le test a pour but d’analyser la mobilité passive et/ou de ®MBJEFEVOBQQVJIZQPUIÏOBSJFO FOUSFQJTJGPSNFFUDSP-
mettre en évidence des douleurs en extension segmentaire chet de l’hamatum, le kinésithérapeute réalise une poussée
lombale. progressive dorso-ventrale sur le processus épineux, per-
pendiculaire à la tangente de l’arc représenté par la lordose
Régions, pathologie, population cible lombale, vertèbre après vertèbre. L’appui de la main, en
La région impliquée est la région lombale. contact avec le processus épineux, est renforcé par celui
Le test est destiné aux patients lombalgiques depuis moins EFMBVUSFNBJOEFMFYBNJOBUFVS<> figure 1).
EFNPJT QSÏTFOUBOUVOFEPVMFVSDFOUSBMJTÏFBVOJWFBV
de la taille ou au-dessus, avec augmentation de la douleur Fiabilité inter-examinateurs
lors de l’extension, sujet debout. Landel a examiné la fiabilité de l’examen de 2 physiothé-
%BOT MÏUVEF EF -BOEFM <>  MFT TVKFUT POU FOUSF  FU  SBQFVUFT ËBOTEFYQÏSJFODFFOUIÏSBQJFNBOVFMMF

BOT *M TBHJU EF MPNCBMHJFT BVQSÒTEFTVKFUTMPNCBMHJRVFTQSÏTFOUBOUVOFEPVMFVS
la revue
Kinésithérapie

non spécifiques et chez NÏEJBMF  DFOUSBMJTÏF *MT EFWBJFOU JEFOUJGJFS MF TFHNFOU MF
Cadre de santé, kinésithérapeute, des patients plus âgés dans moins mobile et le segment le plus mobile de la région
ostéopathe, Reuilly
l’étude de Maher [2]. lombale.
Auteur correspondant : La mobilité lombale était quantifiée par imagerie par réso-
Jean-Louis Estrade Descriptif du test OBODFNBHOÏUJRVF *3.
EFGBÎPOËNFTVSFSMBOHVMBUJPO
15 chemin des Conges
36260 Reuilly Le patient est en procubi- entre les plateaux vertébraux, en position de repos et lors
jean-louis-estrade@aliceadsl.fr tus, bras le long du corps de l’application de la technique.

Kinesither Rev 2011;(113):31-34 31


Pratique
Thérapie manuelle

La mise en évidence des douleurs segmentaires


est-elle fiable ?
*MFYJTUFVOFCPOOFDPSSÏMBUJPOËMÏDIFMMFWJTVFMMFBOBMPHJ-
RVF PV&7" *$$FOUSF FU 
TVSMBSFDIFSDIFEV
segment douloureux [2].

Validité
Le mouvement teste-t-il effectivement
l’extension ?
Sur 11 sujets sains dont la mobilisation passive postéro-
BOUÏSJFVSFFTUPCTFSWÏFËM*3. JMFTUSFUSPVWÏFOUSF ¡œ
 ¡FU¡œ ¡EFNPCJMJUÏFO-MPSTEFMBNBO”VWSF
La mobilisation segmentaire se fait toujours dans l’exten-
sion, mais les segments adjacents ont un comportement
WBSJBCMFMPSTEFMBNPCJMJTBUJPOEF- -FU- MFTTFH-
NFOUTTVTKBDFOUTSÏBMJTFOUVOFFYUFOTJPO®MJOWFSTF MPST
de la mobilisation de L1 et L2, les segments sous-jacents
SÏBMJTFOUVOFGMFYJPO<>

Les mobilités perçues sont-elles corrélées avec les


mesures IRM ?
Lors de l’étude de Landel, il s’est avéré que les estimations
des thérapeutes présentaient une concordance pauvre
BWFDMFTNFTVSFT*3. k  *$ o FUk
  *$ o  SFTQFDUJWFNFOUQPVSMFNPJOT
et le plus mobile des segments) [1].
Figure 1. Positions du patient et du kinésithérapeute pour le
test et le traitement. Le praticien débute en L5 et termine Spécificité
l’examen en L1. La force est appliquée en 1 à 2 secondes, son La mobilité provoquée lors du test est-elle
intensité devant permettre d’épuiser la course d’extension, différente chez le lombalgique comparativement au
ce qui peut être douloureux (grade IV de Maitland). Elle est sujet sain ?
maintenue 5 secondes en fin d’amplitude. Le retrait de l’appui -BDPNQBSBJTPOEFEFVYQPQVMBUJPOTEFTVKFUTKFVOFT  
se fait également en 1 à 2 secondes, puis le praticien teste œ BOT
MPNCBMHJRVFTFUEFTVKFUTTBJOT  œBOT

l’étage sus-jacent [1]. lors du test de mobilité postéro-antérieure et de l’auto-mo-
bilisation du sujet en extension (press-up par appui sur les
mains à partir d’une position de procubitus), fait apparaî-
tre une hypermobilité chez les sujets lombalgiques :
La fiabilité est bonne pour identifier le moins mobile des o   EFT  MPNCBMHJRVFT QSÏTFOUFOU VOF IZQFSNP-
segments (k     *$    
 NBJT GBJCMF QPVS bilité sur un étage, mise en évidence par la manœuvre
discerner le segment le plus mobile (k     *$  NBOVFMMF  DPOUSF TFVMFNFOU   EFT  TVKFUT TBJOT EV
 o 
<> HSPVQFDPOUSÙMFTVS-4 Y¤ p < 0,01), comme
TVS-- Y¤ p  

Faut-il être plus précis dans les critères d’examen ? oEFTMPNCBMHJRVFTQSÏTFOUFOUVOFIZQFSNPCJMJUÏMPST
%FTHSBEBUJPOTPOUÏUÏQSPQPTÏFTQBSMFQBTTÏ<> FOOJ- du press-upDPOUSFTFVMFNFOUEVHSPVQFDPOUSÙMF<>
veaux de rigidité, les kinésithérapeutes devant également
indiquer la présence d’un étage douloureux. Les premières Valeurs obtenues
OBQQBSBJTTFOUQBTGJBCMFTDIF[MFMPNCBMHJRVF *$$Ë  Lors du test
la revue
Kinésithérapie

*$  0-0,44 ; 6 kinésithérapeutes évaluant la mobilité Les réponses sont qualitatives lorsque le praticien se prononce
postéro-antérieure de L1 à S1 de 18 patients). sur la mobilité de l’étage, ou lorsque le patient se prononce sur
%FGBÎPODPNQBSBCMF .BIFS TVSQBUJFOUT ËMBJEFEF la douleur provoquée lors de la mobilisation passive.
QBJSFTEFQSBUJDJFOTBZBOUBVNJOJNVNBOTEFYQÏSJFODF 
BVUJMJTÏVOFÏDIFMMFFOUSFFUQPVSDPUFSMFTNPCJMJUÏT Quelle liaison entre douleur et mobilité segmentaire ?
segmentaires. Les coefficients de corrélations intra-classes 5SFOUFDJORMPNCBMHJRVFTOPODISPOJRVFT FOUSFFU
NPOUSBJFOUVOFGBJCMFDPSSÏMBUJPO FOUSF FU <> BOT POUÏUÏUFTUÏT-FTFHNFOUMFQMVTEPVMPVSFVYFTU-

32 Kinesither Rev 2011;(113):31-34


Mobilisation postéro-antérieure selon Maitland Pratique

Thérapie manuelle
 EFTTVKFUT
--FU--BQQBSBJTTFOUMFTQMVT L’appui de cette main est renforcé par l’appui de l’autre,
NPCJMFT --MFNPJOTNPCJMF-FTBVUFVSTOPOUQBTSF- les doigts pouvant être croisés. Les coudes du praticien
trouvé de corrélations entre la douleur et la mobilité [7]. sont légèrement fléchis, les épaules sont à l’aplomb de la
région à traiter.
Amplitudes mesurées à l’IRM Des mobilisations passives vertébrales rythmées dans le
L’extension retrouvée apparaît similaire à chaque étage sens de l’extension, sur chaque étage vertébral lombal,
NPCJMJTÏF TPJUEFMPSESFEF ¡œ ¡<> VOQFVNPJOT sont obtenues par les oscillations du tronc du praticien
EBOTMÏUVEFEF1PXFST WPJSTVQSB
 <>

Le traitement Selon Powers


Objectifs Une fois l’étage le plus douloureux identifié, le kinésithé-
Le traitement vise à : SBQFVUF SÏBMJTF  TÏSJFT EF  TFDPOEFT EF NPCJMJTBUJPO
– mobiliser passivement chaque étage lombal en passive, à raison d’un à deux mouvements par seconde à
extension ; la plus grande amplitude indolente possible.
– gagner en amplitude et en antalgie lombale ; ® MB TVJUF EF MB NPCJMJTBUJPO QBTTJWF EV TFHNFOU MF QMVT
– améliorer l’imbibition aqueuse du disque lombal. douloureux, 2 séries de 40 secondes de mobilisation passive
sont administrées sur les autres segments lombaux, le temps
Régions, pathologie, cibles complet de la technique étant de l’ordre de 10 minutes.
*M TBHJU EF USBJUFS MFT MPNCBMHJRVFT OPO TQÏDJGJRVFT EFT
EFVYTFYFT ÉHÏTEFËBOT<> Selon Beattie
Les mobilisations passives se font dans le secteur infra-
Critères d’inclusion des lombalgiques EPVMPVSFVY %FVY TÏSJFT EF  TFDPOEFT EF NPCJMJTBUJPO
4FMPOMÏUVEFEF#FBUUJF<> VOFQSÏTÏMFDUJPOFTUSÏBMJTÏF TPOUSÏBMJTÏFTTVSDIBRVFÏUBHF EF-Ë-
sur :
– le caractère algique préférentiel de la mise en compres- Technique complémentaire
TJPOEJTDBMFMPSTEFGMFYJPOTEZOBNJRVFTPVMPSTEFMB *NNÏEJBUFNFOUBQSÒTDFUSBJUFNFOU MFQBUJFOUBÏUÏJOWJUÏ
station assise ; ËSÏBMJTFSTÏSJFTEFFYUFOTJPOTWFSUÏCSBMFTFOQSPDVCJ-
oMBCTFODF SFMBUJWF EF EPVMFVS MPST EF  FYUFOTJPOT MPN- tus (press-up
TFMPOMBQSPDÏEVSFEÏDSJUFQBS.D,FO[JF
bales ou lors de la marche ;
– l’absence d’attitude en baïonnette, de signes radiculaires Effets thérapeutiques immédiats
-BTÒHVFQPTJUJGBWBOU¡
 Sur la douleur
oMBQSÏTFODFTVCKFDUJWFEVOFIZQPNPCJMJUÏEF-4MPST La douleur a été mesurée avant et après la technique et
de sa mobilisation postéro-antérieure ; est diminuée par celle-ci. Le gain à l’EVA est en moyenne
– une EVA supérieure à 2 sur une échelle de 11. de 1,7 ± 2,1.

Sélection de l’étage à traiter Sur la mobilité en extension


Avant traitement, chaque sujet est invité à réaliser une -FYUFOTJPO MPNCBMF TFHNFOUBJSF B ÏUÏ NFTVSÏF Ë M*3.
extension lombale debout, les mains posées sur les han- avant et immédiatement après une séance unique de mo-
DIFT *M EPJU JOEJRVFS MF OJWFBV EF TB EPVMFVS Ë MBJEF bilisation passive. Elle est augmentée après la technique.
d’une EVA. -FYUFOTJPO MPNCBMF UPUBMF QBTTF EF  ¡ œ  ¡ Ë  ¡
L’examinateur cherche à reproduire, à l’aide de 1 à 2 mobi- œ ¡
lisations passives en extension de faibles amplitudes (grade
*EF.BJUMBOE
TVSDIBRVFÏUBHFMPNCBM MBEPVMFVSRVFMF Sur l’imbibition du disque L5-S1
sujet a ressenti en extension globale debout. En l’absence %BOT MÏUVEF EF #FBUUJF  MFT TVKFUT TF EÏDMBSBOU BNÏMJPSÏT
de douleur, le kinésithérapeute augmente la pression et (plus de deux points de différence avant et après techni-
MBNQMJUVEF HSBEFT**Ë*7
<> RVF
 QSÏTFOUFOU VOF BVHNFOUBUJPO NPZFOOF EF   
de la diffusion en eau intra-discale, a contrario des sujets
Descriptif de la technique
la revue
Kinésithérapie

OF MÏUBOU QBT EJNJOVUJPO NPZFOOF EF    EF DFUUF


La technique reprend la position et les modalités du test. diffusion).
Le patient est en procubitus, un petit coussin sous l’ab- Les caractéristiques originelles des deux populations
domen si la lordose lombale est jugée excessive par le étaient identiques, sauf pour la durée de l’épisode lombal-
praticien. Le kinésithérapeute est latéral à lui. gique (plus de 6 mois pour les patients ne répondant pas
Le bord ulnaire de sa main, entre apophyse unciforme de au traitement, moins de deux pour les patients améliorés
l’hamatum et pisiforme, est posé sur le processus épineux. < ¤ p = 0,012]).

Kinesither Rev 2011;(113):31-34 33


Pratique
Thérapie manuelle

Cela suggère qu’un patient souffrant depuis moins de 2 montre en effet qu’une seule séance est susceptible d’offrir
mois d’une lombalgie en flexion doit pouvoir bénéficier une antalgie immédiate au patient, lorsqu’elle est adminis-
utilement et immédiatement d’un traitement par thérapie trée précocement. A contrario, retarder la prescription du
NBOVFMMFFUFYUFOTJPOWFSUÏCSBMFQBTTJWFT<>6OFÏUVEF traitement nuit à son succès.
préliminaire avait mis en évidence ces changements de L’antalgie est proche des seuils d’efficacité clinique signifi-
concentration en eau au sein du disque intervertébral catifs (de l’ordre de 2 points à l’EVA). Elle est comparable à
consécutifs à la technique [10]. celle obtenue à l’aide d’auto-traitements aisés à enseigner
au patient.
Validité Des études complémentaires sur la relation entre la dose
La comparaison avec la technique d’auto-mobilisation administrée et les effets thérapeutiques sont nécessaires
en press-up indique que les deux techniques améliorent pour juger de leur pérennisation sur les moyen et long
les amplitudes et les douleurs. Elles ont ainsi des effets termes.
similaires [8].
RÉFÉRENCES
Conclusions 1. Landel R, Kulig K, Fredericson M, Li B, Powers CM. Intertester
À propos du test reliability and validity of motion assessments during lumbar spine
accessory motion testing. Phys Ther 2008;88:43-9.
Le test de mobilité passive segmentaire en extension
lombale est un test facile à réaliser et fiable pour mettre 2. Maher C, Adams R. Reliability of pain and stiffness assess-
en évidence le segment lombal le moins mobile ou une ments in clinical manual lumbar spine examination. Phys Ther
douleur lombale segmentaire. 1994;74:801-9.

*MOFDPODPSEFDFQFOEBOUQBTBWFDMFTNFTVSFT*3.SÏBMJ- 3. Maitland GD, Hengeveld E, Banks K, English K. Vertebral


sées lors du test et pourrait être d’une utilité relative dans Manipulation. 7th ed. Oxford, United Kingdom: Elsevier, 2005.
l’analyse d’une population lombalgique présentant des 4. Binkley J, Stratford PW, Gill C. Interrater reliability of lumbar
hyper-mobilités segmentaires : il n’est pas assez fiable pour accessory motion mobility testing. Phys Ther 1995;75:786-92; dis-
les mettre en évidence. cussion 793-5.

5. Powers CM, Kulig K, Harrison J, Bergman G. Segmental mobility


À propos du traitement of the lumbar spine during a posterior to anterior mobilization:
Ce traitement est simple à mettre en œuvre, et d’une assessment using dynamic MRI. Clin Biomech (Bristol, Avon)
UFDIOJDJUÏ GBJCMF -BOBMZTF *3. QFSNFU EPCKFDUJWFS MF 2003;18:80-3.
mode d’action de la technique sur le disque interverté- 6. Kulig K, Powers CM, Landel RF, Chen H, Fredericson M, Guillet M,
bral et éclaire d’un jour nouveau la posologie de la prise Butts K. Segmental lumbar mobility in individuals with low back
en charge masso-kinésithérapique du lombalgique. Elle pain: in vivo assessment during manual and self-imposed motion
using dynamic MRI. BMC Musculoskelet Disord 2007;8:8.

7. Beneck GJ, Kulig K, Landel RF, Powers CM. The relationship


Points à retenir between lumbar segmental motion and pain response produced
by a posterior-to-anterior force in persons with nonspecific low
r Déterminer à la palpation le segment lombal le moins mobile,
back pain. J Orthop Sports Phys Ther 2005;35:203-9.
ou le segment douloureux, est d’une bonne fiabilité en inter-
examinateurs. 8. Powers CM, Beneck GJ, Kulig K, Landel RF, Fredericson M.
Effects of a single session of posterior-to-anterior spinal mobili-
r Déterminer à la palpation le segment lombal le plus mobile est d’une
zation and press-up exercise on pain response and lumbar spine
faible fiabilité en inter-examinateurs.
extension in people with nonspecific low back pain. Phys Ther
r L’appréciation clinique du segment le moins mobile ne correspond 2008;88:485-93.
pas à la mesure obtenue en IRM.
9. Beattie PF, Arnot CF, Donley JW, Noda H, Bailey L. The immediate
r La mobilité segmentaire n’est pas corrélée à la douleur
reduction in low back pain intensity following lumbar joint mobili-
segmentaire.
zation and prone press-ups is associated with increased diffusion
r Les lombalgiques présentent des segments hypermobiles compara- of water in the L5-S1 intervertebral disc. J Orthop Sports Phys
tivement à des sujets sains similaires. Ther 2010;40:256-64.
r Une seule séance de mobilisation passive postéro-antérieure peut
la revue
Kinésithérapie

10. Beattie PF, Donley JW, Arnot CF, Miller R. The change in the
suffire afin d’apporter une antalgie cliniquement significative.
diffusion of water in normal and degenerative lumbar interverte-
r Il est impératif que le patient souffrant d’une lombalgie en flexion bral discs following joint mobilization compared to prone lying. J
soit pris en charge moins de deux mois après la survenue de la Orthop Sports Phys Ther 2009;39:4-11.
pathologie.
r La technique agit en améliorant l’imbibition aqueuse du disque
intervertébral.

34 Kinesither Rev 2011;(113):31-34

S-ar putea să vă placă și